Puceaux à déniaiser 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Puceaux à déniaiser 4
- Bravo Joris ! Tu découvres tout seul le mode d'emploi. Tu n'as pas attendu mes conseils pour mettre deux doigts dans le vagin. C'est ingénieux. Mia commence à réagir à tes gestes audacieux. Son ventre valsera plus intensément quand tu accéléreras l'allure de tes doigts. Renverse ta main, frotte contre le haut du conduit. Tout au bout de ta première phalange, atteins son point le plus sensible. C'est ça, tu as touché son point G. Là, tu la rends dingue, son cul fait des bonds, elle est chaude à souhait, bonne à baiser. Continue, fais-la crier de plaisir. Tu es un petit gars formidable. Laisse-la souffler deux minutes.
Je retourne de l'autre côté du drap. Mia a le visage congestionné, respire avec bruit, essuie une larme et me sourit. Elle reçoit mon compliment à l'adresse de son poulain avec un air mitigé. En brûlant les étapes le prétendu puceau peut avoir semé le doute dans mon esprit, Mia le devine. Son plaisir a été vif, sa satisfaction n'est pas explosive, elle parait même gênée par la rapidité des progrès de son novice. Je l'aide à remonter dans le lit. Il sera plus facile de lui mettre une bite, si l’acteur peut grimper au bout du matelas au lieu de devoir trop se pencher.
-Veux-tu prendre la position de la levrette ? Joris ne la connaît pas, puisqu’il ignore presque tout. Présente-lui tes fesses assez haut, à hauteur de zizi, ainsi il trouvera sans difficulté l’ouverture du paradis. Je déplace le rideau, bien qu’il ne voie pas ton visage, l’explorateur verra distinctement ton anus et ton sexe et je pense que sur sa lancée il saura exactement s’y prendre pour te posséder. Il est très doué, très créatif; la leçon actuelle suffira à en faire un amant de qualité. Et comme tu l’as affirmé, « tout pourrait être rapide, simple et définitivement réglé dès aujourd'hui. » Je retourne auprès de lui. Je suppose que d'instinct il saura s'introduire dans le bon trou et se comporter comme un homme expérimenté.
Visiblement contrariée, Mia parle assez fort. Sa réponse semble plus destinée au garçon trop pressé qu'à moi.
- Ca m'étonnerait. Il n'a jamais pratiqué. Ta présence le rassurera et il voudra patienter de manière à ne pas commettre d'erreur. Va et guide le en moi, il a besoin de tes indications.
- Puisque tu le dis, je vais tenir son engin et le diriger dans la bonne cible. A moins que tu veuilles commencer par une invasion anale. Non, tu refuses toujours ce dévoiement. Soyons sérieux ! Attention, tu as déjà pu évaluer ses dimensions, tu vas le sentir passer.
Je fais signe à l'apprenti et je murmure à son oreille :
- Laisse-moi te montrer comment tu devras t'y prendre. Observe attentivement ma démonstration, tu m’imiteras ensuite. Je ne te vole rien, je te rends service, je prépare le terrain ; quand viendra ton tour, ta verge entrera comme dans du beurre, l’amusoire sera parfaitement lubrifié.
Je le fais reculer et place mon index sur mes lèvres vaginales enflées. Un clin d'oeil coquin à l’innocent confirme la malice dont il tirera profit.
Me voici sur le matelas, à genoux derrière la croupe somptueuse de Mia. Le fessier d'une quadragénaire, aussi bien soit elle conservée, est plus lourd, plus large, plus majestueux que celui d'une pucelle de vingt ans. La vulve après le traitement qu'elle vient de recevoir est enflée à souhait sous le triangle qui entoure le cratère du trou de balle ridé. Je commente mon action en laissant supposer à Mia qu'elle est sur le point de donner la leçon à son jeune élève. Joris observe le silence afin d'occuper bientôt mon poste. S’il se sent frustré c’est tant mieux. Il ne peut pas se permettre de râler. Ce n'est pas le moment de compromettre sa chance exceptionnelle de sauter ma femme. Je recommande le passage à l’acte que j’exécute :.
- Mon garçon, avance sur les genoux. Prends ta bite en main. Approche ton gland de la fente. Ne te précipite pas, frotte le bout de ta queue contre l'abricot, de haut en bas. Décris des allers-retours, exerce une pression légère contre les chairs roses. Cela cède
En réalité c’est mon gland qui excite la fente tendue. Joris est attentif. Mes frottements seront faciles à imiter. Il voit la légère poussée de ma queue contre les grandes lèvres. Je connais par coeur mon chemin, j'observe le candidat et je sens un immense plaisir quand je lis sur son visage sa déception de me voir m'enfoncer dans le trou qu'il espérait n'être qu'à lui ce soir. J’ironise :
-Pousse en haut de la fente si tu veux t’enfoncer. Avance sans crainte, il n’y a pas de dents dans cet orifice.
