Tu l'as cherché 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Tu l'as cherché 3
Tu l’as cherché 3
Avant de prendre la fuite, si nécessaire parce que nous aurons été débusqués, poussée par une curiosité que je ne me connaissais pas, de peur aussi de décevoir Bob, j’oublie les principes d’une éducation relativement stricte et je m’installe à côté de mon tentateur. Un jour, plus ou moins tôt selon son milieu social, on secoue des règles jusque là acceptées, jugées protectrices, mais soudain devenues contraignantes dans des circonstances particulières. J’en suis à ce moment précis de ma vie, marquée par le passé mais curieuse de mon devenir et tentée par une aventure tout à fait spéciale, inattendue c’est certain, mais trop alléchante pour l’écarter.
La position couchée n’est pas très confortable; par bonheur des couches successives de feuilles constituent un matelas moelleux sous mes coudes, mes hanches, mes cuisses et mes genoux. Galant, l’ami Bob murmure
- Ça ira ? Tu es bien ? Ouvre les yeux et les oreilles, mais silence. Que tu es mignonne ! Il esquisse un baiser dans ma direction, les lèvres en cul de poule, il souffle sur sa main pour me l’envoyer, un peu comme un gamin espiègle. Quel contraste avec la proposition hardie de mettre à ma disposition son dard de jeune homme, pour m’instruire par la vue et éventuellement le toucher. Je devine qu’il pense « Et plus si affinité » comme dans certaines petites annonce du journal. Je sens que je lui plais.
De l’autre côté de la haie, l’homme, vu de dos est massif et trapu. Le crâne est marqué par une calvitie naissante ceinte d’une couronne de cheveux grisonnants. Il ne porte plus qu’un caleçon américain, arbore une poitrine velue. L’ensemble annonce la maturité, il peut avoir entre quarante et cinquante ans. Il se tient effectivement debout sur une couverture étendue à même le sol et entoure de ses bras le haut du corps plus petit de sa compagne. Ce ne sont plus des perdreaux de l’année. De la femme je n’aperçois qu’une jambe gauche blanche ; l’arrière du genou est tendu et légèrement gras ou bien en chair: ce n’est plus une jeune fille. Les pieds aux ongles vernis sont orientés comme ceux de son amoureux, talons tournés vers nous.
Elle est donc appuyée de dos contre le ventre de l’homme, soupire sous la probable pression des mains sur ses seins. je ne vois pas mais j’interprète une longue plainte. Derrière elle, l’homme propulse son bassin vers l’avant et décrit des cercles pour se frotter à la croupe invisible de notre place.
Bob avait exécuté ce mouvement sous mes fesses, sur les gradins de la piscine et j’ai vu à quoi il avait abouti : à cause de son érection, il avait dû plonger dans l’eau pour cacher la déformation de son maillot de bain. Donc notre homme doit faire connaître l’état de sa verge à sa conquête.
Le flanc gauche de la femme dépasse, il est parcouru du haut en bas par un avant-bras. Le mouvement a un but précis : l’élastique de la culotte descend sur le côté du corps, passe sous le genou, échoue sur le pied. Un sursaut et une nouvelle plainte marquent l’arrivée de l’épaisse main gauche sur son pubis. La femme se plie en avant dans un réflexe de défense, l’homme doit toucher et peut-être pénétrer son sexe du bout d’un doigt. Elle répète des « oh » et des « ah » . Elle se tord, échappe enfin à la main fouineuse en se baissant, jambes pliées. Il la lâche et la contourne, se tient debout de trois quarts et la fait légèrement pivoter. Bob m’envoie un coup de coude :
- Regarde, voilà une belle queue. Il tire sur les cheveux, il veut se faire sucer. Chut.
A cinq ou six mètres, de l’autre côté de la haie, sous le ventre bedonnant, pointe hors du caleçon un gros doigt de chair. C’est imposant un sexe d’homme, plus gros sous mes yeux que tout ce que j’imaginais avant cette découverte. Bob apprécie en connaisseur :
- Il est bien monté, le vieux ! La nana va déguster.
Le sexe de Bob sera-t-il aussi intéressant,verrai-je chez lui cette boule d’un rose violet au bout d’une tige noueuse ? Aura-t-il aussi à la base cette sorte de sac pendant dont l’avant seul paraît actuellement ? La main droite tire sur la chevelure féminine dénouée. La tête au visage caché semble résister à la traction. L’homme élève la voix :
- Qu’est-ce que tu as ? Tu es venue volontairement, oui ou non ? Je ne t’ai pas traînée de force jusqu’ici ! Étais-tu volontaire, oui ou non ?
Un filet de voix à peine audible répond à la voix énervée :
- Oui, Gérard, si.
