Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 24
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 24
Lorsqu’elle sort de l’immeuble, Élodie aperçoit Serge sur un bolide vrombissant. À l’inverse de Mr. Péqueur, Serge chevauche une sportive équipé de son cuir et de son casque intégral, il tend un casque bol et un cuir blanc à liserets roses à la jeune fille.
Surprise de voir le quadra sur une moto, Élodie regrette son choix vestimentaire. S’approchant de son maître de stage, elle est sur le point de lui demander si elle peut aller se changer, mais elle note instantanément l’air presque irrité de son voisin au chien.
-Bon allez bouge ton p’ti cul ! On est déjà à la bourre. Lui dit elle, la voix étouffée par le casque.
-Oui, j’arrive !
D’un air renfrogné de gamine, l’adolescente passe la veste, et enfile le casque avant de passer sa pochette en bandoulière et d’enjamber la selle pour s’installer derrière son chauffeur. « Putain de jupe ! » La petite jupe en cuir est à peine trop serrée et remonte le long des cuisses nues lorsqu’Élodie s’installe.
Élodie tire sur le cuir pour le coincer sous son cul, mais le vêtement tendu sur son derrière refuse de rester en place. Les cale-pied en position haute imposent à la gamine de se cambrer sur l’assise arrière, à cause du retard de la jeune fille, le voisin roule plus vite que de coutume, forçant Élodie à s’agripper au motard plutôt qu’à maintenir sa jupe en place.
Mais c’est aux feux tricolores que la gamine prend conscience de l’exposition de son cul. Elle subit le regard des automobilistes et le courroux des meufs qui l’insultent d’allumer leurs mecs. D’abord gênée de cette attention, l’adolescente se met rapidement à jouer de ses atouts, et profite d’avoir le derrière à moitié découvert pour allumer passants et conducteurs.
Elle sourit intérieurement des changements qui s’opèrent en elle depuis que le corbeau est entré dans sa vie. Elle a découvert tellement de choses sur elle-même et sur sa sexualité qu’elle s’en sent plus épanouie qu’elle ne l’a jamais été. Elle assume dorénavant son physique et sa nymphomanie, elle aime le sexe et n’est pas prête de s’arrêter à se découvrir.
La journée qui l’attend est tout aussi prometteuse. En effet, à peine arrivés au pied des bureau de l’association de réinsertion pour anciens détenus, le personnel uniquement masculin n’est pas avare d’attention pour la jeune fille. À commencer par Mr. Coulomb, le chef du service de Serge qui est aussi responsable des dossiers de réinsertion. C’est avec lui qu’Élodie passe son premier entretien.
Le breton trapu au gros ventre débordant de sa ceinture et au caractère sévère laisse une terrible impression à l’adolescente qui se sent toute petite lorsqu’elle entre seule dans son grand bureau. Élodie jette un dernier coup d’œil à Serge qui l’encourage depuis son bureau, d’un regard rassurant.
L’homme sait y faire, son charisme et son sale caractère opèrent instantanément sur Élodie qui redevient instantanément une petite fille faisant face à un instituteur sévère. L’adolescente n’ose même pas croiser le regard sombre de son chef, ses petits yeux l’auscultent sous toutes les coutures.
Gênée, la jeune fille passe machinalement son bras droit sur sa poitrine, et sa main sur sa jupe comme si elle pouvait l’allonger pour cacher ses formes généreuses. Et le plateau en verre de l’énorme bureau du breton ne lui permet même pas de cacher sa pudeur.
Après une heure d’entretien, Mr. Coulomb propose à Élodie de faire une semaine d’essai pour voir si elle convient pour le poste, et si elle s’intègre à l’équipe soudée de ces hommes de valeur dont il semble très fier. L’adolescente ne peut retenir un sourire de soulagement d’avoir réussi cette première épreuve.
Lorsqu’il la libère, il la laisse rejoindre Serge qui va passer le reste de la journée avec elle afin de lui expliquer les responsabilités de leur petite entreprise. Son voisin au chien la félicite d’avoir passer l’épreuve de l’entretien :
-Le bougre n’a encore jamais accepté de femmes dans ses équipes, enfin à ce que j’en sait bien sûr !
-Ah oui ? Lui répond t’elle, pas peu fière de sa prouesse.
