(Ch80) Gang Bang extrême pour mon anniversaire. - histoire érotique

Alors qu’en Ukraine, le conflit avec la Russie se poursuit, cela peut vous paraître indécent de continuer à s’envoyer en l’air. Mais je pense qu’il est important de savoir mettre un peu de légèreté dans son quotidien. Cela s’apprend, se cultive et s’entretient.
C’est pour cette raison que je ne perds pas de temps pour vous narrer ma dernière aventure.
Le jeudi 10 mars 2022, Éric, mon petit chéri et John le patron d’un club libertin que nous fréquentons de plus en plus souvent avaient programmé un super gang-bang très chaud pour fêter mon anniversaire dans son club au sud de Bordeaux.
Ce doit être « LA Grosse Sortie » coquine de l’année, en dehors du « Cap d’Agde », même si nous avons déjà beaucoup coquiné depuis six mois !!!
Cette idée fut proposée par John à Éric lors de notre soirée très chaude du Nouvel an.
J’ai accepté de relever le défi à la condition d’avoir une « suppléante » en la personne de Sylvie de « Couplopen » accompagné par son mari Patrick. C’est un couple que nous apprécions particulièrement et avec lequel nous avons l’habitude de coquiner depuis un certain nombre d’années.
Comme pour le 31 décembre dernier, nous avons pris une chambre près du club pour éviter de faire les deux cent kilomètres du retour très fatigués et très tard dans la nuit.
La matinée a été bien chargée : appel de la famille, message des amis et des coquins par centaines et ouverture des cadeaux !!!
J’ai été pourrie gâtée. Éric m’a offert une superbe lingerie Lise Charmel, un body noir et bleu en dentelle.
J’ai reçu beaucoup de présents de la part de mes amis coquins aussi, ça me touche sincèrement. Je les remercie du fond du cœur.
Nous retrouvons Sylvie et Patrick pour dîner tous les quatre avant de rejoindre le club.
A l’arrivée au club, une grosse surprise m’attend avec des grands posters de moi en pleine action affichés sur les murs de l’établissement, une décoration spéciale anniversaire, je suis vraiment touchée et flattée…Seul petit bémol !!! Je suis très reconnaissable sur les photos car les visages sont à peine floutés.
Je suis tellement excitée, que finalement cela ne me dérange pas plus que cela, bien au contraire, les photos sont belles…Je me trouve belle…Autre petit bémol !!! Mon beau Max, mon bel amant n’a pu se libérer pour la soirée, pour ma soirée d’anniversaire…Bon c’est comme ça, je suis peut-être trop gâtée.
John m’avait prévenu qu’il me réserverait des surprises pour cette soirée privée pour mon anniversaire.
Sachant que je suis née le même jour, et que je ressemble beaucoup à Sharon Stone, il me demande de le suivre seule afin de me présenter le déroulé de la soirée et de me donner des précisions sur le scénario choisi par lui-même.
Les affiches intitulent : « Soirée spéciale Basic Instinct ».
John m’offre un retour vers le futur. Je dois ainsi rejoué de manière un peu plus impudique, la séquence mythique du film Basic Instinct (1992).
C'est probablement l'un des films les plus emblématiques des années 90. Basic Instinct, le long-métrage qui a permis à Sharon Stone de se faire un nom à Hollywood, est un classique à ne manquer sous aucun prétexte. Vous ne l'avez jamais vu ?
Voici 3 bonnes raisons de vous offrir une séance de rattrapage.
Basic Instinct, un film qui mélange les genres avec brio. Avant 50 Nuances de Grey, dans la catégorie film sexy, il y avait Basic Instinct. Décrit comme un thriller érotique, le film raconte l'histoire de Nick Curran (Michael Douglas), un policier qui enquête sur le meurtre sauvage d'une star. Seul problème ? Il va tomber sous le charme de la principale suspecte, Catherine Tramell, incarnée par Sharon Stone.
Le long métrage ne cachera rien de leur relation torride. A tel point que le film s'est retrouvé au cœur de nombreuses controverses, les scènes de sexe étant jugées comme trop explicites. Ce qui n'a pas empêché le film de rencontrer un succès phénoménal, et d'être l'un des plus rentables des années 90.
C’est aussi la révélation Sharon Stone, ancien mannequin, elle a commencé sa carrière d'actrice dans les années 80. Une véritable traversée du désert pavée d'échecs… Jusqu'au rôle de Catherine Tramell dans ce film. La jeune femme crève l'écran dans le rôle torride d'une femme suspectée de meurtre.
Un succès mérité : elle est la seule à avoir osé tourner dans le film, malgré les scènes très chaudes. Des stars telles que Kim Basinger ou Michelle Pfeiffer ont décliné le rôle. Grâce à Basic Instinct, elle est devenue un véritable sex-symbol.
