Caro et sa 1ère double
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Plus on est
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Caro et sa 1ère double
Cette nuit là, Caro avait accepté une longue nuit de caresses sesxuelles avec Michel, mon meilleur copain mais aussi complice pour diverses expériences avec quelques conquètes féminines. Rentrés chez nous, le lendemain, pendant le repas nous avons reparlés de cette folle nuit trioliste. Après qu’elle m’ai avoué avoir regretté de n’avoir accepté que les caresses sans espérer "aller" plus loin, elle dégageait sa poitrine, elle avait déjà les tétons qui approuvaient la discussion, alors je lui demandais:
« - En fait, à quel moment tu as pris le plus de plaisir ?.
- C’est lorsque tu me léchais foufoune, j’avais ta queue dans une main alors que j’avais celle de Michel dans la bouche. J’ai compris à ce moment là que je me faisais caresser par deux mecs. J’ai eu un drôle de flash, j’avais déjà flirté avec deux gars le même soir, et j’avais trouvé ça marrant. Mais je n’avais pas flashé comme hier soir. Là, je sentais les deux queues. En plus elles étaient bien raides et bien chaudes. Mais, surtout, je les sentais vivre. Je me suis rappelé, lorsque j’étais en pension, que des filles disaient avoir jouies en faisant l’amour avec deux mecs. Nous avions ris de cela en disant qu’il faut être une sacré salope pour faire cà. Et hier soir, je me retrouvais avec deux queues mais sans baiser. Cette idée de deux queues m’étaient toujours restées dans ma tête. C’est là, à ce moment là que j’ai pris le plaisir le plus fort, à la limite de prendre mon pied. J’étais contente de le faire et vraiment je ne me sentais pas salope, j’ai beaucoup aimé ce moment là, et je n’ai pas du tout honte de l’avoir fait.
- Et si cela se présentait, tu le referais ?
- Ha là sûr je le referais même avec plaisir. Par contre, si cela devait se refaire, je préfèrerais que ce soit avec Michel, je n’ai pas envie de changer. Lui, je l’aime bien. Et je sais pouvoir lui faire confiance. Il n’ra pas le chanter.
- Et si on refaisait une autre soirée, tu serais partante ?
- Oui, mais tu serais d’accord pour que "allions plus loin" ?
- Pourquoi pas! Hier j’ai regrétté que la suite avait été bloquée.
- Donc si on remet ça, on ferait un trio, complet. Ca finira peut être avec une Double Pénétration, tu l’as compris.
- Oui, je l’ai compris. Même hier, lorsque j’ai regretté, j’avais très bien réalisé que ça ce serait fini ainsi. Ca ne m’a pas bloquée. En fait j’étais d’accord pour une DP. Tu sais très bien que depuis que tu m’y as faite goûtter, j’aime bien aussi la sodomie. Bon, en même temps que devant, ça je ne l’ai jamais fait. Alors pourquoi pas, avec Michel ce serait un essai. Mais, que nous trois, seuls, comme hier. Ne lui dis rien encore, laissons les choses se faire, comme si c’était dans l’ordre des choses. Ok, je suis d’accord !
Après en avoir parlé encore un moment, nous avons conclu pour une autre soirée. Dès le lendemain, je téléphonais à Michel et nous je le prévenais que nous avions prévu un autre samedi en bord de Garonne tous les trois. Il était très heureux de ce nouveau rendez-vous aussi rapide. Je pense même qu’il se doutait d’un possible "suplément".
Nous sommes arrivés au bord de Garonne le samedi vers 16 h comme prévu. Michel n’était pas encore arrivé. Caro était très excitée. Déjà, dès le petit déjeuner, elle était seins nus, provocante, les yeux, la bouche, sa démarche ainsi que sa gestuelle, tout dégagait la sexualité. Mais je me suis très difficilement retenu pour ne pas la violer, là, sur la table, sur le matelas de bronzage, n’importe ou, mais la prendre , la satisfaire. Toute la matinée elle m’a pourtant provoquée, à la limite de me crier son désir. Oui, elle savait , elle était d’accord. Ce soir elle allait se faire prendre par deux mecs, elle était d’accord pour être une salope qui accetait une double pénétration. Oui, elle savait, elle voulait se faire enculer en même temps qu’elle se ferait baiser.
Là, nous étions arrivés. Nous étions en plein été, le soleil frappait fort. Quelques pêcheurs taquinaient les gougeons mais Caro étaient la et elle avait aboli leur peine de mort. Seins nus, elle m’aidait a préparer notre coucherie. Ses nichons se balançaient librement, s’amusant à déconcentrer ses voyeurs aux cannes à pêches. Mais il y a longtemps que même les gougeons ne cherchaient plus les asticots,remerciant Caro de les distraire. Ha ! Voilà Michel, la première bise, le premier baiser, le premier compliment, la première caresse, le premier : «Non, pas tout de suite, pas encore mon chéri, plus tard, oui moi aussi j’ai envie.»
