Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 30 (Fin)

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 30 (Fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 30 (Fin)
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Ce chapitre est le plus long mais il fallait bien conclure les aventures de votre chère Elo. Bonne lecture
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Élodie sourit, elle est aux anges, son jeu commence à faire un bel effet sur le jeune homme. La serviette se tend enfin sous la ceinture. La bosse grossit entre les cuisses saillantes, et en bonne allumeuse et salope qu’elle est devenue, son index glisse sur le coton humide et tendu pour titiller le morceau de chair.

Sa main droite remonte derrière la nuque du jeune homme, et d’un souffle chaud dans l’oreille, elle lui mordille le lobe, avant de lui susurrer :
-Ce soir je suis ta salope ! Comme si elle venait de deviner la pensée lubrique de son compagnon.

***
En douceur, elle se love autour de son grand corps musclé, fin et puissant, et dans une fausse timidité, elle plaque ses seins nus et pointant contre le torse dénudé de Raph. Le jeune, un peu déstabilisé par les avances de la belle qui se refuse à lui depuis si longtemps, laisse Élodie prendre les commandes pour voir jusqu’où le petite « allumeuse » est prête à aller.

L’adolescente n’est pas dupe, elle sent le jeune homme se détendre sous ses caresses et d’un air malin prend les choses en main. Elle bloque son regard félin dans celui du grand rouquin et, très câline, elle le griffe sans marque sur la poitrine et, sur la pointe des pieds, embrasse son nouvel amant dans la nuque en l’entraînant vers le bain à remous.

À reculons, l’adolescente atteinte la première marche la conduisant dans l’eau bouillonnante. Après deux marches, son visage est pratiquement au niveau du pubis du livreur.

Elle lui sourit à travers le brouillard humide du hammam, lui caresse les flancs et embrasse tendrement la zone entre le nombril et les poils pubiens dépassant du haut de la serviette.Le grand rouquin est aux anges, la jeune fille sait y faire !

Avec pudeur et douceur, la petite brune s’accroupit ; la main gauche sur le pubis, elle attire à elle le grand mâles sec et étonnamment musclé.Serviette à la taille, il suit le mouvement imprimé par la belle salope au sourire charmeur. Elle s’assoit sur la dernière marche alors que Raphaël se contente de poser son cul englober de coton détrempé, sur la première marche.

Élodie profite de sa position en contrebas de son amant pour se coller à son flanc droit et lui caresse le dos de sa main gauche, alors que la droite glisse sur la cuisse immergée du rouquin.

Les deux jeunes se détendent un peu, Raphaël qui se laisse complètement guider par Élodie, et maintenant qu’il est bien en confiance, il se met à plaisanter avec la jolie nymphe qui lui caresse la cuisse tout en discutant et en plaisantant.

Doucement, avec subtilité, la main gauche passe du dos au torse puissant, lui griffe gentiment les pectoraux tout en les embrassant entre deux rigolades et autres plaisanteries, tout en continuant de lui caresser la cuisse, s’approchant toujours plus près de la grosse bosse qui lui fait tellement envie.

***
Du bout des ongles, la jeune fille griffe le coton trempé sous l’eau et remonte irrémédiablement le long des cuisses pour titiller du bout des doigts la grosse bite formant une belle boule de chair sous la serviette blanche.

Après une dernière blague, la gamine prend soudain un air sérieux lorsqu’elle pose sa main droite sur le nœud bloquant la serviette de bain sur la hanches du livreur. L’instant est quasi solennelle, de tout son sérieux, elle se fige, le regard vissé dans les yeux émeraudes du rouquin :
-Et si on passait aux choses sérieuses ?

Langoureusement, elle embrasse le ventre de son amant, puis remonte en baisers successifs le long de ses abdos parfaitement dessinés, pour continuer sur les pectoraux. Les lèvres charnues aspirant les tétons en gros baisers gourmands, elle continue sa progression buccale, détendant le nœud de serviette, elle libère enfin le monstre de chair.

FLOSH
La surface de l’eau forme un sillon sous les seins libres de la belles. Elle sourit et continue ses baisers gourmands, les épaules, la nuque, les oreilles, les joues. Et au moment où elle s’apprête à lui claquer une galoche gourmande. C’est à ce moment que des voix éructent dans la pièce carrelée de rose et de blanc toute embrumée :
-Bon alors les gars ? Des meufs aujourd’hui ?

-HAHAHA Déconne pas, ce s’rait cool mais j’y crois pas !

-Toujours aussi défaitiste le Nico ?

Alors que Raphaël se crispe et s’apprête à remballer la marchandise, la jeune fille plaque ses lèvres pulpeuses sur la bouche du rouquin et lui roule une galoche, sa langue se mélangeant à celle du rouquin.

Dans le même mouvement, elle s’empare de la grosse queue encore toute gonflée mais pas encore dure. La sensation est grisante, Élodie n’en revient pas de la taille du monstre de chair. Malgré les calibres impressionnants auxquels elle s’est frottée, la gamine est impatiente de s’empaler sur la belle queue qu’elle devine sous l’eau.

Le stress apparent du jeune homme peu ou pas habitué à s’exhiber, et la présence des nouveaux arrivés la grisent et l’excitent comme jamais. Elle est toujours aux commandes, et les caresses combinés à son baiser gourmand parviennent tout de même à détendre le rouquin.

Elle abandonne son baiser langoureux et glisse doucement à l’oreille du livreur :
-T’inquiète belle queue ! Laisse toi faire, tout va bien se passer !

Elle continue de branler le jeune homme en douceur en lui susurrant des ordres salaces ; « Tu aimes ça hein ? Que j’te branle devant les autres ! », « Tu veux me baiser là maintenant ? », « Tu le veux mon beau cul de salope ? ».

Le jeune homme se contente de gémir en douceur, par de simple murmures : « Oui putain, vas-y p’tite pute ! », « Branle moi en douceur espèce de salope ! » Ils se bat pour ne pas se faire repérer par les inconnus.

La belle se retourne, nue, adossée contre la poitrine musclée et puissante. Elle sent les muscles se contracter et se détendre contre sa peau douce d’albâtre. En silence pour ne pas déclencher une petite émeute, mais grisée par la proximité du trio, elle twerk en douceur la grosse tige gonflée calée entre ses lobes fessiers.

Elle se réjouit de le sentir grossir et durcir entre ses fesses, et attrape les mains puissantes du livreur pour le guider à lui caresser le ventre et les cuisses. Elle le guide, l’incite à s’aventurer dans les zones intimes qu’il convoite depuis si longtemps.

***
Le trio très bruyant déconne derrière les jeunes amants qui s’adonnent à leurs ébats sous les quolibets des trois amis qui se taquinent et déconnent de manière graveleuse sur les filles et les femmes qu’ils ont l’habitude de serrer dans le sauna.

Les propos salaces des trois amis excitent terriblement la jeune brunette qui commence à onduler d’un plaisir silencieux contre le corps noueux de son amant. Elle se mord la lèvre inférieure pour ne pas gémir, ni se faire repérer, elle soupire avec douceur et volupté lorsque enfin, Raphaël se décide à prendre la direction des caresses de la jeune fille.

Elle continue à accompagner le mouvement des mains puissantes sur sa peau, elle le guide, le mène à lui malaxer le ventre qui convulse de plaisir sous les caresses. La main gauche descend sur son pubis imberbe, alors que la droite remonte en direction de la poitrine libre ondulant à fleur d’eau.

Les tétons d’Élodie durcissent instantanément, et le jeune livreur ne se fait pas prier, il pince les mamelons entre index et pouce les faisant rouler entre ses doigts en y appliquant une pression aléatoire oscillant entre pincement sévère et douce pression.

Malgré la chaleur ambiante, Élodie frisonne de plaisir lorsque les doigts longs et puissants du livreur commence à lui masser la chatte. Le sexe béant de la jeune fille en chaleur s’écarte au passages des deux doigts qui passent rapidement d’un massage rotatif du clitoris à une pénétration douce et en profondeur d’un puis deux doigts.

