Karen à ses débuts
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Karen à ses débuts
Karen à ses débuts,
Nous en étions à nos premiers mois de candaulisme et nous ne pratiquions, pour le moment des exhibitions de plus en plus osées. Mais je sentais bien que si elle s’en excitait, ces petites exhibitions laissaient Karen dans la frustration. Alors un soir ou nous roulions comme à l’accoutumée sur l’autoroute Toulouse/Cahors, après avoir constaté qu’elle était moins excitée que d’habitude, je lui posais franchement la question:
«-Je ne te sens pas comme d’habitude, y a t’il quelque chose qui ne va pas?
- si, si, tout va bien, ça me plait toujours, mais ça devient de la routine. Les chauffeurs me regardent, me voient à poils, ça les excite mais c’est toujours pareil. Après il ne se passe rien. Il y a quelque chose qui me manque, oui, c’est çà, je me sens en manque.
- Que voudrais tu de plus qui change, à part de nous arrêter, de te laisser caresser, l’amener dans les WC ou tu pourrais lui faire une pipe ou le laisser te baiser ? je ne vois pas comment pourrait-on persiller ce genre d’expérience.
- Bon, baiser peut être ce serait trop par rapport à de l’exhibition, mais me laisser caresser, le caresser, à la rigueur lui faire une pipe, ça, par contre, ce serait possible. Tu sais que j’ai toujours aimé sucer, alors pourquoi pas. Je le fais une fois et on en reparle à la maison. De toute façon, ce n’est qu’une petite pipe, ce n’est pas très grave. L’essentiel c’est que ça nous plaise et nous excite.
- OK pour des échanges de caresses et même une pipe si tu veux épicer un peu, moi, personnellement ça me va. Comment voudrais tu que cela se fasse?-.
- On s’arrête sur l’aire avec WC invalides et je vais aux WC, toute nue. Je suppose qu’il m’y suivra. On se caresse, et je lui fais une pipe. Mais pour cette première je préfèrerais que tu ne me voies pas la lui faire. Tu pourrais attendre derrière la porte, au cas ou.…
- Ok pour moi. Tu commences ce soir?
- Oui, ok, surtout que d’en parler, ça m’a excitée. On en reparle après. Je regarde tout de même si le gars me plait.»
Au bout de quelques kms, nous étions derrière un semi remorque, Karen a enlevé sa jupette, ouvert entièrement son petit haut et nous avons doublé le camion. Arrivé à la hauteur de sa cabine j’avais réglé ma vitesse à la sienne laissant au chauffeur de bien réaliser, de regarder et de faire des signes. Et c’est ce qui c’est passé. D’après Karen, le gars était mignon. A un geste de sa part, Karen a largement écarté les cuisses, j’en ai profité pour la doigtée. Elle mouillait abondemment. Ca y était, elle s’en excitait, c’était gagné. Elle allait le sucer. Elle lui souriait et s’est même caressée les seins.
« -Il me fais signe qu’il aimerait bien me les caresser lui aussi.
- Ok, fait lui signe que tu es d’accord. Je m’arrêtes à l’aire suivante.
- ok, il nous suit. T’es toujours d’accord hein, s’il est propre, je lui fais une pipe.
- ok je reste derrière la porte, si tu apelles j’interviens.
- Tu te rends compte je vais sucer un de tes collègues, gratuitement. La prochaine fois tu pourras regarder et même me caresser les nichons pendant que je le sucerais.»
Le routier et moi avons mis le clignotant ensemble pour entrer dans l’aire de repos que je connaissais ayant un W.C. pour invalide, plus spacieux. Nous nous sommes garés juste devant et le camion à un emplacement spécial camion. Karen a attendu un moment pour voir arriver le chaffeur. C’était un grand gaillard, la quarantaine apparance sympa. Karen n’a pas hésitée, elle est sortie et s’est dirigée vers les WC. Elle était entièrement nue, elle a ouvert la porte, est entrée et s’est retournée pour voir si le gaillard la suivait. Lorsqu’il est passé devant la voiture, j’avais ouvert la vitre et lui ai dit en lui tendant un préservatif:
«- Tiens elle te fera certainement une bonne pipe et je peux t’assurer qu’elle est très douée mais seulement avec un préservatif.
- Elle sera d’accord pour que je la baise?
- Baiser, ça m’étonnerait, tu peux toujours le lui demander. Mais, ce soir elle voulait faire une pipe à un chauffeur routier comme moi, je suis un collègue. Allez, vas y je serais derrière la porte. Je regarderais une fois ou deux pour voir ou vous en êtes, mais sans intervenir.»
