Week-end avec ma femme (POV de l'homme)

- Par l'auteur HDS BeeShet -
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Récit libertin : Week-end avec ma femme (POV de l'homme) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Week-end avec ma femme (POV de l'homme)
Délicieuse matinée de printemps...
Le ciel est bleu,la chaleur commence à se faire sentir...
Des petits oiseaux, des papillons, des butineuses, les premières roses qui embaument l'air...
Paisible...
Il y a à faire au jardin, elle, est rentrée il y a un petit moment, elle me laisse continuer seul, j'entends dans la maison des bruits de vaisselle...
Je repense aux rayons du soleil qui teintaient d'acajou ses longs cheveux bruns, à ses seins qui ballottaient librement dans sa robe un peu trop décolleté pour ses gros seins...
Bien trop longue cette robe...
Elle était nue dessous, je le sais parce qu'elle s'est accroupie pour arracher les mauvaises herbes, et là j'ai aperçu sa fente comme un signal, entre deux pans de tissu fleuri.
Entre ses cuisses aussi...
Je rentre dans la maison.
Une pause sera bienvenue.
Dans la cuisine elle s'affaire.
Je me sers un verre d'eau fraîche
"Une pause me fera du bien"
De l'autre côté de l'îlot elle me sourit.
"Qu'est-ce que tu prépares de bon ? "
Je n'écoute même pas la réponse, je regarde ses seins qui dansent dans sa robe à fleurs, les tâches de rousseur qu'ont fait éclore la lumière du printemps, sa bouche qui parle doucement, ses yeux noirs qui pétillent...
Elle touille, elle épluche, elle cuisine de l'autre côté de l'îlot, parfois je devine son cul qui creuse le tissu...
"Cette robe est beaucoup trop longue"
Elle sourit encore.
"Tu ne voudrais pas que les voisins voient mes fesses tout de même ? Une robe courte n'est pas vraiment l'idéal pour jardiner... "
Elle se retourne et se dandine un peu, par jeu.
Je la rejoins et l'enlace.
Mes mains dégagent ses beaux seins, lourds, dorés, aux grosses areoles.
Je les embrasse, je les suce...
Je la colle contre moi, son dos contre mon torse, ses seins remplissent mes mains, ma queue est déjà dure contre son cul.
"Moi je veux voir ! "
Une de mes mains descend jusqu'à son entrejambe, un doigt s'y glisse, c'est déjà bien humide.
Ne pas porter de culotte la fait toujours mouiller.
Je la tiens contre moi, mon autre main toujours à grippée à son sein, que je pétris.
Je caresse son clito, je rentre un doigt, je coulisse doucement...
Elle frémit.
Fait mine de se dérober.
"Tu vas me retarder ! Et le repas va brûler ! "
C'est moi qui sourit.
"D'accord ! "
Je la penche sur l'ilot et remonte sa robe jusqu'à la taille, je la noue au bas de son dos, exposant ainsi, enfin, son cul généreux aux regards.
Au mien surtout.
Je laisse évidemment ses seins pendre.
"Je retourne à ma place alors ! Continue, je ne voudrais pas te RETARDER Mais reste comme ça !"
Je retourne à ma place.
Quelle vision de rêve, les seins de ma femme se balancent, son cul ondule.
Dans mon jean ma queue durcit encore.
Elle s'agite, je la soupçonne même d'en rajouter pour m'exciter.
Évidemment qu'elle en rajoute, elle se hausse sur la pointe des pieds pour ouvrir un placard, se baisse exagérément pour ramasser un torchon fortuitement tombé à terre, elle remue sa sauce avec vigueur pour secouer ses gros seins, elle goûte cette sauce en gardant exagérément longtemps son doigt en bouche...
Sacrée bonne femme !
"Mmmmm... "
Ses yeux se plantent dans les miens.
Elle lèche son doigt sans me lâcher du regard.
Quelle belle salope !
Je me lève et défais ma ceinture.
Je sais que ce simple geste l'excite encore plus, ma salope fétichiste des ceintures !
L'oeil gourmand, elle me rejoint.
Ma queue pointe, une goutte perle déjà sur mon gland, je la recueille sur mon doigt et le lui fait sucer.
Ce précum salé est son régal.
Elle suce consciencieusement mon doigt.
Je sors alors complètement ma queue et lui appuie sur la tête pour la faire mettre à genoux.
Je frotte ma queue sur ses seins, son visage, sa bouche, et enfin la lui enfonce entre les lèvres.
À genoux devant moi, ses seins et son cul à l'air, elle se laisse faire avec bonheur, je sens ma bite glisser sur sa langue, ses lèvres se resserrer.
J'use de cette bouche un moment, elle aime sucer, la salope parfaite, puis je la relève et la plaque sur l'îlot.
Je la doigte un peu, le bruit de sa chatte mouillée, on dirait qu'on entend plus que ça dans la cuisine, ça ne trompe pas.
