une première confession de Françoise

- Par l'auteur HDS Graoully 57 -
Auteur homme.
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Récit libertin :  une première confession de Françoise Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Sodomie
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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une première confession de Françoise
Nous sommes en Juillet dernier, je suis entrain de faire des travaux d’embellissement
chez moi, proche cinquantaine, blonde, de long cheveux, j’ai encore de beaux restes.
Je vis seule, j’ai un ami qui habite à plus de 300 Km. Nous nous voyons les week-ends
et les vacances.
Pour réaliser ces travaux, j’ai demandé au père du copain de ma fille ( elle 25 ans et
lui 26 ) de venir les faire.
Jean Pascal est un peu plus jeune que moi, divorcé, actuellement sans copines, le midi
nous prenons notre repas ensemble et discutons de tout, des enfants, etc….
Ce jour, il fait un peu plus beau que les autres et je suis habillée d’une courte jupe
blanche très moulante et d’un tee-shirt rouge décolleté, Jean-Pascal est en short
genre athlétisme très dégagé sur les aines et d’un maillot blanc, la discussion se
porte sur les rapports et besoins sexuels des uns et des autres. Dans le flot de la
discussion il m’informe: j’ai un gros appétit et sans femmes actuellement…je te laisse
imaginer !
Il ne m’est jamais arrivée de penser quoique ce soit avec lui, plus jeune, petit, ce
n’est pas le type d’homme à me faire fantasmer. Mais la discussion ne me laisse pas
indifférente et je sens que malgré moi les propos que nous échangeons m’émoustillent…
Cela doit se voir car Jean-Pascal insiste sur certaines pratiques qu’il partage et je
ne suis pas en reste lui racontant par le détail certaines soirées en boite....
Le repas prend fin, il se lève et s’approche en me regardant dans les yeux, il porte
sa main sous mon menton, repousse ma tête en arrière et dans le même mouvement ses
lèvres se posent sur les miennes. Je suis surprise et sans réactions, je réponds à son
baiser, sa langue investit ma bouche.
Nos deux muscles se nouent, il retire sa main et la laisse glisser sous mon tee-shirt,
enveloppant un puis l’autre de mes seins, appréciant le volume et l’élasticité, il me
caresse par-dessus mon soutien-gorge, excitant les pointes qui durcissent sous son
contact. Je lui fais part d’un timide ‘’ce n’est pas bien ‘’ qui se perd dans un
étouffement.
La position assise que j’ai n’est pas des plus confortables, mais cela ne freine pas
notre envie, je lui dis tout de même que le lieu est visible de l’extérieur et que mon
voisin est souvent à sa fenêtre et qu’il pourrait nous voir. Au lieu de le calmer,
cette information semble au contraire le doper et tout naturellement il fait pivoter
la chaise. Du coup je suis face à son observatoire et risque d’être vue par celui-ci.
Cela a aussi pour avantage de lui donner plus d’espace et délaissant ma poitrine sa
main se pose sur ma cuisse et disparaît sous la frêle étoffe, remontant vers mon
entrejambe. Plutôt que de le repousser, je m’ouvre et sa main se pose sur ma culotte.
N’étant pas insensible à notre petit jeu, il n’a aucun mal à se rendre compte de mon
état d’excitation. J’ai une pensée furtive pour mon ami qui disparaît très vite
lorsque son majeur glisse sous l’élastique de celle-ci et vient titiller mon bourgeon
d’amour, tendu comme un arc et réagissant à l’audace de l’intrus. Je ne veux pas être
en reste et ma main glisse sous l’échancrure de son short, partant à la recherche de
son membre bandé qui n’attend que cela. Toutes bonnes résolutions volent en éclats et
à présent seul le plaisir que nous allons nous donner compte.
Jean-Pascal n’est pas grand mais la nature a été généreuse avec lui, je suis surprise
de ce que je tiens en main tant en longueur qu’en diamètre. Il m’en fait la remarque
et je ne peux qu’acquiescer tout en pensant qu’il aurait été dommage de me priver d’un
tel attribut.
