Une soirée bien remplie

Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Une soirée bien remplie
Il était 21 h et nous revenions de chez Maurice. Maurice (lire: la masturbation paysanne) était devenu un des amants de secours lorsque Karen se trouvait en manque sexuel fréquents. Mais cet après-midi, Maurice recevait son fils, Paul, avec un copain saisonier, Joachim, pour d’éventuelles vendanges. Les discussions s’étaient terminées dans la chambre, en fin d’après midi, tous les quatre pendant plus de trois heures. Certe, je n’avais entendu aucune jouissance ni de cris de satisfaction de la part de Karen, mais, pendant un petit casse croute récupérateur, elle m’avait raconté avoir accepté un coup tirés avec chacun des participants plus une DP sans parler de la deuxième DP, manquée à cause de Joachim, le saisonier, qui n’avait pu bander au moment de la sodomiser. Paul, qui venait justement de la baiser avec son père pour la 2ème DP n’était plus opérationnel. C’est donc Maurice qui l’a sodomisée en DP avec "Jeannot" le godemichet black surdimensionné qui, du fait, ne pouvait que la baiser. C’est là qu’elle m’a avoué:
- En fait, ils ne m’ont pas rassasiée, et en plus le deuxième trio manqué m’a plutôt mise en apétit. Si tu es d’accord, j’aimerais bien aller au lac d’Uzurat, on pourrait y être aux alentours de 23 h et c’est la meilleur heure pour des rencontres. Ce soir, je suis toujours en manque et deux ou trois mecs de plus me feraient du bien. En plus je me sens "salope" jusqu’au bout des seins ce soir.
Bien sûr j’étais d’accord. J’ai tout de suite pris la direction de Limoges. Comme nous revenions de chez Maurice, Karen était déjà en tenue sexy exhibition. Durant le trajet j’ai tout fait pour entretenir l’excitation de Karen et améliorer sa sensation de salope en l’élevant au niveau de "super salope". Je voulais la voir en folie avec plus de 2 ou 3 mecs mais, aussi dans notre tableau préféré de cinq ou six mâles en même temps. Un devant pour la baiser, un derrière pour l’enculer, un dans la bouche pour se faire sucer, un dans chaque mains pour se faire masturber, et un ou deux spectateurs pour suppléer en cas d’abandon. Le bosquet des bouleaux était le lieu des partouzes. Aujourd’hui, c’était samedi (jour propice aux rencontres) et le bosquet serait, peut être disponible. Il était 23 h 20 lorsque nous sommes arrivés.
Même s’il n’y avait que peu de monde, nous avons été tout de suite suivis de trois gars lorsque nous avons engagé notre premier tour du lac. Nous sommes arrivés au "bosquet des bouleaux". Il était libre, alors nous nous sommes assis dans l’herbe sur notre couverture. Karen avait son chemisier débraillé, ne camouflant que très peu son 105 C posé sur les bonnets de son redresse seins blanc. Un flirt très coquin a retroussé sa mini jupette jusqu’au nombril. J’ai très vite sorti sa culotte et Karen s’est retrouvée exposée aux ¾ dénudée à la vue des trois gars qui la fixaient en la félicitant sur sa beauté. Il n’a fallu que quelques minutes pour qu’elle se retrouve entourée de deux gars de plus. Ca y était, Karen avait les cinq gars qui, maintenant, l’entouraient s’interrogeant: lequel oserait la caresser en premier. Comme je l’avais allongée après lui avoir enlevé le chemisier, laissant son entre cuisse libre à d’éventuelles caresses, je l’embrassais longuement et fougueusement. A la première main qui se posa sur foufoune, Karen a écarté ses cuisses s’offrant ainsi à ces 5 inconnus. C’est là qu’une femme c’est jointe aux cinq mâles. Elle était magnifique: les seins sans soutif, moulés dans un tee-shirt blanc que la sueur rendait transparant, les mamelons foncés offraient leurs tétons dressés. Ils se balaçaient sans pudeur au moindre mouvement. Visiblement cette femme, mure, dans la quarantaine finissante, était fière de