En panne 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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En panne 4
Il fallait s’y attendre, René n’a pas fait venir Henri uniquement pour un examen gynécologique. L’expert qui a, par nécessité professionnelle, une grande connaissance des femmes et de leurs parties génitales, est aussi un amateur éclairé dont, en corollaire, le sperme a des vertus thérapeutiques éprouvées, à la manière d’ un onguent naturel propre à guérir les parois des vagins endommagés ! Oser le dire, ce n’est pas se moquer un peu seulement de ceux qui ont le privilège de l’entendre, notamment de ma chère épouse que René croit plus crédule qu’elle ne l’est. Seule une fille très naïve peut se laisser influencer par cet argument poisseux tiré par les cheveux.
Un silence succède à l’annonce. Monique aura donc la chance d’être servie par deux mâles, si je laisse faire. Enfin, le spécialiste de circonstance énonce son verdict infaillible:
- Grâce à ma lampe, je peux déclarer avec une quasi certitude que, si les grandes lèvres de la vulve sont encore légèrement tuméfies, les parois vaginales internes, aussi loin que l’œil puisse les explorer, présentent un aspect rose et sain. J’observe cependant qu’il se dégage de madame une odeur enivrante quoique âcre et trop forte, assez surprenante. Excusez-moi, Monique de soulever ce détail peu ragoûtant . Vous avez pourtant procédé à de longues ablutions.
- En clair, est-elle baisable ou pas ? Tu trouves qu’elle pue mais qu’on peut l’utiliser et qu’elle est bonne pour le service, oui ou non ?
- Bien sûr, elle est apte à la copulation, mais avec précaution.
- Pourquoi hésiter dans ce cas. On l’emmène au lit et on lui accorde nos faveurs en échange des siennes. Comme je suis heureux et soulagé de l’apprendre de ta bouche et comme je serai heureux de te l’offrir pour prix de ton analyse experte.
Monique ainsi condamnée à servir de défouloir aux deux hommes émet une dernière objection sans grand espoir de protéger son sexe :
- Ah! Non ! Henri se trompe ou il est dingue. Le simple toucher de ses doigts sur mes parties me fait mal. Je ne peux pas me donner dans ces conditions.
La claque qui résonne a certainement été appliquée sur une fesse ou une partie grasse de la bavarde. Monique debout est en route pour la chambre à coucher. Après un nouveau silence troublé par le bruit des chaussures, Monique reprend la parole:
- Très bien. Pendant que vous vous mettez à poil, vous aussi, je vous prie de m’écouter. Je sais que je dois y passer, qu’il est inutile de vouloir éviter les coïts annoncés. Je souhaite que ce soit un plaisir pour vous et que je n’aurai pas trop à le regretter. Par conséquent, il est de mon intérêt à collaborer de mon mieux. Je m’y engage.
- Bravo, ma chérie, te voilà enfin raisonnable. Qu’en penses-tu Henri ?
- Bravo, Monique choisit le comportement le plus adapté au bon déroulement de la séance. Je la félicite et je promets de la travailler en douceur et avec tout le respect qu’elle m’inspire.
- Tu parles bien. Je ferai de même, je le jure Monique, tu seras chouchoutée.
-Merci. Puis-je avancer quelques propositions ? J’aimerais plusieurs choses. Un, vous préparer avec ma bouche et mes mains.
- Va pour une branlette et une fellation. Qui se plaindrait du traitement ! T’en as d’autres comme ça ?
- Ensuite j’aimerais pouvoir mesurer la compatibilité de votre verge avec mon sexe. L’un après l’autre vous introduiriez doucement votre bite dans mon con, juste une fois, le plus profondément possible.
- Henri, dis-lui que nous ne demandons que ça!
- Cela va de soi. A condition qu’il y ait une suite à cet essai.
- Il me reste deux vœux. Pourriez-vous à tour de rôle me sodomiser?
- Tu pourrais répéter. Ai-je bien entendu, tu veux que nous t’enculions ? C’est bien ça ?
