10 jours de Noël et Nouvel-an avec mon ami.
Récit érotique écrit par Olivier7891 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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10 jours de Noël et Nouvel-an avec mon ami.
Souvenirs de ma semaine de Noël.
Maintenant que Noël et Nouvel-an sont derrière nous… laisse-moi me souvenir et te raconter ma torride semaine avec mon copain Jérôme.
Bordel… que de sperme répandu ! Contre la tête du lit, sur les draps, nos torses et nos corps et même dans nos bouches et intimités secrètes. Des flots de liquide séminal… éjaculés avec efforts et satisfaction dans de nombreuses transes communes où de par nos étreintes, caresses et baisers nous ne formions plus qu'un seul homme jusqu'à l'explosion de nos jouissances !
Matin, midi, soir et même la nuit on a vraiment "fait l'amour", un amour viril et masculin, un amour total… se donnant l'un à l'autre, de corps, d'esprit et de sexualité, ne trouvant le repos que totalement exténué et les couilles bien vidées.
Il y en a eu des cris et des gémissements dans mon studio ! Rarement on s'est autant pipé ou sodomisé… s'arrachant mutuellement notre semence dans de furieux 69 ou s'enculant à tour de rôle pour farcir une capote, le dard planté dans le corps du partenaire.
Les deux premiers jours ont est simplement pas sortis ! Il faisait froid et Jérôme avait apporté de la bouffe et des bières en suffisance pour calmer faim et soif après nos virils ébats amoureux. Je serai prétentieux de dire qu'on n'a pas débandé mais au bout de ces deux jours on avait, l'un comme l'autre, les couilles et les testicules douloureuses à force de jouir et de faire l'amour…
Comme marqué au fer rouge, je me souviens de nombreuses pipes mutuelles, nous vidant l'un l'autre du fruit de nos entrailles avant de nous enlacer pour s'endormir fourbu par nos jouissances. Au réveil on se caressait et se masturbait jusqu'à avoir la queue à nouveau tendue. J'me souviens en frémissant comme Jérôme m'a capoté la verge avec un condom, l'a enduite de crème en s'en mettant également entre les fesses avant de véritablement se prostituer. M'agrippant torse contre torse il s'est basculé sur le dos… m'entraînant avec lui. Relevant les jambes autour de ma taille, je vois encore son regard langoureux comme s'il m'implorait de le sodomiser. Le serrant très fort dans mes bras… je me suis dressé sur mes genoux et lui s'est replié un peu sur lui-même. Le regardant droit dans les yeux je l'ai embroché lentement en poussant par petites saccades ma verge turgescente dans ses entrailles. J'nous entends encore gindre et gémir notre bien-être… lui m'encourageait en m'embrassant et en me disant de venir en lui et moi… d'une voix rauque je lui disais: "Détend-toi Jérôme j'vais t'enculer jusqu'à la garde… sens cette épée qui te farfouille les entrailles". On est restés longtemps accouplés… suant, soufflant, gémissant. En même temps que je le tringlais, j'ai commencé à le masturber avec vigueur. Il serrait les fesses en se cabrant de jouissance… me bloquant la queue à l'intérieur de son corps. A coups de hanche j'ai insisté en le branlant comme un fou… un vrai "abattage" ! On a crié tous les deux en même temps… lui projetant son sperme contre le mur et sur son torse… moi farcissant la capote en gémissant à chaque contraction de mes testicules. Là aussi on s'est abattu l'un sur l'autre en s'enlaçant pour récupérer de nos violents efforts… somnolant longuement en se caressant et en se disant des mots doux.
On a entrecoupé nos ébats par de longues promenades dans le froid ! Jérôme aime ça, moi je préfère courir un peu… ça fait moins froid. On rentrait transis pour se réchauffer longuement sous la douche. Douche coquine… on s'est doigté, masturbé, pipé… fait éjaculé mutuellement à bout de bras dans une lutte des plus virile. OK, ça c'était un véritable abattage mais de temps à autre… on se dégomme ainsi !
D'autres coups on s'allumait franchement la mèche avant de filer aux plumes. Sous la couette on s'enlaçait avec force, plaquant nos corps l'un à l'autre… se serrant très fort pour un contact maximum. Nos queues raides et chaudes se sont attirées immédiatement comme deux aimants; elles se sont collées l'une à l'autre entrecroisées comme des épées dans un duel. Mais, pas pour faire couler le sang de l'autre... Pour qu'il gonfle au maximum la chair avide de sensations érectiles de nos zobs et dessine des veines viriles sur la peau tendue de ceux-ci. D'un lent mouvement de hanche on s'est masturbé l'un contre l'autre… à tour de rôle on activait ce "frotte-frotte" mouillant, suant, gémissant sous l'activité de nos jouissances. L'un comme l'autre on avait l'impression de planter la queue dans le corps de l'autre. Nos verges dures comme du bois et coincées entre nos ventres durcis par la jouissance coulissaient l'une contre l'autre au rythme plus ou moins rapide de nos coups de hanche. Notre orgasme a été violent et simultané… le sperme giclait entre nos corps enlacés… se mélangeant intimement en lubrifiant encore davantage notre "accouplement". On est restés longtemps à baigner dans notre jus fait de mouille, de sueur et de sperme. Juste avant de s'endormir… on est tout de même repartis sous la douche.
