Weekend en France - 1
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Weekend en France - 1
Bonjour, voici le prémier épisode d'un récit écrit conjointement avec Jenna : http://www.histoires-de-sexe.net/fiche.php?auteur=Jennashoes
Je m'appelle Caroline, je travaille au Canada dans un grand groupe pharmaceutique, j'approche la quarantaine, je suis brune, bien conservée pour mon âge et avec une poitrine qui a tendance à faire tomber le regard des hommes dans mes décolletés.Je suis mariée mais profite de mes fréquents déplacements pour m'autoriser quelques incartades. Récemment, je suis venu faire un court séjour en France, je devais y rester plusieurs semaines afin de réaliser un audit d'une de nos filiales françaises, en d'autres termes nous avions une société qui ne rapportait plus d'argent mais qui nous en coutait, je devais donc y rester quelques temps afin d'établir une liste de personnes à licencier, bref rien de très passionnant si ce n'est que cela me permettait de retrouver cette si jolie ville qu'est Paris.
Lors de ma mission je tombais par hasard sur Marc, un ancien collaborateur français qui avait fini, il y a quelques années, par retourner vivre en France. A l'époque il était devenu nostalgique du climat, de sa famille et de ses amis. Il avait donc tout quitté pour monter sa propre société. Il me reconnut immédiatement, d'ailleurs le contraire eut été étonnant, on ne croise pas tous les jours une femme comme moi !. Nous nous remémorâmes de vieux souvenirs et il finit par m'inviter à passer le weekend chez lui. Il m'apprit notamment qu'il s'était marié peu de temps après son retour, et qu'avec sa femme ils avaient racheté un petit manoir un peu l'extérieur de Paris qu'ils avaient complètement retapé.
J'étais emballée, j'adore visiter les vieilles bâtisses françaises, je trouve qu'elles ont un charme et un cachet uniques, j'acceptais donc avec plaisir cette invitation tout en cachant quelque peu mon enthousiasme. Le vendredi soir j'abrégeais donc un peu une réunion afin de pouvoir rapidement profiter de mon weekend. L'idée de passer quelques jours dans la campagne française, avec un bon repas à la clef dans un cadre agréable me rendait toute guillerette. C'est donc toute excitée que je choisis ma tenue, il fallait que je m'habille classe pour être en totale adéquation avec l'environnement. J'optais donc pour une jupe en laine grise longue, droite assez étroite. Je mis aussi un chemisier de soie bordeaux. En dessous je choisis un bustier avec porte-jarretelles de couleur crème et le tanga assorti. Pour mettre mes jambes en valeur, j'optais pour une paire de bas beiges assez fins. Pour compléter le tout, j'enfilais une paire de bottes en cuir marron avec un style un peu western et des talons de 7cm. Elles montaient jusque sous le genou et galbaient parfaitement mes mollets.
Pour aller rejoindre mon hôte, il fallait que je loue une voiture, je pris donc un véhicule digne de mon standing, à savoir un coupé d'un célèbre constructeur allemand dont l'emblème est 4 anneaux qui se chevauchent. Me voila donc sur les routes de la somptueuse campagne française, au volant d'un petit bolide et parée pour passer un quelques jours agréables dans un cadre de prestige. Le GPS m'amena à destination sans problèmes, je rentrais dans la propriété, et empruntais tout doucement un un petit chemin en terre qui menait jusqu'au perron du manoir.
J'ouvris la portière et sortis tant bien que mal du coupé, il faut dire qu'avec ma jupe longue et étroite, je fus obligée de faire pivoter mon bassin sur le siège afin de sortir mes deux jambes en même temps. Mes talons se posèrent sur le sol et s'enfoncèrent un peu dans les petits graviers qui recouvraient le sol. Je restais quelques instants debout à scruter les environs, le manoir était en effet une belle bâtisse qui devait dater du 19ème, elle était située au milieu d'un grand parc boisé au fond duquel il y avait une petite grange. J'aperçus le jardinier, celui ci commença à s'avancer vers moi, il était grand et très athlétique. Au vu de ses cheveux grisonnants, je dirai qu'il devait avoir 45 ans. Il faisait extrêmement sévère, sa mâchoire était carrée et son regard était incroyablement dur.