Mon mari ne pratique pas ou peu la sodomie, refuse de s’aventurer dans cette cavité. Mon cul est presque vierge. D’ailleurs mon ressenti est que je préférerais être enculée, plutôt que prise de façon classique par devant : ce serait moins douloureux dans le contexte actuel.
- Ha! Ha! Ha! Je savais que tu étais salope, tu te libères, tu obtiendras tout ce que tu souhaites. J’en rêve depuis des mois, je n’osais pas le demander et voilà que tu le souhaites. C’est miraculeux. Quoi encore ? Parle, tes paroles font ma joie.
- Ma dernière demande pourrait vous scandaliser. C’est difficile à exprimer.
- Mais qu’est-ce qui pourrait nous scandaliser ? Non, vas-y, ton souhait sera exaucé, je le jure. Je t’adore ma poule. Je reconnais ton imagination formidable. Alors ?
- Eh! Bien voilà. C’est la première fois que deux hommes se trouvent avec moi dans un lit. C’est une occasion exceptionnelle, hein. Euh, il parait qu’on peut faire l’amour à trois, que deux hommes peuvent entrer dans une femme en même temps.
- Mais oui, c’est possible. Un dans le sexe, l’autre dans le cul. Hahahaha: c’est-ce que tu voudrais ? Mais nous nous tenons à ta disposition. Nous alternerons pour te mettre en sandwich tantôt les fesses en l’air, tantôt sexe au dessus, ouvert et accueillant. Nous pourrons aussi, à la demande, pénétrer ensemble bite contre bite ou ton sexe ou ton anus. Ça fera peut-être beaucoup pour aujourd’hui, mais jusqu’à demain midi nous ferons de notre mieux pour combler tous tes vœux. C’est si surprenant. Je me félicite d’avoir expédié ton cocu au diable vauvert. Il faut que je t’embrasse.
Voilà ce qui s’appelle être cocu en effet. Quelle mouche a piqué Monique? Comment peut-elle exiger des trucs pareils : préliminaires, coïts multiples, sodomies successives et, comble de l’aberration, vice suprême à mes yeux, doubles pénétrations pour expérimenter l’amour à trois. Par bonheur, il n’y a que deux candidats et pas de femmes. Elle est devenue complètement folle. La peur de la douleur lui fait tenir des propos insensés. Si je m’attendais à découvrir chez elle de telles exigences obscènes !
Vraiment, je me répète au risque de lasser, elle devra assumer. La salope. Mais j’entends des bruits, des encouragements, des gémissements, des grognements et déjà un cri
- Non, ne me pincez pas les nichons ou je mords vos bites.
C’est parti, je ne vois pas, j‘entends. Ils sont au stade des préliminaires. Monique veut se faire respecter. Celui qui jouit de sa bouche doit faire preuve de prudence s’il veut retourner chez lui avec toute sa quincaillerie ! Pour l’instant elle mène les ébats. La maîtresse d’école aime commander.
- Bien on passe à la suite. Qui passe en premier pour un cunnilingus? Toi ? Toi ? Je me moque de l’ordre de passage, pourvu que ce soit bon. L’autre s’occupe à m’embrasser ou à me caresser, il reste de la place entre ma tête et mes pieds. Ah ! Ne néglige pas ma rondelle… avec la pointe de la langue, essaie d’entrer. Oui, encore. Je sais j’ai le troufignon étroit, serré. Mais il faut le préparer à la pénétration anale.
- Comme ça ? Tu aimes ? J’adore te bouffer le cul.
- Très bien, et avec le doigt… Qu’est-ce que c’est bon. Tu vois René, ton infirmier sait comment on perce un anus de femme, tout en délicatesse. Tu feras comme lui, aussi bien, oui, c’est sûr ? Henri, mon sexe maintenant … en surface, des deux côtés et au milieu … c’est bien, entre les nymphes et les grandes lèvres… héhéhé… mon clito… pas trop fort, s’il te plaît. J’aime ta douceur. Et toi, René prends en de la graine. C’est tellement meilleur sans brutalité. Ah! Il me fout des frissons dans tout le corps
- Ça va, oui. Cesse de me donner des leçons. Est-ce que tu me garderais ici, si tu n’appréciais pas mes manières ? Et lui il va te lécher encore longtemps ?
