Marchand d'illusions 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marchand d'illusions 5
Grégoire n’osait pas en demander autant la première fois. Il peut se féliciter du retour de Marie. Et Marie tente d’arriver à ses fins en se livrant le moins possible. L’ardeur de Julie lui facilite la tâche, et c’est tant mieux. Elle administre des claques sur les fesses du représentant en lingerie et jouets sexuels. Dommage qu’elle n’ait pas vu de martinet dans les valises. Elle tape de bon cœur pour précipiter la prochaine éjaculation. Le bienheureux sodomite encouragé par les coups de l’une et les cris de douleur de l’autre va bon train dans les entrailles forcées, rabote joyeusement les parois des intestins. Il profite au maximum de cette aubaine. Il peut se féliciter d’avoir levé ces deux cochonnes et approuver leur complicité.
- Ah! Ma belle, que tu es serrée de ce côté-là. Je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Il lime, lime et finalement aboutit…Oh!…han…han, prends ça…han…et ça. Quel bon coup!
Grégoire glorieux ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, c’est une veine incroyable. Et crédules avec ça, les deux connes.! Il va leur montrer ce qu’est un homme, un vrai. C’est du moins l’impression qu’il laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale l’évacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine de vingt ans.. Il la remplit par tous les trous.
Cette fois Marie le laisse sortir. Le héros a besoin d’un peu de repos après cette sodomie. Marie n’a plus à craindre le retour des pêcheurs maintenant qu’elle les sait dans la cuisine. Elle entre dans le jeu imposé par son mari et tient à le revoir réconcilié avec elle.
- Ne bougez pas, je vous prends en photo. Attends je vais te nettoyer. Elle revient avec un saladier plein d’eau tiède, presque chaude pour ne pas créer de choc thermique, et avec un gant de toilette pour procéder à la toilette du manche souillé de sécrétions blanches veinées du brun de la couleur locale. Elle lave, insiste, fignole, va et vient longuement avec un but précis, redonner finalement vie, rappeller le sang dans le corps caverneux. La bite enfle, redevient dure et raide, Marie frotte le gland contre la vulve encore inassouvie de Julie, énerve le garçon et la fille et choisit le moment propice pour expédier au fond du gouffre la matraque ragaillardie. Julie râle de satisfaction, Grégoire est fier de pouvoir mener cette nouvelle attaque. Il se sent désiré et en forme.
Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher l’utérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme l’athlète qui ne sent plus ses jambes à la fin d’une longue course. Il peine, mais ne se dégonfle pas. Il gémit plus fort que sa proie, il cherche, pioche, se relance mais se sent vide.
- Qu’est-ce qui t’arrive, rigole une Julie assez fière de ses prouesses. Assieds-toi, je vais faire hue coco.
Quand la fausse prude en aura-t-elle assez? Dos contre le dossier, jambes pendantes, Grégoire s’assied, tend les bras. Marie avec un haut le cœur, c’est le prix à payer, se penche sur le rameau rabougri, reprend en bouche le gland rougi et masturbe vivement le bas de la trique. Grégoire pour échapper à la honte de la panne la laisse brouter, sent heureusement renaître son désir. Marie fait un miracle, le gland ressort du prépuce.
- Allez, Julie, à cheval.
Julie prend position, ses genoux reposent à l’extérieur des cuisses de l’homme, sa croupe s’abaisse. Marie tient d’une main ferme le pénis un peu mou jusqu’à sa disparition dans la moule affamée de l’amie et cette fois Julie lance la danse. Elle fait tourner ses hanches autour du moyeu, monte et descend en vrille, force l’allure. Hélas elle perd le morceau. Mais Marie veille et sa main replace la chair molle entre les lèvres de la vulve. Julie roule sur la boule, ne monte plus pour la garder au chaud. Le travail dure… Une nouvelle fois Julie gagne un orgasme en se démenant comme une diablesse, s’arrête puis reprend sa course au plaisir. Grégoire émet une ou deux giclées, juste de quoi mouiller l’entrée du vagin, puis demande une pause.
