Les yeux bandés 1
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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Les yeux bandés 1
Les yeux bandés 1,
Karen et moi, Frantz, son mari pratiquions le candaulisme depuis plus de trois ans. Nous affectionnions plusieurs modes de pratiques: l’exhibitionnisme sur un parking au pied de l’hôpital de Toulouse-Rangueil, quelques soirées fellations sur ce même parking les soirs ou Karen en recevait à ses habitudes sexuelles d’ado, des fréquentes soirées trios avec, la plupart des fois des habitués Bien Montés ou Très Bien Montés, par hasard quelques rares gang bang, et encore plus rarement une ou deux partouzes. De mon côté, j’étais chauffeur routier grande route. Quelques fois ou le "fret" l’exigeait, le patron me mettait en double équipage avec José, un portugais sympathique. Ce qui faisait que nous conduisions en alternance pendant toute la semaine. Pour cela nous avions des frais de déplacement assez conséquents et pour gagner un repas supplémentaire chacun, j’invitais José à manger à la maison le jour de notre retour avant de rentrer au dépôt. A la maison, Karen n’était pas spécialement pudique. Et lorsque nous arrivions, elle était habillée comme "tous les vendredi", c’est à dire assez sexy, puisque c’était ces jours là que je rentrais habituellement à, jeun sexuellement et elle aussi donc tous les deux en manque. Généralement elle ne portait pas de soutien gorge sous son chemisier plus que légèrement transparent, ni culotte sous sa mini jupe très courte. Si cette tenue me plaisait beaucoup et me donnait des idées, pour José elle le mettait en fort émoi, au point ou j’étais assuré qu’il était très amoureux de mon épouse.
Il nous arrivait souvent, au cour des repas dans les restos routiers, que nous discutions de nos épouses et des problèmes de ménage. Un soir ou, José devant reprendre son tour de conduite, j’avais un peu trop poussé sur l’alcool, j’en étais arrivé à lui faire des confidences sur notre mode de vie candauliste. Si José n’avait pas été surpris par le côté impudique de Karen, il a été très étonné par le côté très sexuel de ce mode de vie. Mais lorsque je lui parlais des "soirées fellations" ou Karen arrivait à sucer 4 ou 5 gars dans la soirée, il s’est tout de suite porté volontaire pour être un de ces gars. Il a été déçu par l’interdiction que nous nous étions fixé avec Karen, à savoir, pas de copains, de parents même éloigné, pas de voisin ni collègue. Mais le fait de lui avoir fait ces confidences, ajouté au fait qu’il était discrètement très amoureux d’elle, il nous arrivait d’en parler assez souvent, ce qui m’a poussé à, moi même, d’y penser en solitaire. Pourquoi pas trouver un plan pour mettre José en relation sexuelle avec Karen malgré les interdictions. J’ai mis 15 jours pour, peut être, trouver un plan pour ce nouveau fantasme. J’en parlais avec lui et toute la semaine nous avons améliorés les moindres petits détails. Le premier épisode serait que Karen fasse une pipe à José sans qu’elle sache que c’était lui. Le second était que nous mettions en place une soirée trio ou elle apprendrait, ce même soir, qui était l’heureux bénéficiaire.
Dans un premier temps, je devais faire savoir à Karen que je soupçonnais José d’être amoureux d’elle. Elle en a rigolé, me disant qu’elle s’en était aperçue et que sa tenue lors des invitations y était pour beaucoup mais que ce n’était jamais allé plus loin que quelques regards rapides sur sa poitrine ou entre ses cuisses, même si elle faisait quelques fois exprès d’en montrer davantage. Et ce soir là, je lui proposait que lors d’une soirée fellations lorsqu’elle le désirerait, ce serait amusant d’essayer de le faire les yeux bandés. Trouvant l’idée nouvelle et originale elle a été d’accord pour faire un essai la semaine suivante. Tout heureux de cet accord, j’ai prévenu José et lui ai donné rendez-vous pour 21hoo précise. Le samedi suivant nous sommes arrivés, Karen et moi à 20 h 40. J’avais garé la voiture dans un coin un peu à l’écart sur le grand parking, à l’orée d’un petit bois. Pendant tout le trajet puis pendant l’attente, j’avais essayé de maintenir l’excitation de Karen au maximum et je pouvais constater en la caressant que j’y étais arrivé car elle avait foufoune très lubrifié. Je lui bandais les yeux avec un foulard en coton. A 21H00 comme prévu, José garait sa voiture derrière la notre. Karen m’a demandé de commenter, je lui ai répondu qu’une voiture c’était arrêtée et qu’un homme venait vers nous, que c’était un quarantenaire, bien mit, souriant. Elle s’est calée sur son siège en me demandant de surtout surveiller la pose de préservatif. La vitre était ouverte et José est arrivé. Il s’est penché pour voir si, effectivement, comme je lui avait dit, elle ne portait pas de culotte et en a profité pour poser un petit baiser sur les lèvres de ma femme. Il m’a regardé après s’être émerveillé sur la poitrine débraillée et qui exhibait son 105 C dénudé, il a tendu la main pour la caresser en me demandant s’il pouvait.