Le gaillard est allé la rejoindre, elle l’a laissé entrer. Il en a profité pour prendre un accompte en lui caressant un sein au passage. Karen m’a fait signe, le pousse levé, que c’était ok. La porte refermée je suis allé vérifier que la porte n’était pas fermée à clés. J’ai pu voir qu’ils s’embrassaient et qu’il lui malaxait les seins d’une main et la chatte de l’autre. Karen, plaquée contre la faience avait, elle aussi, une main posée sur la braguette du pantalon. Elle rendait le baiser avec beaucoup de ferveur. Sans vouloir ouvrir elle même la braguette du pantalon, Karen faisait mine de descendre la fermeture éclair. Alors, le routier s’est occupé de cette demande. Après avoir descendu la braguette il s’efforça, avec quelques difficultés à sortir sa queue. Karen , profitant de cette sortie, reprit "la chose" en main. Et c’est sa douce main qui a entouré l’objet convoité et l’a caressé doucement. C’est à ce moment qu’elle a décidé de s’assoir sur la cuvette des WC. Sa bouche s’est donc retrouvée à la bonne hauteur. Le gars, qui n’attendait que ça s’est avancé pour se retrouver à l’entrée de la bouche ouverte de mon épouse. De lui même, il a commencé la pénétration. Je voulais voir ma femme sucer cette queue inconnue. Ca toujours été ma vision préférée lors de toutes nos expériences dans le futur. Aujourd’hui, je savais qu’elle ne rechignerait pas à m’offrir un tel tableau. Elle lui caressait les couilles tandis que le gars me regardait et me faisait signe, le pouce levé, que c’était super agréable. Il lui caressait les cheveux et à commencé à lui imposer un ryhtme de plus en plus rapide. Karen le gardait volontiers en bouche surveillant la jouissance, sans craindre celle-ci, vu le préservatif. Elle avait simplement l’intention de le lui retirer pour le laisser inonder sa poitrine. Pour elle c’était sa récompense pour un "travail bien fait". De plus c’était sa première pipe à un inconnu devant moi.
Tout à coup, il a ouvert grand les yeux et a regardé Karen sortir cette grosse queue de sa bouche, et tout en le fixant, dirigeait son karcher inonder les deux globes laiteux. Les tétons en érection, ont accueillis cet homage alors que Karen gémissait de plaisir. J’avais même l’impression qu’elle était elle même en train de jouir de son exploit. Elle a répendu le plaisir gluant sur sa poitrine comme une crème bienfaitrice pour seins. Elle regardait fixement le valeureux chanceux, le sourire aux lèvres, le sourire de la salope satisfaite du résultat. Il s’est penché et lui as demandé:
« -Tu es sacrément douée ma belle, et maintenant que fait on ? J’aimerais bien continuer, qu’en penses-tu ?
- Comment cela faire plus, je t’ai fait jouir avec ma bouche et tu m’as bien arrosée. Que voudrais tu de plus, me baiser ?»
- ben oui, puisque tu le proposes, pourquoi pas!
- Non je crois que ce soir, pour moi, j’ai été suffisemment pute comme le voulait mon mari. Je préfère en rester là. Même si ta queue m’a donnée tout ce qu’il me faut pour m’exciter, mon mari va finir le boulot. Tu peux même rester pour regarder mais, toi, pas touche, t’as déjà eu ta part.»
Le gars est reparti après l’avoir remerciée. Nous sommes repartis et sommes rentrés . Durant le trajet retour, Karen n’a rien dit durant ¼ d’heure. Puis elle a éclaté:
« -Tu te rends compte, j’ai sucé un inconnu dans des WC public et ça m’a plu. J’en ai même jouis. C’est à peine croyable. J’ai fait la pute, devant toi, et même mieux, lorsqu’il m’a demandé si j’étais d’accord pour baiser avec lui, j’ai faillit lui dire que ce serait payant. Et j’ai encore jouis en le pensant. J’ai jouis deux fois pour une pipe avec un inconnu.
- Tu aimerais recommencer ?
- Non pas aujourd’hui. Pour les autres soirs, il vaudrait mieux en discuter avant. C’est tout de même à la limite de la prostitution non ?
- Oui? Effectivement, si tu te fais payer! Mais si tu le fait gratis ce n’est que pour le plaisir et là, ce n’est plus de la prostitution.
En fin de compte, Karen était d’accord pour refaire un essai, mais qu’il faudrait discuter de oui ou non pour ce qu’il serait de la prostitution. En deux mots : payant, oui ou non.
