Yasmina - 2 - Le weekend de baise - La porte d'entrée - histoire érotique

Comme chacune de mes histoires, cette histoire est réelle. Elle a eu lieu lorsque je vivais sur Paris pendant quelques années. Elle n’a pas été arrangé, fantasmée ou déformée. Par soucis de discrétion les prénoms et les lieux ont pu être changé.

Après une soirée très mouvementé et une nuit très courte, je me réveil le samedi matin vers 11h, la tête à l’envers. Je me fais couler un café et prends mon téléphone. Une notification Snapchat de Yasmina... J’ouvre et je la découvre en body rouge avec le message suivant : « Ce genre de tenue t’excite ? ». Damn, elle me fait bander direct, alors que j’ai encore mal au gland de notre soirée d’hier. Je réponds en envoyant une photo de mon boxer rempli par ma bite gonflée avec le message : « Pas du tout... »
Je bois mon café, commence à manger un morceau et je reçois deux nouvelles notifications, un message et une vidéo. « Donc ça ne t’excitera pas non plus... ». Je découvre une vidéo de ce démon, dans son body Rouge. Elle se film d’abord le visage avant de descendre le téléphone qui montre sa poitrine volumineuse sous la tenue puis son entrejambe. Elle écarte avec deux doigts le petit bout de tissu qui cache sa chatte et y rentre deux doigts pour faire quelques vas et vient. 10 secondes, c’est la durée de la vidéo... je m’en souviens encore parfaitement 3ans après... Imaginez l’effet qu’elle a eu sur moi sur le coup. Je suis devenu fou, je voulais la baiser, je voulais lui éclater la chatte à cette salope.

J’ai rejoué la vidéo une fois avant de lui envoyer un message : « Ce soir tu viens chez moi, je vais te démonter, je vais te dresser. »
Sa réponse est presque immédiate : « 17h à la gare de chez toi. »
17h, ça me laisse le temps de dormir et de me préparer, parfait. Je retourne dormir et me réveille vers 15h. Merde, ça ne me laisse pas beaucoup de temps mais je suis en pleine forme au moins. Je file au supermarché acheter de quoi manger pour les prochains jours et ce soir, quelques bouteilles de vins et bière avant de rentrer chez moi prendre une douche et me préparer. J’arrive à la gare quelques minutes avant 17h, le temps de me garer je vois le RER arriver lorsque je suis sur le début du quai. Les passager descendent progressivement et j’aperçois Yasmina au loin et je lâche un « Oh putain.. » en la voyant marché vers moi. Elle porte un jean slim bleu clair délavé avec des trous au niveau des cuisses qui laissent apparaitre ses délicieuses cuisses mates, des talons haut noirs et un décolleté rouge vif offrant une vue plongeante sur sa poitrine généreuse, tous les mecs qui sont autour la regardes et le fait de savoir qu’elle vient pour moi, pour que je la baise, me fait sourire allégrement. Je m’approche d’elle tranquillement et quand j’arrive à son niveau ma main gauche se porte à ses cheveux pour l’embrasser pendant que ma main droite lui attrape son cul bombé. Je sens les regards autours se porter sur nous, et ça me plait de leur montrer qu’elle est à moi, docile à se prendre des mains au cul en public. On s’embrasse quelques secondes et je lui prendre la main pour l’accompagner à ma voiture. Le trajet dure quelques minutes jusqu’à chez moi et nous échangeons quelques phrases sur son trajet, nos journées, ect... en prenant bien soin d’éviter toutes références à la soirée d’hier et aux photos de ce matin. Arrivée devant mon immeuble j’ouvre le parking souterrain, descend la voiture et me gare. Au moment même où j’éteins le contact elle enlève sa ceinture et se jette sur moi en s’asseyant sur jambes, coincé entre le volant et moi. Elle m’agrippe les cheveux et m’embrasse en me mordant les lèvres, elle commence à se frotter à moi pour sentir ma bite grandir contre sa chatte, seulement séparé par nos jeans. J’attrape ses seins et les fait sortir de son haut du soutif qu’elle porte pour les malaxer. Elle plonge ma tête dedans et je me retrouve entourer par deux grosses montagnes. Sa main commence à frotter ma queue à travers mon jean lorsque je décide de la repousser.

• J’ai d’autres plans pour toi, pas ici.

Elle se remets alors sur son siège, récupère son sac et sort de la voiture. Je sors à mon tours et travers le parking en direction du couloir qui mène à l’ascenseur. Arrivé devant l’ascenseur je la plaque contre le mur et commence à nouveau à l’embrasser et la peloter dans tous les sens en lui disant : « Maintenant tu peux ». Sur ces mots elle plonge sa main dans mon jean et commence à me branler de haut en bas, ma bite dépasse partiellement de mon jean et je n’ai pas mi de ceinture pour pouvoir jouer plus rapidement avec elle. Sans s’arrêter de me branler et de m’embrasser elle tire mon jean en avant pour créer de l’espace entre mon torse et me branler plus facilement, mais pas que... Elle baisse sa tête et laisse couler un énorme filet de bave provenant de nos embrassades qui tombe droite sur ma queue. Elle rigole en grognant d’excitation et étale la bave sur ma bite en me branlant furieusement. J’en ai partout dans le jean lors que l’ascenseur arrive, il n’y a heureusement personne à l’intérieur, je la soulève pour la porter dans l’ascenseur et elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je la plaque contre le mur et elle rigole, je me frotte à elle comme si je la baisais. Elle redescend et continue de me branler pendant que j’appuis tant bien que mal sur le bouton du premier étage. J’ai le temps de glisser ma main dans son jean et de la doigter quelques secondes avant que la porte s’ouvre. La porte de mon appartement est juste à côté de l’ascenseur et aucun autre appartement ne donne directement sur cette porte. Je la repousse pour sortir rapidement ouvrir la porte et nous entrons chez moi. Je la plaque contre le mur du couloir en face de la porte d’entrée et l’embrasse une dizaine de seconde :
• Maintenant tu vas nettoyer le bordel que tu as foutu.