« - Oui, oui bien sûr. Elle aime bien se laisser caresser et en plus elle est très fière de sa poitrine. Et en bas, Foufounette est un autre trésor à flatter, c’est pour cela qu’elle n’a pas mit de culotte.
- Oui je vois c’est une splendeur. C’est un régal de pouvoir admirer une telle beauté. »
José avait eu la bonne idée de changer l’intonation de sa voix car Karen aurait pu le reconnaitre. Et tout en lui caressant les seins, il a posé ses lèvres sur la bouche de Karen qui a accepté le baiser, langue en avant. José à profité du baiser baveux pour aller "visiter" Foufounette. Karen n’eu que la réaction d’accepter en écartant les cuisses. Au bout d’un moment il m’a montré ses doigts mouillés et a chatouillé les lèvres de Karen qui n’a pas refoulé l’idée de les sucer. Il a reprit les caresses d’abord sur les cuisses, les hanches, et est revenu sur la poitrine. José m’avait souvent dit qu’il était très attiré par cette poitrine. Tout en lui tendant un préservatif, je lui ai fait signe que s’il voulait se faire sucer, il faudrait qu’il sorte sa queue. Alors, d’une main, il a ouvert sa braguette et péniblement, il a sorti sa queue. Je pouvais constater qu’effectivement il était Bien Monté. Il avait une queue qui faisait bien ses 19/20 cm, bien raide et bien droite avec un gland bien formé en obus. Il a prit une main de Karen et l’a posée sur sa bitte. Karen à refermé ses doigts et l’a caressée lentement. Alors Karen s’est redressée sur son siège et tournant la tête vers José et s’est approchée pour le sucer. C’est José qui a fait entrer sa queue dans la bouche de mon épouse qu’elle venait d’ouvrir après que José lui ai effleuré les lèvres avec le gland. J’ai pu voir sa queue avancer de plus en plus profondément. Elle n’avait pas totalement disparue lorsqu’elle a eu le petit hoquet du fond de gorge. Elle a reculé la tête, la faite ressortir. Elle a mastiqué le gland comme elle aurait fait avec un Caramel, puis prenant un rythme assez lent elle l’a sucé avec des succions constantes. Elle était en train de lui faire sa royale. Aucun chanceux ne c’était empêché de commenter, de féliciter, de remercier un tel bonheur. Il n’arrêtait pas de gémir, de s’étonner d’un tel plaisir. Je pouvais voir ses joues se gonfler, se dégonfler à mesure des succions. Tout en lui soupesant les couilles elle léchait le long de la hampe pour arriver au gland et le faire replonger au fond de sa gorge. Elle l’a sucé ainsi jusqu’à ce qu’il se retire de lui même et lâche sur les seins plusieurs giclées de son plaisir en poussant les grognements du mâle satisfait. Comme à son accoutumée elle ne pu s’empêcher de lui demander si ça lui avait plu. Un:
« - oh mon dieu Oui, comme elle était bonne. A ce point c’est même trop rare. Alors je rajoutais.
- Elle suce depuis toute jeune. Elle préférait sucer que baiser. Elle a apprit comme ça.»
J’ai fait signe à José de partir. Au bruit du moteur, elle m’a demandé d’un ait étonné,
- Pourquoi tu l’a laissé partir, on aurait pu faire plus. J’ai beaucoup aimé sa queue. T’as pris ses coordonnées j’espère. Avec une bitte pareille j’aimerai bien le revoir. Et s’enlevant le bandeau elle m’a demandé de partir avant que deux gars qui montaient n’arrive.
- Ce n’est pas la peine, on le connait.
- Qui c’est ?
- A non, je ne dirais rien. Mais chaque fois qu’une de nos connaissance viendra à la maison tu pourras te demander si c’est lui que tu as sucé ce soir.
- Tu es un salop.
C’est ainsi que la première partie de notre plan avait marché à merveille. José, déjà très amoureux de Karen était aux anges, m’avouant qu’il s’était masturbé plusieurs fois déjà, en se remémorant les nichons de ma femme qu’il avait pu, enfin caresser, à ses tétons qui réagissaient comme des ressorts tellement ils étaient en érection, et, surtout, à cette bouche qui lui avait donné ce plaisir tant fantasmé. Bien sûr nous avons discutés du deuxième épisode qui lui donnerait l’immense plaisir de la baiser. Mais ça, c’est dans le second récit.
