confessions de Françoise, le lendemain suite 1
Récit érotique écrit par Graoully 57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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confessions de Françoise, le lendemain suite 1
Le lendemain matin, Jean-Pascal est arrivé vers 9 Heures,
D’emblée il a donné le ton, malgré la présence de ma fille dans sa chambre, il m’a
embrassé comme si nous étions de vieux amants, en profitant pour poser sa main sur ma
poitrine et malaxer mes globes charnues quelques instants. Ton corsaire te va à
merveille mais j’aurai préféré que tu sois habillée avec une jupe où une robe me dit-
il. Je lui ai servi un café avant qu’il ne se mette à l’ouvrage, le chantier ayant
pris un peu de retard hier. Il m’a demandé si j’avais bien dormi et si j’avais repensé
à nos ébats.
Le sommeil fut bon que je lui répondis et je ressens encore en moi les frasques de
notre relation. Il s’est levé, s’éclipsa au garage pour se changer et m’appela :
Françoise pourrais tu venir une minute, ce que je fis, pensant qu’il cherchait
quelque chose mais ne le trouvait pas….au lieu de cela il était debout son sexe à la
main, déjà bandé.
Tu n’es pas fou lui murmurai-je, Flavie est à l’étage, elle va partir au travail,
range ton attirail.
Au lieu de m’écouter, il m’empoigna, me fit mettre à genoux et posant sa mentule sur
mes lèvres me fit comprendre de lui prodiguer une petite gâterie avant les travaux. Ne
voulant pas faire d’esclandre, j’entrouvrais la bouche et du bout de la langue
flattait son méat. Ecoute si elle n’arrive pas lui murmurai je, avant que son membre
investisse les lieux. Il se saisit de ma tête et donna la cadence, enfonçant sa queue
jusqu’aux amygdales. Il était très excité et très rapidement son sexe gonfla dans ma
bouche, un flot de sperme soutenu emplit ma gorge, j’ai dégluti un maximum et je
crachais l’excédent dans la poubelle, puis je prenais un Sopalin et m’essuyais le
visage.
C’est bon, tu peux te mettre au boulot à présent…..
Quelques secondes plus tard ma fille entrait dans le garage, elle nous regarda
bizarrement et partis pour son boulot.
Chacun de nous se mit à son travail, avant midi, la préparation du repas terminé, je
suis montée à l’étage, j’ai retiré mon corsaire et mon tee-shirt et j’enfilais une
robe boutonnée sur le devant, prenant soin d’oublier de fermer quelques boutons aussi
bien sur le haut, laissant le sillon de ma poitrine très visible, que sur le bas afin
de dénuder mes cuisses à chaque mouvements. Un sifflement admiratif se fit entendre
dès qu’il m’aperçu ainsi.
Tu me gâtes me dit-il, tu m’as mise en appétit que je lui répondis…..il me prit dans
ses bras et ses mains s’égarèrent sur mon corps et nos lèvres se soudèrent.
Il déboutonna entièrement ma robe et me demanda de servir et manger comme cela.
J’étais un peu gênée de me montrer de la sorte, mon soutien gorge blanc très
pigeonnant laissant ma poitrine comme à nue et mon tanga tout de dentelle ne cachant
rien de ma toison pourtant blonde ni du renflement de mon sexe particulièrement
marqué.
Chaque fois que je me levais pour servir, je jetais un œil du coté du voisin me
sachant sans doute observé par ce malade, d’autant que Jean-Pascal m’imposait de
passait devant la porte fenêtre, m’y exposant inévitablement si il faisait le guet.
Inutile de décrire dans quel état je me trouvais, attendant la fin du repas pour
monter dans la chambre des enfants pour laisser libre cours à nos ébats.
Tout le repas nous échangeâmes sur nos relations passées.
Tu es une belle catin sous tes airs de sainte nitouche….me lança t il pour conclure
!!!
