Hôtel : des barrières qui sautent - partie 2
Récit érotique écrit par AdultR [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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Hôtel : des barrières qui sautent - partie 2
Après la collation, notre invité s’assit sur le rebord du lit désormais en bataille.
- « Approchez chers amis et venez de vos lèvres, relever le défi de vos envies sensuelles. Venez, recommencez le ballet de vos langues, qui contente ma bite. Faites tout pour que je bande !»
Tous deux hypnotisés, impatients et tendus, nous approchons du lit encore un peu timides.
- « Sans les mains cette fois, mettez les dans le dos. »
Nous nous agenouillâmes tous les deux, en même temps, en couvant de nos yeux, ce priape au repos. N’osant pas trop bouger, n’osant pas commencer…
Coupant nos réflexions, nos tergiversations, il attira nos têtes vers son sexe endormit qui attendait tranquille nos premières attentions.
Curieuse chorégraphie de deux langues sur un vit. Deux têtes qui s’agitent et qui montent et descendent le long de cette tige qui douc’ment se déplie.
Sous le regard heureux de cet homme qui nous toise, nous suçons tendrement ce sexe qui grandit. Il prend des proportions grandioses, frémissantes sous nos langues nos bouches
Et nos délicatesses.
Ses deux mains nous orientent et nous guident à sa guise. Posées sur nos deux têtes elles dirigent tantôt, une bouche qui le suce quand l’autre lèche ses couilles.
- « HUMMMMMM voilà, c’est très bien, allez suce ma belle et toi mouilles mes boules et prends les dans ta bouche. Parfait et maintenant, mets tes lèvres sur mon gland ! »
Attrapant les cheveux de la femme qui le lèche il l’attire vers lui et lui donne un baiser.
Leurs langues dansent et s’agitent tandis que sur son gland, je fais jouer la mienne pour encore l’exciter.
- « Regardes moi dans les yeux » … dit-il à mon adresse puis, s’adressant à elle il lui dit doucement :
- « vois comme il est docile et bien obéissant il va prendre ma bite loin au fond de sa bouche…
Sans nous quitter des yeux et les mains dans le dos… La parfaite attitude attentive et soumise. C’est ce que tu voulais n’est-ce pas ma p’tite cerise ? Le voir de cette façon accepter mon emprise et le voir plier à mes réclamations ? »
- « Oui, c’est vrai, je voulais un peu le voir comme ça. »
Il pressa doucement sur ma nuque, m’obligeant à avaler sa bite tout en le regardant.
Ma douce me regardait les yeux hallucinés un air d’étonnement, d’excitation mêlée.
Il me guidait des mains, m’imposait son tempo.
- « Et je sais que tu veux en voir même un peu plus… Nous allons tous les deux nous occuper de lui et toi tu vas m’aider pour son initiation. »
- « Qu’est-ce que vous entendez par son « initiation ? » »
- « Tu ne désires plus le voir devenir BI ? »
- « … Si, bien sur et j’avoues que j’en ai très envie » Elle avait prononcé ses mots en rougissant.
- « Va chercher la mallette et apportes la moi »
Et moi pendant ce temps je le suçais toujours ne quittant pas ses yeux et son visage fermé.
Jouant parfaitement le rôle de mes fantasmes, je m’appliquais toujours à bien le contenter.
Découvrant la douceur d’un gland sur mon palais, je gourmandais sa tige, longue, dur’, généreus’ et je me surprenais à apprécier de faire ce que lui « prétendais » vouloir « m’imposer ».
Au delà des aveux que j’avais pu lui faire, il avait deviné qu’il fallait me « forcer ». Il savait bien qu’ainsi j’accepterais d’offrir le spectacle à MA belle de ma « transformation ». Elle désirait tellement me voir devenir BI. L’amour avec un homme… en couple et sans façon. L’obstacle à ce désir était mes convictions. Hétéro convaincu j’avais encore du mal à accepter d’emblée une conduit’ différente.
Je ne me voyais pas dans la peau d’un amant partageant un autre homme avec sa bien aimée.
Pour cela il fallait être persuasif et ne pas me laisser beaucoup de latitude.
« M’obliger » tendrement à assumer la part de cette « féminité » qui sommeillait en moi,
M’ouvrir à des pratiques multiples et inconnues, différentes, Ô combien ! de toutes mes habitudes.
Lorsque mon tendre amour amena la mallette, j’avais toujours la bite de l’hôte dans la bouche.
De ce qu’ils chuchotèrent, je n’ai rien deviné. J’entendis dans mon dos que ma belle remuait, sans pouvoir discerner ce qu’elle pouvait bien faire.
Lui me tenait toujours la tête avec ses mains et guidait fermement le flux des va-et-vient.
Peu après je sentis la froideur d’un gel, qu’on posait sur mon cul dans le but avoué, de préparer la place, assouplir ma rondelle pour une intromission qu’on allait m’infliger.
Ma belle m’installa dans une position, qui allait lui permettre de bien me travailler.
Nous avions déjà joué à inverser les rôles. Parfois, en tête à tête, j’admettais qu’elle me prit,
et là, il me semblait reconnaître ses gestes emprunts d’une douceur toute remplie d’amour.
Ne pouvant m’échapper, tant ma tête était prise, dans l’étau de ces mains qui guidaient ma besogne, j’attendais frémissant la suite de l’épreuve.
Je frémis lorsqu’enfin je sentis se poser entre mes globes fessiers le bout d’un olisbos.
La pression exercée pesait sur mon œillet et le faisait s’ouvrir irrépressiblement.
