Week-end en maison close.
Récit érotique écrit par Donjuan990 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Week-end en maison close.
Je suis un jeune étudiant bi, mince, de taille moyenne et plutôt bien fait, comme en témoignent mes jolies petites fesses. Je suis très curieux sexuellement et nourris de nombreux fantasmes. Je passe ainsi beaucoup de mon temps libre sur les sites de rencontre pour hommes à regarder des photos de pénis et à m’imaginer des choses. Ça m’excite à chaque fois. Souvent, je contacte les plus belles verges en leur exprimant mon désir de les prendre en bouche, et bien entendu, au plus profond de moi. Parfois, je les rencontre. J’ai un faible pour les bites épaisses de taille moyenne accompagnées d’un texte affichant «actif bi viril reçoit jeune homme en lingerie ». Je suis exclusivement passif avec une préférence pour les hommes de plus de 40 ans. Je les aime directifs et cérébraux, jouant sur un mélange de domination soft et de sexe hard. Le tout dans un cadre érotisé.
Mon mec idéal est vicieux et sûr de lui. On se rencontre sur internet, on discute sur un chat. Le courant passe immédiatement. Nos envies sont parfaitement en accord et nos conversations si intenses que je continue de me masturber une fois le chat terminé. Après plusieurs semaines d’ébats virtuels, je ne pense plus qu'à une chose, le retrouver physiquement et enfin passer à l’acte. Il m’invite chez lui pour la énième fois et cette fois-ci, j’accepte.
La rencontre a lieu au cours d’un week-end ensoleillé. J’arrive le samedi midi après le déjeuner avec l’intention de ne rentrer chez moi que le dimanche soir. Il a décoré son salon pour en faire un lieu de débauche éphémère. Une sorte de maison close dans laquelle je serai au service de ses moindres envies. Les murs sont tapis de rouge, les volets fermés et la lumière tamisée. En fond, un film pornographique diffuse en permanence les cris de jouissance de femmes chevauchées par des hommes bien montés. Il a pensé à tout. Aux sous-vêtements sexy que je rêve de porter, aux jeux érotiques pour pimenter la soirée et au champagne pour le dîner.
Pendant la semaine, j’utilise mon jouet en latex en pensant à son corps viril, à ses mains fermes, à son sexe dur comme du béton et à tout ce qu'il envisage de me demander. Je me branle deux à trois fois par jour, dors peu. La veille, je prends soin de mon corps, rase mes parties les plus intimes pour que ma peau soit douce et qu'il prenne plaisir à me caresser. Surtout les fesses.
Samedi matin. À peine mes yeux ouverts, des images de sexe cru défilent devant moi. Il est encore tôt et l’excitation m’empêche de dormir. Je me masturbe en me doigtant puis file prendre une douche. Après le petit déjeuner, je commence à stresser, parce qu’avant chaque rencontre, mon cœur bat la chamade. Les minutes passent trop lentement et puis y’a rien à la télé. J’ai hâte d’y être… Je prépare un déjeuner léger et quitte mon domicile pour me rendre chez lui.
J’arrive devant chez lui avec une demi-heure d’avance. Je ne peux plus attendre. Je m’arrête un instant pour prendre le temps de réfléchir. J’’ai peur que les choses ne se passent pas comme prévu. Qu'il ne soit pas aussi directif que derrière un écran, ou bien manque de fantaisie. Qu'il ne soit qu’un acteur porno bien monté qui pense que sa grosse bite seule va me donner du plaisir. Je suis très souvent déçu par mes partenaires. Je peux toujours faire marche arrière, lui poser un lapin et ne jamais le revoir. Ce n’est pas mon style. Et puis je ressens une grande excitation. Mes fesses me demandent, que dis-je, m’implorent d’appuyer sur la sonnette. Je me remémore nos chats. Un flot d’adrénaline accélère mon rythme cardiaque. Je sonne. Quelques secondes plus tard, Il m’ouvre. Une vague de chaleur m’envahit le corps.
Il est légèrement vêtu, presque nu. Il porte un caleçon de textile noir laissant apparaître un sexe épais. Son torse est viril, ses jambes musclées. Il est un peu plus grand que moi mais beaucoup plus large d’épaules. Son corps respire la masculinité. Il me serre la main avec fermeté, m’invite à entrer en me passant la main dans le bas du dos, puis referme la porte. Pendant un instant, je pers mes repères. Le contraste est fort entre la forte luminosité à l’extérieur et l’obscurité de son entrée. Je sens sa présence derrière mon dos. Sans attendre, il place ses mains autour de ma taille, colle son pénis à mes fesses et commence à se frotter à moi. « Il sait ce qu'il veut celui-là ! », me dis-je. Je sens son gros paquet à travers mon jean. Un frisson parcourt mon dos. Il se recule et me fait tourner sur moi-même. Je lui fais face, je suis stressé. Il pose ses mains sur mes frêles épaules et exerce une pression de haut en bas afin de me faire agenouiller. Je ne suis pas encore tout à fait dedans mais je m’exécute. Je suis toujours habillé, le visage désormais à la hauteur de son sexe. Je ne comprends pas tout à fait ce qui se passe.