Il élève la voix pour être entendu malgré le bourdonnement continu des moteurs sur l’autoroute :
- Ben, alors, ouvre la bouche et montre-moi ce que tu sais faire. Ce n’est quand même pas ta première pipe. Ton mari n’aime pas une bonne fellation ? Si… ? Alors ne fais pas la dégoûtée. Allez, suce. Tu lèches, tu salives sur le bout et ensuite tu embouches. Putain! On dirait une none !
Elle ose murmurer :
- Ce n’était pas prévu.
Elle bafouille encore une phrase, tout bas Que dit-elle ? Elle a parlé trop bas. Une voix autoritaire lui répond parfaitement audible celle là :
- C’est promis, ton mari ne sera pas licencié. Mais son emploi dépend de ta bonne volonté. Remplis ton contrat, je respecterai le mien. Sois coopérative et je le garde. Tu m’aimes, on baise et il garde sa place. Tu peux même lui assurer une promotion, mais sois plus zélée, mets du cœur à l’ouvrage. Simplement je l’enverrai souvent en mission pour te libérer de sa surveillance. Avec un peu d’amour tu me rendras heureux.
- Merci. Tu….
Les bruits des moteurs sur l’autoroute voisine couvrent le reste de l’échange. La femme vient de pivoter. Ses deux mains apparaissent sous les bras de l’homme et se fixent à son dos. La tête du presque chauve se baisse, il l’étreint encore et l’embrasse sans doute. Il se redresse, Ses coudes exécutent un mouvement synchronisé, d‘avant en arrière comme des bielles de machine. Elles donnent le même mouvement à la femme. Il reprend la parole :
- Voilà, c’est déjà mieux. Tu as bien compris mon souhait ; nous nous verrons tous les huit jours. Pour nous aimer. Dès la semaine prochaine nous disposerons d’un appartement discret. Ça va, tu n’as plus peur, personne ne te cherchera ici. J’aimerais que tu reprennes de toi-même cette petite gâterie , un câlin pour la mise en forme. Tu peux t’accroupir en face de mon bâton d’amour.
Pendant qu’elle s’agenouille, il pivote à son tour, fait face à la haie qui nous masque et c’est l’arrière du corps féminin que nous découvrons. C’est une femme aux cheveux châtain clair dénoués, étalés sur les épaules. Assurément une femme mature, bien en chair, mais pas grosse. Le gros a bon goût, cette maîtresse peut le combler de fierté. Le dessin de ce dos est parfait . Bob le signifie en le reproduisant à deux mains les courbes, avant de murmurer :
- Ouha ! Quel beau cul. Quelle superbe taille.
Ses phrases sont brèves par nécessité. Il est sensible à la vue de ce corps de femme soigné. Je le remarque à sa façon de remuer, de porter une main à sa braguette. Pourvu qu’il ne sorte pas ses bijoux de famille maintenant. Je suis trop occupée à suivre les gestes du couple.
Si j’ai bien compris, la femme garantit l’emploi de son mari en se soumettant aux désirs sexuels du patron ou du responsable du personnel d’une entreprise. La vie est parfois dégueulasse ! Qui blâmer dans cet accord ? Il y a abus de pouvoir de l’un, soumission calculée de la femme; cela me révolte. Si elle aimait vraiment son mari, elle n’aurait pas suivi ce compagnon, elle n’agirait pas sur ordre, elle ne chercherait pas à minimiser, à mesurer le don : elle refuserait avec dignité. Bien sûr, en ces temps de crise un chômeur ne retrouve pas facilement un bon contrat de travail; est-ce une raison suffisante pour que son épouse cède aux pulsions sexuelles d’un patron. Je suppose que la malheureuse n’a pas consulté son mari avant de subir les fantaisies de ce mâle. J’avais une conception différente de l’amour, de la fidélité; je tombe des nues devant tant de vénalité. Le « dur » à côté de moi laisse filer un commentaire :
- Quel gros salaud ! Mais quelle salope aussi. Elle est d’accord. Qui sait, elle ne demande peut-être pas mieux. Je crois qu’ elle joue à la timide pour exciter le type; ses hésitations sont destinées à se faire désirer plus fort.
La position présente de la dame, à moitié accroupie, à moitié à genoux, tête penchée pour lécher ou avaler le machin du bonhomme, m’offre une vue complète sur son arrière train. De la plus grande largeur, à hauteur des hanches, partent deux magnifiques courbes arrondies dont les arcs de cercles se rejoignent en soulignant d’un pli médian épais la jonction des fesses et des cuisses. Une verticale descend du milieu du dos et coupe les deux arrondis puis disparaît entre les grandes lèvres de la vulve bien exposée. Ces lèvres charnues que les doigts ont déjà travaillées et fait gonfler de sang, bâillent autour de la boutonnière plus fine et allongée des nymphes aux couleurs plus claires, brillantes.