Deux mains vinrent se poser sur chacune de mes hanches et le corps étranger s’avançât doucement. La chambre se remplit de mes plaint’s étouffées par le sexe fiché toujours entre mes lèvr’s. Mais l’engin progressait quand même, sans que je pu arrêter son trajet ou même m’échapper.
- « HUUUUUUUUUUU »
- « Laisses toi faire, laisse venir et ne résistes pas. Au contraire ouvres toi si tu veux que « ça » passe. Allez pousses ma belle, enfile ce joli cul, perces le, défonces le puisque t’en as envie. »
Immédiatement vînt l’accélération que ma tendre harnachée poussait toujours plus loin.
M ‘empalant sans pitié pour mes cris continus, elle semblait possédée par l’envie de me prendre.
Il sortit de ma bouche, s’en vînt près de ma belle, toujours très occupée à besogner mon cul.
Moi, je levais les yeux et vis dans le miroir qu’il passait derrière elle en caressant ses seins.
Il agaçait les pointes gorgées de la jouissance qu’elle savourais toujours ses deux mains sur mes hanches.
Il l’a fit se pencher lui murmurant tout bas, des mots que dans l’action, je ne percevais pas.
Mais je sentis ses seins s’écraser sur mon dos et tout de suite après son soupir de plaisir…
Il venait derechef de s’enfoncer en elle et c’est lui, désormais qui rythmait notre houle.
Il allait puissamment dans le sexe de ma belle qui soufflait, gémissait, toujours plantée en moi et je sentais l’écho des coups de reins solides qui répliquaient les ondes en chahutant mon cul.
Elle se mit à griffer mes hanches de ses ongles, en signe avant-coureur d’un orgasme qui monte. Les miaulements familiers montèrent entre les murs, se mêlant à mes plaintes en un concert bizarre, où les graves, les aigus s’harmonisent et résonnent en une polyphonie qui meure en unisson.
Il la laissât jouir sans arrêter sa course mais en prenant bien soin d’aller un peu moins vite,
Nous offrant à tous trois le répit attendu pour qu’il sorte de sa chatte … qu’elle sorte de mon cul.
Il semblait maîtriser ses envies de jouissance, comme pour mieux profiter de ces instants intenses.
Pendant qu’elle enlevait l’ensemble des accessoires, je m’étais écroulé sur le ventre, perclus.
La tête bourdonnante des images aperçues le corps exténué, fourbu et surmené.
En relevant la tête, je les vis dans la glace : lui, debout, souriant et observant ma belle,
Qui lui suçait la bite pour effacer les traces de sa concupiscence… Bref, elle le nettoyait.
Lorsqu’il fut satisfait, il vînt me relever et m’offrit même un verre pour me désaltérer.
Puis, jugeant qu’on avait assez tergiversé, il me mit en levrette tout près du bord du lit.
- « Approches toi la belle, viens écarter son cul, je vais maint’nant le prendre et le changer en « BI » »
Elle dirigeât sa bite au centre de mon cul et regardât le gland disparaître en entier, dans mon boyau offert, déjà bien préparé par ses propres assauts et ceux de notre amant.
- « HAAAAAAA !!! DOUC’MENT pas si fort » me suis-je mis à crier !
Mais ils n’écoutaient pas … Comme s’ils n’entendaient pas.
A nouveau arrimé, par la bite et les mains, qui posées sur mes hanches me tenaient fermement, je ne pus échapper à l’étape finale de mon initiation.
Ma tendre, fascinée, ne perdait pas une goutte de mon apprentissage, ma nouvelle condition.
La tige coulissait déjà entre mes fesses qu’elle tenait écartée pour l’aider à me prendre.
Quand il fut tout au fond, il marqua une pause pour que je m’acclimate à son installation.
Avant qu’il ne s’active, je vis ma belle amante, qui venait m’embrasser et me féliciter :
- « Mon cœur, c’est génial, tu te fais enculer. Ca y est tu es Bi et je suis fière de toi. »
Je ne pouvais répondre, j’avais la bouche ouverte et le souffle coupé par cette pénétration.
Mon esprit bousculé par la situation, n’arrivait plus du tout à penser simplement.
La bite profondément ancrée et coulissante, m’empêchait d’aligner les idées les plus simples.
La prise de mon cul altérait mon jug’ment. J’ETAIS BI CA Y ETAIT et ma belle savourait,
La vision de son mec, en levrette, pris aux hanches et qui s’abandonnait à cet amant puissant.
Un hôte, un invité qui me prenait en « maître » et qui me labourait, m’enculait d’importance.
Chaloupé de tout bord, tout’s mes barrières tombaient. Et le sourire heureux de la femme que j’aimais me renvoyait l’image de son bonheur complet et de mon sacrifice en gage de preuv’s d’amour.
Elle m’embrassât, comblée, passionnée, bienheureuse, en disant des « Je t’aime » aux creux de mes oreilles. Puis, avançant la main me caressât les boules et prit entre ses doigts mon sexe devenu flasque.
Elle fit quelques mouv’ments et coula doucement sa bouche sur mon gland en s’allongeant sous moi. Elle voyait cet amant qui me prenait toujours et le balancement des couilles qui claquaient. A chaque coup de rein sur mes fesses, un bruit sec qui berçait les caresses que me donnait sa langue. Au fur et à mesure, je gonflais dans sa bouche. A mon grand étonnement
JE BANDAIS … JE BANDAIS !!??!!
