Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 5

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Élodie écarquille les yeux devant les deux plans plongeant pris il y a quelques instants : la première image la montre le cul tendu en train de se faire doigter en suçant le grand black, et l'autre où on la reconnaît bien en train de déglutir le sperme chaud. Elle se rend compte que le plan a été pris depuis sa chambre, le haut d'une oreille de chat blanc typique apparait dans le coin en bas à gauche de la prise de vue.

“Mais qu’est-ce qui m’arrive ?” D’abord, son string trempé de foutre, maintenant un cliché où on la reconnait clairement en train de pomper la grosse bite noire. Mais qui peut avoir accès à son intimité de la sorte ? Et elle ne peut même pas demander à son beau-père de changer les verrous, qu'elle raison pourrait-elle bien évoquer ? Et au pied de la feuille, elle réalise maintenant qu'un message accompagne le cliché :
<Je sais qui tu es, je sais ce que tu es, je sais ce que tu fais ! Dorénavant, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu n'es qu'une trainée, où que j'envoie cette photo à tes parents tu feras tout ce que je te dis ! Fout toi à poil et ajoute moi à tes amis snap si tu comprends (@baiser_elo_au_93)>
La jeune fille est tétanisée, est-ce une blague ? Est-ce que Raph est dans le coup ? Elle ne voit personne d'autre qui aurait pu avoir accès à sa chambre. Mais elle ne peut pas risquer que sa mère ou son beau-père ne la voit sucer un black ! Résignée, et encore sonnée par la trahison des garçons, elle étire l'élastique de sa robe et la laisse tomber à ses pieds, puis elle ajoute son nouvel "ami" à ses contacts snap. La réponse est quasi instantanée : <C'est bien, et garde tes talons !> "Comment sait-il pour mes talons ? Putain, mais c'est quoi cette arnaque ?" *DING* nouveau message <A partir de maintenant, tu dois rester à poil lorsque tu es seule chez toi, et si tes parents sont là, c'est string et crop top sexy, sinon je diffuse !> et pour preuve, il envoie les 06 de ses parents.

Élodie n'en revient pas, en quelques heures, elle perd ses meilleurs amis, elle est devenue la poule d'un gros porc de black et pour conclure, un corbeau la contraint à lui obéir au doigt et à l'œil. Elle devrait être terrorisée, hors d'elle, et pourtant, elle sent la mouille inonder sa chatte et s'écouler le long de ses cuisses ....

***

La stupeur de sa situation passée, Élodie tente de reprendre pied avec la réalité, ou plutôt sa nouvelle réalité. Nue comme un vers, perchée sur ses talons aiguille, elle regarde en face d’elle le salon et ses grandes fenêtres dont sont si fiers ses parents : “un appartement tellement lumineux !”, sauf que c’est la pièce centrale de tout l’appart’.

*PING* un nouveau message : <tu vas quand même pas restée planté là toute la soirée, bouges ton p’ti cul sinon…> Là, plus trop le choix, la petite brune ramasse sa petite robe en boule à ses pieds, prend une grande inspiration, gonfle sa poitrine, et c’est le cœur battant la chamade qu’elle avance dans le couloir. Un peu intimidée en arrivant à l’entrée de la grande pièce toute en longueur, elle regarde avec angoisse les trois baies vitrées qui donnent sur la cour intérieure.

De sa main gauche, elle plaque le bout de tissu jaune sur son pubis et pose son avant-bras droite sur sa poitrine pour cacher ses tétons, tous durs d’excitation et de peur. C’est à moitié recroquevillée qu’elle tourne sur la droite pour prendre le deuxième couloir qui mène à la chambre de ses parents et à la salle de bain. Elle fonce sous la douche après avoir mis sa robe tâchée de sa mouille et de quelques traces du sperme de Romuald au sale. Une fois rafraîchie, propre et parfumée de sa crème de corps, elle sort de la pièce le cheveux humides et frais sur son dos.

*PING* <plus de planque que je ne te reprenne pas à cacher tes formes aussi jolies, va te faire un café et bois le devant la télé> Le salop connaît bien l’appart’ avec sa cuisine ouverte à l’autre bout de la pièce et la télé en plein milieu en face du canapé donnant bien sûr dans la cour.