À genoux devant lui, je regarde son caleçon. Ses mains sont posées sur mes cheveux courts. La situation m’excite. Je ne le touche pas. J’entends depuis le salon les gémissements étouffés d’une femme qui semble sucer en même temps qu’elle se fait prendre. Le coquin ! Il passe un film porno avec un trio HHF. Il sait que j’adore ce genre de scène. J’apprécie cette attention particulière et j’aimerais le remercier mais je n’ose pas le regarder. Je suis timide de nature - d’où mon besoin d’un homme directif et sûr de lui. J’ai les yeux fixés sur sa verge qui se gonfle lentement. Ses mains maintiennent ma tète fermement, difficile de bouger. Une courbe épaisse apparaît à travers son caleçon. Je ressens de nouveau un frisson.
Comment se peut-il que je l’excite sans le toucher ? Je suis flatté. Ce moment dure quelques minutes. Je trouve la scène très érotique. On ne parle pas. Je regarde sa bite se raidir et lui regarde mon visage rougir. Ça nous permet de nous découvrir, de devenir plus intime. C’est le paradoxe des rencontres par Internet. On a passé beaucoup de temps à discuter de choses très personnelles, presque chaque soir pendant plusieurs semaines, et pourtant on n’a jamais été aussi proches qu’à cet instant de non-dit.
Je me sens progressivement plus à l’aise. J’ai envie de sentir l’odeur de sa peau, de m’en imprégner et de la garder sur mon visage. J’ai envie de contact. Timidement, je passe mes mains autour de ses cuisses, approche mon visage de son sexe et l’embrasse de mes fines lèvres. D’abord des baisers furtifs, puis plus longs. Sa bite durcit encore et se courbe. Je suis hypnotisé. J’ai une folle envie de lui baisser le caleçon et de le prendre en bouche.
Il me fait relever, me tend un morceau de papier et me rappelle notre accord : que chacun présente à l’autre un document attestant qu’il est en bonne santé. Il est sérieux, j’aime ca. Ma confiance grandit.
Ce week-end marquera une étape de plus dans ma sexualité. Pour la première fois, je vais baiser sans préservatif et surtout, avaler. Je lui ai promis que je le sucerais jusqu'à la dernière goutte. Je sors une feuille de papier de mon sac et lui donne. Je lis le sien, il est complet et date de la semaine dernière. Tout va bien. On peut maintenant penser au plus important. Au cul. On va pouvoir baiser tout le week-end.
Il me propose de laisser mes affaires dans l’entrée et de le rejoindre dans le salon. Je me retrouve seul. J’ai envie de lui faire une surprise. Je suis coquin moi aussi… Je me déshabille en vitesse et ne garde que mon shorty. C’est mon préféré. Il est gris clair, court et satiné, aussi doux qu’une seconde peau. Il est très sexy, s’arrête presque à mi-fesses et met en évidence mon pénis court et fin.
Il fait frais. Ma peau se tend, j’ai la chair de poule. Grrrr. Je longe un couloir sombre et étroit et m’arrête devant la seule porte ouverte. Je n’y vois pas grand-chose. La télévision qui me fait face m’éblouit. J’entre. Mon homme est installé confortablement sur le canapé, un verre à la main et les pieds sur la table basse. Il est absorbé par la scène qui se déroule devant lui : une femme brune, nue, se tient à genoux face caméra, avec dans chaque main une bite prête à exploser. Elle suce tour à tour les deux énormes verges et me regarde en souriant.
Il note ma présence et se tourne vers moi. Il parcourt mon corps des yeux avec un regard coquin. Je me tourne sur la droite pour lui faire admirer mes fesses. Il sourit. Je pose mes mains sur le mur, tends les bras, écarte les jambes et lève les fesses en sa direction. Je le regarde, ce qui me demande beaucoup d’effort, tant je suis intimidé. Il semble apprécier. Je dandine légèrement mon bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. Je m’arrête.
J’ai envie de le titiller et de faire grimper le plaisir progressivement. Je lui demande s’il peut m’offrir à boire. Il s’excuse et me propose un whisky. Je demande un double et m’installe en face du canapé. Il revient avec mon verre et s’immobilise un instant à proximité de mon visage. Son pénis est à portée de bouche. Il ne bouge pas donc je m’apprête à l’embrasser mais il repart s’asseoir sur le canapé. Il est joueur... Pour rester dans l’ambiance, je lui demande de me décrire les sous-vêtements qu'il m’a préparés. « C’est une surprise », me dit-il. Nous continuons la conversation sur nos envies du moment. La discussion s’emballe. Il aimerait me voir continuer ma danse en dessous. Je lui demande si je pourrais continuer à remuer mes petites fesses à quatre pattes, au milieu du salon, pendant qu'il regarde le film. « Encore mieux », me répond-il. Il suggère que je passe les dessous qui se trouvent sur son lit. J’acquiesce et me rends dans sa chambre. Le type ne s’est pas moqué de moi. Il m’a acheté de superbes sous-vêtements : une jolie culotte rouge en dentelle, une nuisette noire transparente, des bas ainsi que des porte-jarretelles. Je suis comblé. Je m’habille et me regarde dans le miroir. Je me trouve sexy. Il a bon goût, il me plaît.
