Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté. Deuxième partie: J'ai rencontré Apollon

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté. Deuxième partie: J'ai rencontré Apollon Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2010 dans la catégorie Plus on est
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Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté. Deuxième partie: J'ai rencontré Apollon
Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté

Deuxième partie : J’ai rencontré Apollon

Je ne revis Wassila que deux mois plus tard. Curieux, je lui demandais si son histoire de cocufiage avait eu des suites.
- Plusieurs suites même ! répondit-elle.
- Raconte !
- Pas maintenant, j’ai un rendez-vous important. Retrouvons-nous demain autour d’un thé et je te raconterai.
Nous nous retrouvâmes effectivement le lendemain, en début d’après-midi autour d’un bon repas au restaurant et elle se mit à me raconter les derniers développements de son histoire avec son mari Salim.
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Après mes déboires avec Abdelkader, mon patron, j’avais démissionné de mon poste d’assistante et suis allée travailler, toujours à l’université d’Alger, dans le laboratoire de langues. J’étais chargée de la gestion des équipements et des matériels des différents laboratoires de l’université d’Alger. Mon aventure avec Abdelkader avait laissé en moi une trace indélébile : d’une part, j’avais presque honte de moi, malgré le soutien ferme de Salim ; honte de m’être laissée traiter comme cela, en chienne. D’un autre côté, le souvenir du plaisir que j’avais pris m’était resté en mémoire et chaque fois que je m’en rappelais, je sentais une sorte de chaleur et de bien-être irradier en moi, et mon cœur se serrait, comme s’il avait perdu quelque chose d’important.
Pendant environ quinze jours, je ne fis absolument rien, bien que Salim, me questionnait chaque jour sur une éventuelle aventure extra conjugale que j’aurais eue dans la journée. Et puis, je me mis à regarder d’un air intéressé tous les hommes que je croisais - bien entendu, quand ils étaient beaux et donnaient l’air d’être virils. Pendant longtemps, je n’en avais trouvé aucun qui valait la peine que m’efforce de le séduire. Et puis un jour, au sein même du laboratoire, j’ai rencontré celui qui allait nous faire passer à Salim et à moi, des moments merveilleux.
Je vis tout de suite que c’était un européen : grand, blond, les yeux bleus. Quand je le vis pour la première fois, il était de dos, entrain de contrôler le tableau de commande du laboratoire d’anglais. J’avais été attirée par sa longue tignasse blonde et raide, sa grande taille et ses larges épaules ; il avait aussi une taille fine, des hanches étroites et un mignon petit fessier, serré dans un jean délavé, de couleur grise.
- Bonjour monsieur ! fis-je, rien pour qu’il se retourne pour que je puisse le voir de face.
Et de face, il était encore plus mignon ! C’était un vrai blond, avec des yeux bleus ! Comme on n’en voit qu’au cinéma ! Il devait avoir environ trente ans. Le nom qui m’était venu spontanément à l’esprit était Apollon. J’avais vu plusieurs représentations du Dieu grec du soleil, et n’étaient ses cheveux raides (Apollon avait toujours été représenté avec des cheveux bouclés) l’homme qui se tenait debout devant moi, en aurait été le sosie parfait. C’est dire combien, il était beau.
- Bonjour madame ! répondit-il avec une voix forte et mélodieuse.
Je venais de tomber amoureuse ! Je me présentais au monsieur, comme étant la responsable de la gestion des équipements des différents laboratoires de langues de l’Université. Lui se présenta aussi :
- Michel, Technicien d’entretien des équipements de laboratoires de marque (x), en mission de contrôle des installations réalisées par sa société dans les universités d’Alger, pour une semaine environ.
J’étais sous le charme. Tout de suite, je me dis que c’était avec lui que je pouvais vraiment cocufier Salim et que ce dernier aimerait certainement que le fasse avec un mec comme celui-là. Je venais de prendre la décision de l’emmener ce soir à la maison et de me faire tirer par lui, devant mon mari. Le tout était de trouver la bonne manière pour le convaincre. J’étais consciente de ma beauté et de la sensualité qui pouvait se dégager de mon corps et de mon comportement. Mais je n’étais pas sûre que mon charme allait agir sur un Apollon comme Michel. En général, les hommes trop beaux (tout comme les femmes trop belles) surtout s’ils sont conscients de leur beauté, ont des comportements condescendants et exécrables. J’espérais que celui-là ne faisait pas partie de cette catégorie.
Je restai environ une demi-heure avec lui, faisant semblant de m’intéresser à ce qu’il faisait, et comme il n’était pas loin de midi, je l’invitai à manger dans un petit restaurant tranquille se trouvant dans le coin, où Salim et moi avions nos habitudes.
- Cela fait partie de notre sens de l’hospitalité lui dis-je, pour qu’il ne s’offusque pas. Vous travaillez en quelque sorte pour moi; je me sens donc obligée de vous prendre en charge !