Il se leva, j’en fis autant et il me poussa face à la porte fenêtre, fit tomber ma
robe au sol. J’étais exposé à ce gros vicelard de Pierre si toutefois ce dernier était
en planque derrière les rideaux. Je l’imaginais son sexe en main entrain de se
masturber. Jean-Pascal me demanda de mettre mes mains sur ma nuque m’obligeant à
bomber un peu plus le torse et donnant à mon 95 C encore plus de volume, sa main
glissa sous l’élastique de mon tanga et instinctivement j’ouvris un peu plus le compas
de mes cuisses lui donnant plus d’espace pour permettre à sa main de posséder ma
chatte. Son doigt n’eu aucune difficulté à glisser entre mes lèvres et mon clitoris
qui n’attendait que ce contact gonfla d’avantage.
C’est d’être ainsi exposé qui te fait mouiller de la sorte, ça t’excite de te montrer
devant ce pervers, je suis certain que tu as envie qu’il vienne se vider les couilles
dans ta chatte….Baisse ton slip, montre lui ton sexe. Comme une automate je fis ce
qu’il me demandait, il en profita pour défaire mon soutien gorge pendant que je
baissais le dernier rempart de mon intimité à mi-cuisse. Il me redressa tout en me
plaquant contre le carreau, j’avais les seins et le ventre collé à la surface de
verre, son doigt fouillait à nouveau mon nid d’amour, je ruisselais d’avantage, je me
sentais chienne, soumise….
Dit le que tu aimes être baisée de la sorte. En attendant c’est moi qui vais te baiser
et sous ses yeux, après je lui dirais de venir, tu sentiras sa bedaine sur ton corps
et sa queue dans ton ventre, je lui demanderais de t’exploser le cul. Je me laissais
emporter dans un orgasme imaginant la scène à laquelle il rêvait de me voir
participer. Il ne me laissa pas le temps de récupérer.
Il me fit plier en avant, les mains sur la clenche et son sexe perfora ma chatte,
après avoir jouis sous son doigt, j’allais jouir sa queue dans mon ventre. Je
regardais chez Pierre et je pouvais constater qu’il nous regardait sans aucune gène,
nos regards se croisaient, je le fixais les yeux dans le vague, la mentule de Jean-
Pascal pilonnant mon vagin, il n’y a pas d’autres termes, je sentais son sexe grossir
et le suppliait : vide tes couilles, regarde Pierre il se masturbe, en effet le
mouvement de son bras ne laissait aucun doute sur ce qu’il faisait. Ce vicieux
s’astiquait en voyant mon corps et ça m’excitait de le voir, bourre moi mon amour.
Cette fois c’est moi qui sortait des insanités, il se bloqua au fond de mon utérus et
une déferlante de sperme fusa en moi. Nous prenions notre pied sous les yeux de ce
malade, j’imaginais avec dégoût son corps sur moi et son sexe fouillant mon intimité.
Jean-Pascal n’en avait pas fini, il me redressa. J’étais face à Pierre, nue, offerte,
je ne bougeais pas, poupée de chair dans les bras de mon amant. Les cuisses
disjointes, ma chatte plus que visible, le trop plein de Jean-Pascal coulant le long
de mes jambes. Il recueillit quelques gouttes sur son doigt et les porta à ma bouche,
faisant comprendre à notre voyeur qu’il avait marqué mon corps de son empreinte. Il me
fit pivoter et nous montâmes les escaliers pour rejoindre la chambre complice de nos
étreintes.
Avant cela il ouvrit la porte d’entrée.
Qu’est ce que tu fais ?
T’occupes et monte,
Je le précédais et je ressentais ses yeux sur ma croupe. Je m’allongeais sur la
couche, ouvrant mes cuisses, je voulais sentir sa langue en moi. Il ouvrit la fenêtre
en grand puis vint me rejoindre en se mettant tête bêche, présentant son sexe à ma
bouche, ses mollets collés à mes oreilles, j’engloutis sa mentule pendant que sa
langue agaçait mon clito toujours aussi excité. Mis à part ses fesses je ne voyais
rien, je n’entendais rien, notre jeu buccal durait depuis plusieurs minutes et
j’aspirais à changer de position. C’est à ce moment que je ressentis une présence.
Dans l’effroi, j’essayais tant bien que mal à me détacher de Jean-Pascal, lorsque j’y
parvenais, c’était pour voir Pierre debout, nu son sexe en main.