Donc pour jouer la scène la plus cul(te) du cinéma, John me demande d’enfiler une robe ultra-courte blanche scintillante au décolleté plongeant, de ne pas porter de sous-vêtements, hormis un mini string lui aussi blanc scintillant.
Je dois suivre John qui m’amène dans le coin câlin non éclairé, il me demande de m’asseoir sur la chaise pour commencer l’interrogatoire, en face de moi deux tables et cinq hommes chargés de m’interroger…Et tout autours une bonne trentaine de coquins placés à distance en compagnie de « Couplopen ».
J’ai une première énorme surprise, c’est Max…Il est bien présent, amateur de théâtre, il joue le rôle de Nick Curran, il y a Éric mon petit chéri, Alex une vieille connaissance, Benjamin et John qui sont chargés de m’interroger.
J’ai rapidement appris les quelques répliques sur les fiches données par John…Mais celui-ci intervient :- Peux-tu me passer ta culotte, s’il te plaît ? Tu ne devrais pas l'avoir.
- Bien sûr.
Je m’exécute immédiatement en jouant vraiment le jeu de façon impudique, j’essaie d’être la plus sensuelle possible pendant cette scène où je subis cet interrogatoire, dévoilant sans pudeur mon anatomie à tous ces coquins réunis pour moi, le tout en croisant et décroisant les jambes.
Je suis moi-même très excitée…Nous jouons la scène comme prévu interrogée tour à tour par mes différents partenaires :- Pourriez-vous nous dire la nature de vos relations avec Monsieur « Max ».
- J’ai couché avec lui pendant un an et demi, j’aimais coucher avec lui, j’adore coucher avec lui, il n’a pas peur des nouvelles expériences, j’aime les hommes comme ça, les hommes qui me donnent du plaisir, il m’a donné beaucoup de plaisir, il me donne beaucoup de plaisir…- Avez-vous avec lui, essayé les pratiques sadomasochistes ??
- Qu’avez-vous en tête exactement Monsieur Benjamin ?
- Vous lui avez lié les mains ?
- Non, Max aimait trop de servir de ses mains…J’aime les mains et les doigts…Pendant tout l’interrogatoire, j’écarte et je croise les jambes, une fois à droite, et une fois à gauche. L’assistance s’excite terriblement et moi je suis littéralement en feu.
- Je respecte aucune règle Max…Je suis le courant !!! En m’adressant à Max.
- Pourquoi chez toi le cul domine autant la tête…Me demande Max en réponse.
- Parce que nous avons toutes le droit d’être puissantes dans toutes les formes de sexualité que nous choisissons d’avoir…Mon bel amant…Cette réplique n’étant pas prévu dans le texte.
Nous continuons la scène comme prévu, les dialogues ayant été revisité par mon petit chéri Éric.
Au départ, 41 gars s’étaient inscrits, seulement 25 sont venus. Le problème est le même partout, les hommes se désistent. Nous rencontrons la même chose en rencontres privées. Nous comptons environ 30 % de poseurs de lapin quand nous coquinons. Entre le fantasme et la réalité, il y a une marge difficile à franchir pour certains.
Le club libertin est privatisé pour nous seuls : nos amis (Sylvie et son mari Patrick de Couplopen), les 25 coquins, Éric, Max, John et moi.
C’est un club qui a une grande piste de danse, un beau bar et de nombreux coins câlins possédant des atouts qu’on ne trouve pas forcément partout : des pots remplis de préservatifs prêts à être employés, des solutions hydro-alcooliques pour se rincer les mains, des crèmes pour avoir les mains toutes douces et des mouchoirs.
Avant la fin de notre « interrogatoire », les coquins sont tous à poil en train de se masturber, la scène les a chauffés manifestement…Je suis ravie…Nous allons enfin passer aux choses sérieuses…Moi aussi je suis impatiente…John nous invite à nous déplacer dans le plus grand coin câlin bien éclairé du club… Où les 25 coquins nous attendent.
Avant de commencer, mon amie Sylvie fait un petit speech pour présenter nos préférences et nos tabousJohn leur a demandé de se mettre en cercle autour des quatre matelas…Posés sur le sol.
Je suis happée au passage par Max qui me retire ma robe ultra courte, m’embrassant tendrement en me souhaitant un joyeux anniversaire.
Sylvie, ma bonne copine propose à ces coquins que nous fassions un tour de piste pour les saluer « buccalement » !!!
C’est très agréable de passer d’un sexe à un autre comme cela, tous au garde à vous en me souhaitant un joyeux anniversaire.
Tous les coquins présents sont très corrects et respectueux. Je dirai même, globalement plus respectueux qu’en soirées normales. Il y a un Anglais super sympa (mine de rien, ça fait du bien de parler en Anglais) !
