Un cocu heureux 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un cocu heureux 5
Un cocu heureux 5
Mon chéri, Tu souhaitais que je te trompe. Ce n’est pas habituel. Tu le souhaites encore. J’ai du mal à te croire. Tu appelles ça un fantasme et tu te réjouis d’avoir assisté à ce que j’ai fait avec Gérard. Au lieu de te fâcher tu as gagné en envie de me faire l’amour. Autrement dit, je pourrais coucher avec un autre homme et tu ne te fâcherais pas ? Tu m’étonnes, pourtant , c’est vrai, tu as laissé faire. Et si je ne veux pas te donner le spectacle?
- A condition que tu ne le fasses plus en cachette, tu pourras coucher avec qui tu voudras. Tu as franchi une barrière, je serais très déçu de te voir renoncer à d’autres aventures. Au contraire, tu as carte blanche pendant la quinzaine des vacances mais uniquement durant ce temps. Choisis des hommes qui te plaisent et prends ton pied autant que tu veux. Mais n’oublie pas la seule condition : je veux assister. Sinon ne me considère plus comme ton mari.
-Je n’avais pas l’intention de te tromper. Les jeunes m’avaient serrée de près. Pour leur échapper, j’ai dit que j’étais fatiguée. Gérard a proposé de me reconduire. Et puis quand nous sommes arrivés ici, il m’a embrassée. C’était inattendu. Un baiser, ce n’est pas grave. Je ne l’ai pas pris au sérieux. Le baiser a duré. Il a embrassé mon cou et m’a envoyé sa main au panier et j’ai perdu le contrôle de la situation.
-Allons Mylène, ne déforme pas les faits.
- Mais je te jure, c’est toi que j’aime.
- C’est parce que j’en suis persuadé que je te demande de te faire prendre par des inconnus uniquement préoccupés par l’envie de te saillir. Si je n’étais pas sûr de ton amour je ne prendrais pas le risque de te perdre. Ta jouissance sera la mienne et je t’aimerai encore plus fort. Mais évite de me donner des explications tirées par les cheveux, ne me prends pas pour Simplet. Reconnais simplement que tu as eu une bonne grosse envie de ce garçon et que tu l’as amené chez nous pour te faire tringler. Ça je peux le comprendre.
- Merci. Tu insistes pour que je continue ? J’essaierai de te donner ce plaisir. Il faudra trouver des partenaires.
- Ce n’est pas un problème, tu es belle, avenante, tu plais. Contre les accusations des copains de Gérard qui t’ont vue en sa compagnie et qui vous ont vus vous éloigner du bal, tu auras besoin du témoignage de Léo et de Léa. . Pour commencer assure-toi du silence de ces deux là. Ou c’est moi qu’on soupçonnera. Veux-tu ma perte ?
- Comment ? Ah, il a fallu qu’ils veulent me dire bonne nuit ! Ce sont des témoins à charge. Un passage à l’ombre se projette à l’horizon à cause de ton fantasme. C’est injuste et je t’aime trop pour en profiter sans que tu me voies. Que recommandes-tu?
- Achète-les ! Fais l’amour avec eux. Mais attention, à l’avenir je veux assister à tes joutes amoureuses. Et après les vacances stop ou divorce. Nous devons accorder nos violons. Récapitulons. Tu étais fatiguée. Gérard a proposé de te raccompagner. Nous nous sommes rencontrés , vous et moi près du bloc sanitaire numéro 1. Nous avons remercié le garçon et nous sommes rentrés ensemble. Je suppose que ton signalement a déjà été communiqué aux gendarmes. Rejoignons ton collègue et sa femme et obtenons rapidement leur silence. Cela nous évitera des ennuis.
Je n’ai pas besoin de menacer ou de forcer d’une manière quelconque. Mylène ne se scandalise pas de ma proposition d’acheter le silence de nos voisins. Pour la bonne cause elle est immédiatement décidée à payer du don de son corps la discrétion de Léo et Léa. L’idée l’a séduite sur le champ, je la soupçonne de trouver que c’est un bon moyen de venir au devant de mon fantasme. Et puisque je le veux, elle fera ce sacrifice de sa vertu avec plaisir.