Je retourne au salon et le remercie. Je m’assieds en face de lui, sur de mon fait. Je lui demande comment il me trouve. Il me sourit et me rappelle que je lui avais promis un show sexy. J’ai envie de le satisfaire. Je me place au milieu de la pièce et commence ma danse debout, de dos. Je bouge mon bassin au rythme du film. Je fléchis les jambes et me retrouve progressivement à genoux, puis à quatre pattes. Les fesses dans sa direction et le regard vers la télévision. Je continue à remuer mes fesses sensuellement tout en regardant le film. Je lui jette un bref regard et constate qu'il se caresse par-dessus le caleçon. Je décide de faire de même et relève ma nuisette. Il a maintenant une vue imprenable sur mon derrière toujours habillé de rouge. Je pose mon visage à même le sol et me caresse les fesses des deux mains. Je me sens prêt à tout aujourd’hui. Je baisse ma culotte qui m’arrive désormais à mi-cuisses… Mes fesses nues lui font face. J’ai envie qu’il me baise. Je relève mon visage et le fusille du regard. Je vais me toucher pour lui. Je gobe un doigt et le suce. Puis j’écarte tes fesses et le place contre mon anus que je commence à titiller. Je ferme les yeux car l’excitation est trop forte. Je bande dur. Je suce mon doigt à nouveau et le fais coulisser entre mes fesses. C’est bon. Je pense au plaisir de le sentir bientôt en moi.
Il se lève, me demande de garder les yeux fermés et de continuer mon show. Je l’entends disparaître dans une autre pièce, puis revenir et déposer quelque chose à coté de moi. Je crois que j’ai deviné. J’adore… Il repart s’asseoir et m’indique que je peux ouvrir les yeux. Je découvre un paquet cadeau. Je l’ouvre, il contient du gel lubrifiant et un vibromasseur rose transparent. « Je viens juste de l’acheter pour toi », me dit-il. Il est très réaliste et fait à peu près de la taille de mon sexe, soit 15 centimètres sur 4. A la maison, j’ai un gode plus gros mais il n’est pas vibrant. C’est mignon. Je m’assieds sur la moquette, ouvre la boite en plastique et y insère les piles. Je le caresse, il est doux et très érotique. Je lui donne quelques baisers, le lèche et le porte à ma bouche. Je commence à le sucer tout en le regardant. Il se caresse toujours par-dessus le caleçon. Je lui interdis de l’enlever car c’est à moi de le faire. Je suis toujours assis en face de lui. J’enlève ma culotte, lui jette à la figure et écarte mes cuisses. Je prends une position semi-allongée, un coude posé sur le sol. Puis je prends du gel, en dépose sur le majeur que je fais pénétrer dans mon anus. Pendant ce temps, je continue de sucer mon nouveau jouet. Mes fesses sont maintenant ouvertes. Je mets le vibromasseur en marche et le fais glisser facilement dans mes fesses. La sensation est nouvelle et très agréable. C’est beaucoup mieux qu’un godemichet. Je ferme les yeux et le fais aller et venir lentement pendant quelques minutes, supposant que cela le torture un peu car il ne peut pas se branler. J’espère qu'il va me punir pour ça.
Je suis vraiment excité et décide d’aller donner du plaisir à mon homme. Je me dirige vers lui à quatre pattes, le vibromasseur entre les fesses. Je m’arrête lorsque mon visage se trouve à hauteur de son bassin. Je lui embrasse alors la bite par-dessus son boxer pendant que je continue de jouer avec mon sextoy. Il commente la scène d’une voix excitée puis sort sa bite et m’impose une fellation. Sa grosse bite me remplit la bouche. Elle sent l’excitation d’un homme qui bande depuis plusieurs heures. Uhmmm. Elle est délicieuse. Je ferme les yeux et savoure cet instant. Je le suce très lentement. Il me demande de le regarder et de continuer mes va-et-vient avec le vibromasseur. Il m’arrête souvent - signe qu'il est très excité. Il devient plus directif, me demande de lui lécher les couilles et de remonter jusqu’au gland. Il me fait signe de le sucer à nouveau. Il me parle beaucoup et surtout, il me force à le regarder dans les yeux. Il me bloque la tête des deux mains et commencer à me baiser la bouche.
La scène est extrêmement excitante. Ses traits sont tirés et son visage grimace. Il est prêt à jouir. J’essaie de sourire. Ses mains se raffermissent, son regard se pervertit, il accélère ses mouvements de bassin et soudain, il explose dans ma bouche en me gratifiant d’un « petite salooope ». Il continue ses mouvements et ne me relâche qu’une fois tout son sperme en bouche. Sans qu'il ait besoin de me le demander, je relève mon buste et avale l’intégralité en le regardant. C’est étrange. Je connaissais le goût mais pas la sensation du sperme chaud couler le long de ma gorge. C’est la première fois et il le sait. Il me passe la main derrière la tête pour me féliciter puis me presse vers son bassin pour que je continue ma fellation. J’adore sa manière de faire, j’ai vraiment envie de lui faire plaisir.