Peu à son aise, la gamine tente de garder son calme lorsqu’elle passe devant la première baie vitrée, elle ne sait même pas si on peut la voir à travers le reflet des carreaux. “Si j’avais su ! J’aurais plus attention !” Ses seins libre de tout soutien oscillent de haut en bas, et l’excitation incontrôlable à l’idée de se faire mater par les voisins fait irrésistiblement pointer ses gros tétons gonflés. Elle traverse ainsi pour la première fois le grand salon pour passer (enfin) derrière le bar séparant la cuisine ouverte. La gamine se prépare un Nespresso et c’est reparti pour une séance d’exhib’, elle se rend sur la canapé en cuir et s’y assoit les jambes croisées et le dos un peu voûter pour cacher un minimum ses formes.

“Déjà sept heures du soir” se dit-elle en allumant la grande télé, et si tôt dans l’été caniculaire, elle n’est pas prête de trouver du réconfort dans l’ombre de la nuit. *PING* <Tiens-toi droite, et va chercher ton ordi, je t’ai laissé quelques petits cadeaux dans ta chambre>
Oubliant un peu sa nudité, la petite brune se rend dans sa chambre à l’autre bout du couloir sur la gauche après la chambre d’ami et le bureau de son beau-père. Elle y entre et imagine son corbeau posté à sa fenêtre gauche en train de la mâter dans l’impasse derrière le bâtiment. Cette pensée lui provoque une nouvelle pulsion de chaleur dans le bas ventre. Elle repense à ce gars en train de lui mater le cul, elle ressent encore le gros doigt de Romuald lui déflorer la pastille, elle sent son gros gland gonfler et éprendre son jus chaud et visqueux entre ses lèvres.

Mais quelque chose cloche dans sa chambre, elle découvre assez vites les “cadeaux” dont parlait le corbeau. Etalés sur sa couette rose, une boîte blanche longue et assez large, quelques vêtements et un petit sac plastique. *PING* <J’ai vu tes goût pour la petite chatte toute mignonne, j’espère que ça te plaira>
Intriguée elle déplie les vêtements et découvre plusieurs ensembles à la limite entre le charme érotique et le porno. Un bandana blanc au dessin complexe de trait noir, terminé sur deux angles opposés par une petite ficelle de coton, quelques crop top minimalistes, deux bandeaux de poitrine un blanc et un rose pâle rose et accompagnant tout ça, un ensemble de micro-string blancs et roses tous à l’effigie d’hello kitty, au triangle pubien à peine plus grand que celui du bikini qu’elle portait chez l’oncle à Romuald.

*PING* <Prends le bandeau blanc, un des strings roses, la boite et le sac, tu vide le contenu du sac et de la boite sur la table basse et tu ouvres la vidéo que j’ai laissé sur le bureau de ton ordi> Sans trop comprendre, l’adolescente s’exécute et toujours à poil dans son salon, elle dépose ses deux vêtements à côté de l’ordi qu’elle ouvre pour le sortir de sa veille. “Hum pas étonnant qu’il ait eu accès j’avais pas fermé ma session ! Ça m’apprendra à pas faire ce que nous le prof de STI.

Elle tourne une attention curieuse et intriguée vers la boite blanche et le sac. Choquée et surprise par l’étalage de ce qu’elle vient d’aligner sur la table en verre, elle énumère les objets dans sa tête : “Un chapelet anal, de petites pinces à l’embout plastifié, un mini vibromasseur, un gode à manche noir d’une quinzaine de centimètre pour la verge sur 3 voir 4cm de diamètre, et pour finir, une énorme bite en latex et équipé à la base des boules par une grosse ventouse. Elle n’avait jamais vu un tel attirail mis à part sur quelques vidéos youporn. Curieuse et inquiète elle n’ose pas les toucher. Le son de l’ordi démarré la sort de sa torpeur et elle voit en effet l’icône de VLC sur le desktop, elle clique sur le fichier et tombe sur une vidéo longue faites de montages éclectiques de jeunes filles aux prises avec des tas de mecs plus ou moins bien montés.

