WE découverte à la montagne... 6
Récit érotique écrit par Mahib [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2020 dans la catégorie Plus on est
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WE découverte à la montagne... 6
Un long silence envahit la pièce on entendait juste nos respirations saccadées. Nous étions les quatre allongés, tentant de reprendre nos esprits après les délices que nous venions de nous prodiguer!
Je fus le premier à me lever pour aller chercher des rafraichissements, le temps de trouver une bouteille de champagne et des coupes!
Nos étions assis sur le tapis, sirotant sans un mot, nus comme des vers, nos épouses exposant leurs sexes de manière très impudiques, les cuisses largement ouvertes montrant leurs fentes luisantes qui de foutre dégoulinant, qui de cyprine suintant des lèvres vaginales; Les hommes étaient immobiles le sexe au repos!
Ma femme vida son verre, me demanda de la resservir (elle qui ne boit jamais…), elle reporta le verre à ses lèvres tout en se rapprochant du mari pour s’appuyer, dos contre lui. Je sentais que maintenant elle le voulait à elle, en elle, et que bon gré, mal gré elle se ferait baiser par lui.
Elle se laissa alla contre lui et lui, lui passa un bras par dessus l’épaule laissant sa main tomber à hauteur des seins. Ma douce se lova et se mit la main sur la chatte et commença à se caresser, son «cavalier» referma ses doigts sur le nichon qu’il malaxa hardiment, puis se saisit du téton qu’il commença à triturer et tordre, arrachant de petites plaintes à celle qui n’attendait que de se le faire. Ma tendre posa son verre et empoigna la verge qui reprenait vie et l’astiqua nerveusement, comme si elle voulait la faire bander sur l’instant, elle lâcha la bite pour la prendre immédiatement en bouche et nous faire une démonstration de ses talents de suceuse. La blonde s’était rapprochée pour s’asseoir à coté de moi et d’autorité me prit la main pour se la fourrer dans le con tout en me saisissant la queue, en me demandant de la masturber tout en regardant ma chérie branler son mari.
Pour mieux sucer son compagnon, Nora se mit à genoux, tendant vers nous son merveilleux cul, la caverne béante et lumineuse de mouille, la pastille, elle aussi brillante des sécrétions qui l’avaient imbibée...un spectacle flamboyant. Ma branleuse n’y résista pas, sans lâcher ma bite, elle se déplaça légèrement et plongea ses doigts dans la chatte de Nora qui sursauta d’abord puis écarta encore davantage les cuisses pour accueillir les doigts qui s‘insinuaient dans son vagin.
Ma chère pompait le mari avec frénésie, elle faisait glisser la bite dans sa bouche très rapidement. La laissait pour lécher les couilles en remontant le long de la hampe qui paraissait droite et dure comme du fer, luisante de salive. La hollandaise avait accentué la cadence de ses trois doigts dans la connasse, ça rentrait et sortait à grande vitesse comme les pistons d’un automate. Je voyais que ma chérie n’allait pas résister longtemps à ce traitement, elle grognait plus fort tout en continuant à pomper le monsieur. Je pris un préservatif, que j’avais préparé et le tendit au mari qui releva la tète de ma chérie pour s’en couvrir. Il eut à peine le temps de le mettre que Nora était déjà accroupie au-dessus de la bite hollandais qui était à moitié allongé le dos contre mur, et se tenant d’une main à sa nuque, se positionna sur la pine, sur laquelle elle se laissa tomber d’un coup en se l’enfonçant jusqu’aux couilles, en poussant un rugissement!