Elle est encore dure et j’ai maintenant le temps de la contempler. Elle est épaisse - 5/6 cm de large et assez longue - 16/17cm de long. C’est parfait pour moi car j’aime la sensation de me sentir bien rempli. Pour autant, une verge trop longue ou trop grosse me fait mal. Ses bourses pendent fièrement sur le canapé et semblent avoir de quoi me nourrir pendant tout le week-end. Je continue de le sucer jusqu'à ce que son pénis soit bien propre. Je retire le gode de mes fesses et part le nettoyer dans la salle de bain.
Je décide de ne pas allumer la lumière afin de ne pas casser l’ambiance et nettoie mon vibromasseur dans l’obscurité. Je me passe aussi un peu d’eau savonneuse sur les fesses, me sèche et enfile ma petite culotte. Je suis toujours autant excité mais je comprends qu'il a peut-être besoin d’un peu de repos. Je retourne dans le salon et m’installe sur le canapé. Il me félicite pour la fellation et soutient qu'il a rarement pris autant de plaisir, même avec une fille. J’en rougis. Il me ressert un verre et on recommence notre conversation tout en regardant le film. Le contact est vraiment bon et je passe un très bon moment. Je lui raconte tous mes fantasmes et lui les siens. Je me sens très proche. J’essaie de lui expliquer la complexité de mon désir : je prends du plaisir à me soumettre à l’autre. Je veux être à son service, qu'il fasse ce qu'il veut de mon corps. Que sa bite me baise par tous les trous, qu'il me fesse, qu'il me domine. Je veux qu'il me fasse faire des choses que je n’oserais pas en temps normal sans toutefois entrer dans une relation trop autoritaire. La différence est ténue et difficile à cerner, même pour moi. Il m’écoute attentivement et lorsque j’ai terminé, me fait part de sa vision de la sexualité. Il aime dominer et ne prend son pied qu’avec des partenaires prêts à tout pour le satisfaire. Il apprécie que les choses se passent naturellement et en silence et n’aime pas donner des ordres comme « suce-moi salope » ou demander « t’as envie de te faire prendre ? ». Il préfère l’action, par exemple mettre directement sa bite dans la bouche de son partenaire. Il prend aussi beaucoup de plaisir à prononcer des mots crus. Je sens mon sexe durcir à nouveau. J’approuve en hochant la tête.
Il se relève et se met à mimer ses propos. Il me montre comment il s’imagine prendre son partenaire debout par derrière. Il lui met des fessées d’une main et lui maintient la croupe de l’autre. Je bande dur et ressent mon anus se dilater. Ses mouvements marquent une autorité naturelle. Ses fessées rappellent simplement à l’autre qui baise, et qui se fait baiser. Il monte des salopes, pas des putes. Et ce week-end, sa salope c’est moi. J’ai envie qu'il le sache. Sa bite se gonfle. Je ne la quitte plus des yeux. Je la veux dans mon cul. Je me retourne et me retrouve à quatre pattes sur le canapé. Je cambre mon dos et relève mes fesses. Pas besoin de parler, on se comprend naturellement. Mon petit cul de salope est prêt à le recevoir. Je le regarde parce qu'il aime ça. Il s’approche de moi conscient que ses propos m’excitent et qu'il peut faire ce qu'il veut de moi. Son regard est vicieux et confiant. En silence, il se place derrière moi, fait tomber ma culotte, écarte mes fesses, pose sa grosse queue en érection sur mon anus et m’enfourche d’un coup avec ardeur. Ouch. Il s’immobilise. « Elle est grosse ! ». Il me répond : « je vais te baiser toute la journée, salope ! » Sa bite est manifestement plus épaisse que le vibromasseur, plus dure aussi. Il me remplie entièrement et me fait sauter à chaque culbute. Ses coups de rein sont puissants et maîtrisés, il baise bien. Je prends un maximum de plaisir. « J’veux t’entendre couiner salope ». D’ordinaire, je suis plutôt silencieux, mais si ça peut faire plaisir à Monsieur. Je commence à haleter, me mordille les lèvres tout en le regardant. « C’est bon de t’entendre, tu peux faire autant de bruit que tu veux ».
Je suis gêné mais je sais que ça l’excite donc je me fais plus bruyant. « C’est booon ! Oh baise-moi, ouiii ! » Mes cris vont au rythme de son bassin. Ils m’aident à me laisser aller. Je l’autorise à me posséder complètement. Je me sens tellement bien. Il me fesse plusieurs fois. J’émets de petits cris étouffés en réponse. Il accélère la cadence, je le sens prêt à venir. « C’est bon… Je veux sentir ton sperme couler dans ma bouche ». Il continue de me baiser avec force pendant quelques instants qui se retire, me fait asseoir sur le canapé et me présente sa queue. Cette fois-ci, il me laisse faire. Je lui caresse les couilles de la main gauche et lui prends la queue de la main droite. Je le suce frénétiquement, les yeux vers le haut, les oreilles à l’écoute du moindre râle. Je sens ses veines se gonfler. Je me recule, sors ma langue et continue de le branler en attendant qu’il m’éjacule sur le visage. Je veux qu’il sache que j’ai pris un pied d’enfer et que je lui suis totalement dévoué. Ça l’excite. Il râle et m’explose à la figure. J’émets de cris de joie avec lui. Je lui souris. J’ai du sperme partout. J’avale ce que j’ai dans la bouche et repart aussitôt nettoyer sa verge. Il me complimente d’un « petite chienne ». J’adore ça. Pour la première fois, je ne suis pas seulement une salope, mais Sa salope. Sa queue débande progressivement mais je continue à le sucer. Je la fais parcourir mon visage pour garder son odeur et récupérer le sperme qui y a giclé. Je le suce pendant de longues minutes. J’ai enfin rencontré le mec idéal. Le week-end ne fait que commencer…
Vous avez aimé ce récit? Envie de me donner des idées pour la suite?