Les pêcheurs sont partis à regret, un par un et nous nous sommes enfin trouvés seuls tous les trois vers 20 h. Nous nous étions déshabillés et comme l’autre soir, nous sommes retrouvés complètement nus. Il n’était même plus question d’avoir une quelconque boufféee de pudeur. Caro exhibait fièrement sa poitrine et foufoune humide tandis que Michel et moi arborions des érections pornographiques. Le feux crépitait, la saucisse grillait et les fouchettes nous ont donné à manger alors que nous nous régalions de la vue du corp provoquant de notre proie ,accroupie les jambes croisées, exhibant foufoune baillante et laissant quelques goûttes d’excitation perler au bord des grandes lèvres comme pour nous crier: -Je suis prête, j’ai envie de vous, dépéchez vous de finir, on mangera le reste plus tard.
A ce moment, je pensais à Karen, Caro, obnibulée dans le fantasme du trio avec Michel, avait refusé l’invitation de Chantal et Jacques pour fêter un anniversaire, me laissant le soin de passer une bonne soirée sans elle. Ce soir là, ils avaient invités Karen, divorcée et surtout en manque sexuel. Comme ils savaient tous les deux mon attirance pour les jolies femmes "à forte poitrine" plus mon mode de vie candauliste ils nous avaient invités espérant une soirée échangiste. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévus c’était le véritable coup de foudre entre Karen et moi. Et même si Karen, mère d’une fille, Mireille, restait protectrice, dès le lendemain acceptait déjà de flirter avec moi reconnaissant franchement ce coup de foudre. Et si de mon côté j’étais a l’approche de cette soirée avec Caro et Michel, j’avoue que Karen restait imprimée très fortement dans ma tête. Alors je laissais Michel entamer le trio. Il s’est assis à côté d’elle et la prenant par les épaules, l’a faite basculer. Et là, j’ai pu voir foufoune se fermer, se reouvrir, les jambes s’entreméler, s’allonger pour s’ouvrir et s’offrir aux caresses de Michel qui ne savait plus s’il préférait les nichons, foufoune, les fesses, le ventre, les lèvres. Mais ne voulant pas aller trop vite, refusant d’obéir aux: -viens, venez tous les deux, depuis le temps que je vous veux, caressez moi comme l’autre soir, tant pis si on va plus loin, je suis prête, je veux vous sentir tous les deux, je vous aime tous les deux, VENEZ !
Sans choisir vraiment, Michel a malaxé d’abord les nichons surgonflés, aux tétons qui se redressaient comme des ressors les caresses passées, leurs lèvres se sont rejointes pour un long baiser bien baveux et très amoureux. Je les obsevais et me rappelais les baisers que j’avais échangé avec Karen deux jours avant. J’avais l’impression de sentir ses seins dans ma main. Et là, Caro a accéléré les choses. Elle a caressé la queue dressée à sa portée et a commencé une légère masturbation. Michel se mettait en position de 69 pour aller poser plein de petits bisous sur les seins, le ventre et en arriver à foufoune. Aucun obstacle, les cuisses largement écartées laissaient libre accés à ce foulli de poils humides et entremélés. J’ai nettement entendu le grognement de Michel qui fêtait sa victoire alors que Caro, la bouche pleine ronronait comme une chatte amoureuse. Le rythme s’est rapidement accéléré. La queue de Michel rentrait, sortait de la bouche de ma femme alors qu’au même rythme les ronronements de Caro qui se faisait baiser par la lague de Michel. C’était magnifique à les regarder se donner du plaisir. Je suis placé à côté de Caro et me contentais des nichons qui se balaçaient dans tous le sens. Elle était en très forte excitation, les seins étaient du béton, les aréoles n’étaient que tétons. Caro avaient toujours été très sensible des nichons. A la connaitre comme je la connaissais, je pouvais reconnaitre le degrés de plaisir qu’elle ressentait qu’à leur consistance ainsi qu’aux érections de tétons. Qu’en sera t’il au moment de la double pénétration. Au moment ou mes pensées étaient aux côtés de Karen, j’ai senti la caresse d’une main sur ma queue puis la chaleur de la bouche de ma femme. Caro alternait les queues. Tantôt l’une tantôt l’autre, elle scandait des:
«- allez-y mes chéris, bandez, bandez. Je suis votre salope, votre putain, profitez donnez moi du plaisir, faite la jouir cette salope, je vous veux , oui tous les deux. Bon sang que je vous aime, je suis à vous. Deux bites, j’ai deux bites pour moi seule. Je veux les garder toute la nuit. Je ne savais pas que je pouvais être aussi salope. Mais que c’est bon, et ce n’est que le début.»
