Janine
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 23 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Tyroler frantz ont reçu un total de 78 939 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 870 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Janine
J’étais au service militaire et je sortais avec Janine, une fille qui était plus amoureuse de moi que moi d’elle. Pour moi c’était un amour de jeunesse. Nous avions déjà couchés ensemble et l’expérience m’avait fait comprendre qu’elle était tout de même assez pudique. Ce soir là, nous revenions d’une fête, il était deux heures du mat. Janine sommeillait sur son siège et j’avais réussi à retrousser sa jupe et ma main était très caressante. En glissant ma main dans sa culotte, elle a écarté ses cuisses et a ouvert les yeux en me souriant. Alors mes carresses se sont faites plus précises au point ou je pouvais entendre ses petits gémissements alors que je la doigtais. Sur le coup, je lui proposais de nous arréter dans un coin au bord de la route et que j’avais envie de la baiser.
« -Si tu veux! Tes carresses m’ont excitées à moi aussi. De toute façon, ce soir, ma soeur dort chez moi alors se sera aussi bien de le faire dans la voiture pour cette fois.
- On peux très bien le faire sur le capot, la voiture est un peu petite pour s’envoyer en l’air.
- Tu es un cochon. Mais bon d’accord, ça fera toujours un souvenir.»Alors j’ai ralenti et essayais de trouver un coin tranquille. Au bout de quelques kilomètres un panneau m’annonçait un parking. Il y avait déjà un camion, les rideaux tirés qui stationnait. Nous nous sommes garés devant lui, et Janine, pourtant très pudique, n’a pas refusé un flirt très caressant. Certes j’étais surpris qu’elle accepte de se laisser caresser assez fortement alors que le chauffeur aurait pu nous zieuter. Mais...Les caresses devenaient de plus en plus précises jusqu’au moment ou d’elle même elle entrepris de me sucer. Alors qu’elle me suçait, j’avais bien vu que la cabine du camion avait légèrement bougée. Le chauffeur devait s’être réveillé. Lorsque j’ai senti l’excitation en arriver à la jouissance, je proposais à janine de sortir et de faire l’amour sur le capot de la voiture. Certainement déjà assez excitée, Janine a été d’accord. Nous sommes sortis, Janine, poitrine complètement nue et sans jupette, elle était donc simplement en culotte. J’avais laissé la radio allumée, en sourdine pour garder l’ambiance. Je prenais la couverture des sièges et la dépliait sur le capot. Janine m’a aidé, tout en oubliant, bizarement, de jeter un moindre coup d’oeil sur le camion. Elle n’a pas vu le rideau s’écarter et le chauffeur nous observer. Discrètement je faisais signe au gars de ne pas se manifester, suivi de deux doigts devant mes yeux pour lui faire comprendre de seulement regarder. J’ai donné un long baiser amoureux à ma copine et l’ai amenée s’allonger sur la couverture. Janine s’est laissée faire. Elle n’a même pas remarquée que le gars était descendu et qu’il refermait délicatement la portière. Elle m’a refait une pipe avec conviction avant de s’allonger, et n’a pas refusé lorsque je lui ai sorti la culotte et écarté les cuisses. Je me suis penché et doucement, sans la brusquer, je l’ai pénétrée. Elle gardait les yeux fermés, alors j’ai fait signe au gars de s’approcher sans bruit et sans rien dire. De là, j’ai accéléré le "ramonage" pour l’exciter au mieux. Sans geste brusque pour ne pas la surprendre, je faisais signe au gars de se rapprocher au plus près. J’étais persuadé que Janine avait pu voir sa silhouette, mais sans réagir alors qu’elle prenait du plaisir sans jouir pour autant. Le gars comprenant ou je voulais en arriver, a descendu son