Commença alors un accouplement démentiel, Nora était comme une furie, elle se tenait des deux mains à la nuque de son baiseur, et balançait sa croupe d’avant en arrière à un allure démente comme si elle voulait faire pénétrer le sexe qui la labourait jusqu’au plexus…Pendant un long moment Nous avons regardé le spectacle de Nora se farcir de la belle bite du beau brun, tout en nous tripotant mutuellement, puis la hollandaise se mit à quatre pattes, me tournant le dos, le nez dans les fesses de ma chérie, qui avait ralenti le rythme et s’était mise sur les genoux en s’allongeant sur le mari pour une baise plus sensuelle, lui permettant l’embrasser et à la blonde de lui offrir une belle feuille de rose. Et tout en léchant le cul de ma douce, elle me fit signe de venir la prendre. Je me dépêchais de me couvrir et me positionnais derrière elle, je fis d’abord aller et venir ma queue le long de la chatte ouverte, caressant le clitoris du bout du gland, faisant pénétrer juste la tête pour ressortir et tapoter à nouveau le clito...La dame avait l’air d’apprécier ce jeu, elle poussait de petits gémissements en tortillant son magnifique derrière, avant que d’une seule poussée, je l’embroche jusqu’à la garde, pour ressortir doucement et la réembrocher avec force pendant un bon moment. Nora, quant à elle montait et descendait son cul sur le membre qui la perforait, en poussant des gémissements de contentement. Pendant que la blonde continuait de lui caresser la rondelle, je limais d’abondance, jusqu’à ce qu’elle se redresse, faisant s’allonger complètement son mari, la bite toujours dans Nora, se mettant à genoux au-dessus de lui, la chatte à hauteur du visage...Et sans autre forme de procès, prend le visage de Nora entre ses mains et commence à lui rouler un patin. Mais, avant que je ne me mette à m’insurger, elle me fait signe de venir derrière elle, et là me saisit le sexe, et le dirige pour que je la pénètre...Je me positionne pour m’enfoncer dans sa chatte, mais à ma surprise, elle pointe le dard plus haut et l’attire dans son cul! Quel merveilleux moment...C’était chaud et souple, ma bite était comprimée avec douceur, je la limais avec gourmandise, appréciant ce moment de fin gourmet...Pendant qu’elle et Nora se mangeait le museau et se pétrissaient les nichons, une avec une bite dans le con, l’autre dans le cul, le mari s’amusait avec le sexe de son épouse, alternant caresses et pénétration des doigts que je pouvais sentir à travers la paroi, jusqu’à ce que Nora lui prennent les seins en bouche, en allongeant le bras pour lui lustrer le clito, tandis que monsieur fourrageait de quatre doigts la chatte de madame! Cela ne dura pas très longtemps avant qu’elle ne parte dans un fascinant orgasme.
Ma douce reprit sa position et recommença sa sarabande sur le braquemard qui était en elle. Je me levais, mais elle me demanda de m’approcher pour me sucer, j’ôtais la capote et lui présentais ma pine, qu’elle enfourna pour me dispenser ces délices qu’elle seule pouvait me prodiguer...Mais j’avais une autre idée et une autre envie en tête! Je me retirais de ses lèvres, la fit se coucher sur son amant, et je vins derrière elle pour pointer mon sexe sur son anus et la prendre en double. L’excitation était telle, le «travail de langue» de la blonde si bien fait , que je glissais dans le rectum comme dans du beurre! Il fallut un court instant pour que nous trouvions le bon rythme pour remplir notre amante, et dès lors ce fut l’extase...Saillir Nora à deux, glisser et combler ses deux orifices, sentir la bite de l’autre s’introduire au même rythme, l’entendre jouir sans discontinuer...UNIQUE !
Mais je voulais voir la jouissance sur le visage de Nora . Je me retirais, la fit se relever et je lui demandait de se rasseoir sur la bite, en changeant de «centre d’accueil», lui dans le cul et moi dans le vagin, ce qu’elle refusa, n’offrant son cul qu’à moi! Alors je lui fis prendre la queue du mari dans la chatte puis se coucher dos sur lui, je m’agenouillais entre ses jambes et rejoignis mon compagnon de baise dans la chatte de Nora! Ce ne fut pas facile de conjuguer nos «efforts», d’autant que coincé sous nous deux, le beau brun n’avait pas une grande latitude pour bouger! Mais après quelques minutes, nous avions trouvé nos repères, les aptitudes de ma chérie pour les danses orientales et sa faculté à mouvoir son bassin, nous firent grimper aux rideaux. Plus libre, je pouvais aller et venir à mon rythme dans le sexe de ma douce, qui était depuis longtemps au 7eme ciel, avec deux queues qui lui labouraient le vagin qui n’était plus qu’un torrent de jouissance. Sentir ma bite contre une autre bite dans ma femme, était source d’une volupté sans précédent, aussi quand je sentis la langue de la blonde, qui avait repris ses esprits, se glisser entre nous et nous lécher les couilles, je finis par éclater et et asperger le vagin et l’autre queue qui s’y trouvait d’’une quantité phénoménale de foutre au vu de se que j’avais déchargé dans la journée...J’ai eu l’impression de tomber dans un trou noir et j’en émergeais en entendant les hurlements de ma femme, elle était sous le hollandais, dans la position du missionnaire , les jambes repliées dans le dos de son amant les mains accrochées à ses épaules, la tête penchée tentant de voir l’engin qui la pénétrait, pénétrer n’est pas le mot juste, jamais le terme défoncer ou perforer n’était aussi approprié! Nora se faisait pilonner le vagin comme jamais elle n’avait et n’a plus connu dans sa vie, un véritable marteau-pilon lui ravageait la matrice. Elle n’était plus qu’un orgasme continu, jusqu’à ce que son baiseur pousse un feulement et donnant les derniers coup de rein et s’affale sur ma femme qui tremblait de tous ses membres!