- «Suces le, c’est très bien il faut qu’il apprécie. »
- « Il bande »
- « J’te l’avais dit. Il commence à aimer. »
- « C’est vrai alors ? tu aimes ? »
Moi, je baissais la tête et je répondis
- « Oui… »
Etait-ce le contexte, la langue sur ma bite, l’ébranlement soudain de toutes mes convictions ?
Cette bite qui « forçait » ma bisexualité à éclater ainsi, surgissant au grand jour ?
Incapable de penser, je me laissais aller à sentir cet amant qui soufflait dans mon dos.
Qui m’avait « amener » à tous les abandons, démontrant, par la même, ce que je voyais poindre… Un plaisir différent, puissant, dévastateur qui fauchât ma méfiance, balayant mes croyances… Je ne pus retenir mon éjaculation dans la bouche ventousée à ma virilité que ma tendre avala sans même y réfléchir jusqu’à mon dernier spasme… à ma dernière goutte.
Je plongeais aussitôt une langue fiévreuse dedans la chatte offerte de celle qui m’épongeait
Pour constater radieux, qu’elle était excitée et qu’elle était trempée, frénétique, déchainée.
Elle coulait franchement, sans aucune retenue. Une fontaine abondante à laquelle j’étanchais ma soif de son désir, de son contentement qu’elle exprimait gloussante, gémissant tendrement.
Lorsqu’il se retira, je ressentis le vide et la douleur aigue de la séparation. Je m’effondrais, meurtris complèt’ment épuisé les pensées en désordre, et le corps dévasté.
L’infatigable amant, transpirait des efforts qu’il avait consenti dans ces assauts musclés.
Il vînt s’agenouiller pour embrasser ma belle qui branlait doucement presque machinal’ment mon sexe fatigué, épuisé et sans vie.
Il l’a fit relever, l’installât sur le lit, dans la même position que moi précédemment.
Je la voyais groggy et qui se laissait faire, adoptant la levrette qu’il voulait imposer.
- « Allez, viens » me dit-il. Je me levais, sonné.
Titubant jusqu’au lit, je m’étais laissé faire lorsqu’il me dirigeât vers ce beau cul offert.
- « Lèches lui bien l’anneau, allez, prépares la moi. J’ai vraiment très envie de lui faire comme à toi.»
Je n’étais pas très sur de vouloir lui laisser l’insigne privilège n’appartenant qu’à moi, prendre la fleur annale de celle qui s’offrait de guerre lasse, de fatigue et qui ne luttait plus.
Je voulus résister, je voulus lui dire « Non », mais déjà il poussait ma tête contre ce cul qu’il voulait visiter.
Je n’avais plus la force de résister vraiment et devant l’insistance de cet hôte exigeant, ainsi que l’abandon lascif de mon aimée, j’avançais lentement une langue accablée.
Alors que je léchais ce cul, somptueusement offert, Il retourna devant sa bouche qui s’ouvrit, pour laisser le passage à ce gland désireux de retrouver enfin la chaleur de sa langue.
Elle était magnifique, dodelinant des fesses, sous ma langue attentive, concentrée, circonspecte, suçant magistral’ment cet homme qui regardait ma tendre s’activer sur ce vit éclatant.
Jugeant, de son point d’vue, qu’elle était préparée, il vînt me déloger pour inverser les rôles.
Il appliqua ma main sur son sexe tout raide et je compris alors qu’il attendait de moi, que je pose son gland sur la corolle offerte et que je lui concède ce cul si convoité.
Il pesa doucement sur l’anus qui s’ouvrit, faisant naître un grand HOOOOOOOOO ! Sur la bouche arrondie de la femme en levrette qui criait sa surpris’ sentant confusément que ce n’était pas moi.
Je m’étais déplacé pour lire sur son visage tout’ la stupéfaction de cette nouveauté. Voir ses grands yeux ouverts et sa bouche arrondie sur ce chambardement étrange, inopiné, forçant sa décision de changer d’cavalier et condescendre ainsi à LUI offrir son cul.
- « Tu es belle mon amour, tu es bien ? Pas trop mal ? »
- « Non… ça va mais je HUUU ne savais pas qu’il allait HUUUUUU m’enculer… »
- « Il a voulu sans doute te faire comme avec moi. Te rends tu compte, amour, un autre homme que moi est entré dans ton cul, là et devant mes yeux, tu lui donnes ce que tu n’avais donné qu’à moi. Tu aimes dis moi… tu aimes ?»
- « HUUUU !! Oui c’est bon, mais je … HOOOO !... Pensais pas … HAAAA … qu’il le ferait. Je t’aimeEEEEUUUUU mon c… cœur et je le faiiiiiiiiiis pour… TOIHAAAAAAA»
- « merci ma douce, ma belle. Merci pour ce cadeau. Tu es belle désirable excitante à tomber !! »
J’embrassais son visage, ses yeux, son nez, sa bouche. Lui répétant sans cesse que j’aimais ce cadeau, ce don, cet abandon cette faveur ultime, qu’elle nous accordait à LUI tout comme à MOI !
J’observais attentif, la gamme des sentiments qu’elle exposait ainsi à mes yeux fascinés.
Grimaçant tour à tour et souriant parfois, elle savourait de même cette longue chevauchée.
Elle goûtait le plaisir de ces longs coups de reins qu’il prodiguait sans faille, sans fatigue apparente, la laissant fatiguée, heureuse et extatique jouissant en longues plaintes, en petits cris stridents.
Il s’arrêta trop tôt, il n’y eût pas d’orgasme, ou du moins pas genre qu’on vit un peu plus tôt.