Nous traversons le chemin et sommes accueillis par le couple. Nous concluons un accord. Léo pourra en ma présence et devant Léa donner à Mylène des marques d’amour, la posséder à volonté et la rendre sexuellement heureuse jusqu‘à la fin du séjour. L‘accord est limité à cette période. Ils pourront composer des figures à deux . Mais, ce n’est pas négociable, devant moi et Léa uniquement. Mylène promet de se soumettre à leurs fantaisies pendant la durée du séjour. Léo grimace à l’énoncé de la limitation dans le temps. Le malin se dit cependant qu’une fois la mèche allumée, il sera difficile d’éteindre la flamme et que ma femme conquise saura lui accorder en secret ce que je ne pourrai pas voir.
Une clause inattendue m’est imposée par Mylène et par les futurs ordonnateurs et maîtres de ses plaisirs : je serai non seulement présent mais aussi actif. Nous formerons un quatuor amoureux. Léa a gagné cet additif sans me quitter des yeux.
Peu de temps après arrive une petite troupe. Léo indique à ceux qui nous cherchent que nous sommes sortis. Il n’en sait pas plus, mais peut répondre à une question:
- Hier soir ? Nos voisins ont quitté le bal avant nous, ils étaient fatigués par le voyage. Quand nous sommes rentrés, ils lisaient dans le séjour, en pyjamas et chemise de nuit; nous leur avons souhaité une bonne nuit.
Les autres s’éloignent, un peu déçus de perdre une piste. Une minute de silence suit le retour de Léo dans le séjour.
- Eh! Bien, dit Léa, si on prenait un apéritif pour fêter notre accord. Tenue de rigueur, le bas du maillot de bain ou rien. Oui, c’est mieux et plus conforme à nos attentes: A poil. Exécution.
Elle donne l’exemple, arrache son soutien-gorge, le regard provocateur. Évidemment quand on a des seins pareils on brûle de trouver l’occasion de les montrer, on les montre. Ils sont pleins, lourds mais pas affaissés, arrogants avec des tétons durs sur des aréoles larges et brunes. J’en ai des fourmis dans les doigts, mes lèvres tremblent de l‘envie de les baiser.
La plus timide tout à coup, c’est Mylène. Elle a un peu honte de montrer sur ses seins magnifiques les énormes suçons d’une nuit d’amour. Elle paraissait plus à l’aise avec son quasi inconnu qu’avec moi et ce couple au moment de franchir le pas et de se déshabiller entièrement. Elle est à la disposition de Léa et de Léo. Elle n’a pas compris ce que pourrait être ma participation active. C’est l’autre couple qui va diriger nos ébats.
- Alors Jean, qu’attends-tu pour déshabiller ta femme. Tu nous l’offres, à toi de déballer le cadeau.
Mylène a l’air résignée. Pourquoi y a-t-il du désespoir dans ses yeux quand je m’approche pour ôter blouse, short, soutien-gorge. Pour faire bonne mesure le string coquin enfilé ce matin en vue de son rendez-vous commence à descendre au-dessus des genoux.
- Léa, voici ma femme, je te la confie. Léo Mylène vous appartient, comme elle l’a décidé volontairement. Faites-en bon usage.
Léo est le coq de cette basse cour.
- Levons nos verres à la bonne suite de notre réunion. Jean, Léa te déshabillera. Ma chère Mylène, s’il te plaît, dénude-moi et vois comme tu excites ma queue.
Léo garde son sang froid. Il n’a pas fallu longtemps pour les mettre à l’aise ces deux là. Comment Léo a-t-il convaincu aussi vite Léa ? Mylène a plus de mal qu’elle à s’adapter à cette situation nouvelle. Elle avait choisi Gérard, elle se soumet à la nécessité de faire taire nos amis. Elle avait eu envie du jeune homme, elle a besoin du couple. La nuance ne m’échappe pas.