Après les présentations buccales, nous sommes allées nous mettre chacune sur un matelas et le gang-bang a commencé à proprement parlé.
Le premier à me prendre est Max, pour bien prouver à tous que je suis sa « chose », il commence une chevauchée endiablée sans protection mon bel amant…Il guide mes hanches pour des va-et-vient rythmés. Il est très viril et me baise en levrette. Il m’assène quelques bonnes fessées. J’adore sa façon de me prendre. Il jouit très vite en moi.
Pendant ce temps je suçais goulument mon ami John et masturbais un autre coquin.
Le deuxième homme est John, il me prend en missionnaire et me demande où je souhaite qu’il éjacule. Je choisis la poitrine. Il m’offre une belle giclée !!!
Puis, les hommes se sont enchaînés. Pour pouvoir jouer avec un maximum de coquins, j’ai préféré rester en « missionnaire » : les quatre fers en l’air sur le dos. C’est la position la plus pratique pour un gang-bang et celle qui entraîne le moins de surchauffe du minou.
Ça permet d’être plus disponible et de pouvoir jouer plus longtemps.
Pourtant, je préfère la levrette, mais c’est plus approprié pour une petite pluralité.
Je suis très cambrée et il n’est pas toujours facile de trouver mon entrée quand je suis à quatre pattes.
Elle est placée plus haute que chez les autres femmes. Au moins, dans cette position, il n’y a pas d’hésitation à avoir : c’est droit devant !!!
Les coquins se succèdent rapidement et jouent le jeu du gang-bang : pas de tendresse ou de gros câlins. Ils vont et viennent, jouissent vite et ne s’attardent pas à me prendre 20 mn chacun.
Toutes les 3/4 minutes, je change de sexe en moi. Les hommes viennent littéralement se vider et j’adore ça !!!
Ce que j’aime dans le gang bang, c’est justement la diversité des sensations.
Aucun sexe ne procure le même ressenti et aucun homme ne baise de la même manière.
Chacun a un petit truc que l’autre n’aura pas, un petit truc qui change, qui fait qu’il n’est pas celui d’avant et qu’il ne sera pas celui d’après.
L’intérêt du gang bang est de faire varier les plaisirs en un minimum de temps.
Certains coquins m’ont prise plusieurs fois, c’est le cas de Max et de John, d’autres ont essayé et ne sont pas parvenus à bander suffisamment fort pour pouvoir pénétrer.
Pour en avoir déjà parlé avec mon petit chéri Éric, il m’a expliqué que c’est vraiment difficile pour les hommes de bander devant les autres. Même si la situation est excitante, la bandaison est aussi cérébrale et l’intimidation peut prendre le dessus. Il est certain que c’est plus facile pour une fille : il suffit d’écarter les cuisses, mettre du lubrifiant et se laisser porter par le plaisir.
Nous nous sommes occupées Sylvie et moi de tous les gars en une heure et quarante-cinq minutes. Rapide et efficace !!!
Good job girls !!!
J’avais la santé pour en faire davantage, mais ils étaient tous K.O. !!!
D’habitude, mes gang-bang durent entre 1h et 1h30 mais les coquins sont beaucoup moins nombreux.
Je n’aurai jamais cru tenir aussi bien, car je n’étais pas en forme du tout : nuit blanche à être malade comme une chienne (état fébrile, grosses crampes au ventre, nausées, migraines, faiblesse et une courante dont je vous épargnerai les détails…).
Honnêtement, j’avais peur que ça se passe mal niveau…Courante, mais dans l’action, je n’ai pas été gênée !!!
Il n’y a pas eu de bukkake. Je ne suis pas certaine qu’ils aient compris qu’ils pouvaient me jouir dessus, juste deux l’ont fait.
Ils n’ont peut-être pas compris les consignes de Sylvie avant de commencer, ce n’est pas forcément facile. Bizarrement, on ne nous apprend pas ce vocabulaire là, à l’école !!!
Une fois les coquins fatigués, nous nous sommes tapées dans les mains avec Sylvie et nous sommes félicitées du beau travail accompli : 25 coquins en 105 mn !!!
Good Job !!! Nous sommes habituées à coquiner toutes les deux. On l’a très souvent fait au Cap d’Agde l’été, lorsque nous avons les mêmes dates de congés.
C’était vraiment super de retrouver cette complicité coquine, avec mon amie Sylvie, dans une soirée privée pour mon anniversaire !!! Ça change.
Un super souvenir pour mon anniversaire et un petit clin d’œil à la belle Sharon, la vraie dans un club où les libertins savent s’amuser dans le plus grand respect.
Merci à mon petit chéri Éric, à John pour toute l’organisation et à Max pour sa participation très active.

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