Elle a l’habitude de mater du porno et elle adore se branler sur des scènes hard, “On dirait qu’il me connait bien le salop !” Sourit-elle intérieurement. “J’imagine qu’il veut que j’me touche !” Et c’est ainsi que sans même attendre d’ordre, l’adolescente commence à se toucher, caresser sa vulve humide du bout des doigts, elle humidifie ses doigts libres pour exciter ses tétons et commence à se ramoner la chatte sous les cris des meufs baisées à l’écran. Elle attrape ses deux nouveaux gode et plante le petit noir en elle, et simule une fellation avec l’énorme bite qui ressemble tant à celle de son esclavagiste de black.

Elle se projette rapidement à la place des salopes à l’écran, s’imaginant elle-même aux prises avec ses baiseurs. Elle s’enfonce dans son plaisir et elle est sur le point de jouir quand le carillon de l’entrée sonne. Paniquée, elle ne sait pas quoi faire quand soudain *PING* <pose tout sur la table, laisse tourner la vidéo, habille-toi et va ouvrir, je t’ai commandé une pizza !>
“Mais c’est pas vrai ! C’est pas vrai !” Elle balance les deux godes humides sur la table basse, enfile le micro string en équilibre précaire sur ses plateformes et passe vite fait le bandeau de tout 5cm de large sur sa grosse poitrine. *PING* <propose de le faire entre pour le payer, j’ai laissé l’appoint dans le sac en plastique> Les bruits de jouissance résonnent encore dans le salon lorsqu’elle se dirige, inquiète et excitée à la fois vers la porte d’entrée. Les mains moites, le palpitant battant la chamade dans sa poitrine et dans ses tempes, la mouille coulant encore entre ses cuisses et les tétons gonflés et durs comme du cuir, elle s’apprête à ouvrir....

Ding dong Le livreur insiste, Élodie est figée, incapable d’ordonner aux muscles de sa main de tourner la poignée. Elle est à moitié à poil et doit faire entrer un parfait inconnu dans le grand appart où elle est seule, avec tout un attirail sexuel et le porno qui continue de tourner derrière elle.

Après un ultime effort, elle parvient à appuyer sur la clanche, et passe sa tête aux anglaises brunes par l’entrebâillement. Le livreur, un turc bourru à la barbe hirsute, l’uniforme usé et assombri par la pollution, et un casque à moitié vissé sur la tête, lui présente la boite à pizza.

-Mam’zelle Élodie ?

-Oui c’est moi !

-Ça fait 20€ tout juste ! Lui lance-t ’il avec un lourd accent.

Elle lui sourit, gênée :
-Venez j’vous en prie, j’ai l’argent là-bas ! Elle lui indique le salon avec vue directe sur le gode ventouse planté à la verticale.

La honte au ventre, elle l’invite à la suivre, et la gros turc ne se fait pas prier. Ils entrent tous les deux dans le salon, une jeune asiatique se faisant prendre en triple anale par un groupe de SDF, en train de hurler de plaisir à se faire défoncer de la sorte. Le turc reluque sans vergogne le cul à nu d’Élodie qui se penche sur le sac pour en extraire les 20€ qu’elle n’avait pas vu auparavant.

Il remonte son regard et se régale d’observer les gros seins de la gamine osciller sous sa poitrine alors que cette dernière se penche. Mais impossible de trouver la monnaie “C’est quoi ce traquenard ? Putain !”
-Désolé, euh je trouve pas l’argent !

D’un regard lubrique, le turc jette un œil aux jouets sexuels, puis il affiche un sourire tout aussi pervers à la gamine :
-Pas grave ! On peut s’arranger !

“Oh je vois !” Elle comprend le jeu du corbeau, elle regarde autour d’elle comme si ce dernier était présent, puis elle passe ses jolies anglaises derrière son oreille et s’agenouille devant le jean crade du livreur. Elle lui ouvre la braguette et descend le haut du futal pour afficher un slip blanc taché de jaune.
Elle tire en douceur sur l’élastique du slip et en extrait un gros boudin fripé le gland caché par le prépuce violacé. L’odeur d’urine est très forte lorsque la gamine aspire la bite toute molle entre ses lèvres pulpeuses. La bite grandit et durcit sur la langue de l’adolescente, et sans autre préparatif, le livreur lui encadre le visage de ses mains encore gantées, et s’active entre les lèvres charnues de l’adolescente.