- J’aime comme il me suce. Oh ! Oui, lèche doucement l’intérieur, entre ta langue le plus loin possible.
- Putain qu’est-ce que tu jutes. Une fontaine cette chatte. Ton liquide un peu costaud est fameux quand on a soif. Je n’arrêterais pas d’en boire.
- Bon, merci laisse la place à René, il s’impatiente et j’aurai mal au poignet si je dois le masturber trop longtemps. Présente-moi ton gros machin, tu as bien mérité ta branlette mon cher Henri, je suis déjà tout essoufflée, tu es vraiment un expert. J’aimerai te prendre en bouche quand tu banderas pour de bon. Es-tu marié ?
Monique cherche-t-elle mon successeur ou celui de René ? Quelle chienne. Henri la déçoit :
- Hélas, ma femme ne te vaut pas, elle est prude, excessivement prude, presque chiante. J’ai deux enfants quand même. Le plus jeune me ressemble.
Ne serait-il pas certain d’être le père du premier des mioches de sa femme si prude ? Tout le monde a le droit d’être cocu. Ce serait juste pour lui et pour René de porter des cornes de cocu. Leurs femmes seraient-elles trop moches pour qu‘un tiers les honore ? Et ça me consolerait de ce que j’entends depuis mon observatoire dans ma cave. Oh ! Salope, menteuse, roulure qui organise en plans successifs mon cocuage : en premier, double série de préliminaires. Après, trempette en sexe échauffé et juteux, puis recherche d’orgasmes plus forts que les douleurs etc.…
Oui, Monique, maudite sois-tu. Je souhaite que ces deux bougres en rut te rendent inutilisable pendant des semaines, pour moi tant pis, et pour eux, mais ils s‘en foutront et te limeront sans scrupules, viande de pute, par devant et par derrière. Ils t’assommeront de coup de bites, te soûleront de foutre et après, tu crèveras d’envies insatisfaites et insatisfaisables, tellement ils t‘auront abîmé tous les trous. Le biologiste connaîtra l’origine de tes vaginites fréquentes, te prodiguera les conseils de prudence et d’abstinence dont il me gratifiait avec son petit sourire en coin. Mais n’était-ce pas parce qu’il devinait la pousse de mes cornes de mari trompé pitoyable.
J’assisterai à tes tourments et je serai moins respectueux de tes désirs, je copierai l’autorité de l’autre. Comme lui j’élèverai la voix pour ordonner : « Exécution » ou « écarte les cuisses». Tu aimes le dressage, je t’en foutrai. Je me boucherai les oreilles pour ne plus entendre tes lamentations ou tes pleurs lorsque je te pénétrerai comme ton amant et son copain. Tu sauras ce qu’assumer veut dire quand je te forcerai à accomplir ton devoir conjugal.
La conversation s’arrête là. René a beau s’évertuer à fouiller ou lécher en douceur, il déclenche une cascade de geignements et coupe le souffle de notre salope de femme.
Je dis « notre » puisque je sais désormais qu’elle se partage entre lui et moi. Et encore, tandis que je m’abstenais idiotement, d’avoir des rapports douloureux, par respect et pour la ménager, elle geint sous les caresses et veut supporter les relations adultères qui lui seront imposés aujourd’hui. Hier elle ne voulait pas de moi et là, quelques heures plus tard, elle distribue les rôles aux deux cochons et offre de multiples solutions à leur lubricité !
René impose les rapports sexuels avec la complicité de son expert acheté? Ou obéit-il à cette nymphomane ? Elle a feint durant un espace de temps de devoir repousser leurs assauts avant de devenir l’organisatrice des ébats à trois. Je comprends mieux pourquoi elle m’écartait : c’était pour mieux accueillir son ex. Le cunnilingus s’éternise . Ma femme sera comme un sou neuf après ces coups de langue qui n‘en finissent plus. Si sa verge est aussi endurante que sa langue, la nuit sera longue et chargée. Monique aime, elle chantonne sa légère douleur. Henri moins familier sait patienter. Ma putain lui en sait gré:
- Merci Henri, mes seins apprécient tes caresses. Oui, presse les gentiment, merci. Tu peux sucer les tétins, c’est si bon.
