Karen et sa masturbation paysanne
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karen et sa masturbation paysanne
KAREN et sa masturbation paysanne, ,
J’allais pêcher au bord d’une rivière qui traversait une propriété fermière. Quelques fois le paysan, Antoine, venait et nous discutions. C’était un paysan à l’ancienne, la soixantaine, un fort accent qui roulait les R, et le visage strié de fortes rides. Il s’est avéré qu’Antoine connaissait Karen car en allant chercher son petit fils à l’école il y voyait ma femme. Et très vite la discussion en est arrivée à la plastique de ma femme qu’il trouvait très belle. Et même que lorsqu’il en avait discuté avec des copains à la belote, ils avaient classés mon épouse comme ayant les plus belles "mamelles" du village. Et lorsqu’il la voyait à l’école, il avait remarqué que Karen ne faisait pas grand-chose pour cacher sa poitrine lorsqu’il regardait avec insistance dans son décolleté. Il s’en régalait et regrettait que son épouse n’avait pas les mêmes trésors sous son chemisier. Alors lorsque je lui racontais que pas mal d’hommes avaient les mêmes réactions lorsqu’elle faisait les seins nus à la plage à Narbonne, voir même le nu intégral, il regrettait de ne pas aller à la mer pour la voir ainsi. Je lui proposais qu’un soir d’été, je pourrais l’amener pour manger sur l’herbe, et qu’il pourrait peut être la voir ainsi s’il était très discret. Il m’a demandé de le prévenir lorsque je l’amènerais. Le soir même j’en parlais avec elle et se rappelant des oeillades d’Antoine dans son décolleté elle m’a promit de lui prouver qu’elle avait de très jolis "seins" et non pas des "mamelles", et même plus si, le fait de s’exhiber ainsi, pourrait la échauffer. Je prévenais Antoine qu’il se pourrait que j’amène Karen le soir pour pêcher et pique-niquer (sans jeu de mots)
Nous sommes arrivés à 19 h et nous nous sommes installés. Après un jambon beurre et avoir installé une ligne, Karen m’a signalé qu’elle croyait avoir vu quelqu’un derrière les buissons et qui nous observait. Alors, chose promise, chose due, j’entrepris un flirt un peu poussé. Très vite, Karen se retrouvait sans chemisier, donc seins nus et petite culotte. Elle m’a signalé qu’Antoine, était debout derrière le buisson et même qu’elle était sûre qu’il se masturbait. Alors qu’elle disait cela, je pouvais remarquer que ses tétons s’étaient rallongés et qu’elle s’excitait de cette exhibition.
« - En mettant tes fesses vers lui tu pourrais me faire une petite pipe pour lui en donner d’avantage.
- A toi d’accord, mais lui je ne le suces pas. Je lui montre déjà mes nichons, il peux deviner mes fesses, je ne le sucerais certainement pas. A la rigueur, il pourra tâter mes mamelles, mais pas plus.
- Tu pourrais l’aider à le masturber. S’il te caresse les nénés, ça va l’exciter.
- Surtout depuis le temps qu’il les lorgne, il en est même obsédé, oh ! Si tu veux que je le branle, il faudra me le demander devant lui et surtout qu’il ai gardé sa queue dehors. Ce ne sera certainement pas moi qui vais le déshabiller.»
Elle s’est penchée et avalant ma queue elle m’a fait un royale comme elle a l’art de les faire. Pendant qu’elle me suçait je faisais signe à Antoine de venir. Il est arrivé tout doucement, le regard fixé sur les fesses exposées. Karen avait mit une culotte blanche très fine qui ne cachait pas grand chose de ses trésors. Antoine s’est penché pour voir les nichons que Karen faisait balancer. Il a même mit un genoux à terre pour voir de plus près. Comme je lui faisais signe d’en caresser un, il a lentement avancé une main et a enveloppé un sein de sa main calleuse. Maintenant, Antoine qui n’avait pas rangé ses bijoux de famille, bandait vraiment très fort. Il était très visible qu’Antoine s’intéressait fortement aux nichons de Karen et jetait quelques coups d’oeil sur l’entre fesses alors que Karen avait bien écarté ses cuisses pour être bien stable. Au bout d’un moment, voulant que Karen fasse la fausse pudique en voyant Antoine, je lui caressais les fesses je la prévenais que nous avions un visiteur. Karen s’est redressée et voyant Antoine, une main sur un sein, un petit OH de surprise, elle a mit son chemisier devant foufoune et a refoulé la main qui s’amusait avec le téton.