Je pense que c’était quand même prémédité et que notre homme avait d’la suite dans les idées.
Tous trois étions heureux et pleinement comblés. Nous reprîmes nos caresses, nous reprîmes nos baisers pendant un long moment comme pour récupérer. Il se faisait sucer et même il me suça ce qui bien entendu étonna fort ma tendre.
Lui aussi était BI, il aimait tout autant, les femmes que les hommes et ne s’était montré sous un jour exigeant, que sur notre demande implicite, silencieuse. Il jouait avec nous pour mieux nous initier en imitant le jeu du maître et des soumis. Il laissait peu de marge à nos esprits volages et il nous dirigeait pour briser les barrières. Toutes nos réticences étaient autant d’obstacles qui pouvaient empêcher de nouvelle découvertes.
Avec toutes les caresses, les baisers mélangés, nous nous sommes retrouvés tous, très vite excités.
Il arrangea les choses et fit venir sur moi, la belle émoustillée afin de l’empaler. Sur ma bite dressée, elle se laissa glisser m’embrassant amoureuse, passionnée, affamée.
Pendant qu’elle coulissait, rebondissait sur moi, lui, il l’a caressait et embrassait son corps.
Il glissait même parfois, un doigts inquisiteur sur cet anneau visible qui offrait ses faveurs.
Elle gloussait, n’opposait aucune résistance tant les ondes de plaisir se succédaient sans fin.
Elle fit bien peu de cas du mouvement furtif qui amenait notre hôte dans son dos, silencieux.
Lorsqu’elle sentit son gland taquiner sa corolle, elle releva la tête et son étonnement lui fit ouvrir les yeux, affola ses mirettes qu’elle ouvrait en soucoupe devant cette imminence.
- « HOOO non, il ne va pas ...» me dit-elle paniquée.
- « laisses toi faire mon amour et surtout détends toi. Si vraiment t’as trop mal on arrête tout promis ! Alors tu te laisses faire ? »
- « Ok. Vraiment j’espère qu’il ira doucement. »
Elle n’eût pas à s’en faire, il avait l’expérience. Il avançait prudent avec circonspection.
Attentif à la moindre de ses protestations au moindr’ mouv’ment suspect pouvant donner l’alarm’
Commandant l’immédiat arrêt de cet essaies.
D’alarme il n’y eût pas, mais à la place un souffle. Une plaint’ longu’ et sourd’ qu’elle poussait immobile, fichée sur mon priape que je sentais contraint de partager l’espace avec la nouvelle bite qui perforait ma belle ainsi des deux côtés.
- « Ho non, c’est pas possible il m’encule en même temps !!!»… dit-elle, sentant son corps qui accueillait pourtant ces deux sexes bandés et qui bandaient pour elle, l’amenant lentement vers des plaisirs nouveaux qui éclataient en elle comme l’année nouvelle, comme un feu d’artifice au final merveilleux.
- « Laisses toi faire mon amour, ouvres toi, accueille le. Je sens contre ma bite des sensations nouvelles. C’est bon, tu sais, c’est doux, c’est vraiment fabuleux MON AMOUR, JE VAIS JOUIR HO PUTAIN QUE C’EST BON !!! »
- « Oui mon cœur je te sens, tu gonfles encore un peu. Je vais jouir moi aussi… Mon amour… mon amour ! »
Les cris que nous poussâmes s’accordèrent harmonieux et résonnèrent longtemps sur les murs de la chambre.
Derrière elle, l’invité continuait encore ce qui faisait durer cet orgasme inédit. Nous étions épuisé par ce voyage unique où les plus beaux orgasm’s se partagent à trois.
Il nous berçait toujours de son roulis flâneur cependant que nos sens s’apaisaient peu à peu.
Il nous lassa ainsi savourer indolents, les vagues impérieuses qui nous avaient portés en des lieux clandestins alors inaccessibles ou nos corps s’échouaient, repus et accomplis.
Je le sentis glisser hors du fourreau serré, humide et caressant où il n’avait pas jouis. Il voulait réserver une ultime surprise et nous laissa aussi nous désincarcérer…
Roulant, ivres et chargés d’émotions inouïes nous nous embrassions goulument, ardemment.
Il se remit alors entre nous comme avant et nous, reconnaissant, nous cajolions sa bite.
Nous voulions le faire jouir, voir couler sa liqueur pour le remercier de tous ces grands bonheurs.
Lui se laissait sucer par les deux bouches avid’s de lui donner enfin la suprême récompense.
Nous parcourions sa tige, ses couilles de nos baisers et nous l’engloutissions gourmands et effrénés, jusqu’au frisson final, qui parcouru son corps, libérant brusquement sa liqueur séminale.
Il jouit bruyamment, arrosant nos visages et nous, admiratifs et fiers de nos travaux, nous nous perdions saoulés en longs baisers mielleux. Le bonheur était plein et nous étions heureux.
Au milieu de l’automne doux, orange et poivré, nous sommes rentrés chez nous le corps rassasié. L’esprit emmitouflé dans un coton soyeux, plein d’image et d’envie de vite recommencer.
J’étais devenu BI sans presque le vouloir, en me laissant guider par cet homme délicieux qui avait si bien su sentir tous nos désirs se montrant délicats perspicace… licencieux.
Ma tendre était radieuse d’avoir pu essayer ce fantasme de « double » si surprenant et fort.
Elle avait, de surcroît, en spectatrice émue, assisté bienheureuse à mon initiation.
