Elle était si jolie 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Elle était si jolie 4
A n'en pas douter cette chute du dernier rempart n'est pas le fruit du hasard. Ce n'est pas le résultat d'une maladresse de Noémie; non les mains de Noémie n'ont pas tenté de rattraper la nuisette qui tombait. Je suis persuadé que le succès de l'exhibition de ses seins a incité mon amoureuse déclarée à engager un combat définitif. S'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, il faut savoir mettre à profit l'enthousiasme du timide dès sa première manifestation. Or de l’enthousiasme, à cette minute du premier baiser et des premiers attouchements vertigineux, j'en ai à revendre et la rusée assaillante l’a compris.
J’ai dit mon émerveillement à la vue de la jeune poitrine, j'ai bien voulu caresser ces protubérances magnifiques sorties de leur écrin, je les ai couvertes de salive avant de lécher et sucer avec une incroyable avidité les arrondis délicats et des tétins durcis sous mes doigts fiévreux, enfin je me suis enivré de la douceur de la peau si lisse livrée à ma gourmandise. Noémie demande, je me soumets docilement. Noémie en conclut logiquement que l’heure est venue de parfaire mon initiation sexuelle sur le champ. Elle est comblée par mon attitude et veut me faire bénéficier dans la foulée d'un don sans limite.
Il n'y a que le premier pas qui coûte. Son audace de fille déterminée l'a amenée à m'embrasser en plein sommeil, c'était la partie la plus facile de son projet amoureux. Elle a ensuite dû fournir un plus gros effort afin de proclamer son amour fou et de m'inviter à me laisser aimer. Le long baiser qui m'a alors été imposé a refoulé chez moi toute velléité de protester. Il faudrait être fou d'y penser tant l’action engagée se révèle irrésistible quand on a vécu en l’espérant secrètement. Noémie d’instinct a choisi le moment propice.
Par chance pour elle et surtout pour moi, son audace a payé. Je suis à cet instant précis par bonheur dans les meilleures dispositions possibles, comme je l'ai déjà fait remarquer. Je mourais d'envie d'entendre ses paroles, de recevoir ses recommandations et ses encouragements à agir. Je lui accorde sans résistance tout ce qu'elle désire. L’élan de mon accueil a de quoi la surprendre ; j’affiche clairement ma grande satisfaction. La voilà rassurée. Notre bonheur est totalement partagé; ma réponse à son nouveau baiser le confirme.
Que n'ai-je bousculé plus tôt sa divine poitrine. Je l'ai priée de croire que mon mouvement brutal était involontaire, avec une sincérité absolue, sans malice. Le résultat obtenu fait de moi un homme heureux. Alors le léger frottement de la nuisette sur mes pieds devrait me transporter d'aise. Encore occupé à honorer les seins de ma locataire, ravi de faire frissonner la peau de l'audacieuse et soucieux de lui prouver que mon amour lui est acquis, je suis soudain pris de panique à la pensée de ce qui m'attend.
Au collège j‘ai reçu comme tout le monde ce qu’on appelait « une éducation sexuelle ». Notre professeur de sciences a dû respecter le contenu du programme. C’était une jeune fille d’environ 22 ans. A y réfléchir aujourd’hui je me dis qu’elle devait exposer une matière qu’elle n’avait pas pratiquée. Donc son cours avait été bâclé. A l’appui de mon avis actuel il y avait eu un incident qui m’avait si fort étonné que je m’étais interdit d’en parler.
Ce jour-là, après les cours j’ai constaté que j’avais oublié mon agenda. Un surveillant m’a autorisé à retourner en classe pour le récupérer. J’arrive à hauteur de la salle. Avant d’entrer je jette un coup d’œil par la première fenêtre située à côté de la porte. Et là j’ai la surprise de voir ma professeure Josiane collée contre sa collègue Michelle. Leurs lèvres sont jointes. Ce qui me frappe c’est la durée de ce baiser. Jamais je n’ai vu des gens qui se saluent s’embrasser aussi longuement en se serrant aussi langoureusement. J’attends, je n’ose pas interrompre ces effusions interminables. Je me lasse de les regarder s’étreindre et se tordre debout. Je pars.