Que Marie chevauche le siège gonflable pendant qu’il retrouve des forces. Le spectacle redressera sa queue, hélas un peu paresseuse aujourd’hui, s‘excuse-t-il. Mais Marie à son tour aura sa ration, foi de Grégoire. Le porte-monnaie est vide mais il prétend encore faire des dépenses.
-Mais tu me laisses en rade? proteste Julie.
Elle se passe une main à l’intérieur des cuisses, la regarde lamie et déclare:
-Repose-toi, Marie prend ton temps. Je vais me vider et me nettoyer le con et le cul. Mais je reviens, j’ai encore envie.
Ce n’est pas croyable. Un homme seul ne lui suffira pas. Quiconque se laissera embarquer dans le mariage par cette fille, est sûr de porter des cornes de cocu. Ce ne sera pas moi, j’en ai assez vu ce soir pour renoncer à cette enragée.
- Une minute Grégoire, je bois un coup et j’accours pour baiser.
Julie annonce son retour.
La porte de la cuisine s’ouvre, Julie entre sans nous voir. Tête baissée elle contrôle du regard les gestes de ses mains occupées à lisser, à étaler et à mettre en ordre les bouclettes brunes de son pubis. Elle s’est lavée, les poils sont encore humides, les traces de sperme ont disparu. Son visage sourit sur un rêve intérieur lorsqu’elle lève les yeux et nous voit. Le choc est brutal, heureusement muet. Elle déglutit difficilement avant de dire d’une voix étranglée:
- Aimé, chéri, vous êtes là ? Vous revenez de la pêche, je ne vous ai pas entendus rentrer ? Il y a longtemps que vous êtes là ? Là…là…euh. Je suis contente de vous voir, hein, heu…
Elle se place dos au passe-plats, veut-elle nous empêcher de voir ce qui se passe de l’autre côté? Juste avant son arrivée Marie remontait le moral de Grégoire et promettait de lui rendre toute sa virilité s’il acceptait de patienter. Tout à coup Julie prend conscience de sa nudité.
- Excusez-moi, je viens de prendre une douche. Il faisait si chaud dehors, nous avons beaucoup marché, j’ai transpiré… Euh, je ne supporte pas les odeurs de sueur, vous comprenez.
Sa voix retrouvée, elle parle fort, veut sans doute alarmer Marie et elle tente une parade à notre curiosité. Son avant-bras gauche barre les pointes meurtries de ses seins: Grégoire les a soumis à rude épreuve, pincées, frottées, sucées. Sa main droite cache imparfaitement la naissance de son sexe entre des cuisses qui se referment imperceptiblement. Car, je ne dois pas voir ces parties de son corps
- Si je vous avais entendus revenir, j’aurais enfilé une robe, j’y vais, vous permettez. Mon pauvre chéri, j’ai honte d’être nue devant toi. Pardon! Considère que c’est un acompte avant mariage.
Je fais le nigaud:
- Et pour Aimé, c’est aussi un acompte, sur quoi? Et pour Grégoire, c’est quoi ? Un encouragement à l’embauche, ou une façon de compenser le manque de sexe en attendant ta nuit de noces ? Tu devrais vite le rejoindre, la malheureuse Marie doit avoir mal aux mâchoires depuis qu’elle le suce pour te le préparer. Va vite calmer tes envies.
Cette fois elle a compris. Ses yeux sortent de leurs orbites, sa bouche reste ouverte, ses bras tombent le long de ses hanches. J’ajoute
-Je suis heureux de savoir que tu as trouvé un travail qui te plaira.
Aimé complète
-Mais ne compte pas l’exercer avec Marie! Ce type est un satyre et toi tu baisses dans mon estime.
- Oh! Vous savez tout. Quel malheur! Si j’avais su. Mais aussi, c’est Marie qui a accepté de le recevoir. Après les choses se sont succédé comme ça. Dis chéri, tu m’en veux ? Laisse-moi aller m’habiller.