Toujours bien à l’abri du rideau de vapeur, les deux jeunes amants s’ébattent à quelques pas des inconnus, lorsque dans une demi conscience empreinte d’un plaisir inouï, Élodie ne peut réprimer un frisson d’excitation en écoutant bien malgré elle un des trois amis :
-Putain les mecs, vous me croirai jamais, mais l’autre jour je me suis enfiler une espèce de petite chienne en chaleur sous la douche.

-HAHAHA espèce de mytho va !

-Ouais genre …
Mais le jeune homme n’en démord pas !

-Si j’vous jure, Justine était en train de se faire baiser par trois mecs dans la salle verte, et j’en ai eu marre, leur meuf passait son temps à galocher Juju au lieu de s’occuper de moi.

-Sérieux ? Lui retournent se potes de concert.

-Ouais parole ! J’me pointe dans le couloir et j’vois ce p’ti lot à poil entrer dans les douches. Et bim, j’la suis et comme une petite pute, elle se colle à moi lorsque je me plaque contre elle, et là …. WOW Putain, une saloooope ! Je l’ai baisée sous la douche ….

Élodie n’en revient pas ! Son baiseur de douche est dans le hammam pile poil au moment où elle chauffe Raphaël comme jamais. Le souvenir trop récent de cette superbe baise sous les douches l’excite encore plus et, la chatte aux abois par cette révélation, elle se retourne pour faire face à son amant.

Elle lui claque une grosse galoche baveuse, sans même se soucier des bruits du mouvement de l’eau lorsqu’elle se retourne. Elle enjambe les cuisses velues de Raph et se met à branler son monstrueux pénis alors qu’il attrape et malaxe les grosses mamelles de sa salope, avec une ardeur réciproque.

Il n’a aucune idée de ce qui a pu déclencher cette soudaine explosion de plaisir qui a poussé la jeune brunette à lui prendre la queue pour la branler, mais il est persuadé que c’est lié à ce que vient de dire le mec à ses potes.

« Et si …. ? » Le jeune homme commence à fantasmer sur la belle brune en train de se faire baiser par un inconnu sous les douches publiques. Son sang ne fait qu’un tour et sa bite durcit instantanément entre les doigts habiles de la gamine.

***
La jeune fille ne pouvait pas rêver meilleure situation, elle chevauche un mec qui fantasme sur elle depuis des années, à quelques mètres à peine d’un des meilleurs coups qu’elle ait eu de toute sa vie.

La grosse queue dans sa main, un peu mollassonne il y a encore quelques instants vient tout juste de durcir entre ses doigts. Dans la torpeur de la vapeur d’eau, Élodie aperçoit la tête du gros sexe dur comme le bois, elle sort tout juste de l’eau tel un énorme bourgeon de nénuphar émergeant d’un étang dans la brume matinale.

Excitée, aux abois, elle enjambe son amant et l’embrasse dans le cou, sur le torse, pour descendre progressivement le long de ses abdos tendus comme une tablette de chocolat gourmand. Le grand rouquin est aux anges, il a bien du mal à contenir les soupirs de plaisir provoqués par la dextérité buccale de la belle.

Au fur et à mesure de sa progression, Élodie s’immerge lentement dans l’eau bouillante, la chaleur et les bulles couvrant sensiblement les clapotis de ses mains travaillant le gourdin de chair. La gauche malaxant les grosses couilles ultra pleines, et la droite coulissant en douceur le long de la masse tendue et dure comme une barre de fer.

La croupe émergeant de la surface bouillonnante tel un magnifique cœur couleur chair, les seins ballottés par les remous de surface, et caresser par les flux de bulles, elle approche enfin sa bouche pulpeuse du gland prêt à exploser tellement le jeune est excité par la situation.

La petite chienne qui est en train de lui prodiguer une parade sexuelle et sensuelle en présence d’un trio d’inconnu qui pourrait les découvrir à tout instant, n’a plus rien à voir avec la fille de ses patrons. Elle n’est plus la petite conne pourri-gâtée qui le fait chier dans l’arrière boutique de ses parents, ni la petite allumeuse qui le chauffe dans ses tenues sexy pour lui refuser l’accès à ses atours l’instant d’après.

Non, cette fois, cette petite chienne va vraiment s’occuper de lui, il peut sentir le souffle de la bouche qui approche son sexe bandé. Cette salope semble être encore plus chaude que le bain dans lequel elle s’occupe de lui et de sa queue.

Luttant de toute ses forces pour ne pas exploser prématurément, il sert le cul et les poings lorsqu’enfin il sent les grosses lèvres charnues lui aspirer le gland. La gourmande sait y faire, elle aspire par petits à-coups la pointe de son gland, juste assez pour titiller le frein du bout de sa langue frétillante, mais jamais pour l’avaler entièrement.

« Putain d’allumeuse ! Salope ! » Élodie peut pratiquement entendre son amant l’insulter dans sa tête. Intentionnellement, elle se concentre à lui avaler juste une portion du gland. Elle veut l’exciter comme jamais, qu’il ait juste envie de la prendre sauvagement, qu’à la première occasion qui s’offre à lui il l’attrape et se plante en elle, tel une bête en rut.

La gamine pompe le bout du gland et continue de lui lécher le frein tout en lui caressant la tige et en lui massant avec volupté les grosses couilles immergées. Taquine, elle interrompt de temps en temps la tétée gourmande et ancre son regard de biche dans celui de son mâle pour lui mordiller le gland, un sourire taquin sur les lèvres.

Puis elle referme les yeux et reprend ses douces caresses buccales. Après quelques minutes de ce traitement, et sous les rires et les vannes transperçant le voiles de vapeur, l’énorme sexe gonflé se met à convulser entre ses doigts.

-HUM….

La gamine ne peut réprimer un léger gémissement de plaisir lorsque le goût salé du liquide pré-séminal titille ses papilles. Le gland entre ses lèvres et le sexe entre ses doigts gonflent pour son plus grand plaisir lorsque Raphaël sert les fesses pour contenir une nouvelle vague de jouissance.

***
-Oh putain oui ! Vas y suce moi petite salope ! Lui soupire le grand rouquin, faisant bien attention de ne pas se faire repérer.

Il enserre la tête de la brunette entre ses mains puissantes. Il n’y tient plus, il veut sentir les lèvres épaisses se serrer contre sa virilité tendue et gonflée.

Les bulles flirtant dangereusement avec le bout de son nez retroussé, la belle salope prend à nouveau la direction des opérations, mais subtilement, laissant au livreur l’impression de reprendre le contrôle.

Elle inspire une grande bouffée d’air et plonge son doux visage poupon dans les remous aqueux, empalant sa bouche gourmande sur le vît de chair tendu et gonflé de larges veines saillantes.

La tête sous l’eau, le cul saillant hors du bain en un magnifique cœur gourmand, Élodie aspire le sexe de son amant entre ses joues creusées par l’aspiration. Le gland tuméfié écrase sa langue gourmande, se plaque contre son palais mais bloque contre la luette serrée, bien trop large pour qu’elle l’engouffre dans sa gorge.

Raphaël maintient la tête de la gamine en place et commence à onduler du bassin. Sa grosse queue se met à coulisser entre les lèvres de la belle brune en immersion. Confiante dans ses capacités d’apnéiste, Élodie caresse les cuisses de son amant en encaissant les vas et vient du monstre de chair glissant sur sa langue experte.

Dans le silence relatif de l’eau bouillonnante, l’adolescente encaisse la baise de sa bouche par ce monstre long et épais. Elle s’attelle à lui aspirer la queue en prenant gare de ne pas aspirer l’eau qui presse contre ses narines.

La tête prise dans l’étau des mains puissantes du livreur. Le gland percutant le fond de sa bouche ne l’aide pas à rester confortable, mais elle met tout son cœur à pomper la grosse queue avec tout son talent de suceuse.

Sa langue frétille le long de la tige de chair, elle plaque la bite sur le haut de son palais et l’aspire avec gourmandise entre ses lèvres, rentrant les joues pour lui donner un maximum de plaisir. Elle ne s’y trompe pas, à plusieurs reprise, le jeune homme est à deux doigts de gicler.