Aujourd’hui l’évocation de ce souvenir enfoui remonte. Je comprends l’excès de pudeur de cette jeune femme. Je sais que deux filles peuvent s’aimer, qu’elles s’interdisent alors d’avoir des rapports sexuels avec des hommes. Faute d’expérience elles abordent avec gêne les leçons. Mademoiselle Josiane avait escamoté le chapitre dont je n’avais retenu que le croquis simplifié d’une verge déversant une petite graine dans la représentation d’un vagin.
A mon tour, tout à coup d’entrer en terre inconnue. La chute de la nuisette précède la concrétisation de l’acte d’amour. A l’évidence Noémie est nue, elle voudra que nos corps s’unissent comme nos âmes. L’acte de chair couronnera la rencontre des sentiments. Je devine le chemin qu’elle me fera emprunter et je ne me trompe pas.
Noémie se détache de moi, recule , s’adosse à la paroi, appuie sur l’interrupteur et apparaît en pleine lumière.
- Eh bien ! Ne baisse pas les yeux. Tu m’as bien dit que tu n’avais jamais vu une femme nue. Regarde, je suis la femme. « Ecce femina »peut-être bientôt « mulier »- J’ose ! Je lève les yeux, je suis ébloui, muet devant ce corps splendide que je contemple. Que c’est beau un corps de femme. Que c’est beau. Je ne trouve pas d’autre mot. Que Noémie est belle. Oui, là elle représente toutes les femmes. Elle est LA FEMME.
- J’admire en silence - -Quoi, tu ne dis rien ? Je ne te plais pas ? Parle. Je n’aurais pas dû ? Tu es choqué, tu es scandalisé. Faut-il que je me rhabille ?
- Oh ! Non, tu es merveilleuse, éblouissante. Laisse-moi le temps de t’examiner, de découvrir tout ce qui fait ta beauté. Toute cette grâce, toutes ces courbes adorables ; belle, tu es si belle !
- Ah ! Il te faut du temps. Prends tout le temps nécessaire. Regarde à ton aise…Mais pas trop
J’ai dit mon émerveillement à la vue de la jeune poitrine, j'ai bien voulu caresser ces protubérances magnifiques sorties de leur écrin, je les ai couvertes de salive avant de lécher et sucer avec une incroyable avidité les arrondis délicats et des tétins durcis sous mes doigts fiévreux, enfin je me suis enivré de la douceur de la peau si lisse livrée à ma gourmandise. Noémie demande, je me soumets docilement. Noémie en conclut logiquement que l’heure est venue de parfaire mon initiation sexuelle sur le champ. Elle est comblée par mon attitude et veut me faire bénéficier dans la foulée d'un don sans limite.
Il n'y a que le premier pas qui coûte. Son audace de fille déterminée l'a amenée à m'embrasser en plein sommeil, c'était la partie la plus facile de son projet amoureux. Elle a ensuite dû fournir un plus gros effort afin de proclamer son amour fou et de m'inviter à me laisser aimer. Le long baiser qui m'a alors été imposé a refoulé chez moi toute velléité de protester. Il faudrait être fou d'y penser tant l’action engagée se révèle irrésistible quand on a vécu en l’espérant secrètement. Noémie d’instinct a choisi le moment propice.
Par chance pour elle et surtout pour moi, son audace a payé. Je suis à cet instant précis par bonheur dans les meilleures dispositions possibles, comme je l'ai déjà fait remarquer. Je mourais d'envie d'entendre ses paroles, de recevoir ses recommandations et ses encouragements à agir. Je lui accorde sans résistance tout ce qu'elle désire. L’élan de mon accueil a de quoi la surprendre ; j’affiche clairement ma grande satisfaction. La voilà rassurée. Notre bonheur est totalement partagé; ma réponse à son nouveau baiser le confirme.