- Êtes-vous certains de prendre une bonne décision. Jean si tu insistes je me donnerai à Léo. Attention, tu devras en supporter les conséquences. Léa es-tu sûre de toi ? Tu ne m’en voudras pas ?
- Mais, oui, fais-toi plaisir et contente mon Léo. Crevez l’abcès et vous serez soulagés, la vie sera plus simple pour nous quatre. Finis les idées noires, les soupçons insupportables Vivons en toute franchise, sans cachotteries assumons nos actes.
Mylène nous observe puis vide son sac.
- Depuis quelques mois, Léo et moi pratiquons le covoiturage. Depuis des mois j’ai envie de faire l’amour avec lui. Depuis des mois, je lutte pour dominer ce désir, parce que je t’aime mon cher Jean. J’ai résisté à l’envie de me jeter à son cou au retour du travail, par amour de toi, mon Jean chéri. Des dizaines de fois.
- Chérie quitte tes nuages. Est-ce par amour de moi que tu m’as cocufié hier soir ? Tu aurais dû me prévenir au lieu d’agir en douce. N’en parlons plus, ce qui est fait est fait. L’essentiel arrive. Ici, tu vas te donner avec ma bénédiction et devant moi. C’est un partage du plaisir. Tu vas connaître de nouveaux frissons et des orgasmes voulus par nous quatre. Il n’y a rien de tordu, pas de tricherie, juste la recherche du plus grand plaisir avec le consentement de chacun. Tout ce qui te rendra heureuse fera mon bonheur, tout.
Mylène enchaîne et ne me surprend qu’à moitié:
- J’ai espéré en vain que Léo se décide à m’embrasser et à me bousculer. Chaque soir j’ai attendu qu’il ose, qu’il m’embrasse, qu’il caresse mes seins. Certaines fois son pantalon était tendu, je me disais qu’il finirait par craquer et que nous aboutirions sur la moquette, qu’il m’arracherait ma culotte, qu’il ferait sauter mon soutif, qu’il m’empoignerait entre les jambes et m’embrocherait. Hélas il s’est montré si correct. Je mouillais ma culotte, j’avais des fourmis dans la grotte. Il ne voyait rien.
Elle a été fidèle non par vertu mais par le manque d’audace de Léo. Il n’en revient pas :
- Oh! Non, ce n‘est pas possible. Et moi j’attendais un signe clair, un encouragement, depuis des mois! Oui, je bandais dans mon pantalon. Moi aussi je te désire Mylène. Que de temps perdu. Mais c’est vrai, nous n’aurons aucun sentiment de culpabilité puisque nous sommes tous d’accord, toi, moi, ma chérie Léa et ton généreux mari. Jean tu es un mec formidable. Béni soit ton fantasme magnifique.
S’il savait pourquoi je suis venu à Argelès. S’il savait quels soupçons je nourrissais. Le sort m’a joué un sacré tour. Regardons l’avenir !
- Eh! Bien, réjouissez-vous, ne vous gênez plus. J’attends votre union, j’en serai le spectateur attentif.
-Et moi, je pensais que c’était déjà fait, ajoute Léa. Je me rongeais les sangs. Tout est clair désormais.
Je n’étais pas seul à avoir des soupçons. Léa partage bien des choses avec moi. Elle est prête à suivre l’union de ma femme et de son mari.
-Allez, mon mari adoré, réalise ton rêve. Baisez, foutez, soulagez cette tension. Je le redis : Après tout sera plus simple. Déversez vos humeurs. Tringle-la joyeusement. Donne tout. Fais-lui le feu d’artifice du quatorze juillet. Jean et moi n’attendons que ça. Donnez-vous en spectacle devant nous, baisez !
-Oui, mais, Léa, si je tombe vraiment amoureuse de ton mari, que direz-vous, vous deux?
En guise de réponse, j’enlève la dernière barrière, je fais glisser le long des jambes le string. Mylène est toute nue devant moi. Je dépose un baiser de mari amoureux sur son pubis aux boucles brunes, hume l’odeur matinale de sa chatte. Qu’elle connaisse le bonheur, qu’elle soit heureuse comme elle le souhaite et advienne que pourra. Si elle tolère ma présence pendant la baise, c’est qu’elle a encore un peu d’amour pour moi.
