« Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 2 : Quand Marion me murmure « Je suis ta salope »

- Par l'auteur HDS Castor99 -
Récit érotique écrit par Castor99 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : « Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 2 : Quand Marion me murmure « Je suis ta salope » Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 2 : Quand Marion me murmure « Je suis ta salope »
Après le restaurant il me tardait de voir Marion et Simon mais la semaine suivante nous avions été tous les trois très occupés par nos boulots ou par notre vie de famille. A peine quelques sms échangés avec Marion qui m’avait avoué à demi-mot le lendemain soir qu’elle s’était masturbée toute seule dans son lit en pensant à mon histoire et qu’elle avait très envie de moi. J’étais sûr que même par écran interposé, elle avait dû rougir de honte en me l’écrivant. Son invitation à diner chez elle le samedi soir suivant avait clos nos échanges.


Le samedi suivant je l’ai rejointe comme convenu vers 20H. Elle habitait un 3 pièces à Montrouge. C’était un appartement typique des constructions des années 90. Dans les quelques 70 m2 se répartissaient un séjour avec une baie vitrée donnant sur un petit balcon, une cuisine attenante en forme de couloir, deux chambres, une salle de bain avec baignoire, et des toilettes séparées, le tout distribué par une entrée qui se prolongeait en couloir vers la partie nuit. Ses deux enfants se partageaient la chambre du fond, la sienne était la plus proche de l’entrée.


Elle nous avait préparés un diner de saison. Des paupiettes de veau accompagnées de pommes de terre. La table était mise. Elle avait sorti la belle vaisselle posée sur une jolie nappe, des verres à vin et une bouteille de Bourgogne. Une ambiance tamisée par quelques bougies allumées par ci et par là. Bref Elle avait mis les petits plats dans les grands. Elle s’était apprêtée comme si elle sortait : une jupe serrée gris foncé au-dessus des genoux, des collants ou des bas je ne savais pas, un chemisier blanc au travers duquel on devinait un soutien-gorge noir en dentelle. Elle était joliment maquillée. Moi de mon côté j’avais un peu honte. J’étais venu en basic d’un week-end normal d’hiver : un jean bleu, un pull à col roulé blanc et des baskets blanches.


Pendant le diner elle parlait pour deux et je buvais ses paroles comme je buvais son Bourgogne qu’elle avait acheté au Nicolas d’en bas. Il n’était pas mauvais d’ailleurs son vin. On a parlé de beaucoup de choses, on s’est raconté notre enfance, nos enfants, notre mariage et aussi ce qui avait merdé. Elle m’a aussi dit qu’il avait été très contente de rencontrer Simon, qu’elle avait passé un bon moment et qu’elle le trouvait très bien. On s’est aussi fait des promesses. Promesse de ne jamais rien se cacher, promesse d’être honnête l’un envers l’autre, promesse de laisser l’autre libre de ses choix et de ses envies, promesse de toujours se protéger si on va voir ailleurs. On avait d’ailleurs fait quelques jours auparavant des tests pour ne plus avoir à mettre de capotes. Et Simon avait fait la même chose.


Marion a été honnête avec moi, ce n’était pas forcément facile d’accepter que notre relation ne soit pas exclusive. Ou en tout cas c’était nouveau pour elle et bien évidemment un temps d’adaptation était nécessaire. Je la remerciais mille fois de sa compréhension et de sa confiance. On s’était pris la main pendant qu’on s’échangeait ces quelques mots tendres.


Le diner touchait à sa fin. Qu’est-ce qu’il faisait chaud chez elle. Elle avait dû pousser ses radiateurs à fond. Je lui ai fait remarquer en retirant mon pull. Elle m’a souri en disant que c’était fait exprès. Et tout en me fixant dans les yeux, elle a déboutonné 2 boutons de son chemisier pour laisser entrevoir la naissance de ses seins emprisonnés dans la dentelle noire. La température venait encore de monter de plusieurs degrés. Je lui ai dit que si elle continuait, je ne répondais plus de rien. Son unique réponse fût d’enlever un bouton supplémentaire. « Tant pis pour toi, tu l’auras voulu » ai-je dit en me levant. « C’est de ta faute » a-t-elle rétorqué en se levant à son tour.


Elle a pris ma main dans la sienne et est partie déterminée vers sa chambre. Des bougies y étaient également allumées, rendant l’atmosphère romantique. Face à face, j’ai terminé le travail en déboutonnant les boutons restants pour enlever son chemisier. J’ai caressé ses petits seins à travers la fine dentelle. Elle frissonnait alors qu’il devait faire 25°. Je l’ai vu passer lentement ses deux mains derrière ses fesses, tirer vers le bas ce qui devait être une fermeture éclair puis se trémousser pour faire descendre sa jupe le long de ses jambes. C’était des bas qu’elle avait mis, des dim up. Et au milieu trônait un petit tanga noir échancré coordonné à son soutien-gorge et au travers duquel on apercevait un fin ruban de poils courts et noirs. Très joli ensemble et très jolie vue. Pour une fois je n’ai pas su quoi dire.