Que n'ai-je bousculé plus tôt sa divine poitrine. Je l'ai priée de croire que mon mouvement brutal était involontaire, avec une sincérité absolue, sans malice. Le résultat obtenu fait de moi un homme heureux. Alors le léger frottement de la nuisette sur mes pieds devrait me transporter d'aise. Encore occupé à honorer les seins de ma locataire, ravi de faire frissonner la peau de l'audacieuse et soucieux de lui prouver que mon amour lui est acquis, je suis soudain pris de panique à la pensée de ce qui m'attend.
Au collège j‘ai reçu comme tout le monde ce qu’on appelait « une éducation sexuelle ». Notre professeur de sciences a dû respecter le contenu du programme. C’était une jeune fille d’environ 22 ans. A y réfléchir aujourd’hui je me dis qu’elle devait exposer une matière qu’elle n’avait pas pratiquée. Donc son cours avait été bâclé. A l’appui de mon avis actuel il y avait eu un incident qui m’avait si fort étonné que je m’étais interdit d’en parler.
Ce jour-là, après les cours j’ai constaté que j’avais oublié mon agenda. Un surveillant m’a autorisé à retourner en classe pour le récupérer. J’arrive à hauteur de la salle. Avant d’entrer je jette un coup d’œil par la première fenêtre située à côté de la porte. Et là j’ai la surprise de voir ma professeure Josiane collée contre sa collègue Michelle. Leurs lèvres sont jointes. Ce qui me frappe c’est la durée de ce baiser. Jamais je n’ai vu des gens qui se saluent s’embrasser aussi longuement en se serrant aussi langoureusement. J’attends, je n’ose pas interrompre ces effusions interminables. Je me lasse de les regarder s’étreindre et se tordre debout. Je pars.
Aujourd’hui l’évocation de ce souvenir enfoui remonte. Je comprends l’excès de pudeur de cette jeune femme. Je sais que deux filles peuvent s’aimer, qu’elles s’interdisent alors d’avoir des rapports sexuels avec des hommes. Faute d’expérience elles abordent avec gêne les leçons. Mademoiselle Josiane avait escamoté le chapitre dont je n’avais retenu que le croquis simplifié d’une verge déversant une petite graine dans la représentation d’un vagin.
A mon tour, tout à coup d’entrer en terre inconnue. La chute de la nuisette précède la concrétisation de l’acte d’amour. A l’évidence Noémie est nue, elle voudra que nos corps s’unissent comme nos âmes. L’acte de chair couronnera la rencontre des sentiments. Je devine le chemin qu’elle me fera emprunter et je ne me trompe pas.
Noémie se détache de moi, recule , s’adosse à la paroi, appuie sur l’interrupteur et apparaît en pleine lumière.
- Eh bien ! Ne baisse pas les yeux. Tu m’as bien dit que tu n’avais jamais vu une femme nue. Regarde, je suis la femme. « Ecce femina »peut-être bientôt « mulier »- J’ose ! Je lève les yeux, je suis ébloui, muet devant ce corps splendide que je contemple. Que c’est beau un corps de femme. Que c’est beau. Je ne trouve pas d’autre mot. Que Noémie est belle. Oui, là elle représente toutes les femmes. Elle est LA FEMME.
- J’admire en silence - -Quoi, tu ne dis rien ? Je ne te plais pas ? Parle. Je n’aurais pas dû ? Tu es choqué, tu es scandalisé. Faut-il que je me rhabille ?
- Oh ! Non, tu es merveilleuse, éblouissante. Laisse-moi le temps de t’examiner, de découvrir tout ce qui fait ta beauté. Toute cette grâce, toutes ces courbes adorables ; belle, tu es si belle !
- Ah ! Il te faut du temps. Prends tout le temps nécessaire. Regarde à ton aise…Mais pas trop
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce récit si prégnant qu'il me fat oublié où je suis ! Didier