Vaincre la timidité d'un garçon 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vaincre la timidité d'un garçon 2
MIA 2
Samedi, il est 13 heures 30. Voilà, c'est fait, tout est installé sur la terrasse en bord de piscine . Il fait beau, tant mieux. Joris viendra-t-il, répondra-t-il à l'invitation de Mia ? Elle serait très déçue d'un recul de son collègue. Elle est tout excitée à l'idée de devenir son initiatrice à l'amour. Elle a osé m'annoncer ses intentions et cela lui a coûté un incroyable courage. J'aurais pu me révolter d'apprendre que peut-être elle pousserait son dévouement jusqu'à recevoir en elle le sexe inexpérimenté. Que ceux qui voient d'un bon oeil leur femme coucher avec un autre homme lèvent le doigt !
Mais c'était pour la bonne cause, Mia a voulu m'en persuader. Toute cette histoire m'a émoustillé bien que je ressente un pincement au coeur à l'approche du moment où elle ouvrira les cuisses pour accueillir cet étrange étudiant de l'amour. Je m'interroge. Ai-je bien fait de ne pas avoir combattu son projet. Je ne voulais pas froisser ma compagne, pourtant j'avais énuméré des dangers possibles et consécutifs à l'exercice. Enfin pour faire bonne mesure, je me suis investi dans la préparation de l'événement; c'est un peu fou. Collaborer est plus sûr que de l'amener à agir en cachette.
A 14 heures on sonne à la porte. Pas de doute, le jeune homme est ponctuel et surtout intéressé. Je le reçois. Il s'excuse, pense s'être présenté à la mauvaise adresse, il cherche madame Mia Chause.
- Mais entrez, je suis son mari. Veuillez me suivre.
J'essaie de m'imposer comme le maître des lieux, je ne dis pas "compagnon"; le type penserait m'évincer après ses premières galipettes avec une femme non officiellement liée à moi. Mari, cela sonne mieux.
- Enchanté. Ah, Mia est mariée. Je ne savais pas. Elle ne m'a jamais parlé de vous.
A quel sentiment rapporter cet oubli décevant pour moi. J'élude et relance mes chances de l'apprivoiser:
- En revanche elle me parle très souvent de vous. Vous êtes bien le fameux Joris ? Joris le nouvel embauché, Joris si doué, Joris appelé aux plus hautes fonctions, Joris si aimable, etc..." "Joris que tu dois connaître", Joris par ci, Joris par là. mon épouse met une dernière main à sa toilette, elle sera là dans peu de temps. Veuillez vous asseoir et faisons connaissance.
Epouse et non compagne. Je m'enfonce dans ce mensonge mesquin. Et je flatte, toujours pour le placer dans les meilleures dispositions. Et je l'écoute :
- Je n'ai pas pour habitude de répondre aux invitations de mes collègues du beau sexe. Pour votre épouse je fais une exception. Elle m'a accueilli chaleureusement dans son service, un peu comme une mère ou une amie. Elle a su me mettre en confiance et a facilité mon intégration dans l'entreprise. Ainsi elle voulait me présenter à vous. Je comprends mieux son insistance. Elle me réservait une surprise.
La surprise pourrait l'ennuyer ? Que croyait-il ?
- Elle sera ravie de votre visite. Prendrez-vous une coupe de champagne ? C'est la boisson locale, elle se boit fraîche. A votre santé. Prenez aussi des biscuits roses, une spécialité locale. Vous connaissez ?
- Bien que je sois originaire du Languedoc, j'ai appris à mon arrivée la réputation des biscuits Fossier.
- Originaire du Languedoc ! Vous devez être dépaysé chez nous.
- C'est pourquoi j'ai apprécié l'accueil de Mia. Pardon, je voulais dire de votre épouse.
- Mais vous pouvez utiliser son prénom. Je suis heureux qu'elle se soit montrée accueillante pour un collègue venu de si loin. C'est une de ses nombreuses qualités. Vous devez avoir sympathisé avec d'autres collègues depuis votre arrivée?
- Je suis de nature réservée, assez timide.
