Cocu avant mariage 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cocu avant mariage 2
Le contact de ma main su sa vulve électrise Léa, elle gémit et murmure:
- Écarte le tissu, touche-moi, caresse-moi, je suis à toi. Oh ! Que c'est bon, que je t'aime.
- Comme ça ?
- Oui, doucement, caresse mon bouton.
Je tâtonne pour le dénicher en dessous de la touffe de poils frisés du pubis. ce doit être ce petit monticule tout en haut de son sexe. Je ne me fais pas prier davantage, je reprends le baiser et je m'active sur le haut de sa fente. Mon audace m'étonne, mon index s'active, répand avec douceur un liquide secrété sur place, Léa mouille ! Léa approuve, Léa se dit heureuse, Léa me remercie. Mais bientôt Léa glisse vers le bas, se pose sur la pierre du banc et attaque la boucle de ma ceinture. Je suis plié en deux pour continuer à l'embrasser , je perds la chair de sa vulve, c'est Léa qui prend l'initiative, fait tomber mon pantalon sur mes chaussures, écarte mon slip et s'écrie:- Oh ! Que c'est beau. Mon chéri tu as un sexe magnifique... mais n'est-il pas trop gros pour pouvoir me pénétrer.
- Pourquoi ? Je pense être normal ! Aurais-tu peur ?
- Non, mais je ne m'attendais pas à ... Mais... dans mes mains il grossit encore. Avance entre mes genoux que je puisse le couvrir de bisous. Ma première verge, je suis gâtée. Je t'adore.
Les bisous légers se multiplient, mouillent l'extrémité de mon gland, le chauffent. La goulue soudain me prend en bouche avec des grognements de satisfaction et des attouchements appuyés sur mon scrotum et la hampe de ma bite en érection. Je me laisse traiter et j'espère ne pas connaître l' éjaculation avant de m'introduire dans le vagin promis.
- Mon amour, prends-moi maintenant, s'il te plaîtQu'elle est pressée. J'aimerais voir son sexe de fille avant de le percer. Alors je me laisse tomber à genoux et je regarde, je vois, je découvre, j'examine la vulve qui enfle, entre ses lèvres gonflées se dessine la fente qui laisse apparaître la crête des petites lèvres. Cette fois ce n'est pas une image froide, photo ou vidéo, c'est un vrai sexe de femme, bien ressemblant à un abricot fendu, un sexe palpitant avec sa garniture de poils bruns, un pelage étalé au-dessus sur le pubis et moins dense sur les grandes lèvres.
Je suis puceau mais pas idiot, je sais l'importance des préliminaires ( J'ai quand même eu quelques lectures livresques et des curiosités sur certains sites internet ! ) Je rends donc la politesse, je distribue à mon tour des bisous d'abord timides, légers puis plus insistants, enfin mes lèvres se font ventouse, ma langue s'insinue, va lécher le clito et l'intérieur de l'ouverture déjà mouillée d'un liquide gluant à forte senteur. J'émeus ainsi les sens de ma belle, elle n'en perd pas la tête pour autant. La voix tremblante elle répète la question si importante pour elle:- Dis, je me donne à toi, tu peux me posséder, mais à une condition. Jure-moi que tu m'épouseras.
Bien entendu, je ne suis pas en position de refuser de l'épouser à cet instant où ma langue est arrêtée dans sa progression par une membrane élastique. Je reprends mon souffle et avec une sincérité non feinte, je jure tout ce que Léa veut me faire jurer. Je serai son mari. Je vais user de douceur pour la déflorer, je la pénétrerai avec précaution, je lui donnerai des orgasmes puisqu'elle le réclame. Je serai doux et patient, attentif à ses désirs Et nous nous enlaçons, nous nous étreignons, nous finissons allongés sur la pierre, tête-bêche, occupés à sucer le sexe de l'autre. C'est fameux, délicieux, merveilleux, envoûtant, mais insuffisant pour Léa qui supplie:- Maintenant, je veux être à toi. Viens, je veux te sentir entrer en moi, sois mon homme, mon mari.
Elle a saisi ma queue, glisse sur le dos pour porter ses fesses à l'extrémité du banc. Elle lève les jambes,pieds tendus vers le ciel, elle m'appelle dans l'anse de ses cuisses et guide contre son précieux bijou la verge qu'elle n'a pas cessé de masturber.