Elle a remit ma queue au chaud et m’a sucé jusqu’à ce que Michel arrête de la lècher et moi de la téter. L’espace d’un instant, nos sommes restés allongés, nous laissant le temps de revenir sur terre. Avec Caro, hier soir, nous avions prévus que la DP ne se ferait qu’après manger. Donc, là, nous avons arrêté, préférant manger pour prendre des forces. Nos échanges de regards étaient chargés de sexualité. Nous savions que dans quelques minutes, se serait l’orgie. Rien n’était caché. Devant les 3 matelas pneumatiques il y avait les plateaux avec tout l’attirail: préservatifs, serviettes, lubrifiants et le Champagne avec les 3 coupes et quelques fruits avec des gâteaux secs. Caro, trés excitée, riait (nerveusement) de toutes nos plaisanteries. Quelques caresses annonçaient le départ. J’ai pris Caro par la main et l’ai faite allonger sur le matelas du milieu. Elle m’a tendu les bras. Alors je me suis allongé à ses côtés, faisant signe à Michel de nous rejoindre. J’ai largement écarté les jambes de ma femme et la tête entre ses cuisses j’ai entamé sa caresse préférée, un bon cunnilingus bien baveux. Michel, lui s’occupait des nichons, les caressait, les tétait. Lentement je commençais à la couvrir de baisers sur tout le corps remontant afin de placer ma queue devant l’entrée de l’antre de plaisir. Elle me caressait les cheveux d’une main et de l’autre écartant foufoune pour une entrée douce . Je m’enfonçais lentement. Elle poussait des petits "han" étoufés par le baiser mais en prenant le rythme de mes va et vient. Michel a levé la tête et la regardant tendrement lui lança un:
«bon sang que tu es belle, tu es faite pour faire l’amour? On est même obligés d’être deux pour t’honorer et être à la hauteur de ce corps parfait. Ta poitrine est une véritable splendeur, et tes cuisses … On ne peux que remercier tes parents d’avoir fait un tel chef d’oeuvre.»
Caro n’a pu répondre alors que Michel l’embrassait à nouveau. D’une main elle est allée prendre sa queue et l’a caressée comme pour le remercier de son compliment. De mon côté, voulant garder mes forces, je me dégageais et proposais à Michel de prendre ma place. Il n’a pas perdu de temps. Il s’est allongé sur elle et la prise un peu plus sauvagement que moi. Caro a poussé un petit cri de surpris et appuyant sur ses fesses elle criait vas-y mon chéri, défonce moi, vas-y. De là est parti une longue série de gémissements entrecoupés d’encouragements en mots crus. Leur intonation nous dnnait l’intensité de son plaisir à l’approche d’une bonne jouissance. Elle s’est recroquevillée dans les bras de son amant avant de retomber les bras en croix.
« -Bon sang que ça été bon. On n’en est qu’au début et j’en suis déja au troisième. Que c’est bon d’être une salope. Il faudra remettre ça de temps en temps. C’est trop fort. Il faut fêter ça. Il faut que je me calme avant de recommencer, un peu de calme me fera du bien. Oh mes salops, vous m’avez éclatés, vous êtes des monstres. Dans quel état vous allés me mettre. Heureusement que demain c’est Dimanche, je dormirais toute la journée, à moins que Michel vienne avec nous. Les copines vont vouloir savoir pourquoi j’ai des valises sous les yeux. Je ne pourrais même pas en parler, depuis le temps que le chef me fait des propositions.
On a fini la 1ère bouteille de Champ avec quelques gâteux. Caro est allée au bord de l’eau et s’est rafraichit foufoune en la trempant quelques secondes dans l’eau et se rinçant les cuisses pour elliminer les traces de nos éjaculations. Elle est revenue, toute fraîche mais les yeux qui interrogeaient :
« -Bon moi je suis prête, on recommence ? Qui commence ?.»
Ses nichons ne se balançaient même plus. Bloqués par l’excitation et le "surgonflage", ils laissaient les tétons pointer comme pointes de flêches. Elle a rit en s’en appercevant et s’est exclamée:
« - ah, vous pouvez être fiers, vous avez vu dans quel état vous me les avez mis. Vont ils dégonfler avant lundi ? Je ne vais pas pouvoir aller travailler en tee shirt avec de tels nichons, surgonflés, ma parole, les tétons troueraient le tee shirt.»