Il me salua tout me scrutant discrètement, il me fit remarquer que j'étais en avance et que ses employeurs n'étaient pas encore prêts. Il enleva ensuite ses gants de jardinier, les mit dans sa poche, prit ma valise et m'invita à le précéder. Entravée par ma jupe étroite, j'avançais à petits pas en direction du perron, le jardinier me suivait, je me montais une dizaine de marches pour arriver jusqu'à la porte d'entrée. En arpantant les marches, je sentais le regard insolent du domestique reluquer ma croupe. Arrivée à la porte je me mis d'un seul coup sur le coté pour le laisser pénétrer en premier, il enleva très vite son regard de mon fessier pour le plonger vers le sol, quant à moi, vexée par tant de légèreté, je le fusillai avec mes yeux, mais ce pleutre continuait de fixer le sol préférant ainsi éviter de croiser mon regard courroucé.
Une fois à l'intérieur, il me dit qu'il allait monter mes bagages dans ma suite, et que si je le désirais, en attendant les maitres des lieux, que je pouvais me promener dans le parc. Je ressortis donc du bâtiment et commença à faire le tour de la propriété, à cette heure, il faisait un peu sombre, je décidais d'aller jusque à la vieille grange. Elle était très pittoresque, d'un charme assez désuet, dedans y étaient stockées des bottes de paille. je me dis que Marc avait peut être des chevaux. Je me dirigeais vers le manoir pour rentrer. A l'étage, je vis qu'une pièce était allumée, puis en me rapprochant, je distinguais une femme appuyée contre la fenêtre, elle était nue nue, je voyais très nettement sa lourde poitrine. Je vis Marc s'approcher derrière elle, il empoigna ses seins et bientôt se mit à les caresser. Je me dissimulais derrière un bosquet pour continuer à admirer ce spectacle aussi charmant qu'inattendu.
Le couple à la fenêtre s'agitait maintenant frénétiquement, l'excitation commençait à m'envahir et je ne tarda pas à me caresser la poitrine. Ma chatte commençait à s'humidifier, jouer la voyeuse m'excitait horriblement et je n'arrivais pas à quitter la scène des yeux. J'entendis soudain un craquement derrière moi qui me fit sursauter, j’enlevais immédiatement la main de mon sein et me retourna, je distinguais dans la pénombre le jardinier s'approcher, il n'avait plus le regard froid et sévère de tout à l'heure, un rictus déformait ses lèvres lui donnant un air sadique et pervers. Il me dit : "Alors Madame on joue les voyeuses."
J'étais prise sur le fait et incroyablement gênée, néanmoins j'essayais de le reprendre le dessus et de le remettre à sa place : "Mais pas du tout et puis d'abord pour qui vous prenez vous pour oser me parler de la sorte !!"
Tout en continuant à s'approcher de moi, il me dit : "En tout cas, je suis sur que sous tes airs de bourgeoise se cache une vraie petite salope."
Cette dernière remarque me fit enrager et je lui lançais une gifle au visage. A mon grand étonnement, il intercepta ma main et me retourna comme un fétu de paille en me coinçant le bras dans le dos.
Il me fit ensuite avancer en direction de la grange en me poussant, il me maintenait toujours le bras fermement dans le dos, plusieurs fois, gênée par ma jupe et mes talons je manquais de tomber. Tout en me conduisant vers la grange, il me dit : "Tu vas voir ce que je leur fais aux petites salopes comme toi."
De mon coté, je protestais et l'invectivais, les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Mais hélas, rien n'y faisait, il avançait toujours d'un pas décidé vers la grange.