Voilà la fin d’un week-end gravé dans nos mémoires! Tout dans ce récit est authentique, rien ne relève de l’imaginaire ou du fantasme, Je souhaite à tout hédoniste de vivre ces moments...
Je fus le premier à me lever pour aller chercher des rafraichissements, le temps de trouver une bouteille de champagne et des coupes!
Nos étions assis sur le tapis, sirotant sans un mot, nus comme des vers, nos épouses exposant leurs sexes de manière très impudiques, les cuisses largement ouvertes montrant leurs fentes luisantes qui de foutre dégoulinant, qui de cyprine suintant des lèvres vaginales; Les hommes étaient immobiles le sexe au repos!
Ma femme vida son verre, me demanda de la resservir (elle qui ne boit jamais…), elle reporta le verre à ses lèvres tout en se rapprochant du mari pour s’appuyer, dos contre lui. Je sentais que maintenant elle le voulait à elle, en elle, et que bon gré, mal gré elle se ferait baiser par lui.
Elle se laissa alla contre lui et lui, lui passa un bras par dessus l’épaule laissant sa main tomber à hauteur des seins. Ma douce se lova et se mit la main sur la chatte et commença à se caresser, son «cavalier» referma ses doigts sur le nichon qu’il malaxa hardiment, puis se saisit du téton qu’il commença à triturer et tordre, arrachant de petites plaintes à celle qui n’attendait que de se le faire. Ma tendre posa son verre et empoigna la verge qui reprenait vie et l’astiqua nerveusement, comme si elle voulait la faire bander sur l’instant, elle lâcha la bite pour la prendre immédiatement en bouche et nous faire une démonstration de ses talents de suceuse. La blonde s’était rapprochée pour s’asseoir à coté de moi et d’autorité me prit la main pour se la fourrer dans le con tout en me saisissant la queue, en me demandant de la masturber tout en regardant ma chérie branler son mari.
Pour mieux sucer son compagnon, Nora se mit à genoux, tendant vers nous son merveilleux cul, la caverne béante et lumineuse de mouille, la pastille, elle aussi brillante des sécrétions qui l’avaient imbibée...un spectacle flamboyant. Ma branleuse n’y résista pas, sans lâcher ma bite, elle se déplaça légèrement et plongea ses doigts dans la chatte de Nora qui sursauta d’abord puis écarta encore davantage les cuisses pour accueillir les doigts qui s‘insinuaient dans son vagin.
Ma chère pompait le mari avec frénésie, elle faisait glisser la bite dans sa bouche très rapidement. La laissait pour lécher les couilles en remontant le long de la hampe qui paraissait droite et dure comme du fer, luisante de salive. La hollandaise avait accentué la cadence de ses trois doigts dans la connasse, ça rentrait et sortait à grande vitesse comme les pistons d’un automate. Je voyais que ma chérie n’allait pas résister longtemps à ce traitement, elle grognait plus fort tout en continuant à pomper le monsieur. Je pris un préservatif, que j’avais préparé et le tendit au mari qui releva la tète de ma chérie pour s’en couvrir. Il eut à peine le temps de le mettre que Nora était déjà accroupie au-dessus de la bite hollandais qui était à moitié allongé le dos contre mur, et se tenant d’une main à sa nuque, se positionna sur la pine, sur laquelle elle se laissa tomber d’un coup en se l’enfonçant jusqu’aux couilles, en poussant un rugissement!