Je barre le chemin de la porte.
- Pourquoi t’en voudrais-je ? Pourquoi t’habiller ? Je te priais depuis si longtemps de me montrer ton corps. Le moment où tu es enfin nue serait mal choisi pour t’en vouloir. Au contraire, reste ainsi près de moi, laisse-moi te regarder, admirer la beauté de tes lignes et profiter de tes envies pour te caresser, t’embrasser, te serrer sur mon cœur et te baiser.
Aimé se détourne pendant mes travaux pratiques.
- Ton pauvre Grégoire semble épuisé, tu veux encore faire l’amour: pourquoi serais-je le seul homme exclu de tes toquades. Vois je quitte mes vêtements, nous serons à égalité. Allons au salon, marche devant moi, je veux admirer le mouvement de ta jolie petite croupe. A l’idée de ce qui va suivre, ma quéquette lève la tête. Tu la suceras ma chérie.
Julie nage en pleine incertitude, mais soudain devient soumise. Elle espère le pardon et veut l’obtenir par une obéissance complète à mes souhaits. Elle a été prise en défaut, elle fait profil bas. Aimé nous précède. Je la suis et je l’arrête, je lui donne un baiser, long, savoureux. Surprise elle permet, répond avec élan. Mes mains englobent la poitrine puis au cours du déplacement j’éprouve hardiment la fermeté des muscles fessiers. Elle fait la chatte, je lui caresse le poil pubien au moment où nous entrons au salon. Tout ce qu’elle m’interdisait avant, grâce à Grégoire, m’est permis. Grégoire encore nu, mais averti par notre conversation, penché en avant, ramasse ses habits épars. Nous voyons son cul: Aimé me regarde, nous sourions, nous nous sommes compris. Julie se jette dans les bras de Marie et se met à sangloter.
- Bonjour, l’ami Grégoire. Merci de procurer du travail à ma future femme. Merci également de me la livrer nue à cause des exigences du métier. Vous avez là de fort belles choses, dont nous souhaitons bénéficier. Ces valises sont confisquées, c’est le prix à payer pour avoir usé et abusé du sexe de ma promise.
L’homme est beau joueur et se démonte difficilement
- Heureux de vous faire plaisir. Ces dames possèdent toutes les qualités requises, elles seront parfaites dans l’emploi. Nous avons procédé à des essais concluants, j’apporterai demain les contrats d’embauche. Sur ce je dois me retirer, j’ai ce soir une réunion importante.
- Ne vous pressez pas, vous deviez une dernière prestation à Julie qui y tient et Marie est impatiente d’imiter Julie.
- C’est que…voudrait objecter le coucou venu pondre dans nos nids.
Je frappe où ça fait mal, je constate la détumescence de son zizi, le désigne du doigt, il va se sentir humilié devant ces dames.
- Ah! Je vois. C’est la panne, l’oiseau est kaput ! Julie vous a pompé et fatigué. Dans ce cas, je vais prendre la relève auprès d’elle et je souhaite vous remplacer dignement. Marie se contentera peut-être de son compagnon habituel et vous vous reposerez sagement assis. Nous donnerons le spectacle, vous serez spectateur et avec un peu de chance, vous pourrez vous joindre à nous pour le bouquet final. Un miracle est toujours possible.
- C’est un magnifique projet, applaudit Aimé. Qu’en dis-tu Marie?
- On ne pourrait faire mieux, répond l’interpellée.
Julie vient m’enlacer et m’embrasse ardemment en guise d’assentiment. Tout va bien, croit-elle au miracle?
- Un instant, Aimé donne-moi un coup de main pour installer notre hôte.
Nous avons eu la même idée et entamons le ballet de trois hommes nus, deux mâles en érection déplace un homme à la bite tournée vers ses pieds et l’amènent au dessus du siège gonflé.