Arrivés à l'intérieur, il me jeta sur une botte de paille, j'étais sur le ventre , le cul en l'air. D'une main, il maintenait mes deux poignets dans le dos, de l'autre je l'entendais qui enlevait son pantalon. Je continuais de l'implorer pour qu'il arrête et me laisse partir, mais au lieu de ça, il commença non sans mal à baisser ma jupe. Après quelques efforts, il avait réussi à baisser ma jupe et mon tanga jusqu'à mes genoux. J'étais maintenant complètement vulnérable, parée de ma plus belle lingerie, la croupe bien en évidence, prête à me faire baiser. L'étroitesse de ma jupe emprisonnait mes jambes que je ne pouvais écarter. Mes bottes frottaient l'une contre l'autre et l'on pouvait entendre le bruit du frottement du cuir.
Il me dit : "Mais tu as de véritables dessous de putes toi, décidément, je crois que vais passer un agréable moment avec toi."
ll me mit ensuite brutalement un doigt dans la chatte, ce qui m'arracha un petit cri de douleur : "En plus t'es déjà toute mouillée !!!"
Il m'agrippa un sein au travers de mon chemisier et me pinça le téton ce qui m'arracha un gémissement.
Je sentis ensuite sa queue s'immiscer moi, vue la sensation de déchirement que j'éprouvais, elle devait être énorme. Il continuait de me pénétrer inexorablement, centimètre par centimètre, ce qui me fit également m'interroger sur la taille de sa bite. Genée par ma jupe, je ne pouvais écarter les cuisses et il avait donc du mal a rentrer en moi. Au bout d'un moment, je sentis son bassin buter contre mes fesses, je poussai un soupir de soulagement en me disant que cette fois il m'avait fourré la totalité de son sexe. Mon corps commençait à s'habituer à cette présence et ma chatte lui facilitait maintenant le travail en mouillant abondamment. J'avais néanmoins encore la force et la volonté de résister, je lui demandais donc d'arrêter, mais au fur et à mesure de ces va et vient, mes protestations se faisaient de plus en plus rares et timides.
Ce rustre me baisait maintenant divinement, je sentais sa bite coulisser dans mon intimité, elle m'écartait littéralement la chatte. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier mon plaisir et m'efforçais de rester silencieuse afin de conserver un semblant de dignité. Mais mon corps me trahissait, je mouillais comme jamais et je poussais maintenant des râles qui ne laissaient plus de doutes sur le plaisir qu'il me donnait. Le jardinier me pilonnait sauvagement, son bassin venant claquer violemment contre mes fesses. J'étais au bord de l'orgasme, quand il se décida à me mettre de grandes claques sur les fesses, la première me surprit et m'arracha un cri, le deuxième eut un effet inattendu, une décharge électrique parcourut mon corps et provoqua en moi un orgasme foudroyant, je ne pus me retenir et poussais un long gémissement de jouissance.
Peu à l'écoute de mon plaisir, le jardinier continuait de me défoncer sauvagement la chatte tout en me gratifiant de quelques fessées. Alors que je me remettais de mon premier orgasme, et que je sentais de nouveau une boule de feu grossir dans mon bas-ventre, le jardinier s'arrêta , m'écarta les fesses et m'envoya un jet de salive sur la rondelle, puis il me dit : "Tu m'as tellement bien lubrifié la bite avec ta chatte, que je crois que je vais rentrer tout seul dans ton cul."
Je protestais, mais à peine ma phrase finie, je sentais déjà son gland pousser sur mon œillet. Je ne pouvais pas le laisser entrer en moi sa queue était tellement grosse qu'il allait me démolir le cul. Je contractais donc au maximum les muscles de mon anus et malgré plusieurs tentatives, il ne put y faire rentrer son énorme gland. Je laissais échapper un soupir de soulagement.
Il marmonna quelques jurons et réinvestit immédiatement ma chatte et se remit à m'envoyer des grandes claques sur les fesses, il les frappait tellement fort que je ne les sentais plus. Il me lâcha finalement les poignets et m'agrippa les hanches, Il m'embrochait et déchirait mes chairs sensibles avec sa queue d'étalon. Il se mit alors à me pistonner comme un fou, cette fois je ne pus résister et me mit à couiner de plaisir. Je ne sentais même plus sa queue aller et venir dans ma chatte tellement il allait vite, ses couilles venaient heurter de manière désordonnée le haut de mes cuisses. Je ne pus résister longtemps à cette baise endiablée et fut terrassée par un second orgasme.