s’exhiber ainsi devant son mari qui caressait les cuisses de Karen en remontant vers foufoune, attendant que celle-ci soit disponible. Karen lachait, en pointillé, des gémissements, tantôt aigus tantôt graves et commençait à tortiller des fesses. Ces nombreuses caresses lui procuraient beaucoup de plaisir non simulé. Les mains de mon épouse ne savaient plus ou chercher les queues en érection. A peine trouvée, celle-ci était masturbée, caressée, secouée. Jusqu’à ce qu’elle trouve cette autre foufoune que la jeune femme avait mise à portée. La femme s’était mise à quatre pattes et l’écrasant de sa bouche, elle lui a brouté le gazon, que son mari avait libéré. Là, Karen a litéralement éclaté. Les gémissements incessants et sacadés poussés par Karen se faisaient l’écho des gémissements de la femme qui laissait les caresses se déplacer vers elle. Elle s’est retrouvée sans tee shirt, le short aux genoux, le trou de balle fouillé, la foufoune baisée par 2 puis trois doigts et la main de Karen qui caressait ses seins. Puis la partouze improvosée a commencé. Un cri de surprise gratifiait d’un merci, une bitte bandante pénétrant sa foufoune exposé. Ainsi Karen, libérée momentanémant de ses caresseurs c’est retrouvée chevauchée et sauvagement baisée par le mari de la jeune femme, elle même prise par un des gars, enfin: baisée, enculée…? Comment deviner dans l’amas de corps nus à la recherche de quelconque plaisir. Un des gars c’est retrouvé homosexualisé par un autre participant. Et tout ça dans un brouhaha de gémissements de plaisir, de douleurs enculatoires, et d’ordres de performances. Tous les plaisirs ont été donnés, reçus, offrets et partagés. Des trios se sont formés, puis assouvis. Les bittes ont débandées, les foufounes se sont refermées. Même si les caresses ont essayées de prolonger, la fatigue c’est faite sentir. Tous les neuf, nous nous sommes retrouvés allongés, nus, rassasiés, les queues au repos, les nichons dégonflés, les foufounes et trous de balle dégoulinants. Nous étions facinés par ce qui venait de nous emerveiller. Chacun est parti de son côté. Karen, affalée sur son siège s’esclaffa:
« - Maintenant, Oui, je suis rassasiée. Et même si j’ai mon cul qui me dit STOP, j’aimerais bien soulager un solitaire célibataire avec une pipe et une branlette. »
A trois heure du mat, nous faisions un deuxième tour autour du lac, Karen seins nus cherchait son solitaire célibataire. En fait ça été un petit quarantenaire qui, assis sur l’herbe zieutait toute femme passant devant lui. Il avait les yeux fixés sur les nichons de Karen qui les laissait se balancer au grés de sa marche. Karen, souriante, le salua. Bien sûr le gars a engagé une conversation "à ne rien dire". Karen venait d’accrocher son solitaire célibataire. Bien sûr, la conversation s’est très vite retrouvée sur les nichons exposés.
«-vous les trouvez en beauté, mais je vous assure qu’ils sont fermes et ,la peau très douce...vous pouvez vérifier? »
- Ah oui, effectivement, ils sont non seulent beaux mais très agrébles à caresser, en plus vos tétons dressés sont un régal
- Tes caresses me plaisent et me font du bien.
-Tout a l’heure, je t’ai vue avec tous ces mecs, je n’ai pas osé m’imposer. Tous en voulaient à tes nénés. C’était normal c’est un régal. Pour ce soir, c’est toi la miss nichons de la soirée.
-Merci, ta flatterie m’ait agréable. Mais j’aimerai bien voir l’effet que je te fais.
Karen avait posé sa main sur la braguette de son pantalon et commençait a descendre la braguette. Le gars c’est allongé, a lui même fouillé pour sortir la preuve de son excitation. Il était apparament très excité au point que Karen a dû l’aider à sortir cette queue qui s’était bloquée, entortillée dans son slip.
-Ah oui, effectivement , tu as dû en faire gueuler des nanas avec une queue pareille.