- C’est super gentil ! répondit-il. D’ailleurs je me demandais où je pourrais bien casser la croûte à midi. A l’hôtel, c’est trop loin ! Au restaurant, je ne connais pas encore de bonnes adresses !
Je lui donnai donc rendez-vous à mon bureau à midi et demi. Il arriva à l’heure. Entre-temps j’avais appelé Salim pour lui annoncer que j’aurai peut-être un invité pour la nuit et m’était remaquillée et arrangée pour paraître à mon avantage. J’étais décidée à jouer de mon charme pour séduire mon Apollon. Nous allâmes à pied jusqu’au restaurant qui n’était pas loin de l’université. Nous en profitâmes pour mieux faire connaissance. J’appris ainsi qu’il n’était pas marié, mais vivait en concubinage avec sa petite amie, une beurette, qu’il comptait épouser bientôt, surtout parce qu’elle portait un enfant de lui.
Il prétendait qu’il était facile à vivre et ne demandait rien d’impossible à la vie : un bon salaire (qu’il avait en tant que technicien très spécialisé), assez de temps de libre pour faire ce qu’il aimait (sport et voyages), et profiter des bons plans de la vie. Je lui fis comprendre que moi aussi, je n’étais pas compliquée; que j’aimais les bonnes choses de la vie et parmi ces bonnes choses, il y avait l’amour. Nous continuâmes la discussion autour d’un bon repas – sans vin, parce qu’il devait reprendre son contrôle des équipements, après manger. Nous en étions maintenant à nous tutoyer.
C’était moi qui monopolisais la discussion, essayant de l’amener sur le terrain qui m’intéressait le plus: l’amour. Je lui appris que j’étais mariée et que j’aimais mon mari à la folie. Je lui appris que nous étions un couple un peu marginal, par rapport à la société algérienne; que nous aimions et pratiquions l’amour libre. Il me regardait d’un air bizarre, pensant probablement avoir affaire à une mythomane. Je lui demandai brusquement s’il me trouvait jolie. Il ne me répondit pas immédiatement. Il semblait réfléchir aux conséquences possibles de sa réponse.
- Je suis si moche que ça ?
- Au non ! Bien au contraire, tu es super mignonne ! Je dirais même belle !
- Bandante ?
- …. (D’évidence, il n’osait pas aller jusqu’à ce niveau d’intimité)
- Est-ce que je te plais ? Est-ce que tu veux faire l’amour avec moi ? Il n’y a absolument aucun lézard ! Moi tu me plais et je veux faire l’amour avec toi ce soir ! Est-ce que tu es partant ?
- … (Il continuait de me regarder avec cet air de celui qui avait perdu ses certitudes. Il devait avoir été briefé avant de venir en Algérie et avoir été mis en garde contre les jeunes femmes algériennes qui essayeraient de lui mettre le grappin dessus, pour des histoires de cartes de séjour.)
- Je te répète qu’il n’y a absolument aucun lézard, ni aucun piège, ni aucun intérêt mesquin. Tu me plais et si moi aussi je te plais, je te propose de passer la nuit avec moi (et mon mari qui sera notre complice !). Tu n’as absolument rien à craindre. Dis-moi que je te plais ! Ne me mets pas la honte !
- Oui tu me plais ! Mais j’avoue mon étonnement. Tout ce que je pensais savoir sur l’Algérie est complètement chamboulé ! J’ai une relation indirecte avec ce pays : par l’intermédiaire de ma petite amie, qui a ses origines ici. Et jusqu’à maintenant je n’avais entendu parler que de puritanisme en matière de relations hommes/femmes. On m’avait même mis en garde contre des gestes ou des paroles intempestives de ma part, qui seraient mal pris. Tu vois donc, qu’il ne s’agit ni de ta beauté, ni de ton charme, ni même de ta sensualité. Dès que je t’ai vue, je me suis dis que tu devais être un superbe coup au lit.
- Je suis un superbe coup ! Je te le prouverai ce soir ! Tu viens n’est-ce pas ?
- Oui ! Plutôt mille fois qu’une! Tant pis si je vais contre toutes les règles de précaution et les instructions formelles de notre ambassade.
J’étais aux anges. Mon Apollon avait accepté de devenir mon amant. Pourvu qu’il soit à la hauteur me dis-je. Nous retournâmes à l’université en continuant de discuter de choses et d’autres. Je l’accompagnai dans le laboratoire où il devait continuer ses contrôles. Il n’y avait encore personne; le personnel n’avait pas encore fini de déjeuner. J’en profitai pour mendier un baiser.
- Embrasse-moi !lui dis-je, en approchant mes lèvres des siennes.
