Une palpitante rando-découverte - histoire érotique

En avril dernier nous sommes partis pour 4 jours de randonnée dans le Vercors avec un groupe de 30 personnes, je fais partie d'un club de rando et ce genre de sortie a lieu tous les 3 à 4 mois.
Nous logeons en général dans des gîtes d'étapes, des auberges de jeunesses ou des VVF, nous nous répartissons par groupes de 3 ou 4 personnes pour le couchage. Cette fois-ci nous étions trois dans le même petit chalet de bois, il y en avait une vingtaine, répartis dans la forêt ou nous avions posés nos sacs à dos pour ces quatre jours. Nous étions trois mecs, Nicolas mon pote de toujours 32 ans marié depuis deux ans, Marvin un randonneur qui avait rejoint notre club depuis six mois, 28 ans célibataire, un vrai beau mec bien foutu, blond légèrement bouclé, un regard cristallin avec ses yeux bleu pâle, un sourire craquant laissant découvrir de superbes dents blanches et moi Aurélien 30 ans jeune marié depuis trois mois.
En m'inscrivant pour cette sortie rando j'étais loin d'imaginer ce qu'elle me procurerai en surprises, en découvertes et en débauche.
La première journée s'est déroulée comme habituellement, nous avions fait nos vingt-cinq bornes sur du plat depuis le matin et sommes rentrés au chalet vers 18h pour se doucher, se changer et le rendez-vous pour le dîner en commun était fixé à 20h à la salle de restauration.
Au chalet N°18, chacun d'entre nous avait choisi son pieu et n'ayant qu'une douche pour nous trois, Nicolas nous demande s'il pouvait passer le premier sous la pomme.
- Pas de soucis vas-y ! lui répond-on de concert avec Marvin.
Rapidement Marvin a fait tomber le bermuda de randonneur et s'est mis en boxer et torse nu, je dois reconnaître que j'ai éprouvé un certain plaisir à le regarder ainsi, étant même envieux de ne pas être aussi sexy que lui. A mon tour je quitte pour pantalon de marche, chaussettes et sweat, tee-shirt... je suis moi-même en slip tanga (ma femme adore çà) à deux mètres de lui. Rapidement, il s'approche de moi et me passe la main sur mes fesses en disant : - Hummm, beau petit cul Aurélien !
Surpris par ce geste et cette remarque auxquels je ne m'attendais pas, je balbutie maladroitement : - N'est-ce pas ! Ma femme l'apprécie bien c'est vrai, merci quand même.
Marvin part en rigolant : - Ta femme, mais on s'en fout, elle est loin… Et moi, ton petit cul il me fait bander... Tu comprends çà ?
- Pardon rétorquai-je surpris et choqué… Mais enfin je ne pige pas, tu ne vas pas me dire que tu es pédé ? Dis-je un peu paniqué et perturbé par cette situation imprévue.
Il me reprend en se poilant : - Non rassure-toi, je ne suis pas pédé... mais gay, oui je confirme !
Je me suis trouvé comme un con, sans voix regrettant sincèrement que Nicolas ne soit pas à mes côtés pour entendre ce que je venais d'entendre... Était-ce un piège, une caméra cachée, une provocation gratuite ? Je croyais rêver et en même temps me demandais si je n’étais pas en train de vivre un fantasme inassouvi ?!?!.....
Me faire allumer par une gueule d’ange de tout juste 28 ans, loin de ma compagne dans un chalet quasi isolé !
Je lui réponds un peu paumé :- Ça veut dire quoi gay mais pas pédé ?
- A toi de l’interpréter mon petit, ça signifie en gros que ton petit cul me fout la gaule et que j’aimerai bien me le faire, voilà… tu ne veux pas un dessin en plus non ?
Marvin constatant mon désarroi et ma surprise après cette réponse qui ne souffrait d’aucune ambiguïté se rapproche de moi et me dit calmement : - N'ai pas peur, je ne te violerai pas sans te demander ton avis… Et il me re caresse le galbe de mes fesses moulées dans mon slip.

Effectivement j'avais bien la confirmation en live en découvrant son boxer tendu à fond, sa remarque était bien fondée, je le faisais bander ce petit salaud !