-Bon allez vient, on va faire le tour des services et je te présente à l’équipe.
À chaque service, Élodie reçoit le même accueil chaleureux, les hommes sont tous attentionnés avec la gamine, voir un peu trop parfois. L’adolescente se doutait bien qu’elle allait s’attirer les faveurs de la gente masculine, mais elle n’avait pas anticiper être la seule fille de tout le personnel.
Les ressources humaines, les services sociaux, les services généraux l’ont tous bien reçue et la jeune fille doit bien s’avouer être un peu excitée d’être le centre d’attention de tous ces mâles. Même si elle regrette presque qu’aucun d’eux n’a même osé effleuré sa peau pourtant tellement découverte dans ces vêtements si légers.
Mais à peine a t’elle le temps de formuler ce « regret » que Serge lui présente Marc et Sammy les deux informaticiens du groupe. Les deux geeks au physique ingrat du cliché de joueur en ligne n’ont pas du tout la même inhibition que leurs collègues.
Leur bureau, à l’écart du reste de l’équipe, est une pure allégorie de la femme objet ; statuettes de figurines de manga aux formes généreuses et à peine dissimulées, posters de femmes fatales et de princesses guerrières pratiquement nues dans leurs costumes, fonds d’écran d’héroïnes d’anime japonais à poil, ….
Élodie sent bien qu’ici l’atmosphère est bien différente des autres bureaux. Taquine, elle les teste inconsciemment en jouant du bout des doigts sur les figurines. Immédiatement, Marc la rejoint et s’interpose entre elle et la figurine, l’attrapant par « inadvertance » en lui enlaçant la taille dénudée de sa paluche humide de sueur.
Le gros bibendum laisse glisser sa main sur le cuir de la mini jupe, frôlant de justesse le pli fessier dénudé de la gamine. Ce contact inattendu déclenche une vague de frissons chez la jeune fille encore sensible aux attouchements experts de son vieux voisin. L’effet est immédiat, ses mamelons se mettent à pointer à travers le fin tissu de son cache cœur.
Ce détail ne passant pas inaperçu, Sammy profite du désarroi de la jeune fille pour l’inviter à « admirer » sa collection à lui. Le jeune guadeloupéen l’enlace à son tour et, le cœur palpitant dans sa poitrine de jeune geek, glisse à son tour sa main moite au creux des reins découverts d’Élodie.
L’adolescente accueille le contact avec un sourire coquin et glousse comme une chatte en chaleur, comme si elle voulait attiser les cendres chaudes d’un volcan prêt à exploser. Elle a son petit effet sur le jeune homme dont l’entrejambe se met à gonfler sous le bermuda pourtant bien ample ; « HUM …. Bien monté le petit on dirait ! »
-Très bien messieurs, Élodie repassera tout à l’heure pour chercher son matériel. Est ce que vous pouvez vous assurer que tout sera prêt ?
-T’inquiète Serge ! Lui répond Marc d’un ton assuré ; tout sera prêt !
-Nickel, merci les amis ! Leur répond l’ingénue sur un ton innocent.
-Parfait alors, tu me suis Élodie ? Je te présente mon équipe.
***
-Élodie ? Je te présente mon équipe, Martin, Danny, Mick et Tony. Les gars, je vous présente Élodie, une jeune stagiaire qui va passer un peu de temps avec nous.
Serge lui présente ses quatre plus proches collaborateurs, tous d’anciens détenus qui sont là parce qu’ils comprennent la difficulté de la réinsertion.
-C’est l’idée de Phil, Mr. Coulomb, le coup de génie qui nous permet d’obtenir 100 % de succès dans notre mission.
-Et ce n’est pas trop compliqué ? Lui demande t’elle, jetant un coup d’œil curieux vers les quatre hommes.
***
La tête légèrement inclinée sur le côté, Élodie est intriguée et un peu excitée d’être entourée de tous ces mâles, un groupe de « bad boys », juste pour elle, elle les observe l’un après l’autre.
Elle ne reconnaît pas vraiment la lueur qui brille dans leurs yeux gourmands, comme un éclat de désir prédateur, même si elle se laisserait bien entraîner dans une spirale de désir. Serge lui montre son bureau, un petit espace un peu excentré, juste entre la photocopieuse et les classeurs rangés par années sur des étagères.