Là encore, il hésita. Je l’attrapai par la nuque et l’attirai pour lui rouler une pelle humide et torride. Il se laissa faire, puis se mit de la partie, montrant tout son savoir-faire en la matière. Et le bougre savait embrasser ! Il embrassait comme un affamé ! Furieusement en sécrétant des flots entiers de salive et me les envoyant dans la bouche. Sa bouche avait encore l’odeur du repas que nous avions pris tantôt; cela n’empêchait pas sa salive d’être sucrée et délicieuse. J’aimais son goût et avalait goulûment tout ce qui me parvenait. Sa langue pénétrait de temps en temps dans ma bouche pour s’amuser un moment avec la mienne et ramasser la salive que moi aussi, je sécrétais en quantité. Si ce n’était la peur d’être surpris par le retour intempestif des travailleurs, nous aurions continué à nous embrasser très longtemps.
Nous séparâmes nos bouches et nous nous regardâmes en souriant. Il semblait vraiment avoir apprécié le baiser. Cela m’avait rendu heureuse. Je lui dis qu’il embrassait bien. Il sourit sans me répondre, mais me montra la bosse monumentale que son sexe faisait sur le devant de son pantalon.
- Tu as vu dans quel état tu m’as mis ! Je ne pourrais pas travailler cette après-midi ! Je ne penserais qu’à toi !
J’étais vraiment contente d’entendre çà. Pour corser la situation, je lançais ma main vers le devant de son pantalon pour palper son engin. Il se laissa faire en poussant un petit gémissement de plaisir. Il avait un sexe qui paraissait volumineux et dur. Je continuais un moment à le caresser
- Tu as un gros sexe ! J’ai hâte de le voir et de le goutter ! A tout à l’heure, seize heures!
A l’heure dite Michel vint me retrouver dans mon bureau. Comme j’étais seule, je tendis les bras pour qu’il vienne m’embrasser. Il vint presque en courant. Il me prit dans ses bras, me serra très fort en m’embrassant sur la bouche et sur le cou. Il semblait très excité.
- Je n’ai pas arrêté de penser à toi, de toute l’après-midi. Je n’ai pas débandé une seule minute ! J’ai hâte de te tirer ! Je n’ai pas envie de te faire l’amour ! Je veux te tirer ! Tu m’as tellement excité que je ne pense qu’à ça : te tirer comme un fou ! Je te choque ?
- Oh non ! Bien au contraire ! Moi aussi je ne pense qu’à ça depuis ce matin ! Entrons vite à la maison avant que Salim ne rentre et prenons de l’avance sur lui !
Il vint avec moi dans ma voiture et en moins d’une demi-heure, nous arrivâmes à la maison. Nous entrâmes en vitesse. Je refermai la porte, le pris par la main et l’entraîna dans le salon. J’étais super excitée; je voulais qu’il me tire sans préparation et sans précaution. Je lui fis enlever sa veste, puis sa chemise; il resta torse nu. J’avais raison de dire qu’il était beau. Il l’était vraiment ! De cette beauté de sportif, avec de larges épaules musclées, des biceps et triceps longs et super bien dessinés, un torse large avec des pectoraux d’athlète et un ventre plat avec une tablette de chocolat à la place des muscles abdominaux. J’ai conscience de décrire une photo de top model masculin; mais c’était vraiment cela que j’avais devant moi : un top model !
Je lui fis enlever aussi son pantalon. Il resta en slip, en coton de couleur grise. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui pointait de dessous l’élastique du slip. Je ne résistai pas à l’envie de le sortir complètement pour l’admirer. Il était beau, gros et long ; il frémissait d’excitation. Je le pris dans ma main droite pour le caresser; il était chaud et dur; et très doux au toucher. Je me mis à genoux devant lui pour l’embrasser et le titiller avec ma langue. Je promenais mes lèvres sur toute sa longueur et m’arrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures qu’une pierre. Il devait se raser, parce qu’il n’y avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles. Mêmes ses jambes étaient rasées. Seule sa poitrine avait gardé de petites touffes de poils blonds, entre ses pectoraux et sur les auréoles de ses tétons.
Je voyais Michel qui s’impatientait. Il voulait planter son engin. J’ouvris la bouche et le fis pénétrer dans ma bouche avec l’intention de lui administrer une fellation d’enfer. Mais lui ne l’entendait pas de cette oreille : il voulait baiser ! Il décida donc de baiser ma bouche. Il m’attrapa par la tête et fis pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. J’avais pris l’habitude avec Abdelkader, puis avec Salim qui s’y était mis à son tour, de ce type de pénétration buccale à la hussarde, mais j’avais toujours autant de mal à m’y habituer. Le gros pénis de Michel entrait et ressortait en force, me laissant à peine le temps de reprendre ma respiration. Si je n’avais pas pris la précaution, au tout début, de tenir le sexe à sa base, pour l’empêcher d’aller trop loin, il m’aurait certainement défoncé quelque chose dans l’œsophage ou la trachée-artère.