- Comment? Un garçon aussi séduisant que vous devrait avoir une cour d'amis et d'amies. Les jeunes filles vous tombent dans les bras, avouez!
- Mes études ont été longues, je n'ai pas accordé d'importance aux jeunes filles. Leur fréquentation m'aurait distrait et probablement retardé. Pour l'instant je m'applique à bien connaître les obligations de mon emploi. A vrai dire cette chère Mia est ma seule fréquentation féminine, généreuse avant tout, une véritable amie sans arrières pensées ni calculs. Elle donne sans compter, est présente pour soutenir quand on est seul ou triste. Je l'admire. Le temps m'amènera peut-être à faire d'autres connaissances amicales. J'ai bon espoir de rencontrer un jour l'âme soeur, celle qui deviendra mon épouse. Rien ne presse.
- Est-ce possible ? Vous vivez comme un moine. Vous vous privez des meilleurs plaisirs de la vie. Vous excitez ma curiosité. Permettez que je vous pose quelques questions. Avez-vous déjà fait l'amour avec une fille ou une femme ? Vous ne répondez pas. Au moins avez-vous déjà vu une femme toute nue. Votre soeur peut-être ou une cousine ?
Mia m'a renseigné, il n'a pas besoin de le savoir.
- Je n'ai ni soeur ni cousine. Non je n'ai jamais vu de fille ou de femme nue. Vous pouvez en conclure logiquement que je n'ai pas fait l'amour, pour reprendre votre expression.
- Ca ne vous manque pas ? Vous avez certainement vu un sein ou une poitrine dénudée. Peut-être avez-vous non seulement vu mais aussi touché les seins d'une femme ? Non, vraiment ni vu ni touché : Incroyable! La beauté d'un corps féminin ne vous émeut-elle pas ?
- J'avoue que j'y suis sensible. Mais jamais je n'oserais demander à une fille de me montrer sa poitrine ou de me permettre de la toucher. Qu'elle refuse et je serai humilié. Admettez qu'elle me repousse et crie, qu'elle m'accuse de harcèlement sexuel. La police, le tribunal et la presse me feraient honte.
- Il ne s'agit pas de vous jeter sur la première venue. Mais une amie, une fille que vous fréquenteriez pourrait réparer votre ignorance par bonté, dans le but de vous aider et de vous sortir de votre isolement.
L'introduction est habile selon moi. Je le prépare à penser possible l'aide d'une amie. L'amie sera Mia bientôt. Je continue à ouvrir la voie :
- Mon cher ami, vous ne pouvez pas rester dans cet état d'ignorance à votre âge. Je me fais un devoir de changer votre vie, d'y introduire l'indispensable connaissance de l’anatomie féminine, au moins.
- Indispensable ? Oui, j'ai pris du retard, selon vous ? Si vous pouviez m'aider, je vous serais reconnaissant. Ah ! Voici cette chère amie. Nous aurions dû l'attendre pour vider notre coupe.
- Mia adore le champagne. Nous n'en manquons pas. Nous allons lever nos verres avec elle pour fêter votre visite. Chérie votre visiteur est présent.
Joris se lève va saluer Mia. Je remplis 3 coupes. Elle le prend par la main et le ramène à son siège puis s'assied à côté de lui. Nous trinquons je souhaite faire baisser les défenses de l’innocent, afin de lui faire accepter et même désirer ce que j’ai à lui offrir. Mia s’adresse à son hôte :
- Alors, mon ami, vous avez fait connaissance avec mon mari. J'espère qu'il vous a bien reçu. Ne vous a-t-il pas importuné avec ses trop nombreuses questions. C'est un grand curieux qui aime tout savoir de tous les gens ?
Elle aussi emploie le mot mari. Je le lui ai recommandé. Pour elle c'est aussi un moyen de m'attacher à elle.
- Mais votre mari est tout à fait charmant, chère collègue.
Allons Joris, nous ne sommes pas au bureau. Ici nous sommes entre amis, vous pouvez m'appeler Mia. D'ailleurs, si vous le permettez, cessons de nous vouvoyer. Dis-moi "tu" ici. Je suis certaine que Jean se réjouira de faire tomber les barrières trop solennelles lui aussi. N'est-ce pas mon amour? Alors ?