- Chéri, aime-moi comme je t'aime, viens!.
Je domine son corps, ma verge tâtonne sur le seuil, mais un obstacle obstiné refuse le passage. Je pousse, Elle a mal, mais s'excuse et m'encourage à progresser.
- Ce n'est rien, pousse encore. Mon hymen va céder, se déchirer. Viens pousse encore, plus fort, il le faut. Ne tiens pas compte de mes plaintes. Fais-moi femme. Ah, hum !
Il est difficile d'être à la fois doux, tendre, amoureux attentif au plaisir de sa partenaire et efficace ! Mais puisqu'il le faut, je m'applique et à mon élan répond par dessous une forte poussée du ventre de Léa vers le mien. Ça y est, j'ai percé et franchi la peau qui attestait de sa virginité.
- Aie ! Oh ! Oui, continue. Entre et va au fond
Je m'enfonce dans la chaleur moite du vagin conquis. Quand je butte contre sa vulve, j'entame le lent va-et-vient instinctif hérité de siècles de coïts, propre à l'espèce humaine comme à l'espèce animale. Cela ne s'apprend pas, cela se pratique, on le fait tout naturellement, on se met en mouvement avec plus ou moins de tendresse mais comme poussé par une force extérieure, avec une accélération du rythme des coups de reins respectifs. La respiration suit le même rythme. Léa a fermé les yeux puis ses paupières se lèvent sur un regard noyé de larmes. Je tente de déchiffrer dans ce regard l'effet produit par cette union, par notre corps à corps endiablé. Et puis soudain ma fiancé s'immobilise et dit:- Arrête-toi, il faut essuyer le sang.
J'avais oublié ce "détail".. Pourvu que le sang ne tâche pas nos corps dénudés ou la pierre dure. Léa a les pieds sur terre, lâche mes hanches, me repousse doucement et demande- Tu aurais de quoi ... un mouchoir par exemple ?
Le charme est rompu, je me relève, fouille dans les poches du pantalon plié par elle, utilisé comme coussin sous sa chevelure, j'en sors un paquet de kleenex. Ce sera sommaire, ne vaudra pas une douche, mais c'est nécessaire. Le papier rougit, nous en faisons une boule. Il est temps de revenir à l'expression des sentiments. Léa attendrie me remercie, je suis son héros adoré, je viens de lui prouver mon amour, je mérite de devenir son mari comme je m'y suis engagé.
Elle ne cesse de me rappeler le prix à payer. Ce que nous venons de réaliser donne encore plus de force à mon serment. En premier gage de reconnaissance, elle me confie son string : Ce sera le rappel matériel de notre union, un souvenir à conserver précieusement intact, dans son état actuel. Pour moi, ce symbole doit équivaloir à la bague de fiançailles que je lui dois. Je crains plutôt que ce ne soit une source d'ennuis si quelqu'un me trouve en possession d'un tel trophée. Mais je remercie et reçois pour récompense un baiser voluptueux qui nous conduit à recommencerCette fois je suis assis sur le banc. Léa me fait face et vient se planter sur la verge dressée par une habile masturbation complétée par une fellation étonnante, car le nettoyage au mouchoir a laissé des traces. Léa n'a donné aucun signe de dégoût et m'a refait bander et rendu apte à une deuxième pénétration. C'est meilleur pour moi. Enfin Léa invente une nouvelle épreuve. Debout, face au banc, elle se courbe, pose ses mains sur la pierre et,, jambes écartées, croupe saillante, elle me demande de la prendre par derrière. C'est excitant en diable, j'entre et je nous conduis à un plaisir oublieux des premières douleurs. A la dernière seconde, je m'arrache au doux nid d'amour et j'envoie mon sperme sur les admirables fesses rondes.
Hélas, le temps passe. Après des baisers fous, chargés d'enthousiasme et de gratitude nous nous apprêtons à nous séparer quand résonnent des voix. Léa s'effraie:- Oh ! Non, c'est Josiane et Mado. Mais l'homme n'est ni Bob ni Guy. ce doit être ce Thomas. Zut, on dirait qu'il viennent par ici. Vite cachons-nous.