J’appuie sur ses épaules et la dirige au niveau de ma bite qu’elle commence à sucer goulument. *Slurp, slurp slurp slurp*, je n’entends que ses bruits de sucions autour de ma queue qu’elle gobe de fond en comble pendant une minutes. Elle s’amuse à la sortir, arrête de me lécher pour me branler furieusement, me suce les couilles et me branle, suce uniquement mon gland puis crache sur ma queue et mon entrejambe.

• Je t’ai dit de nettoyer pas d’en foutre encore plus partout putain. T’aime baver ma salope ? Bah tu vas être servi.

Je bloque sa tête contre le mur et commence à lui baiser la bouche à grand coup de reins. Ma bite date dans sa gorge au rythme de ses *glurp glurp glurp glurp glurp*. Elle bave abondamment partout sur ma bite et sur elle.

• Regarde-moi dans les yeux quand je te baise la bouche.

Elle lève ses yeux et je la gratifie avec un large sourire et un profond râle de plaisir.

• T’es belle quand t’es dégoulinante de bave comme ça
Je continue encore un peu et lorsque je m’arrête après une minute une mare de bave s’est formée ses seins, son t-shirt, son jean et le parquet. Son visage est couvert de salive baveuse et mousseuse provoqué par la gorge profonde à répétition. Putain qu’est-ce qu’elle m’excite comme ça, elle à un regarde bestiale, qui transpire l’envie de se faire troncher.

Je la relève et détache le bouton de sa braguette, je la retourne et plaque le buste contre le mur en baissant son jean et son string rouge au niveau des genoux pour l’empêcher de bouger. Je Commence alors à lui bouffer le cul et la chatte furieusement. J’écarte ses fesses et crache un grand coup au milieu de ses trous avant de me remettre à lécher.

• Oh putain c’est bon, bouffe-moi le cul vas-y....
• Regarde comment je suis trempé pour toi...

Je continue mon repas pendant qu’elle gémit de plaisir en cherchant une capote dans mon jean. Je la chope et sans m’arrêter de lui bouffer le trou je commence à enfiler la capote sur ma bite. Je me relève d’un coup, lui fourre la main dans la bouche pour récupérer de sa bave, me l’étale sur la bite et pousse d’un coup dans sa chatte.

• Haaaaan putaaaaaaaain
Elle hurle dans un cri de plaisir lors de mon premier coup de bite. Je commence à la baisse debout contre le mur ainsi pendant plusieurs minutes.

• Oh oui,oui oui, vas-y• Putain de salope, tu voulais m’excité ce matin, t’as réussi.
• Oui je suis une salope, baise-moi, baise-moi• Prends ça dans ta chatte putain, oh putain c’est bon
Je lui choppe les cheveux d’une main et tire en arrière et je commence à lui mettre des fessées avec l’autre mains. Une, deux, trois, quatre, … Chaque fessées claques sur son cul et elle marque rapidement, ses deux fesses sont complètement rouges.

• Aie, *oui vas-y*, *hum* aiie *plus fort*, encore...
• T’aime ça ma salope, putain t’es trop bonne.
• Oui continue de me baiser je vais jouir, vas-y démonte moi putain vas-y !!!

J’accélèrent la cadence et je la sens tremblé et explosé dans un orgasme bruyant. Une fois... puis une seconde quelques minutes après ! Cette chienne m’excite beaucoup trop.

• Oh putain je viens, Je vais te gicler sur les fesses putains, j’en peux plus je vais exploser• Vas-y vide toi les couilles, jouie moi dessus.
• Ooooh putain oui c’est boooon.

J’ai tout juste le temps de sortir ma bite et d’enlever la capote que la première giclée s’écrase sur mes doigts, les deux suivantes terminent sur ses fesses et le bas de son dos.

• Putain j’en peux plus de toi. Tu vas me tuer• Hihi, je pensais que c’était une bonne chose pourtant.
• Peut-être, en attendant t’as du sperme sur toi, j’en ai sur les doigts et le sol est trempé• Fait voir
Sur ces derniers mots elle me prend ma main et lèche le jet de sperme et avale d’un trait.

• Maintenant c’est propre, tu vois...
• Mon dieu toi... si tu commences comme ça la prochaine fois c’est pas sur ton cul que je vais gicler...
• Oh mince alors... j’ai hâte...

Cette salope ne peut pas s’en empêcher, il faut qu’elle me provoque à chaque fois... Putain qu’est-ce que j’aime ça....

• Je te laisse profiter un peu... après ce weekend on va commencer à établir des règle fixes... d’ici là...
• D’ici là ?...
• D’ici là je serais relativement soft avec toi, je te laisserais de la liberté avant de commencer à te dresser. Tu peux faire la chienne sauvage comme tu veux, tu seras bientôt une chienne éduquer...

Elle m’a regardé droit dans les yeux avant d’ajouter après quelques secondes.

• Tant que je suis ta chienne ça me va...