Cette fois je faisais signe à Caro que Michel commencerait, et que c’était à elle de le faire démarrer. Elle avait un regard qui reflétait un peu de stresse. Elle avait déjà accepté la sodomie et l’avait même appréciée. Mais cette fois ci elle allait le faire en double pénétration et avec un amant qu’elle appéciait particulièrement.
« - viens mon chéri, on en fera peut être deux, mais pour ma 1ère expérience DP, c’est Frantz qui prendra mes fesses. Et suivant mon ressenti, on en fera un second ou pas, en inversant. Mais soyez sage, ne forcez pas, si je demande d’arréter il faudra arréter. Ce ne sera pas ma première sodomie, que j’apprécie de toute façon, mais là c’est en double, alors calme. De toute façon si ça me plait ce sera bien pour tout le monde.
- Ne t’en fait pas ma belle on a compris tous les deux. On fera attention. Je suis sûr que ça va être super.»
Caro que j’avais "briffée" savait que c’était à elle de se mettre en position. Elle avait choisi – couchée sur Michel, se pénétrée elle même, se recroqueviller en ramenant au maximun les cuisses le long du torse de son amant et ainsi, présenter son cul en écartant autant que peu ses fesses pour la pénétration anale.
Mais avant elle n’a pas oublié de lui faire une pipe bien profonde le temps de la dresser au maximum. Et Michel, allongé sur le matelas, a pu voir Caro l’enjamber pour s’empaller sur sa queue en érection super porte drapeau. Caro le regardait en souriant, elle tenait cette queue et l’aisait à s’introduire dans sa chatte, naturellement lubrifiée. D’un coup elle s’est laissée tomber assise, entièrement empallée. Elle s’est couchée sur lui pour prendre ses lèvres et après un long baiser amoureux, elle s’est redressée donnant entière vue sur son 105 C qu’elle faisait balancer en même temps qu’elle bougeait ses fesses. Après quelques secondes elle a tourné la tête vers moi en même temps que j’ouvrais le flacon de lubrifant.
« - n’économise pas mon chéri. En principe il ne m’en faut pas beaucoup, mais là, déjà, Michel prend beaucoup de place et maintenant toi en plus, je ne sais pas …
- ne t’en fait pas, je vais en mettre même à l’intérieur.»
Je lui badigeonais les fesses en insistant sur le frippé et en faisait couler dans le frippé avec deux doigts, en profitant pour l’élargir. Pendant ce temps, Michel s’amusait avec le 105 C que Karen lui présentait alors qu’elle creusait ses reins pour me présenter son fessier au maximum. Comme j’avais reposé le lubrifiant, j’enjambais à mon tour les jambes de Michel me plaçais entre les fesses luisantes de Karen et chatouillais le petit fripé pour avertir Karen de ma pénétration.
Karen chuchotait des:
« -Doucement mon chéri, oui vas y mais doucement. Haou, vas-y, vas-y. Oui ça va, vas y c’est entré.»
Et là c’est Karen elle même qui de plusieurs coups de cul s’est enculée plus rapidement. J’ai senti ma queue entrer rapidement et ses fesses se coller à moi. Karen s’était réfugiée dans le cou de Michel et je l’ai entendue pousser de petits cris de douleur mais très vite avec un changement de tonalité des "hans" lorsque Michel reprenait sa cadence.
« -Allez-y les gars, je vous sens bien tous les deux, allez y défoncez moi, prenez moi, OH BON SANG que c’est bon. Allez y, allez y, oh mes chéris que c’est bon, continuez, allez y. C’est donc ça une double. Elles avaient raison, bon sang que j’aime ça. C’est bon d’être une salope. Continuez OH OUI, COMME CA, l’un après l’autre, je n’ai plus mal, maintenant C’est merveilleux. Oh bon sang, mes salops allez y, continuez. Faites moi monter au ciel, je suis déjà en haut. Encore un peu et ….HA OUI OUI OUI OUI I I I .»
Là, J’ai senti que Michel se libérait, alors moi aussi j’ai lâché ma purée, Karen, elle aussi l’a senti.
« Allez y mes salops, remplissez moi, donnez moi tout. C’est grace à moi, c’est moi qui vous ai fait jouir. Lachez tout. C’est quand même moi qui vous remercie. Je n’ai jamais pris un tel pied. Et pourtant j’en ai pris des puissants, mais pas pareil, ce n’est pas la même. J’ai pris le pieds de devant et après le plaisir du cul. Ce sont deux pieds différents, très forts mais pas les mêmes. »
Nous sommes restés un bon moment à assimiler la jouissance reçue . Caro entre Michel et moi, elle gardait nos queues dans ses mains Lentement la débandaison faisait son oeuvre. C’est Caro qui s’est manifestée la 1ère:
« - Non, on ne va pas en rester là, on va recommencer, c’était vraiment trop bon, tant qu’il reste du lubri… Mais on va reprendre du champ pour fêter ça. Vous avez été super, je vous ai demandé le ciel, et vous m’avez montrés le paradis. J’ai envie d’y revenir. »
A suivre
« - En fait, à quel moment tu as pris le plus de plaisir ?.