Ses dernières révélations ébranlent mes certitudes. Je nourrissais un fantasme, elle rêvait de trouver son bonheur ailleurs, avec Léo et faute de Léo elle s’est donnée à Gérard. La défaillance accidentelle du sportif la renvoie à Léo, comme la nécessité d’acheter son silence. Cette pensée ne me console guère. De plus en plus j’ai conscience d’être cocu de cœur autant que de corps. Depuis hier au moins, je le sais, ce n’est qu’un début. Je lui ai donné carte blanche pour ces vacances.
Ça travaille dans mon crâne. Qui pourrait imaginer une suite où redevenue femme chaste, Mylène serait uniquement occupée à se faire posséder par son légitime? Elle retrouvera Léo. Elle aura Léo dans la peau. Heureux si je peux encore assister à leurs rapports charnels, heureux si j’existe encore aux yeux de cette femme inassouvie. Car c’est bien une telle femme que j’ai surprise en proie à ses démons, défoncée, et foutue par le maître nageur à la musculature avantageuse et prête maintenant à assouvir le démon qui la travaille depuis des mois en se donnant enfin à Léo,l’amoureux transi qui n’osait pas.
Elle va dévorer du mâle, elle va se soumettre, se faire sauter et bourriner sans réfléchir, par besoin de libération sexuelle, c’est une expédition dont elle ne sortira pas indemne. Marquée par Gérard, elle recevra en vagin tellement d’empreintes sexuelles, elle conservera une fringale sans limites des relations sexuelles multiples. Qu’y puis-je ? Assister, c’est déjà beaucoup, comme me réjouir de la savoir sexuellement comblée, de lire la jouissance sur son visage en extase. Ce sera mon lot de cocu consentant.
Mais le fait d’être témoin désormais me rend complice, et je vais essayer d’être un cocu heureux. On ne se moque pas de moi, on me laisse voir et je suis même invité à participer: il vaut mieux avoir une petite part que d’être entièrement exclu. Mylène ne me méprise pas, ne me rejette pas. Mylène veut réparer son erreur en s’exhibant devant moi, elle accepte que je la voie gravir les marches de la jouissance procurée par Léo. J‘ai même de l‘admiration pour ma femme qui a su ne pas céder plus tôt à l‘attirance qu‘elle avait envers lui; des mois de résistance auxquels il est normal que je mette fin.
Mon refus serait une torture pour elle, je dois permettre et encourager cette liaison. Elle a eu une conduite héroïque jusque dans l’aveu des tentations fait là devant nous. J’ai eu l’idée d’acheter le silence de Léo et de Léa, Mylène ne l’a pas rejetée : pour me faire plaisir, puisque je lui ai enfin fait part de mon vieux fantasme. Et devant le couple ami, elle me laisse frictionner légèrement sa vulve prête à accueillir bientôt le serpent de Léo. Dans ses yeux je lis tant d’amour pour moi. Là est mon bonheur, dans l’expression de sa reconnaissance.
Léa examine le corps marqué de taches sombres, brunâtres, elle interroge:
- Quel est le sauvage qui t’a fait ces horribles suçons ? Les jeunes ne savent plus aimer le corps des femmes et le vénérer. Ce Gérard t’a saccagée, c’est un jeune con. Quel manque de classe. Mais ça doit être enivrant de se faire bouffer la moule par un pareil abruti. Tu me raconteras tout, sa force, son savoir faire, ton plaisir sous ce jeune amant. Il faudra que j’essaie de me faire troncher par lui. Moi aussi j’ai des fantasmes.
- Tu te trompes, ces marques sont l’œuvre d’un mari amoureux excité par le spectacle que Gérard et moi lui avons présenté sans le savoir. Il est bizarre, il m’aime comme un fou et en même temps, il veut me voir prise, et farcie par un ou d’autres hommes. Alors, s’il le veut, je le veux aussi. Pour lui je me ferai trousser, sabrer, sauter et je hurlerai mes orgasmes pour les partager avec lui.
