ALLAN épisode 3. Un couple débordé par leurs propres désirs et ceux de leur maître

- Par l'auteur HDS AdultR -
Récit érotique écrit par AdultR [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 14 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
  • • L'ensemble des récits érotiques de AdultR ont reçu un total de 114 294 visites.
Récit libertin :  ALLAN épisode 3.  Un couple débordé par leurs propres désirs et ceux de leur maître Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 7 856 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
ALLAN épisode 3. Un couple débordé par leurs propres désirs et ceux de leur maître
Histoire vraie

Sophie est devenue la soumise d’ALLAN. Il est son « nouveau maître »
Je n’ai rien pu empêcher jusque là … parviendrais-je à le faire par la suite ?
… Pas si sur.

Je cliquais sur l’icône « La soumission de Sophie » et regardais l’écran qui s’ouvrait sur une caméra subjective montrant un personnage qui montait l’escalier feutré d’un hôtel cossu.
C’était comme si ALLAN avait une caméra à l’épaule, à moins que ce ne fut une « gopro » ou je ne sais quoi … ses grosses lunettes peut-être …
Je vis une main frapper sur la porte de cette chambre dont je reconnaissais le numéro.
Sophie vînt ouvrir en jupe et corsage noir. Elle était souriante. Elle accueillit ALLAN d’un joyeux « bonjour ALLAN comment allez vous ? »
- Je vais très bien et toi magnifique Sophie ?
Elle rougit et lui dit
- Magnifique, c’est très gentil, mais ou est Yann ? dit-elle en me cherchant des yeux .
- Il va bientôt arriver. Il est parti se garer et aussi faire quelques courses pour ce midi il va nous rejoindre bientôt. Je peux ?
Il s’avançât pour lui dire bonjour et je vis qu’il l’embrassait au coin des lèvres ; Elle s’en montrât gênée, mais ne fit rien paraître

Elle le laissât entrer et le suivit dans la chambre. Il posa sa mallette et ses affaires et se retourna vers elle tout sourire.
« Tu es VRAIMENT splendide Sophie ce sont des bas que je vois là ?
Elle rosit encore un peu avant de dire
« Oui »
- Fais des phrases Sophie, j’aime bien les phrases, ça permet d’être plus précis non ?
- Oui, ce sont des bas ALLAN
- C’est très très joli et pour les tenir, tu as mis des fix ou bien autre chose ?
- J’ai mis un porte jarretelle dit-elle en baissant les yeux …
- Pour moi ? C’est super sympa ça merci Sophie j’adore !!!

Ca y était, il commençait déjà à la mettre mal à l’aise… Je la voyais devenir rouge pivoine. Il l’avait déstabilisé et je sentais qu’il allait pousser son avantage jusqu’à ce qu’elle craque. Et s’il était aussi tenace et insistant qu’avec moi, je gageais sérieusement qu’elle ne tiendrait pas longtemps.
- Non, je les ai mis pour nous tous, pour vous plaire.

Il saisit immédiatement l’ambiguïté sur laquelle il allait jouer sans tarder… puisqu’elle le vouvoyait depuis le début.
- Hé bien, mais tu as bien fait, ça me plait énormément. Montes un peu ta jupe que je le vois … Juste un peu.

Elle se trouvait déjà en mauvaise posture et je voyais qu’elle commençait à le comprendre. Ne trouvant pas quoi dire, elle se recula et monta un peu la jupe afin qu’ALLAN puisse voir l’orée du porte jarretelle. Il n’insista pas d’avantage mais s’avança près d’elle. Il la pris par les épaules et lui dit gentiment :
« Vas-y tournes un peu sur toi même …»
Elle s’exécuta doucement pendant qu’il sifflait d’admiration.
« Bravo Sophie, c’est tout à fait charmant et de plus, ça te va à ravir.
Puis il la stoppa et l’attira à lui pour la prendre dans ses bras et exécuter quelques pas de danse.
Il termina en la renversant, comme pour un tango, et il s’approcha pour lui donner un baiser.
Lèvres serrées, elle répondit à peine à son baiser… loin de ce qu’il voulait, mais cela n’importait pas beaucoup, il avait du temps et le savait.
Sophie s’inquiéta et demanda :
« Yann en a pour combien de temps ?
- Le temps de faire les courses pourquoi ?
- J’espère qu’il va arriver vite
- Oui ne t’inquiètes pas Sophie, tu as l’air tendue viens là je vais te masser un peu.

Elle le laissa passer derrière elle et lui poser les mains sur les épaules où il commença un léger massage.
« Assieds toi Sophie nous serons plus à l’aise.
Elle n’osait pas refuser et s’assit sur une chaise. Il repris le massage et lui dit qu’il aimait beaucoup sa coiffure, son maquillage. Elle se tortillait et devait certainement rougir.
Il se pencha et lui embrassa l’épaule en disant :
« Yann m’a dit que nous devions commencer sans lui. Pas de souci, nous nous connaissons et tu sais que tu peux avoir confiance n’est-ce pas ?
- Oui, je sais que je peux vous faire confiance, mais j’aimerais que Yann soit là pour commencer vraiment.

Elle se montrait plus habille que moi pour tenter de repousser ses avances. Il ne prit pas la peine de répondre et laissa glisser ses mains sur les bras la complimentant sur son parfum, lui réaffirmant qu’il avait A-DO-RE notre dernière séance tous les trois.
Petit à petit, ses mains passaient sur le cou, les bras et firent le tour pour venir juste effleurer les pointes de seins qui se tendirent instantanément.
« Houla !! Sophie, j’avais oublié comme tu es sensible des seins.
Il la regarda dans le miroir et je la vis rougir violemment.

Je levais les yeux de l’écran et je vis qu’ALLAN était assis derrière Sophie et qu’il lui caressait les seins Sophie était tout aussi rouge que sur la vidéo et gardait les yeux baissés.
« Ne t’occupe pas de nous ma salope regardes puisque tu voulais voir »

Je repris la lecture de la vidéo.
Il embrassait les épaules de ma tendre et lui murmurait à l’oreille :
« Alors comme ça, tu ne me considères pas « encore » (il avait insisté sur ce mot) comme ton maître… et pourtant tu viens me voir avec des tenues à faire bander les morts … et les vivants aussi tu sens ? »
Ce disant, il s’était avancé au point qu’elle devait sentir sa virilité dans son dos mais ne trouvant pas d’argument, elle se contenta de rougir plus encore…
Il reprit le massage délicatement mais Sophie n’était guère plus à l’aise.
« Tu es toute tendue ma douce Sophie, il faut te détendre, tu sais, ça va bien se passer, je ne vais pas te manger… Tout juste te grignoter tu sais. Ne t’affoles pas comme ça, Yann va remonter. Il sera sans aucun doute très content de voir que nous avons commencé… Vous en avez parlez tous les deux en plus me semble t-il n’est-ce pas Sophie que vous avez déjà évoqué la chose ?
- … non, c’était dis comme ça mais…
- Mais vous en avez parlé quand même humm ?
- Comment ça ?
- Yann m’a dit quelque chose à propos d’un gage. Tu en as reçu quelques uns dernièrement non ?
- Ha d’accord, il vous a parlé de ça...
- Bien sur je le lui ai demandé et il ne me refuse rien … lui. Je sais donc qu’il y a un gage pour toi aujourd’hui non ?
- … Mais non, enfin, je, non c’était dis comme ça et …
- Oui, j’entends bien, mais ça a été dit quand même. Alors, disons que le gage a commencé. Laisses toi doucement aller… Tu vas voir comme Yann sera tout à fait satisfait.
- Ne… Non, je voudrais qu’il soit au moins présent, et puis c’était pas vraiment un vrai gage…
- Allons Sophie, nous sommes entre gens de confiance ici, n’abîmons pas cette relation par de petits mensonges laisses moi faire fermes les yeux.