- C’est lorsque tu me léchais foufoune, j’avais ta queue dans une main alors que j’avais celle de Michel dans la bouche. J’ai compris à ce moment là que je me faisais caresser par deux mecs. J’ai eu un drôle de flash, j’avais déjà flirté avec deux gars le même soir, et j’avais trouvé ça marrant. Mais je n’avais pas flashé comme hier soir. Là, je sentais les deux queues. En plus elles étaient bien raides et bien chaudes. Mais, surtout, je les sentais vivre. Je me suis rappelé, lorsque j’étais en pension, que des filles disaient avoir jouies en faisant l’amour avec deux mecs. Nous avions ris de cela en disant qu’il faut être une sacré salope pour faire cà. Et hier soir, je me retrouvais avec deux queues mais sans baiser. Cette idée de deux queues m’étaient toujours restées dans ma tête. C’est là, à ce moment là que j’ai pris le plaisir le plus fort, à la limite de prendre mon pied. J’étais contente de le faire et vraiment je ne me sentais pas salope, j’ai beaucoup aimé ce moment là, et je n’ai pas du tout honte de l’avoir fait.
- Et si cela se présentait, tu le referais ?
- Ha là sûr je le referais même avec plaisir. Par contre, si cela devait se refaire, je préfèrerais que ce soit avec Michel, je n’ai pas envie de changer. Lui, je l’aime bien. Et je sais pouvoir lui faire confiance. Il n’ra pas le chanter.
- Et si on refaisait une autre soirée, tu serais partante ?
- Oui, mais tu serais d’accord pour que "allions plus loin" ?
- Pourquoi pas! Hier j’ai regrétté que la suite avait été bloquée.
- Donc si on remet ça, on ferait un trio, complet. Ca finira peut être avec une Double Pénétration, tu l’as compris.
- Oui, je l’ai compris. Même hier, lorsque j’ai regretté, j’avais très bien réalisé que ça ce serait fini ainsi. Ca ne m’a pas bloquée. En fait j’étais d’accord pour une DP. Tu sais très bien que depuis que tu m’y as faite goûtter, j’aime bien aussi la sodomie. Bon, en même temps que devant, ça je ne l’ai jamais fait. Alors pourquoi pas, avec Michel ce serait un essai. Mais, que nous trois, seuls, comme hier. Ne lui dis rien encore, laissons les choses se faire, comme si c’était dans l’ordre des choses. Ok, je suis d’accord !
Après en avoir parlé encore un moment, nous avons conclu pour une autre soirée. Dès le lendemain, je téléphonais à Michel et nous je le prévenais que nous avions prévu un autre samedi en bord de Garonne tous les trois. Il était très heureux de ce nouveau rendez-vous aussi rapide. Je pense même qu’il se doutait d’un possible "suplément".
Nous sommes arrivés au bord de Garonne le samedi vers 16 h comme prévu. Michel n’était pas encore arrivé. Caro était très excitée. Déjà, dès le petit déjeuner, elle était seins nus, provocante, les yeux, la bouche, sa démarche ainsi que sa gestuelle, tout dégagait la sexualité. Mais je me suis très difficilement retenu pour ne pas la violer, là, sur la table, sur le matelas de bronzage, n’importe ou, mais la prendre , la satisfaire. Toute la matinée elle m’a pourtant provoquée, à la limite de me crier son désir. Oui, elle savait , elle était d’accord. Ce soir elle allait se faire prendre par deux mecs, elle était d’accord pour être une salope qui accetait une double pénétration. Oui, elle savait, elle voulait se faire enculer en même temps qu’elle se ferait baiser.
Là, nous étions arrivés. Nous étions en plein été, le soleil frappait fort. Quelques pêcheurs taquinaient les gougeons mais Caro étaient la et elle avait aboli leur peine de mort. Seins nus, elle m’aidait a préparer notre coucherie. Ses nichons se balançaient librement, s’amusant à déconcentrer ses voyeurs aux cannes à pêches. Mais il y a longtemps que même les gougeons ne cherchaient plus les asticots,remerciant Caro de les distraire. Ha ! Voilà Michel, la première bise, le premier baiser, le premier compliment, la première caresse, le premier : «Non, pas tout de suite, pas encore mon chéri, plus tard, oui moi aussi j’ai envie.»