- Assieds-toi, mon ami. Le vibromasseur peut pénétrer un vagin ou un postérieur, tu l’as précisé. Tu n’as pas le choix, plie les genoux, adopte une position mi-assise, mi à genoux. Attends, Marie et Julie vont t’aider à t’empaler sur ces quinze centimètres mouvants et si doux. Marie sépare au mieux les fesses de ton patron. Julie guide le vibromasseur vers l’anus. Que ne feraient-elles pas pour un retour en grâce !
- Ça touche! Laissez le descendre doucement. Ah! Que c’est drôle, dit Julie. toute émoustillée.
« Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse » trouve ici sa justification : Grégoire incapable de se révolter en présence de deux hommes, grimace, demande grâce. Il n’a jamais mis sa rondelle sur ce vibromasseur. C’est fait pour les femmes, pas pour lui. Mais il avale inexorablement la tige si douce et plus il se contorsionne, plus l’engin disparaît dans son entre fesse et crée une sensation de brûlure insupportable Devant ces deux femmes plus d’une heure dominées par lui, il est humilié de pleurer et de devoir se donner en spectacle envahi par derrière. Ce truc va lui déchirer la peau du cul, geint-il. Aimé lance le mouvement et confie la commande au vendeur. Je commente :
- Bien, Grégoire, tiens la commande et amuse-toi. Aimé veillera sur ta bonne volonté avec Marie. Quand Julie et moi aurons fait connaissance, quand à mon tour je l’aurai comblée, nous prendrons le relais. Es-tu homosexuel?
- Non, je suis marié.
- Quel bonheur, nous rendrons, Aimé et moi, à ta femme, au centuple, le bien que tu as fait à nos femmes.
-Non, pas ça. Je ferai tout ce que vous m’imposerez. Mais pas un mot à ma femme, elle me tuerait.
- Alors ne traîne pas, fais vibrer ta machine. Mieux que ça. Plus vite. C’est bon, hein. Courage.
Jamais je ne me suis senti aussi sûr de moi. Ma timidité s’est envolée. Médusée par mon autorité tranquille, Julie se fait humble et douce et m’accompagne vers la chambre à coucher de la maison.
- Mon chéri, je t’appartiens. Fais de moi ce que tu veux
- C’est bien mon intention. Allonge-toi, ouvre tes jambes, je veux te voir, me repaître de la vue du sexe que tu me cachais si cruellement.
J’examine longuement les lieux. Mes doigts touchent, pénètrent la grotte, découvrent coins et recoins, tâtent et s’enfoncent dans le marais rouge plus que rose. Parfois Julie sursaute et accuse Grégoire: il a trop longuement frotté son conduit, l’a saccagé et son vagin est irrité. Je dois surtout épargner aujourd’hui son clitoris douloureux. Elle n’a pas oublié son projet.
- Dis, mon amour, si je me donne à toi, m’épouseras-tu? Quand?
Je note l’inversion des propositions. Avant elle exigeait la bague au doigt avant de faire l’amour avec moi. Il y a un énorme progrès. A moi de formuler des conditions.
-Si pendant six mois tu te donnes à moi chaque jour, si tu renonces à courir après les autres hommes et si je constate que tu es fidèle, je t’offrirai cette bague de fiançailles. Je voulais te la mettre au doigt aujourd’hui, mais tu dois comprendre que ta conduite m’a dissuadé de prendre un engagement avant d’être sûr de ton amour.
Elle s’est lavée. Mais un liquide visqueux suinte et se répand dans le bas de sa vulve. Pour l’instant mon envie de la pénétrer s’évanouit à la vue de cet épanchement. Je quitte les orifices où Grégoire a foré pour écouler son sperme. Je me contenterai momentanément de tremper mon biscuit dans sa bouche.
Qu’elle me taille une pipe sera un signe de reddition. Après, j’aviserai.
Grégoire a longuement expérimenté son siège gonflable. Il a reconnu n’avoir aucun pouvoir pour embaucher du personnel.