Il baise la bouche de la gamine comme une brute, écrasant son gros bide poilu sur le petit nez de l’ado. Il retire sa main droite du visage poupon et plaque sa main gauche derrière le crâne de sa suceuse pour baiser sa bouche en profondeur. Sa main droite glisse sous le visage baiser violemment et soulève le tissu élastique du bandeau, libérant les gros seins qu’il malaxe avec fougue, arrachant des plaintes étouffées à la gamine.

Il doit être persuadé que la petite est en train de jouir parce qu’il s’excite encore plus dans la bouche chaude est accueillante. Pour mettre fin au calvaire, Élodie l’aspire du mieux qu’elle le peut, joue avec ses boules, titille la langue sous le frein de la grosse bite trapue. Elle le sent soudain frétiller et gonfler sur son palais et fini pour éjaculer un sperme âcre et gluant sur la langue gonflée.

Quand soudain il se retire et fini de se vider les couilles en longues zébrures chaudes traversant le visage infantile de la gamine. Sans demander son reste et les couilles vides, il relâche la gamine qui s’effondre sur le parquet froid :
*ZIP*
-Allo pizza à votre service ! Lâche-t ’il tout en repartant en refermant la porte derrière luiÉlodie se retrouve seule, les seins douloureux, du sperme dégoulinant de sa bouche entrouverte et de son visage sur le parquet. Honteuse mais étrangement satisfaite, elle aurait presque pris son pied à être offerte à ce gros porc inconnu “allo pizza hein ?” ....
Et elle balade son index le long de ses lèvres couvertes de foutre, un sourire gourmand aux lèvres.

Est ce qu’elle prendrait gout ?

Se retournant sur le dos elle laisse le foutre rance couler dans sa gorge.

***

Le cerveau encore noyé par ce plaisir étrange mêlant honte, culpabilité et pure luxure, Élodie joue avec le sperme coulant sur son visage joufflu. Ses doigts fins glissent sur le foutre gluant qui refroidi déjà, tandis que de sa main gauche, elle caresse sa fente ouverte par la ficelle de son string et luisante de mouille. De son majeur, elle appui sur son clitoris et le roule contre son os pubien à travers le fin triangle de coton.

Son majeur et son index droits couverts de jute glissent le long de ses joues, ramassent un maximum du nectar âpre et odorant pour glisser enfin sur ses lèvres luisantes et gourmandes. Elle gémit en se caressant et les yeux mi-clos laisse ses deux doigts gluants glisser entre ses lèvres dans un simulacre de pipe voluptueuse.

Elle se cambre de plaisir sur le sol encore froid et devant la baie vitrée de plein pied trônant au centre de la pièce. La jeune fille encrée pleinement dans son plaisir charnel n’a même plus conscience de s’exposer à ses voisins.

*PING* *PING* *PING* Son téléphone met un terme à son extase, et alors qu’elle craint les nouveaux ordres de son maître chanteur, elle est surprise de recevoir des snaps des garçons .... et de Romu. Furieuse et curieuse à la fois, elle ouvre les messages, et quelle n’est pas sa surprise lorsqu’elle ouvre tout d’abord un gros plan de la bite du rouquin dans la bouche de la blondasse pendant que Enzo sodomise la belle poufiasse en arrière-plan. Le cliché suivant n’est guère mieux, c’est un selfie de groupe sur lequel le visage des trois garçons encercle de leur sourire niais le visage de la salope couvert de liquide blanchâtre. Elle même le culot de mimer un bisou de ses lèvres luisante “Mais quelle bande de bâtard.