-Bon les gars, je vous la confie, vous lui montrez comment on s’est organisé, moi faut que je file en réunion.
La jeune fille se sent soudain intimidée, le voisin vient de « l’abandonner » à un groupe d’anciens malfrats. Droit commun, meurtriers, violeurs, simples cambrioleurs, elle n’a aucune idée de ce qui a pu conduire le quatuor en prison.
À son grand étonnement, les quatre équipiers se sont montrer très avenants en l’abscence de leur chef, peut-être un peu trop ?
Tout d’abord, le grand Tony n’a pas perdu de temps pour lui « expliquer comment fonctionnait la photocopieuse. Elle s’en amuse un peu, comme si elle ne savait pas appuyer sur un bouton « Copy ». Mais elle joue le jeu et se laisse tenter :
-Bon si tu veux y a quelques pièges à éviter ! Lui dit il après lui avoir fait l’éloge de cette machine capricieuse.
Le plus jeune de la bande, une petite trentaine, lui fait contourner l’appareil, la main sur la jeune hanche dénudée :
-Vas y penche toi un peu par dessus, tu le vois le câble ?
-Heu non pas vraiment ….
-Mais si par là ! Il pose sa deuxième main sur l’autre hanche et l’aide à « regarder » derrière la machine en la soulevant légèrement.
-Ah oui je le vois ! Élodie repère le câble réseau qui connecte l’appareil.
-Eh ben il merde souvent et il faut régulièrement le rebrancher !
C’est à ce moment que la gamine manque de basculer par dessus la photocopieuse, elle tend les mains en avant pour se rattraper à la machine lorsque Tony plaque sa main gauche sur la poitrine d’Élodie pour la rattraper.
-Eh attention ! L’enfoiré lui agrippe le sein gauche et l’attire à lui, la main droite fermement ancrée sur la hanche de la stagiaire.
Il lui plaque le cul contre son bassin, et Élodie sent le rouge lui monter aux joues, légèrement échauffée de sentir la virilité de Tony gonfler entre ses fesses. Il lui plaque alors le dos contre son torse et l’adolescente, troublée, sent le souffle de son « sauveur » dans sa nuque dénudée.
Elle ne peut retenir un léger soupir, la caresse du souffle chaud déclenche une légère vague de torpeur dans ses entrailles déjà quelque peu chauffées par les attouchements de l’équipe informatique.
***
Sa chatte se réveille sous sa jupe courte, Élodie sent ses muqueuses s’humidifier au contact du trentenaire, et des idées commencent à naître dans son cerveau de petite salope. Décidément, Tony est beaucoup plus entreprenant que les deux informaticiens, et c’est Martin, le doyen à la chevelure poivre sel qui la sort de sa torpeur naissante :
-HUM …. On vous gêne pas trop là, les tourtereaux ?
L’adolescente réalise que les trois compères ont les yeux rivés sur le couple vers la photocopieuse. Tony retire sa paluche de son sein, non sans lui peloter une dernière fois, ce qui a pour effet immédiat de faire pointer d’excitation ses tétons sensibles.
La gamine ne sait plus trop où se foutre et se dirige vers son siège lorsque Martin l’invite à le rejoindre :
-Bon ben puisqu’il faut qu’on te montre tout, suit moi au stock, c’est à qu’on classe aussi les dossiers traités.
« Pourquoi est-ce que j’ai l’impression qu’il n’a pas juste envie de me montrer les stocks lui ? » Élodie ne peut réprimer la pensée que ce regard un peu évasif cache d’autres intentions. Et elle ne s’y trompe pas, lorsque le quadra à la barbe hirsute lui ouvre la porte débarras, il l’invite à le précéder sans se gêner de glisser une main potelée dans le creux de ses reins.
Lorsqu’il se tourne pour fermer la porte derrière eux, la jeune fille n’en mène pas large. En faisant demi tour, le barbu se permet même de laisser glisser sa main sur le cul de la stagiaire avant d’attraper la poignée de la porte :
-Alors l’escabot, se trouve juste ici, tu vois ? Derrière la porte ! Super pratique bien sûr !