« - Bonjour Antoine, on s’excuse, c’est Frantz qui m’a amené pour un pique nique.
- Rien de grave, ma p’tite dame, le bonheur est pour moi. Regardez dans quel état vous me mettez. Depuis que ma Jeanne est partie. Pourtant vous m’aviez vu derrière les buissons.
- Si tu veux le soulager ma chérie, vas-y, caresse le.
- Oh oui ma p’tite dame je ne refuserais pas.
Se tournant vers moi:
- Vous êtes gonflés tous les deux, maintenant il faut que je le caresse? Il m’a déjà paluchée les nichons.
- Je crois même qu’une petite branlette ne lui ferait pas de mal!
- Bon d’accord, au point ou j’en suis, mais juste une petite branlette.»
Et Karen l’a masturbé, d’abord doucement, mais la branlette mettant du temps à lâcher son plaisir elle a accéléré et a fini par le faire jouir alors qu’Antoine lui caressait les deux seins. Antoine avait les yeux rivés sur foufoune qui exposée sous la culotte transparente baillait sans pudeur. Karen, assise les jambes croisées exhibait, en plus de ses nichons, une foufoune débordant généreusement de la culotte que j’avais écartée lors de mes caresses.
Karen a dirigé le Karcher vers sa poitrine et s’est laissée inondée les nichons de la jouissance d’Antoine.
« - OH bon sang c’est vraiment mieux que de le faire soi même. Merci ma p’tite dame. Si vous voulez des oeufs vous pouvez venir boire le canon tant que vous voudrez. J’ai des poules, des canards gras pour Noël et même des agneaux si vous voulez.»
C’est ainsi que nous ne manquions ni d’oeufs, ni de poulets et de foie gras. Pour les gigots, Karen n’hésitait pas à l’aider toute une matinée mais elle revenait toute gaiguette avec le gigot et souvent même une poule. Le soir à la maison, elle me racontait à quel point il était performant à son âge pouvant la baiser longuement plusieurs fois dans la matinée et la faisant monter chaque fois "au septième ciel".
J’allais pêcher au bord d’une rivière qui traversait une propriété fermière. Quelques fois le paysan, Antoine, venait et nous discutions. C’était un paysan à l’ancienne, la soixantaine, un fort accent qui roulait les R, et le visage strié de fortes rides. Il s’est avéré qu’Antoine connaissait Karen car en allant chercher son petit fils à l’école il y voyait ma femme. Et très vite la discussion en est arrivée à la plastique de ma femme qu’il trouvait très belle. Et même que lorsqu’il en avait discuté avec des copains à la belote, ils avaient classés mon épouse comme ayant les plus belles "mamelles" du village. Et lorsqu’il la voyait à l’école, il avait remarqué que Karen ne faisait pas grand-chose pour cacher sa poitrine lorsqu’il regardait avec insistance dans son décolleté. Il s’en régalait et regrettait que son épouse n’avait pas les mêmes trésors sous son chemisier. Alors lorsque je lui racontais que pas mal d’hommes avaient les mêmes réactions lorsqu’elle faisait les seins nus à la plage à Narbonne, voir même le nu intégral, il regrettait de ne pas aller à la mer pour la voir ainsi. Je lui proposais qu’un soir d’été, je pourrais l’amener pour manger sur l’herbe, et qu’il pourrait peut être la voir ainsi s’il était très discret. Il m’a demandé de le prévenir lorsque je l’amènerais. Le soir même j’en parlais avec elle et se rappelant des oeillades d’Antoine dans son décolleté elle m’a promit de lui prouver qu’elle avait de très jolis "seins" et non pas des "mamelles", et même plus si, le fait de s’exhiber ainsi, pourrait la échauffer. Je prévenais Antoine qu’il se pourrait que j’amène Karen le soir pour pêcher et pique-niquer (sans jeu de mots)
Nous sommes arrivés à 19 h et nous nous sommes installés. Après un jambon beurre et avoir installé une ligne, Karen m’a signalé qu’elle croyait avoir vu quelqu’un derrière les buissons et qui nous observait. Alors, chose promise, chose due, j’entrepris un flirt un peu poussé. Très vite, Karen se retrouvait sans chemisier, donc seins nus et petite culotte. Elle m’a signalé qu’Antoine, était debout derrière le buisson et même qu’elle était sûre qu’il se masturbait. Alors qu’elle disait cela, je pouvais remarquer que ses tétons s’étaient rallongés et qu’elle s’excitait de cette exhibition.