Mais même comme cela, il allait loin et me donnait à chaque fois envie de vomir. Il ressortait complètement de ma bouche et repartait aussitôt à l’assaut. J’avais mal partout; surtout sur les parois de la gorge, qu’il limait sans précaution. J’avais les yeux qui se remplissaient de larmes et qui coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Chaque fois qu’il sortait son sexe de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive que les va-et-vient forcenés qu’il m’appliquait, me faisaient sécréter en grande quantité. J’entendais, comme s’il était très loin de moi, Michel gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme s’il voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
- Avale cochonne ! Avale du bon sperme bien épais et chaud ! Montre-moi comment tu aimes boire du sperme !
J’essayais, sans complètement y réussir, de boire sa première giclée. La deuxième arriva aussitôt après, et faillit m’étrangler. Le va-et-vient de l’engin expulsa une partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, il décida de lâcher le reste sur mon visage, en se masturbant. J’étais pleine de foutre. J’étais heureuse ! Même si je n’avais pas pris de plaisir, j’étais heureuse de voir le visage éclatant de lumière de Michel. Il avait le sourire béat de l’homme qui venait d’avoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et qu’il essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :
- Tu es vraiment bonne ! Et vaillante ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient supporté d’être baisées comme cela. Ma petite amie, vomit à chaque fois que j’essaye avec elle. Tu es magnifique avec tout le sperme que tu as sur le visage et le cou !
- Je vais l’enlever et l’avaler ! J’aime le sperme ! Je suis une «spermophage» ! Tu veux voir ?
- Oui !
Je me mis donc à nettoyer mon visage et mon cou avec les doigts, que je portai à mes lèvres et à ma langue, pour lécher et avaler. Je mis quelques minutes à tout nettoyer. Il me regardait avec ravissement. Je lui plaisais vraiment ! Nous allâmes nous asseoir sur le sofa ; lui superbe dans sa nudité et moi encore toute habillée.
- Déshabille-toi ! fit-il. Je veux voir combien tu es belle et sensuelle ! Je veux te rendre le plaisir que tu viens de me donner !
J’enlevai rapidement la robe que je portai et restai en string et en soutien gorge. Je me mis debout devant lui pour qu’il me regarde et me dise que je suis belle ; que je suis bandante; qu’il avait envie de moi.
- Enlève le reste ! fit-il comme s’il me donnait un ordre. Je te veux toute nue ! Il te veut toute nue, dit-il, en pointant son sexe du doigt.
Et ce fut là que je vis pour la première fois de ma vie, un zob non circoncis. Quand je l’avais eu dans ma bouche, je n’avais rien remarqué : il bandait et le gland était sorti du prépuce. Le zob que j’avais dans la bouche était un sexe normal, identique à un sexe circoncis. Mais au repos, le prépuce venait recouvrir le gland et donnait à l’ensemble un aspect bizarre; super érotique ! Je venais de tomber amoureuse du zob de Michel, parce qu’il n’était pas circoncis ! Je le pris dans ma main pour le caresser et l’observer pendant qu’il grossissait. C’était un spectacle ahurissant. Je voyais le gland sortir petit à petit de sa protection en peau et l’ensemble devenir immense. Je mouillais en regardant la bandaison de Michel. J’aurais aimé qu’il débande pour le revoir grossir et admirer le gland qui sortait de sa poche !
Michel ne me laissa pas le temps. Il m’arracha littéralement le soutien gorge, libérant mes gros seins blancs et fermes, qui se mirent à tendre vers l’avant, tels des obus de canon de gros calibre. Il tendit ses deux mains pour les pétrir, comme il aurait pétri une pâte; avec tout de même beaucoup de douceur. Il les enveloppait totalement de ses grandes mains et les palpaient doucement des tétons jusqu’à leur base. Je ne connaissais pas encore cette sensation : Salim me caressait surtout les tétons, que j’avais très excitables, et me donnait énormément de plaisir. Mais Michel savait envelopper, en une seule fois, les tétons qu’il gardait au creux des paumes de ses mains et l’ensemble des seins qu’il palpait de ses dix doigts. C’était divin ! Je sentais ma chatte couler comme une fontaine, tellement, il m’excitait !
J’attrapais ses mains pour les garder sur ma poitrine et les obliger à continuer leur œuvre d’excitation. Je commençais à gémir très fort et à baver. Michel me regardait en souriant. Il aimait ce qu’il voyait : une femme offerte qui prenait du plaisir à se faire caresser par un homme, qu’elle venait juste de connaître. Son sexe avait atteint une taille énorme. Je le voyais qui recommençait à frémir. Je le voulais dans ma chatte.
- Baise-moi ! Fais-moi sentir la force de ton zob !
Il ne se fit pas répéter ma demande. Il arracha le string, me faisant mal au passage, me retourna, me fit mettre à genoux au pied du sofa et me fit relever mes hanches. Je compris qu’il voulait me tirer en levrette. J’aurais aimé une autre position, celle qui m’aurait permis de le voir me posséder et aussi de voir entrer et sortir son engin de ma chatte. Mais même comme cela, j’étais heureuse. J’allais sentir la force de sa pénétration, sans la voir. Tout mon plaisir je le prendrais uniquement en sentant son manche me limer et me prendre à la hussarde.
