Au bandeau

- Par l'auteur HDS Tyroler frantz -
Auteur couple.
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Récit libertin : Au bandeau Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2019 dans la catégorie Plus on est
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Les yeux bandés :
Cela faisait déjà 3 ans que Karen et moi pratiquions le candaulisme.Nous nous complaisions dans ce mode de sexualité. Karen était devenue très impudique et prenait toujours des amants qu'elle choisissait elle même. Nous avions une règle que nous nous étions imposée, jamais avec des parents, collègues, des amis ou connaissances de travail.
De mon côté, j'étais chauffeur grande route et souvent le fret international nous donnait un travail plus éloigné qu'à l'ordinaire. Alors cela exigeait un double équipage. Le patron, dans ce cas là, me mettait avec Pédro, un jeune portugais avec qui je m'entendais très bien. Passer 24 h sur 24 dans une cabine de 4 m2 pendant plusieurs semaines, cela crée des liens assez forts. Souvent, au retour, Pédro, célibataire endurci et dragueur invétéré et réputé TBM, était invité à la maison pour finir la semaine. Il arrivait souvent que Karen, non prévenue de notre passage, soit vêtue en "tous les jours" c'est à dire qu'elle était en mini jupe assez courte et chemisier sans soutif dessous. Alors, cela mettait Pédro dans tous ses états surtout après une semaine de jeune sexuel. Dans le travail, il nous arrivait bien sûr de discuter de nos femmes et même de notre sexualité. C'est ainsi, qu'après un repas un peu plus alcoolisé qu'à l'ordinaire, je faisais la confidence de notre mode de notre vie "candauliste". S'il n'a pas été pas surpris par le côté impudique de Karen, il a tout de même été très surpris par son côté sexuel. Je ne me suis donc pas étonné lorsqu'il se proposa comme volontaire pour être un de ses amants, surtout qu'il ne m'avait jamais caché de trouver Karen comme super bandante. Il a été très déçu lorsque je lui annonçait la règle que nous étions imposée et que nous avions toujours respectée. N'empêche qu'autant Pédro que moi, nous revenions souvent sur mes aveux, et c'est ainsi que cette idée de voir Karen avec Pédro commençait à m'exciter de plus en plus, m'obligeant à y penser et même à essayer de trouver une solution pour que Karen accepte sans savoir qu'il s'agirait de Pédro.
Déjà, pour commencer, je révélais à Karen qu'il y avait de fortes chances que mon collègue soit pas mal amoureux d'elle, et que de toute façon il la trouvait fortement à son goût, très bandante m'avait il dit. Elle n'a pas été du tout gênée par ma révélation et m'avait même avoué que si ce n'était pas mon collègue.... Je n'ai pas été surpris de constater qu'elle n'avait rien changé à ses habitudes vestimentaires en renforçant même le côté exhibition avec, par coquetterie, des décolletés plus échancrés. L'idée de mon fantasme devenait de fait de plus en plus obsédant. Alors à un autre de nos voyages, je faisais part de la possibilité d'un plan pour arriver à nos fins. Nous en avons discutés pendant toute une semaine mettant plein de petits détails au point. Voilà donc comment cela c'est passé à la première fois, car il y a eu 3 expériences merveilleusement réussies.
A un de mes retours, je mettais sur la table une idée nouvelle avec elle pour la ou les prochaines expériences. L'idée lui avait parue bonne et elle a été d'accord pour faire un premier essai pour notre prochaine sortie. Ayant en tête que la semaine prochaine Pédro et moi faisions un voyage pour la Turquie, je proposais à Karen une sortie pour la fin de semaine. Pédro, était aux anges lorsque je lui annonçais que ce serait pour le samedi et nous avons peaufiné notre plan. Et le samedi arriva très vite.
Karen, habillée très sexy, et moi sommes partis pour notre parking de prédilection vers 21 h. Nous réservions ce parking pour se trouver des partenaires ou pour des soirées exhibitions. Elle avait mis une mini jupe "raz la touffe", des bottes jusqu'aux genoux. Son maquillage discret mais classe, rehaussé d'un rouge à lèvres rose pailleté brillant qui lui donnait un air de cover-girl de luxe. Sachant à quoi elle devait s'attendre, je la trouvait très excitée, un vrai moulin à parole et je pouvais voir ses tétons pointer comme rarement avec seulement quelques légères caresses, elle riait nerveusement au moindre jeu de mot et la moindre plaisanterie. Nous sommes arrivé sur le parking à 21h30. Pédro était censé arriver à 21h 45. Entre temps, comme convenu avec Karen je lui bandais les yeux avec un foulard, et je vérifiais qu'elle ne pouvait rien voir. A l'heure dite, Pédro est arrivé et c'est garé devant notre voiture. Karen avait entendu le moteur et m'a demandé ce qui se passait.
« - Une voiture c'est arrêtée, le chauffeur t'a vu et il descend. C'est un jeune, il est pas mal, bien habillé. Il est souriant et je lui ai fait signe de ne pas parler. Il me fais signe et me demande si on peut aller plus haut, c'est plus tranquille. J'ai dit oui, on y va.
- Ce n'est pas trop isolé tout de même ?
non non, c'est un peu moins éclairé. C'est vrai que nous y voyons rarement quelqu'un, il est trop isolé, c'est ce qu'il nous faut. Les gars connaissent notre voiture, ils monterontJe te fais confiance, tu fais attention aux capote, on ne sait jamais.