Sa femme Constance est délicieuse, elle baise comme une déesse, j’ai tenu ma promesse de rendre au centuple…
Chaque soir dans mon lit Julie se dit heureuse. Nous arrivons au terme des six mois de mise à l‘épreuve. J’ai un problème: laquelle épouser de Julie ou de Constance? Qui pourrait me conseiller? Constance s’est vengée des infidélités de son mari. Que Julie aille se consoler chez Grégoire , je garde
- Ah! Ma belle, que tu es serrée de ce côté-là. Je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Il lime, lime et finalement aboutit…Oh!…han…han, prends ça…han…et ça. Quel bon coup!
Grégoire glorieux ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, c’est une veine incroyable. Et crédules avec ça, les deux connes.! Il va leur montrer ce qu’est un homme, un vrai. C’est du moins l’impression qu’il laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale l’évacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine de vingt ans.. Il la remplit par tous les trous.
Cette fois Marie le laisse sortir. Le héros a besoin d’un peu de repos après cette sodomie. Marie n’a plus à craindre le retour des pêcheurs maintenant qu’elle les sait dans la cuisine. Elle entre dans le jeu imposé par son mari et tient à le revoir réconcilié avec elle.
- Ne bougez pas, je vous prends en photo. Attends je vais te nettoyer. Elle revient avec un saladier plein d’eau tiède, presque chaude pour ne pas créer de choc thermique, et avec un gant de toilette pour procéder à la toilette du manche souillé de sécrétions blanches veinées du brun de la couleur locale. Elle lave, insiste, fignole, va et vient longuement avec un but précis, redonner finalement vie, rappeller le sang dans le corps caverneux. La bite enfle, redevient dure et raide, Marie frotte le gland contre la vulve encore inassouvie de Julie, énerve le garçon et la fille et choisit le moment propice pour expédier au fond du gouffre la matraque ragaillardie. Julie râle de satisfaction, Grégoire est fier de pouvoir mener cette nouvelle attaque. Il se sent désiré et en forme.
Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher l’utérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme l’athlète qui ne sent plus ses jambes à la fin d’une longue course. Il peine, mais ne se dégonfle pas. Il gémit plus fort que sa proie, il cherche, pioche, se relance mais se sent vide.
- Qu’est-ce qui t’arrive, rigole une Julie assez fière de ses prouesses. Assieds-toi, je vais faire hue coco.
Quand la fausse prude en aura-t-elle assez? Dos contre le dossier, jambes pendantes, Grégoire s’assied, tend les bras. Marie avec un haut le cœur, c’est le prix à payer, se penche sur le rameau rabougri, reprend en bouche le gland rougi et masturbe vivement le bas de la trique. Grégoire pour échapper à la honte de la panne la laisse brouter, sent heureusement renaître son désir. Marie fait un miracle, le gland ressort du prépuce.
- Allez, Julie, à cheval.
Julie prend position, ses genoux reposent à l’extérieur des cuisses de l’homme, sa croupe s’abaisse. Marie tient d’une main ferme le pénis un peu mou jusqu’à sa disparition dans la moule affamée de l’amie et cette fois Julie lance la danse. Elle fait tourner ses hanches autour du moyeu, monte et descend en vrille, force l’allure. Hélas elle perd le morceau. Mais Marie veille et sa main replace la chair molle entre les lèvres de la vulve. Julie roule sur la boule, ne monte plus pour la garder au chaud. Le travail dure… Une nouvelle fois Julie gagne un orgasme en se démenant comme une diablesse, s’arrête puis reprend sa course au plaisir. Grégoire émet une ou deux giclées, juste de quoi mouiller l’entrée du vagin, puis demande une pause.
Que Marie chevauche le siège gonflable pendant qu’il retrouve des forces. Le spectacle redressera sa queue, hélas un peu paresseuse aujourd’hui, s‘excuse-t-il. Mais Marie à son tour aura sa ration, foi de Grégoire. Le porte-monnaie est vide mais il prétend encore faire des dépenses.
-Mais tu me laisses en rade? proteste Julie.
Elle se passe une main à l’intérieur des cuisses, la regarde lamie et déclare:
-Repose-toi, Marie prend ton temps. Je vais me vider et me nettoyer le con et le cul. Mais je reviens, j’ai encore envie.