Commença alors un accouplement démentiel, Nora était comme une furie, elle se tenait des deux mains à la nuque de son baiseur, et balançait sa croupe d’avant en arrière à un allure démente comme si elle voulait faire pénétrer le sexe qui la labourait jusqu’au plexus…Pendant un long moment Nous avons regardé le spectacle de Nora se farcir de la belle bite du beau brun, tout en nous tripotant mutuellement, puis la hollandaise se mit à quatre pattes, me tournant le dos, le nez dans les fesses de ma chérie, qui avait ralenti le rythme et s’était mise sur les genoux en s’allongeant sur le mari pour une baise plus sensuelle, lui permettant l’embrasser et à la blonde de lui offrir une belle feuille de rose. Et tout en léchant le cul de ma douce, elle me fit signe de venir la prendre. Je me dépêchais de me couvrir et me positionnais derrière elle, je fis d’abord aller et venir ma queue le long de la chatte ouverte, caressant le clitoris du bout du gland, faisant pénétrer juste la tête pour ressortir et tapoter à nouveau le clito...La dame avait l’air d’apprécier ce jeu, elle poussait de petits gémissements en tortillant son magnifique derrière, avant que d’une seule poussée, je l’embroche jusqu’à la garde, pour ressortir doucement et la réembrocher avec force pendant un bon moment. Nora, quant à elle montait et descendait son cul sur le membre qui la perforait, en poussant des gémissements de contentement. Pendant que la blonde continuait de lui caresser la rondelle, je limais d’abondance, jusqu’à ce qu’elle se redresse, faisant s’allonger complètement son mari, la bite toujours dans Nora, se mettant à genoux au-dessus de lui, la chatte à hauteur du visage...Et sans autre forme de procès, prend le visage de Nora entre ses mains et commence à lui rouler un patin. Mais, avant que je ne me mette à m’insurger, elle me fait signe de venir derrière elle, et là me saisit le sexe, et le dirige pour que je la pénètre...Je me positionne pour m’enfoncer dans sa chatte, mais à ma surprise, elle pointe le dard plus haut et l’attire dans son cul! Quel merveilleux moment...C’était chaud et souple, ma bite était comprimée avec douceur, je la limais avec gourmandise, appréciant ce moment de fin gourmet...Pendant qu’elle et Nora se mangeait le museau et se pétrissaient les nichons, une avec une bite dans le con, l’autre dans le cul, le mari s’amusait avec le sexe de son épouse, alternant caresses et pénétration des doigts que je pouvais sentir à travers la paroi, jusqu’à ce que Nora lui prennent les seins en bouche, en allongeant le bras pour lui lustrer le clito, tandis que monsieur fourrageait de quatre doigts la chatte de madame! Cela ne dura pas très longtemps avant qu’elle ne parte dans un fascinant orgasme.
Ma douce reprit sa position et recommença sa sarabande sur le braquemard qui était en elle. Je me levais, mais elle me demanda de m’approcher pour me sucer, j’ôtais la capote et lui présentais ma pine, qu’elle enfourna pour me dispenser ces délices qu’elle seule pouvait me prodiguer...Mais j’avais une autre idée et une autre envie en tête! Je me retirais de ses lèvres, la fit se coucher sur son amant, et je vins derrière elle pour pointer mon sexe sur son anus et la prendre en double. L’excitation était telle, le «travail de langue» de la blonde si bien fait , que je glissais dans le rectum comme dans du beurre! Il fallut un court instant pour que nous trouvions le bon rythme pour remplir notre amante, et dès lors ce fut l’extase...Saillir Nora à deux, glisser et combler ses deux orifices, sentir la bite de l’autre s’introduire au même rythme, l’entendre jouir sans discontinuer...UNIQUE !
Mais je voulais voir la jouissance sur le visage de Nora . Je me retirais, la fit se relever et je lui demandait de se rasseoir sur la bite, en changeant de «centre d’accueil», lui dans le cul et moi dans le vagin, ce qu’elle refusa, n’offrant son cul qu’à moi! Alors je lui fis prendre la queue du mari dans la chatte puis se coucher dos sur lui, je m’agenouillais entre ses jambes et rejoignis mon compagnon de baise dans la chatte de Nora! Ce ne fut pas facile de conjuguer nos «efforts», d’autant que coincé sous nous deux, le beau brun n’avait pas une grande latitude pour bouger! Mais après quelques minutes, nous avions trouvé nos repères, les aptitudes de ma chérie pour les danses orientales et sa faculté à mouvoir son bassin, nous firent grimper aux rideaux. Plus libre, je pouvais aller et venir à mon rythme dans le sexe de ma douce, qui était depuis longtemps au 7eme ciel, avec deux queues qui lui labouraient le vagin qui n’était plus qu’un torrent de jouissance. Sentir ma bite contre une autre bite dans ma femme, était source d’une volupté sans précédent, aussi quand je sentis la langue de la blonde, qui avait repris ses esprits, se glisser entre nous et nous lécher les couilles, je finis par éclater et et asperger le vagin et l’autre queue qui s’y trouvait d’’une quantité phénoménale de foutre au vu de se que j’avais déchargé dans la journée...J’ai eu l’impression de tomber dans un trou noir et j’en émergeais en entendant les hurlements de ma femme, elle était sous le hollandais, dans la position du missionnaire , les jambes repliées dans le dos de son amant les mains accrochées à ses épaules, la tête penchée tentant de voir l’engin qui la pénétrait, pénétrer n’est pas le mot juste, jamais le terme défoncer ou perforer n’était aussi approprié! Nora se faisait pilonner le vagin comme jamais elle n’avait et n’a plus connu dans sa vie, un véritable marteau-pilon lui ravageait la matrice. Elle n’était plus qu’un orgasme continu, jusqu’à ce que son baiseur pousse un feulement et donnant les derniers coup de rein et s’affale sur ma femme qui tremblait de tous ses membres!
Voilà la fin d’un week-end gravé dans nos mémoires! Tout dans ce récit est authentique, rien ne relève de l’imaginaire ou du fantasme, Je souhaite à tout hédoniste de vivre ces moments...
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