Je lui rappelle que j'étais jeune marié et hétéro et que je n'avais pas d'attirance pour les mecs (ce qui n'était pas totalement vrai quand je le regardais), ce à quoi il me répond du tac au tac : - J'ai connu des hétéros convaincus de leur orientation sexuelle qui n'ont pas tardé à apprécier que je leur fasse une fellation dans les règles, je suis un expert de la suce de belles tiges... et j'ai bien l'impression que la tienne n'attend que ça !
Je ne savais plus quoi dire ou faire, il m'avait poussé lentement vers mon lit, je me suis retrouvé déséquilibré puis allongé sur le dos, mon tanga légèrement tendu par une érection que je ne pouvais plus dissimuler... je commençais à perdre pied... et Marvin s'approcha tellement de moi que j'avais son boxer tendu à portée de main, à ce moment et dans la panique, j’ai presque eu envie de lui mettre la main au paquet... en lui balbutiant :- Écoute Marvin, je ne sais pas à quoi tu joues mais ça ne me plait pas du tout tes conneries !
- Menteur, me dit-il aussitôt, Il suffit de voir ton tanga prendre curieusement du volume... tu meures d’envie de me foutre ta main au paquet… Alors vas-y, ne te gènes pas… il est pour toi !

Effectivement mon argument tombait à l'eau tellement mon tanga se tendait très vite, on pouvait même apercevoir latéralement la naissance de mes couilles tellement le tissu était déformé par mon érection devenue réelle et conséquente.
Il se penche sur moi et me posa un baiser délicat sur le ventre, puis deux sur chacun des seins....
Là, j’essaie de faussement réagir :- Écoute Marvin, là tu vas trop loin ! Arrête ton petit jeu, ça va mal finir ! Lui dis-je vraiment sans aucune conviction.
Ce petit salaud, me voyant perdre la face, continua en me caressant les cuisses…puis l'entrejambe… puis fit quelques tours avec son doigt de mon nombril et pris ma ceinture de tanga de chaque côté et me glissa le tanga jusqu'aux chevilles... j'étais maintenant à poil et en érection, couché, face à un jeune beau mec qui n'attendais qu'une chose.... Prendre ma queue tendue dans sa bouche de pédé et me pomper jusqu’au jus !
J'avais totalement perdu tout repère, ma tempe cognait, ma tête semblait être ailleurs, comme si je venais d’inhaler une méga dose de poppers… je rêvais certainement, j’allais forcément me réveiller....

Mais non, je ne rêvais pas ! Marvin se pencha délicatement sur moi, me pris la tige bien bandée et la mit goulûment dans sa bouche... je ne disais plus rien...
Je pensais à ce moment-là : « Si le viol est inévitable, laisse-toi faire et profite ! »Je subissais cet affront sans violence aucune.... Et tout compte fait, je prenais même du plaisir à me faire sucer par mon jeune compagnon de chambrée... et Nicolas qui risquait de survenir à tout moment et nous surprendre dans cette situation sans équivoque… Il risquait de faire un malaise en voyant ses deux potes randonneurs, l'un à poil marié depuis tout juste trois mois, se faire sucer par son compagnon de rando dont il ne s’était jamais posé de question quant à son orientation sexuelle... Quel choc ! Sans compter que la porte du chalet n'est même pas fermée à clé... pourvu que personne ne rentre à l'improviste… ce serait le pompon !
Je sentais bien que Marvin n'était pas à sa première fellation, il suçait comme un Dieu, jamais ma femme ni mes précédentes compagnes ne m'avaient procuré une telle jouissance, sa langue était d'une expertise sans nom, il léchait mes couilles rasées avec une telle technique, sa langue allait fouiller jusqu'à ma rondelle, puis revenait pour engloutir dans sa bouche chaude ma tige qui maintenant avait atteint ses 19cm des grands jours , je ne tenais plus, je me tortillais dans tous les sens et me suis surpris à faire des vas et vient dans sa bouche comme pour mieux la baiser, quittant quelques secondes ma queue, il me dit alors : - Et tu aurais voulu manquer çà alors que tu en redemandes, petit coquin, tu aimes te faire sucer !
Pendant cette séance de fellation exquise, il avait fait glisser son boxer à ses pieds et l'avait fait valser d'un coup de pied jusqu'au milieu de la pièce, nous étions maintenant deux mecs à poil en pleine séance de cunnilingus non consenti (pour ma part) pendant que notre copain de marche finissait de prendre sa douche en solo…Alors que Marvin accélérait de me pomper, la porte de la salle d'eau s'ouvrit soudainement....
Et là, quelle ne fut pas la surprise de Nicolas en découvrant le spectacle sur mon lit, il arrive avec la serviette autour de la taille, il est encore mouillé voire dégoulinant, il s’écria : - Mais qu'est-ce que vous faites les mecs ?... C’est quoi ce délire ? Toi Aurélien, je n'en reviens pas...
Rouge de honte et vexé de nous être fait surprendre… dans ma position sans équivoque possible, je ne savais quoi lui dire : - Écoute Nicolas, ce n'est pas moi qui... C'est tout ce que j'ai pu lui sortir.
Marvin quant à lui, s'est arrêté de me pomper et a pris la parole en même temps qu'il me prenait la queue dans sa main chaude - Nico, écoute, Aurélien n'y est pour rien, c'est moi qui l'ai provoqué ! Il se mit à rire nerveusement et ajouta : - Il a d'ailleurs fort bien réagi le jeune marié hétéro ! Tout en me regardant et en profitant de ma queue pour la masturber de plus belle…regarde un engin pareil… il peut bien la partager non ?