Oui, un doigt au moins est passé par là, l‘humidité des bords en témoigne. La verticale s’ouvre vers le bas et la partie visible du sexe s’élargit pour former un triangle parsemé sur les bords d’une toison clairsemée de la couleur de la chevelure. Jamais une femme ne m’avait montré son intimité de cette manière. Moi aussi je dois être faite comme ça. Un jour, moi aussi, on me caressera, on….
Or, à la lisière de ma jupe, un peu au-dessus de mon genou droit, je sens un frôlement. Je tourne la tête. Eh ! Oui, une main de Bob tente de faire remonter le tissu de ma jupe d’été pour découvrir des points de comparaison avec l’autre modèle ou pour voir et toucher mon intimité. Non, le jour n’est pas encore arrivé, même si en rêve je l’appelle parfois. Je lui lance un regard assassin et lui rappelle ses promesses
- Hé! Pas touche ou je crie ! Tu as promis.
La main redescend. A-t-il cru pouvoir profiter de mon émotion et se livrer à des explorations imprévues. Le spectacle du couple ne me laisse pas physiquement indifférente. Bob ne l’est pas davantage, mais en suivant des yeux la trajectoire de sa main en repli je remarque la déformation de son pantalon. Je mouille ma culotte , ça ne se voit pas; il bande et ça saute aux yeux. Les miens s’arrondissent et le plongent dans une gêne momentanée.
Pendant ce temps le spectacle des amants a évolué. Allongé sur le dos, monsieur se laisse choyer par madame. Elle aussi s’est couchée, mais sur le ventre, perpendiculairement au ventre du gisant. Sa main gauche monte et descend le long du cierge dressé. La tête se déplace tantôt à droite, tantôt à gauche. Là elle va embrasser les lèvres masculines, sa bouche suce les tétons perdus dans les poils de la poitrine, la langue s’arrête autour du nombril avant d’aller lécher le sexe et ses attributs. L’imagination supplée au défaut de visibilité: je note les déplacements, je ne vois pas ce que l’amante fait réellement, sauf quand elle se soulève pour enfourner la tige secouée régulièrement par sa main. D’elle je vois surtout la plante des pieds, la moule entre les cuisses et la croupe abondante.
Monsieur la repousse. A son tour elle se retrouve sur le dos, tête proche de nous, orteils à l’opposé. Que fait le mâle ? Il se penche, fléchit les genoux, présente ses fesses au-dessus du visage et la femme cueille le sexe , tire dessus et le mène à son visage. Les couilles viennent sur ses yeux, elle reçoit la queue en bouche. Le dos se met à danser au-dessus de la chevelure. L’homme est couché à l’envers sur elle, sa tête disparaît à l’autre extrémité. La femme râle un « ohoooooo » étouffé par le corps étranger qui va et vient entre ses lèvres. Bob commente :
- Elle lui suce la queue, il lui bouffe la chatte, ça s’appelle un soixante neuf .
Entre gémissements et bonds de l’un ou de l’autre, les deux partis semblent ne plus vouloir se lâcher. L’exercice dure, les miaulements de la femme me font frissonner sous le regard curieux de Bob. Par bonheur, il n(ose plus me toucher. Mon trouble m’empêcherait de m’opposer à une tentative. Ce doit être fameux si j’en crois les geignements de cette femme en transes sous la morsure et les caresses.Enfin le gros se redresse pour passer à autre chose.
Illa contourne , sépare ses pieds et s’avance entre ses jambes. Il a quitté son caleçon et le balance sur la haie, sur son pantalon, avant de s’agenouiller lourdement pour se coucher ensuite face tournée vers la femme et vers notre cachette. Cette fois je distingue nettement son visage couvert de sueur et brillant d‘un liquide : urine ou sécrétion féminine? . J’ai déjà vu ce visage, il ne m’est pas inconnu. Je cherche…Il se maintient en suspension sur les jambes et les bras. Sous lui, en attente, respirant fort pour retrouver son souffle normal je distingue les cheveux en auréole, la pointe du nez, les deux sommets de la poitrine aplatie par son propre plat poids comme des œufs sur le plat et plus loin les genoux instinctivement relevés et éloignés l‘un de l‘autre, en position d« accueil ». Mais qui est cet homme, je cherche, j’ai l’impression que son nom va jaillir, que je vais découvrir son identité.
Ce n’est pas la préoccupation actuelle de l‘individu. Toujours à genoux, il progresse entre les cuisses de l’inconnue. Il brandit sa queue au summum de son développement et la dirige vers la fente. Il tend l’autre main vers le nid qui l‘attend, fouille et se fraie un passage, pointe, pose la tête de son sexe contre l’entrée du trou et se laisse aller, recouvre la femme lentement à l’allure de la pénétration de son sexe.