Son désappointement réjouit cette part de moi que le partage entre deux mâles mécontente. Je me reproche d’avoir accepté la folie de Mia. J'enfonce le clou, puisque je suis en démonstration, je peux aller jusqu'au bout du vagin. Je heurte l’entrée de l’utérus. Je cogne la limite. Mia ne me voit pas, mais pousse un petit cri d'encouragement. Je redouble mes coups de reins, La rage d’avoir admis le prétexte d’une initiation multiplie ma vigueur. Mia creuse son dos pour mieux accueillir, au fond de son sexe, le sexe neuf de Joris. Pour plaire à celui qui la monte, elle se projette au-devant du socle qui laboure ses chairs. Je l’interroge hypocritement :
-Est-ce qu’il ne te fait pas mal ? Par bonheur ton vagin a conservé son élasticité. Tu pourrais abriter un engin encore plus gros. Il existe des gourdins xxx. Un jour, si tu le demandes gentiment, j’en recruterai un.
-Inutile, cher Jean. Voici exactement ce qu’il me faut. Le sexe de Joris est un peu plus vigoureux que le tien. Que veux-tu, il a le privilège de la fougue de la jeunesse. Il me laissera un excellent souvenir.
-Que feras-tu d’un souvenir ? Penseras-tu à lui quand je te prendrai ? Vivras-tu du souvenir au lieu de jouir de moi ? Tu devrais te montrer plus active pour que Joris emporte de toi un souvenir impérissable.
Mia me prend au mot. Elle se lance dans une course effrénée au plaisir et ses efforts amoureux sortent de l’ordinaire. Elle veut éblouir Joris. Autant sinon plus que moi. Il y a de quoi méditer. Elle m’alerte.
Je ne laisse qu'une partie de mon dard en elle et je cesse mon va et vient. Aussitôt sa croupe cherche à combler le vide, bouge, m'engloutit : Mia entreprend le mouvement alternatif autour de ma hampe immobile. Je m'accroche à ses poignées d'amour et je reprends l'union à mon compte, je la défonce de plus en plus vite. Je ne sais pas quel moyen de contraception elle utilise. Elle m'a parlé de pilule contraceptive. Mais elle pourrait l'avoir oubliée en prévision de cette fête. Il lui plairait peut-être de me donner un enfant en souvenir de Joris. Je suis le premier à tapisser ses parois de mon sperme. Je me donne une chance d'être le père de mon fils. Pourquoi Mia a-t-elle le cœur et le sexe sur la main, aussi accessible à un tiers ?
Je lime, je garde la cadence. Quand je m'entraînais au demi-fond, après un tour de piste, je faisais un sprint de cent mètres avant de reprendre l'allure de croisière. J'inflige régulièrement à ma femme des coups d'accélération brutale Elle na pas reconnu ma façon de baiser. Elle ne pense qu’à Joris, cela trouble ses sens et son esprit. En temps ordinaire elle aurait éventé ma tromperie. Elle croit encourager le nouvel amant et me gratifie d'un encouragement susurré.
- Prudence, fais semblant de ne pas savoir. N’oublie pas mes consignes.
Elle complète à voix normale :
- C'est bon. Cher Joris, n'aie pas peur de monter en puissance. Tes débuts sont prometteurs. J'espère que tu recommenceras. Un bon amant est capable de faire l'amour au moins deux fois. Tu es un bon amant. Tu as des élans formidables.
Elle s’adresse ensuite à moi :
-Jean, je crois que Joris a quelque chose d'extraordinaire. Je suis heureuse de lui révéler ces rares qualités. Pardon de le dire, je n’ai jamais été aimée aussi fort. Bienheureuses ses futures partenaires.
Le compliment irait droit au cœur de l’élève. L’appréciation est subjective, elle prouve que je suis « un bon amant ». Mais l’appel à la prudence m’intrigue. Je charge, je bourre, je me donne à fond, j'éjacule et je m'immobilise longuement puis j'ordonne :
C'est bien Joris. Retire-toi et assieds-toi pour récupérer. Tu as entendu Mia , elle souhaite que tu seras à la hauteur et capable de la faire jouir une deuxième fois. Ses compliments me touchent. Elle veut connaître deux fois le même bonheur. J’accepte cette exception. Dès que tu seras prêt, tu pourras recommencer. Courage.
- Mais certainement Jean. Je serai vite en état de l'aimer encore dans un instant. Pourquoi attendre ?
Le coquin a compris l'avantage à tirer de mon subterfuge. Il sortira grandi de l'événement aux yeux de sa coach. Pour le faire mousser davantage, je pose mon index sur la vulve qui a gardé la position et je proteste, faussement indigné :
- Mais, qu'est-ce que je vois. Tu n'as pas su te retenir, tu as éjaculé dans le ventre de ma femme. Ce n'est pas correcte. Tu l'as engrossée si ça se trouve. Alors là, je veux la fin des relations sexuelles si tu n'as pas de préservatif.