Presque à court d’oxygène, la jeune fille commence à se débattre, il faut qu’elle reprenne le contrôle et qu’elle le force à lui libérer la bouche. En magicienne de la pipe gourmande, elle ouvre la bouche pour sortir sa langue experte et lui lèche les couilles au goût bizarre. Elle prend un léger risque mais il est payant.

Le gland gonfle à nouveau sous la pression d’une éjaculation imminente, et Raphaël retire sa queue pour éviter la catastrophe. Élodie en profite pour sortir la tête de l’eau afin de reprendre ses esprits et sa respiration.

***
Le visage poupon et illuminé d’Élodie apparaît, ruisselant, entre les cuisses écartées de son mâle. Elle se redresse, les coudes en appui sur les jambes puissantes, et en un mouvement sensuel la jeune fille se cambre en quête d’un baiser. Son joli cul, à nouveau immergé, lorsqu’elle s’agenouille devant Raphaël, ses lèvres gourmandes plaquées contre celle du livreur.

Les deux ados se mettent à pouffer de rire afin de ne pas attirer l’attention sur eux, mais il se crispent l’un sur l’autre lorsqu’ils perçoivent un mouvement soudain des rires.

-Bon les gars, on s’fait chier là !

-Ouais, y a pas une meuf ici ou quoi ?

-C’est clair mec, elle est où ta salope ? Tu crois qu’elle s’occuperait de nous quatre en même temps ?

Il éclatent tous de rire en même temps : « Quatre ? Putain, heureusement qu’on s’est pas ait repérer ! » L’inquiétude gagne la jeune fille qui ne peut s’empêcher de s’imaginer nue dans les mains d’un quatuor de pervers s’occuper de son cul après une dure journée de travail.

Mais un des mecs la rassure soudain :
-Bon allez on bouge ! Y aura ptêt des salopes dans un des sauna !

-Ouais en plus on voit rien ici !

-HAHA T’imagines, si ça se trouve ta pute est dans le jacuzzi et elle se branle sans qu’on le sache !

Le cœur dans la poitrine de l’adolescente déraille, le stress et l’excitation la gagnent. Dans son délire de salope exhibitionniste, elle sent sa chatte fondre, et son cul pétillé de fourmis à la simple idée qu’ils la découvrent nue contre son grand rouquin.

Elle profite que les remous du bain reprennent leur bubbling pour se redresser, et, écrasant ses grosses mamelles contre le torse musclé du livreur, elle glisse son pubis humide le long de la grosse bite de Raphaël et plante son gros gland entre ses lèvres vaginales.

-Mais t’es folle putain ! Lui souffle son amant à l’oreille, tétanisé par la proximité des quatre potes.

-SHHTTT …. Elle l’embrasse, puis lui susurre ; Baise moi !

Et sans attendre la réponse elle engouffre sa langue dans la bouche du jeune homme et se plante en douceur sur son énorme queue complètement excitée par les bruits de pas nus s’approchant d’eux sur le carrelage.

-Eh et si on vérifiait qu’il y a personne dans le jacuzzi ?

Élodie n’en peut plus, ils s’approchent, elle entend leur voix si proche, leur pas si présents, une vague d’hormones explose dans son cerveau aux abois, elle se plante d’un trait jusqu’à la garde, écrasant le gros gland au plus profond de son ventre en manque de bite.

-HUMPH ! Elle gémit et soupire de plaisir, sa langue humide fouillant avec avidité et passion la bouche de son amant.

Plus le quatuor approche, plus elle est excitée. L’idée de se faire baiser par quatre inconnus ? De se faire surprendre alors qu’elle s’empale sur cette bite incroyable ? Quelqu’en soit la raison, Élodie en est elle démunie et s’agite de haut en bas, dans le clapotis des bulles du jacuzzi.

***
Le CLAP CLAP des pieds nus résonnant sur le carrelage humide s’approche et s’intensifie avec les secondes. Élodie n’en peut plus, dans son extase, elle s’emmanche sur l’énorme bite, étouffant son plaisir en mordant violemment l’épaule dénudée de Raphaël.

Les doigts plantés dans le dos de son amant, au bord de l’explosion de jouissance, elle plante ses ongles dans la chair tendre de son dos et le griffe, prête à hurler sa jouissance. Elle accélère ses mouvements, amplifie les pénétrations s’extrayant presque intégralement de la longue bite avant de s’y empaler à nouveau d’un long et puissant mouvement de bassin.

Le mouvement de l’eau en surface s’intensifie et malgré les remouds provoqués par les innombrables bulles éclaboussant la peau excitée de la gamine, il ne faudra pas longtemps aux quatre amis pour découvrir le pot aux roses.

-T’imagine mec ! Une ou deux poulettes qui se galochent dans le jacuzzi tout le temps qu’on a passé à discuter !

-Nan faut pas abuser non plus mec on s’en serait rendu compte quand même ?

Les voix ont toutes proches maintenant, dans une semi conscience, Élodie peut pratiquement distinguer les quatre formes approchant du bain à bulles.

-Mais qu’est ce …. ? Le baiseur des douches semble interloquer par quelque chose.

Le cœur d’Élodie est sur le point d’exploser, elle sur le point de se faire baiser comme une traînée par un groupe d’inconnus, et pourtant elle ne peut s’empêcher de coulisser de plus en plus fort et de plus en plus vite sur cette bite magnifique.

Raphaël semble être dans le même état d’esprit, la simple idée que cette petite salope puisse devenir le vide couille de ce groupe l’excite au plus haut point. Il ancre ses doigts dans les fesses rebondies de sa petite chienne en chaleur et se plante en elle avec force et vigueur, maintenant synchronisé avec sa salope.

***
THUD
Le bruit d’une porte qui s’ouvre et l’éclat de voix de son portugais préféré transperce le voile de brume dense de la vapeur du hammam. Élodie se plante à fond sur la bite tendue en elle et exulte d’un râle étouffé les dents plantées dans les chair de Raphaël.

Essoufflée, elle se redresse et se retire de moitié avant de pivoter sur l’axe de la queue plantée en elle. Sensuellement et en douceur, elle se plante à nouveau sur la belle bite et tire la grande serviette blanche trempée sur sa peau.

Satisfaite de ce premier round de plaisir intense, elle s’adosse au grand rouquin avant de lui souffler à l’oreille :
-Ce sont mes potes ! On va s’amuser un peu mon étalon !

-T’inquiète salope ! J’en ai pas fini avec ton cul !

Et Raph conclue en lui agrippant les seins sous le coton mouillé plaqué sur ses seins pointant nonchalamment. Il lui pince les tétons bandés, lui arrachant un doux râle de plaisir.

-Elo ? T’es dans le coin ?

L’arrivée des trois potes de la jeune brunette met fin à l’aventure du quatuor qui est sorti de la salle rose sans même demandé son reste, mais concluant ainsi :
-Bon ben je crois qu’on ne saura jamais si ta pute était bien ici !

« Apparemment ils n’ont pas entendu Enzo ! » se dit Élodie qui se relâche en entendant la porte se refermer. « Trois ou quatre pourquoi pas, mais je pense pas pouvoir encaisser 8 queues d’un seul coup ! »
-Venez ici mes amours ! On est dans le jacuzzi ! Leur répond la jeune salope allumeuse lorsque la porte se referme derrière les inconnus.

***
Élodie a tout juste le temps de s’emmailloter dans la longue serviette de bain qui les entoure elle et Raphaël qu’elle distingue déjà les silhouettes de Enzo, Quentin et Matthieu. Le coton blanc détrempé enlace les jeunes amants comme « un seul homme », les nibards de la gamine pointant nonchalamment à travers le coton blanc tendu.

Les trois garçons ne se sont pas fait prier longtemps, ils sautent littéralement dans l’eau, les remouds repartant de plus belle à leur arrivée. La jeune allumeuse n’a même pas besoin de se cacher de leur regard et en joue intentionnellement pour le plus grand bonheur de Raphaël.

Alors que les garçons commencent à s’éclabousser sous les yeux de la jeune fille, à peine visible derrière le voile dense de vapeur d’eau qui les sépare, ils n’ont toujours pas repéré le livreur toujours planter dans la grotte à plaisir de leur copine.