Plusieurs fois on s'est fait des "mastus pures" ! Après un petit corps à corps bien viril… une bonne pipe mutuelle tête-bêche, masturbations et fellations réciproques, l'un s'offre à l'autre ! Couché sur le dos, les jambes largement écartées il se laisse masturber délicatement et savoure les doux massages, branlettes, caresses et touchés des zones les plus sensibles de sa sexualité. Comme moi, Jérôme adore se laisser masturber mais aime aussi me masturber… C'est beau l'orgasme d'un homme, j'aime voir mon Jérôme jouir sous mes attouchements. Je connais bien son corps et ses réactions… j'arrive à le tenir longuement au bord de l'orgasme. Je frémis avec lui en le sentant vibrer, en l'entendant gémir et se tordre sous la jouissance. Il ne se dérobe pas mais arrive à me supplier de le faire découiller. Moi, je me fais un malin plaisir de stopper net mes attouchements au moment où je sens, par ses couilles, la montée d'une première crampe éjaculatoire. J'attends qu'il se calme et je reprends branlettes et attouchements, forçant du bout de l'index l'entrée de son méat dilaté… étalant sur son gland turgescent la mouille qui s'en échappe. Je le lubrifie ainsi encore mieux accentuant sa jouissance d'un cran supplémentaire. Finalement, c'est adorable de voir son ventre se crisper… de le voir pousser ses hanches contre moi pour m'offrir sa totale sexualité et me supplier en râlant de le faire éjaculer. J'abuse alors de sa virilité, lui enserre la verge à pleine main et lui astique la tige à coups de poignet jusqu'à ce qu'il crie en éjaculant de puissantes giclées de sperme. Trois… quatre contractions terribles lui font cracher des jets de semence. Ensuite je continue à le masturber… il se replie en gémissant encore davantage… se cabre à nouveau et lâche encore du sperme par saccades, se maculant généreusement le ventre. Fourbu il se détend d'un coup en me traitant de salop mais m'enlace tendrement pour m'embrasser et se calme en se lovant contre moi ! Avec un mouchoir j'éponge un peu tout ce sperme qui coule sur son flan… il veut m'aider et voit alors comme je bande ! Avec un sourire il me regarde tendrement me prend aux épaules pour me coucher sur le dos. Se mettant à genoux entre mes cuisses ouvertes il murmure doucement : "maintenant Olivier c'est toi qui va passer à la casserole"…
Maintenant que Noël et Nouvel-an sont derrière nous… laisse-moi me souvenir et te raconter ma torride semaine avec mon copain Jérôme.
Bordel… que de sperme répandu ! Contre la tête du lit, sur les draps, nos torses et nos corps et même dans nos bouches et intimités secrètes. Des flots de liquide séminal… éjaculés avec efforts et satisfaction dans de nombreuses transes communes où de par nos étreintes, caresses et baisers nous ne formions plus qu'un seul homme jusqu'à l'explosion de nos jouissances !
Matin, midi, soir et même la nuit on a vraiment "fait l'amour", un amour viril et masculin, un amour total… se donnant l'un à l'autre, de corps, d'esprit et de sexualité, ne trouvant le repos que totalement exténué et les couilles bien vidées.
Il y en a eu des cris et des gémissements dans mon studio ! Rarement on s'est autant pipé ou sodomisé… s'arrachant mutuellement notre semence dans de furieux 69 ou s'enculant à tour de rôle pour farcir une capote, le dard planté dans le corps du partenaire.
Les deux premiers jours ont est simplement pas sortis ! Il faisait froid et Jérôme avait apporté de la bouffe et des bières en suffisance pour calmer faim et soif après nos virils ébats amoureux. Je serai prétentieux de dire qu'on n'a pas débandé mais au bout de ces deux jours on avait, l'un comme l'autre, les couilles et les testicules douloureuses à force de jouir et de faire l'amour…
Comme marqué au fer rouge, je me souviens de nombreuses pipes mutuelles, nous vidant l'un l'autre du fruit de nos entrailles avant de nous enlacer pour s'endormir fourbu par nos jouissances. Au réveil on se caressait et se masturbait jusqu'à avoir la queue à nouveau tendue. J'me souviens en frémissant comme Jérôme m'a capoté la verge avec un condom, l'a enduite de crème en s'en mettant également entre les fesses avant de véritablement se prostituer. M'agrippant torse contre torse il s'est basculé sur le dos… m'entraînant avec lui. Relevant les jambes autour de ma taille, je vois encore son regard langoureux comme s'il m'implorait de le sodomiser. Le serrant très fort dans mes bras… je me suis dressé sur mes genoux et lui s'est replié un peu sur lui-même. Le regardant droit dans les yeux je l'ai embroché lentement en poussant par petites saccades ma verge turgescente dans ses entrailles. J'nous entends encore gindre et gémir notre bien-être… lui m'encourageait en m'embrassant et en me disant de venir en lui et moi… d'une voix rauque je lui disais: "Détend-toi Jérôme j'vais t'enculer jusqu'à la garde… sens cette épée qui te farfouille les entrailles". On est restés longtemps accouplés… suant, soufflant, gémissant. En même temps que je le tringlais, j'ai commencé à le masturber avec vigueur. Il serrait les fesses en se cabrant de jouissance… me bloquant la queue à l'intérieur de son corps. A coups de hanche j'ai insisté en le branlant comme un fou… un vrai "abattage" ! On a crié tous les deux en même temps… lui projetant son sperme contre le mur et sur son torse… moi farcissant la capote en gémissant à chaque contraction de mes testicules. Là aussi on s'est abattu l'un sur l'autre en s'enlaçant pour récupérer de nos violents efforts… somnolant longuement en se caressant et en se disant des mots doux.
