Souvenir mauricien - histoire érotique

Je m'appelle Arnault j'ai 34 ans célibataire et suis bi, châtain clair, yeux verts 1.75m, 70Kgs et imberbe. Ce récit date du mois de Mai 2019 alors que j'étais parti seul pour deux semaines en vacances à l'Ile Maurice.
Comme indiqué, je suis bi et venais de casser ma relation de dix mois avec Julie, une copine de 28 ans, avec qui j’ai connu des aventures pour le moins déstabilisantes.
Nymphomane et exubérante, elle n’avait que le sexe en tête et surtout m’imposait pratiquement tous les week-ends des partouzes chez elle ou chez ses amies à cinq ou six couples, voire plus, de trente à quarante-cinq ans. Autant j’ai apprécié les premiers mois, c’était super excitant et bandant, qu’après plusieurs mois je constatais que nous n’avions finalement aucune vie de couple intime… Chose qu’elle se foutait éperdûment, c’était une libertine et elle entendait bien ne pas abandonner cette vie dissolue… Une malade de la bite ma Julie !
Elle était tellement chaude du cul, qu’en dix mois de vie commune elle n’a pratiquement jamais porté de culotte, elle n’en n’avait que quatre ou cinq dans son armoire en tout et pour tout ! Elle voulait vivre la chatte à l’air comme elle disait, été comme hiver elle n’avait rien sur les fesses sous ses jupes courtes serrées et moulantes ou amples l’été cette salope !
Au début, lorsqu’on s’est connu, je trouvais ça plutôt cool et super excitant, on en a d’ailleurs profité plus d’une fois dans des lieux insolites… dans l’ascenseur, au supermarché et même dans le métro aux heures de pointe, pouvoir lui glisser un doigt ou deux dans sa chatte sans l’obstacle d’une culotte ou d’un string… hummmmm !
Mais je me suis vite aperçu qu’il n’y avait pas que mon doigt qui lui titillait le clito à cette petite chienne, ces collègues de boulot étaient au courant de sa pratique, alors ils en profitaient bien et à priori elle continue son manège… c’est une malade cette nana !

C’est d’ailleurs au cours des soirées coquines qu’elles affectionnait tant et des rencontres de week-end entre hétéros débridés et libertins que j’ai pris goût aux relations entre mecs, c’est elle qui m’encourageait à me faire sucer ou goder et sauter devant elle et ses copines qui par ailleurs prenaient des photos pour leurs albums privés, puis rapidement elle m’imposa de l’enculer par alternance avec ses copines et ensuite me farcir leurs mecs, chaque week-ends on baisait et se faisait baiser presque du matin au soir, je n’en pouvais plus psychologiquement mais aussi physiquement de cette vie de débauche, j’y aurai laissé ma santé…j’ai tout plaqué !
Puis après une courte période d’abstinence sexuelle où le gode était mon seul compagnon, j’ai commencé à fréquenter des bars, saunas et clubs gays, j’ai bien accroché… les mecs me branchaient bien et j’avais pas mal de succès auprès d’eux… alors… une nana de temps en temps et des mecs souvent… ça me convient parfaitement !

Reprenant goût à la vie de célibataire, j’avais donc décidé de partir loin, me ressourcer, au soleil dans un club de vacances à la mode et loin de mes soucis quotidiens… Le lâcher-prise total, l’île Maurice fut donc ma destination…
Ma première semaine au Club m'avait permis de décompresser et prendre mes repères dans ce décor paradisiaque, le Club était très agréable situé évidement au bord de la mer, équipé de deux piscines et salons de massages installés dans des huttes en bord de mer... j'y ai pris plaisirs plusieurs fois en y découvrant les massages mauriciens à l'huile tiède appliquée avec doigté par de superbes mauriciennes, le tout au son des vagues à quelques pas de la hutte.
A plusieurs reprises j'avais souhaité être massé par un mauricien… mais je n'ai jamais osé le demander en entrant, je me suis donc contenté à chaque fois des massages féminins en imaginant qu'il s'agissait de mains masculines qui me parcouraient le corps enduit !
Mais l’idée de me faire triturer le corps nu à l’huile tiède par un mec de là-bas ne me quittait pas l’esprit !
Depuis une semaine mon regard s'orientait naturellement vers les beaux garçons qui assuraient le service des chambres et du restaurant, certains d'entre eux étaient trop mignons dans leur uniforme beige à liserés marron, le costume ressemblait plus à un pyjama qu’à une tenue de travail tellement le tissu semblait fin.
Que portaient-ils dessous ? Étaient-ils nus ? Avaient-ils des relations intimes avec les clients ? Étaient-ils gays ou hétéros ?.. Autant de questions auxquelles j’étais bien incapable de répondre durant ces premiers jours.