D’emblée il a donné le ton, malgré la présence de ma fille dans sa chambre, il m’a
embrassé comme si nous étions de vieux amants, en profitant pour poser sa main sur ma
poitrine et malaxer mes globes charnues quelques instants. Ton corsaire te va à
merveille mais j’aurai préféré que tu sois habillée avec une jupe où une robe me dit-
il. Je lui ai servi un café avant qu’il ne se mette à l’ouvrage, le chantier ayant
pris un peu de retard hier. Il m’a demandé si j’avais bien dormi et si j’avais repensé
à nos ébats.
Le sommeil fut bon que je lui répondis et je ressens encore en moi les frasques de
notre relation. Il s’est levé, s’éclipsa au garage pour se changer et m’appela :
Françoise pourrais tu venir une minute, ce que je fis, pensant qu’il cherchait
quelque chose mais ne le trouvait pas….au lieu de cela il était debout son sexe à la
main, déjà bandé.
Tu n’es pas fou lui murmurai-je, Flavie est à l’étage, elle va partir au travail,
range ton attirail.
Au lieu de m’écouter, il m’empoigna, me fit mettre à genoux et posant sa mentule sur
mes lèvres me fit comprendre de lui prodiguer une petite gâterie avant les travaux. Ne
voulant pas faire d’esclandre, j’entrouvrais la bouche et du bout de la langue
flattait son méat. Ecoute si elle n’arrive pas lui murmurai je, avant que son membre
investisse les lieux. Il se saisit de ma tête et donna la cadence, enfonçant sa queue
jusqu’aux amygdales. Il était très excité et très rapidement son sexe gonfla dans ma
bouche, un flot de sperme soutenu emplit ma gorge, j’ai dégluti un maximum et je
crachais l’excédent dans la poubelle, puis je prenais un Sopalin et m’essuyais le
visage.
C’est bon, tu peux te mettre au boulot à présent…..
Quelques secondes plus tard ma fille entrait dans le garage, elle nous regarda
bizarrement et partis pour son boulot.
Chacun de nous se mit à son travail, avant midi, la préparation du repas terminé, je
suis montée à l’étage, j’ai retiré mon corsaire et mon tee-shirt et j’enfilais une
robe boutonnée sur le devant, prenant soin d’oublier de fermer quelques boutons aussi
bien sur le haut, laissant le sillon de ma poitrine très visible, que sur le bas afin
de dénuder mes cuisses à chaque mouvements. Un sifflement admiratif se fit entendre
dès qu’il m’aperçu ainsi.
Tu me gâtes me dit-il, tu m’as mise en appétit que je lui répondis…..il me prit dans
ses bras et ses mains s’égarèrent sur mon corps et nos lèvres se soudèrent.
Il déboutonna entièrement ma robe et me demanda de servir et manger comme cela.
J’étais un peu gênée de me montrer de la sorte, mon soutien gorge blanc très
pigeonnant laissant ma poitrine comme à nue et mon tanga tout de dentelle ne cachant
rien de ma toison pourtant blonde ni du renflement de mon sexe particulièrement
marqué.
Chaque fois que je me levais pour servir, je jetais un œil du coté du voisin me
sachant sans doute observé par ce malade, d’autant que Jean-Pascal m’imposait de
passait devant la porte fenêtre, m’y exposant inévitablement si il faisait le guet.
Inutile de décrire dans quel état je me trouvais, attendant la fin du repas pour
monter dans la chambre des enfants pour laisser libre cours à nos ébats.
Tout le repas nous échangeâmes sur nos relations passées.
Tu es une belle catin sous tes airs de sainte nitouche….me lança t il pour conclure
!!!
Il se leva, j’en fis autant et il me poussa face à la porte fenêtre, fit tomber ma
robe au sol. J’étais exposé à ce gros vicelard de Pierre si toutefois ce dernier était
en planque derrière les rideaux. Je l’imaginais son sexe en main entrain de se
masturber. Jean-Pascal me demanda de mettre mes mains sur ma nuque m’obligeant à
bomber un peu plus le torse et donnant à mon 95 C encore plus de volume, sa main
glissa sous l’élastique de mon tanga et instinctivement j’ouvris un peu plus le compas
de mes cuisses lui donnant plus d’espace pour permettre à sa main de posséder ma
chatte. Son doigt n’eu aucune difficulté à glisser entre mes lèvres et mon clitoris
qui n’attendait que ce contact gonfla d’avantage.