ALLAN leva la tête et dans le miroir, je vis Sophie cramoisie croiser le regard de notre guide et baisser la tête puis … fermer les yeux doucement.
Il lui pris les tempes et attira sa tête légèrement vers l’arrière pour recommencer à la masser dans le cou tendrement avant de se pencher et de déposer sur ses lèvres, un chaste baiser.
Insistant un peu plus, il parvînt à ses fins et Sophie ouvrit sa bouche mêlant sa langue à la sienne. Ses mains empaumaient désormais ses seins et en agaçait les pointes sensibles et toutes dures. Je sais qu’elle aime ce genre de caresse et la tête renversée, elle n’opposait déjà plus guère de résistance.
Les doigts fins et habiles d’ALLAN, enlevaient discrètement les boutons du corsage noir qui s’ouvrait chaque fois un peu plus sur cette opulente poitrine et ce soutien gorge très décolleté.

Je voyais la poitrine de Sophie se lever à un rythme soutenu et rapide… elle haletait entre les dents de son manipulateur qui ne se privait pas de passer ses mains sous ses seins et sur son ventre.
Il arrêta net ses caresses et ses baisers, pour reprendre le massage qui contribuait à la relaxer et à faire doucement baisser ses défenses.
« J’aime beaucoup l’ensemble que tu as choisit de mettre aujourd’hui. Je suis très flatté que tu aies pensé à moi en t’habillant »
- C’était pour vous deux…
- Je sais jolie Sophie, mais je fais bien partie des deux en question non ?
- … Oui bien sur…
- C’est bien ce que je disais donc. Je le répète, je suis flatté que tes douces pensées, aient débouchées sur le choix de cette très jolie tenue sexy en diable et terriblement excitante. »
Elle renversa la tête pour voir son interlocuteur. Il dut lui sourire car je vis le visage de Sophie lui rendre son sourire. L’expression fut coupée par le baiser qu’il lui donna juste après. Un baiser plus profond, plus passionné, avec la langue et auquel ma belle répondit cette fois sans réticence.
Le corsage était entièrement défait et Sophie ne s’en rendit vraiment compte que lorsqu’ALLAN, refit le tour de la chaise pour prendre l’amante alanguie par les mains. Je vis qu’elle regardait étonnée les pans de son corsages ouverts et dévoilant l’ensemble qui serrait à grand peine ses seins ronds et généreux.
Il la serra contre lui pour un autre baiser profond et partagé. Je voyais que Sophie se montrait de plus en plus confiante. Elle lui rendait tous ses baisers et semblait même en redemander encore.
Je sentais ma jalousie qui frappait à la porte de mon cœur qui se serrait devant ce spectacle … déjà vieux de plus de deux heures… presque trois.

Je levais les yeux pour voir Sophie renversée sur l’épaule d’ALLAN qui l’embrassait dans le cou et caressait son ventre et ses cuisses tout doucement et très tendrement.
Elle ronronnait et se laissait faire. Il se pencha à son oreille pour lui dire quelque chose.
Immédiatement, elle mis ses mains sur son sexe entrouvert et laissa ses doigts glisser sur son clito rond pour le branler lentement.
Elle soufflait bruyamment les yeux clos. ALLAN me regarda et me fit un signe de tête.

Je me remis à regarder l’écran.
Il y avait deux images prises par deux caméras différentes. Sans doute la « gopro » et une autre ou un appareil photo. La première image, était en gros plan, l’autre en plan plus large.

Ils étaient tous les deux debout, enlacés et s’embrassaient à pleine bouche. ALLAN avait fait glisser le corsage et ouvrait la jupe qui tombât sur le sol. Sophie était très déshabillée tandis que son hôte restait complètement vêtu.
La différence était saisissante et laissait voir comment ALLAN prenait lentement le dessus. En restant habillé, il montrait sa supériorité et son ascendant sur ma tendre amoureuse qui perdait peu à peu pied dans sa confrontation avec ce maître …
Il posait ses mains sur son dos sans cesser de la regarder dans les yeux l’hypnotisant tendrement et continuant à lui donner des baisers…
Je la voyais respirer vite, presque essoufflée.
Il ne lui laissait aucun répit alternant
Les baisers, les caresses sur les épaules, les bras, le haut des seins ou carrément les pointes durcies, le ventre, les flancs, le dos, les fesses…
Sophie avait l’air un peu affolé par cette avalanche de sensations… comme si plusieurs mains couraient sur elle en même temps.

Il lui disait des mots doux, lui disait qu’elle était « hyper sexy », qu’elle lui plaisait et qu’il la sentait toute chaude. Il lui faisait tourner la tête et elle sentit trop tard ses doigts qui s’étaient installés dans son shorty et faisaient rouler son clito presque imperceptiblement. Surprise, elle s’accrocha à ses épaules pour ne pas tomber… Sans cesser de l’embrasser. Il ressortit ses doigts englués de cyprine…
« Vois comme tu es toute transpirante et chaude ma douce Sophie. »
Ce disant, il poussait ses doigts contre ses lèvres. Elle les lui lécha sans qu’il ait eut besoin de le lui demander.

« Tu aimes cette odeur et ce goût Sophie je me trompe ? »
Elle rougit violemment avant de soupirer
« Oui j’aime… »
Il reprit son œuvre et remit les doigts au chaud dans sa chatte visiblement trempée.
Il la doigtait debout et elle continuait de s’accrocher à lui.
Il s’arrêta net pour la laisser pantelante et haletante, lui reprendre délicatement les lèvres en l’enlaçant comme un amant. Elle répondait comme une amante avec les mêmes gestes doux qu’avec moi… dur pour ma frustration et ma jalousie...

Je jetais un autre coup d’œil au dessus de l’ordi et Sophie se caressait toujours aidée par la main d’ALLAN qui la doigtait doucement, ils ne faisaient pas attention à moi apparemment et se conduisait comme un couple normal qui fait l’amour.

