Ta meilleure amie 7
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ta meilleure amie 7
Ta meilleure amie 7
Je pourrais laisser faire. Mais je n’admets pas l’ascendant exercé par Angèle sur ma femme Mireille. Celle-ci est-elle intrinsèquement vicieuse ou est-elle victime d’un chantage ? La présente séance me le dira. Comment lui permettre d’échapper à l’emprise de la fausse amie. Angèle est une intrigante sans scrupules, je le sais depuis vingt ans au moins, je l’ai appris à mes dépens à cette époque. Elle a agi comme une araignée pour capturer Mireille dans sa toile et elle croit pouvoir la soumettre à ses envies malsaines, la réduire à un rôle d’esclave sexuelle. Ça marche, tout jusqu’ici le prouve.
Angèle avait voulu nous séparer avant de s’éloigner il y a 20 ans. A son retour, des années plus tard, elle nous a trouvés mariés. J’ai refusé de renouer avec elle, de la rejoindre à un rendez-vous chaud et de devenir un mari adultère et manipulable. Elle se venge en avilissant mon épouse. Elle a su habilement renouer avec des habitudes lesbiennes interrompues depuis des lustres, imposer baisers et attouchements à chaque rencontres avec Mireille et finir à deux et nues dans un lit de notre maison. De mes yeux je les ai vues enlacées, enfourchées, vulve à vulve se cabrer, puis à tour de rôle se faire fouetter le vagin par les doigts de l’autre, pour faire monter une mayonnaise de cyprine J’ai encore dans les oreilles leurs feulements de lionnes en folie en train de se dévorer le pot à miel. C’était un premier pas dans la débauche. Aujourd’hui la participation annoncée de Léon scellera la reconquête totale de Mireille par « sa meilleure amie » et sa condamnation définitive à une soumission sans condition à toutes les extravagances du couple infernal.
Je n’avais jamais eu à me plaindre de Mireille. Je ne crois pas possible de ne rien avoir remarqué pendant vingt ans d’une conduite dépravée de ma femme. Si elle avait entretenu des relations hors mariage avec une femme ou un amant, nécessairement elle aurait commis une bévue, se serait trahie un jour ou l’autre. Ou il aurait fallu que je sois aveugle, ou Mireille aurait été particulièrement habile .pour réussir à dissimuler son double jeu. Certes je n’étais pas un époux jaloux et constamment aux aguets. Nous vivions heureux simplement, je n’avais aucune raison de m’inquiéter ou de douter de sa fidélité.
Or, tout à coup, presque ouvertement, Angèle revenue est sur le point de faire éclater notre couple. Elle a établi ou rétabli un lien particulier avec Mimi, elle s’apprête à la livrer à la convoitise de son propre mari : c’Est-ce qu’ils appellent une sexualité épanouie mais que je considère comme de la dépravation. Autre folie : Elle voudrait unir Jean et Odile, nos enfants,qui sont peut-être frère et sœur, avec l’aval de Mireille probablement ignorante du lien possible. Pire: Elle a dépucelé mon fils, par ruse très probablement Aucun crime ne retiendra sa rage de vengeance. Elle vient de promettre à ma femme un amant ou des amants et des parties orgiaques dans le cadre d’une vie plus heureuse, sans moi, et qu’elle dirigera. Cette fois le vase déborde. Il est temps de me manifester. Je n’ai que trop attendu si je veux empêcher Léon et Angèle de détruire Mireille Mon premier souci est d’isoler ma femme et de lui ouvrir les yeux Je sors de ma cave et je sonne à la porte d’entrée.
La réponse se fait attendre. J’insiste, je frappe du poing dans la porte. Je crie, j’appelle Mireille, je m’annonce. On n’ouvre pas. Demi-tour :Je rentre par la cave, je fais fortement remarquer ma présence, tape des pieds sur les marches de l’escalier de bois, je me présente dans le hall d’entrée et je me heurte à Angèle venue me recevoir
- Paul, c’est toi.? On se demandait quel intrus se livrait à un tel vacarme. Tu nous a fait peur .Que veux-tu ?
Elle me barre le passage vers le salon. C’est pour permettre aux deux autres de retrouver un aspect normal et d’être présentables, rhabillés comme des gens normaux. Je me rebiffe :
- Mais je suis chez moi. Me faudrait-il une autorisation d’entrer pour un motif valable? Mireille n’était pas bien, je me suis inquiété et j’accours pour voir si elle n’a pas besoin de mon aide. Permets-moi de m’étonner de ta présence. Ne travailles-tu pas aujourd’hui ?