- Je ferai comme vous souhaitez. Pardon : Comme tu le souhaites, Merci de cette marque d’amitié.
- Enfin, je te prie d'excuser mon retard. J'ai beaucoup hésité pour choisir ma tenue. Celle-ci convient-elle ? J’ai pensé qu’entre amis je pouvais alléger mon habillement, porter une blouse de saison et cette jupe courte
Mia se lève, tourne sur elle-même pour qu’on admire sa blouse et sa jupe, elle se rassied et se penche vers le brave ami. Le pauvre se retrouve en face du décolleté profond de la blouse de Mia, le nez tout proche des seins dont il aperçoit un arc important des aréoles. La tentatrice ne porte pas de soutien-gorge, Elle a aussi allégé sa lingerie intime. Ses globes fermes suivent le mouvement de son torse. Joris est fasciné par cette vision, ses yeux sont rivés sur les chairs laiteuses exposées, il est sans voix.
Pour achever de l’étourdir Mia se relève et va tremper un doigt dans l’eau de la piscine avant de déclarer que nous pourrons nous baigner bientôt. Cette fois le mouvement a courbé son dos, fait remonter l’arrière de sa mini-jupe, et dévoilé une bonne partie de l’arrondi de ses fesses séparées par l’étroite ficelle de son string rouge ; une ficelle en partie enfouie dans la raie de son cul. De nouveau Joris en prend plein la vue, captivé par cette révélation troublante d'un cul de femme. La rougeur de son visage suffit à me persuader qu’il est curieux de découvrir ce qu’il avait négligé pendant ses années studieuses.
La coquine nous revient, regarde notre ami et dit :
-Mon Dieu, Joris tu prends un coup de soleil. Jean, tu aurais dû ouvrir le parasol. Abritons-nous dans la maison, sinon ce cher Joris risque une insolation.
L’intéressé veut bien laisser croire que le soleil seul est responsable de sa rougeur prononcée, c’est moins embarrassant que d’expliquer son bouleversement dû à la double apparition des rondeurs mammaires et fessières de celle qu’il comparait à sa mère. Pour le rafraîchir et me faire pardonner mon imprévoyance, je propose d'ouvrir une deuxième bouteille de champagne. Mia applaudit, Joris n'a pas le courage d'y renoncer. Il ne pourra plus rien refuser. Ma femme choisit de s'asseoir dans un fauteuil qui fait face au canapé où Joris et moi nous installons. La séance de séduction continue conformément au plan prévu.
Quand la femme à la mini-jupe croise les jambes ou les décroise, de notre place, dans le jeu des cuisses charnues et claires nous sommes éblouis par l'éclair rouge du string sur fond clair. Joris guette les déplacements des pieds de sa voisine. Ces déplacements des escarpins précèdent l'ample changement de jambes. Il est désormais dans l'attente fiévreuse du puceau en veine de découvertes.Il est conditionné pour la suite, mais prend un air gêné lorsque j'attire l'attention de mon épouse :
- Mon amour, il faut que tu saches que ton collègue n'a pas connu de femme. Il me l'a révélé. De plus il ignore tout de l'anatomie des femmes. Nous avons le devoir de voler à son secours.
- Mais ce sera un honneur et un privilège de combler ses lacunes. Il est évident que nous pouvons lui permettre d'aborder filles et femmes avec les connaissances nécessaires. Plus il en saura plus il aura l'assurance indispensable pour plaire. Si nécessaire je me tiendrai à sa disposition pour favoriser l'acquisition des notions de base.