Elle a dégagé une queue 22/5 du pantalon et a commencé par une petite branlette de redressement. Cette queue bien raide et de cette taille avait tout pour plaire à ma femme. Elle s’est assise pour se mettre en position de pipeuse. Elle a posé sa tête sur le bas du ventre du gars, en frolant la bouche du gland. Puis elle a mit en marche la langue comme pour vérifier la comestibilité de ce bareau de chaise qu’elle masturbait à vitesse rapide pour s’assurer de sa raideur.
Le gars me regardait en souriant. Il attendait de sentir les lèvres de cette salope envelopper sa queue et la mettre dans son sexe buccal et lui donner l’autorisation de s’enfoncer au plus profond de sa gorge. Karen allait lui donner ce plaisir. Je voyais le bout de sa langue s’allonger le long de la queue, la bouche s’ouvrir pour pouvoir accepter cette queue magnifique qui tout à coup très vitre disparaissait. Karen très excitée, était en train de lui faire ce que j’appellais -une royale-. Elle l’a faite entrer au plus profond de sa gorge, l’a gardée un moment ainsi puis doucement, lentement sa tête revenait en arrière Quelques coups de langue titillaient la hampe de cette colone de chair luisante. Elle a mastiqué un moment le gland comme si elle avait un chamalo dans le palais. Le gars, visiblent appréciait cette "royale" en gémissant d’aise. Puis brutalement, Karen refaisait plonger la queue le long de sa langue en forme de gaine accompagnée de petits coups de langue. Karen ne lachait pas le regard de ce veinard qui avait eu la chance d’être là pour recevoir ce magnifique cadeau. Il avait posé une main sur la tête de Karen et qui n’arrêtait pas de lui malaxer les nichons de l’autre main. Moi même je la baisais de deux doigts avec des va et vients accélérés dans une foufoune très largement lubrifiée. Voyant la queue du gars cracher son plaisir sur sa poitrine, j’en profitais pour abandonner foufoune et honorer le trou de balle bien lubrifié pendant le gang bang. Surpise mais oh combien consentante elle a poussé son miaullement de plaisir, acceuillant cette caresse comme un plaisir supplémentaire. J’ai attendu la dernière giclée de plaisir du gars pour le dernier retour en vrillant de mes doigts sodomites.
- Oh, bon sang, c’est sûr que tu es une experte des pipes. C’est domage que ma femme ne sache pas les faire comme toi. Bon sang que c’était bon, j’ai bien fait de venir ce soir; Et en plus cette paire de nichons ...Quel régal autant pour la vue que pour les carresses, ces tétons dressés lorsqu’on les caresse dans la main, on les sent chauds doux et moélleux. Je pourrais les carresser des heures, les téter, les soupeser. Je rêverai d’être ton soutien gorge. Je les aurais en main les sentant se balancer , les tétons chatouillant le creux de ma main. Non je ne m’en lacerais pas.
Le gars n’arretait pas de la flatter de sa plastique, des ces nichons, de son cul, de sa bouche et de sa langue ainsi que de ces gambettes et de foufoune. Nous l’avons quitté encore tout emerveiller de ce plaisir inoubliable autant qu’inatendu.
Nous sommes rentrés à la maison. Karen n’a pas résisté à sortir sa mini jupette et son chemisier. Ses seins blancs posés sur les demi-bonnets de son redresse seins comme dans une vitrine ont donnés beaucoup de plaisir visuel aux chauffeurs routiers que nous doublions et qui la remerciaent d’un coup de klacson. J’ai interprété un de ses sourires comme une demande.
-Tu veux que je m’arrête ? Au prochain parking il y a un wc invalide. Si tu veux un routier pour te finir …
- Certe je suis rassasiée, mais si ça te plairait de me voir baiser…
- ou enculée…
- Enculée peut être pas, j’ai eu ma dose ce soir. Mais quelques va et vient dans mon minou Oui ça me plairait bien. Tiens, celui là c’est un black. Qui sait, s’il est foutu comme beaucoup certains black, se serait loin de me déplaire.