- Ta femme est malade, tu la laisses partir au lieu de la raccompagner. Tu me fais un drôle de mari. Remercie-nous, Léon et moi, de l’avoir rencontrée et d’avoir pensé à la ramener à la maison, contrairement à toi. Vois, elle est assise sur le canapé et nous veillons sur elle, nous !
Vaillante et prête à se laisser embrocher il y a quelques minutes seulement, Mireille dans sa robe m’apparaît dolente à côté de Léon, secouriste improvisé et étalon déçu de mon intervention qui l’a privé d’une possession imminente. Dolente peut-être, mais si rouge et si énervée. Je l’examine et la plains :
-Ma pauvre chérie. Je m’en veux de ne pas avoir su évaluer la gravité de ton état. Je vois à la rougeur de ton visage et à la sueur qui perle sur ton front que tu es sérieusement malade. Pardonne mon incurie. Mais, après réflexion, je me suis dit que tu ne quittais pas habituellement ton travail pour des broutilles et j’ai cru nécessaire de venir m’occuper de toi. As-tu pris ta température ? Non ? Donne-moi la main, allons dans notre chambre, tes amis t’attendront au salon pendant que nous utiliserons le thermomètre. Appuie-toi sur moi.
Angèle veut m’aider à la soutenir. Mon arrivée gêne le déroulement de son plan. Elle ne souhaite pas perdre Mireille de vue. Je veux l’opposé!
-Merci Angèle, c’est ma femme et je saurai m’occuper d’elle, restez avec Léon. Ah ! Pouvez-vous me tendre son sac à main ? Merci. Buvez à la santé de Mireille. Je reviens dans quelques minutes.
Je ferme la porte de ma chambre au nez de l’amie trop dévouée, trop curieuse et qui aimerait surveiller ma femme et la faire taire si nécessaire. Je ne tolère plus d’ingérence. J’allonge Mireille, elle geint comme une mourante. Le temps des hésitations et des précautions est révolu. Je connais le mal qui la ronge, je l’ai vu croître et je l’ai analysé. L’heure est grave, une décision importante remettra les pendules à l’heure : ce soir verra le triomphe de l’amie destructrice ou la victoire du mari. J’éclate de rire au grand effarement de la migraineuse. Je sors l’artillerie lourde :
- Ma chère, tu peux cesser ta comédie. Ta migraine est imaginaire et tactique. Son retour fulgurant à ma vue ou au coup de sonnette, ne m’émeut pas. J’étais ici avant vous, j’ai constaté que ta santé n’était compromise que par tes amis. Il y a un instant tu attendais la pénétration de Léon, cuisses béantes après des préliminaires sans autres gémissements que de volupté: tu te portais à merveille, il est donc inutile de vouloir m’apitoyer par un simulacre de souffrances. Permets-moi de prendre dans ton sac, même si c’est peu délicat, la lettre que je t’ai remise plus tôt. J’espère pour toi que tu n’as pas eu ni pris le temps de la lire, faute d’en peser l’importance. Tu vas la lire, tu y trouveras l’explication réelle de ma présence, ici et maintenant.
Contrairement à ce que j’ai laissé entendre aux deux salauds installés dans le salon, je n’éprouve aucun souci pour ta santé physique, mais je m’inquiète uniquement pour certains égarements sexuels auxquels tu as commencé à te laisser aller. Après la lecture, tu cesseras de me traiter en faible d’esprit, en mari inconsistant. J’ai attendu l’extrême limite pour casser votre jeu pervers. Quelques secondes plus tard j’aurais été contraint de te considérer comme perdue pour moi et je t’aurais jetée hors de notre maison avec les deux pourris ici présents pour me cocufier et pour te réduire en proie sexuelle. Viens au salon quand tu auras lu l‘ensemble de mes observations. A ce moment tu feras ton choix entre tes deux amis et moi.
- Mais, je ne comprends rien . Paul chéri, de quel choix parles-tu ? Une proie sexuelle ? Tu as plus de fièvre que moi. Tu devrais utiliser le thermomètre. Paul, tu m’effraies. Est-ce aussi grave ?
- Comment peux-tu en douter ? As-tu perdu le sens commun ? La posture dans laquelle tu te tenais, vulve ouverte par Angèle face au sexe de Léon est-elle normale pour une épouse ? Te mettre ainsi à la disposition de ces pervers est l’injure la plus grave que tu puisses me faire. J’ai suspendu l’acte. Tu pourras demander à reprendre avec Léon et Angèle, et confirmer ainsi ton désir de rupture avec moi. Je souhaite te faire prendre conscience de l’énormité de l’événement et t’inviter à adopter pour l’avenir un comportement libre, indépendant des ordres de celle que tu appelles à tort « Ma meilleure amie »
- Bon, je lis. Tu me troubles. Oh! Que ton texte est long.