Ce n’est pas croyable. Un homme seul ne lui suffira pas. Quiconque se laissera embarquer dans le mariage par cette fille, est sûr de porter des cornes de cocu. Ce ne sera pas moi, j’en ai assez vu ce soir pour renoncer à cette enragée.
- Une minute Grégoire, je bois un coup et j’accours pour baiser.
Julie annonce son retour.
La porte de la cuisine s’ouvre, Julie entre sans nous voir. Tête baissée elle contrôle du regard les gestes de ses mains occupées à lisser, à étaler et à mettre en ordre les bouclettes brunes de son pubis. Elle s’est lavée, les poils sont encore humides, les traces de sperme ont disparu. Son visage sourit sur un rêve intérieur lorsqu’elle lève les yeux et nous voit. Le choc est brutal, heureusement muet. Elle déglutit difficilement avant de dire d’une voix étranglée:
- Aimé, chéri, vous êtes là ? Vous revenez de la pêche, je ne vous ai pas entendus rentrer ? Il y a longtemps que vous êtes là ? Là…là…euh. Je suis contente de vous voir, hein, heu…
Elle se place dos au passe-plats, veut-elle nous empêcher de voir ce qui se passe de l’autre côté? Juste avant son arrivée Marie remontait le moral de Grégoire et promettait de lui rendre toute sa virilité s’il acceptait de patienter. Tout à coup Julie prend conscience de sa nudité.
- Excusez-moi, je viens de prendre une douche. Il faisait si chaud dehors, nous avons beaucoup marché, j’ai transpiré… Euh, je ne supporte pas les odeurs de sueur, vous comprenez.
Sa voix retrouvée, elle parle fort, veut sans doute alarmer Marie et elle tente une parade à notre curiosité. Son avant-bras gauche barre les pointes meurtries de ses seins: Grégoire les a soumis à rude épreuve, pincées, frottées, sucées. Sa main droite cache imparfaitement la naissance de son sexe entre des cuisses qui se referment imperceptiblement. Car, je ne dois pas voir ces parties de son corps
- Si je vous avais entendus revenir, j’aurais enfilé une robe, j’y vais, vous permettez. Mon pauvre chéri, j’ai honte d’être nue devant toi. Pardon! Considère que c’est un acompte avant mariage.
Je fais le nigaud:
- Et pour Aimé, c’est aussi un acompte, sur quoi? Et pour Grégoire, c’est quoi ? Un encouragement à l’embauche, ou une façon de compenser le manque de sexe en attendant ta nuit de noces ? Tu devrais vite le rejoindre, la malheureuse Marie doit avoir mal aux mâchoires depuis qu’elle le suce pour te le préparer. Va vite calmer tes envies.
Cette fois elle a compris. Ses yeux sortent de leurs orbites, sa bouche reste ouverte, ses bras tombent le long de ses hanches. J’ajoute
-Je suis heureux de savoir que tu as trouvé un travail qui te plaira.
Aimé complète
-Mais ne compte pas l’exercer avec Marie! Ce type est un satyre et toi tu baisses dans mon estime.
- Oh! Vous savez tout. Quel malheur! Si j’avais su. Mais aussi, c’est Marie qui a accepté de le recevoir. Après les choses se sont succédé comme ça. Dis chéri, tu m’en veux ? Laisse-moi aller m’habiller.
Je barre le chemin de la porte.
- Pourquoi t’en voudrais-je ? Pourquoi t’habiller ? Je te priais depuis si longtemps de me montrer ton corps. Le moment où tu es enfin nue serait mal choisi pour t’en vouloir. Au contraire, reste ainsi près de moi, laisse-moi te regarder, admirer la beauté de tes lignes et profiter de tes envies pour te caresser, t’embrasser, te serrer sur mon cœur et te baiser.
Aimé se détourne pendant mes travaux pratiques.
