Weekends: Emilie, Sandra et moi (2)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Weekends: Emilie, Sandra et moi (2)
Sandra se leva avant nous. Le soleil me réveilla, ainsi que l’odeur du pain grillé et du café. Je descendis retrouver notre hôtesse sur la terrasse. Elle m’embrassa, et je pris une grande tasse de café.
Sandra avait enfilé un bikini et plongea dans la piscine alors que je mangeais mes tartines. Elle fit quelques longueurs avant de s’allonger sur un transat pour se semer au soleil. Je l’observais, détaillais ses courbes, le grain de sa peau sur laquelle ruisselait des gouttes d’eau. Je comprenais qu’Émilie soit tombée sous le charme de cette belle brune à la peau matte.
Émilie descendit, elle n’avait comme à son habitude enfilé qu’une simple culotte blanche, laissant ses seins libres. Elle m’embrassa, alla en faire de même avec Sandra. Elle revint se servir du café, manger un bout de pain.
— Je vais me préparer, dit Sandra, après on ira au marché.
Elle remonta, Émilie et moi admirâmes ses fesses se balançant dans son petit maillot trempé.
— Dommage qu’elle n’aime pas les hommes, dis-je, je la trouve bandante, de plus en plus bandante.
— J’ai entendu, cria Sandra et nous éclatâmes de rire tous les trois.
Une heure plus tard, nous descendions au village où était installé le marché hebdomadaire. Nous achetâmes des fruits et des légumes frais. Quelques fromages, et une grosse miche de pain. Avant de rentrer, nous nous installâmes à une terrasse pour boire un verre sous le soleil de la fin de matinée.
— C’est sympa comme village, mais en dehors du marché il y a quoi à faire ici, demanda Émilie s’étonnant un peu de retrouver son amie dans un endroit aussi reculé ?
— Pas grand-chose, c’est certain, mais j’y suis bien, et la ville n’est qu’à une demi-heure de route, répondit Sandra, on pourra y aller ce soir pour sortir si vous voulez.
En rentrant nous nous installâmes en cuisine pour préparer une salade et des tartines de fromage. Sandra ouvrit une bouteille de rosé. Nous trinquâmes à nouveau sur la terrasse en dégustant notre repas.
— Sans rire, dit Émilie, tu trouves des filles ici ?
— Non, mais je n’ai pas cherché, il doit y en avoir qui aimeraient visiter ma culotte.
— Dis-moi tout, ta dernière aventure c’était quand ?
— Tu crois que ma vie c’est la misère sexuelle en milieu rural, dit Sandra en rigolant, j’ai des aventures comme tu dis, alors oui ce n’est pas aussi riche que ta vie, pas de partouze, pas de plan à trois, quatre, ou plus, pas de transsexuelle. Mais je ne me contente pas de me masturber en pensant à toi. Même si certains soirs…
Sandra nous raconta une de ses histoires. Fanny, une collègue de son ancien boulot dans une librairie. Elles s’entendaient bien, et il leur arrivait d’aller boire un verre ensemble après avoir débauché.
— Ce soir-là, je ne sais pas pourquoi, nous avons bu plus qu’un verre. J’étais fatigué, et très vite j’ai senti que je ne pourrais pas reprendre la route. Fanny m’a proposé de venir dormir chez elle.
Les deux femmes ont donc pris le chemin de l’appartement de Fanny.
— Dans la rue, je ne marchais pas très droit, et il m’arrivait régulièrement de frôler, de percuter Fanny, elle finit par me prendre la main pour m’aider. Ça faisait un long moment que personne ne m’avait pris la main.
Elles arrivèrent chez Fanny. Après avoir bu un grand verre d’eau, et discuté un peu sur le canapé, Fanny demanda si Sandra voulait prendre une douche avant d’aller se coucher.