Je pourrais laisser faire. Mais je n’admets pas l’ascendant exercé par Angèle sur ma femme Mireille. Celle-ci est-elle intrinsèquement vicieuse ou est-elle victime d’un chantage ? La présente séance me le dira. Comment lui permettre d’échapper à l’emprise de la fausse amie. Angèle est une intrigante sans scrupules, je le sais depuis vingt ans au moins, je l’ai appris à mes dépens à cette époque. Elle a agi comme une araignée pour capturer Mireille dans sa toile et elle croit pouvoir la soumettre à ses envies malsaines, la réduire à un rôle d’esclave sexuelle. Ça marche, tout jusqu’ici le prouve.
Angèle avait voulu nous séparer avant de s’éloigner il y a 20 ans. A son retour, des années plus tard, elle nous a trouvés mariés. J’ai refusé de renouer avec elle, de la rejoindre à un rendez-vous chaud et de devenir un mari adultère et manipulable. Elle se venge en avilissant mon épouse. Elle a su habilement renouer avec des habitudes lesbiennes interrompues depuis des lustres, imposer baisers et attouchements à chaque rencontres avec Mireille et finir à deux et nues dans un lit de notre maison. De mes yeux je les ai vues enlacées, enfourchées, vulve à vulve se cabrer, puis à tour de rôle se faire fouetter le vagin par les doigts de l’autre, pour faire monter une mayonnaise de cyprine J’ai encore dans les oreilles leurs feulements de lionnes en folie en train de se dévorer le pot à miel. C’était un premier pas dans la débauche. Aujourd’hui la participation annoncée de Léon scellera la reconquête totale de Mireille par « sa meilleure amie » et sa condamnation définitive à une soumission sans condition à toutes les extravagances du couple infernal.
Je n’avais jamais eu à me plaindre de Mireille. Je ne crois pas possible de ne rien avoir remarqué pendant vingt ans d’une conduite dépravée de ma femme. Si elle avait entretenu des relations hors mariage avec une femme ou un amant, nécessairement elle aurait commis une bévue, se serait trahie un jour ou l’autre. Ou il aurait fallu que je sois aveugle, ou Mireille aurait été particulièrement habile .pour réussir à dissimuler son double jeu. Certes je n’étais pas un époux jaloux et constamment aux aguets. Nous vivions heureux simplement, je n’avais aucune raison de m’inquiéter ou de douter de sa fidélité.
Or, tout à coup, presque ouvertement, Angèle revenue est sur le point de faire éclater notre couple. Elle a établi ou rétabli un lien particulier avec Mimi, elle s’apprête à la livrer à la convoitise de son propre mari : c’Est-ce qu’ils appellent une sexualité épanouie mais que je considère comme de la dépravation. Autre folie : Elle voudrait unir Jean et Odile, nos enfants,qui sont peut-être frère et sœur, avec l’aval de Mireille probablement ignorante du lien possible. Pire: Elle a dépucelé mon fils, par ruse très probablement Aucun crime ne retiendra sa rage de vengeance. Elle vient de promettre à ma femme un amant ou des amants et des parties orgiaques dans le cadre d’une vie plus heureuse, sans moi, et qu’elle dirigera. Cette fois le vase déborde. Il est temps de me manifester. Je n’ai que trop attendu si je veux empêcher Léon et Angèle de détruire Mireille Mon premier souci est d’isoler ma femme et de lui ouvrir les yeux Je sors de ma cave et je sonne à la porte d’entrée.
La réponse se fait attendre. J’insiste, je frappe du poing dans la porte. Je crie, j’appelle Mireille, je m’annonce. On n’ouvre pas. Demi-tour :Je rentre par la cave, je fais fortement remarquer ma présence, tape des pieds sur les marches de l’escalier de bois, je me présente dans le hall d’entrée et je me heurte à Angèle venue me recevoir
- Paul, c’est toi.? On se demandait quel intrus se livrait à un tel vacarme. Tu nous a fait peur .Que veux-tu ?
Elle me barre le passage vers le salon. C’est pour permettre aux deux autres de retrouver un aspect normal et d’être présentables, rhabillés comme des gens normaux. Je me rebiffe :
- Mais je suis chez moi. Me faudrait-il une autorisation d’entrer pour un motif valable? Mireille n’était pas bien, je me suis inquiété et j’accours pour voir si elle n’a pas besoin de mon aide. Permets-moi de m’étonner de ta présence. Ne travailles-tu pas aujourd’hui ?