Élodie ondule sensuellement du bassin, se délectant des vas et vient de la grosse queue bandée tendue en elle. Raph gémit doucement derrière elle, et balade ses mains puissantes sur le ventre tendu et convulsant de plaisir sous ses doigts.

-Bon alors ma vieille tu viens pas nous rejoindre ? L’invite ouvertement le Tos.

-HUN …. Elle doit ravaler un râle de plaisir pour lui répondre ; Non y a Raph qui me fait un petit massage, et c’est trop boooon !

Elle guide doucement les mains du jeune homme sur ses épaules, et Raphaël ne se fait pas prier pour masser les fines épaules de la salope qui coulisse si langoureusement sur sa queue pour lui procurer un doux et long plaisir sensuel. Grâce à cet intermède, il peut relâcher la tension et ses envies de gicler dans la belle.

La jeune allumeuse tourne sa tête de trois quart, et du coin de son œil taquin, challenge son amant du moment, avant d’inviter ses potes :
-Mais vous ! Venez nous rejoindre plutôt ! HUN …. Elle tourne sa tête en cercles concentriques pour détendre ses cervicales.

-Raph ? C’est qui ça ? S’enquiert Quentin.

SPLOSH Enzo fait une brasse pour s’approcher de la brunette :
-Ouais, c’est qui ? Et il s’assoit juste à côté des amants : Eh mais t’es pas le livreur de ses vieux toi ?

Élodie cale sa tête dans le creux de l’épaule gauche du rouquin, passant sa main droite voluptueusement sur la joue hirsute de son baiseur.

PSSH
Une nouvelle vague de vapeur envahit soudainement la pièce et cache le jeune couple du trio. Même Enzo qui est pourtant proche de la belle, disparaît vaguement dans le nuage opaque. Élodie profite de sa « disparition » pour passer sa main derrière la nuque de Raphaël, lui agrippe les cheveux et reprend son déhanchement pour s’empaler à nouveau sur la douce et longue bite.

-HUN … Vas y baise moi putain ! Lui soupire t’elle à l’oreille, l’incitant à la baiser si près de son pote.

Raphaël glisse sa main gauche sur le ventre ondulant sous ses caresses et atteint rapidement le bouton gonflé de son clitoris hyper sensible. Il accompagne l’ondulation du bassin de sa salope et s’active à son tour entre les lèvres vaginales gonflées de plaisir qui coulissent sur sa queue.

Les clapotis de l’eau perturbée par leurs ébats sont étouffés par les remouds du bain à bulles. Élodie se mord la lèvre inférieure et se cramponne à la chevelure flamboyante de son amant pour ne pas crier de plaisir, le plaisir interdit de se faire baiser sous le nez de ses potes.

Mais la vapeur retombe rapidement et l’adolescente, les yeux mi-clos sous la jouissance naissante, doit ralentir son plaisir si elle ne veut pas se faire griller. Elle a promis cette soirée pour le seul plaisir de Raphaël et ne se fourvoiera pas, du moins jusqu’à ce qu’il se vide en elle ou sur elle.

Malheureusement, Raphaël, peut habituer à des ébats publics, n’a pas encore les réflexes aussi affûtés que la jeune allumeuse. Alors qu’il doit encore se battre contre la tension d’une éjaculation imminente, il empoigne fermement le sein droit de la gamine sous la serviette et plante son majeur dans la chatte huileuse de sa salope.

Élodie sursaute et se cambre de plaisir sous le soudain double assaut de son amant. Lorsqu’elle reprend ses esprits, son regard croise celui de Enzo, interrogateur ; « Merde ! Est-ce qu’il se doute de quelque chose ? »
Surprise par la possible découverte de la situation par son pote, elle profite de la vapeur stagnant encore à la surface perturbée du bain pour se « débrancher » de son mâle en douceur et pour le plus grand soulagement du livreur. Elle tire sur la serviette et s’y emmaillote seule cette fois.

Une étincelle de panique irradie soudain dans le regard émeraude du jeune homme. Mais, alors qu’elle vient juste de nouer la serviette sur le haut de sa poitrine, Élodie s’intercale entre lui et Enzo, et plonge son regard gourmand dans le sien en lui caressant la joue pour le rassurer. Détendu, il accueille maintenant un doux baiser sur les lèvres de la part de sa belle.

Le regard profond de l’adolescente lui dit tout simplement : »Ne t’inquiète pas ! Je suis à toi ce soir et ce n’est pas eux qui vont m’empêcher de me faire baiser par cette belle et énorme queue ! »
En appui, la main gauche sur l’épaule musclée de son homme, Élodie libère les lèvres de Raphaël et lui embrasse doucement et subtilement la joue. Toujours sous couvert de la vapeur se diluant, l’adolescente branle le gros gourdin de chair en cachette et en douceur.

Raph est tout de même contraint de se glisser un peu plus profond dans le bain lorsque les bulles s’arrêtent d’obscurcir la surface de l’eau. Lorsque le gland tuméfié disparaît dans des ronds d’eau à la surface, elle sourit à l’oreille du jeune homme avant de lui soupirer :
-Ben où est ma grosse fraise ?

-T’inquiète ma belle, elle est toujours là !

La gourmande ne peut réprimer le besoin irrépressible de jeter un coup d’œil aux cercles disparaissant de la surface de l’eau pile à l’endroit où s’est engouffré la belle queue sur laquelle elle était assise il y a tout juste quelques minutes.

Si le trio n’était pas là, juste à quelques centimètres du couple, elle plongerait immédiatement sous l’eau pour lui pomper la bite jusqu’à le faire exploser sa semence gluante tout au fond de sa gorge aux abois.

Rien qu’à l’idée de sentir cette giclée aux doux goût suave et légèrement salé exploser entre ses joues, inonder la surface sensible de sa langue, emplir sa bouche avide de foutre, Élodie sent sa vulve picoter de fourmis et son ventre se tordre du manque flagrant de sexe. Mais l’éruption soudaine du très, trop, sensible de Enzo l’extirpe de ses pensées lubriques.

-Bon alors Elo ? Qu’est ce que tu branles ici ?

« Putain Enzo, est-ce qu’au moins tu sais à quel point tu as tapé dans le mile? » Se dit la jeune fille, sa main droite toujours immergée sous la surface de l’eau à nouveau bouillonnante de bulles. Mais sous la pression du portugais juste derrière elle à regarder au-dessus de son épaule, Élodie change de main et entreprend de branler le rouquin de la gauche pendant qu’elle repousse le jeune Tos d’un mouvement de l’épaule droite :
-Putain Enzooo, vas y lâche moi, merde !

-Rooo fait pas chier ! Tu veux pas nous sucer vite fait pour montrer à poil de carotte quelle belle salope tu es ?

Prenant les choses en main, Raphaël repousse le gros brun du plat de la main :
-T’as pas entendu mec ? Elle t’as demandé de la lâcher ! Et t’inquiètes, je sais déjà quel genre de salope elle est !

Peu habitué à ce qu’on lui tienne tête, Enzo se retire avec une plaisanterie graveleuse et dresse son majeur au jeune couple. En rejoignant Quentin et Matthieu, il disparaît à nouveau dans le brouillard épais de la vapeur revigorée.

Sans pouvoir se retenir plus longtemps, elle profite de cette intimité éphémère tout juste retrouvée pour branler vigoureusement la belle queue qu’elle tient toujours entre les doigts de sa main gauche tout en massant les bourses emplies de sperme de sa main libre.

Elle prend une grande inspiration cette fois et replonge la tête sous l’eau pour aspirer le gland tuméfié et prêt à exploser entre ses lèvres épaisses et gourmandes. Les mouvements de l’eau autour d’elle l’alertent pourtant qu’elle ne doit pas trop s’attarder.

Elle ressort le visage de l’eau et prend sa respiration pile poil au moment où le trio se rapproche d’eux. Au poil de cul prêt, elle s’assoit sur les genoux immergés de Raphaël autant pour cacher sa virilité longue et dure comme l’acier que pour faire face à ses potes.