Karen et moi, Frantz, son mari pratiquions le candaulisme depuis plus de trois ans. Nous affectionnions plusieurs modes de pratiques: l’exhibitionnisme sur un parking au pied de l’hôpital de Toulouse-Rangueil, quelques soirées fellations sur ce même parking les soirs ou Karen en recevait à ses habitudes sexuelles d’ado, des fréquentes soirées trios avec, la plupart des fois des habitués Bien Montés ou Très Bien Montés, par hasard quelques rares gang bang, et encore plus rarement une ou deux partouzes. De mon côté, j’étais chauffeur routier grande route. Quelques fois ou le "fret" l’exigeait, le patron me mettait en double équipage avec José, un portugais sympathique. Ce qui faisait que nous conduisions en alternance pendant toute la semaine. Pour cela nous avions des frais de déplacement assez conséquents et pour gagner un repas supplémentaire chacun, j’invitais José à manger à la maison le jour de notre retour avant de rentrer au dépôt. A la maison, Karen n’était pas spécialement pudique. Et lorsque nous arrivions, elle était habillée comme "tous les vendredi", c’est à dire assez sexy, puisque c’était ces jours là que je rentrais habituellement à, jeun sexuellement et elle aussi donc tous les deux en manque. Généralement elle ne portait pas de soutien gorge sous son chemisier plus que légèrement transparent, ni culotte sous sa mini jupe très courte. Si cette tenue me plaisait beaucoup et me donnait des idées, pour José elle le mettait en fort émoi, au point ou j’étais assuré qu’il était très amoureux de mon épouse.
Il nous arrivait souvent, au cour des repas dans les restos routiers, que nous discutions de nos épouses et des problèmes de ménage. Un soir ou, José devant reprendre son tour de conduite, j’avais un peu trop poussé sur l’alcool, j’en étais arrivé à lui faire des confidences sur notre mode de vie candauliste. Si José n’avait pas été surpris par le côté impudique de Karen, il a été très étonné par le côté très sexuel de ce mode de vie. Mais lorsque je lui parlais des "soirées fellations" ou Karen arrivait à sucer 4 ou 5 gars dans la soirée, il s’est tout de suite porté volontaire pour être un de ces gars. Il a été déçu par l’interdiction que nous nous étions fixé avec Karen, à savoir, pas de copains, de parents même éloigné, pas de voisin ni collègue. Mais le fait de lui avoir fait ces confidences, ajouté au fait qu’il était discrètement très amoureux d’elle, il nous arrivait d’en parler assez souvent, ce qui m’a poussé à, moi même, d’y penser en solitaire. Pourquoi pas trouver un plan pour mettre José en relation sexuelle avec Karen malgré les interdictions. J’ai mis 15 jours pour, peut être, trouver un plan pour ce nouveau fantasme. J’en parlais avec lui et toute la semaine nous avons améliorés les moindres petits détails. Le premier épisode serait que Karen fasse une pipe à José sans qu’elle sache que c’était lui. Le second était que nous mettions en place une soirée trio ou elle apprendrait, ce même soir, qui était l’heureux bénéficiaire.
Dans un premier temps, je devais faire savoir à Karen que je soupçonnais José d’être amoureux d’elle. Elle en a rigolé, me disant qu’elle s’en était aperçue et que sa tenue lors des invitations y était pour beaucoup mais que ce n’était jamais allé plus loin que quelques regards rapides sur sa poitrine ou entre ses cuisses, même si elle faisait quelques fois exprès d’en montrer davantage. Et ce soir là, je lui proposait que lors d’une soirée fellations lorsqu’elle le désirerait, ce serait amusant d’essayer de le faire les yeux bandés. Trouvant l’idée nouvelle et originale elle a été d’accord pour faire un essai la semaine suivante. Tout heureux de cet accord, j’ai prévenu José et lui ai donné rendez-vous pour 21hoo précise. Le samedi suivant nous sommes arrivés, Karen et moi à 20 h 40. J’avais garé la voiture dans un coin un peu à l’écart sur le grand parking, à l’orée d’un petit bois. Pendant tout le trajet puis pendant l’attente, j’avais essayé de maintenir l’excitation de Karen au maximum et je pouvais constater en la caressant que j’y étais arrivé car elle avait foufoune très lubrifié. Je lui bandais les yeux avec un foulard en coton. A 21H00 comme prévu, José garait sa voiture derrière la notre. Karen m’a demandé de commenter, je lui ai répondu qu’une voiture c’était arrêtée et qu’un homme venait vers nous, que c’était un quarantenaire, bien mit, souriant. Elle s’est calée sur son siège en me demandant de surtout surveiller la pose de préservatif. La vitre était ouverte et José est arrivé. Il s’est penché pour voir si, effectivement, comme je lui avait dit, elle ne portait pas de culotte et en a profité pour poser un petit baiser sur les lèvres de ma femme. Il m’a regardé après s’être émerveillé sur la poitrine débraillée et qui exhibait son 105 C dénudé, il a tendu la main pour la caresser en me demandant s’il pouvait.