Mon mec idéal est vicieux et sûr de lui. On se rencontre sur internet, on discute sur un chat. Le courant passe immédiatement. Nos envies sont parfaitement en accord et nos conversations si intenses que je continue de me masturber une fois le chat terminé. Après plusieurs semaines d’ébats virtuels, je ne pense plus qu'à une chose, le retrouver physiquement et enfin passer à l’acte. Il m’invite chez lui pour la énième fois et cette fois-ci, j’accepte.
La rencontre a lieu au cours d’un week-end ensoleillé. J’arrive le samedi midi après le déjeuner avec l’intention de ne rentrer chez moi que le dimanche soir. Il a décoré son salon pour en faire un lieu de débauche éphémère. Une sorte de maison close dans laquelle je serai au service de ses moindres envies. Les murs sont tapis de rouge, les volets fermés et la lumière tamisée. En fond, un film pornographique diffuse en permanence les cris de jouissance de femmes chevauchées par des hommes bien montés. Il a pensé à tout. Aux sous-vêtements sexy que je rêve de porter, aux jeux érotiques pour pimenter la soirée et au champagne pour le dîner.
Pendant la semaine, j’utilise mon jouet en latex en pensant à son corps viril, à ses mains fermes, à son sexe dur comme du béton et à tout ce qu'il envisage de me demander. Je me branle deux à trois fois par jour, dors peu. La veille, je prends soin de mon corps, rase mes parties les plus intimes pour que ma peau soit douce et qu'il prenne plaisir à me caresser. Surtout les fesses.
Samedi matin. À peine mes yeux ouverts, des images de sexe cru défilent devant moi. Il est encore tôt et l’excitation m’empêche de dormir. Je me masturbe en me doigtant puis file prendre une douche. Après le petit déjeuner, je commence à stresser, parce qu’avant chaque rencontre, mon cœur bat la chamade. Les minutes passent trop lentement et puis y’a rien à la télé. J’ai hâte d’y être… Je prépare un déjeuner léger et quitte mon domicile pour me rendre chez lui.
J’arrive devant chez lui avec une demi-heure d’avance. Je ne peux plus attendre. Je m’arrête un instant pour prendre le temps de réfléchir. J’’ai peur que les choses ne se passent pas comme prévu. Qu'il ne soit pas aussi directif que derrière un écran, ou bien manque de fantaisie. Qu'il ne soit qu’un acteur porno bien monté qui pense que sa grosse bite seule va me donner du plaisir. Je suis très souvent déçu par mes partenaires. Je peux toujours faire marche arrière, lui poser un lapin et ne jamais le revoir. Ce n’est pas mon style. Et puis je ressens une grande excitation. Mes fesses me demandent, que dis-je, m’implorent d’appuyer sur la sonnette. Je me remémore nos chats. Un flot d’adrénaline accélère mon rythme cardiaque. Je sonne. Quelques secondes plus tard, Il m’ouvre. Une vague de chaleur m’envahit le corps.
Il est légèrement vêtu, presque nu. Il porte un caleçon de textile noir laissant apparaître un sexe épais. Son torse est viril, ses jambes musclées. Il est un peu plus grand que moi mais beaucoup plus large d’épaules. Son corps respire la masculinité. Il me serre la main avec fermeté, m’invite à entrer en me passant la main dans le bas du dos, puis referme la porte. Pendant un instant, je pers mes repères. Le contraste est fort entre la forte luminosité à l’extérieur et l’obscurité de son entrée. Je sens sa présence derrière mon dos. Sans attendre, il place ses mains autour de ma taille, colle son pénis à mes fesses et commence à se frotter à moi. « Il sait ce qu'il veut celui-là ! », me dis-je. Je sens son gros paquet à travers mon jean. Un frisson parcourt mon dos. Il se recule et me fait tourner sur moi-même. Je lui fais face, je suis stressé. Il pose ses mains sur mes frêles épaules et exerce une pression de haut en bas afin de me faire agenouiller. Je ne suis pas encore tout à fait dedans mais je m’exécute. Je suis toujours habillé, le visage désormais à la hauteur de son sexe. Je ne comprends pas tout à fait ce qui se passe.
À genoux devant lui, je regarde son caleçon. Ses mains sont posées sur mes cheveux courts. La situation m’excite. Je ne le touche pas. J’entends depuis le salon les gémissements étouffés d’une femme qui semble sucer en même temps qu’elle se fait prendre. Le coquin ! Il passe un film porno avec un trio HHF. Il sait que j’adore ce genre de scène. J’apprécie cette attention particulière et j’aimerais le remercier mais je n’ose pas le regarder. Je suis timide de nature - d’où mon besoin d’un homme directif et sûr de lui. J’ai les yeux fixés sur sa verge qui se gonfle lentement. Ses mains maintiennent ma tète fermement, difficile de bouger. Une courbe épaisse apparaît à travers son caleçon. Je ressens de nouveau un frisson.