La vapeur autour d’eux la protège toujours des regards indiscrets, elle en profite pour masser la verge de sa main gauche, le bras droit enroulé autour de la nuque de son amant. Le regard pétillant de malice, elle soutien celui de Enzo qui cherche définitivement à comprendre ce qu’elle lui cache. Mais le jeune portugais et loin de se douter que Raphaël a lui aussi décider de profiter de la situation.

Élodie joue du lobe du jeune livreur entre son pouce et son index gauches lorsqu’elle sent la main droite de Raphaël lui caresser la cuisse droite pour remonter lentement mais sûrement jusqu’à son abricot éclos et en chaleur.

Elle frémit malgré la chaleur lorsque le rouquin lui écarte les lèvres vaginales entre l’index et l’annulaire pour lui masser le clitoris engouffrant son majeur entre les muqueuses douces et gonflées de désir. Il l’embrasse dans le cou et lui souffle à l’oreille :
-Dit donc espèce de petite chienne, on dirait que tu veux ma grosse queue malgré leur présence.

-HUM …. Elle se contracte, feignant une innocente gêne autant pour son baiseur que pour ses potes, avant d’ajouter : Ouiiii ! Avant de serrer sa mimine derrière la nuque tendue du chauffeur et plaquer ses lèvres pulpeuses sur la bouche de son amant pour y engouffrer sa langue.

-Wow y a des hôtels pour ça putain ! S’exclament Enzo et Quentin de concert.

Les trois amis se retirent à nouveau dans l’anonymat de la vapeur renouvelée en rigolant comme des nigauds. Les remarques sur les ébats apparents de leur copine n’échappent pas à l’adolescente qui se régale à l’idée qu’ils soient jaloux de son jeu de séduction envers Raph.

Elle sourit intérieurement tout en continuant de rouler une pelle torride à son étalon dont elle sent la virilité reprendre de la vigueur. La chatte en feu de désire pour cette belle queue, elle guide son mâle à lui peloter les seins et les tétons bandés sous la serviette alors qu’elle aligne sa chatte béante avec le gland tendu qui frémit au contact de ses lèvres huileuses de plaisir.

-HUMPH ….

Elle soupire de plaisir en s’empalant sur la grosse bite, mais elle ne peut s’y enfoncer jusqu’à la garde d’un trait. Elle ondule du bassin, pivote légèrement, se retire, repart à l’assaut de la tige de chair, et après plusieurs de secondes à lubrifier la virilité puissante, elle se plante d’un trait sur toute la longueur de cette belle queue.

Lorsque la tête du sexe tendu tape le fond de son ventre en chaleur, elle ne peut réprimer un râle semi étouffé de plaisir.

-Eh ben eh ben ?

L’interruption de Enzo était inattendue. Surprise, Élodie sursaute, s’empalant à nouveau sur le sexe planté en elle. Cette fois, elle ne peut cacher l’étincelle de plaisir qu’elle ressent à gémir presque ouvertement devant ses potes.

FLOP WOOSH
Enzo, sans gêne, tire brutalement sur le nœud de la serviette et lui arrache toute protection de son intimité, dévoilant ses seins pointant vulgairement, écrasés dans la poigne virile du livreur.

-Alors alors ? C’est ici que tu te fais sauter maintenant ?

-Putaiiiin Enzooo !!!!!! Tu fais vraiment chier ! Crie t’elle, sa main gauche plaquée sur la poitrine dans une fausse pudeur plutôt bien simulée.

Faussement blesse dans son intimité, Élodie se « débranche » du sexe encore bandé de Raphaël et se recroqueville contre lui, le bras gauche couvrant ses seins et la main droite protégeant son pubis du regard brillant de ses potes.

-On dirait que tu t’es trouvé un nouveau terrain de chasse dit moi ! La taquine Enzo dans un sourire prédateur.

Quentin et Matthieu ne sont pas en reste et se rallient derrière leur pote pour lorgner les formes de la petite brune. C’est à ce moment que Raphaël se dresse de son mètre quatre vingt cinq, et impressionne l’adolescente dans sa nudité luisante de spartiate.

Il fait sa petite impression lorsque dans sa nudité, il parvient même à faire reculé le trio :
-Bon les gars, j’ai pas de problèmes avec vous ni avec le fait que vous lui reluquiez le cul. Mais ce soir, cette petite salope est à moi, et je compte bien la baiser comme la petite allumeuse qu’elle est.

-Ouais t’inquiètes mec ! Répond Enzo sur la défensive. On se l’est déjà farcie les trois, et à trois ! Éructe t’il, soulignant son propos d’un clin d’œil envers la brunette.

« Merci Enzo ! » Élodie ne manque pas le regard que lui jette le livreur de toute sa hauteur. Elle hausse les épaules dans un sourire résigné : « Eh tu l’as dit toi-même, je suis une petite salope ! » Le regard perdu dans celui de Raph, elle se rend alors compte que c’est la première fois qu’elle se qualifie elle-même de salope.

Une étincelle éblouit alors le regard émeraude du grand rouquin, réalise t’il à son tour qu’il va se farcir une petite traînée, la fille de ses propres patron ? Il se tourne alors vers elle, sa virilité tendue et oscillante entre ses cuisses. Il attrape la belle brune par la tignasse et la tire en arrière, lui arrachant un petit cri étouffé.

Il plaque sa bouche sur les lèvres pulpeuses entrouvertes et y plonge sa langue tout en se branlant de sa main libre. Il lui libère ensuite la bouche et enserre la base de sa queue avant de la présenter à l’adolescente au regard brillant :
-Bon allez, maintenant j’en ai marre ! Suce moi bien qu’on passe aux choses sérieuses.

Elle retrouve bien là le connard fougueux qui cherche à la sauter depuis si longtemps. Cette autorité soudaine excite Élodie encore plus. Son ventre convulse de désir pour ce mâle dominant qui vient de repousser les trois prétendants en s’imposant comme celui qui va la saillir devant sa meute.

Le regard pétillant, la chatte en feu et le cul couvert de fourmis à l’idée de se faire prendre comme une chienne devant ses potes, Élodie ouvre la bouche et découvre sa nudité en posant sa main gauche sur la cuisse de Raphaël tout en le branlant doucement de l’autre.

Dans un bruit de succion elle aspire le gland présenté devant ses lèvres gourmandes et se met à lui pomper la queue avec passion et dextérité. Raphaël grogne de plaisir :
-Oh putain, oui vas y suce moi bien ! Pompe moi la queue salope !

La poigne fermée sur la tignasse brune, il accompagne les mouvements de tête de la suceuse d’un déhanchement synchronisé, s’enfonçant de plus en plus loin dans la bouche chaude et serrée qui lui aspire le sexe.

En dominateur de sa femelle, il ancre son appui sur sa jambe gauche et passe sa jambe droite derrière l’épaule de sa petite chienne. Il ouvre ainsi son bassin pour que le trio se rince l’œil devant le spectacle de cette fellation bruyante et humide.

GUAH GUAH GUAH GUAH
Il a tôt fait de buriner le fond de la gorge de la gamine qui a bien du mal à encaisser les assauts du gros gland tuméfié contre sa glotte. Régulièrement, il plante son dard au plus profond de la bouche affamée de la gamine, mais ne parvient pas à pénétrer la luette serrée qui lui bloque l’accès à la gorge pourtant familière de l’exercice.

HUMPH
Élodie suffoque à moitié lorsqu’il lui libère enfin la bouche. Le lourd sexe tendu et couvert de bave oscille devant sa bouche ouverte, l’adolescente tente de reprendre de l’air mais le grand rouquin est lancé, il veut profiter au maximum de la belle. Il plante alors à nouveau son pieu entre les douces lèvres de la suceuse et se remet à lui baiser la bouche en profondeur.

Après de longues minutes de tentative infructueuses à une gorge profonde, Raphaël se retire de la bouche qu’il pilonne sans vergogne. Sa queue couverte de glaires chaudes et gluantes est encore liée aux douces lèvres de la belle par un filet de bave lorsqu’il se penche en avant pour lui rouler une galoche baveuse.