« Ouf ! » Soulagée de le voir rouvrir la porte après avoir attraper l’échelle, Élodie se remet à respirer. Mais son répis est de courte durée puisqu’il poursuit :
-On va en profiter, tu vas me récupérer le classeur de 2015, tu le vois, celui qui est là haut ?
« Evidemment ! » Ne pouvant réprimer une petite grimace, la jeune stagiaire contourne le quadra et monte les trois marches du petit escabot. Malheureusement, le classeur est tout juste hors de sa portée :
-Bon va falloir faire un petit effort petite, attends je t’aide !
Il plaque ses deux mains sur les hanches de la gamine, son visage rougeot juste au niveau des fesses de l’adolescente.
-Oui c’est ça ! Prends appui avec ta main droite si besoin !
Élodie est contrainte de basculer en avant, elle pose la main sur une étagère et s’étire pour attraper la tranche du classeur. Le souffle du quadra sur le haut de ses cuisses la perturbe, et il se permet même de glisser ses mains un peu plus bas sur les hanches, ses pouces frôlant dangereusement le pli fessier de la gamine, juste à la limite du bas de sa jupe.
Secouant ses gros nichons, à peine soutenus par la matière élastique de son petit haut, la brunette parvient enfin à tirer le classeur à elle, juste avant que le bonhomme un peu trop entreprenant ne soulève sa jupe et n’expose son abricot dénudé.
Elle contracte ses fesses pour se redresser et fait volte face avant que le vieux vicieux ne profite trop de la situation. Dans le mouvement, la main gauche de Martin, qui avait glisser au niveau de sa cuisse, passe brièvement sous le pli de la jupe portefeuille, et Élodie sent le bout des doigts inquisiteurs frôler son pubis imberbe exposé.
La petite stagiaire rougit instantanément, « Merde la conne ! Putain » Elle se demande s’il a senti sa nudité. Malheureusement, le regard de son collègue ne dévoile rien de l’expérience, d’un côté, il a cette expression de soulagement d’avoir confirmer un certain soupçon, mais le détachement presque insensible laisse planer un doute dans l’esprit embrumé de la gamine à la chatte aux abois.
Elle s’empresse alors de descendre du petit marche pied et tend le classeur au barbu afin de mettre de la distance entre eux. Sans perdre de temps, elle sort du vestibule, suivi par le quadra, sans même se retourner, de peur de lire autre chose dans le regard froid de son collègue.
L’adolescente file s’asseoir à son bureau et évite de croiser le regard de Martin, lorsque ce dernier invite Danny et Mick à prendre un café. Élodie se retrouve seule avec le trentenaire qui vaque à ses propres occupations. Elle a l’impression d’être observée, mais se dit qu’elle se fait certainement des idées.
Sa chatte la titille dangereusement, et l’interruption des caresses de Mr. Grosbout n’arrange pas la situation. Ces tétons sont durs et hyper sensible sous le tissu élastique, et elle sent bien ses muqueuses s’humidifier après les derniers attouchements. Elle veut se changer les idées, et file se planquer dans le stock de fournitures qu’elle a repéré à côté des archives. Et de toute façon il lui faut bien un cahier et des stylos « c’est le minimum ! »
Lorsqu’elle longe le couloir désert, elle repère la machine à café où ses trois collègues rient à gorge déployée. Elle se demande s’ils parlent d’elle, mais ne s’attarde pas, histoire qu’ils ne la repèrent pas. Elle trouve finalement ce qu’elle cherchait et s’apprête à retourner à son bureau. Elle sort du stock et fait demi tour après avoir refermer la porte lorsqu’elle percute Danny et Mick.
-Oups pardon, j’vous avais même as vue ! Leur répond t’elle toute gênée, stylos en main et le cahier plaqué contre sa poitrine.
-HAHAHA …. Mais c’est pas grave ma belle ! Lui répond Danny le bras tendu contre la cloison, bloquant le passage.
-Oui t’inquiète p’ti cul ! On est pas aux pièces, on peut faire un peu connaissance aussi !
Mick passe ses doigts dans les boucles de la jeune fille, et ne cache même pas le sourire prédateur qui fait froid dans le dos de la gamine légèrement secouée par un frisson d’inconfort. Sa respiration se raccourci, elle ne sait pas quoi faire, seule dans ce long couloir désert.