Comment se peut-il que je l’excite sans le toucher ? Je suis flatté. Ce moment dure quelques minutes. Je trouve la scène très érotique. On ne parle pas. Je regarde sa bite se raidir et lui regarde mon visage rougir. Ça nous permet de nous découvrir, de devenir plus intime. C’est le paradoxe des rencontres par Internet. On a passé beaucoup de temps à discuter de choses très personnelles, presque chaque soir pendant plusieurs semaines, et pourtant on n’a jamais été aussi proches qu’à cet instant de non-dit.
Je me sens progressivement plus à l’aise. J’ai envie de sentir l’odeur de sa peau, de m’en imprégner et de la garder sur mon visage. J’ai envie de contact. Timidement, je passe mes mains autour de ses cuisses, approche mon visage de son sexe et l’embrasse de mes fines lèvres. D’abord des baisers furtifs, puis plus longs. Sa bite durcit encore et se courbe. Je suis hypnotisé. J’ai une folle envie de lui baisser le caleçon et de le prendre en bouche.
Il me fait relever, me tend un morceau de papier et me rappelle notre accord : que chacun présente à l’autre un document attestant qu’il est en bonne santé. Il est sérieux, j’aime ca. Ma confiance grandit.
Ce week-end marquera une étape de plus dans ma sexualité. Pour la première fois, je vais baiser sans préservatif et surtout, avaler. Je lui ai promis que je le sucerais jusqu'à la dernière goutte. Je sors une feuille de papier de mon sac et lui donne. Je lis le sien, il est complet et date de la semaine dernière. Tout va bien. On peut maintenant penser au plus important. Au cul. On va pouvoir baiser tout le week-end.
Il me propose de laisser mes affaires dans l’entrée et de le rejoindre dans le salon. Je me retrouve seul. J’ai envie de lui faire une surprise. Je suis coquin moi aussi… Je me déshabille en vitesse et ne garde que mon shorty. C’est mon préféré. Il est gris clair, court et satiné, aussi doux qu’une seconde peau. Il est très sexy, s’arrête presque à mi-fesses et met en évidence mon pénis court et fin.
Il fait frais. Ma peau se tend, j’ai la chair de poule. Grrrr. Je longe un couloir sombre et étroit et m’arrête devant la seule porte ouverte. Je n’y vois pas grand-chose. La télévision qui me fait face m’éblouit. J’entre. Mon homme est installé confortablement sur le canapé, un verre à la main et les pieds sur la table basse. Il est absorbé par la scène qui se déroule devant lui : une femme brune, nue, se tient à genoux face caméra, avec dans chaque main une bite prête à exploser. Elle suce tour à tour les deux énormes verges et me regarde en souriant.
Il note ma présence et se tourne vers moi. Il parcourt mon corps des yeux avec un regard coquin. Je me tourne sur la droite pour lui faire admirer mes fesses. Il sourit. Je pose mes mains sur le mur, tends les bras, écarte les jambes et lève les fesses en sa direction. Je le regarde, ce qui me demande beaucoup d’effort, tant je suis intimidé. Il semble apprécier. Je dandine légèrement mon bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. Je m’arrête.
J’ai envie de le titiller et de faire grimper le plaisir progressivement. Je lui demande s’il peut m’offrir à boire. Il s’excuse et me propose un whisky. Je demande un double et m’installe en face du canapé. Il revient avec mon verre et s’immobilise un instant à proximité de mon visage. Son pénis est à portée de bouche. Il ne bouge pas donc je m’apprête à l’embrasser mais il repart s’asseoir sur le canapé. Il est joueur... Pour rester dans l’ambiance, je lui demande de me décrire les sous-vêtements qu'il m’a préparés. « C’est une surprise », me dit-il. Nous continuons la conversation sur nos envies du moment. La discussion s’emballe. Il aimerait me voir continuer ma danse en dessous. Je lui demande si je pourrais continuer à remuer mes petites fesses à quatre pattes, au milieu du salon, pendant qu'il regarde le film. « Encore mieux », me répond-il. Il suggère que je passe les dessous qui se trouvent sur son lit. J’acquiesce et me rends dans sa chambre. Le type ne s’est pas moqué de moi. Il m’a acheté de superbes sous-vêtements : une jolie culotte rouge en dentelle, une nuisette noire transparente, des bas ainsi que des porte-jarretelles. Je suis comblé. Je m’habille et me regarde dans le miroir. Je me trouve sexy. Il a bon goût, il me plaît.
