Sa première expérience prostitution

- Par l'auteur HDS Tyroler frantz -
Auteur couple.
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Récit libertin : Sa première expérience prostitution Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sa première expérience prostitution
Karen à son 1er essai prostitution
Après en avoir longuement discutés de son fantasme de prostitution à son initiative, j’ai été d’accord pour qu’elle fasse un premier essai. Nous avions mis un plan pour une scène de "passe forcée par chantage". Nous avions fait une photo de Karen style pute sur le trottoir et nous avions passé une annonce sur une revue d’annonce sexuelles.
«Belle femme, mature, en manque, cherche rencontre avec amant motivé. Photo exigée et retournée avec réponse.»
Il est vrai que sur la photo, Karen était magnifique et montrait une poitrine 105 C très appétissante, un visage radieux, et un cul à rendre à un eunuque une virilité de jeune-homme. Nous avons reçu 72 réponses avec des photos plus ou moins suggestives. Après un 1er tri, nous en avons gardées cinq ou les gars étaient, certes "en forme", mais surtout avec des présentations correctes. Après le second tri, Karen s’est décidé pour un homme, la cinquantaine, veuf, légèrement bedonnant, visiblement TRES intéressé puisqu’il proposait directement un prix de 200 franc (à l’époque) pour une passe d’une heure et un sup de 50 francs si autorisation de sodomie. Sur sa photo, il était en érection, et aux yeux de Karen il n’y avait aucun danger de grosseur "black", au contraire car sa queue était d’une longueur inhabituelle. Après avoir bien mis point le scénario que nous avions mis en place, nous lui avons donné rendez vous dans le bistrot à proximité de l’hôtel ou il devrait rencontrer un ami pour plus ample présentation. Karen a pris possession de la chambre pour se préparer pendant que j’attendais le client au comptoir. Il est arrivé en avance. Il a d’abord été étonné de la non présence de Karen. Mais je lui ai dit qu’elle était en train de prendre une douche. Mais je lui disais aussi que c’était sa 1ère expérience de prostitution, et que donc, elle serait peut être un peu "gauche", n’étant pas habituée. 2ème problème, nous avions décidés de réduire le prix de cette 1ère car il s’agissait de ma femme et qu’elle exigeait ma présence sans pour cela d’intervention d’aucune manière si ce n’est, à la rigueur, et à la demande du "client" je pourrais participer pour un quelconque fantasme. Ce serait donc 100 francs avec sodomie. En proposant cela, nous étions persuadés qu’il accepterait vu le prix véritablement dérisoire. J’avais minuté au mieux la montée à la chambre du "client" et de mettre notre petit plan avec le plus de vraisemblance possible. Vu qu’il était d’accord, je proposais donc à Joêl de monter à la chambre. J’avais préparé mon téléphone pour signaler notre arrivée à ma femme. Arrivés devant la chambre, je frappais deux fois et entrais sans attendre la réponse. Alors que nous venions de rentrer, Karen sortait elle même de la salle de bain, encore toute mouillée, entourée d’un drap de bain. Comme prévu, elle faisait mine d’être surprise de la présence d’un autre homme:
« -Ma chérie je te présence Joël que j’ai rencontré au bar, il s’agit d’un copain avec qui j’ai fait mon service militaire. Comme je lui avais souvent vanté ta beauté, je lui ai proposé de te présenter.»
Comme prévu, Karen tenait son drap de bain serré au dessus de sa poitrine, je le lui arrachais et elle s’est retrouvée entièrement nue devant le gars.
- Regarde je ne t’ai pas menti, elle est belle hein.
Karen faisait mine d’étre très surprise et cachait son minou, laissant sa poitrine en totale nudité.
Joël était surpris, (ce que nous avions prévus), il a balbutié un vague -oui, elle est magnifique. Et c’est Karen qui a demandé:
"Qu’es ce que tu fais? Pourquoi tu m’exposes ainsi?
-Tu te rappelles l’autre soir, tu m’as humilié devant tous mes copains. Pour t’excuser, tu m’as promis que pour toute une après midi, tu accepterais tout ce que je demanderais sans rechigner.
-Oui, ok, je me rappelle, mais…
- Hé bien voilà, c’est cet après midi. Je t’ai louée à Joël pour qu’il fasse ce qu’il veut pendant une heure pour 100 euros.
- Comment ça, louée, tu veux que je fasses la pute. C’est vrai que tu me l’a demandé plusieurs fois, mais, même si j’avais effectivement hésité, je n’ai jamais dis oui.
