Deuxième jour avec Tamana - histoire érotique

Deuxième jour avec Tamana.

Mon cher Tamana,
Tu es parti rapidement hier en fin d'après midi… j'imagine que tu as des occupations importantes car après un dernier baisé, tu m'as laissé seul dans la chambre en me disant seulement: "A demain vers 7 heures, je reviens te voir et nous aurons toute la journée".
Un court instant j'ai trouvé ton départ vexant mais ça n'a pas duré car j'étais suffisamment bien rassasié de sexe… j'avais le corps douloureux et les testicules sacrément bien vidées !

Le soir et pendant la nuit, j'ai souvent pensé à toi… à la vigueur et à la beauté de ton corps et à la force avec laquelle tu m'as pris. J'ai commencé à bander plusieurs fois en me rappelant comme tu as tiré ma semence hors de mon corps… en fait tu ne me l'as pas prise… je te l'ai donnée avec amour, plaisir et soulagement. Je bandais aussi en me rappelant comme tu m'as aimé… je te sentais encore contre moi, le corps tendu comme un arc, terrassé par un violent orgasme qui t'as fais cracher tout ce sperme. A l'approche de l'aube, j'avais une folle envie de me branler pour soulager, une fois de plus, l'énorme tension de mes testicules. Mais, stoïque, je me suis préservé dans l'attente de ton retour et des folles étreintes que nous ne manquerons pas d'avoir !
Il est enfin l'heure de me préparer. Je prends une longue douche et me frotte vigoureusement avec un grand linge et fini de me sécher en me roulant sur le lit tout en pensant à toi. Je m'habille léger, un pantalon en coton qui me serre aux cuisses et, du coup, met un peu mon sexe en porte-à- faux, un t-shirt moulant trop court… laissant voir mon nombril. Je file à l'office et deal deux petit-déj que j'emporte dans la chambre. Négligemment je mets un préservatif sur la tablette de lit ainsi que mon tube de crème. Je ressorts dans le couloir et cherche le local des nettoyeuses pour y prendre un drap de rechange. Je le trouve rapidement et revient tout guilleret car suivant la manière dont se termineront nos ébats… les giclées de sperme seront sans conséquences… on changera les draps. Je n'attends pas longtemps, tu es pile à l'heure, ton pas léger mais rapide résonne dans le couloir et je t'ouvre avant même que tu sois devant la porte. Tu me sautes presque dessus, m'enlace dans tes bras puissants, m'obligeant à reculer dans la chambre. Du pied tu claques la porte et me plaque contre le mur… me tenant la tête tu m'embrasses sauvagement. Je me love contre toi en te serrant dans mes bras et te rends ton baiser… un baiser long, tendre mais viril. On frissonne tous les deux, on se mordille les lèvres en s'attaquant à coups de langues et on repart dans un extraordinaire baiser en frottant nos corps l'un contre et en se pressant sexe contre sexe. Lentement tu me pousses vers le lit et ensemble on y bascule en s'étreignant avec force et vigueur. Au corps à corps on roule l'un sur l'autre se serrant fort dans les bras. Tu me bloques sur le dos et pousse très fort tes hanches contre les miennes, tu me chevauches littéralement et je sens nettement ton sexe durci contre le mien. Tu me regardes droit dans les yeux et me dit tendrement: "Olivier, cette fois c'est toi qui m'honore et je veux que tu me masturbes jusqu'à t'offrir le fruit de mes entrailles". Roulant l'un sur l'autre on se déshabille mutuellement… en douceur, tout en se caressant et en s'embrassant longuement. Peu à peu nos habits tombent du lit et totalement nu on s'enlace avec force pour jouir de notre corps à corps. Puis, allongés côte à côte on se masturbe du bout des doigts en se touchant délicatement la pointe de la verge. J'admire ton sexe, une belle tige d'un noir mat légèrement galbée pour suivre la courbure de ton ventre, de belles burnes bien ballonnées et un gland rouge-sombre turgescent… brillant de mouille coulant de ton méat dilaté. On est un peu fou tous les deux… on se masturbe mutuellement la collerette du gland entre le pouce et l'index… c'est vraiment le moyen de se faire péter la tubulure avant même d'avoir joui comme il faut. C'est toi le raisonnable, me retenant les mains… tu calmes mon ardeur et te tend pour prendre le préservatif. On se met à genoux tous les deux, face à face, tu déballes la capote et j'arc mon corps devant toi pour te présenter ma verge dressée. En me regardant avec tendresse tu poses l'anneau de gomme sur la pointe de ma queue et du bout des doigts tu déroules les premiers tours qui m'enveloppent le gland. Tu souris gentiment en voyant mon corps tressaillir, tu marques une petite pose puis tu me masses le sexe pour bien dérouler la capote sur toute la longueur de mon engin. D'un air décidé tu me prends sous les aisselles, te laisse tomber en arrière sur