A trop en faire pour la conclusion d'un contrat. (1)

- Par l'auteur HDS Flore -
Récit érotique écrit par Flore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : A trop en faire pour la conclusion d'un contrat. (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A trop en faire pour la conclusion d'un contrat. (1)
Je travaille dans une agence immobilière, en tant que négociatrice en immobilier. Voulant prouver mes capacités de négociatrice à mes employeurs malgré ma maigre expérience et mon jeune age dans la profession, il est vrai qu'à 28 ans on ne peut encore détenir toutes les ficelles du métier. J'étais bien consciente que j'avais loupé de belles opportunités par manque d'expérience, quelques mois après mon embauche je n'avais conclu que des contrats pour ainsi dire sans importance, mais j'avais tout de même pu conclure quelques contrats de location, mais je ne désespérai pas décrocher un gros contrat, et faire taire les réflexions taquines de mes collègues plus chevronnés et surtout de mon employeur.
J’avais consulté le fichier des prospections qui n’avait pas eu de suite, et j’ai recontacté certains clients éventuels. Donc un qui m’a avoué être en relation avec une agence concurrente, et qui se souvenait de la démarche entreprise du négociateur de l’époque. Je lui expliquais que l’agence avait changé de propriétaire et que je n’y étais pas salariée à ce moment-là.
Il a accepté de me rencontrer jeudi dernier dans les salons de l’hôtel mercure dans lequel il avait rendez-vous avec une autre personne. On se verrait juste avant son rendez-vous.
Comme le jeudi soir une amie m’avait invité au vernissage d’une expo à la sortie du travail et n’ayant pas le temps de repasser chez moi pour me changer, je décidai le matin de porter une tenue qui irait pour le travail et le vernissage, et puis je suis dit qu’un cela ne pourrait que profiter à mon rendez-vous.
Donc j’avais choisi un petit string noir tout en tulle brodé, un caraco en dentelle noir aussi décolleté en v couvrant ma poitrine façon bonnet de soutien-gorge, enfin couvrant disons plutôt voilant mes seins. Et ensuite un tailleur jupe beige crème tirant sur un caramel clair. La veste assez décolletée laissant apercevoir dans le creux de mes seins la lisière du voile et de dentelle du caraco. La jupe courte et droite m’arrivant à mi cuisses. Des bas noir, auto fixant remontant jusqu’en haut de la cuisse et aux pieds des escarpins ouverts ne couvrant que les orteils et l’arrière du talon une bride passant autour de la cheville.
Mon client est un homme autour de la soixantaine, cheveux grisonnant presque blanc, belle allure et fort bien habillé. Il me salut et me prit de m’asseoir face à lui dans un des fauteuils entourant une petite table basse. Je lui vante les atouts de l’agence… et tout en parlant je remarque son regard qui va de ma poitrine à mes cuisses généreusement dévoilée mais que je garde bien serrées. Je dois avouer que ma jupe est un peu remontée il n’en faut pas beaucoup qu’elle découvre la bande en dentelle de mes bas.
Peu après je me penche sur ma gauche vers ma mallette au sol pour y retirer des documents, je remarque que ma veste baille copieusement et d’où il est, il doit avoir une belle vision sur mon sein gauche juste voilé par le triangle du caraco. Mais occupée à fouiller dans ma mallette je ne m’aperçois pas que mes cuisses se sont écartées dans mon mouvement et en me redressant je vois le regard de mon client braqué dessus au moment où je me redresse.
Je resserre mes cuisses, tout en lui tendant les documents que je lui destine. Mais au lieu de les saisir, il me dit :J’apprécie beaucoup les personnes et surtout les femmes qui ont l’esprit ouvert, et, je reste persuadé que vous êtes de cette trempe. Alors, je souhaite que vous retrouviez cette ouverture d’esprit, à moins que vous ne le souhaitiez pas et notre entrevue s’arrêtera là, je ne prendrai donc vos documents dès que vous aurez retrouvé cette ouverture qui vous va si bien.
Je saisissais fort bien son message, il voulait que j’ouvre le compas de mes cuisses dans ce salon d’hôtel ! La balle était dans mon camp …. Je réfléchissais rapidement que mes charmes avaient bien plus accroché l’éventuel client que mon beau discours et si je ne me pliais pas à sa demande, il ne fallait pas que j’espère conclure une quelconque affaire avec lui. Mais aussi est ce qu’en lui cédant, une fois avoir bien profité du spectacle qu’offrirait mes cuisses desserrées il ne me renverrait pas à mes chères études ? La seule solution de savoir était que j’accepte son chantage.
J’ouvrai lentement mes cuisses, une fois mes genoux distants d’une bonne dizaine de centimètres, je lui posais la question si il était satisfait de mon ouverture d’esprit ?
Juste un peu plus cela serait parfait, et il ajouta, déboutonnez votre veste vous n’en serez que plus à votre aise.
De ma main libre je défais les 2 boutons de ma veste qui s’ouvre sur mon caraco en tulle et dentelle ce qui eut pour effet de découvrir un peu plus ma poitrine. En lui tendant les documents, j’écartais un peu plus mes cuisses tout en le fixant dans les yeux par défi. Son regard quitta le mien et parti de mon buste à mes cuisses … une bonne vingtaine de secondes s’écoulèrent avant qu’il ne tende sa main pour saisir les documents et il me dit qu’il adorait ma façon de me vêtir élégamment pour mieux offrir mes charmes par transparence voluptueuse.
J’étudierai tranquillement votre proposition, car je vois qu’arrivent mes associés pour le rendez-vous que nous avons convenu. J’ai juste le temps de resserrer mes cuisses mais pas le temps de reboutonner ma veste, que deux hommes autour de la cinquantaine viennent serrer la main de mon interlocuteur et me font face ensuite. Il leur dit sans vraiment s’adresser à moi que je venais le démarcher pour une proposition immobilière et que j’étais très ouverte à ses sollicitations et il enchaina d’ailleurs chère Florence montrez donc cela à mes amis. Comme mon regard intimidé allait de l’un à l’autre des nouveaux arrivants pour venir se poser sur mon éventuel client, il ajouta : allez ne vous faites pas prier, vous m’avez assez démontré votre côté ouvert, écartez largement vos cuisses et ouvrez en grand votre veste.
Comme j’hésitai encore, il ajouta : vous savez il serait dommage pour vous que j’oublie vos document sur cette table en partant… !
J’étais prise au piège, pour pouvoir continuer à espérer conclure affaire avec lui, j’avais cédais à sa volonté une fois, il était clair pour lui que je m’étais placée sous son emprise et que si je voulais espérer signer un contrat je devais me soumettre à son bon désir, et, il venait de me le rappeler à cet instant.
Je capitulai, j’avais initié sans le vouloir cette situation, je cédai donc pour la deuxième fois. J’écartai mes cuisses, bien plus que la fois précédente et de mes mains j’ouvrai les pans de ma veste offrant à leur regard mes seins si peu voilés, il ne pouvaient manquer de voir mes tétons tendus tout comme la transparence de mon string leur révéla la forme de mon petit triangle soyeux et la vision de mon clitoris gonflant son capuchon et en dessous mes lèvres intimes … je restai ainsi une poignée de dizaine de secondes, d’autres personnes un peu plus loin profitèrent de mon exhibition, il mit fin à mon audace en me disant, je vous remercie et vous félicite d’être ainsi ouverte à mes demandes, soyez certaines que j’étudierai votre proposition avec la plus grande attention et je vous contacterai pour vous faire part de ma décision.
Je prenais congé des trois hommes et en traversant le hall de l’hôtel je sentais mes joues rosir. ...

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