Mon chéri, Tu souhaitais que je te trompe. Ce n’est pas habituel. Tu le souhaites encore. J’ai du mal à te croire. Tu appelles ça un fantasme et tu te réjouis d’avoir assisté à ce que j’ai fait avec Gérard. Au lieu de te fâcher tu as gagné en envie de me faire l’amour. Autrement dit, je pourrais coucher avec un autre homme et tu ne te fâcherais pas ? Tu m’étonnes, pourtant , c’est vrai, tu as laissé faire. Et si je ne veux pas te donner le spectacle?
- A condition que tu ne le fasses plus en cachette, tu pourras coucher avec qui tu voudras. Tu as franchi une barrière, je serais très déçu de te voir renoncer à d’autres aventures. Au contraire, tu as carte blanche pendant la quinzaine des vacances mais uniquement durant ce temps. Choisis des hommes qui te plaisent et prends ton pied autant que tu veux. Mais n’oublie pas la seule condition : je veux assister. Sinon ne me considère plus comme ton mari.
-Je n’avais pas l’intention de te tromper. Les jeunes m’avaient serrée de près. Pour leur échapper, j’ai dit que j’étais fatiguée. Gérard a proposé de me reconduire. Et puis quand nous sommes arrivés ici, il m’a embrassée. C’était inattendu. Un baiser, ce n’est pas grave. Je ne l’ai pas pris au sérieux. Le baiser a duré. Il a embrassé mon cou et m’a envoyé sa main au panier et j’ai perdu le contrôle de la situation.
-Allons Mylène, ne déforme pas les faits.
- Mais je te jure, c’est toi que j’aime.
- C’est parce que j’en suis persuadé que je te demande de te faire prendre par des inconnus uniquement préoccupés par l’envie de te saillir. Si je n’étais pas sûr de ton amour je ne prendrais pas le risque de te perdre. Ta jouissance sera la mienne et je t’aimerai encore plus fort. Mais évite de me donner des explications tirées par les cheveux, ne me prends pas pour Simplet. Reconnais simplement que tu as eu une bonne grosse envie de ce garçon et que tu l’as amené chez nous pour te faire tringler. Ça je peux le comprendre.
- Merci. Tu insistes pour que je continue ? J’essaierai de te donner ce plaisir. Il faudra trouver des partenaires.
- Ce n’est pas un problème, tu es belle, avenante, tu plais. Contre les accusations des copains de Gérard qui t’ont vue en sa compagnie et qui vous ont vus vous éloigner du bal, tu auras besoin du témoignage de Léo et de Léa. . Pour commencer assure-toi du silence de ces deux là. Ou c’est moi qu’on soupçonnera. Veux-tu ma perte ?
- Comment ? Ah, il a fallu qu’ils veulent me dire bonne nuit ! Ce sont des témoins à charge. Un passage à l’ombre se projette à l’horizon à cause de ton fantasme. C’est injuste et je t’aime trop pour en profiter sans que tu me voies. Que recommandes-tu?
- Achète-les ! Fais l’amour avec eux. Mais attention, à l’avenir je veux assister à tes joutes amoureuses. Et après les vacances stop ou divorce. Nous devons accorder nos violons. Récapitulons. Tu étais fatiguée. Gérard a proposé de te raccompagner. Nous nous sommes rencontrés , vous et moi près du bloc sanitaire numéro 1. Nous avons remercié le garçon et nous sommes rentrés ensemble. Je suppose que ton signalement a déjà été communiqué aux gendarmes. Rejoignons ton collègue et sa femme et obtenons rapidement leur silence. Cela nous évitera des ennuis.
Je n’ai pas besoin de menacer ou de forcer d’une manière quelconque. Mylène ne se scandalise pas de ma proposition d’acheter le silence de nos voisins. Pour la bonne cause elle est immédiatement décidée à payer du don de son corps la discrétion de Léo et Léa. L’idée l’a séduite sur le champ, je la soupçonne de trouver que c’est un bon moyen de venir au devant de mon fantasme. Et puisque je le veux, elle fera ce sacrifice de sa vertu avec plaisir.