- Allons, chéri, j'ai un stérilet.
- Première nouvelle. Depuis quand ?
- Ca fait au moins quinze jours. Est-ce que j'aurais oublié de te le dire? Excuse ma distraction.
Dire que cette femme, depuis que nous projetons de nous marier, me racontait qu'elle souhaitait un enfant de moi. Comment expliquer cette incohérence ? De qui a-t-elle voulu se protéger ? De Joris sans doute. Un test adn , elle doit le savoir, permet d(établir une filiation. Ou elle a renoncé à me faire un enfant que Joris ne reconnaîtrait pas si elle me quittait pour lui. Elle m'observe par en-dessous. Mon malaise ne lui échappe pas. Elle tente une diversion et relance Joris :
- Mon ami Joris, j'aimerais changer de position. Puis-je me coucher sur le dos. A cause du drap exigé par mon jaloux, tu ne pourras pas t'allonger sur moi. Mais tu lèveras mes jambes, Jean glissera un coussin sous mon bassin et tu pourras me pénétrer et renouveler ton exploit. Surtout ne me ménage pas, j'aime qu'on me bouscule, qu'on me secoue, qu'on me baise fort, comme tu l'as fait de manière si remarquable. Ton initiation se terminera vraisemblablement ce soir. Jean ne supportera pas une concurrence pareille. Essaie de briller encore mieux que la première fois.
Elle a raison de penser que je ne suis pas content de la comparaison qu'elle a établie précédemment. Je rebondis sur ses insinuations de jalousie qui mettrait fin à cette formation. J'invente de quoi la surprendre.
- Effectivement, cher Joris, tu vas tirer ton dernier coup avec ma femme. Tu sais parfaitement te débrouiller avec une femme, je l'avais deviné avant ta démonstration. En prévision de cette fin rapide, pour que tu puisses immédiatement confirmer ta prise de conscience de tes qualités sexuelles, j'ai eu un contact avec une jeune fille bien sous tous les rapports. Je lui ai exposé ton cas, j'ai fait de toi un portrait élogieux hier. Elle a accepté un rendez-vous avec toi dès demain soir. Il y a à proximité de votre entre- prise un hôtel, "Le Palace". Je vous ai réservé la chambre 4 où elle t'attendra à partir de 17 heures. Vous ferez connaissance et si affinités, tu pourras comparer le corps d'une femme mûre et celui plus frais d'une demoiselle de ton âge. Quand on se soucie de réussir sa vie amoureuse, on ne peut pas négliger les comparaisons. L'occasion est trop belle et ne se représentera peut-être plus de si tôt.
Joris semble incrédule. Derrière le drap Mia est furieuse de cette mise en concurrence si rapide. Elle m'apostrophe d'une voix amère
- De quoi te mêles-tu ? C'est trop tôt. Cette fois tu ne crains pas de traumatiser ce cher ami. On aurait pu conforter ses connaissances. Laisse-lui le temps de digérer cette première fois avec moi.
- Quel meilleur moyen que la variété de partenaires pour amasser les connaissances. Je connais la famille d'Irène. C'est une jeune fille sérieuse, de bonne éducation, promise à un brillant avenir. Elle est jeune, extrêmement belle et généreuse. L'énumération des qualités de Joris a suffi à la persuader de le rencontrer. Au moins pour lier connaissance. Il dépendra de ton élève de marquer des points grâce à ton coaching. Comprends qu'à son âge il préfère une fille de sa génération. Tu es parfaite comme maîtresse de stage dans un cadre étriqué, devant témoin. Imagine-le libéré de ma surveillance, libre de mener une relation vraiment amoureuse et dans laquelle la notion de pédagogie disparaît.
- Alors, ne perdons pas une minute. Même à la hâte j'achèverai l’initiation de cet admirable amant. Il va se surpasser, la leçon te profitera cher quadragénaire de mon cœur. Etudie son application. Ne crois pas tout savoir, apprends !
- Oui, je peux m'améliorer. Joris entends-moi :
-Il te reste à parfaire ton éducation avec Mia, . Elle a exposé ce qu'elle attend de toi. Sois au moins égal à toi-même au cours de ce second exercice. Va, sois fort, montre que tu es meilleur que moi. A ton âge on a plus de fougue. Si Mia te préfère, elle sera tienne, et comme elle je me rabattrai sur un tendron. Attendons sa décision. Souviens-toi de ce prénom : Irène.
La bataille des mots est lancée. Mia a ses raisons , j'ai les miennes. Joris a un autre souci. Il est en place, saisit les chevilles, se demande comment procéder Sans la séparation il se coucherait sur ma femme et trouverait le trou. Le drap pose problème; le franchir est interdit. Je lui lance un gros coussin :
Mets le sous ses fesses, place les jambes en position verticale et appuie les pieds sur tes épaules, lève. Maintenant avance et introduis ton plantoir dans le sexe de ma femme. Oui, ne me regarde pas comme ça, c'est acrobatique mais c'est possible. Envoie ton ventre vers l'avant. Tu es en face de la fente. J'écarte les grandes lèvres. Pousse encore. C'est fait tu es à l'intérieur. bouge.