Elle balaye à droite et ouvre le troisième message de Romuald cette fois ; l’enfoiré lui envoie une vidéo de lui en train de prendre violemment la blondasse par derrière tout en l’insultant de “grosse chienne” de “salope” et autres collibets, il lui claque le cul en lui demandant si “elle aime ça” et cette pute se retourne et d’un regard vicieux lui répond “oui putain ! enfile moi bien l’cul avec ta grosse bite de black !”
La courte vidéo et suivie d’un deuxième sur lequel il file la blonde lui aspirant le gland sur un fond musical et lui de dire “c’est ça poufiasse, vide-moi bien les couilles” et d’un scrolling arrière il filme son visage au gros nez et conclue “et oublie pas p’tite salope je peux suivre tes mouvements, si tu sors t’as intérêt à balancer l’cliché !”
Instinctivement, l’adolescente porte ses doigts aux lèvres, elle sent encore les goûts suaves du sperme épais du congolais. C’est alors que le téléphone vibre dans sa main, un message du corbeau apparaît <un de tes voisins a besoin de tes services pour promener son chien, il passe dans 5 minutes>
“Hein ?” Incrédule, la gamine remarque le bordel sur la table basse, mais pas le temps de ranger, elle doit laver tout ce foutre puant qui sèche sur sa peau douce. Après une nouvelle douche, la gamine tresse deux nattes très serrées sur le haut du crâne et fonce dans sa chambre, traversant sans vergogne le salon dans son plus simple appareil. Elle doit se trouver des fringues compatibles avec les exigences de Romuald, mais suffisamment confortable pour aller promener un chien. Elle opte pour une petite jupe trapèze blanche et très échancrée, un des bandeau de poitrine qu’elle couvre d’une petite chemisette à carreau qu’elle ferme d’un simple nœud au-dessus du nombril.

Au moment où le carillon retentit, elle crie par habitude :
-Entrez c’est ouvert !

Elle réalise trop tard que le voisin va entrer dans le salon, les sex-toys exposés et trempés sur la table et le porno qui tourne encore. Alors qu’elle se bat pour enfiler ses Adidas blanches à bandes vertes classiques, elle se rend compte qu’elle ne pourra pas empêcher quiconque vient d’entrer dans cette intimité de voir ses nouveaux jouets d’adolescente.

Lorsqu’elle arrive dans le salon, elle reconnaît le quadras vieux garçon qui habite en face au troisième. Son air patibulaire, sa bedaine de buveur de bière et ses cheveux gominés plaqués en une raie de côté, il joue d’un air amusé avec le gode à manche :
-Eh ben j’me doutais que t’étais une coquine, mais là j’dois dire ....

Et il laisse la phrase en suspens avant de continuer :
-Bon ben suis moi, on va aller faire un tour ensemble apparemment ! Je te présente “crocus” mon labrador.

Élodie craque pour le grand chien d’une grosse trentaine de kilos, elle s’accroupit devant lui, inconscience d’exposer son pubis imberbe à Serge, jusqu’au moment où elle aperçoit une boule grossir dans sa braguette.

-OK j’suis prête lui répond-elle d’un sourire innocent.

Il la précède sur le palier, et la gamine en profite pour prendre un cliché de plein pied soulevant discrètement sa jupe pour montrer au congolais qu’elle est bien à poil sous sa jupe. Serge passe devant et guide la jeune fille jusqu’à son utilitaire, et fait monter son chien docile dans le grand coffre grillagé. Le quadra est intarissable sur son chien et ils ont tous deux une discussion plaisante en direction de l’est parisien, Élodie aperçoit les panneaux pour Disneyland et se demande bien où son voisin peut l’emmener si loin dans la campagne. Le clignotant activer est le signal de sortie de l’A4, et l’adolescente panique un peu lorsqu’elle se rend compte qu’ils roulent maintenant en pleine campagne.

Cinq minutes plus tard, le quadra se gare dans un parking reculé dans les sous-bois, l’atmosphère assombrie par le crépuscule naissant. La gamine constate la présence de plusieurs berlines et quelques ombres qui se dessinent à l’orée du bois, lorsque le quadra coupe le moteur et allume le plafonnier du passager. Il se tourne vers elle, et lui tend le gode à manche qu’il a apparemment subtilisé lors de leur départ :
-J’me suis dit que ça pourrait te servir ! Lui dit-elle alors que des ombres apparaissent autour de la vitre passager.

Élodie ne peut pas distinguer les visages des inconnus qui se pressent à sa vitre, mais elle en dénombre au moins cinq. Elle remarque aussi le mouvement de main des inconnus “Putain mais il se branlent les cons !” Le contact de la main rugueuse de Serge sur sa cuisse gauche la surprend :
-Eh ben petite, tu fais ta timide maintenant ?