Nous traversons le chemin et sommes accueillis par le couple. Nous concluons un accord. Léo pourra en ma présence et devant Léa donner à Mylène des marques d’amour, la posséder à volonté et la rendre sexuellement heureuse jusqu‘à la fin du séjour. L‘accord est limité à cette période. Ils pourront composer des figures à deux . Mais, ce n’est pas négociable, devant moi et Léa uniquement. Mylène promet de se soumettre à leurs fantaisies pendant la durée du séjour. Léo grimace à l’énoncé de la limitation dans le temps. Le malin se dit cependant qu’une fois la mèche allumée, il sera difficile d’éteindre la flamme et que ma femme conquise saura lui accorder en secret ce que je ne pourrai pas voir.
Une clause inattendue m’est imposée par Mylène et par les futurs ordonnateurs et maîtres de ses plaisirs : je serai non seulement présent mais aussi actif. Nous formerons un quatuor amoureux. Léa a gagné cet additif sans me quitter des yeux.
Peu de temps après arrive une petite troupe. Léo indique à ceux qui nous cherchent que nous sommes sortis. Il n’en sait pas plus, mais peut répondre à une question:
- Hier soir ? Nos voisins ont quitté le bal avant nous, ils étaient fatigués par le voyage. Quand nous sommes rentrés, ils lisaient dans le séjour, en pyjamas et chemise de nuit; nous leur avons souhaité une bonne nuit.
Les autres s’éloignent, un peu déçus de perdre une piste. Une minute de silence suit le retour de Léo dans le séjour.
- Eh! Bien, dit Léa, si on prenait un apéritif pour fêter notre accord. Tenue de rigueur, le bas du maillot de bain ou rien. Oui, c’est mieux et plus conforme à nos attentes: A poil. Exécution.
Elle donne l’exemple, arrache son soutien-gorge, le regard provocateur. Évidemment quand on a des seins pareils on brûle de trouver l’occasion de les montrer, on les montre. Ils sont pleins, lourds mais pas affaissés, arrogants avec des tétons durs sur des aréoles larges et brunes. J’en ai des fourmis dans les doigts, mes lèvres tremblent de l‘envie de les baiser.
La plus timide tout à coup, c’est Mylène. Elle a un peu honte de montrer sur ses seins magnifiques les énormes suçons d’une nuit d’amour. Elle paraissait plus à l’aise avec son quasi inconnu qu’avec moi et ce couple au moment de franchir le pas et de se déshabiller entièrement. Elle est à la disposition de Léa et de Léo. Elle n’a pas compris ce que pourrait être ma participation active. C’est l’autre couple qui va diriger nos ébats.
- Alors Jean, qu’attends-tu pour déshabiller ta femme. Tu nous l’offres, à toi de déballer le cadeau.
Mylène a l’air résignée. Pourquoi y a-t-il du désespoir dans ses yeux quand je m’approche pour ôter blouse, short, soutien-gorge. Pour faire bonne mesure le string coquin enfilé ce matin en vue de son rendez-vous commence à descendre au-dessus des genoux.
- Léa, voici ma femme, je te la confie. Léo Mylène vous appartient, comme elle l’a décidé volontairement. Faites-en bon usage.
Léo est le coq de cette basse cour.
- Levons nos verres à la bonne suite de notre réunion. Jean, Léa te déshabillera. Ma chère Mylène, s’il te plaît, dénude-moi et vois comme tu excites ma queue.
Léo garde son sang froid. Il n’a pas fallu longtemps pour les mettre à l’aise ces deux là. Comment Léo a-t-il convaincu aussi vite Léa ? Mylène a plus de mal qu’elle à s’adapter à cette situation nouvelle. Elle avait choisi Gérard, elle se soumet à la nécessité de faire taire nos amis. Elle avait eu envie du jeune homme, elle a besoin du couple. La nuance ne m’échappe pas.
- Êtes-vous certains de prendre une bonne décision. Jean si tu insistes je me donnerai à Léo. Attention, tu devras en supporter les conséquences. Léa es-tu sûre de toi ? Tu ne m’en voudras pas ?
