« Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 3 : Bas instincts

- Par l'auteur HDS Castor99 -
Récit érotique écrit par Castor99 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : « Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 3 : Bas instincts Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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« Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 3 : Bas instincts
Je n’ai pas trouvé mieux à lui répondre que « oui, j’aimerais bien rester ». Il est venu s’assoir sur mes genoux et m’a susurré à l’oreille après m’avoir embrassé sur la bouche : « Tu peux faire tout ce que tu veux de moi ». Je suis rentré dans son jeu : « Tout ? Tu es sûr ? ». « Oui, il te suffit de me dire ce que tu veux que je fasse et je t’obéirai ». Je l’ai pris au mot. Un petit démon rouge est apparu sur mon épaule gauche et m’a dit d’en profiter pour assouvir tous mes fantasmes de domination que j’avais pu enfouir loin dans ma tête. Et bizarrement, aucun ange n’est venu sur mon épaule droite pour me dire que ce n’était pas bien.


Je suis parti dans sa chambre, j’ai fouiné dans ses tiroirs et j’y ai trouvé quelques perverses trouvailles. J’ai demandé à Simon de me rejoindre.
- Met ça, lui ordonnais-je en lui tendant un jockstrap


Il m’a souri, s’est dessapé et a revêtu le jockstrap blanc sur son sexe à demi-bandé en me toisant.
- A genoux devant moi, les mains derrière le dos


Je me suis mis derrière lui et j’ai sorti une paire de menottes pour attacher ses mains. Puis un masque pour lui cacher ses yeux, et enfin un harnais en cuir que j’ai enfilé sur son torse. Je me suis penché à son oreille tout en posant mes mains sur son torse :
- Je vais abuser de toi, je vais utiliser tous tes trous, je vais te baiser comme une salope



Il gémissait déjà alors que je venais à peine de commencer à triturer ses deux tétons. Et je l’ai laissé comme ça pendant que je me déshabillais à mon tour. Une fois nu, j’ai pris le cockring en silicone noir que j’avais trouvé pour le mettre sur ma queue. C’était la première fois que j’en mettais un. D’abord les couilles, puis j’ai fait passer ma tige en étirant l’anneau. Cela faisait ressortir mes couilles en avant accompagné d’une délicieuse sensation qui faisait encore plus se gorger de sang ma bite. J’avais l’impression qu’elle était énorme, outrageusement énorme.


Simon était toujours devant moi, à genoux, attendant mon bon vouloir. A la bosse qui déformait son jockstrap, je devinais sa queue tendue à mort. Je me suis approché et de ma bite que je tenais dans ma main droite je parcourais son visage en prenant bien soin de ne pas m’approcher de sa bouche. Son front, sa joue droite, sa joue gauche, son menton. Il ouvrait ses lèvres pour essayer de la prendre en bouche mais ma bite s’échappait à chaque fois. Jusqu’à ce que ce soit moi qui décide du bon moment et ce n’était pas encore le cas. Je voulais faire monter sa frustration, pour que sa délivrance n’en soit que meilleure.


Je me suis remis derrière lui et d’une main ferme entre ses omoplates je l’ai forcé à se pencher jusqu’à ce que sa tête touche terre. De là j’avais une belle vision sur son cul. J’ai pris le plug que j’avais soigneusement caché jusque-là, l’ai couvert d’un préservatif et badigeonné de gel lubrifiant. Et lentement mais inexorablement je l’ai enfilé dans son trou. Une fois bien au fond, j’ai tiré sur le harnais pour le forcer à se remettre à genoux et l’ai à nouveau contourné.


J’ai repris ma bite en main et cette fois-ci je l’ai enfournée dans sa bouche en lui tenant la tête de ma main gauche. Je lui baisais littéralement la gueule, allant de plus en plus profond, parfois jusqu’à mon pubis, jusqu’à son réflexe nauséeux. Je sortais parfois ma queue pour le laisser respirer, un fil de salive reliant alors la commissure de ses lèvres à mon gland. Et j’en profitais pour lui demander s’il aimait ce que je lui faisais, ce à quoi il répondait invariablement « oui, continue ». Parfois je le laissais s’activer de lui-même sur ma queue afin de pouvoir lui pincer les tétons en même temps rien que pour le plaisir de l’entendre gémir sa bouche pleine de mon sexe.


Lorsque j’en ai eu marre, j’ai replacé Simon à quatre pattes, et après lui avoir enlevé le plug pour laisser apparaitre son trou béant, je me suis mis au-dessus de lui, les pieds plantés dans son parquet, les jambes fléchies, et en me tenant à son harnais j’ai entré ma queue d’un seul coup jusqu’à la garde. J’ai entendu un cri aigu sortir de sa bouche. Et j’ai commencé à taper bien au fond de son cul, mon pubis claquant ses fesses à chaque fois. J’étais devenu une bête en rut baisant sa femelle sans vergogne et sans retenu. Je me suis retiré avant de sentir l’orgasme arriver, j’ai enlevé ma capote et je me suis terminé en jouissant sur son visage, mes jets de sperme zébrant son front, ses joues et le masque noir qu’il portait encore.