slip (il était déscendu du camion en slip) et s’est rapproché au plus prés du visage de Janine qui gémissait maintenant sans retenue. J’ai pris son bras et l’ai guidée pour poser sa main sur la queue du gars qui de son côté à commencé à lui caresser un sein. Janine ne réagissait toujours pas et pourtant, elle avait maintenant ma queue entre ses cuisses et une autre dans sa main qu’elle caressait doucement. Cette situation me faisait tout de même croire à l’acceptation d’une possible participation avec cet inconnu. J’intensifiais le ramonage cherchant ainsi à l’exciter au mieux pour une suite trioliste. Maintenant, les petits gémissements étaient devenus des cris de plaisir évidents. Le gars a alors prit l’heureuse initiative de caresser la joue de ma copine avec le gland de sa queue. Certainement, encore sous l’emprise de l’excitation, Janine n’a pas réagit, j’ai alors pensé qu’en fait elle était d’accord, malgré sa pudeur que j’avais cru déceler en elle. Je l’ai vu, toujours les yeux fermés, tourner la tête vers le gars, la bouche s’ouvrir et la queue du gars s’introduire sans obstacle. Elle avait gardé les yeux fermés et l’a sucé, et même, je peux dire, avec "appétit" pendant que je la baisais sans qu’elle ne proteste. Le gars m’a regardé et, le pouce en l’air, il me faisait signe qu’il trouvait qu’elle le suçait bien. Au bout d’un long moment, le gars a poussé un grognement et j’ai compris qu’il était en train de jouir. Il est sorti de la bouche pour éjaculer sur la poitrine dénudée. C’est à cet instant que Janine a ouvert les yeux. Si elle a enfin compris qu’il y avait "un loup" elle a mis un moment pour réaliser qu’elle venait de sucer un inconnu. Elle a poussé un cri de surprise et s’est redressée, m’a repoussée. Comprenant certainement qu’il pouvait y avoir une méprise, le gars est remonté dans son camion. Elle s’est tournée vers moi et m’a crié dessus:
« -Mais tu m’as laissé faire? Tu te rends compte que je l’ai sucé croyant que c’était toi?
- Mais j’étais en train de te baiser, ne me dit pas que tu ne me sentais pas, c’est vexant. Je ne pouvais pas te baiser et me faire sucer. Je croyais que tu étais d’accord et que c’était ce que tu voulais, que tu l’avais vu descendre de sa cabine.
- Mais tu me prends pour une pute ou quoi. Non, je ne l’avais pas vu. C’est quand il a jouit sur mes seins que j’ai réalisé que tu me baisais. Oui, je sentais bien que tu me baisais? Mais je n’avais pas le même goût dans la bouche. C’est affreux, je viens de sucer un inconnu sans m’en rendre compte. Et toi qui m’a laissé le sucer. Pour qui tu me prends. Oh mon dieu, c’est fou. Ramènes moi chez moi. T’es un salop, je ne veux plus te voir. »
J’ai bien essayé de discuter pendant le trajet, mais rien n’y a fait. Je l’avais connue comme serveuse dans un bar ou j’allais pendant mes permissions de W.E. Lorsque j’y suis revenu, elle a fait semblant de ne pas me connaitre. Mais un copain m’a raconté qu’elle lui avait raconté l’aventure et qu’en fait cela ne lui avait pas déplu et que cela resterait tout de même un bon souvenir. J’ai su par la suite qu’elle avait, après ce soir là, accepté et pratiqué le triolisme avec son EX qu’elle avait pourtant quitté pour sortir avec moi. C’est dans son bistro que j’ai fêté "le père 100" avec d’autres appelés de la promotion et elle c’est elle qui a fait la photo de groupe pour le souvenir, et me l’a donné quelques jours après. Elle m’avait confirmé qu’elle avait, après coup, que si elle avait trouvé l’expérience surprenante elle avait tout de même le souvenir d’une expérience agréable, et qu’elle regrettait sa colère, mais que maintenant elle était à nouveau avec son ex et qu’elle avait accepté de pratiquer le triolisme.