- Oui, mais aujourd’hui tu ne peux plus le refuser. Tu m’as promis.
- Tu es un salop, tu sais que je tiens toujours mes promesses. Je vais être obligée de le faire. Tu te rends compte que tu me fais faire la pute.
- Oui, et je sais que tu vas le faire, même si c’est par obligation, tu vas respecter ta promesse. Joël va te violer avec ton consentement et tu ne peux pas le lui refuser puisque c’est mon souhait. "
Joël était visiblement gêné et lorsque je lui demandais s’il était toujours ok, surtout avec cette beauté qui ne serait pute que par obligation sans pouvoir refuser donc presque un viol consenti, il a dis ok.
-Et pour combien tu dis m’avoir louée?
- 100 francs ma chérie tu vas faire la pute pour 100 francs, c’est à dire à moitié prix. Et en plus, tu vas le faire devant moi. Depuis le temps que je veux te voir en train de sucer, de baiser et de te faire enculer, je vais me régaler.
Je dégageais ses mains de devant sa chatte, et la connaissant bien, je pouvais voir quelques goûtes d’excitation humidifier son entre-cuisses.
- Bon, allez, vas y. C’est a toi de faire ton boulot maintenant. Tu fais sa toilette, précautionneusement et je te rappelle que Joël a toute une heure pour te violer et il va te prendre de tous les côtés.
- Oui, ca va, j’ai compris, je vais le faire. Mais il va falloir qu’il soit calme. Me baiser pendant une heure, il faut qu’il soit performant parce qu’avec moi, je vais tout faire comme il faut. Il n’est pas question que je passe pour une débutante. Tu ne me connais pas mon chou, tu vas avoir à faire avec une spécialiste du sexe. Viens mon chou, je vais te préparer. De toute façon, je vais me donner à toi comme à un Dieu. Tu n’es pas prêt de m’oublier. Ca fait 1/4 h que tu lorgnes mes nénés et mon minou, tu vas pouvoir les caresser, les lécher, les téter, tout ce que tu veux. Mais pour le moment il faut me montrer ton zizi, que je vais préparer pour me donner proprement le plus de plaisir possible, et là, fais moi confiance , je sais le prendre.
Joël a suivit Karen jusqu’à la salle de bain. Il s’est retrouvé fasse à cette magnifique paire de nichons et à ce corps magnifique qui sera à son entière disposition après que Karen lui aura "refait peau neuve". Après avoir présenté sa queue pas encore en totale érection, il s’est rapproché du lavabo et à laissé Karen le prendre en main. Comme pour lui faire plaisir, Karen lui lança un:
«-Bel engin, tu as dû en faire crier des femelles avec un truc pareil, mon chou.
- C’est à dire que là, je ne suis pas en érection. Autrement, tu vas voir, si elle est fine en épaisseur, en longueur elle fait tout de même 23 cm en longueur. Tu verras, dans foufoune elle fera son boulot, mais entre les fesses, là, je suis sûr que ce sera la surprise. Toutes ont été surprises mais toutes ont aimés super et ont redemandés. Et j’ai fait trois enfants avec tout de même.
- Plus ceux que tu ne sais pas mon chou, et qui sait, je n’ai pas pris ma pilule aujourd’hui, si tu t’appliques...»
Pendant cette petite discussion, Joël ne se privait pas de caresser les nichons et même le minou.
- Oh bon sang, tu as une poitrine splendide. Ils sont tellement doux à caresser, je me régale. Et c’est pareil avec ta foufoune, j’ai même l’impression que tu mouilles déjà.
- Mais bien sûr mon chou, tes caresses me plaisent. Et, savoir que tu les aimes m’excite encore plus. Quand je penses que je vais la sentir m’envahir autant le minou, la foufoune comme tu dis et même mes fondements, il me tarde de te sentir. Mais il te faudra faire doucement, tu l’as effectivement plus longue que d’habitude.
- Pourquoi, tu l’as trouves bizarre?
-Non, maintenant que tu commence à bander, grosse peut être pas mais elle est très longue et bien oui, elle est fine comme tu dis mais il faudra faire attention pour entre mes fesses, pourquoi on ne te l’a jamais dit? C’est la première fois que tu prends une pute? Elles ont dû te le dire, non?
- Oui, elles me l’ont dit, mais à la sodomie, je ne fais jamais mal contrairement aux queues normales, par contre, je vais plus profondément. Et c’est là qu’elles sont surprises. En plus ça leur plait davantage, tu verras.