C’est d’être ainsi exposé qui te fait mouiller de la sorte, ça t’excite de te montrer
devant ce pervers, je suis certain que tu as envie qu’il vienne se vider les couilles
dans ta chatte….Baisse ton slip, montre lui ton sexe. Comme une automate je fis ce
qu’il me demandait, il en profita pour défaire mon soutien gorge pendant que je
baissais le dernier rempart de mon intimité à mi-cuisse. Il me redressa tout en me
plaquant contre le carreau, j’avais les seins et le ventre collé à la surface de
verre, son doigt fouillait à nouveau mon nid d’amour, je ruisselais d’avantage, je me
sentais chienne, soumise….
Dit le que tu aimes être baisée de la sorte. En attendant c’est moi qui vais te baiser
et sous ses yeux, après je lui dirais de venir, tu sentiras sa bedaine sur ton corps
et sa queue dans ton ventre, je lui demanderais de t’exploser le cul. Je me laissais
emporter dans un orgasme imaginant la scène à laquelle il rêvait de me voir
participer. Il ne me laissa pas le temps de récupérer.
Il me fit plier en avant, les mains sur la clenche et son sexe perfora ma chatte,
après avoir jouis sous son doigt, j’allais jouir sa queue dans mon ventre. Je
regardais chez Pierre et je pouvais constater qu’il nous regardait sans aucune gène,
nos regards se croisaient, je le fixais les yeux dans le vague, la mentule de Jean-
Pascal pilonnant mon vagin, il n’y a pas d’autres termes, je sentais son sexe grossir
et le suppliait : vide tes couilles, regarde Pierre il se masturbe, en effet le
mouvement de son bras ne laissait aucun doute sur ce qu’il faisait. Ce vicieux
s’astiquait en voyant mon corps et ça m’excitait de le voir, bourre moi mon amour.
Cette fois c’est moi qui sortait des insanités, il se bloqua au fond de mon utérus et
une déferlante de sperme fusa en moi. Nous prenions notre pied sous les yeux de ce
malade, j’imaginais avec dégoût son corps sur moi et son sexe fouillant mon intimité.
Jean-Pascal n’en avait pas fini, il me redressa. J’étais face à Pierre, nue, offerte,
je ne bougeais pas, poupée de chair dans les bras de mon amant. Les cuisses
disjointes, ma chatte plus que visible, le trop plein de Jean-Pascal coulant le long
de mes jambes. Il recueillit quelques gouttes sur son doigt et les porta à ma bouche,
faisant comprendre à notre voyeur qu’il avait marqué mon corps de son empreinte. Il me
fit pivoter et nous montâmes les escaliers pour rejoindre la chambre complice de nos
étreintes.
Avant cela il ouvrit la porte d’entrée.
Qu’est ce que tu fais ?
T’occupes et monte,
Je le précédais et je ressentais ses yeux sur ma croupe. Je m’allongeais sur la
couche, ouvrant mes cuisses, je voulais sentir sa langue en moi. Il ouvrit la fenêtre
en grand puis vint me rejoindre en se mettant tête bêche, présentant son sexe à ma
bouche, ses mollets collés à mes oreilles, j’engloutis sa mentule pendant que sa
langue agaçait mon clito toujours aussi excité. Mis à part ses fesses je ne voyais
rien, je n’entendais rien, notre jeu buccal durait depuis plusieurs minutes et
j’aspirais à changer de position. C’est à ce moment que je ressentis une présence.
Dans l’effroi, j’essayais tant bien que mal à me détacher de Jean-Pascal, lorsque j’y
parvenais, c’était pour voir Pierre debout, nu son sexe en main.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
terrible ce coup a mon dieu si j etais a la plaxce de cet amant
Humm ! Encore une Miss qui ne demande qu'à se soumettre aux caprices d'un amant
dominateur.
Sacré veinard, ce voisin, il va se régaler.
dominateur.
Sacré veinard, ce voisin, il va se régaler.
tu en avais envie