Sur l’écran,
Sophie déboutonnait la chemise blanche d’ALLAN qui lui mettait les mains derrière sa tête et l’obligeait à venir couvrir son torse de baisers.
Il attirait ses lèvres sur ses tétons et elle le léchait avidement.
« C’est bien ma Sophie continues encore un peu, voilà … un peu moins vite… oui comme ça c’est bien. »
Sophie se montrait bonne élève et suivait les indications qu’il lui donnait. Au bout d’un long moment, je le vis se pencher à l’oreille de la docile amante et dans la foulée, elle s’attaqua à la ceinture d’ALLAN. Il la regardait tendrement et la laissait faire. Sophie voulait le débarrasser rapidement de son pantalon pour pouvoir enfin toucher à l’objet de ses désirs, de ses envies…
Lui, refreinait les gestes de son amante l’embrassant, la caressant doucement pour la distraire et ancrer en elle cette envie de « passer au choses sérieuses ».
Je le vis prendre ma tendre sous les bras, la regarder intensément dans les yeux et lui dire :
« Tu as envie de plus Sophie ? »
« … »
Elle avait les yeux grands ouverts la bouche arrondie sur un mot inaudible…
« Hé bien réponds moi Sophie … Tu as envie ??? »
« Ou… oui »
« Fais moi de jolies phrases ma belle Sophie. »
« Oui j’ai envie de plus ALLAN »
« Bien alors mets toi à genoux »

Je la vis se mettre à genoux sans rechigner. Il lui prit le menton pour capter son regard.
« Mets tes mains dans le dos Sophie »
Elle s’exécuta immédiatement.
« Je ne veux pas que tu me suces Sophie. Je veux que tu m’OFFRES ta bouche tu saisis ? »
« Ou… Oui je crois »
« Vas-y ma belle »
Je vis la tête de Sophie s’avancer vers ce sexe déjà tendu à l’horizontale. Elle le regarda encore une fois dans les yeux, cherchant son approbation.
Sa langue sortie timidement pour toucher la colonne de chair en apprécier les contours puis, elle remonta le long de la bite désormais droite et je la vie embrasser le gland très délicatement et mettre sa bouche dessus avant de l’engloutir entre ses lèvres.
Elle fit tournoyer sa langue sur le gland et la tige… de temps en temps, elle regardait dans sa direction pour voir s’il était satisfait.
ALLAN gardait un visage de marbre comme si ce qu’elle lui faisait était insignifiant.
Elle s’obstinait alors pour faire naître chez lui une expression qui lui confirmerait qu’elle était sur la bonne voie.
Elle du continuer un long moment avant qu’il ne la relève le visage toujours fermé. Il passa les mains derrière le dos de Sophie et dégrafa le soutien gorge. En suivant, il mit les mains de chaque côté de son shorty et le fit glisser le long de ses jambes.
Sophie souleva les jambes, l’une après l’autre pour l’aider. Elle était nue juste parée de son porte jarretelle… comme elle était belle ainsi … j’eus un coup au cœur. Elle se tenait devant lui, les mains dans le dos les yeux, ne soutenant pas son regard, elle avait la tête baissée.
« Tu viens de me donner ta bouche Sophie n ‘est-ce pas ? »
« Oui, je viens de vous donner ma bouche ».
« Bien tu vas me donner autre chose maintenant tu veux ? «

Elle ne répondit rien
« Hé bien ? Je t’ai posé une question Sophie ? »
« … Oui »
« Tu as envie de me donner quoi ? »
« J’ai envie que vous me preniez par devant. »
« Qu’est-ce que c’est que cette façon de parler Sophie ? Sois plus directe tu veux ? Tu veux me donner ta chatte ? »
« Oui … je veux vous la donner »
« ME DONNER QUOI ? »
« Vous donner ma chatte » Elle avait dit ça en rougissant à l’extrême.

Il pris un préservatif et l’enfila prestement sur son sexe érigé en obélisque. Il prit Sophie par les épaules et l’installa sur le dos. Il s’allongea prés d’elle repris ses caresses tendres et ses baisers.
Je ne pus m’empêcher de penser :
« Ca y est elle va se donner à ALLAN » Je me sentais dépossédé, incroyablement frustré et un peu malheureux…
Lorsqu’il voulu se mettre entre ses jambes ; elle voulut les resserrer et se raviser…
« Non, il faut attendre Yann s’il vous plait ALLAN. »
Il força le mouvement et lui attrapa les poignets la couvrant de son corps et lui ouvrant les jambes de ses genoux.
« BON, ÇA SUFFIT COMME ÇA SOPHIE !!! J’EN AI ASSEZ DE TES HESITATIONS !!!
Yann ne reviendra que lorsque je lui dirais de revenir. Jusque là, TU ES A MOI QUE TU LE VEUILLES OU PAS !!! »

Je la vis essayer vainement de lui échapper mais il avait déjà réussit à se positionner entre ses jambes.
Il lui attrapa les deux cuisses pour les lever, posa ses mains dessus pour les écarter au maximum et dans le même temps, il se colla à elle pour poser son gland sur sa fente.
Il s’enfonça entièrement en elle. Quand il fut amarré à Sophie, il lui claqua violemment les cuisses, les fesses et les seins. Elle luttait encore gigotait en tout sens en criant :
« Non, pas comme ça, arrêtez ALLAN s’il vous plait ! HAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »
« TAIS TOI TU ES A MOI MAINTENANT !!! »
Il fit quelques allers-retours en elle, lui arrachant un grand cri. Il accéléra encore et encore. Se redressant, il se remit à lui adresser des claques sur les cuisses.
« TU VEUX QUE JE CONTINUES DE CETTE FAÇON OU TU PREFERES REVENIR A DE MEILLEURS SENTIMENTS ET TE LAISSER FAIRE ? »

Il se remit à la prendre avec force jusqu’à ce que je la vois abdiquer lentement. Les moulins qu’elle faisait avec ses bras étaient moins forts, moins vifs et pour tout dire, beaucoup moins crédibles. Elle respirait fort et se laissait peu à peu prendre par le rythme qu’ALLAN lui imposait.
« ALORS SOPHIE ? TU ES DECIDEE A ME LAISSER FAIRE ? »
« HAAAAAA … Oui, d’accord ALLAN… je me laisse faire… faites doucement s’il vous plait »

Pendant toute sa rébellion, elle avait continué à vouvoyer ALLAN qui, de fait savait pertinemment qu’elle était en train de « jouer ». La scène avait fait monter mon adrénaline brusquement mon cœur s’affolait et semblait vouloir sortir de ma poitrine.
Je voyais mon amoureuse qui se rendait à la raison dictée par ALLAN qui s’imposait, de fait brusquement, comme SON maître.
Elle était conquise… c’en était fait de sa liberté de mouvement ou de décision. Elle venait de franchir un cap… une évidence m’apparue avec netteté et soudaineté :
ELLE LUI APPARTENAIT !!!
J’eus un gros pincement au cœur et sentis les larmes affleurer. Je me contrôlais et jetais un coup d’œil au dessus de l’ordi.

ALLAN était assis sur le lit et me regardait un sourire ironique au coin des lèvres. En observant mon air étonné et ma respiration saccadée, il savait parfaitement où j’en étais du film. Il avait cet air de « conquistador » qui semblait me dire :
« Tu vois, j’ai gagné mon pari, il ne m’a fallu qu’une heure et des poussières pour la ranger à MA raison … »
Je le regardais à la dérobée et vis que Sophie était maintenant à ses pieds en position de soumise, sur les genoux, les mains dans le dos en train de lui pomper la queue comme si son avenir en dépendait. Je l’entendis dire à SA soumis :
« Branles moi en même temps. »
Immédiatement, je vis Sophie obéir à SON maître et prendre la bite dans ses mains en continuant de le sucer.

ALLAN me fit un signe de tête et je replongeais dans la vidéo.