Le jardinier n'en avait cure et continuait de se déchainer sur ma pauvre petite chatte, il commençait à pousser de longs soupirs, annonciateurs de sa jouissance. Je le suppliais sans grande conviction : "Non s'il vous plait, pas à l'intérieur."
A ma grande surprise, il se retira et se mit devant moi. Sa queue majestueuse était dressée juste devant mes yeux. Je savais ce qu'il allait faire mais je ne pouvais le croire. Il me prit la tête par les oreilles et les cheveux et poussa sa bite dans ma bouche. Mes "mmmgnngn" de protestation n'y firent rien. Il poussa dans ma bouche et s'enfonça au plus profond. Je sentis jaillir des jets de sperme au fond de ma gorge. "Tu fais moins la fière hein maintenant ?"
Il râla une fois de plus et finit de se vider dans mon palais : "Nettoie moi ou je me sers de tes fringues d'allumeuse".
Je ne voulais pas être souillée et paraitre ainsi devant tout le monde, alors j'essayais de ne pas recracher tout ce sperme et me décidais finalement à l'avaler en totalité. Je léchais ensuite avec application sa queue recouverte d'un mélange de ciprine et de sperme, j'en aspirai chaque parcelle pour lui rendre aussi propre que possible. Son gland faisait des bruits obscènes de ventouse au gré des allers et retours dans ma bouche.
Une fois que sa queue fut vierge de toute trace de jouissance, il se rhabilla et sans dire un mot se dirigea vers le manoir, me laissant vaincue, seule dans la paille, la croupe à l'air et la chatte dégoulinante.
Je restais quelques instants ainsi, le temps de digérer les deux orgasmes qui venaient de secouer mon corps, puis je me rhabillais, je réajustais mes bas sur mes cuisses, renfilais ma jupe et remis de l'ordre dans ma tenue. Tout en regagnant le manoir, je commençais à me demander si qui m'attendait ensuite et si c'étai vraiment une bonne idée d'accepter cette invitation ...
demander si c'était vraiment une bonne idée d'avoir accepté cette invitation.
Je m'appelle Caroline, je travaille au Canada dans un grand groupe pharmaceutique, j'approche la quarantaine, je suis brune, bien conservée pour mon âge et avec une poitrine qui a tendance à faire tomber le regard des hommes dans mes décolletés.Je suis mariée mais profite de mes fréquents déplacements pour m'autoriser quelques incartades. Récemment, je suis venu faire un court séjour en France, je devais y rester plusieurs semaines afin de réaliser un audit d'une de nos filiales françaises, en d'autres termes nous avions une société qui ne rapportait plus d'argent mais qui nous en coutait, je devais donc y rester quelques temps afin d'établir une liste de personnes à licencier, bref rien de très passionnant si ce n'est que cela me permettait de retrouver cette si jolie ville qu'est Paris.
Lors de ma mission je tombais par hasard sur Marc, un ancien collaborateur français qui avait fini, il y a quelques années, par retourner vivre en France. A l'époque il était devenu nostalgique du climat, de sa famille et de ses amis. Il avait donc tout quitté pour monter sa propre société. Il me reconnut immédiatement, d'ailleurs le contraire eut été étonnant, on ne croise pas tous les jours une femme comme moi !. Nous nous remémorâmes de vieux souvenirs et il finit par m'inviter à passer le weekend chez lui. Il m'apprit notamment qu'il s'était marié peu de temps après son retour, et qu'avec sa femme ils avaient racheté un petit manoir un peu l'extérieur de Paris qu'ils avaient complètement retapé.