Elle change d’interlocuteur, s’adresse au crâne coincé entre ses jambes et son pubis :
- René on devrait passer à l’intromission rapide pour comparer vos queues.
- Comme si tu n’avais jamais connu ma queue. Tu déconnes.
- Où est ton problème ? Je veux comparer, savoir si l’un est plus gros, plus rond ou plus plat ou encore lequel va toucher au fond et pressera davantage sur mon utérus. Boff, si tu as peur de faire trempette, laisse ce plaisir à Henri. Dégage la place
- Ho, qui est le maître ici, mon invité ou moi ? Tire sur tes lèvres que je te mette, je n’ai pas peur de visiter ta caverne Tiens prends ça, han
- Aïe ! T’es malade de plonger aussi brutalement. Sors et prends exemple sur l’infirmier… Voilà. Il a fait aussi bien que toi sans m’estropier. Si je devais choisir , c’est sa manière que je préfèrerais.
- De quel choix parles-tu ? Le seul vrai choix nous départagera moi et ton mari. Un jour tu verras ton avantage, tu me choisiras et nous enverrons le chercheur d’entreprises fantômes au diable. On pourrait passer aux choses plus sérieuses maintenant . Hop, couche-toi dans ton lit et offre-nous ton abricot.
- S’il vous plaît accordez-moi quelques minutes pour me rafraîchir . Je reviens tout de suite
Henri est émerveillé par cet exemple rare de soumission :
- Bravo l’ami, tu sais dresser les femmes. Il faudra venir chez moi apprendre l’amabilité et la soumission à la mienne. Monique, d’abord revêche, maintenant te mange dans la main.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ? Les femmes adorent les machos. Fermeté et autorité sont les deux mamelles de l’obéissance. Une bonne baise, résolue et sans pitié leur fait oublier les claques sur le derrière parfois indispensables pour asseoir le chef à sa place. Le coq règne sur le poulailler, les poules se baissent quand il leur grimpe dessus. C’est l’ordre voulu par la nature. Être trop bon, c’est s’exposer à être cocu.
Le mari de Monique est un faible, résultat nous la baisons dans ses draps ! Compris ?
Un silence succède à l’annonce. Monique aura donc la chance d’être servie par deux mâles, si je laisse faire. Enfin, le spécialiste de circonstance énonce son verdict infaillible:
- Grâce à ma lampe, je peux déclarer avec une quasi certitude que, si les grandes lèvres de la vulve sont encore légèrement tuméfies, les parois vaginales internes, aussi loin que l’œil puisse les explorer, présentent un aspect rose et sain. J’observe cependant qu’il se dégage de madame une odeur enivrante quoique âcre et trop forte, assez surprenante. Excusez-moi, Monique de soulever ce détail peu ragoûtant . Vous avez pourtant procédé à de longues ablutions.
- En clair, est-elle baisable ou pas ? Tu trouves qu’elle pue mais qu’on peut l’utiliser et qu’elle est bonne pour le service, oui ou non ?
- Bien sûr, elle est apte à la copulation, mais avec précaution.
- Pourquoi hésiter dans ce cas. On l’emmène au lit et on lui accorde nos faveurs en échange des siennes. Comme je suis heureux et soulagé de l’apprendre de ta bouche et comme je serai heureux de te l’offrir pour prix de ton analyse experte.
Monique ainsi condamnée à servir de défouloir aux deux hommes émet une dernière objection sans grand espoir de protéger son sexe :
- Ah! Non ! Henri se trompe ou il est dingue. Le simple toucher de ses doigts sur mes parties me fait mal. Je ne peux pas me donner dans ces conditions.