Je retourne au salon et le remercie. Je m’assieds en face de lui, sur de mon fait. Je lui demande comment il me trouve. Il me sourit et me rappelle que je lui avais promis un show sexy. J’ai envie de le satisfaire. Je me place au milieu de la pièce et commence ma danse debout, de dos. Je bouge mon bassin au rythme du film. Je fléchis les jambes et me retrouve progressivement à genoux, puis à quatre pattes. Les fesses dans sa direction et le regard vers la télévision. Je continue à remuer mes fesses sensuellement tout en regardant le film. Je lui jette un bref regard et constate qu'il se caresse par-dessus le caleçon. Je décide de faire de même et relève ma nuisette. Il a maintenant une vue imprenable sur mon derrière toujours habillé de rouge. Je pose mon visage à même le sol et me caresse les fesses des deux mains. Je me sens prêt à tout aujourd’hui. Je baisse ma culotte qui m’arrive désormais à mi-cuisses… Mes fesses nues lui font face. J’ai envie qu’il me baise. Je relève mon visage et le fusille du regard. Je vais me toucher pour lui. Je gobe un doigt et le suce. Puis j’écarte tes fesses et le place contre mon anus que je commence à titiller. Je ferme les yeux car l’excitation est trop forte. Je bande dur. Je suce mon doigt à nouveau et le fais coulisser entre mes fesses. C’est bon. Je pense au plaisir de le sentir bientôt en moi.
Il se lève, me demande de garder les yeux fermés et de continuer mon show. Je l’entends disparaître dans une autre pièce, puis revenir et déposer quelque chose à coté de moi. Je crois que j’ai deviné. J’adore… Il repart s’asseoir et m’indique que je peux ouvrir les yeux. Je découvre un paquet cadeau. Je l’ouvre, il contient du gel lubrifiant et un vibromasseur rose transparent. « Je viens juste de l’acheter pour toi », me dit-il. Il est très réaliste et fait à peu près de la taille de mon sexe, soit 15 centimètres sur 4. A la maison, j’ai un gode plus gros mais il n’est pas vibrant. C’est mignon. Je m’assieds sur la moquette, ouvre la boite en plastique et y insère les piles. Je le caresse, il est doux et très érotique. Je lui donne quelques baisers, le lèche et le porte à ma bouche. Je commence à le sucer tout en le regardant. Il se caresse toujours par-dessus le caleçon. Je lui interdis de l’enlever car c’est à moi de le faire. Je suis toujours assis en face de lui. J’enlève ma culotte, lui jette à la figure et écarte mes cuisses. Je prends une position semi-allongée, un coude posé sur le sol. Puis je prends du gel, en dépose sur le majeur que je fais pénétrer dans mon anus. Pendant ce temps, je continue de sucer mon nouveau jouet. Mes fesses sont maintenant ouvertes. Je mets le vibromasseur en marche et le fais glisser facilement dans mes fesses. La sensation est nouvelle et très agréable. C’est beaucoup mieux qu’un godemichet. Je ferme les yeux et le fais aller et venir lentement pendant quelques minutes, supposant que cela le torture un peu car il ne peut pas se branler. J’espère qu'il va me punir pour ça.
Je suis vraiment excité et décide d’aller donner du plaisir à mon homme. Je me dirige vers lui à quatre pattes, le vibromasseur entre les fesses. Je m’arrête lorsque mon visage se trouve à hauteur de son bassin. Je lui embrasse alors la bite par-dessus son boxer pendant que je continue de jouer avec mon sextoy. Il commente la scène d’une voix excitée puis sort sa bite et m’impose une fellation. Sa grosse bite me remplit la bouche. Elle sent l’excitation d’un homme qui bande depuis plusieurs heures. Uhmmm. Elle est délicieuse. Je ferme les yeux et savoure cet instant. Je le suce très lentement. Il me demande de le regarder et de continuer mes va-et-vient avec le vibromasseur. Il m’arrête souvent - signe qu'il est très excité. Il devient plus directif, me demande de lui lécher les couilles et de remonter jusqu’au gland. Il me fait signe de le sucer à nouveau. Il me parle beaucoup et surtout, il me force à le regarder dans les yeux. Il me bloque la tête des deux mains et commencer à me baiser la bouche.
La scène est extrêmement excitante. Ses traits sont tirés et son visage grimace. Il est prêt à jouir. J’essaie de sourire. Ses mains se raffermissent, son regard se pervertit, il accélère ses mouvements de bassin et soudain, il explose dans ma bouche en me gratifiant d’un « petite salooope ». Il continue ses mouvements et ne me relâche qu’une fois tout son sperme en bouche. Sans qu'il ait besoin de me le demander, je relève mon buste et avale l’intégralité en le regardant. C’est étrange. Je connaissais le goût mais pas la sensation du sperme chaud couler le long de ma gorge. C’est la première fois et il le sait. Il me passe la main derrière la tête pour me féliciter puis me presse vers son bassin pour que je continue ma fellation. J’adore sa manière de faire, j’ai vraiment envie de lui faire plaisir.
Elle est encore dure et j’ai maintenant le temps de la contempler. Elle est épaisse - 5/6 cm de large et assez longue - 16/17cm de long. C’est parfait pour moi car j’aime la sensation de me sentir bien rempli. Pour autant, une verge trop longue ou trop grosse me fait mal. Ses bourses pendent fièrement sur le canapé et semblent avoir de quoi me nourrir pendant tout le week-end. Je continue de le sucer jusqu'à ce que son pénis soit bien propre. Je retire le gode de mes fesses et part le nettoyer dans la salle de bain.