Mais à cette impression d’impuissance se mêle quelque chose de plus sournois, de plus primitif. Les deux hommes dégagent une sorte d’assurance prédatrice et dominante qui déclenche une sorte d’état de soumission chez la jeune fille.
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
Surprise de voir le quadra sur une moto, Élodie regrette son choix vestimentaire. S’approchant de son maître de stage, elle est sur le point de lui demander si elle peut aller se changer, mais elle note instantanément l’air presque irrité de son voisin au chien.
-Bon allez bouge ton p’ti cul ! On est déjà à la bourre. Lui dit elle, la voix étouffée par le casque.
-Oui, j’arrive !
D’un air renfrogné de gamine, l’adolescente passe la veste, et enfile le casque avant de passer sa pochette en bandoulière et d’enjamber la selle pour s’installer derrière son chauffeur. « Putain de jupe ! » La petite jupe en cuir est à peine trop serrée et remonte le long des cuisses nues lorsqu’Élodie s’installe.
Élodie tire sur le cuir pour le coincer sous son cul, mais le vêtement tendu sur son derrière refuse de rester en place. Les cale-pied en position haute imposent à la gamine de se cambrer sur l’assise arrière, à cause du retard de la jeune fille, le voisin roule plus vite que de coutume, forçant Élodie à s’agripper au motard plutôt qu’à maintenir sa jupe en place.
Mais c’est aux feux tricolores que la gamine prend conscience de l’exposition de son cul. Elle subit le regard des automobilistes et le courroux des meufs qui l’insultent d’allumer leurs mecs. D’abord gênée de cette attention, l’adolescente se met rapidement à jouer de ses atouts, et profite d’avoir le derrière à moitié découvert pour allumer passants et conducteurs.
Elle sourit intérieurement des changements qui s’opèrent en elle depuis que le corbeau est entré dans sa vie. Elle a découvert tellement de choses sur elle-même et sur sa sexualité qu’elle s’en sent plus épanouie qu’elle ne l’a jamais été. Elle assume dorénavant son physique et sa nymphomanie, elle aime le sexe et n’est pas prête de s’arrêter à se découvrir.
La journée qui l’attend est tout aussi prometteuse. En effet, à peine arrivés au pied des bureau de l’association de réinsertion pour anciens détenus, le personnel uniquement masculin n’est pas avare d’attention pour la jeune fille. À commencer par Mr. Coulomb, le chef du service de Serge qui est aussi responsable des dossiers de réinsertion. C’est avec lui qu’Élodie passe son premier entretien.
Le breton trapu au gros ventre débordant de sa ceinture et au caractère sévère laisse une terrible impression à l’adolescente qui se sent toute petite lorsqu’elle entre seule dans son grand bureau. Élodie jette un dernier coup d’œil à Serge qui l’encourage depuis son bureau, d’un regard rassurant.
L’homme sait y faire, son charisme et son sale caractère opèrent instantanément sur Élodie qui redevient instantanément une petite fille faisant face à un instituteur sévère. L’adolescente n’ose même pas croiser le regard sombre de son chef, ses petits yeux l’auscultent sous toutes les coutures.
Gênée, la jeune fille passe machinalement son bras droit sur sa poitrine, et sa main sur sa jupe comme si elle pouvait l’allonger pour cacher ses formes généreuses. Et le plateau en verre de l’énorme bureau du breton ne lui permet même pas de cacher sa pudeur.
Après une heure d’entretien, Mr. Coulomb propose à Élodie de faire une semaine d’essai pour voir si elle convient pour le poste, et si elle s’intègre à l’équipe soudée de ces hommes de valeur dont il semble très fier. L’adolescente ne peut retenir un sourire de soulagement d’avoir réussi cette première épreuve.
Lorsqu’il la libère, il la laisse rejoindre Serge qui va passer le reste de la journée avec elle afin de lui expliquer les responsabilités de leur petite entreprise. Son voisin au chien la félicite d’avoir passer l’épreuve de l’entretien :
-Le bougre n’a encore jamais accepté de femmes dans ses équipes, enfin à ce que j’en sait bien sûr !
-Ah oui ? Lui répond t’elle, pas peu fière de sa prouesse.
-Bon allez vient, on va faire le tour des services et je te présente à l’équipe.