Nous ramassons nos vêtements épars, je suis Léa et nous passons de l'autre côté de la haie. Ma chérie ne s'est pas trompée. Par le petit sentier se présente le joyeux trio.. Josiane tient le crachoir:- Qu'est-ce que cela pouvait lui faire qu'on soit trois au lieu de deux dans la chambre? Ce con de portier abuse. Il nous a chassés comme des voleurs et sans restituer le prix de la piaule, c'est du vol. Hélas, si nous portons plainte, nous aurons nos vieux sur le dos.
- Oui, mais toi tu as eu ta ration de foutre, ma cochonne chérie, réplique Mado. Moi, je me suis juste excitée à vous voir vous envoyer en l'air. Aussi si tu n'avais pas gueulé ta douleur quand Thomas t'a démonté le vagin, le concierge nous aurait peut-être oubliés. Il est malheureusement intervenu avant que Thomas ne me prenne.
- Ne râle pas, dit Jo en rigolant, tu es ici pour ça. Donne-moi ta culotte, penche-toi sur moi, lève tes fesses, tire sur tes fesses, sa queue est prête et il va t'embrocher. Mais serre les dents et ne hurle pas quand il va t'enfourner son écouvillon. Tu verras qu'il est gros, qu'il gratte les parois du sexe et qu'il va te dilater la chatte. Tu sauras pourquoi j'ai crié de surprise.
- Ça apprendra à Bob de m'attendre. Guy et lui n'ont pas eu de patience. Allez, Thomas fais-les cocus. Viens, ramone-moi le trou ! N'aie pas peur, j'aime ta grosse lance depuis que je l'ai vue à l'oeuvre et j'aime l'amour vache. Si tu n'avais pas une femme déjà, je t'embaucherais pour me tringler.
- Avec plaisir, ma grande. Pourtant c'est l'autre salope de Léa que je voulais. Elle s'est taillée avec son Jean, la conne. Elle ne sait pas ce qu'elle a manqué ce soir. Un jour elle paiera sa fuite, je la baiserai et elle gueulera de joie, la putain. Dire que j'ai dépensé mon fric pour rien. Mado je te remercie de la remplacer. T'as un beau cul, tu sais. Attention, ma bite arrive.
Coincés derrière la haie, Léa et moi entendons le rugissement étouffé de Mado. Léa en est toute émue et serre ma main lorsque Mado se met à glousser, à geindre et à souffler sous l'assaut de Thomas le bien membré. Va-t-elle regretter de m'avoir suivi, d'avoir manqué le plaisir évoqué par Thomas ?
- Ouah ! Quel engin il me met. C'est douloureux et c'est si bon aussi. Vas-y, Thomas. Tu reviens quand tu veux. ça c'est un pilon. Ouhahaha. Oui, encore, fourre-moi à fond. Baise. plus fort, plus profond. Oh, ah!
Mado est intarissable. Thomas dure, souffle aussi et finit par émettre un grognement d’ours- Fais pas le con. T'as pas de préservatif, Retire-toi quand tu sentiras monter la sauce. Jo, avale son jus si tu veux.
- Merci. J'en reprendrais bien une tournée. Mais il se fait tard. La semaine sera longue. Thomas tu restes en ville ?.
- Je verrai. Dimanche prochain je dois revoir ma nana, sinon elle risque de m'envoyer au diable Donc je partirai .
- Le héros s'est fait mettre au pas, raille Mado. Le macho est un soumis en réalité- Comment feras-tu après le mariage ? demande Josiane.
- T'inquiète pas. Aussi longtemps que je bosserai ici, marié ou pas, j'aurai la force de vous culbuter, jeunes salopes. vous connaîtrez encore de bons moments avec moi. Aujourd'hui vous avez eu un avant-goût du plaisir. Je regrette de ne pas pouvoir vous attendre, ma chérie doit m'appeler et j'ai laissé mon mobile dans ma chambre. On se revoit demain ?
Mado déplore ce départ si rapide.
- Voilà l’homme qu’il me faut ! Déjà pris… mais qui sait. Il est permis d’espérer- Mais Mado, qu'est-ce que tu racontes, interroge Josiane. Tu quitterais Robert pour la grosse de Thomas.
- Quoi, s'il était libre tu laisserais passer un coup pareil ?