- Ta femme est malade, tu la laisses partir au lieu de la raccompagner. Tu me fais un drôle de mari. Remercie-nous, Léon et moi, de l’avoir rencontrée et d’avoir pensé à la ramener à la maison, contrairement à toi. Vois, elle est assise sur le canapé et nous veillons sur elle, nous !
Vaillante et prête à se laisser embrocher il y a quelques minutes seulement, Mireille dans sa robe m’apparaît dolente à côté de Léon, secouriste improvisé et étalon déçu de mon intervention qui l’a privé d’une possession imminente. Dolente peut-être, mais si rouge et si énervée. Je l’examine et la plains :
-Ma pauvre chérie. Je m’en veux de ne pas avoir su évaluer la gravité de ton état. Je vois à la rougeur de ton visage et à la sueur qui perle sur ton front que tu es sérieusement malade. Pardonne mon incurie. Mais, après réflexion, je me suis dit que tu ne quittais pas habituellement ton travail pour des broutilles et j’ai cru nécessaire de venir m’occuper de toi. As-tu pris ta température ? Non ? Donne-moi la main, allons dans notre chambre, tes amis t’attendront au salon pendant que nous utiliserons le thermomètre. Appuie-toi sur moi.
Angèle veut m’aider à la soutenir. Mon arrivée gêne le déroulement de son plan. Elle ne souhaite pas perdre Mireille de vue. Je veux l’opposé!
-Merci Angèle, c’est ma femme et je saurai m’occuper d’elle, restez avec Léon. Ah ! Pouvez-vous me tendre son sac à main ? Merci. Buvez à la santé de Mireille. Je reviens dans quelques minutes.
Je ferme la porte de ma chambre au nez de l’amie trop dévouée, trop curieuse et qui aimerait surveiller ma femme et la faire taire si nécessaire. Je ne tolère plus d’ingérence. J’allonge Mireille, elle geint comme une mourante. Le temps des hésitations et des précautions est révolu. Je connais le mal qui la ronge, je l’ai vu croître et je l’ai analysé. L’heure est grave, une décision importante remettra les pendules à l’heure : ce soir verra le triomphe de l’amie destructrice ou la victoire du mari. J’éclate de rire au grand effarement de la migraineuse. Je sors l’artillerie lourde :
- Ma chère, tu peux cesser ta comédie. Ta migraine est imaginaire et tactique. Son retour fulgurant à ma vue ou au coup de sonnette, ne m’émeut pas. J’étais ici avant vous, j’ai constaté que ta santé n’était compromise que par tes amis. Il y a un instant tu attendais la pénétration de Léon, cuisses béantes après des préliminaires sans autres gémissements que de volupté: tu te portais à merveille, il est donc inutile de vouloir m’apitoyer par un simulacre de souffrances. Permets-moi de prendre dans ton sac, même si c’est peu délicat, la lettre que je t’ai remise plus tôt. J’espère pour toi que tu n’as pas eu ni pris le temps de la lire, faute d’en peser l’importance. Tu vas la lire, tu y trouveras l’explication réelle de ma présence, ici et maintenant.
Contrairement à ce que j’ai laissé entendre aux deux salauds installés dans le salon, je n’éprouve aucun souci pour ta santé physique, mais je m’inquiète uniquement pour certains égarements sexuels auxquels tu as commencé à te laisser aller. Après la lecture, tu cesseras de me traiter en faible d’esprit, en mari inconsistant. J’ai attendu l’extrême limite pour casser votre jeu pervers. Quelques secondes plus tard j’aurais été contraint de te considérer comme perdue pour moi et je t’aurais jetée hors de notre maison avec les deux pourris ici présents pour me cocufier et pour te réduire en proie sexuelle. Viens au salon quand tu auras lu l‘ensemble de mes observations. A ce moment tu feras ton choix entre tes deux amis et moi.
- Mais, je ne comprends rien . Paul chéri, de quel choix parles-tu ? Une proie sexuelle ? Tu as plus de fièvre que moi. Tu devrais utiliser le thermomètre. Paul, tu m’effraies. Est-ce aussi grave ?
- Comment peux-tu en douter ? As-tu perdu le sens commun ? La posture dans laquelle tu te tenais, vulve ouverte par Angèle face au sexe de Léon est-elle normale pour une épouse ? Te mettre ainsi à la disposition de ces pervers est l’injure la plus grave que tu puisses me faire. J’ai suspendu l’acte. Tu pourras demander à reprendre avec Léon et Angèle, et confirmer ainsi ton désir de rupture avec moi. Je souhaite te faire prendre conscience de l’énormité de l’événement et t’inviter à adopter pour l’avenir un comportement libre, indépendant des ordres de celle que tu appelles à tort « Ma meilleure amie »
- Bon, je lis. Tu me troubles. Oh! Que ton texte est long.
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