Désormais, Sophie semblait se laisser faire. ALLAN allait beaucoup plus doucement.
Il était même tendre avec elle et faisait basculer son bassin de droite à gauche pour la fouiller complètement. Je voyais les mains de ma bien aimée, serrer le dos d’ALLAN. Elle commençait même à imprimer ses ongles dans sa peau … signe qu’elle était en train de partir et que sa jouissance, s’insinuant dans le bas de son dos, remontait le long de ses jambes, de son échine et fusait, telle la marée à une vitesse qu’elle ne contrôlait plus du tout… Je l’entendis miauler comme une chatte et griffer son suborneur en gémissant et en répétant :
« HO OUI, PUTAIN C’EST BON !!! HOOOOOOOOO OUI…»
Il laissa redescendre Sophie en la câlinant tendrement … comme un amant attentif.
Il reprit ensuite :
« C’est bien Sophie, belle jouissance. J’aime quand tu te laisses aller mais ne me résiste plus je ne voudrais pas avoir à recommencer comme tout à l’heure c’est bien compris ? »
« Oui … »
« Oui qui ma chère soumise ? »
« Oui ALLAN »
« Non, tu peux faire beaucoup mieux que ça ma tendre soumise… alors ? Oui qui ? »
Et là, j’entendis ce que je redoutais le plus d’entendre…
« Oui maître »
« C’est bien Sophie je vois que tu as compris. »

WOAOW !!! Je reçus encore un autre coup de semonce et d’adrénaline.
J’avais la tête qui tournait et ma respiration qui s’affolait.

ALLAN recommençait ses caresses sur le corps alangui de Sophie qui se laissait visiter comme SON NOUVEAU MAITRE le désirait. Il lui caressait de nouveau la chatte, la doigtait savamment. De temps à autre, il semblait qu’il lui caressait aussi l’œillet Sur le gros plan, je voyais son index qui lui perforait doucement le cul. Sophie gémissait mais n’empêchait rien. Il avait du prévoir ce qui allait se passer car je le vis poser un petit gode terminé par un petit diamant sur l’anus de ma pauvre Sophie qui n’objecta même pas lorsqu’il le fit entrer entièrement en elle.
… Juste un petit gloussement de surprise.
Il continua à faire entrer et sortir le gode sans arrêter de la doigter. Son habilité et son expérience, lui ouvrait toutes les voies…
Sophie se mis à se contorsionner dans tous les sens en criant, elle jouissait bruyamment par les doigts dans sa chatte et le gode adroitement manipulé dans son cul.
Sur le gros plan, je voyais son sexe dégouliner abondamment…
Comme me l’avait dis ALLAN :
« Sophie est une femme fontaine c’est génial ça !!! »
« Oui, je sais, elle le fait parfois. »
« Elle devrait le faire à CHAQUE FOIS … si tu n’était pas si maladroit.
La respiration saccadée, le cœur affolé, Sophie se laissait emporter par ses démonstrations extatiques, continues….

« Bien ma tendre Sophie que te reste t-il à m’offrir maintenant pour être encore plus à moi ? »
Je la vis blêmir et reculer un peu pour le supplier du regard :
« S’il vous plait maître, pas maintenant … Yann… »
« … Yann n’arrivera pas tout de suite ! Alors réponds à ma question que te restes t-il à m’offrir ? Appliques toi pour répondre. »
« … Il reste … mon cul … maître ? »
« C’est parfait alors mets toi en levrette. Yann m’a dit que tu adorais cette position non?»
« Oui maître j’adore… »
Répondit-elle en se mettant en position. ALLAN se mit derrière elle. Sophie semblait s’agiter de nouveau.
Il lui claqua les fesses assez fort
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏEEEEEEEEEEUUUUH »
Il frotta d’autorité son gland le long de la raie culière de Sophie qui espérait vainement échapper à l’outrage en se tortillant. Défense illusoire et inadaptée puisqu’elle restait toujours en levrette.
Voulait-elle réitérer la scène précédente ?
Je me souvenais qu’elle m’avait un jour avoué s’être déjà excitée avec des pensées de viol, ou d’hommes qui la forcent.
Ces souvenirs m’arrivèrent violemment en pleine tête car je SAVAIS que c’est ce qui allait se passer de nouveau devant moi !!!
En effet, ALLAN enleva délicatement le gode laissant apparaître une certaine béance du trou, claqua les fesses de Sophie qui cria un grand :
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏEUUUUUUUUH !!!»
Il positionna son gland sur l’anneau que je vis palpiter légèrement puis … engloutir toute la longueur de la bitte d’ALLAN.
Il se retira presque immédiatement pour poser de nouveau son gland sur l’anneau encore entrouvert et qui se refermait lentement. Je voyais l’anneau qui commençait à s’écarter doucement. Il n’allât pas plus loin, le gland à moitié introduit…

« Veux tu m’offrir ton cul Sylvie ? »
« Oui, maître. »
« Alors déclares le moi !! »
« Je veux vous donner mon cul ... Maître. »
« Tu en as VRAIMENT envie? »
« Oui… maître… vraiment. »
« Alors écartes tes fesses et montres moi que tu m’offre ton cul avec plaisir. »

Je la vis ouvrir ses fesses avec ses mains, elle était magnifique dans cette position d’offrande, de don d’elle même.
ALLAN vînt se placer derrière elle lentement. Il lui caressait le dos et l’intérieur des cuisses, il introduisait en même temps des doigts dans sa chatte trempée.
Elle gémissait de bonheur visiblement troublée de s’offrir ainsi et de ressentir les ondes de plaisir qui la traversaient. Sans que rien ne le laissait prévoir je la vis essayer de fuir soudain les doigts d’ALLAN.
Sophie se ravisa et commença à onduler du bassin, il lui mit une claque sur les fesses pour qu’elle restât tranquille … ce qui n’eut pas l’effet escompté.
Elle tenta de se retourner pour se dérober mais ALLAN nettement plus rapide, avait assuré sa prise des doigts dans sa chatte et la maintint en levrette lui claquant fortement les fesses avec l’autre main.
« VAS TU RESTER TRANQUILLE OU FAUT-IL QUE JE RECOMMENCE COMME TOUT A L’HEURE ? »
Il lui agrippa les hanches et lui appuya sur les épaules, puis il lui prit les avant-bras et les lui ramena vers l’arrière.
Il avisa la paire de menotte qu’il avait du, préalablement prendre avec lui, et les attrapa rapidement pour attacher les deux mains de ma belle dans son dos.
Je voyais qu’elle se débattait, mais son nouveau maître la maintenait solidement en levrette et lui empêchait de s’allonger sur le ventre. Elle y parvint toutefois. Sans se départir de son calme, il lui mit une énorme fessée lui arrachant des cris.
Désireux de ne pas ameuter tout l’hôtel, il se leva, pris un bâillon latex qu’il lui fixa dans la bouche. Lorsque ce fut fait, il reprit la fessée et j’entendais la main qui s’abattait et les cris étouffés de Sophie…
J’ASSISTAIS BEL ET BIEN AU DRESSAGE DE MA TENDRE AMOUREUSE !!!