-Viens, vas y, tète moi les nénés puisque tu les aimes, et moi, par contre, j’adore ça.
Karen lui a plaqué la bouche sur ses nichons et Joël l’a tétée, passant de l’un à l’autre sans cacher son plaisir et d’une main, fouillant "foufoune", sans délicatesse.
- Attention, mon chou, ne me fait pas jouir tout de suite. On voit de suite que tu as l’habitude. Je suppose que tu as compris que tu es mon premier client, c’est mon premier jour en temps que pute. J’ai beaucoup de chance de tomber sur un doué, pour cette première.
Joël ne pouvait même plus parler. Karen l’avait trainé vers le lit, Il dévorait littéralement les nichons et excité par les flatteries de ma femme et trop heureux d’être placé au rang de "doué" peut être pour la première fois de sa vie, il a commencé à la couvrir de baisers sur la poitrine, sur son ventre, sur les cuisses et remontant sur "foufoune" il a entamé un cunni bien baveux voulant rester le Doué. Karen n’arrêtait pas de gémir et de pousser des "hams et des mon Dieu, des vas y continu mon chou, c’est bon" en me regardant pour me faire des clins d’oeil. Elle plaquait les lèvres de son client sur son entre jambe, comme pour profiter du seul moment ou il lui donnerait, peut être un peu de plaisir. Oh certes, il la baiserait mais une ou deux bonnes pipes bien appuyées et voilà notre "chou" qui serait rapidement en fin de course. Et pourtant elle aura la tache de lui donner du plaisir pendant une bonne heure. Je la savais assez douée pour y arriver.
Elle l’a laissé lui fouiller la chatte, lui refusant de chercher même un petit moment de bonne respiration. Je voyais bien qu’elle n’y prenait qu’un petit plaisir, mais il fallait qu’elle fasse passer le temps. Alors autant profiter de ce cunni qui lui donnait un plaisir minimum. J’étais certain qu’elle même regrettait son choix pour cet homme et qu’elle aurait assurément préféré un VRAI doué, avec une grosse queue, un bon savoir faire, quitte à subir une sodomie douloureuse, mais au moins prendre plusieurs pieds comme elle en prenait à chaque fois avec Amédé ou Philippe.
Mais voilà que tout à coup, ses yeux ne reflétaient plus l’indifférence. Connaissant ses comportements sexuels, j’ai tout de suite compris que non seulement elle était en train de prendre un plaisir anormal au cunni de Joèl, mais je pouvais voir ses deux mains appuyer fortement sur la tête pour ne pas qu’il s’échappe. Elle était même à deux doigts de jouir fortement. Ses gémissements n’étaient plus simulés. Elle prenait véritablement plaisir à se faire bouffer la chatte. Joël, lui, s’acharnait littéralement sur la chatte de ma femme. Lui aussi prenait véritablement plaisir à lécher cette pute. Chose surprenante, il ne bandait toujours pas. Il était performant le bougre. Il la suçait avec acharnement. Karen, maintenant, ne gémissait plus. Elle poussait de petits cris, demandait plus, encore, plus fort, plus profond. Elle était en train de prendre son pied. Même si elle a toujours aimé les cunnis, même si certains de ses amants l’amenaient à la jouissance ainsi, je ne l’avais jamais vue, entendue, jouir de cette force. Et, cette fois, j’étais sûr qu’elle jouissait vraiment fortement. Elle criait par saccades, elle voulait qu’il continu, qu’il force. Je ne l’avais jamais vue jouir de cette force. Elle avait les yeux grand ouverts, elle me regardait les yeux exorbités à la limite de l’affolement. Elle voulait m’affirmer son plaisir, son étonnement, la force de sa jouissance. Je reconnaissais ce regard, elle était dans un autre monde. Elle même était transportée dans l’impossible. Cette jouissance était hors du commun. Elle n’en croyait pas sa chatte. Il lui donnait une jouissance inimaginable. Tout à coup, ses yeux se sont révulsés, elle venait de perdre connaissance. Mais elle reprit connaissance avant même que je n’ai eu à intervenir.
« -Oh, Frantz! Mon Dieu je n’ai jamais connu ça. Si tu savais.
- Oh je sais, j’ai vu, j’ai compris. Prends ton pieds, continus, prends tout. »
Joël a levé la tête et la bouche toute luisante du plaisir de ma femme.