Quand je sentis le gland se poser entre mes grandes lèvres qu’il avait écartées avec deux doigts, je fermais les yeux pour n’écouter que mes sens. Je sentis le gland pénétrer progressivement entre mes petites lèvres, frotter sur mon clitoris en allant au fond du vagin. Je poussai un petit cri de plaisir. Je suivais en imagination le gros zob qui allait et venait dans mon tunnel, qui moulait le manche, comme s’il avait été fabriqué à sa mesure. Je le sentais qui frottait sur la paroi, me donnant à chaque passage un plaisir plus grand et plus fort. Il y allait maintenant en force et de plus en plus vite. Mes gémissements s’adaptaient au rythme de ses coups de reins. Je l’entendais qui ahanait à chacune des pénétrations.
Ma bouche se remplissait de salive que je n’arrivais pas, malgré tous mes efforts, à retenir. Ma tête allait à droite et à gauche, comme si rien ne pouvait la retenir. Je ne contrôlais absolument plus rien ! J’étais aux anges ! J’étais heureuse ! Je savais que j’allais jouir comme une folle ! Et je n’attendais plus que ce moment ! Des cris s’échappaient de ma gorge que je ne pouvais absolument pas contrôler, ni arrêter. Ce n’était pas moi qui hurlais mon plaisir d’être tirée par un gros zob de « roumi » (romain, et par extension, européen) ; un zob qui n’était pas circoncis ! C’était une folle qui habitait en moi et qui avait pris possession de mon âme !
- Plus vite ! Plus fort ! J’aime ton zob ! Ton gros zob! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
L’orgasme qui arrivait à toute allure avait une intensité que je n’avais encore jamais atteinte; même pas avec Salim, qui pourtant savait m’emmener au septième ciel et me donnait énormément de plaisir. Mais celui que j’eus à ce moment là avec Michel, dépassait tout ce que j’avais connu jusque là. Il me semblait que j’allais défaillir ! Que j’allais m’évanouir ! Le plaisir était trop fort ! Je déchargeai pendant une éternité, en poussant un long râle de jouissance qui ne s’arrêta qu’au moment où je me sentais étouffer, par manque d’air. Michel continuait imperturbablement à pilonner ma chatte, en ahanant comme un bucheron. Lui aussi sentait venir l’orgasme. Mes cris et mes paroles l’avaient excité encore plus. Il poussa un long râle et déchargea ce qu’il avait encore de sperme dans ma chatte. Je sentais le liquide brûlant qui s’échappait de mon vagin et allait s’étaler par terre, expulsé par les va-et-vient furieux de mon amant. Epuisé, il s’affala sur mon dos en y déposant un long et doux baiser sur ma nuque. Je l’entendis dire
- Tu es magnifique ! Tu m’as donné énormément de plaisir !
- A moi aussi ! dit une voix juste à côté de nous.
Salim était là debout derrière nous, le pantalon baissé et le sexe tendu comme un mât dans sa main. Il me semblait qu’il s’était masturbé tout le temps qu’il nous regardait baiser. Il nous regardait tous les deux avec un sourire lumineux, comme s’il était heureux d’avoir assisté à la scène. Comme si le fait de voir la femme de sa vie, son épouse, son amante, se faire défoncer par un autre et prendre son pied, le rendait heureux plus que tout.
Il vint s’assoir sur le sofa, à côté de nous, qui étions encore à genoux par terre et se mit à me caresser les cheveux. Ses caresses étaient aussi douces que d’habitude. Il me semblait même qu’il y mettait plus de tendresse.
- Je t’aime ! dit-il en continuant ses caresses. J’aime vraiment te voir jouir comme tu viens de le faire. Je crois que même avec moi, tu n’as jamais joui comme cela. Peut-être pace que c’est nouveau ; ou peut-être est-ce le goût de l’interdit. Je voudrais te voir encore longtemps jouir comme cela. Que penses-tu de « notre » femme ? (il s’adressait à Michel.)
- Une merveille ! Je te félicite vraiment pour avoir déniché une telle merveille ! Sérieusement tu n’es pas jaloux qu’elle s’offre comme cela à moi et qu’elle prenne autant de plaisir ? Moi à ta place, je la garderais pour moi tout seul ! C’est un si bon coup !
- N’est-ce pas ? Moi j’aime qu’elle soit heureuse. Elle aime l’amour ; elle est faite pour cela ! Et moi je l’aime ! Ceci dit, je n’accepterais jamais qu’elle me quitte pour un autre ! Qu’elle s’offre à des hommes qui lui donnent du plaisir, oui ! Qu’elle me montre ou me parle du plaisir qu’elle y prend, oui ! Qu’elle me quitte pour un autre, non !