Après quelques coups de reins, la verge quitte l'antre. Cet échec inévitable fâche Mia:
-Jean tu rends les choses impossibles. J'en ai marre. Gros malin ton histoire de séparation nous fait perdre du temps. Puisque c'est comme ça, je veux répéter la levrette.
- D'accord ! En position. Joris ce sera plus facile. Cette fois mets la gomme.
Je dois admettre qu'il a compris comment faire jouir une femme. Son adresse et sa motivation font chanter Mia. Le spectacle me hérisse. Mia reprend la chansonnette. Je passe de l'autre côté, je la fais taire en fourrant ma verge dans sa bouche.La levrette s'achève. J'envoie le héros à la douche. J'enlève le drap, Mia se positionne sur le dos, genoux écartés. J'essuie l'écoulement de sperme qui sort du vagin et glisse vers le bas dans la raie. Mia m'accuse d'avoir gâché ce qui aurait dû être un bonheur pour le jeune .
- Que demander de plus. Il s'est vautré dans ton sexe, gratuitement. Deux fois il s'est déversé en toi en une soirée. Désormais il n'a plus à redouter les moqueries. J'estime avoir accordé beaucoup à Joris. J'aimerais ne plus le rencontrer. Il faut écourter sa visite. Demain il fera ses preuves avec Irène. Si tu ne l'épuise pas ce soir, il réussira son examen de passage. Il te remerciera pour ton aide. Le problème est réglé.
Mia raccompagne notre hôte. A la porte ils ont du mal à se séparer. Au lit,ma femme me tourne ostensiblement le dos. C'est une première, j'en devine la signification.J'ai donc le loisir d'analyser le comportement du timide. Quand il a pris possession de la femme repue d'amour qui boude dans mon dos, il a vivement mené le duo. Pour un timide il n'a pas fini de m'étonner. Il est impossible qu'un puceau se conduise avec autant d'aplomb. Mia et lui me jouent la comédie. Ils sont amants et sont venus se moquer du cocu. Le roman de Mia est cousu de fil blanc. Elle s'est livrée devant moi à un jeu cruel pour amuser sa dernière conquête.
J'ai eu des doutes assez tôt. Elle accordait trop d'importance à l'initiation de Joris, c'était louche. Elle a défendu bec et ongles son droit au plaisir au cours de l'aventure. Joris a péché par orgueil, il s'est trop vite instruit, s'est comporté en connaisseur trop vite. Les soupçons se confirmant, j'ai inventé le personnage d'Irène. Elle n'existe que pour ma femme. Elle sera introuvable chambre à l'hôtel "Palace"
Admettons que je me trompe, que Mia me soit fidèle, Joris connaîtra une déconvenue. Ce n'est pas cher payé son initiation sexuelle par ma femme. Vérifions que mes soupçons sot fondés. Le délai est court. Pour dissuader Joris de se rendre au rendez-vous Mia disposera de peu de temps. Discuter du sujet au bureau ne doit pas être facile. Ils vont sortir , Mia plaidera sa cause entre midi, dans un restaurant par exemple. Mon piège peut fonctionner. En fonction du résultat j'adoptera ma conduite.
A onze heures, je stationne à proximité de la sortie des bureaux. Vingt minutes plus tard je vois sortir Mia et Joris. Je les suis. Ils ne vont pas au restaurant. Ils entrent dans un hôtel; le Vauban. A mon tour je me présente au réceptionniste. Je lui montre un billet de cent euros , il me livre les noms sous lesquels ils se sont inscrits.
" On dirait la mère et le fils''.
Je froisse un autre billet, le bonhomme tourne les pages de son registre, hoche la tête et déclare:
-D'habitude ils viennent le vendredi. C'est la quatrième fois. Ils occupent la chambre neuf. Aujourd'hui ils ont choisi la quatre. Drôle d'idée, elle est plus chère.
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus. Le type remercie pour les billets, est heureux de me voir partir sans vouloir créer un scandale. Il feint de compatir. Pour lui, il n'y a pas de doute, je suis cocu.
Par curiosité je me rends à l'accueil de l'entreprise. L'employée à l'accueil me dit que je n'ai pas de chance, ma femme est partie au restaurant. J'aimerais rencontrer un dénommé Joris. Le sourire qui accompagne la réponse est plein de sous-entendus :
- Vous parlez du stagiaire de l'Edhec? Ah oui, votre femme est son maître de stage. Il l'accompagne chaque jour au restaurant. Votre femme est gentille avec les stagiaires. Dans huit jours celui-là termine son stage. C'est un bel homme déjà.