Oui oui, ne t'en fait pas !Voilà, Il est redescendu de voiture et vient vers nous . » Pédro est arrivé et en guise de salut il a posé un baiser sur les lèvres de Karen qui lui a répondu d'un petit bonjour timide. Il a penché la tête pour regarder si elle portait une culotte puis il a posé sa main sur la cuisse et a commencé à remonter vers le minou dénudé. Avec l'autre main, il a titillé un téton ayant remarqué que celui-ci pointait fortement. Karen poussa un gémissement d'approbation. Doucement il a commencé à déboutonner le chemisier et en écartait les pans dénudant petit à petit les seins gonflés par l'excitation. Leurs respirations commençaient à s'accélérer, Karen gardait la bouche ouverte. Pédro s'est penché et l'a embrassée. Karen a accepté ce long baiser amoureux. Je pouvais voir les langues s'entremêler, les lèvres s'ouvrir, se coller. Le baiser était réel. Karen n'avait pourtant pas l'habitude de rendre les baisers à ses amants. Il fallait qu'elle soit drôlement excitée pour l'accepter et surtout le lui rendre si ardemment. Il a glissé sa main sous le chemisier grand ouvert et a caressé les seins avec douceur. Il m'a regardé, ses yeux, visiblement reflétaient le plaisir qu'enfin il pouvait ressentir à caresser cette poitrine qu'il avait fait tellement fantasmer. De l'autre main il doigtait la chatte et commençait à branler de plus en plus vigoureusement le clito qu'il avait certainement au bout de ses doigts. Les gémissements se faisaient plus forts et leurs respirations plus accélérées. Je faisais signe à Pédro de sortir sa queue s'il voulait que Karen lui fasse une pipe. Je lui avais tant vanté les pipes "royales" que Karen faisait qu'il n'a pas eu beaucoup d'hésitation. J'ai pu effectivement constater qu'il trouvait Karen très bandante. Je lui ai fait signe de prendre son poignet pour l'amener à destination. Cinq minutes plus tard, Karen caressait calmement la queue bandante offerte. Elle avait même l'air d'apprécier cette queue qui devait faire facilement ses 22 ou 23 cm et de bonne épaisseur.Elle le gratifia d'un :« ha ouhai-ai tout de même. Bravo, elle est magnifique. Je sens que je vais me régaler. On ne baisera peut être pas aujourd'hui, mais j'aime bien les sentir au fond de la gorge. J'espère que tu as des préservatifs parce que seul mon mari peut bénéficier de tout me laisser avaler. Si la quantité correspond à la taille ce devrait être une bonne entrée de matières. »Sur ce, Karen s'est redressée sur son siège. C'était parti, Karen allait lui faire une de ses pipes dont elle a le secret : la pipe royale . Je donnais un préservatif à Pédro et j'ai prévenu Karen de lâcher le mandrin de chaise qu'elle masturbait de sa main. Lorsqu'il était prêt, Pédro s'est présenté vers la bouche toujours ouverte de ma femme. Il a effleuré ses lèvres pour la prévenir. Elle a avancé la tête et a laissé la queue s'enfoncer dans sa bouche. Si Pédro ne cherchait pas à avancer trop loin, c'est Karen qui, l'ayant prit par les fesses l'obligeait à se planter tout au fond de sa gorge. Il y eut le gargouillis annonciateur de l'étouffement et elle recule la tête très lentement. On pouvait voir et entendre les succions et le filet de salive couler sur les bourses , une fois le recul terminé, le gland mastiqué, Karen le faisait replonger au fond de sa gorge. Cela a duré cinq bonnes minutes avant qu'il bloque des deux mains la tête de Karen en grognant fortement. Encore quelques secondes et il s'est retiré de lui même de cet antre du plaisir. Karen ayant reprit le manche de pioche en main, a compris que le préservatif n'avait pas pu garder tout le plaisir éjaculé et que celui-ci débordait par les côtés :« -Attends je connais sa taille et son goût, je voudrais connaître le goût de ton plaisir. Laisse moi en goûter un petit peu. » Pédro, surpris, a sorti son préservatif, l'a mit dans une poche poubelle et posa sa queue en lente "débandaison" sur le bord des lèvres pour que Karen, d'un léger coup de langue, puisse en récupérer quelques gouttes.
« - oh bon sang, tu as dû manger drôlement épicé, c'est très fort. Très bon mais très fort. Décidément, tu es fais pour me plaire : grosse, longue, épaisse et bonne. Tu es un cadeau. »Je faisais signe à Pédro de repartir. Entendant le moteur, Karen me dit :«  -pourquoi tu l'a laissé partir ? On aurait pût faire plus. Je peux retirer le foulard ?
-A moins que tu en veuilles un autre, oui tu peux le retirer.
-non, non après celui-là je préfère en garder toute la saveur. Tu as pris son téléphone ?
Ce n'est pas la peine, on le connaît.
C'est qui ? Ah non je veux le revoir.
Oh mais le revoir, peut être le reverra t on, mais je ne te dirai pas qui c'est que tu as sucé ce soir. Je peux te dire qu'il a vraiment très apprécié, tes nichons, ta chatte, ta bouche, ta pipe.Chaque fois que nous aurons du monde à la maison tu te posera la question : est-il là ? Lorsque tu parlera à quelqu'un qu'on connaît tu te posera la question : est ce lui que j'ai sucé.
Tu es un salop, dis moi seulement si je le vois souvent.
Non, non, je ne dirai rien qui puisse le faire deviner. Si un jour je te le dis, se sera pour que tu ailles dans son lit.
Mais très rapidement, Pédro c'est reporté volontaire pour, ou recommencer, ou mieux pouvoir lui faire l'amour. Il avait trouvé mon épouse spécialement bandante et il aimerait bien la revoir, lui caresser les seins, la chatte...Mais c'est une autre histoire

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Texte coquin : Au bandeau
Histoire sexe : Une rose rouge
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