- Ok je m’arrêtes. Tu lui demandes une bonne levrette, comme ça tu pourras me sucer en même temps.
Ainsi fut fait, elle s’est faite prendre en levrette pendant que j’étais au chaud dans sa bouche. Le routier avait une vraie queue black et l’avait travaillée pendant plus de 10 mn. Il était reparti sans un mot mais avec le regard dédaigneux. Pour lui, il venait de se faire une putain gratuite et non une femme pleine d’envie pour un black. Sur le coup elle ne l’a même pas sucé. Il aura loupé une royale de ma Karen sans savoir ce qu’il avait loupé.
- En fait, ils ne m’ont pas rassasiée, et en plus le deuxième trio manqué m’a plutôt mise en apétit. Si tu es d’accord, j’aimerais bien aller au lac d’Uzurat, on pourrait y être aux alentours de 23 h et c’est la meilleur heure pour des rencontres. Ce soir, je suis toujours en manque et deux ou trois mecs de plus me feraient du bien. En plus je me sens "salope" jusqu’au bout des seins ce soir.
Bien sûr j’étais d’accord. J’ai tout de suite pris la direction de Limoges. Comme nous revenions de chez Maurice, Karen était déjà en tenue sexy exhibition. Durant le trajet j’ai tout fait pour entretenir l’excitation de Karen et améliorer sa sensation de salope en l’élevant au niveau de "super salope". Je voulais la voir en folie avec plus de 2 ou 3 mecs mais, aussi dans notre tableau préféré de cinq ou six mâles en même temps. Un devant pour la baiser, un derrière pour l’enculer, un dans la bouche pour se faire sucer, un dans chaque mains pour se faire masturber, et un ou deux spectateurs pour suppléer en cas d’abandon. Le bosquet des bouleaux était le lieu des partouzes. Aujourd’hui, c’était samedi (jour propice aux rencontres) et le bosquet serait, peut être disponible. Il était 23 h 20 lorsque nous sommes arrivés.
Même s’il n’y avait que peu de monde, nous avons été tout de suite suivis de trois gars lorsque nous avons engagé notre premier tour du lac. Nous sommes arrivés au "bosquet des bouleaux". Il était libre, alors nous nous sommes assis dans l’herbe sur notre couverture. Karen avait son chemisier débraillé, ne camouflant que très peu son 105 C posé sur les bonnets de son redresse seins blanc. Un flirt très coquin a retroussé sa mini jupette jusqu’au nombril. J’ai très vite sorti sa culotte et Karen s’est retrouvée exposée aux ¾ dénudée à la vue des trois gars qui la fixaient en la félicitant sur sa beauté. Il n’a fallu que quelques minutes pour qu’elle se retrouve entourée de deux gars de plus. Ca y était, Karen avait les cinq gars qui, maintenant, l’entouraient s’interrogeant: lequel oserait la caresser en premier. Comme je l’avais allongée après lui avoir enlevé le chemisier, laissant son entre cuisse libre à d’éventuelles caresses, je l’embrassais longuement et fougueusement. A la première main qui se posa sur foufoune, Karen a écarté ses cuisses s’offrant ainsi à ces 5 inconnus. C’est là qu’une femme c’est jointe aux cinq mâles. Elle était magnifique: les seins sans soutif, moulés dans un tee-shirt blanc que la sueur rendait transparant, les mamelons foncés offraient leurs tétons dressés. Ils se balaçaient sans pudeur au moindre mouvement. Visiblement cette femme, mure, dans la quarantaine finissante, était fière de s’exhiber ainsi devant son mari qui caressait les cuisses de Karen en remontant vers foufoune, attendant que celle-ci soit disponible. Karen lachait, en pointillé, des gémissements, tantôt aigus tantôt graves et commençait à tortiller des fesses. Ces nombreuses caresses lui procuraient beaucoup de plaisir non simulé. Les mains de mon épouse ne savaient plus ou chercher les queues en érection. A peine trouvée, celle-ci était masturbée, caressée, secouée. Jusqu’à ce qu’elle trouve cette autre foufoune que la jeune femme avait