Puisque nous avons échangé sur le sujet durant le repas, je sais que ce qu’il apprécie
tout particulièrement est la douceur et l’humidité d’une bouche gourmande. J’en ai
tout autant envie que lui et c’est donc sans retenue que mes lèvres se posent sur
l’objet de ma convoitise et que je l’engloutie. J’oublie le voisin, son doigt visite
mon nid d’amour, plus réceptif que jamais, j’ouvre mes cuisses au maximum afin de lui
faciliter l’exploration, je pompe sur son dard, je ne suis plus qu’une femme désireuse
de prendre et de donner du plaisir. Lui n’est pas mieux et il cherche à me donner un
premier orgasme puisque je lui ai confessé que j’étais plus clitoridienne que
vaginale. Notre joute s’amplifie, c’est à qui de lui où de moi aura l’avantage de
procurer la première jouissance à l’autre. C’est une espèce de suprématie qui est en
jeu. La tête renversée sans pour autant relâcher ma succion, les cuisses ouvertes, son
où ses doigts fouillant mon intimité je ne sais plus, les ondes de bien être se
répandent dans mon être, mon cerveau est déconnecté, son sexe grossit sous le
traitement que je lui distille, je pense qu’il va jouir au fond de ma gorge, mais
finalement c’est moi qui suis la première à capituler, je me concentre sur ses doigts,
enserrant fortement mes cuisses sur sa main et dans un râle je me laisse aller au
plaisir. Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits, de sa main libre,
il caresse son sexe qui est resté bien droit, satisfait de l’orgasme que j’ai eu et
fier d’en être l’auteur. Je lui souris et lui propose que l’on aille dans le lit des
enfants à l’étage que nous y serons mieux. En me levant, mon regard se porte vers la
fenêtre de mon voisin, il me semble que quelque chose a bougé, j’espère que ce n’est
qu’un effet d’optique, je ne voudrai pas m’être donnée en spectacle. Mais tout ceci
est vite oublié, Jean-Pascal me saisit la main et nous nous dirigeons vers cette
couche pour continuer nos ébats, tant pis pour les travaux, je suis encore toute
excitée et lui est sur sa faim. Avant de nous allonger, il me déshabille entièrement
et en fait tout autant, je suis nue sous ses yeux, sans aucune pudeur, n’ayant qu’une
envie… sentir son membre en moi. Ses mains glissent sur mon corps, aucune zone n’est
oubliée, sa bouche se pose sur mon sexe, sa langue titille mon bourgeon et il boit le
nectar qui s’en écoule. Il s’allonge sur moi, à nouveau nos langues se soudent, je
sens son sexe contre ma chatte, j’écarte légèrement les cuisses, il ondule des reins
et son gland vient glisser à l’entrée de cette grotte qu’il va investir, son buste
écrase ma poitrine, nos deux corps ne font qu’un. C’est tout simplement merveilleux.
Il me demande si je suis fidèle, je réponds qu’il m’est déjà arrivée lors de mes
sorties en boite d’oublier mon ami et de rentrer emprunte de la sève d’un autre. Mon
récit exerce sur lui un accroissement de son désir et mon nid d’amour humidifié de la
jouissance que je viens d’avoir s’ouvre, laissant Jean-Pascal s’introduire en moi. Il
le fait avec beaucoup de douceur, appréciant centimètre par centimètre la domination à
laquelle je me soumets. Son gland dilate les parois de mon vagin, je confirme le
plaisir qu’il me donne en feulant telle une chatte en chaleur, il m’investit
entièrement et lorsqu’il est au plus profond de mon être et de mon intimité il se
bloque afin que je puisse prendre conscience de l’énormité de sa virilité. Il se
retire, laissant un vide en moi, je me colle à lui et le supplie de me prendre
bestialement, du coup son sexe perfore ma chatte et cela durant plusieurs minutes, je
suis secouée de toute part, il accélère, ralentit, je le supplie à nouveau, je crie,
je lui dit que je l’aime, qu’il se vide en moi, que je veux sentir son plaisir
exploser en moi, des orgasmes se déclenchent à chaque fois que son sexe bute au fond
de mon utérus, je suis une poupée de chair, je vais au devant de son pieu, de son
dard, de sa queue, il retient sa propre jouissance pour user et abuser encore plus de
moi, il veut que je l’implore sans doute, que j’accepte sa domination de mâle et moi
de femelle soumise, il a raison, je ne suis plus moi-même, je suis une chienne qui
attends la récompense de son maitre. Il malaxe mes seins, de temps en temps un doigt
vient agacer mon œillet anal ce qui n’est pas pour me déplaire, il pense que je vais
me donner entièrement à lui, il a sans doute raison, pourrai je lui refuser quoique ce
soit ?