- Qu’est ce qu’elle est bonne. Ca m’arrive souvent, mais faire jouir une pute, à ce point là, ça, c’est la première fois. Et attends, ce n’est pas fini. Il faut reconnaitre qu’en plus, aujourd’hui je suis tombé sur LA bombe. Tu me plais tellement. Oh bon sang, en plus ta chatte est un délice. J’aime ton goût. En plus tes nichons, ton cul, qu’est ce que tu me plais. J’ai rarement aimé lécher un bonne chatte à ce point. Alors attends que je te baise, tu vas voir. Et t’enculer, là, je vais me surpasser, tu vas hurler de plaisir, ça je peux te l’assurer. Et en plus tu n’auras aucune douleur. Je vais te faire ça bien. Tu verras, je suis connu dans ton boulot. Elles m’appellent, "danlcul". Toutes m’en redemande. Aujourd’hui, je suis tombé sur ma nouvelle préférée. Je crois même que je suis amoureux, tu me plais, tu as les nichons que je trouve magnifiques, mais ton cul, si tu savais comme il me tarde de t’entendre jouir. Surtout que pour toi je vais m’appliquer. Qui sait peut être que lorsque je t’aurais finie, tu seras d’accord pour me revoir de temps en temps.
Joël, a changé de position. Maintenant il voulait se faire sucer. Il avait sa petite queue, (pour le moment) à hauteur de la bouche de mon épouse. Elle la prise en main pour le faire bander. Elle n’a pas hésitée, toujours sous l’influence de sa merveilleuse et surprenante jouissance je l’ai vue avancer sa bouche ouverte, s’avancer pour essayer de redresser cette bitte qui pourrait, peut être lui donner un plaisir exceptionnel. Pour le moment, celle ci ne prenait pas encore "bonne mine". Mais j’ai vu ce semblant de bitte, s’engouffrer sans hésiter dans ce gouffre de plaisir. Karen a refermé ses lèvres sur cette bitte pour mastiquer comme elle si bien le faire. Qui résisterait à une "Royale" de ma moitié. Mais au fur et à mesure qu’elle le mastiquait, je voyais nettement le temps qu’elle mettait pour arriver à son gland. Je "mesurais" la différence par rapport à l’habituel. Elle se rallongeait sans arrêt. Et Karen, certainement aussi en surprise, le laissait s’allonger sans arrêter. Jusqu’à ce que Joël, de lui même n’arrête de baiser la bouche de Karen. Sentant son érection "au top", il rechangea de position pour une pénétration vaginale. Là, j’ai pu voir ce fameux phénomène. Bon sang, effectivement, s’il n’y avait pas la largeur, il y avait la longueur. Elle n’arrêtait pas de sortir de la bouche. Comment avait elle réussie de laisser entrer une telle queue dans sa bouche. Pourtant, visiblement elle n’avait nullement indisposée par une telle longueur. J’avais déjà bien vu la queue d’Amédé (22 cms) sortir de sa bouche, mais elle était large. Là, elle restait fine tout en sortant indéfiniment de sa bouche. La baiser, ça c’était sûr il pourrait la baiser. Et l’enculer, oui, aussi. Mais quel plaisir ressentirait ainsi mon épouse. C’était pour son plaisir à elle que je lui avais proposé cet amant, même si c’était elle qui l’avait choisie parmi les 70 "candidats". Il l’a regardée et la voyant docile et en attente il l’a prévenue:
« - Ce ne sera peut être pas le meilleur moment, mais il te donnera un petit aperçu pour la suite, qui, elle, devrait être exceptionnelle. Tu es prête? Ou veux tu que ça se passe, au lit?, sur la table?, sur le tapis? Tu préfères que je te baises ou ?
- Ou tu veux, si tu veux que nous allions au lit, c’est aussi bien. Mais je préfère te prévenir: Après, il n’est pas question d’alterner entre mon minou et mon fripé. Ou alors tu changes de préservatif à chaque changement.
- Ok ma belle. Mais tu verras, quand je serais entre tes fesses, toi tu ne voudra pas que j’alterne, tu voudra me garder dans ton cul. Et Jean pourra se faire sucer pour étouffer tes cris si tu veux, car tu vas jouir, très fort. Et ça je peux te l’assurer.»