- Mais, oui, fais-toi plaisir et contente mon Léo. Crevez l’abcès et vous serez soulagés, la vie sera plus simple pour nous quatre. Finis les idées noires, les soupçons insupportables Vivons en toute franchise, sans cachotteries assumons nos actes.
Mylène nous observe puis vide son sac.
- Depuis quelques mois, Léo et moi pratiquons le covoiturage. Depuis des mois j’ai envie de faire l’amour avec lui. Depuis des mois, je lutte pour dominer ce désir, parce que je t’aime mon cher Jean. J’ai résisté à l’envie de me jeter à son cou au retour du travail, par amour de toi, mon Jean chéri. Des dizaines de fois.
- Chérie quitte tes nuages. Est-ce par amour de moi que tu m’as cocufié hier soir ? Tu aurais dû me prévenir au lieu d’agir en douce. N’en parlons plus, ce qui est fait est fait. L’essentiel arrive. Ici, tu vas te donner avec ma bénédiction et devant moi. C’est un partage du plaisir. Tu vas connaître de nouveaux frissons et des orgasmes voulus par nous quatre. Il n’y a rien de tordu, pas de tricherie, juste la recherche du plus grand plaisir avec le consentement de chacun. Tout ce qui te rendra heureuse fera mon bonheur, tout.
Mylène enchaîne et ne me surprend qu’à moitié:
- J’ai espéré en vain que Léo se décide à m’embrasser et à me bousculer. Chaque soir j’ai attendu qu’il ose, qu’il m’embrasse, qu’il caresse mes seins. Certaines fois son pantalon était tendu, je me disais qu’il finirait par craquer et que nous aboutirions sur la moquette, qu’il m’arracherait ma culotte, qu’il ferait sauter mon soutif, qu’il m’empoignerait entre les jambes et m’embrocherait. Hélas il s’est montré si correct. Je mouillais ma culotte, j’avais des fourmis dans la grotte. Il ne voyait rien.
Elle a été fidèle non par vertu mais par le manque d’audace de Léo. Il n’en revient pas :
- Oh! Non, ce n‘est pas possible. Et moi j’attendais un signe clair, un encouragement, depuis des mois! Oui, je bandais dans mon pantalon. Moi aussi je te désire Mylène. Que de temps perdu. Mais c’est vrai, nous n’aurons aucun sentiment de culpabilité puisque nous sommes tous d’accord, toi, moi, ma chérie Léa et ton généreux mari. Jean tu es un mec formidable. Béni soit ton fantasme magnifique.
S’il savait pourquoi je suis venu à Argelès. S’il savait quels soupçons je nourrissais. Le sort m’a joué un sacré tour. Regardons l’avenir !
- Eh! Bien, réjouissez-vous, ne vous gênez plus. J’attends votre union, j’en serai le spectateur attentif.
-Et moi, je pensais que c’était déjà fait, ajoute Léa. Je me rongeais les sangs. Tout est clair désormais.
Je n’étais pas seul à avoir des soupçons. Léa partage bien des choses avec moi. Elle est prête à suivre l’union de ma femme et de son mari.
-Allez, mon mari adoré, réalise ton rêve. Baisez, foutez, soulagez cette tension. Je le redis : Après tout sera plus simple. Déversez vos humeurs. Tringle-la joyeusement. Donne tout. Fais-lui le feu d’artifice du quatorze juillet. Jean et moi n’attendons que ça. Donnez-vous en spectacle devant nous, baisez !
-Oui, mais, Léa, si je tombe vraiment amoureuse de ton mari, que direz-vous, vous deux?
En guise de réponse, j’enlève la dernière barrière, je fais glisser le long des jambes le string. Mylène est toute nue devant moi. Je dépose un baiser de mari amoureux sur son pubis aux boucles brunes, hume l’odeur matinale de sa chatte. Qu’elle connaisse le bonheur, qu’elle soit heureuse comme elle le souhaite et advienne que pourra. Si elle tolère ma présence pendant la baise, c’est qu’elle a encore un peu d’amour pour moi.