Encore des sous-entendus et un regard compatissant. Je suis venu, j'ai vu, je suis cocu.
Que Mia profite encore pendant quinze jours de son stagiaire, il ne sera plus puceau ! Après... de nouveaux stagiaires... J'emballe mes affaires, je retourne dans mon appartement° et je retire la pancarte "à vendre"
°voir le premier chapitre de "Vaincre la timidité..." maison et appartement
Je retourne de l'autre côté du drap. Mia a le visage congestionné, respire avec bruit, essuie une larme et me sourit. Elle reçoit mon compliment à l'adresse de son poulain avec un air mitigé. En brûlant les étapes le prétendu puceau peut avoir semé le doute dans mon esprit, Mia le devine. Son plaisir a été vif, sa satisfaction n'est pas explosive, elle parait même gênée par la rapidité des progrès de son novice. Je l'aide à remonter dans le lit. Il sera plus facile de lui mettre une bite, si l’acteur peut grimper au bout du matelas au lieu de devoir trop se pencher.
-Veux-tu prendre la position de la levrette ? Joris ne la connaît pas, puisqu’il ignore presque tout. Présente-lui tes fesses assez haut, à hauteur de zizi, ainsi il trouvera sans difficulté l’ouverture du paradis. Je déplace le rideau, bien qu’il ne voie pas ton visage, l’explorateur verra distinctement ton anus et ton sexe et je pense que sur sa lancée il saura exactement s’y prendre pour te posséder. Il est très doué, très créatif; la leçon actuelle suffira à en faire un amant de qualité. Et comme tu l’as affirmé, « tout pourrait être rapide, simple et définitivement réglé dès aujourd'hui. » Je retourne auprès de lui. Je suppose que d'instinct il saura s'introduire dans le bon trou et se comporter comme un homme expérimenté.
Visiblement contrariée, Mia parle assez fort. Sa réponse semble plus destinée au garçon trop pressé qu'à moi.
- Ca m'étonnerait. Il n'a jamais pratiqué. Ta présence le rassurera et il voudra patienter de manière à ne pas commettre d'erreur. Va et guide le en moi, il a besoin de tes indications.
- Puisque tu le dis, je vais tenir son engin et le diriger dans la bonne cible. A moins que tu veuilles commencer par une invasion anale. Non, tu refuses toujours ce dévoiement. Soyons sérieux ! Attention, tu as déjà pu évaluer ses dimensions, tu vas le sentir passer.
Je fais signe à l'apprenti et je murmure à son oreille :
- Laisse-moi te montrer comment tu devras t'y prendre. Observe attentivement ma démonstration, tu m’imiteras ensuite. Je ne te vole rien, je te rends service, je prépare le terrain ; quand viendra ton tour, ta verge entrera comme dans du beurre, l’amusoire sera parfaitement lubrifié.
Je le fais reculer et place mon index sur mes lèvres vaginales enflées. Un clin d'oeil coquin à l’innocent confirme la malice dont il tirera profit.
Me voici sur le matelas, à genoux derrière la croupe somptueuse de Mia. Le fessier d'une quadragénaire, aussi bien soit elle conservée, est plus lourd, plus large, plus majestueux que celui d'une pucelle de vingt ans. La vulve après le traitement qu'elle vient de recevoir est enflée à souhait sous le triangle qui entoure le cratère du trou de balle ridé. Je commente mon action en laissant supposer à Mia qu'elle est sur le point de donner la leçon à son jeune élève. Joris observe le silence afin d'occuper bientôt mon poste. S’il se sent frustré c’est tant mieux. Il ne peut pas se permettre de râler. Ce n'est pas le moment de compromettre sa chance exceptionnelle de sauter ma femme. Je recommande le passage à l’acte que j’exécute :.
- Mon garçon, avance sur les genoux. Prends ta bite en main. Approche ton gland de la fente. Ne te précipite pas, frotte le bout de ta queue contre l'abricot, de haut en bas. Décris des allers-retours, exerce une pression légère contre les chairs roses. Cela cède
En réalité c’est mon gland qui excite la fente tendue. Joris est attentif. Mes frottements seront faciles à imiter. Il voit la légère poussée de ma queue contre les grandes lèvres. Je connais par coeur mon chemin, j'observe le candidat et je sens un immense plaisir quand je lis sur son visage sa déception de me voir m'enfoncer dans le trou qu'il espérait n'être qu'à lui ce soir. J’ironise :
-Pousse en haut de la fente si tu veux t’enfoncer. Avance sans crainte, il n’y a pas de dents dans cet orifice.