À chaque service, Élodie reçoit le même accueil chaleureux, les hommes sont tous attentionnés avec la gamine, voir un peu trop parfois. L’adolescente se doutait bien qu’elle allait s’attirer les faveurs de la gente masculine, mais elle n’avait pas anticiper être la seule fille de tout le personnel.
Les ressources humaines, les services sociaux, les services généraux l’ont tous bien reçue et la jeune fille doit bien s’avouer être un peu excitée d’être le centre d’attention de tous ces mâles. Même si elle regrette presque qu’aucun d’eux n’a même osé effleuré sa peau pourtant tellement découverte dans ces vêtements si légers.
Mais à peine a t’elle le temps de formuler ce « regret » que Serge lui présente Marc et Sammy les deux informaticiens du groupe. Les deux geeks au physique ingrat du cliché de joueur en ligne n’ont pas du tout la même inhibition que leurs collègues.
Leur bureau, à l’écart du reste de l’équipe, est une pure allégorie de la femme objet ; statuettes de figurines de manga aux formes généreuses et à peine dissimulées, posters de femmes fatales et de princesses guerrières pratiquement nues dans leurs costumes, fonds d’écran d’héroïnes d’anime japonais à poil, ….
Élodie sent bien qu’ici l’atmosphère est bien différente des autres bureaux. Taquine, elle les teste inconsciemment en jouant du bout des doigts sur les figurines. Immédiatement, Marc la rejoint et s’interpose entre elle et la figurine, l’attrapant par « inadvertance » en lui enlaçant la taille dénudée de sa paluche humide de sueur.
Le gros bibendum laisse glisser sa main sur le cuir de la mini jupe, frôlant de justesse le pli fessier dénudé de la gamine. Ce contact inattendu déclenche une vague de frissons chez la jeune fille encore sensible aux attouchements experts de son vieux voisin. L’effet est immédiat, ses mamelons se mettent à pointer à travers le fin tissu de son cache cœur.
Ce détail ne passant pas inaperçu, Sammy profite du désarroi de la jeune fille pour l’inviter à « admirer » sa collection à lui. Le jeune guadeloupéen l’enlace à son tour et, le cœur palpitant dans sa poitrine de jeune geek, glisse à son tour sa main moite au creux des reins découverts d’Élodie.
L’adolescente accueille le contact avec un sourire coquin et glousse comme une chatte en chaleur, comme si elle voulait attiser les cendres chaudes d’un volcan prêt à exploser. Elle a son petit effet sur le jeune homme dont l’entrejambe se met à gonfler sous le bermuda pourtant bien ample ; « HUM …. Bien monté le petit on dirait ! »
-Très bien messieurs, Élodie repassera tout à l’heure pour chercher son matériel. Est ce que vous pouvez vous assurer que tout sera prêt ?
-T’inquiète Serge ! Lui répond Marc d’un ton assuré ; tout sera prêt !
-Nickel, merci les amis ! Leur répond l’ingénue sur un ton innocent.
-Parfait alors, tu me suis Élodie ? Je te présente mon équipe.
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-Élodie ? Je te présente mon équipe, Martin, Danny, Mick et Tony. Les gars, je vous présente Élodie, une jeune stagiaire qui va passer un peu de temps avec nous.
Serge lui présente ses quatre plus proches collaborateurs, tous d’anciens détenus qui sont là parce qu’ils comprennent la difficulté de la réinsertion.
-C’est l’idée de Phil, Mr. Coulomb, le coup de génie qui nous permet d’obtenir 100 % de succès dans notre mission.
-Et ce n’est pas trop compliqué ? Lui demande t’elle, jetant un coup d’œil curieux vers les quatre hommes.
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La tête légèrement inclinée sur le côté, Élodie est intriguée et un peu excitée d’être entourée de tous ces mâles, un groupe de « bad boys », juste pour elle, elle les observe l’un après l’autre.
Elle ne reconnaît pas vraiment la lueur qui brille dans leurs yeux gourmands, comme un éclat de désir prédateur, même si elle se laisserait bien entraîner dans une spirale de désir. Serge lui montre son bureau, un petit espace un peu excentré, juste entre la photocopieuse et les classeurs rangés par années sur des étagères.
-Bon les gars, je vous la confie, vous lui montrez comment on s’est organisé, moi faut que je file en réunion.