- Moi j'aime l'amour mais à un certain moment cela devient de la torture. Je préfère plus de tendresse à une technique brutale. Sans l'intervention du portier Thomas me promettait une sodomie sensationnelle. J’en serais morte ou presque, il est trop gros pour ma rondelle. Tu me vois marcher comme un canard après une épreuve douloureuse ? Non, Guy est bien, je dois m’en contenter. En vérité mon type d'homme serait plutôt un gars calme. Tiens Jean par exemple m'aurait plu, mais Léa le tient.
- Jean ? Ah ! Tu me scies, c'est un timide.
- Ça ferait le mari idéal, gentil, travailleur, ne fume ni ne boit. De plus il travaille en déplacement, c'est pratique si tu veux avoir des petites aventures extraconjugales.
- Évidemment, vu comme ça, je comprends mieux. Mais il s'est entiché de Léa, pas de toi. Quand je pense que Léa aurait pu commencer avec un tire-bouchon de la taille de Thomas. Il l'aurait défoncée estropiée peut-être, la pauvre. Bon, ça va mieux, on peut partir.
Elles quittent enfin la place. Les jambes endolories Léa et moi nous relevons. Nous avons eu la chance de ne pas être surpris par ces trois énergumènes. Léa est révoltée:- Il m'a traitée de salope et de conne, de putain. Non, mais, pour qui se prend-il. Il se fait des illusions s'il croit pouvoir me baiser juste parce qu'il a un marteau-piqueur dans le slip ! Jamais, tu entends, mon amour, JAMAIS il ne me baisera ! Je t'appartiens, à toi, pour toujours.
Devant chez elle j’ai quittée Léa, le coeur lourd mais rempli d'espoir. J'ai passé la semaine à me souvenir de ces instants uniques et à attendre notre prochain rendez-vous. Bon je n'ai pas eu l'impression d'être un super champion, Léa a plus soufflé que braillé de plaisir. Heureusement pour elle, Thomas ne l'a pas brutalisée, elle sait ce qu'elle risquerait en se donnant à lui et en recevant son "marteau-piqueur. Avec moi, elle s'est montrée satisfaite Dès samedi il faudra bâtir notre projet : fiançailles officielles et mariage à deux puis il faudra en parler avec nos proches.
- Écarte le tissu, touche-moi, caresse-moi, je suis à toi. Oh ! Que c'est bon, que je t'aime.
- Comme ça ?
- Oui, doucement, caresse mon bouton.
Je tâtonne pour le dénicher en dessous de la touffe de poils frisés du pubis. ce doit être ce petit monticule tout en haut de son sexe. Je ne me fais pas prier davantage, je reprends le baiser et je m'active sur le haut de sa fente. Mon audace m'étonne, mon index s'active, répand avec douceur un liquide secrété sur place, Léa mouille ! Léa approuve, Léa se dit heureuse, Léa me remercie. Mais bientôt Léa glisse vers le bas, se pose sur la pierre du banc et attaque la boucle de ma ceinture. Je suis plié en deux pour continuer à l'embrasser , je perds la chair de sa vulve, c'est Léa qui prend l'initiative, fait tomber mon pantalon sur mes chaussures, écarte mon slip et s'écrie:- Oh ! Que c'est beau. Mon chéri tu as un sexe magnifique... mais n'est-il pas trop gros pour pouvoir me pénétrer.
- Pourquoi ? Je pense être normal ! Aurais-tu peur ?
- Non, mais je ne m'attendais pas à ... Mais... dans mes mains il grossit encore. Avance entre mes genoux que je puisse le couvrir de bisous. Ma première verge, je suis gâtée. Je t'adore.
Les bisous légers se multiplient, mouillent l'extrémité de mon gland, le chauffent. La goulue soudain me prend en bouche avec des grognements de satisfaction et des attouchements appuyés sur mon scrotum et la hampe de ma bite en érection. Je me laisse traiter et j'espère ne pas connaître l' éjaculation avant de m'introduire dans le vagin promis.
- Mon amour, prends-moi maintenant, s'il te plaîtQu'elle est pressée. J'aimerais voir son sexe de fille avant de le percer. Alors je me laisse tomber à genoux et je regarde, je vois, je découvre, j'examine la vulve qui enfle, entre ses lèvres gonflées se dessine la fente qui laisse apparaître la crête des petites lèvres. Cette fois ce n'est pas une image froide, photo ou vidéo, c'est un vrai sexe de femme, bien ressemblant à un abricot fendu, un sexe palpitant avec sa garniture de poils bruns, un pelage étalé au-dessus sur le pubis et moins dense sur les grandes lèvres.