Nous en étions à nos premiers mois de candaulisme et nous ne pratiquions, pour le moment des exhibitions de plus en plus osées. Mais je sentais bien que si elle s’en excitait, ces petites exhibitions laissaient Karen dans la frustration. Alors un soir ou nous roulions comme à l’accoutumée sur l’autoroute Toulouse/Cahors, après avoir constaté qu’elle était moins excitée que d’habitude, je lui posais franchement la question:
«-Je ne te sens pas comme d’habitude, y a t’il quelque chose qui ne va pas?
- si, si, tout va bien, ça me plait toujours, mais ça devient de la routine. Les chauffeurs me regardent, me voient à poils, ça les excite mais c’est toujours pareil. Après il ne se passe rien. Il y a quelque chose qui me manque, oui, c’est çà, je me sens en manque.
- Que voudrais tu de plus qui change, à part de nous arrêter, de te laisser caresser, l’amener dans les WC ou tu pourrais lui faire une pipe ou le laisser te baiser ? je ne vois pas comment pourrait-on persiller ce genre d’expérience.
- Bon, baiser peut être ce serait trop par rapport à de l’exhibition, mais me laisser caresser, le caresser, à la rigueur lui faire une pipe, ça, par contre, ce serait possible. Tu sais que j’ai toujours aimé sucer, alors pourquoi pas. Je le fais une fois et on en reparle à la maison. De toute façon, ce n’est qu’une petite pipe, ce n’est pas très grave. L’essentiel c’est que ça nous plaise et nous excite.
- OK pour des échanges de caresses et même une pipe si tu veux épicer un peu, moi, personnellement ça me va. Comment voudrais tu que cela se fasse?-.
- On s’arrête sur l’aire avec WC invalides et je vais aux WC, toute nue. Je suppose qu’il m’y suivra. On se caresse, et je lui fais une pipe. Mais pour cette première je préfèrerais que tu ne me voies pas la lui faire. Tu pourrais attendre derrière la porte, au cas ou.…
- Ok pour moi. Tu commences ce soir?
- Oui, ok, surtout que d’en parler, ça m’a excitée. On en reparle après. Je regarde tout de même si le gars me plait.»
Au bout de quelques kms, nous étions derrière un semi remorque, Karen a enlevé sa jupette, ouvert entièrement son petit haut et nous avons doublé le camion. Arrivé à la hauteur de sa cabine j’avais réglé ma vitesse à la sienne laissant au chauffeur de bien réaliser, de regarder et de faire des signes. Et c’est ce qui c’est passé. D’après Karen, le gars était mignon. A un geste de sa part, Karen a largement écarté les cuisses, j’en ai profité pour la doigtée. Elle mouillait abondemment. Ca y était, elle s’en excitait, c’était gagné. Elle allait le sucer. Elle lui souriait et s’est même caressée les seins.
« -Il me fais signe qu’il aimerait bien me les caresser lui aussi.
- Ok, fait lui signe que tu es d’accord. Je m’arrêtes à l’aire suivante.
- ok, il nous suit. T’es toujours d’accord hein, s’il est propre, je lui fais une pipe.
- ok je reste derrière la porte, si tu apelles j’interviens.
- Tu te rends compte je vais sucer un de tes collègues, gratuitement. La prochaine fois tu pourras regarder et même me caresser les nichons pendant que je le sucerais.»
Le routier et moi avons mis le clignotant ensemble pour entrer dans l’aire de repos que je connaissais ayant un W.C. pour invalide, plus spacieux. Nous nous sommes garés juste devant et le camion à un emplacement spécial camion. Karen a attendu un moment pour voir arriver le chaffeur. C’était un grand gaillard, la quarantaine apparance sympa. Karen n’a pas hésitée, elle est sortie et s’est dirigée vers les WC. Elle était entièrement nue, elle a ouvert la porte, est entrée et s’est retournée pour voir si le gaillard la suivait. Lorsqu’il est passé devant la voiture, j’avais ouvert la vitre et lui ai dit en lui tendant un préservatif:
«- Tiens elle te fera certainement une bonne pipe et je peux t’assurer qu’elle est très douée mais seulement avec un préservatif.
- Elle sera d’accord pour que je la baise?
- Baiser, ça m’étonnerait, tu peux toujours le lui demander. Mais, ce soir elle voulait faire une pipe à un chauffeur routier comme moi, je suis un collègue. Allez, vas y je serais derrière la porte. Je regarderais une fois ou deux pour voir ou vous en êtes, mais sans intervenir.»