le dos en m'entraînant et me force à me coucher sur toi torse contre torse. Ecartant les jambes, tu les passes autour de ma taille… mon sexe se retrouve en bonne position pour t'empaler. Je me tends sur toi et prends une giclée de gel dans la main. Te relevant davantage les jambes je te doigte un peu assouplissant ton anus avec la crème. Tu me serres très fort dans tes bras… je te sens prêt à me recevoir et j'avance mes hanches contre toi en me dressant un peu sur les genoux. C'est toi-même qui guide ma tige contre ton trou. Te serrant dans mes bras je me tire sur toi… poussant mon dard dans tes entrailles. Je bande sacrément raide… ma queue ne se replie pas d'un millimètre mais pénètre ton corps et te faisant gémir et tressaillir. J'y vais doucement pour laisser le temps à ton anus de se dilater… mais je me plante inexorablement en toi en jouissant moi-même comme un fou. On se regarde, on se sourit, on s'embrasse avec passion… nos corps sont cabrés et dressés l'un contre l'autre… on savoure longuement notre accouplement. Peu à peu on arrive à se décrisper et nos muscles se détendent, nous procurant un immense bienêtre. Seuls nos sexes restent vigoureux et dures comme des tiges de bois. D'un lent mouvement des hanches je te lime de toute la longueur de ma verge… te faisant gémir et râler de plaisir. Tu te contorsionnes de jouissance et c'est avec plaisir que j'empoigne ta queue qui se dresse devant moi. Je suis stimulé de voir un engin pareille… Tamana t'as vraiment une belle queue, une sacré belle pièce. Tes burnes ballonnées sont accrochées à la base de ta verge… comme le barillet à un colt… et tu sais pertinemment que je vais te faire tirer des coups en l'air. Tu me laisses faire car tu sais que j'adore voir éjaculer un homme et tu devines que je suis passé maître de tenir un mâle au bord du coït… jusqu'à ce qu'il me supplie de le faire découiller. Je te masse consciencieusement la verge en admirant cette tige noir mat qui coulisse dans ma blanche main. Tu mouilles vraiment comme il faut et c'est avec ma paume que j'étale ton liquide séminal pour que ta tige glisse correctement dans le fourreau formé par mes doigts refermés. Longuement on balance l'un contre l'autre en se caressant amoureusement, tu te cabres de plus en plus… en savourant mes masturbations et moi aussi, poussant et repoussant ma tige dans ton corps on joui tous les deux avec une folle intensité. Dès que je sens ton sexe se raffermir davantage ou dès que le tenaillement de mes testicules se précise… je stop tout mouvement pour nous permettre de récupérer et je relance le balancement dès que nos crampes éjaculatoires se calment la moindre. En gémissant, en vibrant et en suant comme des forcenés on se paie une tranche homosexuelle des plus jouissive en se rendant bien compte tous les deux qu'on va sceller notre mâle étreinte par une éjaculation commune. Nos gémissements se transforment en râles… autant de plaisir que de souffrance, tellement nos sexes sont durs et dilatés. N'y tenant plus on s'agrippe l'un à l'autre… tous les muscles crispés, on tend et cabre nos corps… avant de crier… tétanisés par nos orgasmes. Les deux, le corps secoué de spasmes on éjacule de longues tirées de sperme et gémissant de soulagement. Toi tu arroses le mur les draps et ton torse… moi j'injecte toute ma viande dans la capote. Pour l'un comme pour l'autre, nos crampes éjaculatoires ont de la peine à se calmer et longuement… nos bas ventres se contractent pour expulser les dernières gouttes de semence de nos testicules. Tendrement on se laisse aller l'un contre l'autre, on s'enlace et on s'embrasse longuement… je reste encore en toi… mais je te quitte peu à peu au fur et à mesure que je débande !!! Finalement nous partons ensemble sous la douche… c'est toi qui m'enlève la capote en me disant: "Ben mon gars, t'en a mis de la sauce là-dedans". Je me dresse contre toi sans répondre… du bout des doigts j'étale des restes de sperme qui maculent ton cou et ajoute: "Avec tout ce que t'as mis contre le mur, sur le drap et ces nombreuses giclées blanches qui dégoulinent sur ton torse… t'as rien à dire". On rigole et tu ouvres l'eau à fond et t'avance pour te rincer. Je t'enlace tendrement sous le jet chaud et frotte ton magnifique torse pour enlever ta semence. Sans hésiter tu me prends la queue en main et me nettoie également… consciencieusement… tu me frottes les burnes, me décalottes pour rincer mon gland mis à nu… et finis par me masturber un bon coup de telle sorte que ma verge pointe en avant contre tes hanches. Tu finis par arrêter l'eau, je prends aussi un linge et on se sèche mutuellement…
Finalement on rebande tous les deux à force de se frotter !!!!
Et… ça va chauffer encore !