Bob attire mon attention, joint son pouce et son index en forme de rond et passe dans ce trou l’index de l’autre main, le fait avancer et reculer pour dire :
-Ça y est, il la baise. Le veinard !
Un moment immobilisé sur le corps tendre, l’acteur est venu embrasser la bouche. Il relève la tête, pousse sur ses bras, se décolle de la poitrine, prend solidement appui sur ses mains et entame un mouvement lent. Ses fesses remontent. Les deux ventres se désunissent sauf en un point. Tout en bas un lien les réunit, la verge n’est pas entièrement sortie. Il reste en suspension quelques secondes avant de se laisser glisser dans le vagin. Et il relève son postérieur jusqu’à la limite, reste suspendu puis retombe sur la femme. Et évidemment dans le ventre accueillant. Sa lenteur résulte-t-elle de son âge ?
Erreur ! Il se met à accélérer et chaque retour dans le sein femelle provoque désormais un soupir de la succube. Je suis étonnée de le voir adopter une cadence rapide. Il entre, il sort, il rentre, il ressort. C’est un athlète entraîné à ce sport et la dame gémit et se met à gigoter. Ses bras se ferment dans le dos, ses pieds battent l’air puis vont emprisonner les fesses, ralentissent la charge du cavalier, le plaquent contre elle. Elle s’emporte, réclame plus de force, veut sentir davantage les frottements et les chocs du membre viril. Ce n’est plus la femme soumise à l’autorité du chef tout puissant, c’est une femelle en chaleur qui s’offre et qui veut sa part de jouissance
- Oui, plus fort, défonce-moi, baise moi. Gérard, au fond. Oh ! Je viens. Pousse, écrase-moi, fais moi jouir ! Ah!
Gérard, puisque c’est son nom, s’arrache à l’étreinte, attrape sa queue et dirige vers les seins aux tétins durs quelques giclées d’un liquide pâle. Puis il roule sur le dos, sur la couverture, entre nous et la femme amoureuse.
- Alors, heureuse ?
-Oui. Oh ! Oui
- Tu as été merveilleuse. Tu ne regrettes rien ?
- Non. Merci
- On pourra continuer. Si tu grimpais à cheval sur moi, si tu menais, tu me montrerais que tu es éprise de moi
- Et ta femme ?
- Puisque c’est toi que je désire. Tu es si bonne, tu baises avec élan. Je n’en espérais pas autant pour une première fois. Tourne-toi sur le ventre, je veux voir ton joli cul. Tu es si belle. Non, ne crains rien, c’est mon index. Tu aimes la sodomie ? Moi j’adore. On pourra…?
- Si tu veux.
La réponse n’est pas enthousiaste. Mais après la reddition, après l’invasion du con, pourquoi résister à une pénétration anale? Une saucée par derrière, ça peut être douloureux mais c’est moins risqué, doit-elle penser. J’ai déjà entendu dire ça au lycée. Le premier pas est fait, advienne que pourra : « si tu veux » elle fait allégeance.
- Formidable, Marie! Je suis fou de toi. Je te jure de t’aimer toujours
Un visage d’homme connu, une voix de femme qui redevient normale,et maintenant une Marie ! Cette femme… pourrait être. Non, ce n’est pas possible. Comment une idée pareille peut-elle me traverser l’esprit ? La scène m‘a tellement bouleversée, j‘en deviens folle, idiote, indigne. Des Marie, il y en a des milliers ! Ça bouge derrière le mur de végétation. Marie, la Marie de ce couple, se lève, part des pieds de l’homme vers sa tête et appuie un pied de chaque côté du corps allongé. Il l’arrête.
- Oh ! Ne bouge plus. Tes petites lèvres sont fines mais rouges, elles sont admirables. Tu n’aurais pas envie de pisser ? Vas-y ! J’aimerais tellement voir le jet et le sentir sur moi. Marie, s’il te plaît.
-Oh ! Non, cela ne se fait pas. Sois raisonnable, Gérard.
- Si, pisse-moi dessus. Allez, je veux voir ton écoulement. Je te l’ordonne !
- Ah ! Puisque tu l’exiges.
Elle est debout, de honte elle cache son visage entre ses mains. Je la vois de profil. Nous retenons notre souffle
-Pissera, ne pissera pas ?
Moi, je ne pourrais pas. Pisser devant quelque un, c’est impossible; alors pisser sur un homme qui fixe ta fente, non, c’est hors entendement ! Pourtant, un jaillissement part du bas ventre, décrit un arc de cercle et arrose le torse et le visage, rebondit en gouttelettes d’or. Elle le fait, la vessie était pleine, elle lâche les grandes eaux. Il rit de bonheur sous l’averse d’urine. Quand enfin tombent les dernières gouttes Gérard lui fait signe de s’asseoir sur lui.