Je l’ai délivré et ôté son masque, j’ai déposé un tendre baiser sur ses lèvres et je l’ai débarbouillé. Il était crevé, je l’ai allongé et il m’a juste dit merci avant de s’endormir instantanément. Je l’ai laissé là et je suis rentré chez moi, un peu confus sur ce qu’il venait de se passer. J’avais laissé mes plus bas instincts prendre le dessus. Ce que je ressentais, c’était un mélange bizarre entre honte et satisfaction. Je me suis promis d’en discuter avec Simon plus tard.


Le lendemain jeudi, Simon reprenait le travail à son agence et Marion devait être sur la route pour rentrer. C’était une journée off pour moi et surtout le moyen de reprendre des forces. Je voulais être frais et dispo pour demain. Matinée passée à lézarder dans mon lit. Brunch œuf bacon jus d’orange café. Après-midi à comater sur le canapé. Je devais passer à l’agence vers 17H00 pour donner les derniers papiers pour la location du meublé et récupérer les clés. En effet dès le samedi ma femme rentrait avec les enfants. Elle les avait encore une semaine et j’allais devoir dégager le plancher.


Arrivé à l’agence, je pensais ne voir que Simon mais le propriétaire était là car il tenait à me rencontrer. J’ai serré la main de Simon avec un léger sourire puis celle du vieux monsieur qui louait son précieux investissement. J’ai fourni les documents attendus, le chèque de caution et le chèque du premier mois et nous avons signé le bail du meublé puis la remise des clés. Simon a tenu à célébrer l’évènement en débouchant une bouteille de champagne. Le monsieur était ravi de l’attention et on a siroté nos coupes après avoir trinqué. Le problème, c’était que le monsieur ne voulait plus partir, parlant, radotant même. On se regardait souvent avec Simon, impatient de se retrouver tous les deux. A 18H00 Simon a dû annoncer qu’il devait fermer l’agence pour que le monsieur, légèrement éméché par les quelques coupes de champagne, daigne enfin sortir en titubant légèrement sur le trottoir. Simon a refermé la porte à clé après son départ et des yeux m’a montré une porte au fond du local en me disant « suis-moi ». C’était une petite réserve, sombre et sans fenêtre, quelques étagères sur la droite, une autre porte sur la gauche sur laquelle était marqué « Toilette ». C’était le seul endroit de l’agence à l’abri des regards de la rue.


Simon a refermé la porte et s’est plaqué contre moi pour m’embrasser. Nos langues tournoyaient frénétiquement l’une autour de l’autre. On s’est détaché à regret pour reprendre un peu notre souffle. Il en a profité pour me murmurer qu’il avait adoré pour hier, que parfois il aimait être dominé et que j’avais été exactement comme il fallait.


J’avais envie de lui rendre le plaisir que j’avais pris si égoïstement hier. Je me suis agenouillé devant lui, défait sa ceinture noire en cuir, ouvert son pantalon de costume et descendu son boxer. Son érection était déjà massive et son gland me défiait à quelques centimètres de ma bouche. Je ne me suis pas fait prier et je me suis appliqué. Ma langue passait de ses couilles à son gland puis je l’embouchais, parfois que pour m’occuper de son gland, parfois pour prendre sa longue tige aussi loin qu’il m’était possible de le faire. Ma main gauche caressait ses couilles, ma droite le branlait à la base de sa hampe. Puis j’ai accéléré. Sa bite calée au fond de ma gorge, il ne me fallut pas longtemps pour sentir son sexe se tendre encore plus et son gland grossir au fond de ma bouche. Je l’entendis murmurer « je vais jouir » en crispant ses mains dans mes cheveux. Je pense qu’il imaginait que j’allais m’écarter pour le laisser éjaculer mais au contraire, je me suis accroché comme j’ai pu et je l’ai laissé s’épancher en moi, sentant son sperme remonter de la base de sa bite jusqu’à son gland et sortir par jets puissants en inondant mon palais et ma gorge. Pas peu fier de moi, j’ai réussi à tout avaler sans que cela ne déborde de mes lèvres.


Il m’a fait « waouh » tandis que je remontais le long de son corps jusqu’à son visage pour l’embrasser et partager avec lui le gout de sa semence. On s’est rapidement quitté ainsi, il devait rejoindre des amis, et moi je voulais faire du rangement chez moi, préparer mon sac et surtout reprendre des forces. Le lendemain ma future ex-femme rentrait avec les enfants et je devais libérer la maison et prendre mes quartiers pendant une semaine dans le studio. Marion rentrait également ce soir. Je lui avais donné rendez-vous le lendemain à mon studio, une fois qu’elle serait libérée de ses enfants pour la semaine. Cela me laisserait le temps de m’installer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonne histoire!

Moi aussi j'aurais aimé être à ta place et goûter à ton copain. J'adore avoir un pénis dur et rond, qui jouit dans ma bouche. J'ai hâte à la suite.

BonneCochonne XXX

Vite la suite préviens moi quand elle sort !



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