La claque qui résonne a certainement été appliquée sur une fesse ou une partie grasse de la bavarde. Monique debout est en route pour la chambre à coucher. Après un nouveau silence troublé par le bruit des chaussures, Monique reprend la parole:
- Très bien. Pendant que vous vous mettez à poil, vous aussi, je vous prie de m’écouter. Je sais que je dois y passer, qu’il est inutile de vouloir éviter les coïts annoncés. Je souhaite que ce soit un plaisir pour vous et que je n’aurai pas trop à le regretter. Par conséquent, il est de mon intérêt à collaborer de mon mieux. Je m’y engage.
- Bravo, ma chérie, te voilà enfin raisonnable. Qu’en penses-tu Henri ?
- Bravo, Monique choisit le comportement le plus adapté au bon déroulement de la séance. Je la félicite et je promets de la travailler en douceur et avec tout le respect qu’elle m’inspire.
- Tu parles bien. Je ferai de même, je le jure Monique, tu seras chouchoutée.
-Merci. Puis-je avancer quelques propositions ? J’aimerais plusieurs choses. Un, vous préparer avec ma bouche et mes mains.
- Va pour une branlette et une fellation. Qui se plaindrait du traitement ! T’en as d’autres comme ça ?
- Ensuite j’aimerais pouvoir mesurer la compatibilité de votre verge avec mon sexe. L’un après l’autre vous introduiriez doucement votre bite dans mon con, juste une fois, le plus profondément possible.
- Henri, dis-lui que nous ne demandons que ça!
- Cela va de soi. A condition qu’il y ait une suite à cet essai.
- Il me reste deux vœux. Pourriez-vous à tour de rôle me sodomiser?
- Tu pourrais répéter. Ai-je bien entendu, tu veux que nous t’enculions ? C’est bien ça ?
Mon mari ne pratique pas ou peu la sodomie, refuse de s’aventurer dans cette cavité. Mon cul est presque vierge. D’ailleurs mon ressenti est que je préférerais être enculée, plutôt que prise de façon classique par devant : ce serait moins douloureux dans le contexte actuel.
- Ha! Ha! Ha! Je savais que tu étais salope, tu te libères, tu obtiendras tout ce que tu souhaites. J’en rêve depuis des mois, je n’osais pas le demander et voilà que tu le souhaites. C’est miraculeux. Quoi encore ? Parle, tes paroles font ma joie.
- Ma dernière demande pourrait vous scandaliser. C’est difficile à exprimer.
- Mais qu’est-ce qui pourrait nous scandaliser ? Non, vas-y, ton souhait sera exaucé, je le jure. Je t’adore ma poule. Je reconnais ton imagination formidable. Alors ?
- Eh! Bien voilà. C’est la première fois que deux hommes se trouvent avec moi dans un lit. C’est une occasion exceptionnelle, hein. Euh, il parait qu’on peut faire l’amour à trois, que deux hommes peuvent entrer dans une femme en même temps.
- Mais oui, c’est possible. Un dans le sexe, l’autre dans le cul. Hahahaha: c’est-ce que tu voudrais ? Mais nous nous tenons à ta disposition. Nous alternerons pour te mettre en sandwich tantôt les fesses en l’air, tantôt sexe au dessus, ouvert et accueillant. Nous pourrons aussi, à la demande, pénétrer ensemble bite contre bite ou ton sexe ou ton anus. Ça fera peut-être beaucoup pour aujourd’hui, mais jusqu’à demain midi nous ferons de notre mieux pour combler tous tes vœux. C’est si surprenant. Je me félicite d’avoir expédié ton cocu au diable vauvert. Il faut que je t’embrasse.
Voilà ce qui s’appelle être cocu en effet. Quelle mouche a piqué Monique? Comment peut-elle exiger des trucs pareils : préliminaires, coïts multiples, sodomies successives et, comble de l’aberration, vice suprême à mes yeux, doubles pénétrations pour expérimenter l’amour à trois. Par bonheur, il n’y a que deux candidats et pas de femmes. Elle est devenue complètement folle. La peur de la douleur lui fait tenir des propos insensés. Si je m’attendais à découvrir chez elle de telles exigences obscènes !