La journée fut prolixe et nous nous promettions de bientôt explorer ensemble d’autres rives, où les amours saphiques promettaient d’autres lieux, d’autres enchantements propres à nous faire rêver…
- « Approchez chers amis et venez de vos lèvres, relever le défi de vos envies sensuelles. Venez, recommencez le ballet de vos langues, qui contente ma bite. Faites tout pour que je bande !»
Tous deux hypnotisés, impatients et tendus, nous approchons du lit encore un peu timides.
- « Sans les mains cette fois, mettez les dans le dos. »
Nous nous agenouillâmes tous les deux, en même temps, en couvant de nos yeux, ce priape au repos. N’osant pas trop bouger, n’osant pas commencer…
Coupant nos réflexions, nos tergiversations, il attira nos têtes vers son sexe endormit qui attendait tranquille nos premières attentions.
Curieuse chorégraphie de deux langues sur un vit. Deux têtes qui s’agitent et qui montent et descendent le long de cette tige qui douc’ment se déplie.
Sous le regard heureux de cet homme qui nous toise, nous suçons tendrement ce sexe qui grandit. Il prend des proportions grandioses, frémissantes sous nos langues nos bouches
Et nos délicatesses.
Ses deux mains nous orientent et nous guident à sa guise. Posées sur nos deux têtes elles dirigent tantôt, une bouche qui le suce quand l’autre lèche ses couilles.
- « HUMMMMMM voilà, c’est très bien, allez suce ma belle et toi mouilles mes boules et prends les dans ta bouche. Parfait et maintenant, mets tes lèvres sur mon gland ! »
Attrapant les cheveux de la femme qui le lèche il l’attire vers lui et lui donne un baiser.
Leurs langues dansent et s’agitent tandis que sur son gland, je fais jouer la mienne pour encore l’exciter.
- « Regardes moi dans les yeux » … dit-il à mon adresse puis, s’adressant à elle il lui dit doucement :
- « vois comme il est docile et bien obéissant il va prendre ma bite loin au fond de sa bouche…
Sans nous quitter des yeux et les mains dans le dos… La parfaite attitude attentive et soumise. C’est ce que tu voulais n’est-ce pas ma p’tite cerise ? Le voir de cette façon accepter mon emprise et le voir plier à mes réclamations ? »
- « Oui, c’est vrai, je voulais un peu le voir comme ça. »
Il pressa doucement sur ma nuque, m’obligeant à avaler sa bite tout en le regardant.
Ma douce me regardait les yeux hallucinés un air d’étonnement, d’excitation mêlée.
Il me guidait des mains, m’imposait son tempo.
- « Et je sais que tu veux en voir même un peu plus… Nous allons tous les deux nous occuper de lui et toi tu vas m’aider pour son initiation. »
- « Qu’est-ce que vous entendez par son « initiation ? » »
- « Tu ne désires plus le voir devenir BI ? »
- « … Si, bien sur et j’avoues que j’en ai très envie » Elle avait prononcé ses mots en rougissant.
- « Va chercher la mallette et apportes la moi »
Et moi pendant ce temps je le suçais toujours ne quittant pas ses yeux et son visage fermé.
Jouant parfaitement le rôle de mes fantasmes, je m’appliquais toujours à bien le contenter.
Découvrant la douceur d’un gland sur mon palais, je gourmandais sa tige, longue, dur’, généreus’ et je me surprenais à apprécier de faire ce que lui « prétendais » vouloir « m’imposer ».
Au delà des aveux que j’avais pu lui faire, il avait deviné qu’il fallait me « forcer ». Il savait bien qu’ainsi j’accepterais d’offrir le spectacle à MA belle de ma « transformation ». Elle désirait tellement me voir devenir BI. L’amour avec un homme… en couple et sans façon. L’obstacle à ce désir était mes convictions. Hétéro convaincu j’avais encore du mal à accepter d’emblée une conduit’ différente.
Je ne me voyais pas dans la peau d’un amant partageant un autre homme avec sa bien aimée.
Pour cela il fallait être persuasif et ne pas me laisser beaucoup de latitude.
« M’obliger » tendrement à assumer la part de cette « féminité » qui sommeillait en moi,
M’ouvrir à des pratiques multiples et inconnues, différentes, Ô combien ! de toutes mes habitudes.
Lorsque mon tendre amour amena la mallette, j’avais toujours la bite de l’hôte dans la bouche.
De ce qu’ils chuchotèrent, je n’ai rien deviné. J’entendis dans mon dos que ma belle remuait, sans pouvoir discerner ce qu’elle pouvait bien faire.
Lui me tenait toujours la tête avec ses mains et guidait fermement le flux des va-et-vient.
Peu après je sentis la froideur d’un gel, qu’on posait sur mon cul dans le but avoué, de préparer la place, assouplir ma rondelle pour une intromission qu’on allait m’infliger.
Ma belle m’installa dans une position, qui allait lui permettre de bien me travailler.
Nous avions déjà joué à inverser les rôles. Parfois, en tête à tête, j’admettais qu’elle me prit,
et là, il me semblait reconnaître ses gestes emprunts d’une douceur toute remplie d’amour.
Ne pouvant m’échapper, tant ma tête était prise, dans l’étau de ces mains qui guidaient ma besogne, j’attendais frémissant la suite de l’épreuve.
Je frémis lorsqu’enfin je sentis se poser entre mes globes fessiers le bout d’un olisbos.
La pression exercée pesait sur mon œillet et le faisait s’ouvrir irrépressiblement.