Nous étions maintenant tous les trois, assis sur le divan : Michel et moi, tout nus ; Salim encore tout habillé, la braguette ouverte et le sexe, ramolli, à l’air libre. Il se leva, remonta sa braguette, et en nous regardant, avec tendresse, dit :
- Reposez-vous, pendant que je fais un brin de toilette et prépare le dîner. J’ai ramené une bonne bouteille de vin pour fêter l’évènement. Tu restes dormir ici, bien entendu.
- Il reste chez nous jusqu’à son départ pour la France, dis-je, devançant les protestations éventuelles de Michel. Je ne veux pas qu’il dorme ailleurs. Demain, il fera venir ses bagages de l’hôtel et aménagera chez nous ! Tu veux bien ?
- Oui ! répondit Michel, que je sentais ému jusqu’aux larmes.
Je me blottis dans ses bras, tandis que Salim alla dans la salle de bain se débarbouiller. Michel semblait heureux de l’aventure qu’il vivait avec nous. Il ne s’attendait certainement pas à vivre de telles sensations dans ce pays devenu tellement puritain. Il me serrait très fort dans ses bras en me caressant doucement et tendrement la nuque et le haut du dos. Je sentais sa chaleur pénétrer en moi et irradier dans tout mon corps. Je ne savais pas si j’étais rassasiée ou si j’étais simplement heureuse avec mes deux hommes. Mes sens ne me tiraillaient plus comme auparavant et pourtant je ne voulais pas quitter le corps de mon amant; je voulais rester ainsi, collée à lui. De temps en temps, je relevais la tête pour le regarder dans les yeux, cherchant à y lire les sentiments qui le traversaient. Il semblait rempli de sérénité. A chaque fois, il me lançait son sourire lumineux et me donnait un tout petit baiser sur les lèvres. On était bien !
Pendant que Salim était dans la cuisine pour préparer le dîner (c’était un excellent cuisinier !), je dis à Michel de m’accompagner dans la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude. Je voulais que ce soit lui qui me lave et que moi, je lui rende la pareille. L’idée lui plut immédiatement. Il se leva, me prit par la main et me devança dans la salle de bain. Pendant qu’il marchait devant moi, je regardais ses hanches étroites et son petit fessier tout musclé, et sans un seul poil. Le spectacle m’émut beaucoup. Je me disais qu’il prenait vraiment soin de son corps. Il s’épilait soigneusement.
l entra le premier dans la baignoire et me donna la main pour que je le rejoigne. Il prit le premier le pommeau de douche et ouvrit l’eau; il régla la chaleur et se mit à me laver consciencieusement. Il utilisait l’éponge qui était suspendue à un crochet et un gel douche qui était à portée de main. Il commença par les cheveux et termina par les pieds, en insistant, comme de bien entendu, sur mon entrecuisse et ma chatte qu’il frotta fortement pour les nettoyer de tous les sucs que nous avions secrétés tous les deux.
Je pris la relève pour m’occuper de le laver. Je fis la même chose que lui, mais arrivé au niveau de son pubis, je vis son sexe, au repos, avec le prépuce qui recouvrait le gland. Je voulais le réveiller et admirer encore une fois le phénomène du réveil de la bête et de la sortie du gland de sa cachette. Je mis ma main sur son pubis et allait à la rencontre du zob ramolli. Comme cela, il n’était pas impressionnant. J’ai toujours été émerveillée de la différence de taille entre un sexe au repos et le même en érection. Il me semblait – c’était vrai pour Salim et maintenant, pour Michel – que le volume était multiplié par quatre ou cinq. Mes caresses commençaient à avoir de l’effet : je voyais l’engin grossir doucement et surtout, je voyais le gland qui pointait de dessous sa capuche de peau. Je poussais des petits rires qui devaient ressembler à des gloussements. C’était pour moi aussi ludique qu’un jeu d’enfant. Je voulais maintenant qu’il atteigne sa taille extrême. Il fallait pour cela que Michel soit réellement excité : soit je le suçais, mais là je ne le verrais pas grossir, parce qu’il le fera dans ma bouche, soit que je lui fasse caresser ma chatte, pensant que cela l’excitera au point qu’il ait une très forte érection.
Je ne croyais pas si bien dire ! Je lui pris la main droite et la portai entre mes cuisses. Il comprit que je voulais qu’il me caresse. Il le fit consciencieusement, comme il faisait toutes choses. Rapidement ses caresses eurent l’effet inverse à celui que j’escomptais : c’était moi la plus excitée des deux. Je commençais à mouiller sévère ! Et lui il n’avait que l’érection molle de tout à l’heure ! Je voulais encore jouir ! Je pensais être devenue une nymphomane !
- Tu as vu comme je mouille ! J’ai encore envie ! Tu crois que je suis entrain de virer nympho ?
- Continue à me laver et on verra tout de suite après si tu es vraiment devenue nymphomane !