— J’ai répondu oui, alors elle s’est approchée, et m’a demandé si je voulais qu’elle prenne la douche avec moi. J’étais surprise de cette proposition, je ne voyais pas Fanny, que je trouvais sympathique, mais très sage me draguer aussi ouvertement. Je n’ai rien répondu, je me suis contenté de l’embrasser et je l’ai suivie dans la salle d’eau. Elle a ôté ses vêtements. Je n’avais pas vu de corps de femme nu depuis des mois. Fanny était très belle. Des seins ronds, lourds. Des fesses fermes et rebondies, de longues jambes galbées. Elle s’approcha, m’embrassa, colla ses seins contre les miens, posa sa main sur ma braguette. Elle me déshabilla, et nous nous glissâmes sous la douche en nous embrassant. L’eau chaude coulait sur nous détendant nos muscles fatigués. Notre baiser semblait ne pas vouloir finir. Mes mains couraient sur la peau douce de Fanny, caressant son sexe au travers de son buisson de poil pubien. Elle quitta mes lèvres, glissa vers ma chatte toute lisse, et l’embrassa. Sa langue se glissa en moi, me léchant, me suçant, m’avalant. Je n’étais visiblement pas la première conquête de Fanny. Elle savait s’y prendre. Je coupais l’eau et la laissait me donner mon premier orgasme.
Fanny et Sandra sortirent de la douche et sans prendre le temps de se sécher allèrent dans la chambre.
— J’allongeais Fanny sur le lit et commençait à la bouffer. J’avais oublié le gout d’un sexe. J’écartais ses poils pour explorer son sexe. Elle jouit très vite, comme moi. Mais je ne voulais pas lui laissera e temps de reprendre ses esprits et continuait à la lécher, à la doigter. Je finis par la fister et la faire jouir dans un grand cri. Elle m’avoua que c’était la première fois qu’on lui faisait ça. Alors je lui demandais d’en faire autant avec moi. Petit à petit elle glissa sa main en moi, et à mon tour j’éclatais dans un grand cri de plaisir.
Sandra nous passa le reste de la nuit, qui fut longue et humide selon ses propres mots.
— Je vois Fanny de loin en loin, c’est une de mes amantes, dit Sandra, tu vois que je ne m’ennuie pas, même si je ne baise pas à longuet de journée.
Émilie, pas vexée pour un sou, alla embrasser son amie, un long baiser.
— Je sais que tu ne t’ennuies pas, ma belle, et tu n’es pas obligée d’être une salope comme moi, dit Émilie avant de se mettre en maillot et de plonger dans la piscine.
Sandra me regarda en souriant.
— J’adore cette fille, me dit-elle avant d’aller la rejoindre.
Les deux femmes s’embrassèrent dans l’eau.
Sandra avait enfilé un bikini et plongea dans la piscine alors que je mangeais mes tartines. Elle fit quelques longueurs avant de s’allonger sur un transat pour se semer au soleil. Je l’observais, détaillais ses courbes, le grain de sa peau sur laquelle ruisselait des gouttes d’eau. Je comprenais qu’Émilie soit tombée sous le charme de cette belle brune à la peau matte.
Émilie descendit, elle n’avait comme à son habitude enfilé qu’une simple culotte blanche, laissant ses seins libres. Elle m’embrassa, alla en faire de même avec Sandra. Elle revint se servir du café, manger un bout de pain.
— Je vais me préparer, dit Sandra, après on ira au marché.
Elle remonta, Émilie et moi admirâmes ses fesses se balançant dans son petit maillot trempé.
— Dommage qu’elle n’aime pas les hommes, dis-je, je la trouve bandante, de plus en plus bandante.
— J’ai entendu, cria Sandra et nous éclatâmes de rire tous les trois.
Une heure plus tard, nous descendions au village où était installé le marché hebdomadaire. Nous achetâmes des fruits et des légumes frais. Quelques fromages, et une grosse miche de pain. Avant de rentrer, nous nous installâmes à une terrasse pour boire un verre sous le soleil de la fin de matinée.
— C’est sympa comme village, mais en dehors du marché il y a quoi à faire ici, demanda Émilie s’étonnant un peu de retrouver son amie dans un endroit aussi reculé ?
— Pas grand-chose, c’est certain, mais j’y suis bien, et la ville n’est qu’à une demi-heure de route, répondit Sandra, on pourra y aller ce soir pour sortir si vous voulez.
En rentrant nous nous installâmes en cuisine pour préparer une salade et des tartines de fromage. Sandra ouvrit une bouteille de rosé. Nous trinquâmes à nouveau sur la terrasse en dégustant notre repas.
— Sans rire, dit Émilie, tu trouves des filles ici ?