« - Oui, oui bien sûr. Elle aime bien se laisser caresser et en plus elle est très fière de sa poitrine. Et en bas, Foufounette est un autre trésor à flatter, c’est pour cela qu’elle n’a pas mit de culotte.
- Oui je vois c’est une splendeur. C’est un régal de pouvoir admirer une telle beauté. »
José avait eu la bonne idée de changer l’intonation de sa voix car Karen aurait pu le reconnaitre. Et tout en lui caressant les seins, il a posé ses lèvres sur la bouche de Karen qui a accepté le baiser, langue en avant. José à profité du baiser baveux pour aller "visiter" Foufounette. Karen n’eu que la réaction d’accepter en écartant les cuisses. Au bout d’un moment il m’a montré ses doigts mouillés et a chatouillé les lèvres de Karen qui n’a pas refoulé l’idée de les sucer. Il a reprit les caresses d’abord sur les cuisses, les hanches, et est revenu sur la poitrine. José m’avait souvent dit qu’il était très attiré par cette poitrine. Tout en lui tendant un préservatif, je lui ai fait signe que s’il voulait se faire sucer, il faudrait qu’il sorte sa queue. Alors, d’une main, il a ouvert sa braguette et péniblement, il a sorti sa queue. Je pouvais constater qu’effectivement il était Bien Monté. Il avait une queue qui faisait bien ses 19/20 cm, bien raide et bien droite avec un gland bien formé en obus. Il a prit une main de Karen et l’a posée sur sa bitte. Karen à refermé ses doigts et l’a caressée lentement. Alors Karen s’est redressée sur son siège et tournant la tête vers José et s’est approchée pour le sucer. C’est José qui a fait entrer sa queue dans la bouche de mon épouse qu’elle venait d’ouvrir après que José lui ai effleuré les lèvres avec le gland. J’ai pu voir sa queue avancer de plus en plus profondément. Elle n’avait pas totalement disparue lorsqu’elle a eu le petit hoquet du fond de gorge. Elle a reculé la tête, la faite ressortir. Elle a mastiqué le gland comme elle aurait fait avec un Caramel, puis prenant un rythme assez lent elle l’a sucé avec des succions constantes. Elle était en train de lui faire sa royale. Aucun chanceux ne c’était empêché de commenter, de féliciter, de remercier un tel bonheur. Il n’arrêtait pas de gémir, de s’étonner d’un tel plaisir. Je pouvais voir ses joues se gonfler, se dégonfler à mesure des succions. Tout en lui soupesant les couilles elle léchait le long de la hampe pour arriver au gland et le faire replonger au fond de sa gorge. Elle l’a sucé ainsi jusqu’à ce qu’il se retire de lui même et lâche sur les seins plusieurs giclées de son plaisir en poussant les grognements du mâle satisfait. Comme à son accoutumée elle ne pu s’empêcher de lui demander si ça lui avait plu. Un:
« - oh mon dieu Oui, comme elle était bonne. A ce point c’est même trop rare. Alors je rajoutais.
- Elle suce depuis toute jeune. Elle préférait sucer que baiser. Elle a apprit comme ça.»
J’ai fait signe à José de partir. Au bruit du moteur, elle m’a demandé d’un ait étonné,
- Pourquoi tu l’a laissé partir, on aurait pu faire plus. J’ai beaucoup aimé sa queue. T’as pris ses coordonnées j’espère. Avec une bitte pareille j’aimerai bien le revoir. Et s’enlevant le bandeau elle m’a demandé de partir avant que deux gars qui montaient n’arrive.
- Ce n’est pas la peine, on le connait.
- Qui c’est ?
- A non, je ne dirais rien. Mais chaque fois qu’une de nos connaissance viendra à la maison tu pourras te demander si c’est lui que tu as sucé ce soir.
- Tu es un salop.
C’est ainsi que la première partie de notre plan avait marché à merveille. José, déjà très amoureux de Karen était aux anges, m’avouant qu’il s’était masturbé plusieurs fois déjà, en se remémorant les nichons de ma femme qu’il avait pu, enfin caresser, à ses tétons qui réagissaient comme des ressorts tellement ils étaient en érection, et, surtout, à cette bouche qui lui avait donné ce plaisir tant fantasmé. Bien sûr nous avons discutés du deuxième épisode qui lui donnerait l’immense plaisir de la baiser. Mais ça, c’est dans le second récit.
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