Nicolas toujours ébahi par sa découverte improbable et ce tableau quelque peu dégradant, me regarde : - Mais enfin Aurélien, tu es tout juste marié, imagine Karine si elle apprenait çà !
Aussitôt je lui réponds : - J'espère que tu sauras tenir le silence, c'est une erreur de ma part, j’aurais dû résister aux pulsions de ton pote, un égarement de mec je le reconnais, mais putain… je suis désolé… mais qu'est-ce que c'est bon !
Nico tout en m'écoutant secoue la tête en signe de désapprobation...
- Non mais j’y crois pas, lâcha-t-il totalement désabusé.
- D'un seul coup mon portable se mis à sonner, je le prends et regarde l'écran… déconfit… Je vois le portrait souriant de ma femme :- Oh, Merde c'est Karine ! qu'est-ce que je fais ?... Paniqué, j’aurai voulu me cacher dans un trou de souris…- Prends-la ! dit Nico… de toute façon elle n'a pas la visio, tu ne risques rien, elle ne te verra pas en position indélicate !
- Oui, décroche, elle ne peut pas imaginer que ta bite est dans la bouche d’un mec… T’es un petit gars sérieux renchéri ce pédé de Marvin très désinvolte.

Et là, la scène qui suivi fut épique…Nico était écœuré de vivre en direct cette scène délirante…Je discutais avec ma petite chérie au téléphone, alors que pendant notre conversation amoureuse, je me re faisais pomper et branler la bite par un blondinet qui avait parfaitement caler sa tête entre mes cuisses et ses cheveux bouclés qui me chatouillaient le bas ventre et l’entrejambe...
- Allo ma puce, comment ça va ?... Nous ?... Ben nickel, on a fait une superbe rando aujourd’hui le temps était ensoleillé et une bonne ambiance du groupe, on vient de rentrer au chalet pour se reposer un peu et prendre une bonne douche avant le dîner.

Marvin semblait être stimulé par cette situation inédite, il me pompait encore plus vigoureusement au fur et à mesure de notre conversation censée être intime... je me tortillais dans tous les sens, sa bouche chaude me prenant de temps en temps les deux couilles ensemble, puis il me pratiquait une gorge profonde en engouffrant ma queue raide jusqu’à la glotte… limite de tirer au cœur, je n’avais évidemment pas le droit de gémir ni faire le moindre commentaire qui auraient pu trahir ma situation ubuesque… Je tentais de répondre aux questions de Karine :- Comment ?... Si je suis fatigué ? Non, non ça va, après une bonne nuit de repos on sera bien vigoureux demain matin.
Je continuais de me tortiller tel un ver au bout de la ligne, étalé sur le lit et ne voulais rien laisser imaginer à mon interlocutrice amoureuse de mes ébats masculins, il me devenait très compliqué de rester zen au téléphone d’un côté avec Karine et ma bite dans la bouche de Marvin de l’autre et le tout devant Nico devenu voyeur malgré lui et qui semblait maintenant s’accommoder par la force des choses de la situation présente : - Nous sommes bien installés dans un chalet de bois, nous sommes trois par chambre c’est raisonnable dis-je à ma chérie.
Marvin maintenant me branlait très fort le salaud, je devais tenir sans sourciller ma conversation qui s’éternisait :- Je suis avec Nico et un autre randonneur … qui est très sympa (Tu parles !!!)... je n’allais pas lui dire qu’il suçait mieux qu’elle et qu’il était en train de me branler la bite avec laquelle j’étais censé l’honorer dès mon retour à la maison.