Je repris la douche là où je l’avais laissée et rapidement, je le lavai de la tête au pied en utilisant le gel douche et l’éponge. Il semblait apprécier l’eau chaude et les caresses de l’éponge. Il disait qu’il était bien et qu’il se sentait reposé. Nous sortîmes de la baignoire et chacun de nous épongea l’autre avec la grande serviette qui pendait derrière la porte de la salle de bain. Nous repartîmes vers le salon, toujours nus comme des vers. Il me fit assoir sur le sofa et me fit écarter les cuisses.
- Je vais voir si tu es nympho ! Je vais te faire jouir avec ma bouche et ma langue ! Je suis sûr que tu aimeras !
- Ouiiiiiiiiiii ! répondis-je, comme une enfant à qui on proposait une gâterie.
Il s’agenouilla par terre entre mes jambes, me fit ouvrir et relever les cuisses et plongea sa bouche sur ma chatte. Sa bouche était une véritable ventouse ; elle embrassait, suçait, léchait et parfois mordillait ma chatte offerte. La sensation que j’en avais était si délicieuse. J’adorais le mouvement d’aller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes lèvres. Elles allaient et venaient sur les petites lèvres et la langue allait à la recherche de mon clitoris, que je sentais frémir dans l’attente du contact. Il savait utiliser ses lèvres pour l’attraper et le titiller avec la langue. Parfois, il l’offrait à ses dents qui le mordillaient doucement, créant une légère douleur très agréable. J’attrapais sa tête avec les deux mains pour la forcer à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, vers l’anus et vice-versa. Il s’appliqua à faire ce que je lui demandais, m’arrachant des petits cris de plaisir, qu’il ne pouvait pas entendre, du fait que je tenais sa tête prisonnière de mes cuisses serrées sur elle.
C’est à ce moment là que je vis arriver Salim. Il resta un long moment debout à l’entrée du salon, savourant le spectacle, en se caressant le sexe à travers le pantalon. Il me regardait dans les yeux, avec sur les lèvres son merveilleux sourire qui renfermait tout le plaisir qu’il éprouvait à la vue du spectacle. Michel, inconscient de ce qui était entrain de se passer continuait son cunnilingus d’enfer. Salim s’approcha et vint se positionner derrière mon partenaire. Il regardait le cul de Michel et je sus immédiatement qu’il allait l’enculer. Je connaissais bien son air quand il avait soudain envie de faire quelque chose. Il ne l’avait pas prémédité; c’était probablement la position impudique de mon amant, avec son cul en l’air (son beau petit cul, bien musclé et sans aucune trace de poils) qui l’avait excité et lui avait donné l’envie de le tirer.
Je regardais avec une curiosité un peu malsaine et une excitation qui allait crescendo, ce qui allait se passer. Sacré Salim, il m’étonnera toujours ! Il se mit à genoux derrière Michel, qui venait de sentir une présence menaçante et qui tenta de retirer sa tête d’entre mes cuisses pour voir de quoi il s’agissait. Je l’en empêchai en serrant plus fort mes cuisses et en maintenant la pression de mes mains sur sa nuque. Salim caressa un moment les fesses de mon amant, les palpa pour en tester la fermeté et glissa deux doigts entre ses fesses pour aller à la rencontre de l’anus. Il le découvrit rapidement et tenta d’y insérer un doigt. L’anneau n’étant pas lubrifié, il eut du mal à le faire pénétrer. Il retira son doigt et plongea sa tête entre les fesses en les écartant avec ses deux mains. Il sortit la langue pour lécher l’anneau et le mouiller. Michel gigota un moment pour éloigner ses fesses, puis sembla se prendre au jeu.
Il me sembla même qu’il prenait du plaisir à se faire lécher le fion. Il avait même arrêté le cunnilingus qu’il était entrain de m’appliquer. Je le sentais qui attendait ce qui allait se passer, sans peur, ni animosité. Il agissait comme quelqu’un qui était pris au piège et qui finissait par accepter son sort et même qui y prenait du plaisir. Je le sentais qui avait relâché ses muscles et attendait impatiemment la saillie. Quand Salim jugea que l’anneau était assez mouillé, il sortit son pénis du pantalon, posa le gland sur l’anneau et sans précaution aucune, il enfonça son gros manche dans le fion de Michel. Je sentis ce dernier se crisper; certainement parce qu’il avait mal.
Salim ne tint aucun compte de la douleur qu’il créait et continuait à tirer en force, mon amant. Il sentait que son membre n’avait plus aucune difficulté à aller et venir dans le rectum. Il ressentait tellement de plaisir dans ce cul, chaud et moulant. Au bout d’un certain nombre d’allers-retours dans le rectum, il que son partenaire commençait à apprécier. Il n’y avait plus aucune résistance. Au contraire, il voyait que Michel essayait d’envoyer son cul en arrière pour mieux sentir la pénétration et faire aller celle-ci encore plus loin. Moi je regardais sans trop comprendre ce qui se passait. Salim me demanda de libérer la tête de Michel, pour s’assurer qu’il appréciait vraiment de se faire sodomiser ainsi. Je vis le visage de mon amant qui avait une expression bizarre. Comme celle que je devais avoir quand je me faisais tirer et que j’aimais la sensation que cela me procurait.