Vraiment, je me répète au risque de lasser, elle devra assumer. La salope. Mais j’entends des bruits, des encouragements, des gémissements, des grognements et déjà un cri
- Non, ne me pincez pas les nichons ou je mords vos bites.
C’est parti, je ne vois pas, j‘entends. Ils sont au stade des préliminaires. Monique veut se faire respecter. Celui qui jouit de sa bouche doit faire preuve de prudence s’il veut retourner chez lui avec toute sa quincaillerie ! Pour l’instant elle mène les ébats. La maîtresse d’école aime commander.
- Bien on passe à la suite. Qui passe en premier pour un cunnilingus? Toi ? Toi ? Je me moque de l’ordre de passage, pourvu que ce soit bon. L’autre s’occupe à m’embrasser ou à me caresser, il reste de la place entre ma tête et mes pieds. Ah ! Ne néglige pas ma rondelle… avec la pointe de la langue, essaie d’entrer. Oui, encore. Je sais j’ai le troufignon étroit, serré. Mais il faut le préparer à la pénétration anale.
- Comme ça ? Tu aimes ? J’adore te bouffer le cul.
- Très bien, et avec le doigt… Qu’est-ce que c’est bon. Tu vois René, ton infirmier sait comment on perce un anus de femme, tout en délicatesse. Tu feras comme lui, aussi bien, oui, c’est sûr ? Henri, mon sexe maintenant … en surface, des deux côtés et au milieu … c’est bien, entre les nymphes et les grandes lèvres… héhéhé… mon clito… pas trop fort, s’il te plaît. J’aime ta douceur. Et toi, René prends en de la graine. C’est tellement meilleur sans brutalité. Ah! Il me fout des frissons dans tout le corps
- Ça va, oui. Cesse de me donner des leçons. Est-ce que tu me garderais ici, si tu n’appréciais pas mes manières ? Et lui il va te lécher encore longtemps ?
- J’aime comme il me suce. Oh ! Oui, lèche doucement l’intérieur, entre ta langue le plus loin possible.
- Putain qu’est-ce que tu jutes. Une fontaine cette chatte. Ton liquide un peu costaud est fameux quand on a soif. Je n’arrêterais pas d’en boire.
- Bon, merci laisse la place à René, il s’impatiente et j’aurai mal au poignet si je dois le masturber trop longtemps. Présente-moi ton gros machin, tu as bien mérité ta branlette mon cher Henri, je suis déjà tout essoufflée, tu es vraiment un expert. J’aimerai te prendre en bouche quand tu banderas pour de bon. Es-tu marié ?
Monique cherche-t-elle mon successeur ou celui de René ? Quelle chienne. Henri la déçoit :
- Hélas, ma femme ne te vaut pas, elle est prude, excessivement prude, presque chiante. J’ai deux enfants quand même. Le plus jeune me ressemble.
Ne serait-il pas certain d’être le père du premier des mioches de sa femme si prude ? Tout le monde a le droit d’être cocu. Ce serait juste pour lui et pour René de porter des cornes de cocu. Leurs femmes seraient-elles trop moches pour qu‘un tiers les honore ? Et ça me consolerait de ce que j’entends depuis mon observatoire dans ma cave. Oh ! Salope, menteuse, roulure qui organise en plans successifs mon cocuage : en premier, double série de préliminaires. Après, trempette en sexe échauffé et juteux, puis recherche d’orgasmes plus forts que les douleurs etc.…
Oui, Monique, maudite sois-tu. Je souhaite que ces deux bougres en rut te rendent inutilisable pendant des semaines, pour moi tant pis, et pour eux, mais ils s‘en foutront et te limeront sans scrupules, viande de pute, par devant et par derrière. Ils t’assommeront de coup de bites, te soûleront de foutre et après, tu crèveras d’envies insatisfaites et insatisfaisables, tellement ils t‘auront abîmé tous les trous. Le biologiste connaîtra l’origine de tes vaginites fréquentes, te prodiguera les conseils de prudence et d’abstinence dont il me gratifiait avec son petit sourire en coin. Mais n’était-ce pas parce qu’il devinait la pousse de mes cornes de mari trompé pitoyable.