A mesure qu’il frappait, je voyais les fesses rougir et Sophie qui se débattait de moins en moins se contentant de pousser des cris à chaque claque.
Il lui dit alors très calmement :
« Je continues ou bien préfères tu obéir ma belle ? »
« HUMMMM HUU HUMMMM …»
Il lui enleva le bâillon …
« Tu disais ? »
« Je préfère obéir. »

Une claque retentissante fit tressauter les fesses déjà bien rouges.
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏEUUUUUUUUUUH »
« Tu disais ? »
« Je préfère obéir …maître. »
« remets toi en levrette ! »

Il l’aida à reprendre sa position initiale, lui enleva les menottes et lui remit une claque moins forte sur les fesses.
« HAAAAAAA !!! »
Sophie écarta d’elle même ses magnifiques globes fessiers rougis par la correction. ALLAN s’installa de nouveau derrière elle, l’attrapa par les cheveux et positionna sa bite sur l’anneau qui accueillit le gland, puis, il s’enfonça assez rapidement et en une seule fois jusqu’au fond de son cul.
« HUUUUUUUUUUUUUUUU !!! »
Sophie en lâcha ses fesses. Il lui reclaqua le cul afin qu’elle compris que les consignes n’avaient pas été changées.
« AÏÏÏÏÏÏE !!! »
Toujours enculée, elle obéit en gémissant. ALLAN n’eut aucune pitié ni aucune considération pour les cris de Sophie et commença à pilonner son cul d’un rythme régulier et puissant.
Elle ne lui donnait plus ses fesses, IL EN PRENAIT POSSESSION !!!
Il lui imposait un rythme et une intromission sans tenir compte des désirs, des envies de SA soumise…
IL LUI VIOLAIT LE CUL !!!
J’étais abasourdi, j’avais du mal à respirer devant le viol de celle que j’aimais.
« HAAA HAAAA HAAA HA HAAAA HAAA HAAAA !!! »

Il la tenait toujours par les cheveux, elle tenait toujours ses fesses écartées et il la bourrait sans répit. Sophie arrêta de râler et se mit à gémir de plus en plus fort.
Tout dans sa tête devait se mélanger :
son désir de soumission à ce maître formidable de tendresse mais de puissance mêlée, la réalisation de son fantasme de viol qu’elle croyait secret, son dressage et finalement sa complète reddition.
Je levais les yeux car je devinais des changements derrière l’écran.
Sophie était assise sur ALLAN qui lui avait attrapé les seins. Elle montait et descendait sur sa bite les yeux fermés respirant de plus en plus fort.
Lorsqu’il vit que je les regardais, ALLAN abandonna les seins de SA soumise pour la prendre derrière les cuisses qu’il souleva en s’allongeant, pour me montrer où sa bite était logée.
Je vis alors, en direct, la bite d’ALLAN entrer et sortir du cul largement ouvert et asservit de Sophie qui se laissait complaisamment faire sans broncher. Je l’entendais miauler doucement et je savais qu’elle n’était pas loin de jouir.

ALLAN se redressa mit une claque sur les fesse de Sophie qui, prenant appui sur ses genoux, reprit ses allers-retours sur la bite de son MAÏTRE…
Il s’arrêta un instant et releva le menton de Sophie qui ouvrit les yeux et articula faiblement en rougissant et la tête baissés:
« Comme tu vois mon cul appartient à ALLAN.. ; ainsi que TOUT mon corps. JE SUIS A LUI DESORMAIS… ENTIEREMENT A LUI. »

WOAOW !!! Heureusement que j’étais assis, parce je sentais que mes jambes flagellaient et que si j’avais été debout, je me serrais effondré… de frustration et de jalousie.

« C’est assez clair comme ça ma salope ? »

Je n’arrivais pas à me remettre les idées en place et comme s’il se fut agit d’un autre, je m’entendis répondre :
« Oui maître, j’ai compris c’est assez clair. »

Laissant Sophie sur sa faim, il la repoussa tendrement mais fermement pour sortir sa bite de son logement.
S’adressant à moi, il me dit :
« Bon, il est Deux et quart, tu finiras de regarder la vidéo à la maison, On a plein de choses à faire. Viens là salope. »

Je m’avançais, la peur au ventre… qu’allait-il encore nous faire vivre ?

Je m’approchais timidement du lit. Il vînt derrière moi, pris mes mains et les menotta dans mon dos. Il pris deux cordes épaisses et en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, il m’avait ligoté pour je tienne à genoux légèrement penché.
Une des cordes me maintenait les bras et les jambes. L’autre s’enroulait autour de ma taille, passait entre mes cuisses, tournait t autour de mes couilles et la base de ma bite.
Je regardais Sophie qui avait levé la tête et me regardait maintenant avec des yeux où se mêlait la gêne et l’excitation. Elle devait connaître la suite, ALLAN avait du l’informer…
Pour c’était la surprise, mais je me doutais que j’allais devoir goûter moi aussi à la soumission.
Je me sentais rassuré par le fait qu’ALLAN n’est pas BI, mais je n’en menais pas large pour autant.
L’opération s’était déroulée dans le silence.

« Voilà, soumis, tu es prêt pour la suite n’est-ce pas ? »
« Quelle suite… maître ? »
« Mais la surprise voyons ! Sophie, ma chère, vient exciter un peu notre salope !»
Sophie s’approcha de moi et me caressa délicatement mes perles, dont elle adore la forme, avant de venir suivre la longueur de ma tige tendrement, amoureusement.
Je revivais les gestes d’amour dont elle savait me gratifier, avant d’appartenir à un autre que moi, avec émotion et je ne tardais pas à bander.
ALLAN se pencha à son oreille et Sophie se courba vers mon bas ventre, j’espérais qu’elle me prenne dans sa bouche, grâce à l’autorisation de SON maître, mais il n’en fut rien. Elle se contenta de m’embrasser le ventre et les cuisses. Ses mains couraient sur mes cuisses, mon dos et les pointes de mes tétons, me mettant dans un état d’excitation intense que l’installation des cordes allait maintenir …
Soudain, j’entendis qu’on frappait à la porte, Sophie se releva brusquement et ALLAN me flatta la tête, comme on flatte celle d’un animal de compagnie…
Dans ma position, c’est ce que je n’étais pas loin de devenir… un objet à défaut d’un animal…

Sophie ouvrit la porte du vestibule puis celle de la chambre et quelqu’un entra … Tourné comme je l’étais et dans ma position baissée, je ne pouvais rien voir mais j’entendais les pas feutrés sur la moquette. Ils parlaient à voix basse et je n’entendais rien. Ils se présentaient sans aucun doute. Les pas se rapprochèrent.

« Voilà celle qu’il faut éduquer aujourd’hui ! » … C’était la voix d’ALLAN.
«…Mais vous prendrez bien quelque chose… »

Une voix rauque lui répondit :
« Oui bien entendu. »

Le bruit des verres qu’on remplit, qui s’entrechoquent, suivit des gorgées qu’on absorbe et qu’on dégluti. Le temps s’était suspendu, m’accordant le répit nécessaire pour comprendre et même commencer à paniquer.

Jusque là, j’avais cru que ma punition allait se borner à ma frustration due à la soumission de ma tendre aimée ainsi que le fait de n’avoir pas assisté directement au dressage de Sophie, mais il allait falloir ajouter à cela MA PROPRE SOUMISSION ET MON INITIATION A L’HOMOSEXUALITE !!!

Tout à coup, je ne savais plus si j’avais envie de continuer ou de tout arrêter. Sophie s’approcha de moi…

« Je ne te quitte pas des yeux, c’est à ton tour mon chéri. Je vais te voir devenir BI… »
« Mais je suis déjà hétéro mon amour… »
« Alors je vais te regarder devenir homo mon cœur »
« … »

J’étais mort de peur mais je savais que Sophie avait le grand désir de me voir devenir soumis et BI… Je voulais lui offrir cette preuve d’amour par le spectacle d’un de ses plus grand fantasmes… voir son mec sucer, se faire prendre le cul et devenir ainsi parfaitement BI… pour d’autres nouvelles futures aventures.