Je suis puceau mais pas idiot, je sais l'importance des préliminaires ( J'ai quand même eu quelques lectures livresques et des curiosités sur certains sites internet ! ) Je rends donc la politesse, je distribue à mon tour des bisous d'abord timides, légers puis plus insistants, enfin mes lèvres se font ventouse, ma langue s'insinue, va lécher le clito et l'intérieur de l'ouverture déjà mouillée d'un liquide gluant à forte senteur. J'émeus ainsi les sens de ma belle, elle n'en perd pas la tête pour autant. La voix tremblante elle répète la question si importante pour elle:- Dis, je me donne à toi, tu peux me posséder, mais à une condition. Jure-moi que tu m'épouseras.
Bien entendu, je ne suis pas en position de refuser de l'épouser à cet instant où ma langue est arrêtée dans sa progression par une membrane élastique. Je reprends mon souffle et avec une sincérité non feinte, je jure tout ce que Léa veut me faire jurer. Je serai son mari. Je vais user de douceur pour la déflorer, je la pénétrerai avec précaution, je lui donnerai des orgasmes puisqu'elle le réclame. Je serai doux et patient, attentif à ses désirs Et nous nous enlaçons, nous nous étreignons, nous finissons allongés sur la pierre, tête-bêche, occupés à sucer le sexe de l'autre. C'est fameux, délicieux, merveilleux, envoûtant, mais insuffisant pour Léa qui supplie:- Maintenant, je veux être à toi. Viens, je veux te sentir entrer en moi, sois mon homme, mon mari.
Elle a saisi ma queue, glisse sur le dos pour porter ses fesses à l'extrémité du banc. Elle lève les jambes,pieds tendus vers le ciel, elle m'appelle dans l'anse de ses cuisses et guide contre son précieux bijou la verge qu'elle n'a pas cessé de masturber.
- Chéri, aime-moi comme je t'aime, viens!.
Je domine son corps, ma verge tâtonne sur le seuil, mais un obstacle obstiné refuse le passage. Je pousse, Elle a mal, mais s'excuse et m'encourage à progresser.
- Ce n'est rien, pousse encore. Mon hymen va céder, se déchirer. Viens pousse encore, plus fort, il le faut. Ne tiens pas compte de mes plaintes. Fais-moi femme. Ah, hum !
Il est difficile d'être à la fois doux, tendre, amoureux attentif au plaisir de sa partenaire et efficace ! Mais puisqu'il le faut, je m'applique et à mon élan répond par dessous une forte poussée du ventre de Léa vers le mien. Ça y est, j'ai percé et franchi la peau qui attestait de sa virginité.
- Aie ! Oh ! Oui, continue. Entre et va au fond
Je m'enfonce dans la chaleur moite du vagin conquis. Quand je butte contre sa vulve, j'entame le lent va-et-vient instinctif hérité de siècles de coïts, propre à l'espèce humaine comme à l'espèce animale. Cela ne s'apprend pas, cela se pratique, on le fait tout naturellement, on se met en mouvement avec plus ou moins de tendresse mais comme poussé par une force extérieure, avec une accélération du rythme des coups de reins respectifs. La respiration suit le même rythme. Léa a fermé les yeux puis ses paupières se lèvent sur un regard noyé de larmes. Je tente de déchiffrer dans ce regard l'effet produit par cette union, par notre corps à corps endiablé. Et puis soudain ma fiancé s'immobilise et dit:- Arrête-toi, il faut essuyer le sang.
J'avais oublié ce "détail".. Pourvu que le sang ne tâche pas nos corps dénudés ou la pierre dure. Léa a les pieds sur terre, lâche mes hanches, me repousse doucement et demande- Tu aurais de quoi ... un mouchoir par exemple ?