Pour moi aussi cette expérience m’a laissé un bon souvenir. Et si j’avais eu du regret pour cette rupture, c’était surtout pour des raisons purement sexuelles, elle était belle et superbement roulée. En attendant j’avais amené une jolie fille vers le candaulisme et c’était ça le plus important pour moi. J’avais déjà pratiqué le trio lorsque j’étais sportif, à la piscine mais je l’ai déjà raconté sur un autre site.
« -Si tu veux! Tes carresses m’ont excitées à moi aussi. De toute façon, ce soir, ma soeur dort chez moi alors se sera aussi bien de le faire dans la voiture pour cette fois.
- On peux très bien le faire sur le capot, la voiture est un peu petite pour s’envoyer en l’air.
- Tu es un cochon. Mais bon d’accord, ça fera toujours un souvenir.»Alors j’ai ralenti et essayais de trouver un coin tranquille. Au bout de quelques kilomètres un panneau m’annonçait un parking. Il y avait déjà un camion, les rideaux tirés qui stationnait. Nous nous sommes garés devant lui, et Janine, pourtant très pudique, n’a pas refusé un flirt très caressant. Certes j’étais surpris qu’elle accepte de se laisser caresser assez fortement alors que le chauffeur aurait pu nous zieuter. Mais...Les caresses devenaient de plus en plus précises jusqu’au moment ou d’elle même elle entrepris de me sucer. Alors qu’elle me suçait, j’avais bien vu que la cabine du camion avait légèrement bougée. Le chauffeur devait s’être réveillé. Lorsque j’ai senti l’excitation en arriver à la jouissance, je proposais à janine de sortir et de faire l’amour sur le capot de la voiture. Certainement déjà assez excitée, Janine a été d’accord. Nous sommes sortis, Janine, poitrine complètement nue et sans jupette, elle était donc simplement en culotte. J’avais laissé la radio allumée, en sourdine pour garder l’ambiance. Je prenais la couverture des sièges et la dépliait sur le capot. Janine m’a aidé, tout en oubliant, bizarement, de jeter un moindre coup d’oeil sur le camion. Elle n’a pas vu le rideau s’écarter et le chauffeur nous observer. Discrètement je faisais signe au gars de ne pas se manifester, suivi de deux doigts devant mes yeux pour lui faire comprendre de seulement regarder. J’ai donné un long baiser amoureux à ma copine et l’ai amenée s’allonger sur la couverture. Janine s’est laissée faire. Elle n’a même pas remarquée que le gars était descendu et qu’il refermait délicatement la portière. Elle m’a refait une pipe avec conviction avant de s’allonger, et n’a pas refusé lorsque je lui ai sorti la culotte et écarté les cuisses. Je me suis penché et doucement, sans la brusquer, je l’ai pénétrée. Elle gardait les yeux fermés, alors j’ai fait signe au gars de s’approcher sans bruit et sans rien dire. De là, j’ai accéléré le "ramonage" pour l’exciter au mieux. Sans geste brusque pour ne pas la surprendre, je faisais signe au gars de se rapprocher au plus près. J’étais persuadé que Janine avait pu voir sa silhouette, mais sans réagir alors qu’elle prenait du plaisir sans jouir pour autant. Le gars comprenant ou je voulais en arriver, a descendu son slip (il était déscendu du camion en slip) et s’est rapproché au plus prés du visage de Janine qui gémissait maintenant sans retenue. J’ai pris son bras et l’ai guidée pour poser sa main sur la queue du gars qui de son côté à commencé à lui caresser un sein. Janine ne réagissait toujours pas et pourtant, elle avait maintenant ma queue entre ses cuisses et une autre dans sa main qu’elle caressait doucement. Cette situation me faisait tout de même croire à l’acceptation d’une possible participation avec cet inconnu. J’intensifiais le ramonage cherchant ainsi à l’exciter au mieux pour une