-Entends-tu l'ami cette offre de services. Comme tu l'as déjà remarqué, Mia est une femme généreuse. Quand elle se donne c'est entièrement. Aujourd'hui profite de ses bonnes dispositions. Ce jour laissera dans ta mémoire une trace ineffaçable. Tu sembles incrédule. N'es-tu pas séduit par l'idée de découvrir son corps et d'apprendre avec elle comment un homme et une femme s'unissent physiquement
Samedi, il est 13 heures 30. Voilà, c'est fait, tout est installé sur la terrasse en bord de piscine . Il fait beau, tant mieux. Joris viendra-t-il, répondra-t-il à l'invitation de Mia ? Elle serait très déçue d'un recul de son collègue. Elle est tout excitée à l'idée de devenir son initiatrice à l'amour. Elle a osé m'annoncer ses intentions et cela lui a coûté un incroyable courage. J'aurais pu me révolter d'apprendre que peut-être elle pousserait son dévouement jusqu'à recevoir en elle le sexe inexpérimenté. Que ceux qui voient d'un bon oeil leur femme coucher avec un autre homme lèvent le doigt !
Mais c'était pour la bonne cause, Mia a voulu m'en persuader. Toute cette histoire m'a émoustillé bien que je ressente un pincement au coeur à l'approche du moment où elle ouvrira les cuisses pour accueillir cet étrange étudiant de l'amour. Je m'interroge. Ai-je bien fait de ne pas avoir combattu son projet. Je ne voulais pas froisser ma compagne, pourtant j'avais énuméré des dangers possibles et consécutifs à l'exercice. Enfin pour faire bonne mesure, je me suis investi dans la préparation de l'événement; c'est un peu fou. Collaborer est plus sûr que de l'amener à agir en cachette.
A 14 heures on sonne à la porte. Pas de doute, le jeune homme est ponctuel et surtout intéressé. Je le reçois. Il s'excuse, pense s'être présenté à la mauvaise adresse, il cherche madame Mia Chause.
- Mais entrez, je suis son mari. Veuillez me suivre.
J'essaie de m'imposer comme le maître des lieux, je ne dis pas "compagnon"; le type penserait m'évincer après ses premières galipettes avec une femme non officiellement liée à moi. Mari, cela sonne mieux.
- Enchanté. Ah, Mia est mariée. Je ne savais pas. Elle ne m'a jamais parlé de vous.
A quel sentiment rapporter cet oubli décevant pour moi. J'élude et relance mes chances de l'apprivoiser:
- En revanche elle me parle très souvent de vous. Vous êtes bien le fameux Joris ? Joris le nouvel embauché, Joris si doué, Joris appelé aux plus hautes fonctions, Joris si aimable, etc..." "Joris que tu dois connaître", Joris par ci, Joris par là. mon épouse met une dernière main à sa toilette, elle sera là dans peu de temps. Veuillez vous asseoir et faisons connaissance.
Epouse et non compagne. Je m'enfonce dans ce mensonge mesquin. Et je flatte, toujours pour le placer dans les meilleures dispositions. Et je l'écoute :
- Je n'ai pas pour habitude de répondre aux invitations de mes collègues du beau sexe. Pour votre épouse je fais une exception. Elle m'a accueilli chaleureusement dans son service, un peu comme une mère ou une amie. Elle a su me mettre en confiance et a facilité mon intégration dans l'entreprise. Ainsi elle voulait me présenter à vous. Je comprends mieux son insistance. Elle me réservait une surprise.
La surprise pourrait l'ennuyer ? Que croyait-il ?
- Elle sera ravie de votre visite. Prendrez-vous une coupe de champagne ? C'est la boisson locale, elle se boit fraîche. A votre santé. Prenez aussi des biscuits roses, une spécialité locale. Vous connaissez ?
- Bien que je sois originaire du Languedoc, j'ai appris à mon arrivée la réputation des biscuits Fossier.
- Originaire du Languedoc ! Vous devez être dépaysé chez nous.
- C'est pourquoi j'ai apprécié l'accueil de Mia. Pardon, je voulais dire de votre épouse.
- Mais vous pouvez utiliser son prénom. Je suis heureux qu'elle se soit montrée accueillante pour un collègue venu de si loin. C'est une de ses nombreuses qualités. Vous devez avoir sympathisé avec d'autres collègues depuis votre arrivée?
- Je suis de nature réservée, assez timide.