Avant de prendre la fuite, si nécessaire parce que nous aurons été débusqués, poussée par une curiosité que je ne me connaissais pas, de peur aussi de décevoir Bob, j’oublie les principes d’une éducation relativement stricte et je m’installe à côté de mon tentateur. Un jour, plus ou moins tôt selon son milieu social, on secoue des règles jusque là acceptées, jugées protectrices, mais soudain devenues contraignantes dans des circonstances particulières. J’en suis à ce moment précis de ma vie, marquée par le passé mais curieuse de mon devenir et tentée par une aventure tout à fait spéciale, inattendue c’est certain, mais trop alléchante pour l’écarter.
La position couchée n’est pas très confortable; par bonheur des couches successives de feuilles constituent un matelas moelleux sous mes coudes, mes hanches, mes cuisses et mes genoux. Galant, l’ami Bob murmure
- Ça ira ? Tu es bien ? Ouvre les yeux et les oreilles, mais silence. Que tu es mignonne ! Il esquisse un baiser dans ma direction, les lèvres en cul de poule, il souffle sur sa main pour me l’envoyer, un peu comme un gamin espiègle. Quel contraste avec la proposition hardie de mettre à ma disposition son dard de jeune homme, pour m’instruire par la vue et éventuellement le toucher. Je devine qu’il pense « Et plus si affinité » comme dans certaines petites annonce du journal. Je sens que je lui plais.
De l’autre côté de la haie, l’homme, vu de dos est massif et trapu. Le crâne est marqué par une calvitie naissante ceinte d’une couronne de cheveux grisonnants. Il ne porte plus qu’un caleçon américain, arbore une poitrine velue. L’ensemble annonce la maturité, il peut avoir entre quarante et cinquante ans. Il se tient effectivement debout sur une couverture étendue à même le sol et entoure de ses bras le haut du corps plus petit de sa compagne. Ce ne sont plus des perdreaux de l’année. De la femme je n’aperçois qu’une jambe gauche blanche ; l’arrière du genou est tendu et légèrement gras ou bien en chair: ce n’est plus une jeune fille. Les pieds aux ongles vernis sont orientés comme ceux de son amoureux, talons tournés vers nous.
Elle est donc appuyée de dos contre le ventre de l’homme, soupire sous la probable pression des mains sur ses seins. je ne vois pas mais j’interprète une longue plainte. Derrière elle, l’homme propulse son bassin vers l’avant et décrit des cercles pour se frotter à la croupe invisible de notre place.
Bob avait exécuté ce mouvement sous mes fesses, sur les gradins de la piscine et j’ai vu à quoi il avait abouti : à cause de son érection, il avait dû plonger dans l’eau pour cacher la déformation de son maillot de bain. Donc notre homme doit faire connaître l’état de sa verge à sa conquête.
Le flanc gauche de la femme dépasse, il est parcouru du haut en bas par un avant-bras. Le mouvement a un but précis : l’élastique de la culotte descend sur le côté du corps, passe sous le genou, échoue sur le pied. Un sursaut et une nouvelle plainte marquent l’arrivée de l’épaisse main gauche sur son pubis. La femme se plie en avant dans un réflexe de défense, l’homme doit toucher et peut-être pénétrer son sexe du bout d’un doigt. Elle répète des « oh » et des « ah » . Elle se tord, échappe enfin à la main fouineuse en se baissant, jambes pliées. Il la lâche et la contourne, se tient debout de trois quarts et la fait légèrement pivoter. Bob m’envoie un coup de coude :
- Regarde, voilà une belle queue. Il tire sur les cheveux, il veut se faire sucer. Chut.
A cinq ou six mètres, de l’autre côté de la haie, sous le ventre bedonnant, pointe hors du caleçon un gros doigt de chair. C’est imposant un sexe d’homme, plus gros sous mes yeux que tout ce que j’imaginais avant cette découverte. Bob apprécie en connaisseur :
- Il est bien monté, le vieux ! La nana va déguster.
Le sexe de Bob sera-t-il aussi intéressant,verrai-je chez lui cette boule d’un rose violet au bout d’une tige noueuse ? Aura-t-il aussi à la base cette sorte de sac pendant dont l’avant seul paraît actuellement ? La main droite tire sur la chevelure féminine dénouée. La tête au visage caché semble résister à la traction. L’homme élève la voix :
- Qu’est-ce que tu as ? Tu es venue volontairement, oui ou non ? Je ne t’ai pas traînée de force jusqu’ici ! Étais-tu volontaire, oui ou non ?
Un filet de voix à peine audible répond à la voix énervée :
- Oui, Gérard, si.