-Euh .... non .... jeeeee ....

Et il remonte sa main le long de la cuisse dénudée :
-Allez ! écarte un peu ! Montre-moi ta p’tite grotte de salope !

Son cerveau est en fusion, Élodie sent le feu grandir et se répandre dans son ventre, un nouvel inconnu fait glisser sa main vers son intimité, et sous les yeux lubriques d’un groupe de loups affamés en plus! La gamine se mord la lèvre inférieur et sans aucun contrôle sent sa cuisse gauche se relever, s’écarte, exposer son intimité dans la lumière du plafonnier, alors que sa jupe découvre sa vulve ouverte.

-C’est ça ! Montre-leur comme t’es chaude !

Et il glisse ses doigts d’ouvrier le long de la fente déjà luisante de désir. L’adolescente laisse le quadra s’occuper de sa chatte en ébullition, alors qu’elle glisse ses mains le long de son ventre plat, et les remonte sous sa chemisette, jouant avec ses tétons gonflés et saillants sous le tissu tendu de son bandeau. Le doigt inquisiteur de Serge s’enfonce lentement dans les méandres de ses plis pubiens, arrachant un gémissement de plaisir à la gamine. Elle n’entend même pas le moteur de sa fenêtre, mais le frais de l’extérieur la fait frissonner, augmentant encore le volume de ses tétons enflés.

Une puis deux mains s’immiscent par la vitre ouvert et elle s’extase au contact de ces nouveaux prédateurs sur sa cuisse droite. Serge retire son doigt et attrape la main gauche de la brunette pour la guider vers sa bite. En extase, Élodie sent les nouvelles mains fouiller son intimité, un puis deux doigts vont et viennent dans sa vulve ouverte. Elle gémit d’un plaisir sourd et commence à branler doucement son chauffeur. Un des lascars à l’extérieur attrape sa main droite et la guide vers sa bite tendue. La petite le branle aussi alors que le vicieux tire sur le bandeau pour exposer les gros seins de l’adolescente. Le nœud de la chemisette ne fait pas un pli et c’est maintenant deux nouvelles mains qui malaxent, tiraillent, tordent les tétons exposés de la petite, qui gémit maintenant sans retenue.

Le quadra soulève les cuisse de la gamine pour camper ses pieds sur le tableau de bord et il présente le gode à manche à l’orée de la petite vulve gonflée et aux lèvres ouverte. Lorsque le gland factice écarte les muqueuses en chaleur, Élodie se cambre de plaisir. Le quadra branle la petite tout en enfonçant le jouet sexuel dans les méandres en chaleur, arrachant une plainte de plaisir à l’adolescente. Une fois le gode enfoncé jusqu’à la garde Serge plante ses doigts trempés de mouille entre les lèvres ouvertes de la petite qui les aspire goulument en un simulacre de pipe. Un des lascars attrape alors le manche du gode et se met à branler la gamine, les bruits de mouilles emplissent la cabine de l’utilitaire.

Serge laisse la jeune fille profiter de son extase quelques minutes, puis la bite en chaleur, il attire la gamine à lui, rompant brusquement le contact des mecs fourrageant sa chatte. Il la met à quatre pattes sur la banquette avant de l’utilitaire et bascule la jupe sur ses reins cambrés de désir. Les ombres à l’extérieur bougent et les yeux révulsés, le quadra se lâche :
-Alors p’tite salope, tu veux d’la bite, hein ?

-Oui .... oh oui .... par pitié baisez moi à fond comme une bonne chienne!

-Oui c’est ça, t’es une bonne petite chienne docile et en chaleur !

Il retire d’un coup le gode dans un bruit de succion, pose ses mains sur la croupe offerte de la gamine et en écarte les lobes ouverts. Il présente le gland de sa bite décalotté contre les lèvres gluantes de mouille chaude, et commence à pousser. Il arrache un cri de plaisir à la gamine alors qu’il progresse difficilement entre les lèvres très serrées de l’adolescente :
-Putain, qu’est-ce que t’es serrée ma salope !

-Haaaaan .... Oui putain .... Baisez-moi bien à fond !