Elle m’a enlevé mon tee-shirt puis elle m’a poussé délicatement pour que je bascule en arrière sur le lit, les pieds encore posés au sol. Elle est venue à califourchon sur moi et nous avons échangé un long baiser alors que mes mains se promenaient sur sa peau brûlante, visitant sa nuque, son dos, ses hanches, ses fesses. J’essayais maladroitement d’enlever son soutien-gorge mais j’ai toujours été nul pour dégrafer ces foutus trucs. Elle a fini par prendre pitié de ma maladresse en l’enlevant elle-même. Elle s’est penchée de nouveau contre moi et cette fois-ci je sentais la pointe de ses deux tétons s’exciter contre mon torse pendant qu’elle continuait à me dévorer la langue.


Dans cette position et en passant par ses fesses, j’arrivais à atteindre du bout des doigts son sexe que je caressais à travers la dentelle avec la pulpe de l’index et du majeur. J’en ressentais l’humidité qui imprégnait le tissu et ses lèvres gonflées qui s’écartaient d’elle-même d’excitation.


Mais à peine tentais-je de passer sous l’élastique de son tanga que Marion s’échappa. Telle un reptile, elle rampa le long de mon corps, non sans avoir lécher chaque cm de ma bouche à mon ventre. Elle s’attaqua à ma ceinture puis à ma braguette tout en continuant à butiner mon nombril. Une fois ouvert, elle posa ses lèvres sur la bosse que formait ma queue avant de toute descendre du même geste jusqu’à mes genoux. Elle prit mon sexe de la main droite, le mis à la verticale et l’avala sans plus de cérémonie. Le cou tendu vers elle, je voyais sa tête monter et descendre sur mon vit puis je finis par laisser retomber ma tête pour me concentrer sur les délicieuses sensations que la pipe de Marion me procurait. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais une fois satisfaite de son travail, Marion libéra son otage luisant de sa salive, fit le chemin inverse toujours en rampant, et d’un geste sûr, une main écartant son sous-vêtement, l’autre autour de ma tige, elle s’empala en laissant échapper un souffle rauque. Ancrée sur ma bite d’amarrage, elle ondulait, louvoyait, tanguait, roulait. Et mes mains en faisaient de même autour de ses tétons érigés.


Elle se retira avant d’atteindre le point de non-retour, se remit debout et descendit le long de ses jambes le tanga qui la gênait. Qu’elle était excitante ainsi tout juste habillée de ses bas. Je me redressais pour me libérer de mon jean et de mon caleçon entortillés autour de mes mollets. J’avais du mal à me concentrer alors qu’avec un visage mutin et toute à son plaisir, Marion m’attendait debout la main droite s’activant entre ses jambes.


Elle se retourna, s’approcha du mur qui était en face de son lit, posa sa main gauche à plat dessus un peu plus haut que sa tête, sa droite toujours nichée entre ses jambes, se cambra et tourna juste son visage vers moi en me disant « viens, baise-moi ». Marion avait décidé que ce soir c’était elle qui dirigeait. Cela m’allait très bien. Je me suis approché d’elle, j’ai pointé mon gland contre son sexe et j’ai poussé. Marion en lâcha un cri de satisfaction. Je l’ai baisé comme ça, debout, alors que je la tenais fermement par ses hanches. Je tapais fort et je lui demandais si elle aimait ça, si elle sentait bien ma bite ou si ça la faisait jouir. Elle me répondait par des « oui, vas-y, encore, mets-la moi bien profonde » et par « elle est bonne ta queue » ou « elle est grosse, je la sens bien ». On montait crescendo et, encore maintenant je m’en souviens très bien, c’est quand elle a osé « oui, plus fort, défonce-moi, je suis ta salope » que j’ai tout lâché au fond d’elle alors qu’elle jouissait, ses doigts crispés sur son clitoris, son vagin se contractant sur ma queue comme s’il voulait traire les dernières gouttes de sperme qui me restaient.


J’ai posé mon visage sur son dos perlé de sueur salée afin de reprendre mon souffle tandis qu’elle avait mis son bras gauche en arrière pour poser sa main dans mes cheveux.


C’est à ce moment là que pour la première fois on s’est dit « je t’aime ». C’est une étape importante pour un couple naissant, même si le nôtre est quand même particulier. J’ai fini par me retirer à regret car du sperme coulait sur mes couilles et le long de sa cuisse droite sur son bas. Elle est partie chercher une serviette dans la salle de bain pour nous essuyer, a enlevé ses bas et on s’est lové sous sa couette pour se câliner amoureusement. J’ai dû m’endormir en deux secondes.

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