Il élève la voix pour être entendu malgré le bourdonnement continu des moteurs sur l’autoroute :
- Ben, alors, ouvre la bouche et montre-moi ce que tu sais faire. Ce n’est quand même pas ta première pipe. Ton mari n’aime pas une bonne fellation ? Si… ? Alors ne fais pas la dégoûtée. Allez, suce. Tu lèches, tu salives sur le bout et ensuite tu embouches. Putain! On dirait une none !
Elle ose murmurer :
- Ce n’était pas prévu.
Elle bafouille encore une phrase, tout bas Que dit-elle ? Elle a parlé trop bas. Une voix autoritaire lui répond parfaitement audible celle là :
- C’est promis, ton mari ne sera pas licencié. Mais son emploi dépend de ta bonne volonté. Remplis ton contrat, je respecterai le mien. Sois coopérative et je le garde. Tu m’aimes, on baise et il garde sa place. Tu peux même lui assurer une promotion, mais sois plus zélée, mets du cœur à l’ouvrage. Simplement je l’enverrai souvent en mission pour te libérer de sa surveillance. Avec un peu d’amour tu me rendras heureux.
- Merci. Tu….
Les bruits des moteurs sur l’autoroute voisine couvrent le reste de l’échange. La femme vient de pivoter. Ses deux mains apparaissent sous les bras de l’homme et se fixent à son dos. La tête du presque chauve se baisse, il l’étreint encore et l’embrasse sans doute. Il se redresse, Ses coudes exécutent un mouvement synchronisé, d‘avant en arrière comme des bielles de machine. Elles donnent le même mouvement à la femme. Il reprend la parole :
- Voilà, c’est déjà mieux. Tu as bien compris mon souhait ; nous nous verrons tous les huit jours. Pour nous aimer. Dès la semaine prochaine nous disposerons d’un appartement discret. Ça va, tu n’as plus peur, personne ne te cherchera ici. J’aimerais que tu reprennes de toi-même cette petite gâterie , un câlin pour la mise en forme. Tu peux t’accroupir en face de mon bâton d’amour.
Pendant qu’elle s’agenouille, il pivote à son tour, fait face à la haie qui nous masque et c’est l’arrière du corps féminin que nous découvrons. C’est une femme aux cheveux châtain clair dénoués, étalés sur les épaules. Assurément une femme mature, bien en chair, mais pas grosse. Le gros a bon goût, cette maîtresse peut le combler de fierté. Le dessin de ce dos est parfait . Bob le signifie en le reproduisant à deux mains les courbes, avant de murmurer :
- Ouha ! Quel beau cul. Quelle superbe taille.
Ses phrases sont brèves par nécessité. Il est sensible à la vue de ce corps de femme soigné. Je le remarque à sa façon de remuer, de porter une main à sa braguette. Pourvu qu’il ne sorte pas ses bijoux de famille maintenant. Je suis trop occupée à suivre les gestes du couple.
Si j’ai bien compris, la femme garantit l’emploi de son mari en se soumettant aux désirs sexuels du patron ou du responsable du personnel d’une entreprise. La vie est parfois dégueulasse ! Qui blâmer dans cet accord ? Il y a abus de pouvoir de l’un, soumission calculée de la femme; cela me révolte. Si elle aimait vraiment son mari, elle n’aurait pas suivi ce compagnon, elle n’agirait pas sur ordre, elle ne chercherait pas à minimiser, à mesurer le don : elle refuserait avec dignité. Bien sûr, en ces temps de crise un chômeur ne retrouve pas facilement un bon contrat de travail; est-ce une raison suffisante pour que son épouse cède aux pulsions sexuelles d’un patron. Je suppose que la malheureuse n’a pas consulté son mari avant de subir les fantaisies de ce mâle. J’avais une conception différente de l’amour, de la fidélité; je tombe des nues devant tant de vénalité. Le « dur » à côté de moi laisse filer un commentaire :
- Quel gros salaud ! Mais quelle salope aussi. Elle est d’accord. Qui sait, elle ne demande peut-être pas mieux. Je crois qu’ elle joue à la timide pour exciter le type; ses hésitations sont destinées à se faire désirer plus fort.
La position présente de la dame, à moitié accroupie, à moitié à genoux, tête penchée pour lécher ou avaler le machin du bonhomme, m’offre une vue complète sur son arrière train. De la plus grande largeur, à hauteur des hanches, partent deux magnifiques courbes arrondies dont les arcs de cercles se rejoignent en soulignant d’un pli médian épais la jonction des fesses et des cuisses. Une verticale descend du milieu du dos et coupe les deux arrondis puis disparaît entre les grandes lèvres de la vulve bien exposée. Ces lèvres charnues que les doigts ont déjà travaillées et fait gonfler de sang, bâillent autour de la boutonnière plus fine et allongée des nymphes aux couleurs plus claires, brillantes.