Les pêcheurs sont partis à regret, un par un et nous nous sommes enfin trouvés seuls tous les trois vers 20 h. Nous nous étions déshabillés et comme l’autre soir, nous sommes retrouvés complètement nus. Il n’était même plus question d’avoir une quelconque boufféee de pudeur. Caro exhibait fièrement sa poitrine et foufoune humide tandis que Michel et moi arborions des érections pornographiques. Le feux crépitait, la saucisse grillait et les fouchettes nous ont donné à manger alors que nous nous régalions de la vue du corp provoquant de notre proie ,accroupie les jambes croisées, exhibant foufoune baillante et laissant quelques goûttes d’excitation perler au bord des grandes lèvres comme pour nous crier: -Je suis prête, j’ai envie de vous, dépéchez vous de finir, on mangera le reste plus tard.
A ce moment, je pensais à Karen, Caro, obnibulée dans le fantasme du trio avec Michel, avait refusé l’invitation de Chantal et Jacques pour fêter un anniversaire, me laissant le soin de passer une bonne soirée sans elle. Ce soir là, ils avaient invités Karen, divorcée et surtout en manque sexuel. Comme ils savaient tous les deux mon attirance pour les jolies femmes "à forte poitrine" plus mon mode de vie candauliste ils nous avaient invités espérant une soirée échangiste. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévus c’était le véritable coup de foudre entre Karen et moi. Et même si Karen, mère d’une fille, Mireille, restait protectrice, dès le lendemain acceptait déjà de flirter avec moi reconnaissant franchement ce coup de foudre. Et si de mon côté j’étais a l’approche de cette soirée avec Caro et Michel, j’avoue que Karen restait imprimée très fortement dans ma tête. Alors je laissais Michel entamer le trio. Il s’est assis à côté d’elle et la prenant par les épaules, l’a faite basculer. Et là, j’ai pu voir foufoune se fermer, se reouvrir, les jambes s’entreméler, s’allonger pour s’ouvrir et s’offrir aux caresses de Michel qui ne savait plus s’il préférait les nichons, foufoune, les fesses, le ventre, les lèvres. Mais ne voulant pas aller trop vite, refusant d’obéir aux: -viens, venez tous les deux, depuis le temps que je vous veux, caressez moi comme l’autre soir, tant pis si on va plus loin, je suis prête, je veux vous sentir tous les deux, je vous aime tous les deux, VENEZ !
Sans choisir vraiment, Michel a malaxé d’abord les nichons surgonflés, aux tétons qui se redressaient comme des ressors les caresses passées, leurs lèvres se sont rejointes pour un long baiser bien baveux et très amoureux. Je les obsevais et me rappelais les baisers que j’avais échangé avec Karen deux jours avant. J’avais l’impression de sentir ses seins dans ma main. Et là, Caro a accéléré les choses. Elle a caressé la queue dressée à sa portée et a commencé une légère masturbation. Michel se mettait en position de 69 pour aller poser plein de petits bisous sur les seins, le ventre et en arriver à foufoune. Aucun obstacle, les cuisses largement écartées laissaient libre accés à ce foulli de poils humides et entremélés. J’ai nettement entendu le grognement de Michel qui fêtait sa victoire alors que Caro, la bouche pleine ronronait comme une chatte amoureuse. Le rythme s’est rapidement accéléré. La queue de Michel rentrait, sortait de la bouche de ma femme alors qu’au même rythme les ronronements de Caro qui se faisait baiser par la lague de Michel. C’était magnifique à les regarder se donner du plaisir. Je suis placé à côté de Caro et me contentais des nichons qui se balaçaient dans tous le sens. Elle était en très forte excitation, les seins étaient du béton, les aréoles n’étaient que tétons. Caro avaient toujours été très sensible des nichons. A la connaitre comme je la connaissais, je pouvais reconnaitre le degrés de plaisir qu’elle ressentait qu’à leur consistance ainsi qu’aux érections de tétons. Qu’en sera t’il au moment de la double pénétration. Au moment ou mes pensées étaient aux côtés de Karen, j’ai senti la caresse d’une main sur ma queue puis la chaleur de la bouche de ma femme. Caro alternait les queues. Tantôt l’une tantôt l’autre, elle scandait des:
«- allez-y mes chéris, bandez, bandez. Je suis votre salope, votre putain, profitez donnez moi du plaisir, faite la jouir cette salope, je vous veux , oui tous les deux. Bon sang que je vous aime, je suis à vous. Deux bites, j’ai deux bites pour moi seule. Je veux les garder toute la nuit. Je ne savais pas que je pouvais être aussi salope. Mais que c’est bon, et ce n’est que le début.»