- Comment? Un garçon aussi séduisant que vous devrait avoir une cour d'amis et d'amies. Les jeunes filles vous tombent dans les bras, avouez!
- Mes études ont été longues, je n'ai pas accordé d'importance aux jeunes filles. Leur fréquentation m'aurait distrait et probablement retardé. Pour l'instant je m'applique à bien connaître les obligations de mon emploi. A vrai dire cette chère Mia est ma seule fréquentation féminine, généreuse avant tout, une véritable amie sans arrières pensées ni calculs. Elle donne sans compter, est présente pour soutenir quand on est seul ou triste. Je l'admire. Le temps m'amènera peut-être à faire d'autres connaissances amicales. J'ai bon espoir de rencontrer un jour l'âme soeur, celle qui deviendra mon épouse. Rien ne presse.
- Est-ce possible ? Vous vivez comme un moine. Vous vous privez des meilleurs plaisirs de la vie. Vous excitez ma curiosité. Permettez que je vous pose quelques questions. Avez-vous déjà fait l'amour avec une fille ou une femme ? Vous ne répondez pas. Au moins avez-vous déjà vu une femme toute nue. Votre soeur peut-être ou une cousine ?
Mia m'a renseigné, il n'a pas besoin de le savoir.
- Je n'ai ni soeur ni cousine. Non je n'ai jamais vu de fille ou de femme nue. Vous pouvez en conclure logiquement que je n'ai pas fait l'amour, pour reprendre votre expression.
- Ca ne vous manque pas ? Vous avez certainement vu un sein ou une poitrine dénudée. Peut-être avez-vous non seulement vu mais aussi touché les seins d'une femme ? Non, vraiment ni vu ni touché : Incroyable! La beauté d'un corps féminin ne vous émeut-elle pas ?
- J'avoue que j'y suis sensible. Mais jamais je n'oserais demander à une fille de me montrer sa poitrine ou de me permettre de la toucher. Qu'elle refuse et je serai humilié. Admettez qu'elle me repousse et crie, qu'elle m'accuse de harcèlement sexuel. La police, le tribunal et la presse me feraient honte.
- Il ne s'agit pas de vous jeter sur la première venue. Mais une amie, une fille que vous fréquenteriez pourrait réparer votre ignorance par bonté, dans le but de vous aider et de vous sortir de votre isolement.
L'introduction est habile selon moi. Je le prépare à penser possible l'aide d'une amie. L'amie sera Mia bientôt. Je continue à ouvrir la voie :
- Mon cher ami, vous ne pouvez pas rester dans cet état d'ignorance à votre âge. Je me fais un devoir de changer votre vie, d'y introduire l'indispensable connaissance de l’anatomie féminine, au moins.
- Indispensable ? Oui, j'ai pris du retard, selon vous ? Si vous pouviez m'aider, je vous serais reconnaissant. Ah ! Voici cette chère amie. Nous aurions dû l'attendre pour vider notre coupe.
- Mia adore le champagne. Nous n'en manquons pas. Nous allons lever nos verres avec elle pour fêter votre visite. Chérie votre visiteur est présent.
Joris se lève va saluer Mia. Je remplis 3 coupes. Elle le prend par la main et le ramène à son siège puis s'assied à côté de lui. Nous trinquons je souhaite faire baisser les défenses de l’innocent, afin de lui faire accepter et même désirer ce que j’ai à lui offrir. Mia s’adresse à son hôte :
- Alors, mon ami, vous avez fait connaissance avec mon mari. J'espère qu'il vous a bien reçu. Ne vous a-t-il pas importuné avec ses trop nombreuses questions. C'est un grand curieux qui aime tout savoir de tous les gens ?
Elle aussi emploie le mot mari. Je le lui ai recommandé. Pour elle c'est aussi un moyen de m'attacher à elle.
- Mais votre mari est tout à fait charmant, chère collègue.
Allons Joris, nous ne sommes pas au bureau. Ici nous sommes entre amis, vous pouvez m'appeler Mia. D'ailleurs, si vous le permettez, cessons de nous vouvoyer. Dis-moi "tu" ici. Je suis certaine que Jean se réjouira de faire tomber les barrières trop solennelles lui aussi. N'est-ce pas mon amour? Alors ?