Le gaillard est allé la rejoindre, elle l’a laissé entrer. Il en a profité pour prendre un accompte en lui caressant un sein au passage. Karen m’a fait signe, le pousse levé, que c’était ok. La porte refermée je suis allé vérifier que la porte n’était pas fermée à clés. J’ai pu voir qu’ils s’embrassaient et qu’il lui malaxait les seins d’une main et la chatte de l’autre. Karen, plaquée contre la faience avait, elle aussi, une main posée sur la braguette du pantalon. Elle rendait le baiser avec beaucoup de ferveur. Sans vouloir ouvrir elle même la braguette du pantalon, Karen faisait mine de descendre la fermeture éclair. Alors, le routier s’est occupé de cette demande. Après avoir descendu la braguette il s’efforça, avec quelques difficultés à sortir sa queue. Karen , profitant de cette sortie, reprit "la chose" en main. Et c’est sa douce main qui a entouré l’objet convoité et l’a caressé doucement. C’est à ce moment qu’elle a décidé de s’assoir sur la cuvette des WC. Sa bouche s’est donc retrouvée à la bonne hauteur. Le gars, qui n’attendait que ça s’est avancé pour se retrouver à l’entrée de la bouche ouverte de mon épouse. De lui même, il a commencé la pénétration. Je voulais voir ma femme sucer cette queue inconnue. Ca toujours été ma vision préférée lors de toutes nos expériences dans le futur. Aujourd’hui, je savais qu’elle ne rechignerait pas à m’offrir un tel tableau. Elle lui caressait les couilles tandis que le gars me regardait et me faisait signe, le pouce levé, que c’était super agréable. Il lui caressait les cheveux et à commencé à lui imposer un ryhtme de plus en plus rapide. Karen le gardait volontiers en bouche surveillant la jouissance, sans craindre celle-ci, vu le préservatif. Elle avait simplement l’intention de le lui retirer pour le laisser inonder sa poitrine. Pour elle c’était sa récompense pour un "travail bien fait". De plus c’était sa première pipe à un inconnu devant moi.
Tout à coup, il a ouvert grand les yeux et a regardé Karen sortir cette grosse queue de sa bouche, et tout en le fixant, dirigeait son karcher inonder les deux globes laiteux. Les tétons en érection, ont accueillis cet homage alors que Karen gémissait de plaisir. J’avais même l’impression qu’elle était elle même en train de jouir de son exploit. Elle a répendu le plaisir gluant sur sa poitrine comme une crème bienfaitrice pour seins. Elle regardait fixement le valeureux chanceux, le sourire aux lèvres, le sourire de la salope satisfaite du résultat. Il s’est penché et lui as demandé:
« -Tu es sacrément douée ma belle, et maintenant que fait on ? J’aimerais bien continuer, qu’en penses-tu ?
- Comment cela faire plus, je t’ai fait jouir avec ma bouche et tu m’as bien arrosée. Que voudrais tu de plus, me baiser ?»
- ben oui, puisque tu le proposes, pourquoi pas!
- Non je crois que ce soir, pour moi, j’ai été suffisemment pute comme le voulait mon mari. Je préfère en rester là. Même si ta queue m’a donnée tout ce qu’il me faut pour m’exciter, mon mari va finir le boulot. Tu peux même rester pour regarder mais, toi, pas touche, t’as déjà eu ta part.»
Le gars est reparti après l’avoir remerciée. Nous sommes repartis et sommes rentrés . Durant le trajet retour, Karen n’a rien dit durant ¼ d’heure. Puis elle a éclaté:
« -Tu te rends compte, j’ai sucé un inconnu dans des WC public et ça m’a plu. J’en ai même jouis. C’est à peine croyable. J’ai fait la pute, devant toi, et même mieux, lorsqu’il m’a demandé si j’étais d’accord pour baiser avec lui, j’ai faillit lui dire que ce serait payant. Et j’ai encore jouis en le pensant. J’ai jouis deux fois pour une pipe avec un inconnu.
- Tu aimerais recommencer ?
- Non pas aujourd’hui. Pour les autres soirs, il vaudrait mieux en discuter avant. C’est tout de même à la limite de la prostitution non ?
- Oui? Effectivement, si tu te fais payer! Mais si tu le fait gratis ce n’est que pour le plaisir et là, ce n’est plus de la prostitution.
En fin de compte, Karen était d’accord pour refaire un essai, mais qu’il faudrait discuter de oui ou non pour ce qu’il serait de la prostitution. En deux mots : payant, oui ou non.
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