J'étais emballée, j'adore visiter les vieilles bâtisses françaises, je trouve qu'elles ont un charme et un cachet uniques, j'acceptais donc avec plaisir cette invitation tout en cachant quelque peu mon enthousiasme. Le vendredi soir j'abrégeais donc un peu une réunion afin de pouvoir rapidement profiter de mon weekend. L'idée de passer quelques jours dans la campagne française, avec un bon repas à la clef dans un cadre agréable me rendait toute guillerette. C'est donc toute excitée que je choisis ma tenue, il fallait que je m'habille classe pour être en totale adéquation avec l'environnement. J'optais donc pour une jupe en laine grise longue, droite assez étroite. Je mis aussi un chemisier de soie bordeaux. En dessous je choisis un bustier avec porte-jarretelles de couleur crème et le tanga assorti. Pour mettre mes jambes en valeur, j'optais pour une paire de bas beiges assez fins. Pour compléter le tout, j'enfilais une paire de bottes en cuir marron avec un style un peu western et des talons de 7cm. Elles montaient jusque sous le genou et galbaient parfaitement mes mollets.
Pour aller rejoindre mon hôte, il fallait que je loue une voiture, je pris donc un véhicule digne de mon standing, à savoir un coupé d'un célèbre constructeur allemand dont l'emblème est 4 anneaux qui se chevauchent. Me voila donc sur les routes de la somptueuse campagne française, au volant d'un petit bolide et parée pour passer un quelques jours agréables dans un cadre de prestige. Le GPS m'amena à destination sans problèmes, je rentrais dans la propriété, et empruntais tout doucement un un petit chemin en terre qui menait jusqu'au perron du manoir.
J'ouvris la portière et sortis tant bien que mal du coupé, il faut dire qu'avec ma jupe longue et étroite, je fus obligée de faire pivoter mon bassin sur le siège afin de sortir mes deux jambes en même temps. Mes talons se posèrent sur le sol et s'enfoncèrent un peu dans les petits graviers qui recouvraient le sol. Je restais quelques instants debout à scruter les environs, le manoir était en effet une belle bâtisse qui devait dater du 19ème, elle était située au milieu d'un grand parc boisé au fond duquel il y avait une petite grange. J'aperçus le jardinier, celui ci commença à s'avancer vers moi, il était grand et très athlétique. Au vu de ses cheveux grisonnants, je dirai qu'il devait avoir 45 ans. Il faisait extrêmement sévère, sa mâchoire était carrée et son regard était incroyablement dur.
Il me salua tout me scrutant discrètement, il me fit remarquer que j'étais en avance et que ses employeurs n'étaient pas encore prêts. Il enleva ensuite ses gants de jardinier, les mit dans sa poche, prit ma valise et m'invita à le précéder. Entravée par ma jupe étroite, j'avançais à petits pas en direction du perron, le jardinier me suivait, je me montais une dizaine de marches pour arriver jusqu'à la porte d'entrée. En arpantant les marches, je sentais le regard insolent du domestique reluquer ma croupe. Arrivée à la porte je me mis d'un seul coup sur le coté pour le laisser pénétrer en premier, il enleva très vite son regard de mon fessier pour le plonger vers le sol, quant à moi, vexée par tant de légèreté, je le fusillai avec mes yeux, mais ce pleutre continuait de fixer le sol préférant ainsi éviter de croiser mon regard courroucé.
Une fois à l'intérieur, il me dit qu'il allait monter mes bagages dans ma suite, et que si je le désirais, en attendant les maitres des lieux, que je pouvais me promener dans le parc. Je ressortis donc du bâtiment et commença à faire le tour de la propriété, à cette heure, il faisait un peu sombre, je décidais d'aller jusque à la vieille grange. Elle était très pittoresque, d'un charme assez désuet, dedans y étaient stockées des bottes de paille. je me dis que Marc avait peut être des chevaux. Je me dirigeais vers le manoir pour rentrer. A l'étage, je vis qu'une pièce était allumée, puis en me rapprochant, je distinguais une femme appuyée contre la fenêtre, elle était nue nue, je voyais très nettement sa lourde poitrine. Je vis Marc s'approcher derrière elle, il empoigna ses seins et bientôt se mit à les caresser. Je me dissimulais derrière un bosquet pour continuer à admirer ce spectacle aussi charmant qu'inattendu.