Le charme est rompu, je me relève, fouille dans les poches du pantalon plié par elle, utilisé comme coussin sous sa chevelure, j'en sors un paquet de kleenex. Ce sera sommaire, ne vaudra pas une douche, mais c'est nécessaire. Le papier rougit, nous en faisons une boule. Il est temps de revenir à l'expression des sentiments. Léa attendrie me remercie, je suis son héros adoré, je viens de lui prouver mon amour, je mérite de devenir son mari comme je m'y suis engagé.
Elle ne cesse de me rappeler le prix à payer. Ce que nous venons de réaliser donne encore plus de force à mon serment. En premier gage de reconnaissance, elle me confie son string : Ce sera le rappel matériel de notre union, un souvenir à conserver précieusement intact, dans son état actuel. Pour moi, ce symbole doit équivaloir à la bague de fiançailles que je lui dois. Je crains plutôt que ce ne soit une source d'ennuis si quelqu'un me trouve en possession d'un tel trophée. Mais je remercie et reçois pour récompense un baiser voluptueux qui nous conduit à recommencerCette fois je suis assis sur le banc. Léa me fait face et vient se planter sur la verge dressée par une habile masturbation complétée par une fellation étonnante, car le nettoyage au mouchoir a laissé des traces. Léa n'a donné aucun signe de dégoût et m'a refait bander et rendu apte à une deuxième pénétration. C'est meilleur pour moi. Enfin Léa invente une nouvelle épreuve. Debout, face au banc, elle se courbe, pose ses mains sur la pierre et,, jambes écartées, croupe saillante, elle me demande de la prendre par derrière. C'est excitant en diable, j'entre et je nous conduis à un plaisir oublieux des premières douleurs. A la dernière seconde, je m'arrache au doux nid d'amour et j'envoie mon sperme sur les admirables fesses rondes.
Hélas, le temps passe. Après des baisers fous, chargés d'enthousiasme et de gratitude nous nous apprêtons à nous séparer quand résonnent des voix. Léa s'effraie:- Oh ! Non, c'est Josiane et Mado. Mais l'homme n'est ni Bob ni Guy. ce doit être ce Thomas. Zut, on dirait qu'il viennent par ici. Vite cachons-nous.
Nous ramassons nos vêtements épars, je suis Léa et nous passons de l'autre côté de la haie. Ma chérie ne s'est pas trompée. Par le petit sentier se présente le joyeux trio.. Josiane tient le crachoir:- Qu'est-ce que cela pouvait lui faire qu'on soit trois au lieu de deux dans la chambre? Ce con de portier abuse. Il nous a chassés comme des voleurs et sans restituer le prix de la piaule, c'est du vol. Hélas, si nous portons plainte, nous aurons nos vieux sur le dos.
- Oui, mais toi tu as eu ta ration de foutre, ma cochonne chérie, réplique Mado. Moi, je me suis juste excitée à vous voir vous envoyer en l'air. Aussi si tu n'avais pas gueulé ta douleur quand Thomas t'a démonté le vagin, le concierge nous aurait peut-être oubliés. Il est malheureusement intervenu avant que Thomas ne me prenne.
- Ne râle pas, dit Jo en rigolant, tu es ici pour ça. Donne-moi ta culotte, penche-toi sur moi, lève tes fesses, tire sur tes fesses, sa queue est prête et il va t'embrocher. Mais serre les dents et ne hurle pas quand il va t'enfourner son écouvillon. Tu verras qu'il est gros, qu'il gratte les parois du sexe et qu'il va te dilater la chatte. Tu sauras pourquoi j'ai crié de surprise.
- Ça apprendra à Bob de m'attendre. Guy et lui n'ont pas eu de patience. Allez, Thomas fais-les cocus. Viens, ramone-moi le trou ! N'aie pas peur, j'aime ta grosse lance depuis que je l'ai vue à l'oeuvre et j'aime l'amour vache. Si tu n'avais pas une femme déjà, je t'embaucherais pour me tringler.
- Avec plaisir, ma grande. Pourtant c'est l'autre salope de Léa que je voulais. Elle s'est taillée avec son Jean, la conne. Elle ne sait pas ce qu'elle a manqué ce soir. Un jour elle paiera sa fuite, je la baiserai et elle gueulera de joie, la putain. Dire que j'ai dépensé mon fric pour rien. Mado je te remercie de la remplacer. T'as un beau cul, tu sais. Attention, ma bite arrive.