"Je vais te retarder encore juste un petit peu je crois... À moins que je te laisse tranquille ? "
Je lui mets mes doigts enduits de sa mouille acidulée dans la bouche.
"Suce ! Je crois que tu ne veux pas que je reparte tout de suite ?
-Mmmmm... Non... Ne me laisse pas comme ça !
Baise moi au moins un p'tit coup ! "
À tes ordres, ma femme !
De toutes façons je n'en peux plus, le souvenir de sa fente entre ses cuisses accroupies dans le jardin, ses seins qui se balancent et s'échappent du décolleté, sa langue sur ma queue, sa bouche chaude, et maintenant son gros cul à l'air, penché sur l'îlot, il faut que je la fourre.
Au moins un p'tit coup oui !
Je la plaque plus fermement, appuie sur le bas de son dos, et l'enfile lentement.
Je la sens s'ouvrir, frétiller, frissonner.
Je commence à la limer, elle gémit, les bras posés sur l'îlot, le corps bien offert.
Je la fourre de plus en plus virilement.
Le bruit de sa chatte mouillée et de mes couilles qui claquent nous excitent encore plus.
J'ai envie de voir ses seins ballottés par mes coups de reins.
Je récupère ma ceinture et la passe autour de son cou.
"J'ai envie de voir tes nichons pendant que je te fourre un p'tit coup comme une salope, vite fait dans la cuisine ! "
Le contact du cuir l'électrise, je tire, elle se redresse, se cambre, et s'ouvre un peu plus pour laisser ma queue entrer un peu plus loin.
Mes mots ont touché juste.
C'est ça qu'elle aime, parfois, se faire sauter sur une pulsion, prise "en quickie" par son homme, troussée comme une bonniche par dessous la robe, juste parce qu'il en a envie, parce qu'elle l'excite tellement qu'il ne peut pas s'empêcher d'en disposer.
Je la baise, je la saute, je la fourre fort, très fort.
Elle vient à la rencontre de ma queue.
Ses seins lourds se balancent au dessus de l'îlot.
De mon pouce je taquine l'entrée de son petit trou, je finis même par y glisser un doigt.
Elle crie que c'est bon, qu'elle en veut encore.
"Tu aimes ça ? Un bon coup de bite avant de manger ?
-Mmmm Oui j'aime ça, un bon coup de bite, j'en ai bien besoin.
-T'es une salope ?
-Mmmm Oui, une salope qui aime se faire sauter bien à fond !
-Et te faire doigter le cul tu aimes ça aussi ?
-Ouiiii ça m'excite encore plus ! Ça me fait du bien !
-Bonne salope !"
J'avais fini par lâcher la ceinture de peur de tirer trop fort, j'interromps mes coups de queue pour la reprendre, je redresse ma femme.
"T'es une salope ?
-Oui, baise moi !
-Tu veux encore ma queue ?
-Oui encore !
-Encore ?
-Oui baise moi bien ! "
Je ponctue chacune de mes questions d'un coup de reins, puis enfin reprend mon pilonnage en règle.
Les mains calées sur ses épaules, sur le noeud de sa robe,sur ses hanches, je la baise comme elle le veut, et finalement je gicle dans sa chatte, avec un râle.
Je me vide bien.
Elle s'affale sur la table, les jambes ouvertes encore, et bientôt un filet de foutre apparait à l'entrée de sa chatte, dégouline le long de sa cuisse.
Je défais le noeud de sa robe, et après une petite tape sur son cul, je le recouvre.
"C'est bien, tu as été une bonne salope, c'était une bonne pause.
-Je croyais que tu allais me sodomiser.
-Tu aurais voulu ? Tu en avais envie ?
-Oui...
-Eh bien non tu vois, pas cette fois ! "
Triomphant je me rhabille.
Je récupère ma ceinture, la remets.
J'attire ma femme à moi et l'embrasse.
"Je repars finir au jardin. Et toi je t'ai assez retardée je crois ? Enfin tu n'avais pas vraiment l'air de t'en plaindre ?
-C'est toi qui vient toujours m'exciter aussi ! Après je deviens salope, j'ai la tête embrouillée et je ne suis plus bonne à rien !
-Oh si ! Bonne à fourrer ! Très bonne ! "
Je ressors, amusé.
J'avais une furieuse envie de son cul moi aussi.
Elle ne le sait pas encore, elle le soupçonne peut-être, mais je préfère garder ce morceau de choix pour l'apéro.
Ou le dessert ?
Au salon en tous cas.
Rien que d'y penser ma queue durcit de nouveau !
Fourrer son bon cul, sans trop de préliminaires,à quatre pattes sur le canapé, face au miroir, son beau petit visage grimaçant au début puis s'épanouissant d'un sourire, ses cheveux et ses seins ballottants, ses mots de putain qui aime la bite...
Mmmmm...
Il n'y a pas que les mauvaises herbes qui vont prendre cher !
Pas toujours, mais bien souvent, ma femme aime être salope et se faire culbuter comme la dernière des catins...

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