Il la libère et se redresse avant de lui ordonner :
-Bon allez, tourne toi et tend ton cul en arrière !

Complètement excitée par l’autorité de son amant, et le plaisir décuplé de se faire dominer devant ses meilleurs potes, Élodie ne bronche pas et se tourne pour lui exposer sa croupe. Sensuelle, la jeune fille prend appui sur ses coudes, et cambre son cul pour l’offrir à son amant, ses grosses mamelles s’écrasant contre la faïence froide.

Un frisson lui parcours le corps, tant par l’excitation de se montrer en spectacle devant le trio qui se branle maintenant autour d’elle, que par le contact étonnamment frais du sol autour du bassin bouillonnant.

Le visage poupon, elle lance un regard tentateur et soumis à son mâle par dessus son épaule gauche. Raphaël ne se laisse pas attendrir, il claque le cul apparent et ouvert en cœur, proéminent à la surface de l’eau.

Il lui malaxe la fesse rougie et lui écarte le cul pour faire apparaître sa fente imberbe et sa pastille frétillante de désir. Il se penche au-dessus de sa belle, et lui susurre à l’oreille :
-Putain quel cul ma salope ! Tu la veux ma grosse queue ?

La jeune fille gémit de plaisir sous la douce caresse virile de cet amant qui ronge son frein depuis si longtemps. Elle sait qu’il va lui faire honneur et la saillir avec passion. Elle se cambre de plaisir et dans un soupir lui répond :
-Oui vas y mon étalon ! Baise moi comme une salope !

Il plaque sa grosse queue entre le fesses offertes, Élodie frissonne légèrement sous le poids de la masse de chair qui titille sa corolle toute frétillante. Penché au-dessus de la belle, il lui embrasse la joue, la nuque, l’épaule, il descend lentement le long de sa colonne qui se couvre de frissons de plaisir sous les caresses de son mâle.

Féline et soumise, Élodie ondule sous les caresses tendres de son amants. Le contraste entre les différentes phases de cet accouplement désarçonne la gamine. Son étalon passe rapidement d’un état dominant à des caresses tendres de voluptés.

Elle se languit sous les caresses et les baisers dont il la couvre, elle sent maintenant son souffle chaud sur le haut de sa croupe tendue.

-HUM Ouiiii continue !

Elle soupire et gémit de plaisir lorsqu’il plonge son visage entre les joues charnues de ses fesses offertes. Il commence par lui lécher la pastille qui se contracte de plaisir sous la caresse de sa langue inquisitrice. Il se délecte de la douceur de cette peau de bébé si lisse sous le contact de ses caresses buccales.

De se mains puissantes, il lui écarte les lobes fessiers, les malaxe pour mieux les ouvrir et avoir accès aux délices de cette petite salope qui s’offre à lui. Sa langue, comme une petite bite souple, frétille maintenant sur sa corolle anale. La douce sensation déclenche de douces décharges de plaisir dans les reins tendus de la gamine qui, instinctivement, pousse pour lui ouvrir l’accès à son tunnel anal.

Il n’en faut pas plus au jeune étalon qui s’immisce alors dans le petit conduit tendu et offert.

-Oh oui putain ! Vas y, bouffe moi le cul ! Haaaaannnnnn ….

La jeune fille fond littéralement sous les caresses expertes du petit appendice gluant de salive. Elle s’avance et se recul, toujours en appui sur les coudes, penche la tête en avant, terrassée par les vagues de plaisir qui parcours tout son corps, se mord la lèvre inférieure pour ne pas crier son plaisir à se faire bouffer le cul de la sorte :
-Oh putain, oui c’est bon ! Han …. Han …
Les eux pétillants, et à moitié fermés, elle ne voit pas les trois amis l’entourer et branler leur bites au dessus de son visage. Ce n’est que lorsque leurs mains effleurent la peau douce et sensible de ses épaules et de son dos cambré, que la belle réagit.

Les attentions anales de Raphaël couplées au contact doux des mains qui lui caressent la peau déclenchent de nouvelles sensations chez la jeune fille désarçonnée par tous ces contacts simultanés.

Elle attrape alors la tignasse rousse entre ses fesses, et s’écrie :
-Baise moi ! Fourre moi la chatte ! Baise moi putain, j’en peux plus !

Le sourire carnassier, Raphaël n’en attendait pas moins. Il se répète ce scénario et fantasme sur cette scène depuis tellement longtemps, qu’il profite un dernier instant de la supplique de cette petite traînée qui l’a tant fait cogiter.

-Tu la veux ma queue ? Hein ? Tu veux que j’te baise comme une traînée devant tes potes ?

-Oui vas y putain, baise moi, encule moi, fait de moi ta salope !

L’étincelle brille dans les yeux émeraude du grand rouquin qui se délecte de la situation. La belle dispose de trois belle queue juste sous son nez, mais c’est lui qui mène la danse, c’est lui qui va se farcir ce joli petit lot, cette belle salope, cette sale traînée.

CLAC
Il éclate le plat de ses mains simultanément sur les fesses tendues de la belle et les écartes pour ouvrir au maximum l’abricot imberbe qui dégouline de cyprine. La goutte de mouille qui dégouline doucement des lèvres vaginales et qui termine sa course sur le clitoris gonflé comme une petite bite l’hypnotise.

Il lâche la fesse droite de la belle et attrape sa queue pour en frotter le gland contre la vulve ouverte devant lui. Le contact chair contre chair électrise la gamine qui se cambre de plus belle et souffle de désir pour cette queue tendue et couverte de grosses veines saillantes.

Il se régale de la tension sexuelle qui habite cette petite salope qui dandine du cul et qui cherche à se planter de tout son long sur ce pieu de chair monstrueux. Mais lui aussi est à bout, il veut la posséder, la baiser comme elle le mérite. Alors après avoir enfin pénétrer cette chatte bouillante de la grosse tête de son sexe bandé, il empoigne les deux lobes fessiers de sa belle et se plante au plus profond de son ventre d’un seul et puissant coup de reins.

-HAAAAANNNNNN !!!!!!!

Élodie explose de plaisir en un long râle de bonheur assouvi. Le haut de son corps offert aux caresses du trio, elle sent leurs bites osciller devant son visage, les fortes odeurs de sexe qu’on astique à la lisière de ses lèvres ouvertes, les mains qui caressent, malaxent et étirent ses tétons durcis par le plaisir intense qu’elle ressent à se faire posséder par ce monstre de chair qui lui besogne maintenant les entrailles en feu.

CLAC ……. CLAC ……. CLAC ……. CLAC …….

Chaque coup de queue qui s’enfonce en elle est un délice de puissance et de douceur. Le gros gourdin tendu écarte ses chairs tendres et gonflée de plaisir. Elle sent, à chaque coup de reins, l’énorme gland tuméfié lui écarter la vulve avant de s’écraser au fond de son ventre en chaleur.

CLAC … CLAC … CLAC … CLAC …
Raphaël accélère, ses coups de queue se font plus puissants, plus intenses, plus profonds. Il veut posséder sa petite chienne comme la traînée qu’elle est. Il accompagne ses pénétrations profondes et puissantes de longues caresses sur le dos cambré offert à lui sur le bord du bassin. Le ballet de queues qu’on astique sous le nez de sa belle l’excite encore plus.

Toutes ces bites sont à la portée de la belle petite salope, mais seule la sienne intéresse la jeune brunette. Malgré les tentatives du trio à se faire sucer leurs bites perlant de liquide pré séminal luisant, la belle lui est entièrement offerte.

Devant cette soumission à son seul plaisir, le grand rouquin se régale à lui claquer le cul, mais la pression dans sa queue se fait de plus en plus pressante, il est sur le point d’exploser. Seule la rage de lui défoncer la chatte lui permet de lutter contre ses pulsions. Il lui attrape la tignasse et l’attire à lui.

La cambrant au maximum de l’élasticité de sa colonne, il serre les dents, lui attrape le sein droit de sa main libre et lui pince violemment le téton. La belle réagit instantanément, la puissante douleur déclenche des décharges de plaisir intenses dans le corps de la gamine qui contracte ses muqueuses autour du pieu de chair qui la besogne.