Michel souriait et gémissait doucement, comme s’il avait honte de montrer le plaisir que lui donnait le gros manche de mon mari. Je vis alors Salim faire une chose étonnante; il envoya sa main à la recherche du sexe de son partenaire et l’attrapa.
- Tu bandes Tu es aussi excité que moi ! Tu aimes te faire tirer ! Dis-moi que tu aimes ma queue dans ton petit cul ! Dis-le ! Dis-le !
- J’aime ! (Il disait cela doucement, de façon presque inaudible)
- Plus fort ! Plus fort et je te promets que vais en même temps te branler pour que tu jouisses avec moi !
- J’aime ! J’aime ! J’aime !
Il n’arrivait plus à se retenir. Il venait de se lâcher complètement et montrait son plaisir en criant qu’il aimait. Il substitua sa main à celle de Salim pour se branler en même temps que son amant amplifiait ses coups de reins. Je les vis tous les deux partir dans une jouissance extrême, en poussant chacun un puisant rugissement de plaisir, l’un lâchant tout son foutre dans le cul qu’il défonçait et qui ressortait à l’extérieur expulsé par les va-et-vient du manche ; l’autre éjaculant sur mes jambes qui étaient restées sur place, tout le temps que dura la sodomisation. Salim, épuisé, se laissa tomber sur le dos de son ami, qu’il embrassa tendrement, tandis que Michel remit sa tête sur mes cuisses.
Nous restâmes comme cela un long moment, avant que Salim ne se décide à retirer son engin ramolli du cul de son ami et vienne me le présenter pour que je le nettoie avec ma bouche. Il avait toujours aimé cela après m’avoir sodomisée. Mais cette fois-ci, c’est des sécrétions de Michel qu’il s’agissait, pas des miennes. Je n’hésitai pourtant pas une seule seconde et me mis à nettoyer le zob de mon mari avec la langue et les lèvres, en avalant tout ce que je ramassais.
- Nettoie-le aussi !
Michel qui avait regardé toute l’opération de nettoyage en silence, se leva et présenta son sexe tout ramolli devant ma bouche. Je lui fis la même chose qu’à mon mari, avec un peu plus de difficulté compte tenu du prépuce qui cachait le gland. Il vint s’assoir à ma droite, pendant que Salim était à ma gauche. Il ne parlait toujours pas. Il avait l’air un peu triste; comme s’il avait honte.
- Tu m’en veux pour t’avoir enculé ? Ou pour avoir pris du plaisir ?
- En vérité, je ne sais pas trop ! J’ai déjà eu quelques expériences homos, mais j’avais toujours été actif. Je ne pensais pas qu’un jour j’apprécierai de me faire enculer. Et pourtant cela vient d’arriver. Je ne voudrai pas que cela devienne une habitude.
- Tout le temps que tu resteras avec nous, je continuerai. Tu baises ma femme et moi je te baise ! Tu as un cul d’enfer, aussi bon que celui de Wassila ! On continue comme cela ?
- Dis-lui oui ! fis-je presque suppliante.
Je voulais garder mon amant au moins tout le temps qu’il restera en Algérie. Le fait qu’il devienne en même temps la femme de mon mari (formule bizarre mais juste!) ne me gênait absolument pas. Il était beau, fort, viril et me donnait tant de plaisir ! Il accepta et les cinq jours que nous passâmes ensemble furent des jours heureux pour nous trois. J’avais même soupçonné un moment que Michel aimait plus le zob de mon mari que ma chatte, mais cela ne l’empêcha pas de me donner des tonnes de plaisir et de bonheur. Et Salim, mon merveilleux mari, était aussi heureux que nous. La seule chose qui m’avait un peu inquiétée, c’est que pendant toute cette période, il ne m’avait plus fait l’amour une seule fois. Il s’était contenté du plaisir qu’il prenait avec « sa nouvelle femme».
Au départ de Michel (dont nous avons de temps en temps des nouvelles par mail et qui promettait de revenir bientôt pour une autre mission de quelques jours) nous reprîmes nos relations, comme avant, en faisant l’amour toujours aussi librement. Cela dura comme cela jusqu’à ce que Salim ramène un soir un jeune éphèbe à la maison, en me disant qu’il aimerait bien qu’il devienne mon nouvel amant. Il était jeune; il était beau et était monté comme un bourrin ! J’avais eu tout de suite envie de l’essayer.
Mais cela est une autre histoire que je te raconterais une autre fois.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
je suis un algerien aussi j'ai toujour eu ce phantasme mais je ne suis jamais passe le
faire votre histoire si elle est vraie est top du top et sincèrement super bien écrite
je vous supli de continuer c'es trop bandant lecteur assidu de hds



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