- Ton pauvre Grégoire semble épuisé, tu veux encore faire l’amour: pourquoi serais-je le seul homme exclu de tes toquades. Vois je quitte mes vêtements, nous serons à égalité. Allons au salon, marche devant moi, je veux admirer le mouvement de ta jolie petite croupe. A l’idée de ce qui va suivre, ma quéquette lève la tête. Tu la suceras ma chérie.
Julie nage en pleine incertitude, mais soudain devient soumise. Elle espère le pardon et veut l’obtenir par une obéissance complète à mes souhaits. Elle a été prise en défaut, elle fait profil bas. Aimé nous précède. Je la suis et je l’arrête, je lui donne un baiser, long, savoureux. Surprise elle permet, répond avec élan. Mes mains englobent la poitrine puis au cours du déplacement j’éprouve hardiment la fermeté des muscles fessiers. Elle fait la chatte, je lui caresse le poil pubien au moment où nous entrons au salon. Tout ce qu’elle m’interdisait avant, grâce à Grégoire, m’est permis. Grégoire encore nu, mais averti par notre conversation, penché en avant, ramasse ses habits épars. Nous voyons son cul: Aimé me regarde, nous sourions, nous nous sommes compris. Julie se jette dans les bras de Marie et se met à sangloter.
- Bonjour, l’ami Grégoire. Merci de procurer du travail à ma future femme. Merci également de me la livrer nue à cause des exigences du métier. Vous avez là de fort belles choses, dont nous souhaitons bénéficier. Ces valises sont confisquées, c’est le prix à payer pour avoir usé et abusé du sexe de ma promise.
L’homme est beau joueur et se démonte difficilement
- Heureux de vous faire plaisir. Ces dames possèdent toutes les qualités requises, elles seront parfaites dans l’emploi. Nous avons procédé à des essais concluants, j’apporterai demain les contrats d’embauche. Sur ce je dois me retirer, j’ai ce soir une réunion importante.
- Ne vous pressez pas, vous deviez une dernière prestation à Julie qui y tient et Marie est impatiente d’imiter Julie.
- C’est que…voudrait objecter le coucou venu pondre dans nos nids.
Je frappe où ça fait mal, je constate la détumescence de son zizi, le désigne du doigt, il va se sentir humilié devant ces dames.
- Ah! Je vois. C’est la panne, l’oiseau est kaput ! Julie vous a pompé et fatigué. Dans ce cas, je vais prendre la relève auprès d’elle et je souhaite vous remplacer dignement. Marie se contentera peut-être de son compagnon habituel et vous vous reposerez sagement assis. Nous donnerons le spectacle, vous serez spectateur et avec un peu de chance, vous pourrez vous joindre à nous pour le bouquet final. Un miracle est toujours possible.
- C’est un magnifique projet, applaudit Aimé. Qu’en dis-tu Marie?
- On ne pourrait faire mieux, répond l’interpellée.
Julie vient m’enlacer et m’embrasse ardemment en guise d’assentiment. Tout va bien, croit-elle au miracle?
- Un instant, Aimé donne-moi un coup de main pour installer notre hôte.
Nous avons eu la même idée et entamons le ballet de trois hommes nus, deux mâles en érection déplace un homme à la bite tournée vers ses pieds et l’amènent au dessus du siège gonflé.
- Assieds-toi, mon ami. Le vibromasseur peut pénétrer un vagin ou un postérieur, tu l’as précisé. Tu n’as pas le choix, plie les genoux, adopte une position mi-assise, mi à genoux. Attends, Marie et Julie vont t’aider à t’empaler sur ces quinze centimètres mouvants et si doux. Marie sépare au mieux les fesses de ton patron. Julie guide le vibromasseur vers l’anus. Que ne feraient-elles pas pour un retour en grâce !
- Ça touche! Laissez le descendre doucement. Ah! Que c’est drôle, dit Julie. toute émoustillée.
« Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse » trouve ici sa justification : Grégoire incapable de se révolter en présence de deux hommes, grimace, demande grâce. Il n’a jamais mis sa rondelle sur ce vibromasseur. C’est fait pour les femmes, pas pour lui. Mais il avale inexorablement la tige si douce et plus il se contorsionne, plus l’engin disparaît dans son entre fesse et crée une sensation de brûlure insupportable Devant ces deux femmes plus d’une heure dominées par lui, il est humilié de pleurer et de devoir se donner en spectacle envahi par derrière. Ce truc va lui déchirer la peau du cul, geint-il. Aimé lance le mouvement et confie la commande au vendeur. Je commente :
- Bien, Grégoire, tiens la commande et amuse-toi. Aimé veillera sur ta bonne volonté avec Marie. Quand Julie et moi aurons fait connaissance, quand à mon tour je l’aurai comblée, nous prendrons le relais. Es-tu homosexuel?
- Non, je suis marié.
- Quel bonheur, nous rendrons, Aimé et moi, à ta femme, au centuple, le bien que tu as fait à nos femmes.
-Non, pas ça. Je ferai tout ce que vous m’imposerez. Mais pas un mot à ma femme, elle me tuerait.
- Alors ne traîne pas, fais vibrer ta machine. Mieux que ça. Plus vite. C’est bon, hein. Courage.
Jamais je ne me suis senti aussi sûr de moi. Ma timidité s’est envolée. Médusée par mon autorité tranquille, Julie se fait humble et douce et m’accompagne vers la chambre à coucher de la maison.
- Mon chéri, je t’appartiens. Fais de moi ce que tu veux
- C’est bien mon intention. Allonge-toi, ouvre tes jambes, je veux te voir, me repaître de la vue du sexe que tu me cachais si cruellement.
J’examine longuement les lieux. Mes doigts touchent, pénètrent la grotte, découvrent coins et recoins, tâtent et s’enfoncent dans le marais rouge plus que rose. Parfois Julie sursaute et accuse Grégoire: il a trop longuement frotté son conduit, l’a saccagé et son vagin est irrité. Je dois surtout épargner aujourd’hui son clitoris douloureux. Elle n’a pas oublié son projet.
- Dis, mon amour, si je me donne à toi, m’épouseras-tu? Quand?
Je note l’inversion des propositions. Avant elle exigeait la bague au doigt avant de faire l’amour avec moi. Il y a un énorme progrès. A moi de formuler des conditions.
-Si pendant six mois tu te donnes à moi chaque jour, si tu renonces à courir après les autres hommes et si je constate que tu es fidèle, je t’offrirai cette bague de fiançailles. Je voulais te la mettre au doigt aujourd’hui, mais tu dois comprendre que ta conduite m’a dissuadé de prendre un engagement avant d’être sûr de ton amour.
Elle s’est lavée. Mais un liquide visqueux suinte et se répand dans le bas de sa vulve. Pour l’instant mon envie de la pénétrer s’évanouit à la vue de cet épanchement. Je quitte les orifices où Grégoire a foré pour écouler son sperme. Je me contenterai momentanément de tremper mon biscuit dans sa bouche.
Qu’elle me taille une pipe sera un signe de reddition. Après, j’aviserai.
Grégoire a longuement expérimenté son siège gonflable. Il a reconnu n’avoir aucun pouvoir pour embaucher du personnel.
Sa femme Constance est délicieuse, elle baise comme une déesse, j’ai tenu ma promesse de rendre au centuple…
Chaque soir dans mon lit Julie se dit heureuse. Nous arrivons au terme des six mois de mise à l‘épreuve. J’ai un problème: laquelle épouser de Julie ou de Constance? Qui pourrait me conseiller? Constance s’est vengée des infidélités de son mari. Que Julie aille se consoler chez Grégoire , je garde
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je garde Constance, ça va de soi !
Je garde qui? Le lecteur a le choix, mais il est influencé par le contexte
Elle le prenait pour un niais! Il choisit l'autre: double vengeance; bravo
"Que Julie aille se consoler chez Grégoire , je garde"
Je garde ... Quoi !?
Je garde ... Quoi !?