Ses dernières révélations ébranlent mes certitudes. Je nourrissais un fantasme, elle rêvait de trouver son bonheur ailleurs, avec Léo et faute de Léo elle s’est donnée à Gérard. La défaillance accidentelle du sportif la renvoie à Léo, comme la nécessité d’acheter son silence. Cette pensée ne me console guère. De plus en plus j’ai conscience d’être cocu de cœur autant que de corps. Depuis hier au moins, je le sais, ce n’est qu’un début. Je lui ai donné carte blanche pour ces vacances.
Ça travaille dans mon crâne. Qui pourrait imaginer une suite où redevenue femme chaste, Mylène serait uniquement occupée à se faire posséder par son légitime? Elle retrouvera Léo. Elle aura Léo dans la peau. Heureux si je peux encore assister à leurs rapports charnels, heureux si j’existe encore aux yeux de cette femme inassouvie. Car c’est bien une telle femme que j’ai surprise en proie à ses démons, défoncée, et foutue par le maître nageur à la musculature avantageuse et prête maintenant à assouvir le démon qui la travaille depuis des mois en se donnant enfin à Léo,l’amoureux transi qui n’osait pas.
Elle va dévorer du mâle, elle va se soumettre, se faire sauter et bourriner sans réfléchir, par besoin de libération sexuelle, c’est une expédition dont elle ne sortira pas indemne. Marquée par Gérard, elle recevra en vagin tellement d’empreintes sexuelles, elle conservera une fringale sans limites des relations sexuelles multiples. Qu’y puis-je ? Assister, c’est déjà beaucoup, comme me réjouir de la savoir sexuellement comblée, de lire la jouissance sur son visage en extase. Ce sera mon lot de cocu consentant.
Mais le fait d’être témoin désormais me rend complice, et je vais essayer d’être un cocu heureux. On ne se moque pas de moi, on me laisse voir et je suis même invité à participer: il vaut mieux avoir une petite part que d’être entièrement exclu. Mylène ne me méprise pas, ne me rejette pas. Mylène veut réparer son erreur en s’exhibant devant moi, elle accepte que je la voie gravir les marches de la jouissance procurée par Léo. J‘ai même de l‘admiration pour ma femme qui a su ne pas céder plus tôt à l‘attirance qu‘elle avait envers lui; des mois de résistance auxquels il est normal que je mette fin.
Mon refus serait une torture pour elle, je dois permettre et encourager cette liaison. Elle a eu une conduite héroïque jusque dans l’aveu des tentations fait là devant nous. J’ai eu l’idée d’acheter le silence de Léo et de Léa, Mylène ne l’a pas rejetée : pour me faire plaisir, puisque je lui ai enfin fait part de mon vieux fantasme. Et devant le couple ami, elle me laisse frictionner légèrement sa vulve prête à accueillir bientôt le serpent de Léo. Dans ses yeux je lis tant d’amour pour moi. Là est mon bonheur, dans l’expression de sa reconnaissance.
Léa examine le corps marqué de taches sombres, brunâtres, elle interroge:
- Quel est le sauvage qui t’a fait ces horribles suçons ? Les jeunes ne savent plus aimer le corps des femmes et le vénérer. Ce Gérard t’a saccagée, c’est un jeune con. Quel manque de classe. Mais ça doit être enivrant de se faire bouffer la moule par un pareil abruti. Tu me raconteras tout, sa force, son savoir faire, ton plaisir sous ce jeune amant. Il faudra que j’essaie de me faire troncher par lui. Moi aussi j’ai des fantasmes.
- Tu te trompes, ces marques sont l’œuvre d’un mari amoureux excité par le spectacle que Gérard et moi lui avons présenté sans le savoir. Il est bizarre, il m’aime comme un fou et en même temps, il veut me voir prise, et farcie par un ou d’autres hommes. Alors, s’il le veut, je le veux aussi. Pour lui je me ferai trousser, sabrer, sauter et je hurlerai mes orgasmes pour les partager avec lui.
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