Joël, maintenant se plaçait entre les cuisses écartées pour la pénétrer. C’est Karen qui a guidé cette queue pour être bien en face foufoune. Elle s’en est servie, comme d’un pinceau, pour lui donner le feu vert. Comprenant le message, Joël a donné le petit coup de rein et la queue est entrée. Un petit "han" de surprise l’a accueillie. Karen me regardait avec un petit air de surprise indéfinissable. Puis doucement, lentement, il a commencé la longue pénétration et a entamé les va et vient. Je pouvais voir Karen garder son air de surprise. Etait ce de l’indifférence ? Non. Etait-ce du plaisir ? Non. C’était de l’étonnement mélangé avec de l’attente. Mais, en même temps sa respiration c’est accélérée. Elle a posé ses deux mains sur les fesses de son amant et suivait la cadence en appuyant à chaque nouvelle pénétration accompagné d’un changement d’un souffle appuyé. Puis ça été une série d’encouragements pour en arriver à des "hans" cadencés. Bizarrement, son regard avait changé. Maintenant, oui, elle était dans l’étonnement. Elle ne simulait pas, elle prenait plaisir. Mais pas comme d’habitude. C’était un plaisir qui se rapprochait davantage de celui qu’elle avait eu après la jouissance. Un doux plaisir tranquille. Peut être pas un vrai plaisir mais plutôt une satisfaction. Elle me l’a expliqué après, elle commençait à ressentir du plaisir, Mais sans jouissance possible car trop doux. Agréable, c’était ça, agréable, à apprécier, mais sans espérer plus. Alors elle l’a aidé. Ses mains l’ont caressé, oui, les fesses d’abord, puis elle a cherché son frippé. Trouvé ! Une petite caresse et un doigté léger, une petite contraction, alors un doigté plus profond. Un petit soupir encourageant de Joël et j’ai pu voir le doigt de Karen s’enfoncer plus profondément.
« -Oh, salope, vas-y, caresses oh bon sang que c’est bon. Toi, tu sais comment faire. Je savais que tu me donnerais du plaisir. Même si en principe, je n’aime pas ce genre de caresses, de toi, ça me plait, vas y ma belle, continu. Ne t’en fais pas tu auras aussi ta dose de ce côté.»
Joël a prit les lèvres de ma femme et lui a offert un long baiser amoureux. Elle ne savait pas qu’une pute n’embrasse pas, alors elle l’a accepté, y a répondu avec application. Joël, maintenant pilonnait mon épouse avec conviction. Croyait il la faire jouir, la baiser comme un véritable amant? Karen se prêtait elle au jeu ? Je ne saurais dire, car elle commençait ses gémissements de jouissance. Elle même tortillait des fesses comme pour accentuer la jouissance. Et tout à coup elle a explosée. Elle a prit son pied, certes léger mais son pied tout de même.
« - Ma chérie, je te remercies, tu m’as offert un second plaisir, t’avoir faites jouir. Tu es vraiment une merveille. Moi, par contre je n’ai pas jouis, et c’est tant mieux. J’ai ainsi gardé toutes mes forces. Et maintenant, ça va être le top. Surtout que je veux te donner le meilleur comme tu le mérites. Viens, mets toi, à, genoux et en position. Donnes moi tes fesses. Quelle splendeur, voyons ce petit trésor. Mon dieu que c’est beau. Et se tournant vers moi, désignant le cul de Karen:
«- Te rends tu compte de la chance que tu as d’avoir, tous les soirs une merveille pareille. Ses nichons sont fabuleux, les tétons réagissent à la moindre caresse, sa chatte est une merveille, et en plus, regardes ce cul. Je ne saurais le qualifier, j’avais flashé sur la photo mais, là, là, qu’elle merveille. Et regardes ma belle,(et s’adressant à ma femme, et lui montrant sa longue, et fine queue), c’est avec cette asperge que je t’ai faite jouir. Alors, fine comme elle est, tu comprends que je ne te ferais pas mal. Mais par contre, si tu apprécies les sodomies, là tu vas voir tu vas prendre un sacré pied. Et vu un fessier pareil, je ne peux que m’appliquer. »
