Week-end a paris - histoire érotique

Je me souvins de ce week-end à Paris avec ma première petite amie, un moment à la fois passionné et inoubliable. Elle reçut un cadeau, et nous décidâmes de célébrer cela en louant une chambre d'hôte pour passer ces deux jours ensemble. Après une journée à explorer le 11e arrondissement, nous retournâmes à notre chambre pour nous préparer à sortir dîner.

Elle s’allongea sur le lit, fatiguée de notre exploration. Je m’approchai d’elle et l’embrassai tendrement, sentant déjà l’excitation monter. Je sortis alors un paquet contenant un jouet que je pouvais contrôler à distance. Avec un sourire complice, je lui proposai de le porter lors de notre sortie. Elle me regarda intensément, son silence en dit long. Puis, elle répondit en m’embrassant de nouveau, acceptant le jeu.

L’atmosphère dans la chambre changea. Je la caressai doucement, sentant l'humidité de son corps croître sous mes doigts. Je la déshabillai lentement, et après avoir retiré sa culotte, j’insérai délicatement un doigt en elle. En l'embrassant une dernière fois, j’insérai le jouet, puis nous nous préparâmes à partir, ajustâmes sa robe, et sortîmes pour le restaurant. Sur le chemin, je ne pus résister à l’envie de jouer avec l’application, déclenchant des vibrations au gré de nos pas. Ses réactions discrètes, mais perceptibles, ajoutèrent à l'excitation.

Une fois arrivés dans un restaurant chic, nous dégustâmes plusieurs plats, mais il était clair que nos esprits étaient ailleurs. La voir se tortiller légèrement sur sa chaise, ses yeux se fermer brièvement sous l'effet des vibrations, et l'observer se rendre plusieurs fois aux toilettes rendit la situation encore plus intense. Chaque fois qu’elle prit une bouchée, il lui fut difficile de retenir des gémissements, tandis que je tentai de cacher mon propre désir.

Après ce dîner mémorable, nous rentrâmes à notre chambre d'hôte. Une fois la porte fermée, elle m'embrassa avec une passion qui trahissait l’excitation accumulée, ses mains se baladant rapidement partout sur mon corps ; je la sentis débordante d'excitation. Je la poussai brusquement sur le lit, la retournai, et relevai sa robe. Dans un élan de désir, je lui donnai une fessée, déchirai son collant, et abaissai sa culotte trempée en dentelle verte. Le jouet tomba au sol, glissant de son corps sans que j'aie besoin de l'enlever.

La voyant ainsi offerte à moi, à mes désirs, je m’abaissai directement et commençai à lui lécher son trou du cul. Elle laissa échapper un "ohhhh" de surprise, mais également d'excitation. Quelques secondes plus tard, je me relevai, baissai mon pantalon jusqu'à mes chevilles et la pénétrai, mes mouvements lents mais fermes, savourant chaque instant. Ma main parcourut son dos jusqu'à atteindre son cou, que je serrai doucement tout en continuant à la pénétrer, alternant entre des coups secs et lents, puis rapides. Je glissai ma main de son cou à ses cheveux, les agrippai fermement, et lui murmurai : "Tu aimes ça, être ma salope ?" Sa réponse fut immédiate et haletante : "Oh oui, fais de moi ta chienne."

Ses mots n’attisèrent que davantage mon désir. Continuant mes mouvements, je crachai dans ma main pour lubrifier son autre entrée, et j’insérai doucement mon pouce, ajoutant une nouvelle dimension à son plaisir. Son corps réagit intensément, ses contractions autour de moi devenant plus fortes, ses jambes tremblant sous l'effet du plaisir.

À l'approche de mon apogée, je me retirai et la fis se mettre à genoux, la bouche ouverte, la langue sortie, ses yeux dans les miens, son regard désireux. Elle se toucha frénétiquement devant moi, comme une chienne en attente de sa récompense. Quelques secondes plus tard, je ne pus retenir mon plaisir et giclai sur sa langue et son visage. Sans perdre de temps, elle prit mon sexe en bouche, avalant les dernières gouttes que je déversai dans sa gorge. Elle récupéra le sperme chaud sur son visage et l’avala, les yeux brillants de désir.

Je m'abaissai à sa hauteur pour l'embrasser tendrement, mêlant douceur et passion. Puis, je la fis s'allonger sur le dos, la tête posée sur l'oreiller, et je descendis doucement jusqu’à son sexe, où je me mis à la lécher avec soin, cherchant à lui offrir un ultime orgasme clitoridien.

Elle atteignit l'extase une dernière fois, et après avoir savouré ce moment, nous nous blottîmes l’un contre l’autre, nus sous les draps. Dans cette étreinte paisible et complice, nous nous endormîmes ensemble, bercés par le souvenir de cette nuit intense et inoubliable.