Elle finit par arriver, il se cambre, s’empale au fond de ma chatte, quelques
soubresauts de sa queue et un déluge de sperme jaillit en moi. Je jouis en même temps
pour la énième fois de suite, il retombe sur moi, nos lèvres se soudent, nos corps
s’épousent. Nous reprenons conscience un peu plus tard, sa virilité est dressée, me
laissant aucun doute sur la suite de l’après-midi. Je lui dis quand même que les
enfants sont susceptibles de rentrer, il n’en a que faire. Au contraire, il glisse sa
main sur mon ventre puis plus bas, j’ouvre le compas de mes cuisses et un doigt
revient visiter l’antre gluant de mon nid d’amour. Je ne suis pas en reste et ma main
empoigne son vit, j’entame des mouvements de haut en bas, une goutte perle au sommet
de celui-ci, je me contorsionne et ma langue vient recueillir le nectar qui s’en
échappe. Il en profite pour faire glisser son doigt de ma raie fessière à ma chatte,
récupérant la sève de nos ébats pour humecter mon œillet que s’ouvre à l’intrus. Un
doigt puis un deuxième viennent dilater mon conduit des plus intimes, mon muscle anal
s’assouplie. Il me demande de me mettre sur le ventre, se couche sur moi, m’écarte les
lobes fessiers et tenant sa lance d’une main la positionne sur sa cible. Il pousse et
mon corps s’ouvre à lui à nouveau. Je suis adepte de la sodomie, mais la taille de mon
assaillant m’oblige à me cramponner aux draps. La douleur est vite remplacée par un
bien être et notre joute sexuelle reprends de plus belle. Cette fois, il redouble de
violence dans ses gestes et de plus il me gratifie de tous les mots, chienne, salope,
catin… Au lieu de m’offusquer, j’en viens à lui répondre : oui vas y je suis ta pute,
ta chienne. Il défonce mes reins, une jouissance exceptionnelle est entrain de prendre
corps en moi, présageant une explosion toute aussi forte que les précédentes. Quand
enfin, il libère sa lave au fond de mes intestins, je me laisse aller et un torrent de
jouissance me submerge. Nous restons soudés ainsi, peu à peu je ressent son sexe qui
perd de sa consistance et s’extirpe de mes reins, laissant comme un peu plus tôt un
sentiment de vide en moi. Il est temps pour chacun de nous de nous rhabiller et de
laisser croire qu’il ne s’est rien passé. J’aère la pièce pour faire disparaître cette
odeur très caractéristique du sexe. Cela faisant, j’aperçois mon voisin à sa fenêtre,
la fenêtre de la chambre étant au dessus de celle de la cuisine, il me jette un regard
inquisiteur, as t il vu quelque chose ? Jean-Pascal descends dans la pièce pour
continuer son travail où du moins pour laisser croire aux enfants qu’il l’a fait. Je
retourne à mes occupations, je débarrasse la cuisine, puis je vais dans la salle de
bain du haut pour enlever toutes traces de nos ébats. Je suis jupe retroussée et
jambes écartées entrain de me rafraichir lorsque Jean-Pascal fait irruption et sans
préliminaires me plie sur l’évier, son sexe est à nouveau bandé, il se colle à moi et
me pénètre une troisième fois, rapidement, égoïstement. Quelques allers-retours, il se
répand dans mon ventre, se réajuste et repart comme si de rien était. Ainsi s’achève
cette première joute sexuelle ensemble.

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