Elle a remit ma queue au chaud et m’a sucé jusqu’à ce que Michel arrête de la lècher et moi de la téter. L’espace d’un instant, nos sommes restés allongés, nous laissant le temps de revenir sur terre. Avec Caro, hier soir, nous avions prévus que la DP ne se ferait qu’après manger. Donc, là, nous avons arrêté, préférant manger pour prendre des forces. Nos échanges de regards étaient chargés de sexualité. Nous savions que dans quelques minutes, se serait l’orgie. Rien n’était caché. Devant les 3 matelas pneumatiques il y avait les plateaux avec tout l’attirail: préservatifs, serviettes, lubrifiants et le Champagne avec les 3 coupes et quelques fruits avec des gâteaux secs. Caro, trés excitée, riait (nerveusement) de toutes nos plaisanteries. Quelques caresses annonçaient le départ. J’ai pris Caro par la main et l’ai faite allonger sur le matelas du milieu. Elle m’a tendu les bras. Alors je me suis allongé à ses côtés, faisant signe à Michel de nous rejoindre. J’ai largement écarté les jambes de ma femme et la tête entre ses cuisses j’ai entamé sa caresse préférée, un bon cunnilingus bien baveux. Michel, lui s’occupait des nichons, les caressait, les tétait. Lentement je commençais à la couvrir de baisers sur tout le corps remontant afin de placer ma queue devant l’entrée de l’antre de plaisir. Elle me caressait les cheveux d’une main et de l’autre écartant foufoune pour une entrée douce . Je m’enfonçais lentement. Elle poussait des petits "han" étoufés par le baiser mais en prenant le rythme de mes va et vient. Michel a levé la tête et la regardant tendrement lui lança un:
«bon sang que tu es belle, tu es faite pour faire l’amour? On est même obligés d’être deux pour t’honorer et être à la hauteur de ce corps parfait. Ta poitrine est une véritable splendeur, et tes cuisses … On ne peux que remercier tes parents d’avoir fait un tel chef d’oeuvre.»
Caro n’a pu répondre alors que Michel l’embrassait à nouveau. D’une main elle est allée prendre sa queue et l’a caressée comme pour le remercier de son compliment. De mon côté, voulant garder mes forces, je me dégageais et proposais à Michel de prendre ma place. Il n’a pas perdu de temps. Il s’est allongé sur elle et la prise un peu plus sauvagement que moi. Caro a poussé un petit cri de surpris et appuyant sur ses fesses elle criait vas-y mon chéri, défonce moi, vas-y. De là est parti une longue série de gémissements entrecoupés d’encouragements en mots crus. Leur intonation nous dnnait l’intensité de son plaisir à l’approche d’une bonne jouissance. Elle s’est recroquevillée dans les bras de son amant avant de retomber les bras en croix.
« -Bon sang que ça été bon. On n’en est qu’au début et j’en suis déja au troisième. Que c’est bon d’être une salope. Il faudra remettre ça de temps en temps. C’est trop fort. Il faut fêter ça. Il faut que je me calme avant de recommencer, un peu de calme me fera du bien. Oh mes salops, vous m’avez éclatés, vous êtes des monstres. Dans quel état vous allés me mettre. Heureusement que demain c’est Dimanche, je dormirais toute la journée, à moins que Michel vienne avec nous. Les copines vont vouloir savoir pourquoi j’ai des valises sous les yeux. Je ne pourrais même pas en parler, depuis le temps que le chef me fait des propositions.
On a fini la 1ère bouteille de Champ avec quelques gâteux. Caro est allée au bord de l’eau et s’est rafraichit foufoune en la trempant quelques secondes dans l’eau et se rinçant les cuisses pour elliminer les traces de nos éjaculations. Elle est revenue, toute fraîche mais les yeux qui interrogeaient :
« -Bon moi je suis prête, on recommence ? Qui commence ?.»
Ses nichons ne se balançaient même plus. Bloqués par l’excitation et le "surgonflage", ils laissaient les tétons pointer comme pointes de flêches. Elle a rit en s’en appercevant et s’est exclamée:
« - ah, vous pouvez être fiers, vous avez vu dans quel état vous me les avez mis. Vont ils dégonfler avant lundi ? Je ne vais pas pouvoir aller travailler en tee shirt avec de tels nichons, surgonflés, ma parole, les tétons troueraient le tee shirt.»
Cette fois je faisais signe à Caro que Michel commencerait, et que c’était à elle de le faire démarrer. Elle avait un regard qui reflétait un peu de stresse. Elle avait déjà accepté la sodomie et l’avait même appréciée. Mais cette fois ci elle allait le faire en double pénétration et avec un amant qu’elle appéciait particulièrement.