Oui, un doigt au moins est passé par là, l‘humidité des bords en témoigne. La verticale s’ouvre vers le bas et la partie visible du sexe s’élargit pour former un triangle parsemé sur les bords d’une toison clairsemée de la couleur de la chevelure. Jamais une femme ne m’avait montré son intimité de cette manière. Moi aussi je dois être faite comme ça. Un jour, moi aussi, on me caressera, on….
Or, à la lisière de ma jupe, un peu au-dessus de mon genou droit, je sens un frôlement. Je tourne la tête. Eh ! Oui, une main de Bob tente de faire remonter le tissu de ma jupe d’été pour découvrir des points de comparaison avec l’autre modèle ou pour voir et toucher mon intimité. Non, le jour n’est pas encore arrivé, même si en rêve je l’appelle parfois. Je lui lance un regard assassin et lui rappelle ses promesses
- Hé! Pas touche ou je crie ! Tu as promis.
La main redescend. A-t-il cru pouvoir profiter de mon émotion et se livrer à des explorations imprévues. Le spectacle du couple ne me laisse pas physiquement indifférente. Bob ne l’est pas davantage, mais en suivant des yeux la trajectoire de sa main en repli je remarque la déformation de son pantalon. Je mouille ma culotte , ça ne se voit pas; il bande et ça saute aux yeux. Les miens s’arrondissent et le plongent dans une gêne momentanée.
Pendant ce temps le spectacle des amants a évolué. Allongé sur le dos, monsieur se laisse choyer par madame. Elle aussi s’est couchée, mais sur le ventre, perpendiculairement au ventre du gisant. Sa main gauche monte et descend le long du cierge dressé. La tête se déplace tantôt à droite, tantôt à gauche. Là elle va embrasser les lèvres masculines, sa bouche suce les tétons perdus dans les poils de la poitrine, la langue s’arrête autour du nombril avant d’aller lécher le sexe et ses attributs. L’imagination supplée au défaut de visibilité: je note les déplacements, je ne vois pas ce que l’amante fait réellement, sauf quand elle se soulève pour enfourner la tige secouée régulièrement par sa main. D’elle je vois surtout la plante des pieds, la moule entre les cuisses et la croupe abondante.
Monsieur la repousse. A son tour elle se retrouve sur le dos, tête proche de nous, orteils à l’opposé. Que fait le mâle ? Il se penche, fléchit les genoux, présente ses fesses au-dessus du visage et la femme cueille le sexe , tire dessus et le mène à son visage. Les couilles viennent sur ses yeux, elle reçoit la queue en bouche. Le dos se met à danser au-dessus de la chevelure. L’homme est couché à l’envers sur elle, sa tête disparaît à l’autre extrémité. La femme râle un « ohoooooo » étouffé par le corps étranger qui va et vient entre ses lèvres. Bob commente :
- Elle lui suce la queue, il lui bouffe la chatte, ça s’appelle un soixante neuf .
Entre gémissements et bonds de l’un ou de l’autre, les deux partis semblent ne plus vouloir se lâcher. L’exercice dure, les miaulements de la femme me font frissonner sous le regard curieux de Bob. Par bonheur, il n(ose plus me toucher. Mon trouble m’empêcherait de m’opposer à une tentative. Ce doit être fameux si j’en crois les geignements de cette femme en transes sous la morsure et les caresses.Enfin le gros se redresse pour passer à autre chose.
Illa contourne , sépare ses pieds et s’avance entre ses jambes. Il a quitté son caleçon et le balance sur la haie, sur son pantalon, avant de s’agenouiller lourdement pour se coucher ensuite face tournée vers la femme et vers notre cachette. Cette fois je distingue nettement son visage couvert de sueur et brillant d‘un liquide : urine ou sécrétion féminine? . J’ai déjà vu ce visage, il ne m’est pas inconnu. Je cherche…Il se maintient en suspension sur les jambes et les bras. Sous lui, en attente, respirant fort pour retrouver son souffle normal je distingue les cheveux en auréole, la pointe du nez, les deux sommets de la poitrine aplatie par son propre plat poids comme des œufs sur le plat et plus loin les genoux instinctivement relevés et éloignés l‘un de l‘autre, en position d« accueil ». Mais qui est cet homme, je cherche, j’ai l’impression que son nom va jaillir, que je vais découvrir son identité.
Ce n’est pas la préoccupation actuelle de l‘individu. Toujours à genoux, il progresse entre les cuisses de l’inconnue. Il brandit sa queue au summum de son développement et la dirige vers la fente. Il tend l’autre main vers le nid qui l‘attend, fouille et se fraie un passage, pointe, pose la tête de son sexe contre l’entrée du trou et se laisse aller, recouvre la femme lentement à l’allure de la pénétration de son sexe.