Le couple à la fenêtre s'agitait maintenant frénétiquement, l'excitation commençait à m'envahir et je ne tarda pas à me caresser la poitrine. Ma chatte commençait à s'humidifier, jouer la voyeuse m'excitait horriblement et je n'arrivais pas à quitter la scène des yeux. J'entendis soudain un craquement derrière moi qui me fit sursauter, j’enlevais immédiatement la main de mon sein et me retourna, je distinguais dans la pénombre le jardinier s'approcher, il n'avait plus le regard froid et sévère de tout à l'heure, un rictus déformait ses lèvres lui donnant un air sadique et pervers. Il me dit : "Alors Madame on joue les voyeuses."
J'étais prise sur le fait et incroyablement gênée, néanmoins j'essayais de le reprendre le dessus et de le remettre à sa place : "Mais pas du tout et puis d'abord pour qui vous prenez vous pour oser me parler de la sorte !!"
Tout en continuant à s'approcher de moi, il me dit : "En tout cas, je suis sur que sous tes airs de bourgeoise se cache une vraie petite salope."
Cette dernière remarque me fit enrager et je lui lançais une gifle au visage. A mon grand étonnement, il intercepta ma main et me retourna comme un fétu de paille en me coinçant le bras dans le dos.
Il me fit ensuite avancer en direction de la grange en me poussant, il me maintenait toujours le bras fermement dans le dos, plusieurs fois, gênée par ma jupe et mes talons je manquais de tomber. Tout en me conduisant vers la grange, il me dit : "Tu vas voir ce que je leur fais aux petites salopes comme toi."
De mon coté, je protestais et l'invectivais, les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Mais hélas, rien n'y faisait, il avançait toujours d'un pas décidé vers la grange.
Arrivés à l'intérieur, il me jeta sur une botte de paille, j'étais sur le ventre , le cul en l'air. D'une main, il maintenait mes deux poignets dans le dos, de l'autre je l'entendais qui enlevait son pantalon. Je continuais de l'implorer pour qu'il arrête et me laisse partir, mais au lieu de ça, il commença non sans mal à baisser ma jupe. Après quelques efforts, il avait réussi à baisser ma jupe et mon tanga jusqu'à mes genoux. J'étais maintenant complètement vulnérable, parée de ma plus belle lingerie, la croupe bien en évidence, prête à me faire baiser. L'étroitesse de ma jupe emprisonnait mes jambes que je ne pouvais écarter. Mes bottes frottaient l'une contre l'autre et l'on pouvait entendre le bruit du frottement du cuir.
Il me dit : "Mais tu as de véritables dessous de putes toi, décidément, je crois que vais passer un agréable moment avec toi."
ll me mit ensuite brutalement un doigt dans la chatte, ce qui m'arracha un petit cri de douleur : "En plus t'es déjà toute mouillée !!!"
Il m'agrippa un sein au travers de mon chemisier et me pinça le téton ce qui m'arracha un gémissement.
Je sentis ensuite sa queue s'immiscer moi, vue la sensation de déchirement que j'éprouvais, elle devait être énorme. Il continuait de me pénétrer inexorablement, centimètre par centimètre, ce qui me fit également m'interroger sur la taille de sa bite. Genée par ma jupe, je ne pouvais écarter les cuisses et il avait donc du mal a rentrer en moi. Au bout d'un moment, je sentis son bassin buter contre mes fesses, je poussai un soupir de soulagement en me disant que cette fois il m'avait fourré la totalité de son sexe. Mon corps commençait à s'habituer à cette présence et ma chatte lui facilitait maintenant le travail en mouillant abondamment. J'avais néanmoins encore la force et la volonté de résister, je lui demandais donc d'arrêter, mais au fur et à mesure de ces va et vient, mes protestations se faisaient de plus en plus rares et timides.