suite trioliste. Maintenant, les petits gémissements étaient devenus des cris de plaisir évidents. Le gars a alors prit l’heureuse initiative de caresser la joue de ma copine avec le gland de sa queue. Certainement, encore sous l’emprise de l’excitation, Janine n’a pas réagit, j’ai alors pensé qu’en fait elle était d’accord, malgré sa pudeur que j’avais cru déceler en elle. Je l’ai vu, toujours les yeux fermés, tourner la tête vers le gars, la bouche s’ouvrir et la queue du gars s’introduire sans obstacle. Elle avait gardé les yeux fermés et l’a sucé, et même, je peux dire, avec "appétit" pendant que je la baisais sans qu’elle ne proteste. Le gars m’a regardé et, le pouce en l’air, il me faisait signe qu’il trouvait qu’elle le suçait bien. Au bout d’un long moment, le gars a poussé un grognement et j’ai compris qu’il était en train de jouir. Il est sorti de la bouche pour éjaculer sur la poitrine dénudée. C’est à cet instant que Janine a ouvert les yeux. Si elle a enfin compris qu’il y avait "un loup" elle a mis un moment pour réaliser qu’elle venait de sucer un inconnu. Elle a poussé un cri de surprise et s’est redressée, m’a repoussée. Comprenant certainement qu’il pouvait y avoir une méprise, le gars est remonté dans son camion. Elle s’est tournée vers moi et m’a crié dessus:
« -Mais tu m’as laissé faire? Tu te rends compte que je l’ai sucé croyant que c’était toi?
- Mais j’étais en train de te baiser, ne me dit pas que tu ne me sentais pas, c’est vexant. Je ne pouvais pas te baiser et me faire sucer. Je croyais que tu étais d’accord et que c’était ce que tu voulais, que tu l’avais vu descendre de sa cabine.
- Mais tu me prends pour une pute ou quoi. Non, je ne l’avais pas vu. C’est quand il a jouit sur mes seins que j’ai réalisé que tu me baisais. Oui, je sentais bien que tu me baisais? Mais je n’avais pas le même goût dans la bouche. C’est affreux, je viens de sucer un inconnu sans m’en rendre compte. Et toi qui m’a laissé le sucer. Pour qui tu me prends. Oh mon dieu, c’est fou. Ramènes moi chez moi. T’es un salop, je ne veux plus te voir. »
J’ai bien essayé de discuter pendant le trajet, mais rien n’y a fait. Je l’avais connue comme serveuse dans un bar ou j’allais pendant mes permissions de W.E. Lorsque j’y suis revenu, elle a fait semblant de ne pas me connaitre. Mais un copain m’a raconté qu’elle lui avait raconté l’aventure et qu’en fait cela ne lui avait pas déplu et que cela resterait tout de même un bon souvenir. J’ai su par la suite qu’elle avait, après ce soir là, accepté et pratiqué le triolisme avec son EX qu’elle avait pourtant quitté pour sortir avec moi. C’est dans son bistro que j’ai fêté "le père 100" avec d’autres appelés de la promotion et elle c’est elle qui a fait la photo de groupe pour le souvenir, et me l’a donné quelques jours après. Elle m’avait confirmé qu’elle avait, après coup, que si elle avait trouvé l’expérience surprenante elle avait tout de même le souvenir d’une expérience agréable, et qu’elle regrettait sa colère, mais que maintenant elle était à nouveau avec son ex et qu’elle avait accepté de pratiquer le triolisme.
Pour moi aussi cette expérience m’a laissé un bon souvenir. Et si j’avais eu du regret pour cette rupture, c’était surtout pour des raisons purement sexuelles, elle était belle et superbement roulée. En attendant j’avais amené une jolie fille vers le candaulisme et c’était ça le plus important pour moi. J’avais déjà pratiqué le trio lorsque j’étais sportif, à la piscine mais je l’ai déjà raconté sur un autre site.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Tyroler frantz
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...