Son désappointement réjouit cette part de moi que le partage entre deux mâles mécontente. Je me reproche d’avoir accepté la folie de Mia. J'enfonce le clou, puisque je suis en démonstration, je peux aller jusqu'au bout du vagin. Je heurte l’entrée de l’utérus. Je cogne la limite. Mia ne me voit pas, mais pousse un petit cri d'encouragement. Je redouble mes coups de reins, La rage d’avoir admis le prétexte d’une initiation multiplie ma vigueur. Mia creuse son dos pour mieux accueillir, au fond de son sexe, le sexe neuf de Joris. Pour plaire à celui qui la monte, elle se projette au-devant du socle qui laboure ses chairs. Je l’interroge hypocritement :
-Est-ce qu’il ne te fait pas mal ? Par bonheur ton vagin a conservé son élasticité. Tu pourrais abriter un engin encore plus gros. Il existe des gourdins xxx. Un jour, si tu le demandes gentiment, j’en recruterai un.
-Inutile, cher Jean. Voici exactement ce qu’il me faut. Le sexe de Joris est un peu plus vigoureux que le tien. Que veux-tu, il a le privilège de la fougue de la jeunesse. Il me laissera un excellent souvenir.
-Que feras-tu d’un souvenir ? Penseras-tu à lui quand je te prendrai ? Vivras-tu du souvenir au lieu de jouir de moi ? Tu devrais te montrer plus active pour que Joris emporte de toi un souvenir impérissable.
Mia me prend au mot. Elle se lance dans une course effrénée au plaisir et ses efforts amoureux sortent de l’ordinaire. Elle veut éblouir Joris. Autant sinon plus que moi. Il y a de quoi méditer. Elle m’alerte.
Je ne laisse qu'une partie de mon dard en elle et je cesse mon va et vient. Aussitôt sa croupe cherche à combler le vide, bouge, m'engloutit : Mia entreprend le mouvement alternatif autour de ma hampe immobile. Je m'accroche à ses poignées d'amour et je reprends l'union à mon compte, je la défonce de plus en plus vite. Je ne sais pas quel moyen de contraception elle utilise. Elle m'a parlé de pilule contraceptive. Mais elle pourrait l'avoir oubliée en prévision de cette fête. Il lui plairait peut-être de me donner un enfant en souvenir de Joris. Je suis le premier à tapisser ses parois de mon sperme. Je me donne une chance d'être le père de mon fils. Pourquoi Mia a-t-elle le cœur et le sexe sur la main, aussi accessible à un tiers ?
Je lime, je garde la cadence. Quand je m'entraînais au demi-fond, après un tour de piste, je faisais un sprint de cent mètres avant de reprendre l'allure de croisière. J'inflige régulièrement à ma femme des coups d'accélération brutale Elle na pas reconnu ma façon de baiser. Elle ne pense qu’à Joris, cela trouble ses sens et son esprit. En temps ordinaire elle aurait éventé ma tromperie. Elle croit encourager le nouvel amant et me gratifie d'un encouragement susurré.
- Prudence, fais semblant de ne pas savoir. N’oublie pas mes consignes.
Elle complète à voix normale :
- C'est bon. Cher Joris, n'aie pas peur de monter en puissance. Tes débuts sont prometteurs. J'espère que tu recommenceras. Un bon amant est capable de faire l'amour au moins deux fois. Tu es un bon amant. Tu as des élans formidables.
Elle s’adresse ensuite à moi :
-Jean, je crois que Joris a quelque chose d'extraordinaire. Je suis heureuse de lui révéler ces rares qualités. Pardon de le dire, je n’ai jamais été aimée aussi fort. Bienheureuses ses futures partenaires.
Le compliment irait droit au cœur de l’élève. L’appréciation est subjective, elle prouve que je suis « un bon amant ». Mais l’appel à la prudence m’intrigue. Je charge, je bourre, je me donne à fond, j'éjacule et je m'immobilise longuement puis j'ordonne :
C'est bien Joris. Retire-toi et assieds-toi pour récupérer. Tu as entendu Mia , elle souhaite que tu seras à la hauteur et capable de la faire jouir une deuxième fois. Ses compliments me touchent. Elle veut connaître deux fois le même bonheur. J’accepte cette exception. Dès que tu seras prêt, tu pourras recommencer. Courage.
- Mais certainement Jean. Je serai vite en état de l'aimer encore dans un instant. Pourquoi attendre ?
Le coquin a compris l'avantage à tirer de mon subterfuge. Il sortira grandi de l'événement aux yeux de sa coach. Pour le faire mousser davantage, je pose mon index sur la vulve qui a gardé la position et je proteste, faussement indigné :
- Mais, qu'est-ce que je vois. Tu n'as pas su te retenir, tu as éjaculé dans le ventre de ma femme. Ce n'est pas correcte. Tu l'as engrossée si ça se trouve. Alors là, je veux la fin des relations sexuelles si tu n'as pas de préservatif.
- Allons, chéri, j'ai un stérilet.
- Première nouvelle. Depuis quand ?
- Ca fait au moins quinze jours. Est-ce que j'aurais oublié de te le dire? Excuse ma distraction.