— Non, mais je n’ai pas cherché, il doit y en avoir qui aimeraient visiter ma culotte.
— Dis-moi tout, ta dernière aventure c’était quand ?
— Tu crois que ma vie c’est la misère sexuelle en milieu rural, dit Sandra en rigolant, j’ai des aventures comme tu dis, alors oui ce n’est pas aussi riche que ta vie, pas de partouze, pas de plan à trois, quatre, ou plus, pas de transsexuelle. Mais je ne me contente pas de me masturber en pensant à toi. Même si certains soirs…
Sandra nous raconta une de ses histoires. Fanny, une collègue de son ancien boulot dans une librairie. Elles s’entendaient bien, et il leur arrivait d’aller boire un verre ensemble après avoir débauché.
— Ce soir-là, je ne sais pas pourquoi, nous avons bu plus qu’un verre. J’étais fatigué, et très vite j’ai senti que je ne pourrais pas reprendre la route. Fanny m’a proposé de venir dormir chez elle.
Les deux femmes ont donc pris le chemin de l’appartement de Fanny.
— Dans la rue, je ne marchais pas très droit, et il m’arrivait régulièrement de frôler, de percuter Fanny, elle finit par me prendre la main pour m’aider. Ça faisait un long moment que personne ne m’avait pris la main.
Elles arrivèrent chez Fanny. Après avoir bu un grand verre d’eau, et discuté un peu sur le canapé, Fanny demanda si Sandra voulait prendre une douche avant d’aller se coucher.
— J’ai répondu oui, alors elle s’est approchée, et m’a demandé si je voulais qu’elle prenne la douche avec moi. J’étais surprise de cette proposition, je ne voyais pas Fanny, que je trouvais sympathique, mais très sage me draguer aussi ouvertement. Je n’ai rien répondu, je me suis contenté de l’embrasser et je l’ai suivie dans la salle d’eau. Elle a ôté ses vêtements. Je n’avais pas vu de corps de femme nu depuis des mois. Fanny était très belle. Des seins ronds, lourds. Des fesses fermes et rebondies, de longues jambes galbées. Elle s’approcha, m’embrassa, colla ses seins contre les miens, posa sa main sur ma braguette. Elle me déshabilla, et nous nous glissâmes sous la douche en nous embrassant. L’eau chaude coulait sur nous détendant nos muscles fatigués. Notre baiser semblait ne pas vouloir finir. Mes mains couraient sur la peau douce de Fanny, caressant son sexe au travers de son buisson de poil pubien. Elle quitta mes lèvres, glissa vers ma chatte toute lisse, et l’embrassa. Sa langue se glissa en moi, me léchant, me suçant, m’avalant. Je n’étais visiblement pas la première conquête de Fanny. Elle savait s’y prendre. Je coupais l’eau et la laissait me donner mon premier orgasme.
Fanny et Sandra sortirent de la douche et sans prendre le temps de se sécher allèrent dans la chambre.
— J’allongeais Fanny sur le lit et commençait à la bouffer. J’avais oublié le gout d’un sexe. J’écartais ses poils pour explorer son sexe. Elle jouit très vite, comme moi. Mais je ne voulais pas lui laissera e temps de reprendre ses esprits et continuait à la lécher, à la doigter. Je finis par la fister et la faire jouir dans un grand cri. Elle m’avoua que c’était la première fois qu’on lui faisait ça. Alors je lui demandais d’en faire autant avec moi. Petit à petit elle glissa sa main en moi, et à mon tour j’éclatais dans un grand cri de plaisir.
Sandra nous passa le reste de la nuit, qui fut longue et humide selon ses propres mots.
— Je vois Fanny de loin en loin, c’est une de mes amantes, dit Sandra, tu vois que je ne m’ennuie pas, même si je ne baise pas à longuet de journée.
Émilie, pas vexée pour un sou, alla embrasser son amie, un long baiser.
— Je sais que tu ne t’ennuies pas, ma belle, et tu n’es pas obligée d’être une salope comme moi, dit Émilie avant de se mettre en maillot et de plonger dans la piscine.
Sandra me regarda en souriant.
— J’adore cette fille, me dit-elle avant d’aller la rejoindre.
Les deux femmes s’embrassèrent dans l’eau.
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