Je décide de ne pas allumer la lumière afin de ne pas casser l’ambiance et nettoie mon vibromasseur dans l’obscurité. Je me passe aussi un peu d’eau savonneuse sur les fesses, me sèche et enfile ma petite culotte. Je suis toujours autant excité mais je comprends qu'il a peut-être besoin d’un peu de repos. Je retourne dans le salon et m’installe sur le canapé. Il me félicite pour la fellation et soutient qu'il a rarement pris autant de plaisir, même avec une fille. J’en rougis. Il me ressert un verre et on recommence notre conversation tout en regardant le film. Le contact est vraiment bon et je passe un très bon moment. Je lui raconte tous mes fantasmes et lui les siens. Je me sens très proche. J’essaie de lui expliquer la complexité de mon désir : je prends du plaisir à me soumettre à l’autre. Je veux être à son service, qu'il fasse ce qu'il veut de mon corps. Que sa bite me baise par tous les trous, qu'il me fesse, qu'il me domine. Je veux qu'il me fasse faire des choses que je n’oserais pas en temps normal sans toutefois entrer dans une relation trop autoritaire. La différence est ténue et difficile à cerner, même pour moi. Il m’écoute attentivement et lorsque j’ai terminé, me fait part de sa vision de la sexualité. Il aime dominer et ne prend son pied qu’avec des partenaires prêts à tout pour le satisfaire. Il apprécie que les choses se passent naturellement et en silence et n’aime pas donner des ordres comme « suce-moi salope » ou demander « t’as envie de te faire prendre ? ». Il préfère l’action, par exemple mettre directement sa bite dans la bouche de son partenaire. Il prend aussi beaucoup de plaisir à prononcer des mots crus. Je sens mon sexe durcir à nouveau. J’approuve en hochant la tête.
Il se relève et se met à mimer ses propos. Il me montre comment il s’imagine prendre son partenaire debout par derrière. Il lui met des fessées d’une main et lui maintient la croupe de l’autre. Je bande dur et ressent mon anus se dilater. Ses mouvements marquent une autorité naturelle. Ses fessées rappellent simplement à l’autre qui baise, et qui se fait baiser. Il monte des salopes, pas des putes. Et ce week-end, sa salope c’est moi. J’ai envie qu'il le sache. Sa bite se gonfle. Je ne la quitte plus des yeux. Je la veux dans mon cul. Je me retourne et me retrouve à quatre pattes sur le canapé. Je cambre mon dos et relève mes fesses. Pas besoin de parler, on se comprend naturellement. Mon petit cul de salope est prêt à le recevoir. Je le regarde parce qu'il aime ça. Il s’approche de moi conscient que ses propos m’excitent et qu'il peut faire ce qu'il veut de moi. Son regard est vicieux et confiant. En silence, il se place derrière moi, fait tomber ma culotte, écarte mes fesses, pose sa grosse queue en érection sur mon anus et m’enfourche d’un coup avec ardeur. Ouch. Il s’immobilise. « Elle est grosse ! ». Il me répond : « je vais te baiser toute la journée, salope ! » Sa bite est manifestement plus épaisse que le vibromasseur, plus dure aussi. Il me remplie entièrement et me fait sauter à chaque culbute. Ses coups de rein sont puissants et maîtrisés, il baise bien. Je prends un maximum de plaisir. « J’veux t’entendre couiner salope ». D’ordinaire, je suis plutôt silencieux, mais si ça peut faire plaisir à Monsieur. Je commence à haleter, me mordille les lèvres tout en le regardant. « C’est bon de t’entendre, tu peux faire autant de bruit que tu veux ».
Je suis gêné mais je sais que ça l’excite donc je me fais plus bruyant. « C’est booon ! Oh baise-moi, ouiii ! » Mes cris vont au rythme de son bassin. Ils m’aident à me laisser aller. Je l’autorise à me posséder complètement. Je me sens tellement bien. Il me fesse plusieurs fois. J’émets de petits cris étouffés en réponse. Il accélère la cadence, je le sens prêt à venir. « C’est bon… Je veux sentir ton sperme couler dans ma bouche ». Il continue de me baiser avec force pendant quelques instants qui se retire, me fait asseoir sur le canapé et me présente sa queue. Cette fois-ci, il me laisse faire. Je lui caresse les couilles de la main gauche et lui prends la queue de la main droite. Je le suce frénétiquement, les yeux vers le haut, les oreilles à l’écoute du moindre râle. Je sens ses veines se gonfler. Je me recule, sors ma langue et continue de le branler en attendant qu’il m’éjacule sur le visage. Je veux qu’il sache que j’ai pris un pied d’enfer et que je lui suis totalement dévoué. Ça l’excite. Il râle et m’explose à la figure. J’émets de cris de joie avec lui. Je lui souris. J’ai du sperme partout. J’avale ce que j’ai dans la bouche et repart aussitôt nettoyer sa verge. Il me complimente d’un « petite chienne ». J’adore ça. Pour la première fois, je ne suis pas seulement une salope, mais Sa salope. Sa queue débande progressivement mais je continue à le sucer. Je la fais parcourir mon visage pour garder son odeur et récupérer le sperme qui y a giclé. Je le suce pendant de longues minutes. J’ai enfin rencontré le mec idéal. Le week-end ne fait que commencer…
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