On a entrecoupé nos ébats par de longues promenades dans le froid ! Jérôme aime ça, moi je préfère courir un peu… ça fait moins froid. On rentrait transis pour se réchauffer longuement sous la douche. Douche coquine… on s'est doigté, masturbé, pipé… fait éjaculé mutuellement à bout de bras dans une lutte des plus virile. OK, ça c'était un véritable abattage mais de temps à autre… on se dégomme ainsi !
D'autres coups on s'allumait franchement la mèche avant de filer aux plumes. Sous la couette on s'enlaçait avec force, plaquant nos corps l'un à l'autre… se serrant très fort pour un contact maximum. Nos queues raides et chaudes se sont attirées immédiatement comme deux aimants; elles se sont collées l'une à l'autre entrecroisées comme des épées dans un duel. Mais, pas pour faire couler le sang de l'autre... Pour qu'il gonfle au maximum la chair avide de sensations érectiles de nos zobs et dessine des veines viriles sur la peau tendue de ceux-ci. D'un lent mouvement de hanche on s'est masturbé l'un contre l'autre… à tour de rôle on activait ce "frotte-frotte" mouillant, suant, gémissant sous l'activité de nos jouissances. L'un comme l'autre on avait l'impression de planter la queue dans le corps de l'autre. Nos verges dures comme du bois et coincées entre nos ventres durcis par la jouissance coulissaient l'une contre l'autre au rythme plus ou moins rapide de nos coups de hanche. Notre orgasme a été violent et simultané… le sperme giclait entre nos corps enlacés… se mélangeant intimement en lubrifiant encore davantage notre "accouplement". On est restés longtemps à baigner dans notre jus fait de mouille, de sueur et de sperme. Juste avant de s'endormir… on est tout de même repartis sous la douche.
Plusieurs fois on s'est fait des "mastus pures" ! Après un petit corps à corps bien viril… une bonne pipe mutuelle tête-bêche, masturbations et fellations réciproques, l'un s'offre à l'autre ! Couché sur le dos, les jambes largement écartées il se laisse masturber délicatement et savoure les doux massages, branlettes, caresses et touchés des zones les plus sensibles de sa sexualité. Comme moi, Jérôme adore se laisser masturber mais aime aussi me masturber… C'est beau l'orgasme d'un homme, j'aime voir mon Jérôme jouir sous mes attouchements. Je connais bien son corps et ses réactions… j'arrive à le tenir longuement au bord de l'orgasme. Je frémis avec lui en le sentant vibrer, en l'entendant gémir et se tordre sous la jouissance. Il ne se dérobe pas mais arrive à me supplier de le faire découiller. Moi, je me fais un malin plaisir de stopper net mes attouchements au moment où je sens, par ses couilles, la montée d'une première crampe éjaculatoire. J'attends qu'il se calme et je reprends branlettes et attouchements, forçant du bout de l'index l'entrée de son méat dilaté… étalant sur son gland turgescent la mouille qui s'en échappe. Je le lubrifie ainsi encore mieux accentuant sa jouissance d'un cran supplémentaire. Finalement, c'est adorable de voir son ventre se crisper… de le voir pousser ses hanches contre moi pour m'offrir sa totale sexualité et me supplier en râlant de le faire éjaculer. J'abuse alors de sa virilité, lui enserre la verge à pleine main et lui astique la tige à coups de poignet jusqu'à ce qu'il crie en éjaculant de puissantes giclées de sperme. Trois… quatre contractions terribles lui font cracher des jets de semence. Ensuite je continue à le masturber… il se replie en gémissant encore davantage… se cabre à nouveau et lâche encore du sperme par saccades, se maculant généreusement le ventre. Fourbu il se détend d'un coup en me traitant de salop mais m'enlace tendrement pour m'embrasser et se calme en se lovant contre moi ! Avec un mouchoir j'éponge un peu tout ce sperme qui coule sur son flan… il veut m'aider et voit alors comme je bande ! Avec un sourire il me regarde tendrement me prend aux épaules pour me coucher sur le dos. Se mettant à genoux entre mes cuisses ouvertes il murmure doucement : "maintenant Olivier c'est toi qui va passer à la casserole"…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
pas mal, j'ai bandé et me suis branlé en lisant ton histoire. Bisous à toi
Quelle passion !!! J'ai adoré l'histoire...