Je n’eus pas longtemps à attendre, ALLAN vint dans mon champ de vision.

« Je te présente Ludo, c’est par lui que tu vas apprendre beaucoup aujourd’hui. Tu lui dois la même obéissance qu’à moi c’est bien compris ? »
« … Heu oui… maître.. ; »
« Dis bonjour à Ludo. »
« Bonjour Ludo. »
ALLAN me gifla à la volée !
« Tu l’appelles Monsieur et tu lui dis bonjour comme une bonne salope … avec ta bouche. Tu as déjà sucé une bite n’est-ce pas ? D’après Sophie il parait même que tu as aimé ça !»
« … Oui maître… j’ai déjà sucé…une fois.
« Et tu as aimé non ? »

Sophie avait donc parlé de notre première expérience et elle avait même répété des choses que je ne souhaitais pas voir divulguées… mais c’était trop tard …
Le rouge aux joues je répondis humblement :

« Oui Maître, j’ai aimé. »
« Parfait, on va te regarder et si tu es bien sage, tu seras récompensée… dans le cas contraire, tu seras punie. »
« Bien maître. »

J’essayais de tourner la tête pour voir le Ludo en question, mais ma position m’obligeait à resté(e ?) penché(e ?) et je ne voyais que ses jambes…

Elles étaient dénudées et …

SOPHIE ETAIT EN TRAIN DE LE SUCER !!!

Ce n’était pas possible… ALLAN venait de « prêter » la femme que j’aime à celui qui allait devenir mon suborneur ????? !!!???
Je voyais la tête de Sophie monter et descendre sur ce long sexe dur !!! J’étais littéralement scié à la base !!!

Ludo s’approcha, me releva par le menton et j’entendis sa voix rauque me dire :

« Alors il paraît que tu aimes sucer ? Il paraît que tu veux me dire bonjour ? »
« … Oui Monsieur… »

Il se mit à genoux devant moi et me regarda dans les yeux …
« Tu as envie de venir BI ? »
« Oui Monsieur. »
« Oui Monsieur, j’ai envie de devenir BI » me dit il en me giflant.
La tête me tournait et j’ai rapidement répondu :
« Oui Monsieur, j’ai envie de devenir BI. »

En réalité, ayant accepté le jeu, j’avais envie de faire ce qu’il fallait pour pouvoir faire l’amour à Sophie le plus rapidement possible.

Ludo s’approcha et mit sa bite à la hauteur de ma bouche. Je du tendre le cou pour être assez prêt et sortir ma langue pour toucher sa queue.
« Tu la veux dans ta bouche ? »
« Oui Monsieur je la veux dans ma bouche. »
Il s’approcha encore et je pu le lécher sur toute la longueur de la tige … jusqu’au gland dressé.
Il me regardait narquois. ALLAN avait le même type de regard et Sophie observait la scène de son mec ligoté et en train de sucer une bite avec un regard fasciné.
Ludo me prit la tête entre les mains et appliqua mes lèvres sur son gland. Il poussa pour pénétrer ma bouche et me prendre à son rythme.
Il allait assez (trop) loin dans ma bouche et j’avais des haut-le-cœur lorsque c’était le cas.
« Sors ta langue. »

Je m’exécutais et il se remit à m’enfiler la bouche puis à se retirer complètement avant de revenir y plonger …
Comme dans certains films pornos, je commençais à saliver énormément et des filets de bave reliaient mes lèvres à sa queue. Il se fit sucer un très long moment et les bruits que j’entendais autour de moi, me faisait penser que Sophie se caressait… sous le regard d’ALLAN qui devait savourer sa victoire…

Ludo colla sa bite à son ventre pour je lui lèche les boulles… parfaitement rasées…
J’avais noté que Ludo était poilu (Sophie adore) mais j’étais étonné de sentir sous ma langue le glabre de ses couilles …

J’avais de la bave absolument partout. Ludo fit le tour en m’appuyant sur le dos et je sentis sur mon cul la froideur d’un gode enduit de gel …
Il le faisait tourner et l’introduisait doucement…
Je sentais mon anneau s’ouvrir tout doucement sous la lente poussée.
J’avais cette impression d’inexorable sacrifice que rien ne pouvais plus arrêter.
Il continuait ses manoeuvres et je sentais que le gode n’entrait plus si facilement…
Ludo poussa plus fort. Impitoyablement le gode força l’anneau qui céda et je sentis mon cul aussitôt remplit d’une grosseur douloureuse…
« HAAAAAAAAAAAA AÏÏÏÏÏE !!! »
« Respire et détends toi sinon, ça va être encore plus pénible pour toi… »

J’essayais de faire comme il me le disait, mais la douleur restait là, au fond de moi…

Il faisait coulisser doucement le gode en moi. Il le mit en route et je sentis les vibrations sur le pourtour et en profondeur.
J’avais la tête prise dans un étau et plus aucune pensée ne me venait … juste les sensations douloureuses et nouvelles de mon corps !!!

Au bout d’un long moment (interminable) j’ai sentis qu’il enlevait le gode … auquel je commençais à peine à m’habituer( c-à-d que je ne criais plus aussi fort).
Il le retira complètement m’arrachant un cri lorsque la partie la plus large distendit mon cul de façon tout à fait inhabituelle…
« HOOOOOOOOOOOOOOOO AÏÏÏÏÏÏÏÏÏE !!!! »

Je respirais rapidement d’autant plus que je savais que ça y était … le plus dur restait à venir …
Soudain, ses mains sur moi…
« Alors tu es prête à me donner ton cul ? tu en as envie ? »
« … heu … oui Monsieur… je suis prêt »

Une claque ENORME me fit hurler de douleur … sèche, brutale, inattendue.
« PARDON ??? TU ES QUOI ???? »
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏËEEEE !!! PARDON MONSIEUR… oui… je suis … prête »
« Voilà, c’est mieux tu ne comprends pas vite pour une apprentie salope… il va falloir pourtant … »

Il posa son gland sur mon cul … CA Y EST C’EST POUR MAINTENANT !!!
Je sentis le gland franchir la (faible) barrière de mon cul doucement inexorablement.
« HAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! »
« On y est !!! Savoures ce moment ma belle je t’enfile… tu es une parfaite petite qui se fait trouer la rondelle et tu vas adorer ça !! »

Sophie devait ouvrir des yeux ronds et admirer son mec devenir HOMO.
J’entendis ALLAN lui demander :
« Alors le spectacle te plait ma douce Sophie ? »
Et Sophie de répondre :
« Ho oui !!! … Maître, beaucoup. »
« Tu aimes la voir se faire prendre par le cul cette jolie salope ? »
« Oui Maître, j’aimes le voir se faire enculer. »
« Tu aimes LA voir se faire enculer n’est-ce pas ? »
« Oui… Maître. »
« DIS LE !!! »
Je savais dans les brumes de douleurs et de sensations nouvelles qui m’envahissaient, que Sophie, ne voulait pas trop féminiser mon appellation… Pourtant elle finit par dire :
« Oui j’aime voir cette salope se faire enculer … Maître… »
« Voilà, parfait, tu sais ce qu’il faut dire de ton « ancien maître » désormais n’est-ce pas adorable Sophie? »
« Oui Maître. »
« C’est ce que Yann est devenu n’est-ce pas Sophie ?
« Oui Maître… »
« Alors DIS LE !!! »
« Yann est mon ancien maître »