mise à portée. La femme s’était mise à quatre pattes et l’écrasant de sa bouche, elle lui a brouté le gazon, que son mari avait libéré. Là, Karen a litéralement éclaté. Les gémissements incessants et sacadés poussés par Karen se faisaient l’écho des gémissements de la femme qui laissait les caresses se déplacer vers elle. Elle s’est retrouvée sans tee shirt, le short aux genoux, le trou de balle fouillé, la foufoune baisée par 2 puis trois doigts et la main de Karen qui caressait ses seins. Puis la partouze improvosée a commencé. Un cri de surprise gratifiait d’un merci, une bitte bandante pénétrant sa foufoune exposé. Ainsi Karen, libérée momentanémant de ses caresseurs c’est retrouvée chevauchée et sauvagement baisée par le mari de la jeune femme, elle même prise par un des gars, enfin: baisée, enculée…? Comment deviner dans l’amas de corps nus à la recherche de quelconque plaisir. Un des gars c’est retrouvé homosexualisé par un autre participant. Et tout ça dans un brouhaha de gémissements de plaisir, de douleurs enculatoires, et d’ordres de performances. Tous les plaisirs ont été donnés, reçus, offrets et partagés. Des trios se sont formés, puis assouvis. Les bittes ont débandées, les foufounes se sont refermées. Même si les caresses ont essayées de prolonger, la fatigue c’est faite sentir. Tous les neuf, nous nous sommes retrouvés allongés, nus, rassasiés, les queues au repos, les nichons dégonflés, les foufounes et trous de balle dégoulinants. Nous étions facinés par ce qui venait de nous emerveiller. Chacun est parti de son côté. Karen, affalée sur son siège s’esclaffa:
« - Maintenant, Oui, je suis rassasiée. Et même si j’ai mon cul qui me dit STOP, j’aimerais bien soulager un solitaire célibataire avec une pipe et une branlette. »
A trois heure du mat, nous faisions un deuxième tour autour du lac, Karen seins nus cherchait son solitaire célibataire. En fait ça été un petit quarantenaire qui, assis sur l’herbe zieutait toute femme passant devant lui. Il avait les yeux fixés sur les nichons de Karen qui les laissait se balancer au grés de sa marche. Karen, souriante, le salua. Bien sûr le gars a engagé une conversation "à ne rien dire". Karen venait d’accrocher son solitaire célibataire. Bien sûr, la conversation s’est très vite retrouvée sur les nichons exposés.
«-vous les trouvez en beauté, mais je vous assure qu’ils sont fermes et ,la peau très douce...vous pouvez vérifier? »
- Ah oui, effectivement, ils sont non seulent beaux mais très agrébles à caresser, en plus vos tétons dressés sont un régal
- Tes caresses me plaisent et me font du bien.
-Tout a l’heure, je t’ai vue avec tous ces mecs, je n’ai pas osé m’imposer. Tous en voulaient à tes nénés. C’était normal c’est un régal. Pour ce soir, c’est toi la miss nichons de la soirée.
-Merci, ta flatterie m’ait agréable. Mais j’aimerai bien voir l’effet que je te fais.
Karen avait posé sa main sur la braguette de son pantalon et commençait a descendre la braguette. Le gars c’est allongé, a lui même fouillé pour sortir la preuve de son excitation. Il était apparament très excité au point que Karen a dû l’aider à sortir cette queue qui s’était bloquée, entortillée dans son slip.
-Ah oui, effectivement , tu as dû en faire gueuler des nanas avec une queue pareille.
Elle a dégagé une queue 22/5 du pantalon et a commencé par une petite branlette de redressement. Cette queue bien raide et de cette taille avait tout pour plaire à ma femme. Elle s’est assise pour se mettre en position de pipeuse. Elle a posé sa tête sur le bas du ventre du gars, en frolant la bouche du gland. Puis elle a mit en marche la langue comme pour vérifier la comestibilité de ce bareau de chaise qu’elle masturbait à vitesse rapide pour s’assurer de sa raideur.