Dire que cette femme, depuis que nous projetons de nous marier, me racontait qu'elle souhaitait un enfant de moi. Comment expliquer cette incohérence ? De qui a-t-elle voulu se protéger ? De Joris sans doute. Un test adn , elle doit le savoir, permet d(établir une filiation. Ou elle a renoncé à me faire un enfant que Joris ne reconnaîtrait pas si elle me quittait pour lui. Elle m'observe par en-dessous. Mon malaise ne lui échappe pas. Elle tente une diversion et relance Joris :
- Mon ami Joris, j'aimerais changer de position. Puis-je me coucher sur le dos. A cause du drap exigé par mon jaloux, tu ne pourras pas t'allonger sur moi. Mais tu lèveras mes jambes, Jean glissera un coussin sous mon bassin et tu pourras me pénétrer et renouveler ton exploit. Surtout ne me ménage pas, j'aime qu'on me bouscule, qu'on me secoue, qu'on me baise fort, comme tu l'as fait de manière si remarquable. Ton initiation se terminera vraisemblablement ce soir. Jean ne supportera pas une concurrence pareille. Essaie de briller encore mieux que la première fois.
Elle a raison de penser que je ne suis pas content de la comparaison qu'elle a établie précédemment. Je rebondis sur ses insinuations de jalousie qui mettrait fin à cette formation. J'invente de quoi la surprendre.
- Effectivement, cher Joris, tu vas tirer ton dernier coup avec ma femme. Tu sais parfaitement te débrouiller avec une femme, je l'avais deviné avant ta démonstration. En prévision de cette fin rapide, pour que tu puisses immédiatement confirmer ta prise de conscience de tes qualités sexuelles, j'ai eu un contact avec une jeune fille bien sous tous les rapports. Je lui ai exposé ton cas, j'ai fait de toi un portrait élogieux hier. Elle a accepté un rendez-vous avec toi dès demain soir. Il y a à proximité de votre entre- prise un hôtel, "Le Palace". Je vous ai réservé la chambre 4 où elle t'attendra à partir de 17 heures. Vous ferez connaissance et si affinités, tu pourras comparer le corps d'une femme mûre et celui plus frais d'une demoiselle de ton âge. Quand on se soucie de réussir sa vie amoureuse, on ne peut pas négliger les comparaisons. L'occasion est trop belle et ne se représentera peut-être plus de si tôt.
Joris semble incrédule. Derrière le drap Mia est furieuse de cette mise en concurrence si rapide. Elle m'apostrophe d'une voix amère
- De quoi te mêles-tu ? C'est trop tôt. Cette fois tu ne crains pas de traumatiser ce cher ami. On aurait pu conforter ses connaissances. Laisse-lui le temps de digérer cette première fois avec moi.
- Quel meilleur moyen que la variété de partenaires pour amasser les connaissances. Je connais la famille d'Irène. C'est une jeune fille sérieuse, de bonne éducation, promise à un brillant avenir. Elle est jeune, extrêmement belle et généreuse. L'énumération des qualités de Joris a suffi à la persuader de le rencontrer. Au moins pour lier connaissance. Il dépendra de ton élève de marquer des points grâce à ton coaching. Comprends qu'à son âge il préfère une fille de sa génération. Tu es parfaite comme maîtresse de stage dans un cadre étriqué, devant témoin. Imagine-le libéré de ma surveillance, libre de mener une relation vraiment amoureuse et dans laquelle la notion de pédagogie disparaît.
- Alors, ne perdons pas une minute. Même à la hâte j'achèverai l’initiation de cet admirable amant. Il va se surpasser, la leçon te profitera cher quadragénaire de mon cœur. Etudie son application. Ne crois pas tout savoir, apprends !
- Oui, je peux m'améliorer. Joris entends-moi :
-Il te reste à parfaire ton éducation avec Mia, . Elle a exposé ce qu'elle attend de toi. Sois au moins égal à toi-même au cours de ce second exercice. Va, sois fort, montre que tu es meilleur que moi. A ton âge on a plus de fougue. Si Mia te préfère, elle sera tienne, et comme elle je me rabattrai sur un tendron. Attendons sa décision. Souviens-toi de ce prénom : Irène.
La bataille des mots est lancée. Mia a ses raisons , j'ai les miennes. Joris a un autre souci. Il est en place, saisit les chevilles, se demande comment procéder Sans la séparation il se coucherait sur ma femme et trouverait le trou. Le drap pose problème; le franchir est interdit. Je lui lance un gros coussin :
Mets le sous ses fesses, place les jambes en position verticale et appuie les pieds sur tes épaules, lève. Maintenant avance et introduis ton plantoir dans le sexe de ma femme. Oui, ne me regarde pas comme ça, c'est acrobatique mais c'est possible. Envoie ton ventre vers l'avant. Tu es en face de la fente. J'écarte les grandes lèvres. Pousse encore. C'est fait tu es à l'intérieur. bouge.