La jeune fille se sent soudain intimidée, le voisin vient de « l’abandonner » à un groupe d’anciens malfrats. Droit commun, meurtriers, violeurs, simples cambrioleurs, elle n’a aucune idée de ce qui a pu conduire le quatuor en prison.
À son grand étonnement, les quatre équipiers se sont montrer très avenants en l’abscence de leur chef, peut-être un peu trop ?
Tout d’abord, le grand Tony n’a pas perdu de temps pour lui « expliquer comment fonctionnait la photocopieuse. Elle s’en amuse un peu, comme si elle ne savait pas appuyer sur un bouton « Copy ». Mais elle joue le jeu et se laisse tenter :
-Bon si tu veux y a quelques pièges à éviter ! Lui dit il après lui avoir fait l’éloge de cette machine capricieuse.
Le plus jeune de la bande, une petite trentaine, lui fait contourner l’appareil, la main sur la jeune hanche dénudée :
-Vas y penche toi un peu par dessus, tu le vois le câble ?
-Heu non pas vraiment ….
-Mais si par là ! Il pose sa deuxième main sur l’autre hanche et l’aide à « regarder » derrière la machine en la soulevant légèrement.
-Ah oui je le vois ! Élodie repère le câble réseau qui connecte l’appareil.
-Eh ben il merde souvent et il faut régulièrement le rebrancher !
C’est à ce moment que la gamine manque de basculer par dessus la photocopieuse, elle tend les mains en avant pour se rattraper à la machine lorsque Tony plaque sa main gauche sur la poitrine d’Élodie pour la rattraper.
-Eh attention ! L’enfoiré lui agrippe le sein gauche et l’attire à lui, la main droite fermement ancrée sur la hanche de la stagiaire.
Il lui plaque le cul contre son bassin, et Élodie sent le rouge lui monter aux joues, légèrement échauffée de sentir la virilité de Tony gonfler entre ses fesses. Il lui plaque alors le dos contre son torse et l’adolescente, troublée, sent le souffle de son « sauveur » dans sa nuque dénudée.
Elle ne peut retenir un léger soupir, la caresse du souffle chaud déclenche une légère vague de torpeur dans ses entrailles déjà quelque peu chauffées par les attouchements de l’équipe informatique.
***
Sa chatte se réveille sous sa jupe courte, Élodie sent ses muqueuses s’humidifier au contact du trentenaire, et des idées commencent à naître dans son cerveau de petite salope. Décidément, Tony est beaucoup plus entreprenant que les deux informaticiens, et c’est Martin, le doyen à la chevelure poivre sel qui la sort de sa torpeur naissante :
-HUM …. On vous gêne pas trop là, les tourtereaux ?
L’adolescente réalise que les trois compères ont les yeux rivés sur le couple vers la photocopieuse. Tony retire sa paluche de son sein, non sans lui peloter une dernière fois, ce qui a pour effet immédiat de faire pointer d’excitation ses tétons sensibles.
La gamine ne sait plus trop où se foutre et se dirige vers son siège lorsque Martin l’invite à le rejoindre :
-Bon ben puisqu’il faut qu’on te montre tout, suit moi au stock, c’est à qu’on classe aussi les dossiers traités.
« Pourquoi est-ce que j’ai l’impression qu’il n’a pas juste envie de me montrer les stocks lui ? » Élodie ne peut réprimer la pensée que ce regard un peu évasif cache d’autres intentions. Et elle ne s’y trompe pas, lorsque le quadra à la barbe hirsute lui ouvre la porte débarras, il l’invite à le précéder sans se gêner de glisser une main potelée dans le creux de ses reins.
Lorsqu’il se tourne pour fermer la porte derrière eux, la jeune fille n’en mène pas large. En faisant demi tour, le barbu se permet même de laisser glisser sa main sur le cul de la stagiaire avant d’attraper la poignée de la porte :
-Alors l’escabot, se trouve juste ici, tu vois ? Derrière la porte ! Super pratique bien sûr !
« Ouf ! » Soulagée de le voir rouvrir la porte après avoir attraper l’échelle, Élodie se remet à respirer. Mais son répis est de courte durée puisqu’il poursuit :
-On va en profiter, tu vas me récupérer le classeur de 2015, tu le vois, celui qui est là haut ?