« - viens mon chéri, on en fera peut être deux, mais pour ma 1ère expérience DP, c’est Frantz qui prendra mes fesses. Et suivant mon ressenti, on en fera un second ou pas, en inversant. Mais soyez sage, ne forcez pas, si je demande d’arréter il faudra arréter. Ce ne sera pas ma première sodomie, que j’apprécie de toute façon, mais là c’est en double, alors calme. De toute façon si ça me plait ce sera bien pour tout le monde.
- Ne t’en fait pas ma belle on a compris tous les deux. On fera attention. Je suis sûr que ça va être super.»
Caro que j’avais "briffée" savait que c’était à elle de se mettre en position. Elle avait choisi – couchée sur Michel, se pénétrée elle même, se recroqueviller en ramenant au maximun les cuisses le long du torse de son amant et ainsi, présenter son cul en écartant autant que peu ses fesses pour la pénétration anale.
Mais avant elle n’a pas oublié de lui faire une pipe bien profonde le temps de la dresser au maximum. Et Michel, allongé sur le matelas, a pu voir Caro l’enjamber pour s’empaller sur sa queue en érection super porte drapeau. Caro le regardait en souriant, elle tenait cette queue et l’aisait à s’introduire dans sa chatte, naturellement lubrifiée. D’un coup elle s’est laissée tomber assise, entièrement empallée. Elle s’est couchée sur lui pour prendre ses lèvres et après un long baiser amoureux, elle s’est redressée donnant entière vue sur son 105 C qu’elle faisait balancer en même temps qu’elle bougeait ses fesses. Après quelques secondes elle a tourné la tête vers moi en même temps que j’ouvrais le flacon de lubrifant.
« - n’économise pas mon chéri. En principe il ne m’en faut pas beaucoup, mais là, déjà, Michel prend beaucoup de place et maintenant toi en plus, je ne sais pas …
- ne t’en fait pas, je vais en mettre même à l’intérieur.»
Je lui badigeonais les fesses en insistant sur le frippé et en faisait couler dans le frippé avec deux doigts, en profitant pour l’élargir. Pendant ce temps, Michel s’amusait avec le 105 C que Karen lui présentait alors qu’elle creusait ses reins pour me présenter son fessier au maximum. Comme j’avais reposé le lubrifiant, j’enjambais à mon tour les jambes de Michel me plaçais entre les fesses luisantes de Karen et chatouillais le petit fripé pour avertir Karen de ma pénétration.
Karen chuchotait des:
« -Doucement mon chéri, oui vas y mais doucement. Haou, vas-y, vas-y. Oui ça va, vas y c’est entré.»
Et là c’est Karen elle même qui de plusieurs coups de cul s’est enculée plus rapidement. J’ai senti ma queue entrer rapidement et ses fesses se coller à moi. Karen s’était réfugiée dans le cou de Michel et je l’ai entendue pousser de petits cris de douleur mais très vite avec un changement de tonalité des "hans" lorsque Michel reprenait sa cadence.
« -Allez-y les gars, je vous sens bien tous les deux, allez y défoncez moi, prenez moi, OH BON SANG que c’est bon. Allez y, allez y, oh mes chéris que c’est bon, continuez, allez y. C’est donc ça une double. Elles avaient raison, bon sang que j’aime ça. C’est bon d’être une salope. Continuez OH OUI, COMME CA, l’un après l’autre, je n’ai plus mal, maintenant C’est merveilleux. Oh bon sang, mes salops allez y, continuez. Faites moi monter au ciel, je suis déjà en haut. Encore un peu et ….HA OUI OUI OUI OUI I I I .»
Là, J’ai senti que Michel se libérait, alors moi aussi j’ai lâché ma purée, Karen, elle aussi l’a senti.
« Allez y mes salops, remplissez moi, donnez moi tout. C’est grace à moi, c’est moi qui vous ai fait jouir. Lachez tout. C’est quand même moi qui vous remercie. Je n’ai jamais pris un tel pied. Et pourtant j’en ai pris des puissants, mais pas pareil, ce n’est pas la même. J’ai pris le pieds de devant et après le plaisir du cul. Ce sont deux pieds différents, très forts mais pas les mêmes. »
Nous sommes restés un bon moment à assimiler la jouissance reçue . Caro entre Michel et moi, elle gardait nos queues dans ses mains Lentement la débandaison faisait son oeuvre. C’est Caro qui s’est manifestée la 1ère:
« - Non, on ne va pas en rester là, on va recommencer, c’était vraiment trop bon, tant qu’il reste du lubri… Mais on va reprendre du champ pour fêter ça. Vous avez été super, je vous ai demandé le ciel, et vous m’avez montrés le paradis. J’ai envie d’y revenir. »
A suivre
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