Après quelques coups de reins, la verge quitte l'antre. Cet échec inévitable fâche Mia:
-Jean tu rends les choses impossibles. J'en ai marre. Gros malin ton histoire de séparation nous fait perdre du temps. Puisque c'est comme ça, je veux répéter la levrette.
- D'accord ! En position. Joris ce sera plus facile. Cette fois mets la gomme.
Je dois admettre qu'il a compris comment faire jouir une femme. Son adresse et sa motivation font chanter Mia. Le spectacle me hérisse. Mia reprend la chansonnette. Je passe de l'autre côté, je la fais taire en fourrant ma verge dans sa bouche.La levrette s'achève. J'envoie le héros à la douche. J'enlève le drap, Mia se positionne sur le dos, genoux écartés. J'essuie l'écoulement de sperme qui sort du vagin et glisse vers le bas dans la raie. Mia m'accuse d'avoir gâché ce qui aurait dû être un bonheur pour le jeune .
- Que demander de plus. Il s'est vautré dans ton sexe, gratuitement. Deux fois il s'est déversé en toi en une soirée. Désormais il n'a plus à redouter les moqueries. J'estime avoir accordé beaucoup à Joris. J'aimerais ne plus le rencontrer. Il faut écourter sa visite. Demain il fera ses preuves avec Irène. Si tu ne l'épuise pas ce soir, il réussira son examen de passage. Il te remerciera pour ton aide. Le problème est réglé.
Mia raccompagne notre hôte. A la porte ils ont du mal à se séparer. Au lit,ma femme me tourne ostensiblement le dos. C'est une première, j'en devine la signification.J'ai donc le loisir d'analyser le comportement du timide. Quand il a pris possession de la femme repue d'amour qui boude dans mon dos, il a vivement mené le duo. Pour un timide il n'a pas fini de m'étonner. Il est impossible qu'un puceau se conduise avec autant d'aplomb. Mia et lui me jouent la comédie. Ils sont amants et sont venus se moquer du cocu. Le roman de Mia est cousu de fil blanc. Elle s'est livrée devant moi à un jeu cruel pour amuser sa dernière conquête.
J'ai eu des doutes assez tôt. Elle accordait trop d'importance à l'initiation de Joris, c'était louche. Elle a défendu bec et ongles son droit au plaisir au cours de l'aventure. Joris a péché par orgueil, il s'est trop vite instruit, s'est comporté en connaisseur trop vite. Les soupçons se confirmant, j'ai inventé le personnage d'Irène. Elle n'existe que pour ma femme. Elle sera introuvable chambre à l'hôtel "Palace"
Admettons que je me trompe, que Mia me soit fidèle, Joris connaîtra une déconvenue. Ce n'est pas cher payé son initiation sexuelle par ma femme. Vérifions que mes soupçons sot fondés. Le délai est court. Pour dissuader Joris de se rendre au rendez-vous Mia disposera de peu de temps. Discuter du sujet au bureau ne doit pas être facile. Ils vont sortir , Mia plaidera sa cause entre midi, dans un restaurant par exemple. Mon piège peut fonctionner. En fonction du résultat j'adoptera ma conduite.
A onze heures, je stationne à proximité de la sortie des bureaux. Vingt minutes plus tard je vois sortir Mia et Joris. Je les suis. Ils ne vont pas au restaurant. Ils entrent dans un hôtel; le Vauban. A mon tour je me présente au réceptionniste. Je lui montre un billet de cent euros , il me livre les noms sous lesquels ils se sont inscrits.
" On dirait la mère et le fils''.
Je froisse un autre billet, le bonhomme tourne les pages de son registre, hoche la tête et déclare:
-D'habitude ils viennent le vendredi. C'est la quatrième fois. Ils occupent la chambre neuf. Aujourd'hui ils ont choisi la quatre. Drôle d'idée, elle est plus chère.
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus. Le type remercie pour les billets, est heureux de me voir partir sans vouloir créer un scandale. Il feint de compatir. Pour lui, il n'y a pas de doute, je suis cocu.
Par curiosité je me rends à l'accueil de l'entreprise. L'employée à l'accueil me dit que je n'ai pas de chance, ma femme est partie au restaurant. J'aimerais rencontrer un dénommé Joris. Le sourire qui accompagne la réponse est plein de sous-entendus :
- Vous parlez du stagiaire de l'Edhec? Ah oui, votre femme est son maître de stage. Il l'accompagne chaque jour au restaurant. Votre femme est gentille avec les stagiaires. Dans huit jours celui-là termine son stage. C'est un bel homme déjà.
Encore des sous-entendus et un regard compatissant. Je suis venu, j'ai vu, je suis cocu.
Que Mia profite encore pendant quinze jours de son stagiaire, il ne sera plus puceau ! Après... de nouveaux stagiaires... J'emballe mes affaires, je retourne dans mon appartement° et je retire la pancarte "à vendre"
°voir le premier chapitre de "Vaincre la timidité..." maison et appartement
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