Coincés derrière la haie, Léa et moi entendons le rugissement étouffé de Mado. Léa en est toute émue et serre ma main lorsque Mado se met à glousser, à geindre et à souffler sous l'assaut de Thomas le bien membré. Va-t-elle regretter de m'avoir suivi, d'avoir manqué le plaisir évoqué par Thomas ?
- Ouah ! Quel engin il me met. C'est douloureux et c'est si bon aussi. Vas-y, Thomas. Tu reviens quand tu veux. ça c'est un pilon. Ouhahaha. Oui, encore, fourre-moi à fond. Baise. plus fort, plus profond. Oh, ah!
Mado est intarissable. Thomas dure, souffle aussi et finit par émettre un grognement d’ours- Fais pas le con. T'as pas de préservatif, Retire-toi quand tu sentiras monter la sauce. Jo, avale son jus si tu veux.
- Merci. J'en reprendrais bien une tournée. Mais il se fait tard. La semaine sera longue. Thomas tu restes en ville ?.
- Je verrai. Dimanche prochain je dois revoir ma nana, sinon elle risque de m'envoyer au diable Donc je partirai .
- Le héros s'est fait mettre au pas, raille Mado. Le macho est un soumis en réalité- Comment feras-tu après le mariage ? demande Josiane.
- T'inquiète pas. Aussi longtemps que je bosserai ici, marié ou pas, j'aurai la force de vous culbuter, jeunes salopes. vous connaîtrez encore de bons moments avec moi. Aujourd'hui vous avez eu un avant-goût du plaisir. Je regrette de ne pas pouvoir vous attendre, ma chérie doit m'appeler et j'ai laissé mon mobile dans ma chambre. On se revoit demain ?
Mado déplore ce départ si rapide.
- Voilà l’homme qu’il me faut ! Déjà pris… mais qui sait. Il est permis d’espérer- Mais Mado, qu'est-ce que tu racontes, interroge Josiane. Tu quitterais Robert pour la grosse de Thomas.
- Quoi, s'il était libre tu laisserais passer un coup pareil ?
- Moi j'aime l'amour mais à un certain moment cela devient de la torture. Je préfère plus de tendresse à une technique brutale. Sans l'intervention du portier Thomas me promettait une sodomie sensationnelle. J’en serais morte ou presque, il est trop gros pour ma rondelle. Tu me vois marcher comme un canard après une épreuve douloureuse ? Non, Guy est bien, je dois m’en contenter. En vérité mon type d'homme serait plutôt un gars calme. Tiens Jean par exemple m'aurait plu, mais Léa le tient.
- Jean ? Ah ! Tu me scies, c'est un timide.
- Ça ferait le mari idéal, gentil, travailleur, ne fume ni ne boit. De plus il travaille en déplacement, c'est pratique si tu veux avoir des petites aventures extraconjugales.
- Évidemment, vu comme ça, je comprends mieux. Mais il s'est entiché de Léa, pas de toi. Quand je pense que Léa aurait pu commencer avec un tire-bouchon de la taille de Thomas. Il l'aurait défoncée estropiée peut-être, la pauvre. Bon, ça va mieux, on peut partir.
Elles quittent enfin la place. Les jambes endolories Léa et moi nous relevons. Nous avons eu la chance de ne pas être surpris par ces trois énergumènes. Léa est révoltée:- Il m'a traitée de salope et de conne, de putain. Non, mais, pour qui se prend-il. Il se fait des illusions s'il croit pouvoir me baiser juste parce qu'il a un marteau-piqueur dans le slip ! Jamais, tu entends, mon amour, JAMAIS il ne me baisera ! Je t'appartiens, à toi, pour toujours.
Devant chez elle j’ai quittée Léa, le coeur lourd mais rempli d'espoir. J'ai passé la semaine à me souvenir de ces instants uniques et à attendre notre prochain rendez-vous. Bon je n'ai pas eu l'impression d'être un super champion, Léa a plus soufflé que braillé de plaisir. Heureusement pour elle, Thomas ne l'a pas brutalisée, elle sait ce qu'elle risquerait en se donnant à lui et en recevant son "marteau-piqueur. Avec moi, elle s'est montrée satisfaite Dès samedi il faudra bâtir notre projet : fiançailles officielles et mariage à deux puis il faudra en parler avec nos proches.
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