Deux mains vinrent se poser sur chacune de mes hanches et le corps étranger s’avançât doucement. La chambre se remplit de mes plaint’s étouffées par le sexe fiché toujours entre mes lèvr’s. Mais l’engin progressait quand même, sans que je pu arrêter son trajet ou même m’échapper.
- « HUUUUUUUUUUU »
- « Laisses toi faire, laisse venir et ne résistes pas. Au contraire ouvres toi si tu veux que « ça » passe. Allez pousses ma belle, enfile ce joli cul, perces le, défonces le puisque t’en as envie. »
Immédiatement vînt l’accélération que ma tendre harnachée poussait toujours plus loin.
M ‘empalant sans pitié pour mes cris continus, elle semblait possédée par l’envie de me prendre.
Il sortit de ma bouche, s’en vînt près de ma belle, toujours très occupée à besogner mon cul.
Moi, je levais les yeux et vis dans le miroir qu’il passait derrière elle en caressant ses seins.
Il agaçait les pointes gorgées de la jouissance qu’elle savourais toujours ses deux mains sur mes hanches.
Il l’a fit se pencher lui murmurant tout bas, des mots que dans l’action, je ne percevais pas.
Mais je sentis ses seins s’écraser sur mon dos et tout de suite après son soupir de plaisir…
Il venait derechef de s’enfoncer en elle et c’est lui, désormais qui rythmait notre houle.
Il allait puissamment dans le sexe de ma belle qui soufflait, gémissait, toujours plantée en moi et je sentais l’écho des coups de reins solides qui répliquaient les ondes en chahutant mon cul.
Elle se mit à griffer mes hanches de ses ongles, en signe avant-coureur d’un orgasme qui monte. Les miaulements familiers montèrent entre les murs, se mêlant à mes plaintes en un concert bizarre, où les graves, les aigus s’harmonisent et résonnent en une polyphonie qui meure en unisson.
Il la laissât jouir sans arrêter sa course mais en prenant bien soin d’aller un peu moins vite,
Nous offrant à tous trois le répit attendu pour qu’il sorte de sa chatte … qu’elle sorte de mon cul.
Il semblait maîtriser ses envies de jouissance, comme pour mieux profiter de ces instants intenses.
Pendant qu’elle enlevait l’ensemble des accessoires, je m’étais écroulé sur le ventre, perclus.
La tête bourdonnante des images aperçues le corps exténué, fourbu et surmené.
En relevant la tête, je les vis dans la glace : lui, debout, souriant et observant ma belle,
Qui lui suçait la bite pour effacer les traces de sa concupiscence… Bref, elle le nettoyait.
Lorsqu’il fut satisfait, il vînt me relever et m’offrit même un verre pour me désaltérer.
Puis, jugeant qu’on avait assez tergiversé, il me mit en levrette tout près du bord du lit.
- « Approches toi la belle, viens écarter son cul, je vais maint’nant le prendre et le changer en « BI » »
Elle dirigeât sa bite au centre de mon cul et regardât le gland disparaître en entier, dans mon boyau offert, déjà bien préparé par ses propres assauts et ceux de notre amant.
- « HAAAAAAA !!! DOUC’MENT pas si fort » me suis-je mis à crier !
Mais ils n’écoutaient pas … Comme s’ils n’entendaient pas.
A nouveau arrimé, par la bite et les mains, qui posées sur mes hanches me tenaient fermement, je ne pus échapper à l’étape finale de mon initiation.
Ma tendre, fascinée, ne perdait pas une goutte de mon apprentissage, ma nouvelle condition.
La tige coulissait déjà entre mes fesses qu’elle tenait écartée pour l’aider à me prendre.
Quand il fut tout au fond, il marqua une pause pour que je m’acclimate à son installation.
Avant qu’il ne s’active, je vis ma belle amante, qui venait m’embrasser et me féliciter :
- « Mon cœur, c’est génial, tu te fais enculer. Ca y est tu es Bi et je suis fière de toi. »
Je ne pouvais répondre, j’avais la bouche ouverte et le souffle coupé par cette pénétration.
Mon esprit bousculé par la situation, n’arrivait plus du tout à penser simplement.
La bite profondément ancrée et coulissante, m’empêchait d’aligner les idées les plus simples.
La prise de mon cul altérait mon jug’ment. J’ETAIS BI CA Y ETAIT et ma belle savourait,
La vision de son mec, en levrette, pris aux hanches et qui s’abandonnait à cet amant puissant.
Un hôte, un invité qui me prenait en « maître » et qui me labourait, m’enculait d’importance.
Chaloupé de tout bord, tout’s mes barrières tombaient. Et le sourire heureux de la femme que j’aimais me renvoyait l’image de son bonheur complet et de mon sacrifice en gage de preuv’s d’amour.
Elle m’embrassât, comblée, passionnée, bienheureuse, en disant des « Je t’aime » aux creux de mes oreilles. Puis, avançant la main me caressât les boules et prit entre ses doigts mon sexe devenu flasque.
Elle fit quelques mouv’ments et coula doucement sa bouche sur mon gland en s’allongeant sous moi. Elle voyait cet amant qui me prenait toujours et le balancement des couilles qui claquaient. A chaque coup de rein sur mes fesses, un bruit sec qui berçait les caresses que me donnait sa langue. Au fur et à mesure, je gonflais dans sa bouche. A mon grand étonnement
JE BANDAIS … JE BANDAIS !!??!!
- «Suces le, c’est très bien il faut qu’il apprécie. »
- « Il bande »
- « J’te l’avais dit. Il commence à aimer. »
- « C’est vrai alors ? tu aimes ? »
Moi, je baissais la tête et je répondis
- « Oui… »
Etait-ce le contexte, la langue sur ma bite, l’ébranlement soudain de toutes mes convictions ?