Pendant ce temps là, Ludo m’enfilait tranquillement jusqu’à la garde, je sentais qu’au dedans de moi, tout se dépliait pour laisser passer cette bite imposante qui gonflait encore dans mon cul serré, vierge et jusqu’à ce jour inexploré !!!
Quand il fut au fond de mon cul il me chuchota :
« Alors ça y est tu es prête à devenir une bonne salope hein ? »
« Oui Monsieur, je suis prête à devenir une parfaite salope. »
Il me prit par les hanches et je sentis cette monstruosité envahissante qui remontait et qui soudain redescendait en moi… Il me pistonnait !!!
« HAAANNNN HAAAAANNNN HAAAAA HAAAA DOUCEMENT …S’il …VOUS …PLAIT !!! »
« TAIS TOI SALOPE ET ENCAISSE !!!»
Il allait de plus en plus vite sans tenir compte de mes plaintes… j’avais le ressenti d’un viol !!!
« J’arrêterais d’aller vite quand tu m’auras montré que tu es prête à être docile !!! »
Je ne savais pas ce que cela voulait dire ni comment le lui montrer. Ludo continuait, infatigable à me bourrer le cul faisant même ressortir sa bite pour la renfoncer encore plus loi, plus fort…
… Toujours la tête vide … et le cul rempli… toujours pas d’indice pour montrer ma docilité.
Soudain, je revis en pensée la vidéo de tout à l’heure où ALLAN demandait à Sophie de lui montrer qu’elle aimait de faire enculer par son nouveau maître en écartant ses fesses... C’était peut-être LA solution …
J’hésitais encore mais Ludo allait de plus en plus rapidement …
J’essayais donc d’attraper mes fesses avec le peu de liberté laissée à mes mains…
« HAAAAAA QAUND MÊME !!! ALORS TU COMMENCES A AIMER ÇA HEIN MA SALOPE ? »
« HAAAAA HAAAAAAAA Oui…Monsieur, je… commence … à… ai…mer HAAAAA !!! »
« Tu veux être une bonne salope ? »
« Oui Monsieur, je… veux… être une… bonne … salope. »
« Parfait… «
Il ressorti de moi, d’un seul coup…

« HOOOOOOOOOOOOO !!! »
Il fit le tour, enleva la capote et me mit sa bite à hauteur des lèvres.
J’ouvris immédiatement la bouche pour le sucer. Il se montra satisfait et s’enfonça dans ma bouche offerte.
Il se fit sucer pendant un temps interminable puis sorti de ma bouche et me détacha…sauf la corde qui me liait les couilles et la bite.
Il revint devant moi et servilement j’ouvris la bouche pour le recevoir à nouveau …
Il fit quelques allers-retours et se remit derrière moi, j’étais déterminé(e?) à serrer les dents et ne pas crier, pour écourter mon temps de soumission et d’apprentissage.

Je sentis encore cette sensation d’un gland qui se pose et qui enfonce les faibles défenses pour venir se nicher au fond de mon conduit… j’avais préalablement ouvert mes fesses avec mes mains dés que j’avais compris qu’il voulait encore m’enculer…

Ludo avait repris ses coups de pistons mais de façon plus lente, plus douces aussi.
Soudain, je sentis qu’on me prenait le menton, je me mettais sur les mains en levrette et levais les yeux pour voir ALLAN ???
« Alors ça y est tu es devenue une parfaite salope bien sage ? »
« Oui, maître… je … suis de…ve nue … une .. salope bien sage … HUUU ! »
« C’est bien… Sophie voudrait admirer une scène et j’ai décidé de la lui offrir tu es d’accord pour nous faire ce plaisir ? »
« Oui Maître. »

Je ne savais pas trop de quoi il s’agissait…toutes ces sensations, ces perturbations, je ne savais plus ou j’en étais, tout juste un automate, un objet de plaisir. Sophie s’approcha et me dit :
« Je veux voir ma belle salope soumise sucer une bite en même temps qu’elle se fait prendre le cul. »
Elle était toute rouge en me disant cela.
Je n’eus pas longtemps à attendre avant même d’avoir compris ce qui se passait.
ALLAN me prit par le menton, élevant ma bouche à la hauteur de sa bite … je savais ce qui me restait à faire. Sans broncher, j’ouvris la bouche pour accueillir celui qui serait désormais …mon maître pendant 5 séances encore …
Sophie était excitée comme jamais de voir son mec embroché des deux côtés !!!
Elle respirait fort et ne manquait aucun détail de la scène qui se déroulait sous ses yeux et qui constituait un sommet de ses fantasmes cachés.
J’étais secoué(e ?), balloté(e ?) par mes deux amants qui me prenait comme une femme…
Je ne savais plus ce que j’étais, un hétéro en train de devenir Homo, ou en train de devenir BI, J’étais à coup sur dans le rôle d’un objet de plaisir… Un homme dont on usait comme s’il ce fut agit d’une femme … Pour le plus grand plaisir de mes partenaires ainsi que celui de mon EX soumise devenue la soumise d’ALLAN.

La scène dura un long moment et Sophie commença à se caresser en nous observant.
De mon côté, je sentais la douleur s’éloigner doucement … Devenir plus sourde, plus lointaine.
Pas vraiment du plaisir, mais beaucoup moins de douleur et d’appréhension. Juste une sensation d’encombrement… je me sentais rempli(e ?)
ALAN qui se faisait sucer, regardait Sophie se masturber devant ces images tant attendues il sortit de ma bouche et me tourna la tête pour que je la vois se caresser.

« Vois comme elle est heureuse du spectacle que tu lui donnes. Tu lui procures du plaisir à distance, grâce à la transformation que tu acceptes en ce moment et qui te faisait si grande envie pas vrai ? »
« Oui … maître. »

Il retrourna prés d’elle et me confia aux bons soins de Ludo qui continuait à m’enculer copieusement.
Je vis ALLAN caresser les seins et le ventre de Sophie, tendrement avec toute l’attention d’un amant envers sa maîtresse ou toute la douceur d’un maître satisfait envers SA soumise…

Je ne sais si Ludo et ALLAN s’étaient concertés ou si les évènements puissamment érotiques avaient conduit les choses à leur point culminant, mais Sophie et moi nous sommes retrouvés dans la même situation, la même position :

A genoux, les mains dans le dos, avec chacun(e) la bite de notre « amant/maître dans la bouche à prodiguer une pipe propre à les satisfaire tous les deux.