« Evidemment ! » Ne pouvant réprimer une petite grimace, la jeune stagiaire contourne le quadra et monte les trois marches du petit escabot. Malheureusement, le classeur est tout juste hors de sa portée :
-Bon va falloir faire un petit effort petite, attends je t’aide !
Il plaque ses deux mains sur les hanches de la gamine, son visage rougeot juste au niveau des fesses de l’adolescente.
-Oui c’est ça ! Prends appui avec ta main droite si besoin !
Élodie est contrainte de basculer en avant, elle pose la main sur une étagère et s’étire pour attraper la tranche du classeur. Le souffle du quadra sur le haut de ses cuisses la perturbe, et il se permet même de glisser ses mains un peu plus bas sur les hanches, ses pouces frôlant dangereusement le pli fessier de la gamine, juste à la limite du bas de sa jupe.
Secouant ses gros nichons, à peine soutenus par la matière élastique de son petit haut, la brunette parvient enfin à tirer le classeur à elle, juste avant que le bonhomme un peu trop entreprenant ne soulève sa jupe et n’expose son abricot dénudé.
Elle contracte ses fesses pour se redresser et fait volte face avant que le vieux vicieux ne profite trop de la situation. Dans le mouvement, la main gauche de Martin, qui avait glisser au niveau de sa cuisse, passe brièvement sous le pli de la jupe portefeuille, et Élodie sent le bout des doigts inquisiteurs frôler son pubis imberbe exposé.
La petite stagiaire rougit instantanément, « Merde la conne ! Putain » Elle se demande s’il a senti sa nudité. Malheureusement, le regard de son collègue ne dévoile rien de l’expérience, d’un côté, il a cette expression de soulagement d’avoir confirmer un certain soupçon, mais le détachement presque insensible laisse planer un doute dans l’esprit embrumé de la gamine à la chatte aux abois.
Elle s’empresse alors de descendre du petit marche pied et tend le classeur au barbu afin de mettre de la distance entre eux. Sans perdre de temps, elle sort du vestibule, suivi par le quadra, sans même se retourner, de peur de lire autre chose dans le regard froid de son collègue.
L’adolescente file s’asseoir à son bureau et évite de croiser le regard de Martin, lorsque ce dernier invite Danny et Mick à prendre un café. Élodie se retrouve seule avec le trentenaire qui vaque à ses propres occupations. Elle a l’impression d’être observée, mais se dit qu’elle se fait certainement des idées.
Sa chatte la titille dangereusement, et l’interruption des caresses de Mr. Grosbout n’arrange pas la situation. Ces tétons sont durs et hyper sensible sous le tissu élastique, et elle sent bien ses muqueuses s’humidifier après les derniers attouchements. Elle veut se changer les idées, et file se planquer dans le stock de fournitures qu’elle a repéré à côté des archives. Et de toute façon il lui faut bien un cahier et des stylos « c’est le minimum ! »
Lorsqu’elle longe le couloir désert, elle repère la machine à café où ses trois collègues rient à gorge déployée. Elle se demande s’ils parlent d’elle, mais ne s’attarde pas, histoire qu’ils ne la repèrent pas. Elle trouve finalement ce qu’elle cherchait et s’apprête à retourner à son bureau. Elle sort du stock et fait demi tour après avoir refermer la porte lorsqu’elle percute Danny et Mick.
-Oups pardon, j’vous avais même as vue ! Leur répond t’elle toute gênée, stylos en main et le cahier plaqué contre sa poitrine.
-HAHAHA …. Mais c’est pas grave ma belle ! Lui répond Danny le bras tendu contre la cloison, bloquant le passage.
-Oui t’inquiète p’ti cul ! On est pas aux pièces, on peut faire un peu connaissance aussi !
Mick passe ses doigts dans les boucles de la jeune fille, et ne cache même pas le sourire prédateur qui fait froid dans le dos de la gamine légèrement secouée par un frisson d’inconfort. Sa respiration se raccourci, elle ne sait pas quoi faire, seule dans ce long couloir désert.
Mais à cette impression d’impuissance se mêle quelque chose de plus sournois, de plus primitif. Les deux hommes dégagent une sorte d’assurance prédatrice et dominante qui déclenche une sorte d’état de soumission chez la jeune fille.
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd
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