Cette bite qui « forçait » ma bisexualité à éclater ainsi, surgissant au grand jour ?
Incapable de penser, je me laissais aller à sentir cet amant qui soufflait dans mon dos.
Qui m’avait « amener » à tous les abandons, démontrant, par la même, ce que je voyais poindre… Un plaisir différent, puissant, dévastateur qui fauchât ma méfiance, balayant mes croyances… Je ne pus retenir mon éjaculation dans la bouche ventousée à ma virilité que ma tendre avala sans même y réfléchir jusqu’à mon dernier spasme… à ma dernière goutte.
Je plongeais aussitôt une langue fiévreuse dedans la chatte offerte de celle qui m’épongeait
Pour constater radieux, qu’elle était excitée et qu’elle était trempée, frénétique, déchainée.
Elle coulait franchement, sans aucune retenue. Une fontaine abondante à laquelle j’étanchais ma soif de son désir, de son contentement qu’elle exprimait gloussante, gémissant tendrement.
Lorsqu’il se retira, je ressentis le vide et la douleur aigue de la séparation. Je m’effondrais, meurtris complèt’ment épuisé les pensées en désordre, et le corps dévasté.
L’infatigable amant, transpirait des efforts qu’il avait consenti dans ces assauts musclés.
Il vînt s’agenouiller pour embrasser ma belle qui branlait doucement presque machinal’ment mon sexe fatigué, épuisé et sans vie.
Il l’a fit relever, l’installât sur le lit, dans la même position que moi précédemment.
Je la voyais groggy et qui se laissait faire, adoptant la levrette qu’il voulait imposer.
- « Allez, viens » me dit-il. Je me levais, sonné.
Titubant jusqu’au lit, je m’étais laissé faire lorsqu’il me dirigeât vers ce beau cul offert.
- « Lèches lui bien l’anneau, allez, prépares la moi. J’ai vraiment très envie de lui faire comme à toi.»
Je n’étais pas très sur de vouloir lui laisser l’insigne privilège n’appartenant qu’à moi, prendre la fleur annale de celle qui s’offrait de guerre lasse, de fatigue et qui ne luttait plus.
Je voulus résister, je voulus lui dire « Non », mais déjà il poussait ma tête contre ce cul qu’il voulait visiter.
Je n’avais plus la force de résister vraiment et devant l’insistance de cet hôte exigeant, ainsi que l’abandon lascif de mon aimée, j’avançais lentement une langue accablée.
Alors que je léchais ce cul, somptueusement offert, Il retourna devant sa bouche qui s’ouvrit, pour laisser le passage à ce gland désireux de retrouver enfin la chaleur de sa langue.
Elle était magnifique, dodelinant des fesses, sous ma langue attentive, concentrée, circonspecte, suçant magistral’ment cet homme qui regardait ma tendre s’activer sur ce vit éclatant.
Jugeant, de son point d’vue, qu’elle était préparée, il vînt me déloger pour inverser les rôles.
Il appliqua ma main sur son sexe tout raide et je compris alors qu’il attendait de moi, que je pose son gland sur la corolle offerte et que je lui concède ce cul si convoité.
Il pesa doucement sur l’anus qui s’ouvrit, faisant naître un grand HOOOOOOOOO ! Sur la bouche arrondie de la femme en levrette qui criait sa surpris’ sentant confusément que ce n’était pas moi.
Je m’étais déplacé pour lire sur son visage tout’ la stupéfaction de cette nouveauté. Voir ses grands yeux ouverts et sa bouche arrondie sur ce chambardement étrange, inopiné, forçant sa décision de changer d’cavalier et condescendre ainsi à LUI offrir son cul.
- « Tu es belle mon amour, tu es bien ? Pas trop mal ? »
- « Non… ça va mais je HUUU ne savais pas qu’il allait HUUUUUU m’enculer… »
- « Il a voulu sans doute te faire comme avec moi. Te rends tu compte, amour, un autre homme que moi est entré dans ton cul, là et devant mes yeux, tu lui donnes ce que tu n’avais donné qu’à moi. Tu aimes dis moi… tu aimes ?»
- « HUUUU !! Oui c’est bon, mais je … HOOOO !... Pensais pas … HAAAA … qu’il le ferait. Je t’aimeEEEEUUUUU mon c… cœur et je le faiiiiiiiiiis pour… TOIHAAAAAAA»
- « merci ma douce, ma belle. Merci pour ce cadeau. Tu es belle désirable excitante à tomber !! »
J’embrassais son visage, ses yeux, son nez, sa bouche. Lui répétant sans cesse que j’aimais ce cadeau, ce don, cet abandon cette faveur ultime, qu’elle nous accordait à LUI tout comme à MOI !
J’observais attentif, la gamme des sentiments qu’elle exposait ainsi à mes yeux fascinés.
Grimaçant tour à tour et souriant parfois, elle savourait de même cette longue chevauchée.
Elle goûtait le plaisir de ces longs coups de reins qu’il prodiguait sans faille, sans fatigue apparente, la laissant fatiguée, heureuse et extatique jouissant en longues plaintes, en petits cris stridents.
Il s’arrêta trop tôt, il n’y eût pas d’orgasme, ou du moins pas genre qu’on vit un peu plus tôt.
Je pense que c’était quand même prémédité et que notre homme avait d’la suite dans les idées.