Ludo et ALLAN avaient prit la tête de leur partenaire respectif et ils allaient et venaient dans nos bouches,
Les rythmes étaient similaires et, dans ma tête en tout cas, le terme me paraissait évident. ALLAN allait prendre l’entière possession de Sophie et de moi (par l’entremise de Ludo).
Une possession complète. Une soumission consentie, sans doute, attendue, pleine et entière !!!
Je sentis la bite de Ludo se raidir un peu plus, ses mains se serrer un peu plus autour de ma tête, je ne savais même plus où j’en étais de mes envies, de mes désirs.
J’étais entré dans mon rôle de « salope soumise » et je me laissais guider complètement.
Ludo se figea, comme tétanisé et je sentis fuser sur ma langue les premiers jets de son jus chaud, âcre et salé. Il sorti de ma bouche et éjacula le reste sur mon visage et mon cou.
« Regardes notre jolie salope ma douce Sophie… elle aussi est à moi maintenant… entièrement… comme toi !!! »
Il remit sa bite entre les lèvres douces, chaudes et asservies de Sophie qui désormais savait ce que SON NOUVEAU MAÎTRE attendait d’elle.
Elle s’y résignait de bonne grâce pour lui complaire et achever ainsi son fantasme de soumission complète qui semblait l’exciter au plus haut point à ce moment précis.
Elle appréhendait ce qui allait se passer puisqu’avec moi, elle avait longuement hésité à me boire et que j’avais même été le tout premier dont elle goûtait le sperme…Jusque là…

Elle reprit donc sa merveilleuse fellation et je vis peu à peu ALLAN se tendre, se crisper et se laisser aller par les ondes de plaisir successives que lui procurait la bouche si douce, accueillante et habile de ma Sophie… heu… de SA soumise.
Il se cabra lui aussi et sorti sa bite en continuant de la maintenir sur les lèvres de la belle soumise avant de jouir en jets saccadés.
Je voyais son liquide inonder les lèvres closes de Sophie.
« Maintenant ouvre la bouche et bois ton nouveau maître ma chère Sophie ! »

!!!
ELLE LE FIT SANS BRONCHER !!!!
Je la vis avaler la bite et boire les dernières expulsions de sperme d’ALLAN… Elle était rouge pivoine comprenant qu’elle venait de sceller un pacte de 5 séances de soumission complète à son NOUVEAU MAÎTRE.
Il avait désormais toute latitude pour exercer sa volonté sur nous deux sachant que nous venions par cet acte ultime de nous livrer à sa concupiscence.

Il me fit un signe de la tête pour que je vienne près d’eux. Je me levais et m’approchais.
ALLAN appuya sur mes épaules et je compris ce qu’il désirait… Sophie aussi sans doute …
« Embrassez vous mes soumis »
Nous en avions de toutes façons tellement envie qu’il n’eût pas besoin de nous pousser l’un vers l’autre.
Nous nous enlaçâmes tendrement, amoureusement pour un langoureux baiser d’amour qui nous réunissait et mélangeait aussi le sperme de nos maîtres respectifs.

Il s’adressa à Ludo :
« Regarde comme ils sont beaux tous les deux … Tu ne trouves pas ? »
« Si si, tu as parfaitement raison ils sont très beaux et si amoureux… Joli tableau de deux soumises qui s’embrassent et qui s’aiment … »
« Est-ce qu’elles méritent une récompense ? »
« C’est toi le maître, mais je pense que oui. »
« Bon, vous pouvez vous aimer tous les deux MAIS ATTENTION… Sophie n’oublie pas ce que je t’ai dit hein ? »
« … Non Maître. » Lui répondit-elle.
Ludo et ALLAN s’installèrent dans les fauteuils et nous sur le lit. Nous fîmes l’amour tendrement. Nos gestes pleins d’amour étaient comme un baume réparateur de nos vicissitudes même consenties.
Pendant que nous nous aimions, Sophie (sans doute sur les « recommandations » de SON MAÏTRE) me raconta son ressenti sur la journée.

« Mon amour, merci pour cette journée, merci de m’avoir permis de vivre cette expérience de soumission avec ALLAN et de lui appartenir entièrement et merci d’avoir accepter ton expérience homo pour moi. Et pour toi aussi… tu avais l’air d’apprécier aussi sur la fin non ? »
« Oui, mon amour, c’était moins douloureux vers la fin. »
« Tu sais, maintenant, j’appartient entièrement à ALLAN j’espère que tu ne m’en veux pas trop… »
« Ben c’est hyper frustrant de savoir que tu vas lui offrir des choses que tu vas me refuser pendant 5 séances sauf s’il nous le permet … mais nous étions d’accord au départ. »
« Je t’aime mon cœur. »
« Moi aussi mon amour je t’aime. »
« Tu sais j’ai aimé tout ce qu’il m’a fait et ce que je suis devenue pardon de te dire ça. »
« Non, c’est pas grave. Tu as tout aimé même le viol ? »

Elle se mit à rougir très violemment…
« Oui… même le viol. »
A ces mots je sentis une accélération de mon cœur. Sophie passa ses doigts sur mes tétons, et j’explosais en elle sans pouvoir me contenir plus longtemps.
J’étais épuisé par toutes les sensations de la journée et l’excitation contenue.

Nous restâmes à nous câliner un très long moment sous les regards attendris d’ALLAN et LUDO.

L’heure avait tournée et il était grand temps de nous rhabiller. Ludo parti le premier après nous avoir embrasser tous les trois.
ALLAN me demanda de rassembler toutes nos affaires, de tout ranger dans sa mallette et de me tenir prêt.
Pendant que je m’exécutais, il aidait Sophie à se rhabiller en lui disant :
« La prochaine fois, je veux que tu viennes sans culotte et sans soutien gorge. Tu mettras ton porte jarretelle et ton ensemble rouge c’est compris ? »
« Oui maître. » Dit-elle en rougissant « J ‘ai compris »
Puis il se mit à l’embrasser passionnément faisant remonter ma jalousie vers de trop haut sommet… que je choisissait finalement de ne pas exprimer… j’étais toujours très perturbé par les évènements de cette journée riche en émotions de toutes sortes.

Il prit la mallette et sortit, nous pûmes nous embrasser amoureusement à loisir. Je passais même une main sur ses fesses, dans sa culotte lorsqu’elle me dis :
« Tss tss tss tu sais bien que ce n’est plus pour toi maintenant. Branles toi en pensant à cette journée, et au fait que tu n’y auras de nouveau accès que dans 5 séances mon amour. »
« Salope !!! » lui répondis-je sur un faux ton de reproche.
« Tu en es une autre depuis aujourd’hui n’est-ce pas mon cœur ? »
« Oui .. ; » répondis-je … cette fois, c’est moi qui rougissais…

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin :  ALLAN épisode 3.  Un couple débordé par leurs propres désirs et ceux de leur maître
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par AdultR

VOL DE JOUR - Récit érotique publié le 15-10-2014
Hôtel : des barrières qui sautent - partie 2 - Récit érotique publié le 10-10-2014
Hôtel : Des barrières qui sautent - Récit érotique publié le 08-10-2014
Dressage et soumission. - Récit érotique publié le 06-10-2014
ALLAN épisode 3. Un couple débordé par leurs propres désirs et ceux de leur maître - Récit érotique publié le 30-09-2014
ALLAN Episode 2: L’apprentissage d’un couple innocent aux mains d’un maître … - Récit érotique publié le 26-09-2014
ALLAN ou les débuts d'un désireux de découvrir le libertinage - Récit érotique publié le 25-09-2014
Se soumettre à l'impensable ... deuxième partie - Récit érotique publié le 31-10-2013
Se soumettre à l'impensable. - Récit érotique publié le 26-10-2013
De l'épistolaire au réel... "le libertinage n'est donc pas un mythe" - Récit érotique publié le 22-10-2013