- Je ferai comme vous souhaitez. Pardon : Comme tu le souhaites, Merci de cette marque d’amitié.
- Enfin, je te prie d'excuser mon retard. J'ai beaucoup hésité pour choisir ma tenue. Celle-ci convient-elle ? J’ai pensé qu’entre amis je pouvais alléger mon habillement, porter une blouse de saison et cette jupe courte
Mia se lève, tourne sur elle-même pour qu’on admire sa blouse et sa jupe, elle se rassied et se penche vers le brave ami. Le pauvre se retrouve en face du décolleté profond de la blouse de Mia, le nez tout proche des seins dont il aperçoit un arc important des aréoles. La tentatrice ne porte pas de soutien-gorge, Elle a aussi allégé sa lingerie intime. Ses globes fermes suivent le mouvement de son torse. Joris est fasciné par cette vision, ses yeux sont rivés sur les chairs laiteuses exposées, il est sans voix.
Pour achever de l’étourdir Mia se relève et va tremper un doigt dans l’eau de la piscine avant de déclarer que nous pourrons nous baigner bientôt. Cette fois le mouvement a courbé son dos, fait remonter l’arrière de sa mini-jupe, et dévoilé une bonne partie de l’arrondi de ses fesses séparées par l’étroite ficelle de son string rouge ; une ficelle en partie enfouie dans la raie de son cul. De nouveau Joris en prend plein la vue, captivé par cette révélation troublante d'un cul de femme. La rougeur de son visage suffit à me persuader qu’il est curieux de découvrir ce qu’il avait négligé pendant ses années studieuses.
La coquine nous revient, regarde notre ami et dit :
-Mon Dieu, Joris tu prends un coup de soleil. Jean, tu aurais dû ouvrir le parasol. Abritons-nous dans la maison, sinon ce cher Joris risque une insolation.
L’intéressé veut bien laisser croire que le soleil seul est responsable de sa rougeur prononcée, c’est moins embarrassant que d’expliquer son bouleversement dû à la double apparition des rondeurs mammaires et fessières de celle qu’il comparait à sa mère. Pour le rafraîchir et me faire pardonner mon imprévoyance, je propose d'ouvrir une deuxième bouteille de champagne. Mia applaudit, Joris n'a pas le courage d'y renoncer. Il ne pourra plus rien refuser. Ma femme choisit de s'asseoir dans un fauteuil qui fait face au canapé où Joris et moi nous installons. La séance de séduction continue conformément au plan prévu.
Quand la femme à la mini-jupe croise les jambes ou les décroise, de notre place, dans le jeu des cuisses charnues et claires nous sommes éblouis par l'éclair rouge du string sur fond clair. Joris guette les déplacements des pieds de sa voisine. Ces déplacements des escarpins précèdent l'ample changement de jambes. Il est désormais dans l'attente fiévreuse du puceau en veine de découvertes.Il est conditionné pour la suite, mais prend un air gêné lorsque j'attire l'attention de mon épouse :
- Mon amour, il faut que tu saches que ton collègue n'a pas connu de femme. Il me l'a révélé. De plus il ignore tout de l'anatomie des femmes. Nous avons le devoir de voler à son secours.
- Mais ce sera un honneur et un privilège de combler ses lacunes. Il est évident que nous pouvons lui permettre d'aborder filles et femmes avec les connaissances nécessaires. Plus il en saura plus il aura l'assurance indispensable pour plaire. Si nécessaire je me tiendrai à sa disposition pour favoriser l'acquisition des notions de base.
-Entends-tu l'ami cette offre de services. Comme tu l'as déjà remarqué, Mia est une femme généreuse. Quand elle se donne c'est entièrement. Aujourd'hui profite de ses bonnes dispositions. Ce jour laissera dans ta mémoire une trace ineffaçable. Tu sembles incrédule. N'es-tu pas séduit par l'idée de découvrir son corps et d'apprendre avec elle comment un homme et une femme s'unissent physiquement
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