Tous trois étions heureux et pleinement comblés. Nous reprîmes nos caresses, nous reprîmes nos baisers pendant un long moment comme pour récupérer. Il se faisait sucer et même il me suça ce qui bien entendu étonna fort ma tendre.
Lui aussi était BI, il aimait tout autant, les femmes que les hommes et ne s’était montré sous un jour exigeant, que sur notre demande implicite, silencieuse. Il jouait avec nous pour mieux nous initier en imitant le jeu du maître et des soumis. Il laissait peu de marge à nos esprits volages et il nous dirigeait pour briser les barrières. Toutes nos réticences étaient autant d’obstacles qui pouvaient empêcher de nouvelle découvertes.
Avec toutes les caresses, les baisers mélangés, nous nous sommes retrouvés tous, très vite excités.
Il arrangea les choses et fit venir sur moi, la belle émoustillée afin de l’empaler. Sur ma bite dressée, elle se laissa glisser m’embrassant amoureuse, passionnée, affamée.
Pendant qu’elle coulissait, rebondissait sur moi, lui, il l’a caressait et embrassait son corps.
Il glissait même parfois, un doigts inquisiteur sur cet anneau visible qui offrait ses faveurs.
Elle gloussait, n’opposait aucune résistance tant les ondes de plaisir se succédaient sans fin.
Elle fit bien peu de cas du mouvement furtif qui amenait notre hôte dans son dos, silencieux.
Lorsqu’elle sentit son gland taquiner sa corolle, elle releva la tête et son étonnement lui fit ouvrir les yeux, affola ses mirettes qu’elle ouvrait en soucoupe devant cette imminence.
- « HOOO non, il ne va pas ...» me dit-elle paniquée.
- « laisses toi faire mon amour et surtout détends toi. Si vraiment t’as trop mal on arrête tout promis ! Alors tu te laisses faire ? »
- « Ok. Vraiment j’espère qu’il ira doucement. »
Elle n’eût pas à s’en faire, il avait l’expérience. Il avançait prudent avec circonspection.
Attentif à la moindre de ses protestations au moindr’ mouv’ment suspect pouvant donner l’alarm’
Commandant l’immédiat arrêt de cet essaies.
D’alarme il n’y eût pas, mais à la place un souffle. Une plaint’ longu’ et sourd’ qu’elle poussait immobile, fichée sur mon priape que je sentais contraint de partager l’espace avec la nouvelle bite qui perforait ma belle ainsi des deux côtés.
- « Ho non, c’est pas possible il m’encule en même temps !!!»… dit-elle, sentant son corps qui accueillait pourtant ces deux sexes bandés et qui bandaient pour elle, l’amenant lentement vers des plaisirs nouveaux qui éclataient en elle comme l’année nouvelle, comme un feu d’artifice au final merveilleux.
- « Laisses toi faire mon amour, ouvres toi, accueille le. Je sens contre ma bite des sensations nouvelles. C’est bon, tu sais, c’est doux, c’est vraiment fabuleux MON AMOUR, JE VAIS JOUIR HO PUTAIN QUE C’EST BON !!! »
- « Oui mon cœur je te sens, tu gonfles encore un peu. Je vais jouir moi aussi… Mon amour… mon amour ! »
Les cris que nous poussâmes s’accordèrent harmonieux et résonnèrent longtemps sur les murs de la chambre.
Derrière elle, l’invité continuait encore ce qui faisait durer cet orgasme inédit. Nous étions épuisé par ce voyage unique où les plus beaux orgasm’s se partagent à trois.
Il nous berçait toujours de son roulis flâneur cependant que nos sens s’apaisaient peu à peu.
Il nous lassa ainsi savourer indolents, les vagues impérieuses qui nous avaient portés en des lieux clandestins alors inaccessibles ou nos corps s’échouaient, repus et accomplis.
Je le sentis glisser hors du fourreau serré, humide et caressant où il n’avait pas jouis. Il voulait réserver une ultime surprise et nous laissa aussi nous désincarcérer…
Roulant, ivres et chargés d’émotions inouïes nous nous embrassions goulument, ardemment.
Il se remit alors entre nous comme avant et nous, reconnaissant, nous cajolions sa bite.
Nous voulions le faire jouir, voir couler sa liqueur pour le remercier de tous ces grands bonheurs.
Lui se laissait sucer par les deux bouches avid’s de lui donner enfin la suprême récompense.
Nous parcourions sa tige, ses couilles de nos baisers et nous l’engloutissions gourmands et effrénés, jusqu’au frisson final, qui parcouru son corps, libérant brusquement sa liqueur séminale.
Il jouit bruyamment, arrosant nos visages et nous, admiratifs et fiers de nos travaux, nous nous perdions saoulés en longs baisers mielleux. Le bonheur était plein et nous étions heureux.
Au milieu de l’automne doux, orange et poivré, nous sommes rentrés chez nous le corps rassasié. L’esprit emmitouflé dans un coton soyeux, plein d’image et d’envie de vite recommencer.
J’étais devenu BI sans presque le vouloir, en me laissant guider par cet homme délicieux qui avait si bien su sentir tous nos désirs se montrant délicats perspicace… licencieux.
Ma tendre était radieuse d’avoir pu essayer ce fantasme de « double » si surprenant et fort.
Elle avait, de surcroît, en spectatrice émue, assisté bienheureuse à mon initiation.
La journée fut prolixe et nous nous promettions de bientôt explorer ensemble d’autres rives, où les amours saphiques promettaient d’autres lieux, d’autres enchantements propres à nous faire rêver…
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