Bob attire mon attention, joint son pouce et son index en forme de rond et passe dans ce trou l’index de l’autre main, le fait avancer et reculer pour dire :
-Ça y est, il la baise. Le veinard !
Un moment immobilisé sur le corps tendre, l’acteur est venu embrasser la bouche. Il relève la tête, pousse sur ses bras, se décolle de la poitrine, prend solidement appui sur ses mains et entame un mouvement lent. Ses fesses remontent. Les deux ventres se désunissent sauf en un point. Tout en bas un lien les réunit, la verge n’est pas entièrement sortie. Il reste en suspension quelques secondes avant de se laisser glisser dans le vagin. Et il relève son postérieur jusqu’à la limite, reste suspendu puis retombe sur la femme. Et évidemment dans le ventre accueillant. Sa lenteur résulte-t-elle de son âge ?
Erreur ! Il se met à accélérer et chaque retour dans le sein femelle provoque désormais un soupir de la succube. Je suis étonnée de le voir adopter une cadence rapide. Il entre, il sort, il rentre, il ressort. C’est un athlète entraîné à ce sport et la dame gémit et se met à gigoter. Ses bras se ferment dans le dos, ses pieds battent l’air puis vont emprisonner les fesses, ralentissent la charge du cavalier, le plaquent contre elle. Elle s’emporte, réclame plus de force, veut sentir davantage les frottements et les chocs du membre viril. Ce n’est plus la femme soumise à l’autorité du chef tout puissant, c’est une femelle en chaleur qui s’offre et qui veut sa part de jouissance
- Oui, plus fort, défonce-moi, baise moi. Gérard, au fond. Oh ! Je viens. Pousse, écrase-moi, fais moi jouir ! Ah!
Gérard, puisque c’est son nom, s’arrache à l’étreinte, attrape sa queue et dirige vers les seins aux tétins durs quelques giclées d’un liquide pâle. Puis il roule sur le dos, sur la couverture, entre nous et la femme amoureuse.
- Alors, heureuse ?
-Oui. Oh ! Oui
- Tu as été merveilleuse. Tu ne regrettes rien ?
- Non. Merci
- On pourra continuer. Si tu grimpais à cheval sur moi, si tu menais, tu me montrerais que tu es éprise de moi
- Et ta femme ?
- Puisque c’est toi que je désire. Tu es si bonne, tu baises avec élan. Je n’en espérais pas autant pour une première fois. Tourne-toi sur le ventre, je veux voir ton joli cul. Tu es si belle. Non, ne crains rien, c’est mon index. Tu aimes la sodomie ? Moi j’adore. On pourra…?
- Si tu veux.
La réponse n’est pas enthousiaste. Mais après la reddition, après l’invasion du con, pourquoi résister à une pénétration anale? Une saucée par derrière, ça peut être douloureux mais c’est moins risqué, doit-elle penser. J’ai déjà entendu dire ça au lycée. Le premier pas est fait, advienne que pourra : « si tu veux » elle fait allégeance.
- Formidable, Marie! Je suis fou de toi. Je te jure de t’aimer toujours
Un visage d’homme connu, une voix de femme qui redevient normale,et maintenant une Marie ! Cette femme… pourrait être. Non, ce n’est pas possible. Comment une idée pareille peut-elle me traverser l’esprit ? La scène m‘a tellement bouleversée, j‘en deviens folle, idiote, indigne. Des Marie, il y en a des milliers ! Ça bouge derrière le mur de végétation. Marie, la Marie de ce couple, se lève, part des pieds de l’homme vers sa tête et appuie un pied de chaque côté du corps allongé. Il l’arrête.
- Oh ! Ne bouge plus. Tes petites lèvres sont fines mais rouges, elles sont admirables. Tu n’aurais pas envie de pisser ? Vas-y ! J’aimerais tellement voir le jet et le sentir sur moi. Marie, s’il te plaît.
-Oh ! Non, cela ne se fait pas. Sois raisonnable, Gérard.
- Si, pisse-moi dessus. Allez, je veux voir ton écoulement. Je te l’ordonne !
- Ah ! Puisque tu l’exiges.
Elle est debout, de honte elle cache son visage entre ses mains. Je la vois de profil. Nous retenons notre souffle
-Pissera, ne pissera pas ?
Moi, je ne pourrais pas. Pisser devant quelque un, c’est impossible; alors pisser sur un homme qui fixe ta fente, non, c’est hors entendement ! Pourtant, un jaillissement part du bas ventre, décrit un arc de cercle et arrose le torse et le visage, rebondit en gouttelettes d’or. Elle le fait, la vessie était pleine, elle lâche les grandes eaux. Il rit de bonheur sous l’averse d’urine. Quand enfin tombent les dernières gouttes Gérard lui fait signe de s’asseoir sur lui.
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