Je m'imaginais déjà être surpris au sortir de ma douche à l'italienne face à face avec un bel éphèbe venant refaire le lit ou me servir le petit-déjeuner.
Le mauricien qui s'occupait régulièrement de ma chambre se prénommait Kishan, un beau jeune mec d'environ 25 ans de type hindou, les cheveux noirs et les yeux marrons, des cils longs, une peau parfaitement lisse mate et teintée sans excès, depuis quatre jours je le matais, il semblait très légèrement efféminé et ce n'était pas sans me déplaire.
Le second lundi, j'étais très excité le matin en imaginant que je me devais de provoquer une rencontre avec ce beau mec qui était chaque soir l'objet de mes fantasmes les plus fous et de mes paluchages nocturnes. J'avais demandé que l'on m'apporte mon petit déjeuner à la chambre vers 8h30, il faisait déjà chaud et le soleil donnait directement sur ma terrasse de chambre située au 1er étage face aux palmiers qui me cachaient discrètement des chambres en quasi vis-à-vis.
Je venais de sortir de la douche et à demi essuyé j’avais enfilé mon maillot de bain blanc taille basse, mon bronzage aux UV et le complément des rayons ardents de l’île ressortait parfaitement avec ce mini maillot sexy que j’avais acheté trois jours auparavant et qui ne cachait que le strict minimum.
J’avais pu constater les jours précédents le succès immédiat que j’avais en le portant, que ce soient mecs ou nanas, tous se retournaient à mon passage sur la plage, à la piscine ou dans les allées ombragées du Club, la raie naissante de mon petit cul ou mon service trois pièce avaient tout juste la place d’y cohabiter tellement le lycra était taillé court… Interdit de bander, sinon ma queue sortait de son écrin !
J'attendais donc assis dans mon fauteuil d'osier, que mon " boy " m'apporte le petit déj… A peine un quart d'heure plus tard, je vois monter mon compagnon de rêve Kishan avec un plateau bien garni, lui toujours aussi impeccable dans son habit léger beige au col droit. Il parlait le français avec un bel accent, je le comprenait aisément, je le remercie et en profite pour discuter quelques instants avec lui, il était debout face à moi qui étais resté assis, tout en discutant j'écartais les jambes et me passais la main sur les cuisses, Kishan faisait mine de ne pas regarder mais je le voyais à plusieurs reprises me mater discrètement l'entrejambe, je lui demande s'il voulait partager un jus d'orange avec moi mais il me répond ne pas avoir le droit… ordre de la direction !
Comme je souhaitais le garder quelques instants avec moi j'ai inventé un problème de température d'eau afin qu'il rentre dans la chambre avec moi, je l'invite à me suivre, face à moi un grand miroir me permet de voir distinctement qu'il me mate le cul, moi en me retournant je m'adresse à lui en me mettant la main sur mon paquet qui commençait à gonfler tranquillement. Je lui explique que lorsque je me douche, je ne peux pas régler la température correctement, il s’approche alors de la douche, tourne lentement le robinet et tend sa main, pendant ce temps je tire sur le lacet de mon maillot de bain puis le retire devant lui et vais directement dans la douche pour lui montrer le soi-disant problème.... Kishan était devenu très gêné mais ne quittait cependant pas des yeux mon corps bronzé, mes fesses blanches et ma queue qui commençait à se métamorphoser au fur et à mesure qu’il me matait.
Je referme le robinet et lui demande de m'essuyer avec la grande serviette posée près du lavabo. Kishan n'hésita pas une seconde et s'exécuta avec bienveillance, il m'essuya le corps, les fesses, le sexe puis il me caressa les fesses avec douceur, et debout devant lui, la queue en semi-érection, je commence à lui déboutonner sa veste à col droit, il se laisse faire le coquin, je découvre qu’il est torse nu dessous, je lui déboutonne son pantalon léger qui tombe à ses pieds... il n'a toujours pas bougé, Kishan est maintenant devant moi en boxer gris souris où je devine une queue en début d'érection tellement sa bosse est accentuée, puis une paire de couilles assez conséquentes au vu du volume de son entrejambe.
Ma queue était maintenant à l’horizontale et mes couilles pendantes face à ce beau mauricien…Je m’agenouille et lui fait glisser son boxer jusqu’aux chevilles, il lève une jambe, puis l’autre pour retirer totalement son sous-vêtement, il vire d’un geste du pied ses mocassins… Tous deux nus face à face, Kishan toujours silencieux ne semblait pas bouder cette situation, il se soumettait pacifiquement à mon bon vouloir, je le pousse gentiment vers le lit, il trébuche et s’étale sur le dos, sa queue s’était bien allongée, je la voyais durcir à vue d’œil, je m'allonge près de lui, je décide de le caresser sensuellement, je lui pose un baiser sur le sexe, puis aussitôt lui pose le même baiser sur la bouche, mon serviteur reste toujours impassible, imperturbable, la seule réaction visible était la longueur de sa bite qui me semblait toujours se grandir un peu plus ainsi que son diamètre qui avait presque doublé… quel braquemard il avait entre les jambes !
Je n’en revenais pas, sont-ils tous aussi membré les mauriciens ?
Mon petit jeu commençait à m’exciter sérieusement…Mes caresses continuant de parcourir ce corps bien sculpté, je m’attarde sur ces cuisses, puis ses mollets, ses pieds, puis je remonte lentement en direction de sa grosse paires de couilles légèrement poilues frisées noires, elles faisaient bien le double des miennes ! Puis je lui caresse la queue, énorme obélisque pointée vers le plafond au gland bien décalotté, puis le ventre, les épaules, les cheveux… et Kishan subissait ces caresses sans bouger, juste un beau sourire aux lèvres qui me révéla qu’il appréciait la douceur de mes mains parcourir tout son corps.