J’assisterai à tes tourments et je serai moins respectueux de tes désirs, je copierai l’autorité de l’autre. Comme lui j’élèverai la voix pour ordonner : « Exécution » ou « écarte les cuisses». Tu aimes le dressage, je t’en foutrai. Je me boucherai les oreilles pour ne plus entendre tes lamentations ou tes pleurs lorsque je te pénétrerai comme ton amant et son copain. Tu sauras ce qu’assumer veut dire quand je te forcerai à accomplir ton devoir conjugal.
La conversation s’arrête là. René a beau s’évertuer à fouiller ou lécher en douceur, il déclenche une cascade de geignements et coupe le souffle de notre salope de femme.
Je dis « notre » puisque je sais désormais qu’elle se partage entre lui et moi. Et encore, tandis que je m’abstenais idiotement, d’avoir des rapports douloureux, par respect et pour la ménager, elle geint sous les caresses et veut supporter les relations adultères qui lui seront imposés aujourd’hui. Hier elle ne voulait pas de moi et là, quelques heures plus tard, elle distribue les rôles aux deux cochons et offre de multiples solutions à leur lubricité !
René impose les rapports sexuels avec la complicité de son expert acheté? Ou obéit-il à cette nymphomane ? Elle a feint durant un espace de temps de devoir repousser leurs assauts avant de devenir l’organisatrice des ébats à trois. Je comprends mieux pourquoi elle m’écartait : c’était pour mieux accueillir son ex. Le cunnilingus s’éternise . Ma femme sera comme un sou neuf après ces coups de langue qui n‘en finissent plus. Si sa verge est aussi endurante que sa langue, la nuit sera longue et chargée. Monique aime, elle chantonne sa légère douleur. Henri moins familier sait patienter. Ma putain lui en sait gré:
- Merci Henri, mes seins apprécient tes caresses. Oui, presse les gentiment, merci. Tu peux sucer les tétins, c’est si bon.
Elle change d’interlocuteur, s’adresse au crâne coincé entre ses jambes et son pubis :
- René on devrait passer à l’intromission rapide pour comparer vos queues.
- Comme si tu n’avais jamais connu ma queue. Tu déconnes.
- Où est ton problème ? Je veux comparer, savoir si l’un est plus gros, plus rond ou plus plat ou encore lequel va toucher au fond et pressera davantage sur mon utérus. Boff, si tu as peur de faire trempette, laisse ce plaisir à Henri. Dégage la place
- Ho, qui est le maître ici, mon invité ou moi ? Tire sur tes lèvres que je te mette, je n’ai pas peur de visiter ta caverne Tiens prends ça, han
- Aïe ! T’es malade de plonger aussi brutalement. Sors et prends exemple sur l’infirmier… Voilà. Il a fait aussi bien que toi sans m’estropier. Si je devais choisir , c’est sa manière que je préfèrerais.
- De quel choix parles-tu ? Le seul vrai choix nous départagera moi et ton mari. Un jour tu verras ton avantage, tu me choisiras et nous enverrons le chercheur d’entreprises fantômes au diable. On pourrait passer aux choses plus sérieuses maintenant . Hop, couche-toi dans ton lit et offre-nous ton abricot.
- S’il vous plaît accordez-moi quelques minutes pour me rafraîchir . Je reviens tout de suite
Henri est émerveillé par cet exemple rare de soumission :
- Bravo l’ami, tu sais dresser les femmes. Il faudra venir chez moi apprendre l’amabilité et la soumission à la mienne. Monique, d’abord revêche, maintenant te mange dans la main.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ? Les femmes adorent les machos. Fermeté et autorité sont les deux mamelles de l’obéissance. Une bonne baise, résolue et sans pitié leur fait oublier les claques sur le derrière parfois indispensables pour asseoir le chef à sa place. Le coq règne sur le poulailler, les poules se baissent quand il leur grimpe dessus. C’est l’ordre voulu par la nature. Être trop bon, c’est s’exposer à être cocu.
Le mari de Monique est un faible, résultat nous la baisons dans ses draps ! Compris ?
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