Il a mit sa queue en face du "petit fripé" et s’accrochant aux hanches j’ai pu voir la petite bitte engager une pénétration lente sans besoin de lubrifiant. Karen, dans le doute, gardait un visage crispé, lèvres serrées et yeux fermés. Alors que la bitte s’était enfoncée déjà de quelques centimètres, elle a ouvert les yeux, sans grimaces de douleur, desserré les lèvres et son visage se décontractait. Effectivement, elle ne ressentait pas de douleur à cette pénétration. Et celle ci continuait sa lente incursion dans le cul accueillant de mon épouse. Ca commençait, elle était à moitié pénétration lorsqu’elle à ouvert les yeux en grand. Elle m’a regardée, son regard plein de surprise et l’a laissé continuer sa visite. Les gémissements commençaient à s’entendre et au fur et à mesure que les yeux s’agrandissaient, ses gémissements devenaient de plus en plus audibles et se changeaient en petits cris de plaisirs de moins en moins espacés. La bitte avait complètement disparue lorsque ses cris devenaient discontinus. Elle ne simulait pas, elle commençait un bonne jouissance. Elle me regardait, visage souriant, bouche ouverte et comme elle regardait mon entre jambes, j’ai ouvert la braguette, sorti ma queue en totale érection. Je me plaçait devant sa bouche et alors que son cri commençait à s’amplifier elle m’a laissé lui baiser la bouche. Mais son murmure étouffé continuait à s’amplifier pour devenir la preuve d’une forte jouissance. Joël m’a fait signe, le pouce levé, que cette sodomie lui procurait un énorme plaisir. Il regardait ma queue pilonner la bouche sa maîtresse et cette vision l’encourageait à la secouer au mieux de plus en plus rapidement. Maintenant Karen saccadait ses cris étouffés au rythme des entrées intempestives de Joël toujours accroché aux hanches de ma femme. J’ai toujours très apprécié de pouvoir regarder Karen se "faire mettre" pendant qu’elle me suçait. Elle même connaissait mon plaisir à la zieuter et l’entendre jouir ainsi prise. Elle a laissé ma queue ressortir pour pouvoir "beugler" une jouissance finale que je n’avais jamais entendu. Et c’est là qu’elle s’est écroulée, épuisée. Ses cris sont redevenus gémissements alors que Joël continuait son pilonnage sans faillir. Jusqu’au moment ou il m’a regardé l’air étonné et ou il a prit son pied et a laissé sa queue vider son plaisir dans les fondements de Karen. Elle a levé les yeux et m’a regardée encore abasourdie d’une telle jouissance. Certes elle avait, de toujours aimé la sodomie et elle y prenait très souvent une bonne jouissance. Mais cette fois-ci, elle venait de connaitre LA jouissance d’une sodomie exceptionnelle. Joël ressortait son asperge du fripé, grommelant des "supers, merveilleux, exceptionnels". Il caressait amoureusement les fesses de Karen en profitant de titiller calmement foufoune.
« - Nous n’avons pas fini l’heure promise, alors si tu me donnes 20 min de repos, je pourrais aisément te redonner une autre jouissance.
- Ok! je vais me "rafraichir" et on remet ça mon chou. Surtout que, si j’ai jouie, j’ai, en plus, gouté à une sodomie différente et effectivement non douloureuse. J’ai toujours aimé me faire enculer, mais là, avec toi, "danl’cul", ça a été merveilleux. Je comprends qu’elle t’en redemande. Et moi même je suis d’accord pour remettre ça avec grand plaisir. Mais à y être tu pourras même rester plus longtemps et tant pis si tu dépasses l’heure payée, je ne demanderais pas de supplément. Je t’en ferai cadeau, mon cher "danl’cul", et en plus tu pourras même me rebaiser en prenant tout ton temps.
- Toute la nuit?
- La nuit peut être pas, mais une heure supplémentaire gratuite pourquoi pas.
Et c’est ainsi que Karen a accepté sa première passe de prostitution sur un fantasme qui la travaillait depuis longtemps. Elle a fait plusieurs expériences de prostitution. Mais le dernier "client" de la dernière expérience nous a fait réfléchir et nous faire arrêter ce genre de sexualité pourtant très jouissif mais effectivement trop dangereux. Pour de ce qui est de Joël, Karen l’avait gardé comme "roue de secours" pour les soirées spéciales ou pouvaient participer quelques autres candaulistes féminines.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C'est surprenant comme les bourgeoises veulent faire la pute alors que les gamines qui n'ont pas eu le choix elles, se retrouvent dans des baraquements ou a l'arrach dans des hotels miteux à se faire massacrer sous la coupe d'un proxenete ou de la mafia !!!!

Vous etes à la ramasse en plein.

Encore vous avez du douiller pour stopper votre connerie.

Superbement bien décrit qu'elle est cette expérience vécue !
Merci... Je me dois de faire une petite escapade sous la douche, vu l'excitation que ce récit a provoqué chez moi !

Histoire Erotique
Superbe histoire bien bandante karen vous devrez être inoubliable



Texte coquin : Sa première expérience prostitution
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