Je cesse maintenant mes mouvements sensuels et m’allonge à ses côtés, nos corps se touchent, il commence tout juste à remuer et se met de côté, puis commence à me sucer la bite, je bandais un maximum depuis que je lui avait fait tomber son boxer, la vue de son attirail masculin aurait dû m’humilier comparé au mien, mais non… cela m’excitait à m’en faire mal tellement je bandais… mon éphèbe était là sur mon lit en train de me sucer la tige... un fantasme qui se réalisait enfin, ce fantasme qui chaque soir me travaillait au point de me branler en me godant seul au milieu de ce grand lit, la queue enduite de crème masturbante et mon flacon de poppers à portée de main en m’imaginant faire l’amour avec ce mauricien beau comme un cœur… chaque soir les draps s’en prenaient un bonne giclée, mais là… J’y étais !


J'étais tellement excité que je n'ai pu résister bien longtemps à ces coups de langue intenses, il me pompait comme un Dieu, rapidement nous nous sommes mis en position du 69 et je me suis mis à le pomper aussi très fort, mais son braquemard me déformait la bouche tellement son diamètre était conséquent et sa longueur faisait que je sentais son gland me taper violemment la glotte… il va m’étouffer ce con !
Je lui palpais ses grosses couilles bien pleines et légèrement frisées, le gabarit de sa queue archi raide m’anesthésiait presque la bouche, lui avait moins de soucis à engouffrer la mienne dans sa bouche… on ne jouait pas dans la même cour, j’étais monté plus faible !!!
D’un seul coup, j’ai senti le flux de mon sperme arriver rapidement et lui ai envoyé quatre à cinq giclées dans la bouche, qu'il avala aussitôt, quant à lui c'est au moment où j’essayais de retirer son pieu de ma bouche qu'il m'envoya sa purée en pleine figure de grands jets puissants et saccadés, son sperme inonda mon visage et les draps, sa colonne de chair dressée crachait tel un volcan en fusion, des quantités abondantes de sperme chaud sortait de sa bite par grandes saccades.
Nous sommes restés enlacés parmi ce sperme étalé partout sur les draps et sur nos corps pendant dix minutes sur le lit.... Et nous nous sommes embrassés longuement, ensuite Kishan s'est rapidement passé sous la douche, je l'ai essuyé dans les moindres détails, puis il s'est rhabillé, puis il est redescendu vers les cuisines pour continuer le service.
Il était beau dans son uniforme mon mauricien !
Finalement, je ne regrette pas qu’il ne m’ait pas sodomisé, son braquemard tellement imposant m’aurait défoncé et abîmé c’est certain, et puis c’était tellement bon tous les deux que nos fellations avaient largement compensé une douloureuse pénétration.

Mon fantasme s'était enfin réalisé ! Nous n'avons réussi à renouveler une autre fois notre folie mauricienne ensemble le jeudi matin, puis Kishan de repos en fin de semaine avait été remplacé par un autre mauricien bien moins craquant.

Depuis je rêve très souvent de l'Ile Maurice.... et de ses effets revitalisants… Dans les saunas gays parisiens que je fréquente souvent, j’espère toujours retrouver un Kishan… ou son frère jumeau !