Ce rustre me baisait maintenant divinement, je sentais sa bite coulisser dans mon intimité, elle m'écartait littéralement la chatte. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier mon plaisir et m'efforçais de rester silencieuse afin de conserver un semblant de dignité. Mais mon corps me trahissait, je mouillais comme jamais et je poussais maintenant des râles qui ne laissaient plus de doutes sur le plaisir qu'il me donnait. Le jardinier me pilonnait sauvagement, son bassin venant claquer violemment contre mes fesses. J'étais au bord de l'orgasme, quand il se décida à me mettre de grandes claques sur les fesses, la première me surprit et m'arracha un cri, le deuxième eut un effet inattendu, une décharge électrique parcourut mon corps et provoqua en moi un orgasme foudroyant, je ne pus me retenir et poussais un long gémissement de jouissance.
Peu à l'écoute de mon plaisir, le jardinier continuait de me défoncer sauvagement la chatte tout en me gratifiant de quelques fessées. Alors que je me remettais de mon premier orgasme, et que je sentais de nouveau une boule de feu grossir dans mon bas-ventre, le jardinier s'arrêta , m'écarta les fesses et m'envoya un jet de salive sur la rondelle, puis il me dit : "Tu m'as tellement bien lubrifié la bite avec ta chatte, que je crois que je vais rentrer tout seul dans ton cul."
Je protestais, mais à peine ma phrase finie, je sentais déjà son gland pousser sur mon œillet. Je ne pouvais pas le laisser entrer en moi sa queue était tellement grosse qu'il allait me démolir le cul. Je contractais donc au maximum les muscles de mon anus et malgré plusieurs tentatives, il ne put y faire rentrer son énorme gland. Je laissais échapper un soupir de soulagement.
Il marmonna quelques jurons et réinvestit immédiatement ma chatte et se remit à m'envoyer des grandes claques sur les fesses, il les frappait tellement fort que je ne les sentais plus. Il me lâcha finalement les poignets et m'agrippa les hanches, Il m'embrochait et déchirait mes chairs sensibles avec sa queue d'étalon. Il se mit alors à me pistonner comme un fou, cette fois je ne pus résister et me mit à couiner de plaisir. Je ne sentais même plus sa queue aller et venir dans ma chatte tellement il allait vite, ses couilles venaient heurter de manière désordonnée le haut de mes cuisses. Je ne pus résister longtemps à cette baise endiablée et fut terrassée par un second orgasme.
Le jardinier n'en avait cure et continuait de se déchainer sur ma pauvre petite chatte, il commençait à pousser de longs soupirs, annonciateurs de sa jouissance. Je le suppliais sans grande conviction : "Non s'il vous plait, pas à l'intérieur."
A ma grande surprise, il se retira et se mit devant moi. Sa queue majestueuse était dressée juste devant mes yeux. Je savais ce qu'il allait faire mais je ne pouvais le croire. Il me prit la tête par les oreilles et les cheveux et poussa sa bite dans ma bouche. Mes "mmmgnngn" de protestation n'y firent rien. Il poussa dans ma bouche et s'enfonça au plus profond. Je sentis jaillir des jets de sperme au fond de ma gorge. "Tu fais moins la fière hein maintenant ?"
Il râla une fois de plus et finit de se vider dans mon palais : "Nettoie moi ou je me sers de tes fringues d'allumeuse".
Je ne voulais pas être souillée et paraitre ainsi devant tout le monde, alors j'essayais de ne pas recracher tout ce sperme et me décidais finalement à l'avaler en totalité. Je léchais ensuite avec application sa queue recouverte d'un mélange de ciprine et de sperme, j'en aspirai chaque parcelle pour lui rendre aussi propre que possible. Son gland faisait des bruits obscènes de ventouse au gré des allers et retours dans ma bouche.
Une fois que sa queue fut vierge de toute trace de jouissance, il se rhabilla et sans dire un mot se dirigea vers le manoir, me laissant vaincue, seule dans la paille, la croupe à l'air et la chatte dégoulinante.
Je restais quelques instants ainsi, le temps de digérer les deux orgasmes qui venaient de secouer mon corps, puis je me rhabillais, je réajustais mes bas sur mes cuisses, renfilais ma jupe et remis de l'ordre dans ma tenue. Tout en regagnant le manoir, je commençais à me demander si qui m'attendait ensuite et si c'étai vraiment une bonne idée d'accepter cette invitation ...
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