« - En mettant tes fesses vers lui tu pourrais me faire une petite pipe pour lui en donner d’avantage.
- A toi d’accord, mais lui je ne le suces pas. Je lui montre déjà mes nichons, il peux deviner mes fesses, je ne le sucerais certainement pas. A la rigueur, il pourra tâter mes mamelles, mais pas plus.
- Tu pourrais l’aider à le masturber. S’il te caresse les nénés, ça va l’exciter.
- Surtout depuis le temps qu’il les lorgne, il en est même obsédé, oh ! Si tu veux que je le branle, il faudra me le demander devant lui et surtout qu’il ai gardé sa queue dehors. Ce ne sera certainement pas moi qui vais le déshabiller.»
Elle s’est penchée et avalant ma queue elle m’a fait un royale comme elle a l’art de les faire. Pendant qu’elle me suçait je faisais signe à Antoine de venir. Il est arrivé tout doucement, le regard fixé sur les fesses exposées. Karen avait mit une culotte blanche très fine qui ne cachait pas grand chose de ses trésors. Antoine s’est penché pour voir les nichons que Karen faisait balancer. Il a même mit un genoux à terre pour voir de plus près. Comme je lui faisais signe d’en caresser un, il a lentement avancé une main et a enveloppé un sein de sa main calleuse. Maintenant, Antoine qui n’avait pas rangé ses bijoux de famille, bandait vraiment très fort. Il était très visible qu’Antoine s’intéressait fortement aux nichons de Karen et jetait quelques coups d’oeil sur l’entre fesses alors que Karen avait bien écarté ses cuisses pour être bien stable. Au bout d’un moment, voulant que Karen fasse la fausse pudique en voyant Antoine, je lui caressais les fesses je la prévenais que nous avions un visiteur. Karen s’est redressée et voyant Antoine, une main sur un sein, un petit OH de surprise, elle a mit son chemisier devant foufoune et a refoulé la main qui s’amusait avec le téton.
« - Bonjour Antoine, on s’excuse, c’est Frantz qui m’a amené pour un pique nique.
- Rien de grave, ma p’tite dame, le bonheur est pour moi. Regardez dans quel état vous me mettez. Depuis que ma Jeanne est partie. Pourtant vous m’aviez vu derrière les buissons.
- Si tu veux le soulager ma chérie, vas-y, caresse le.
- Oh oui ma p’tite dame je ne refuserais pas.
Se tournant vers moi:
- Vous êtes gonflés tous les deux, maintenant il faut que je le caresse? Il m’a déjà paluchée les nichons.
- Je crois même qu’une petite branlette ne lui ferait pas de mal!
- Bon d’accord, au point ou j’en suis, mais juste une petite branlette.»
Et Karen l’a masturbé, d’abord doucement, mais la branlette mettant du temps à lâcher son plaisir elle a accéléré et a fini par le faire jouir alors qu’Antoine lui caressait les deux seins. Antoine avait les yeux rivés sur foufoune qui exposée sous la culotte transparente baillait sans pudeur. Karen, assise les jambes croisées exhibait, en plus de ses nichons, une foufoune débordant généreusement de la culotte que j’avais écartée lors de mes caresses.
Karen a dirigé le Karcher vers sa poitrine et s’est laissée inondée les nichons de la jouissance d’Antoine.
« - OH bon sang c’est vraiment mieux que de le faire soi même. Merci ma p’tite dame. Si vous voulez des oeufs vous pouvez venir boire le canon tant que vous voudrez. J’ai des poules, des canards gras pour Noël et même des agneaux si vous voulez.»
C’est ainsi que nous ne manquions ni d’oeufs, ni de poulets et de foie gras. Pour les gigots, Karen n’hésitait pas à l’aider toute une matinée mais elle revenait toute gaiguette avec le gigot et souvent même une poule. Le soir à la maison, elle me racontait à quel point il était performant à son âge pouvant la baiser longuement plusieurs fois dans la matinée et la faisant monter chaque fois "au septième ciel".
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Récit amusant et finalement très excitant. Le mari est bien complaisant et a noué une grande amitié avec le paysan, au point de lui prêter sa femme. J'aurais peut-être bien aimé faire cela avec la mienne, qui sait ?