Le gars me regardait en souriant. Il attendait de sentir les lèvres de cette salope envelopper sa queue et la mettre dans son sexe buccal et lui donner l’autorisation de s’enfoncer au plus profond de sa gorge. Karen allait lui donner ce plaisir. Je voyais le bout de sa langue s’allonger le long de la queue, la bouche s’ouvrir pour pouvoir accepter cette queue magnifique qui tout à coup très vitre disparaissait. Karen très excitée, était en train de lui faire ce que j’appellais -une royale-. Elle l’a faite entrer au plus profond de sa gorge, l’a gardée un moment ainsi puis doucement, lentement sa tête revenait en arrière Quelques coups de langue titillaient la hampe de cette colone de chair luisante. Elle a mastiqué un moment le gland comme si elle avait un chamalo dans le palais. Le gars, visiblent appréciait cette "royale" en gémissant d’aise. Puis brutalement, Karen refaisait plonger la queue le long de sa langue en forme de gaine accompagnée de petits coups de langue. Karen ne lachait pas le regard de ce veinard qui avait eu la chance d’être là pour recevoir ce magnifique cadeau. Il avait posé une main sur la tête de Karen et qui n’arrêtait pas de lui malaxer les nichons de l’autre main. Moi même je la baisais de deux doigts avec des va et vients accélérés dans une foufoune très largement lubrifiée. Voyant la queue du gars cracher son plaisir sur sa poitrine, j’en profitais pour abandonner foufoune et honorer le trou de balle bien lubrifié pendant le gang bang. Surpise mais oh combien consentante elle a poussé son miaullement de plaisir, acceuillant cette caresse comme un plaisir supplémentaire. J’ai attendu la dernière giclée de plaisir du gars pour le dernier retour en vrillant de mes doigts sodomites.
- Oh, bon sang, c’est sûr que tu es une experte des pipes. C’est domage que ma femme ne sache pas les faire comme toi. Bon sang que c’était bon, j’ai bien fait de venir ce soir; Et en plus cette paire de nichons ...Quel régal autant pour la vue que pour les carresses, ces tétons dressés lorsqu’on les caresse dans la main, on les sent chauds doux et moélleux. Je pourrais les carresser des heures, les téter, les soupeser. Je rêverai d’être ton soutien gorge. Je les aurais en main les sentant se balancer , les tétons chatouillant le creux de ma main. Non je ne m’en lacerais pas.
Le gars n’arretait pas de la flatter de sa plastique, des ces nichons, de son cul, de sa bouche et de sa langue ainsi que de ces gambettes et de foufoune. Nous l’avons quitté encore tout emerveiller de ce plaisir inoubliable autant qu’inatendu.
Nous sommes rentrés à la maison. Karen n’a pas résisté à sortir sa mini jupette et son chemisier. Ses seins blancs posés sur les demi-bonnets de son redresse seins comme dans une vitrine ont donnés beaucoup de plaisir visuel aux chauffeurs routiers que nous doublions et qui la remerciaent d’un coup de klacson. J’ai interprété un de ses sourires comme une demande.
-Tu veux que je m’arrête ? Au prochain parking il y a un wc invalide. Si tu veux un routier pour te finir …
- Certe je suis rassasiée, mais si ça te plairait de me voir baiser…
- ou enculée…
- Enculée peut être pas, j’ai eu ma dose ce soir. Mais quelques va et vient dans mon minou Oui ça me plairait bien. Tiens, celui là c’est un black. Qui sait, s’il est foutu comme beaucoup certains black, se serait loin de me déplaire.
- Ok je m’arrêtes. Tu lui demandes une bonne levrette, comme ça tu pourras me sucer en même temps.
Ainsi fut fait, elle s’est faite prendre en levrette pendant que j’étais au chaud dans sa bouche. Le routier avait une vraie queue black et l’avait travaillée pendant plus de 10 mn. Il était reparti sans un mot mais avec le regard dédaigneux. Pour lui, il venait de se faire une putain gratuite et non une femme pleine d’envie pour un black. Sur le coup elle ne l’a même pas sucé. Il aura loupé une royale de ma Karen sans savoir ce qu’il avait loupé.
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