CLAC CLAC CLAC CLAC
Raphaël ne se retient plus, il accélère encore le pilonnage de cette chatte magnifique. Il est au bord de l’explosion et la belle est sur le point de jouir à son tour. Serrant les dents, pour contenir sa propre jouissance, il souffle de rage à l’oreille de la belle.



Il accélère encore le pilonnage en règle de cette chatte en chaleur et contracte son cul au maximum pour ne pas gicler prématurément. L’afflux de sang gonfle instantanément le sexe et le gland qui coulisse entre ses lèvres, la jouissance qu’elle essaye de contenir depuis plusieurs minute explose finalement dans les entrailles besognées d’Élodie.

-HAN Oui putaiiiinnnn ! Vas y fait moi jouir comme une salope.

La gamine explose de plaisir, et éjacule une énorme dose de cyprine sur le ventre de son amant qui se cambre une dernière fois au fond de son ventre avant de la libérer. Enzo et ses potes se rassemblent alors autour du visage extasié de la gamine et lui attrape à son tour la tignasse avant d’exploser de concert sur le visage poupon.

Élodie se retrouve le visage inondé de sperme chaud et gluant qui s’éclate sur sa peau en une succession de giclées cinglantes mais tellement excitantes. Le sperme provenant des trois directions autour d’elle dégouline lentement sur son front, ses joues, inonde sa bouche ouverte.

Épuisée, Élodie s’effondre sur la faïence, essoufflée, éreintée, mais comblée par cette énorme bite qui a su lui procurer tout le plaisir qu’elle en attendait. Elle se délecte des doses de foutre dont l’ont gratifiée ses amis et joue du bout des doigts avec tout ce sperme qui lui couvre le visage et la bouche.

Dans un sourire gourmand et rassasié, elle les regardes s’éloigner, l’’abandonnant comme la dernière des traînées, une fois leur affaire bouclée.

***
CLAC
Élodie, dont le corps est totalement vidé de toute énergie, sursaute à la fessée violente qui s’abat soudain sur son derrière :
-Tu crois que t’as fini de t’occuper de moi ma belle ? Crie soudain Raphaël debout, et la queue en érection pointée sur son derrière.

Toujours affalée sur le sol frais en céramique, la face couverte de sperme gluant dégoulinant lentement sur sa peau douce, elle observe son mâle par dessus son épaule, le pouce dans la bouche, dans un regard malin et gourmand.

-Écarte moi ce joli cul, ma belle !

Toujours défiante, mais adoucie par la domination de Raphaël, elle s’exécute et place une main sur chaque lobe fessier pour s’écarter le cul et lui exposer sa pastille striée. Elle n’en revient du regard que lui porte le livreur à la vue de la muqueuse offerte à la merci de sa grosse queue.



Il s’accroupit derrière ce magnifique derrière de petite pute, immergeant sa grosse queue bandée sous l’eau bouillonnante. Le niveau de l’eau juste au dessus de son nombril, il humidifie son majeur droit et de son pouce et de son index gauche, il écarte un peu plus la pastille distendue pour y enfoncer son majeur luisant.

Malgré la fatigue qui rend son corps lourd et lent, la belle gémit sous la pression lui écartant les muqueuses anales. Elle ferme les yeux sous le plaisir que lui procure ce toucher lent et délicat, et expire un gémissement de béatitude :
-Oh putain, oui continue, fouille moi le cul ! HUN ….

Elle se mord les lèvres et ondule de plaisir, accompagnant la douce pénétration anale. Raphaël crache un, puis deux glaviots sur la pastille tout juste entrouverte et commence à lui lubrifier le trou du cul, lui soutirant de doux râles de plaisir.

Ça la change des pénétrations anales douloureuses de ces derniers jours. Le majeur glisse maintenant sans peine dans la gaine anale de la gamine qui accepte un deuxième doigt sans même une once douloureuse dans cette caresse tellement délicieuse. « Putain l’enculé il sait y faire ! »
Devant les ondulations de plaisir de sa femelle soumise, le livreur se laisse aller à insérer un troisième doigt dans la corolle tendue et délicieuse. Il va et vient dans le cul de sa belle et s’amuse même à faire tourner ses doigts entre les fesses gourmandes, soutirant de nouveau gémissements de plaisir à sa chienne.

Un dernier mollard bien gluant et il lui astique une nouvelle fois le trou du cul avant de se redresser et de cracher sur le bout de sa queue pour la lubrifier copieusement de bave. Il attrape sa bite un peu ramollie et commence à en frotter le bout luisant de bave entre les lèvres encore toutes humides de la gamine. À sa salive vient s’ajouter une douce et chaude couche de cyprine huileuse. La réaction d’Élodie est instantanée, le pouce qui lui masse encore la pastille et le glissement gourmand du gland moelleux sur sa chatte déclenche une nouvelle succession de décharges de plaisir intense lui parcourant tout le corps.

À chaque pression de la queue contre ses muqueuses vaginales, une boule de chaleur prend naissance dans le creux de son ventre pour irradier en décharges de plaisir irradiant de la pointe de son clitoris enflé jusqu’au bout de ses tétons durs comme la pierre et ultra sensibles.

Anticipant la suite des opérations, elle laisse le plaisir exploser en elle afin de détendre au maximum les les muqueuses tendues de sa corolle anale. Lorsqu’elle sent la tête du sexe de son homme se plaquer contre sa pastille vibrante de désir, elle ne peut retenir un soupir :
-HUMPH, oui, vas y salop ! Encule moi bien à fond !

Les muqueuses élastiques et détendues de la gamine s’écartent en douceur autour de la tête de la verge à nouveau dure comme le bois. Élodie accompagne la pénétration douce et lente et sent le gland lui écarter la pastille qui se tend autour du frein lorsque celle-ci est en elle.

Raphaël se délecte de la douce sensation des sphincters autour de son gland. Lorsqu’il se retire tout aussi langoureusement, Élodie pousse naturellement pour accompagner l’écartèlement de son cul. Le rouquin crache une nouvelle fois à l’intersection de son gland et du trou du cul ouvert devant lui.

La chaleur du glaviot sur son trou du cul à vif relance le plaisir de la belle qui gémit à nouveau :
-Ouiiii c’est bon, vas y enfonce toi en moi !

Lorsqu’elle pousse pour ouvrir ses sphincters déjà bien écartés, Raphaël s’y engouffre à nouveau, lui arrachant un nouveau gémissement.

-HUN ….

Elle ondule du cul et l’incite à continuer cette progression lente et douce. Le jeune homme, bien qu’encourager à progresser, souhaite profiter pleinement de cette pénétration sensuelle et délicieuse. À la moindre résistance, il se retire puis repart à l’assaut de se joli cul tendu autour de sa queue.

Arrivé à mi chemin de sa progression, il se retire de quelques centimètres pour cracher à nouveau sur sa tige. Il étale vite fait le mollard sur la base de son sexe puis il agrippe à pleine main les fesses dodues et s’enfonce jusqu’à la garde, d’un puissant coup de reins, sans plus s’arrêter.

-HUMPH ….. Oh oui putain ! Il écrase ses bourses encore pleines contre la vulve dégoulinante de mouille.

Les couilles claquent brutalement contre le clitoris gonflé de désir, déclenchant une nouvelle décharge de plaisir qui irradie jusqu’au bout de mamelons gonflés et pointant de la gamine qui hurle de plaisir :
-Oh ouiiiiii, putain encule moi bien profond, vas y salop, encule ta chienne !

CLAC
Il se retire jusqu’au frein et se plante à nouveau en elle d’un puissant coup de reins. Serrant les dents pour retenir encore un peu sa jouissance, il commence à l’enculer de toute la longueur de sa queue bandée et épaisse.

CLAC …. CLAC …. CLAC …. CLAC
Son ventre tendu aux abdos d’acier s’éclate contre le cul tendu de la belle à chaque nouvel assaut. La Cyprine lui éclabousse le pubis à chaque pénétration, ses couilles s’écrasant sur ses lèvres éclosent par le plaisir intense irradiant dans tout son corps de chienne en chaleur.