Le quadra pousse d’un coup, se plantant en elle jusqu’à la garde. Les hommes à l’extérieur râlent, ce qui donne une idée à Serge. Planté à fond en elle, il tire sur les deux nattes pour la redresser et offre le torse dénudé de la gamine à la horde sauvage. Élodie sent la vitre appuyer sur son ventre, et ses seins pendre sous sa poitrine lorsqu’un inconnu au gros bide et à la bite trapue lui attrape les couettes et s’enfonce sans préavis entre ses lèvres. Serge de son côté s’active dans la chatte tendue de la gamine et les deux hommes la baisent ensemble par les deux trous.

C’est la première fois que la gamine est offerte à deux vicelards qui la besognent sans vergogne. Les autres lascars se branlent dans ses mains et malaxent ses gros seins se balançant sous sa poitrine au rythme des coups de bites. L’inconnu claque son gros bide en sueur contre le petit nez retroussé de l’adolescente, et ses claquement font écho à ceux du quadra qui l’enfile dans l’habitacle de l’utilitaire. Élodie sent alors le gonflement du gland dans sa bouche et s’apprête à recevoir sa dose. Le vieux jouit dans un râle animal, lui emplissant la bouche de sa semence gluante. Il retire sa bite mollissant, mais la pause et de courte durée puisqu’une nouvelle bite longue et dure s’immisce entre ses lèvres. Élodie a tout juste le temps de déglutir la décharge que l’enculé lui pince le nez et s’enfonce loin dans sa gorge.

Luttant contre son envie de vomir, et à bout de souffle, Élodie ouvre sa gorge par reflexe, et l’inconnu en profite pour y enfoncer son gland :
-Ouais c’est ça salope avale moi en entier !

Il s’excite en elle et lui baise la bouche en rythme avec Serge. Élodie sent les deux hommes gonfler en elle, le mec à l’extérieur se retire et lui éjacule sur le visage, suivi de près par deux autres lascars qui se vident à leur tour sur ses joues, ses yeux et ses cheveux en saccades chaudes et gluantes.

Serge, sur le point d’exploser à son tour, l’attire à l’intérieur, la retourne pour lui faire face et se vide à son tour sur le visage poupon couvert de foutre. Élodie ouvre la bouche et récolte la semence en grosse gourmande.

Torse nu sur la banquette, la jupe de travers, la gamine se rassasie des dernières giclées des spectateurs qui n’ont pas encore jouit, tout en se caressant la chatte en douceur. Le sperme qu’elle récupère sur son visage coule entre ses lèvres, elle s’en lubrifie les doigt avant de l’étaler en cercles concentriques sur sa vulve ouverte. Elle est au septième ciel, ces cons l’ont faite jouir deux fois !

Essoufflé le quadra lui tapote la cuisse pour qu’elle reprenne sa place, il remballe sa bite et met le contact sans un mot. La jeune fille est encore dans sa torpeur lorsque le véhicule sort du parking et s’engage sur l’autoroute. Élodie n’a pas encore totalement pris pied lorsqu’ils arrivent au pied de l’immeuble.

-Merci Mr. Serge ! Conclue la gamine avant de sortir du véhicule à moitié débraillée.

Elle ajuste le bandeau sur ses seins, remet sa petite jupe en place et attache vite fait sa chemisette. Elle s’apprête à prendre congé lorsque Serge l’interpelle dans la rue :
-Eh petite, t’oublie ton jouet !

Morte de honte de se faire afficher de la sorte en pleine rue, l’adolescente récupère son gode et le cache tant bien que mal tout en rentrant chez elle. Heureusement elle ne croise personne ce soir et se réfugie enfin à l’abri chez elle. Fermant la porte derrière elle, la jeune fille a la lucidité de se dévêtir intégralement, et c’est à la lumière tamisée de son smartphone qu’elle se rend dans son salon pour s’écrouler, épuisée, et puant le foutre, sur le plaid encore au pied de son canapé. Elle remarque les ombres projetées sur le mur et le plafond et, espiègle, s’amuse à bouger ses gros seins pour voir comment les ombres reflètent son nouveau statut de salope de la résidence ....


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers : Silveradd

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Texte coquin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 5
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