Mon gland était tuméfié et brillant, je sentais la purée monter… Je n’allais pas résister longtemps à ce manège : - Non, tu ne le connais pas, mais il est très sympa...je te le présenterai il s’appelle Marvin, et je lui lâchais cette phrase bien malgré moi : C’est un beau mec tu verras !
J’aurais pu éviter ce détail !
Pour me gratifier de ce qualificatif qu'il avait semble-t-il apprécié, mon branleur-randonneur me mit le doigt dans la rondelle et se mit à me titiller le trou humide, je ne tenais plus....
- Salut ma puce, je t’embrasse là où tu aimes… On se rappelle après le dîner et avant que tu partes te coucher, oui, moi aussi je t'embrasse très fort, oui moi aussi je t'aime !... Et je raccroche.
Au moment même où je coupe mon i-phone, je sens mon éjaculation arriver très, très vite et sans avoir le temps de quoi que ce soit, je largue un grand jet de sperme qui m'arrose le ventre jusqu’au cou et un autre qui part aussitôt sur les draps, Marvin en avait plein les mains... Il lèche ses doigts englués, puis il continue de me branler en se marrant très fier de lui, il me secoue la bite pour en extraire les dernières gouttes qu’il lèche à nouveau goulûment ce petit pédé.
- Dis-donc t’es endurant mon grand, me dit-il en se léchant la paume de la main… Hummm bien chaud j’adore ton nectar !

Nico à la fois écœuré et à demi satisfait de cette scène surréaliste qu’il venait de vivre en direct, me dit : - Alors là, tu fais fort, je n’en crois pas mes yeux, tu trouves le moyen de discuter avec ta nana alors qu’un mec est en train de te pomper le gland et de te branler la bite… Mais tu es ignoble Aurélien !.. Et toi Marvin tu es un beau salaud, vous êtes malades les mecs, il faut vous faire soigner !

Marvin, après avoir avalé les dernières gouttes de sperme et assuré les finitions sur mon gland violacé et léché les coulures blanches sur mes couilles lisses, fixe dans les yeux Nicolas qui se tient debout près de lui et lui tire la serviette qu'il balance aussi au milieu de la pièce, Nico se retrouve comme nous deux… la queue à l’air et ses couilles poilues encore mouillées : - Allez, plutôt que jouer les donneurs de leçon, vient donc ici que je te pompe aussi ta belle queue, le temps qu'Aurélien aille s'astiquer sous la douche pour finir de se vider les boules et nettoyer le matériel !

Nico avait lui aussi, devant cette scène insolite, essayé de cacher sa réaction, mais lorsque la serviette de bain fut arrachée de sa taille, nous découvrîmes Marvin et moi que le braquemard de notre ami présentait une érection bien avancée et que Marvin se faisait fort de concrétiser dans les minutes suivantes.
Il lui claque ses fesses rebondies, il l’attire vers lui et lui dit :- Allez, fini tes remarques à la con, t’en crève d’envie de te faire sucer mon cochon, allonge-toi que je la prenne bien en bouche et ne discute pas, il nous reste une demi-heure avant le dîner.
Ainsi, nos ébats avaient bien excité notre Nico hétéro, pudique et réservé !!! le coquin, ainsi nous nous retrouvions donc trois pèdes en puissance à nous adonner à des pratiques coquines loin de nos nanas, c’est du joli !!!

Quelques instants plus tard, je filais sous la douche et laissais Marvin s’occuper de Nico pour une initiation tout en douceur et doigté de l’appareil génital de notre donneur de leçon hétéro fraîchement reconverti…
Cette première journée de rando-découverte se présentait sous les meilleurs auspices… au moins pour nous trois, personne dans le groupe n’a jamais su ce qui s’était réellement passé dans le chalet N°18, d’ailleurs ce numéro semblait prédestiné pour se faire faire des pompiers entre nous et manipuler nos lances avec dextérité et sensualité !

Inutile de vous dire que le lendemain soir Marvin me sautait sans retenue au sortir de ma douche juste avant que Karine ne m’appelle, Nico se contentant alors de se masturber en matant nos ébats sur le tapis central du chalet… Et bien sûr, le surlendemain c’est mon Nico qui passait à la casserole en se faisant prendre sans concession par son pote Marvin qui lui mettait profond sur mon lit, pendant que moi j’étais en train d’expliquer à Karine une nouvelle fois combien la journée avait été intense et que tous les trois nous allions nous coucher tôt après le dîner pour un sommeil réparateur !

Nos compagnons de marche ne se sont jamais doutés que notre chalet avait été un lieu de débauche entre mecs durant ces quatres jours, je confirme que nous garderons c’est certain, un grand souvenir de cette randonnée pédéraste... pardon pédestre pleine de découverte dans le Vercors !...

Hâte de se retrouver tous les trois, la rando, rien de tel pour s’éclater entre mecs !