Son conduit anal maintenant bien dilaté et lubrifié, la gamine encaisse les coups de queue avec volupté et pur bonheur. On ne l’a jamais enculée aussi bien. Elle ne ressent aucune douleur, tout n’est qu’extase et plaisir.

Raphaël n’en a pas fini avec la belle. Il relâche ses fesses et s’agrippe à sa tignasse de la main gauche, cambrant la gamine au maximum. Tout en lui besognant le cul, il glisse sa main droite autour du cou tendu de la belle.

-Oh putain, ma chienne qu’est ce que t’es serrée.

L’étranglement provoque une réaction de défense instinctive chez l’adolescente qui contracte son cul autour de la bite qui continue de la besogner de toute sa longueur et en profondeur.

-J’en ai pas fini avec ton cul salope !

Tout en maintenant la pression constante autour de la gorge de la gamine pour la cambrer un maximum contre son corps aux muscles noueux, il libère la tignasse brune et s’attaque maintenant à ses gros seins bringuebalés sous sa poitrine.

Il commence par lui claquer les mamelons l’un après l’autre, en rythme avec ses longs et profonds coups de bite. La gamine gémit, crie, et s’extasie sous les déflagrations de plaisir et de douleur mélangées qui explosent en elle à chaque coup de bite.

Mordillant le lobe d’oreille de sa belle, il se met à lui pincer les tétons et les vriller entre ses doigts à chaque fois qu’il éclate ses grosses bourses sur sa chatte en chaleur. La gamine jouit pour la deuxième fois de la soirée.

-HAAAAN ouiiii putain !!!!!!

Elle s’effondre sous le poids de Raphaël, terrassée par la déflagration de jouissance qui explose dans tout son corps en chaleur. Le jeune homme, un peu déçu de ne pas avoir pu jouir en même temps que cette petite salope se retire, enserrant la base de son sexe pour ne pas gicler prématurément.

Il attrape la belle par les cheveux de sa main libre et la retourne pour que le visage poupon et encore couvert de foutre soit face à son gland tuméfié et prêt à se décharger sur elle. Les yeux mi-clos, encore sous l’emprise de la jouissance qu’elle vient de subir, Élodie n’a d’yeux que pour cette magnifique queue perlant de sperme et sur le point de lui exploser à la figure.

Instinctivement, elle ouvre la bouche et tend une langue frétillante pour léchouiller le frein dégoulinant de grosses gouttes de sperme blanc aux douces nuances salées. Le livreur est en extase sous la douce caresse excitant le bout de son gland, et, maintenant la pression à la base de sa queue, il se branle la base du gland dans le « O » formé par son pouce et son index.

-Oh putain vas y p’tite salope lèche moi bien la bite, aspire moi le gland que j’te remplisse la bouche !

Le contact des lèvres douces sur la base de son prépuce déclenche une vague de plaisir dans les reins du livreur. Lorsqu’il relâche la pression de la base de son sexe gonflé, et prêt à exploser, il détend au maximum son périnée afin de ressentir l’extase de son liquide séminal s’engouffrant dans le tuyau urinaire de sa queue.

Lorsque l‘épaisse goutte de sperme atteint le bout de son gland, et entre en contact avec les papilles d’Élodie, la gamine aspire littéralement le gland rougeâtre entre ses lèvres gourmandes et se met à le téter comme elle téterais son pouce, déclenchant une nouvelle explosion de plaisir dans le ventre tendu du rouquin.

Il encadre le visage poupon de ses mains pour la diriger dans cette douce fellation de son gland. Les odeurs de spermes mélangés à celle de sexe en chaleur l’entourant, Élodie ne peut retenir sa main gauche de glisser entre ses cuisses pour masser son clitoris gonflé de sang en cercles concentriques.

Les picotements au bord de ses lèvres vaginales se transforment instantanément en vagues de plaisir irradiant dans son ventre aux abois, en une explosion de chaleur. Elle plante deux doigts dans sa chatte gluante et se cambre sous le plaisir de cette caresse, décuplée par la décharge lente et au goût suave et légèrement salé du sperme épais qui se déverse dans sa bouche et nappe sa langue sur toute sa surface.

Au contact du nectar sur sa langue, la belle brune active violemment ses doigts et se fouille la vulve avec une vigueur renouvelée. Elle jouit sous le double effet de cette caresse intense et aspire goulûment le gland entre ses lèvres tout en le branlant de sa main libre.

L’effet est instantané, Raphaël ne peut se retenir plus longtemps. Il explose enfin de jouissance dans un râle libérateur. Élodie sent les deux, trois, non quatre giclées puissantes d’avoir été si longtemps contenues, exploser dans sa bouche gourmande et lui inondé le palais.

-Ooooooh putain oui ma pute ! Garde bien tout dans la bouche espèce de petite salope !

Incapable de réfléchir, Élodie se contente d’obéir à son mâle et tente de contenir le foutre chaud et gluant qui vient de lui envahir la bouche.



Lorsqu’elle ouvre finalement la bouche après avoir encaisser le contre coup de sa dernière jouissance, c’est complètement vidée de toutes ses forces, qu’elle se laisse choir, adossée au bord du bassin. Encore sous l’effet de son extase, elle continue à se caresser doucement, inclinant son visage en arrière, la bouche ouverte et la langue tendue pour exposer le trésor visqueux et suave à son amant.

Malgré la forme de gouttière de sa langue toute rose et gluante de liquide blanc, des gouttes de foutres s’effilent et viennent s’écraser sur ses seins, en une douce pluie chaude et visqueuse.

Exténuée et l’esprit dans le vague, elle perçoit à peine les commentaires salaces du jeune homme qui se contente de partir en abandonnant sa chienne, nue, les seins flottant à la surface de l’eau bouillante, et les cuisses écartées dans le bain chaud à remous.

Lorsqu’elle reprend lentement ses esprits, Élodie réalise que Raphaël est parti avec les deux serviettes. La vague d’extase passée, Élodie nettoie à l’eau claire les traces de sperme translucide qui couvre son visage et sa poitrine. Elle a tout juste le temps de se demander comment elle va faire pour rejoindre son vestiaire, nue dans les couloirs du sauna, que ses sens sont perturbés par une sensation étrange.

Comme une biche chassée par un pack de loups affamés, ses instincts de proie attirent son attention. Une présence carnassière la met mal à l’aise, elle est sur le point de se lever pour quitter cette atmosphère oppressante, lorsqu’elle les aperçoit se détachant de l’opacité de la vapeur d’eau.

Quatre ombres massives font leur apparition et se dirigent vers le bassin dans lequel la belle tente de se dissimuler. Mais trop tard :
-Alors petite salope ? Prête pour le deuxième round ?

Surprise, elle les reconnaît, ceux qui n’étaient que des voies perdues dans la brume de son extase secrète se matérialisent devant elle. Quatre ouvriers bien réels qui maintenant la rejoigne, seule et vulnérable, nue et le cerveau encore inondé d’hormones de plaisir dans le jacuzzi.

Ils ont bien entendu Enzo l’appeler lorsqu’il est entré dans la salle rose, et sont simplement restés tapis à l’abri de la vapeur d’eau à attendre leur heure pendant qu’elle se faisait baiser par Raph.

Sa raison tente bien de la mettre en garde contre la bande d’ouvriers nus, la queue à la main et prêts à lui faire subir elle ne sait quels sévices, mais quelque chose la retient. Elle se sent étrangement bien, elle n’a pas peur des quatre prédateurs, en fait elle ne les regarde même pas, son attention uniquement focalisée sur les quatre membres érigés qui s’approchent de son visage poupon.

Un sourire gourmand se dessinant sur les lèvres charnues de la belle brune, Élodie se cambre sensuellement et, les seins tendus devant elle, l’adolescente emprisonne ses tétons gonflés et tendus entre ses doigts habiles et les étirant pour déclencher son plaisir, elle s’accroupit entre les quatre spécimens :
-Eh bien messieurs ! Je suis toute à vous !

********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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Texte coquin : Elodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 30 (Fin)
Histoire sexe : Une rose rouge
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