Un réveilon pervers (4)
Récit érotique écrit par Flore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2018 dans la catégorie Plus on est
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Un réveilon pervers (4)
Dans la voiture, Tony me caressait les seins par dessus le fin tissu de ma petite robe, jouant avec mes tétons les pinçant ou les faisant rouler entre deux doigts, son autre main effleurant mon clito et lui faisant subir le même traitement qu'à mes tétons. Je ne pouvais m'empêcher de laisser échapper de ma gorge de petits soupirs de plaisir. Il me confia alors :- Tu sais j'aime beaucoup les jupes hyper courtes qui laissent à la vue le bas des fesses, ta robe est courte, mais est ce que tu ne voudrais pas la retrousser un peu, ça me ferait énormément plaisir.
- Je voudrai bien te faire ce plaisir, mais tu as remarqué que la coupe de ma robe est asymétrique et que le coté droit est plus long que le gauche, donc ça va pas le faire.
- Tu ne veux pas essayer quand même ?
- Et ça t'excite tant que ça que je montre le bas de mes fesses ?
- Oui beaucoup, c'est très sexy.
- Bon, allez, je vais te faire plaisir alors.
Tony m'embrassa avec l'empressement d'un ado, tout en me remerciant plusieurs fois.
Nous arrivions sur le parking de cette boite quasiment complet, Alban trouva une place assez loin de l'entrée, ce qui était très bien pour essuyer avec un mouchoir en papier les fuites de mon entrejambe, puisqu'il n'y avait personne à proximité. Je faisais un revers à ma robe au niveau de la taille, en passant les doigts au niveau de l'ourlet je constatais que le bas de ma fesse gauche était découvert, en avançant le long de l'ourlet avec mon doigt c'est le bas du sillon fessier qui se découvrait avec un tout petit bout de la fesses droite ensuite plus vers la droite cela devenait plus raisonnable. Je tournais sur moi même en demandant à Tony s'il était satisfait du résultat, ce qu'il confirma en me prenant dans ses bars pour m'embrasser et me murmura à l'oreille que j'étais hyper bandante. En enfilant mon manteau, mes doigts passèrent sur le devant de la robe et là j'eu un petit frisson d'excitation l'ourlet de la robe était au ras de ma chatte. Je ne me reconnaissais pas, au lieu d'avoir de la gène ou de la honte cela m'émoustillait les sens. En marchant sur les quelques dizaines de mètres nous séparant de l'entrée de la boite, je pensais à Eric, est ce qu'il dormait ou pensait à ce que je pouvais bien faire, il m'avait juste incitée à cette aventure, même sil il m'avait dit d'être "salope", il ne m'avait pas obligée de baiser avec les trois copains, c'est moi qui en avait eu envie et pris du plaisir à le faire... l'arrivée devant la porte d'entrée de la boite me sortie de mes interrogations. On entra, les garçons discutèrent un tout petit instant avec le portier qui finalement nous dispensa de payer l'entrée, je donnais au vestiaire manteau et sac à mains, les garçons leurs vestes et on se dirigea vers le comptoir. Il y avait du monde, on dû se frayer un passage jusqu'au bar. Visiblement l'assemblée était plus masculine que féminine, je sentais les regards sur moi, faut dire que la fraicheur extérieure associée à mon excitation tendaient mes tétons qui déformaient le fin tissu de ma robe. Je remarquais que pour suivre mes compères devant moi, je devais plus me frotter aux corps de la foule que mes accompagnateurs et même quelques mains anonymes flattaient ma croupe mes cuisses ou mon ventre. Au comptoir Alban commanda quatre shooters, que je dû avaler d'un trait comme les trois garçons.
Le son techno envahissait la salle, et à nouveau on dû se faufiler entre les groupes de personnes pour rejoindre la piste de danse bondée comme le reste de la boite. Je me trémoussais sur la syncopé techno, ou plutôt ballottée par les autres danseurs, les corps se touchaient d'un coup de hanche ou d'épaule, un bras heurtant le dos, tous les danseurs étaient à la même enseigne. Tony se colla contre mon dos, me tenant par les hanches, je frottais mon fessier contre son bas ventre et sa belle raideur prenait forme, une main remonta sur la poitrine et empauma mon sein. Son index et son majeur tendu emprisonnaient mon téton érigé le pinçant à la façon d'un ciseau, il déposait de petit bisous sur mon cou, alors que Hugo venait d'appliquer sa main sur mon pubis ses doigts venant titiller mon clito, instant que ne manquèrent pas les danseurs voisins.
Aucun ne pouvait ignorer l'état de mon excitation, et si mes tétons pointaient à en percer le fin tissu cette fois ce n'était plus le froid qui en était la cause, mais bien mon excitation. Je n'avais aucune honte vis à vis de tous ceux qui me regardaient, me frotter effrontément à l'homme dans mon dos et me laisser caresser intimement, au contraire cela décuplait mon excitation et j'y prenais du plaisir de voir qu'on me regardait. Je me tournais pour enlacer Tony et l'embrasser fiévreusement. Les mains de Tony massaient mes fesses et j'espérais qu'il ne retrousse pas un peu plus ma robe, c'est à ce moment là que j'aperçu entre deux têtes le visage d'un jeune intérimaire qui était venu assurer un remplacement dans l'entreprise pour laquelle je travaille et c'est moi qui l'avais reçu et ensuite lui avais signé son bon de présence, si je l'avais reconnu, il en devait être de même pour lui. J'en fis part à Tony qui me répondit, que si ça se trouve je ne le recroiserai jamais au boulot. Le baiser qui s'en suivit et les caresses conjointes sur mes fesses et mon sein déclenchèrent de délicieux picotements dans ma poitrine et mon ventre et je décidais de savourer ces instants présents à venir.
L'ambiance dans la boite devenait de plus en plus chaude, deux mecs, à coup sur gay, se retrouvaient en boxer et se frottaient très sensuellement. Le DJ saisi l'occasion pour annoncer que 2018 allait être hyper "caliente" et incita les filles à se mettre topless et à danser sexy sur les morceaux hot à venir. Pas loin de nous j'apercevais deux filles qui s'embrassaient tout en se caressant au milieu d'un petit cercle formé par les garçons qui les encourageaient, chacune fit glisser le haut de l'autre et elles se retrouvèrent rapidement tétons contre tétons sous les approbations de leurs admirateurs. Le DJ exhortait encore les filles à danser seins nus en ce premier de l'an d'une année qu'il prédisait érotisante, seule une autre fille venait d'ouvrir son chemisier offrant au regard un bien joli soutien gorge. Je ne sais toujours pas ce qui me poussa à baisser le haut de ma petite robe, peut être mon esprit embrumé de vapeur d'alcool ajouté à mon état d'excitation, je venais de m'ajouter au petit nombre des filles topless. La coupe de ma robe asymétrique laissant l'épaule et le bras gauche nus alors que le côté droit était fait d'une manche courte dont l'épaulement s'arrêtait à l'articulation, le tissu malgré une certaine élasticité ne me permettait pas de dévoiler mon sein droit entièrement. Je ne dévoilais donc à demi ma poitrine et lorsque je me remis de dos contre Tony, aux yeux arrondis de ceux qui m'entouraient, je faisais mon effet !
Tony était tout contre moi, je sentais son sexe tendu contre mes fesses, je dois avouer que j'avais une certaine fierté d'être la cause de cet effet, j'ondulais du bassin pour masser sa tige avec mon fessier, mon excitation n'en était qu'accentuée et je devais le reconnaitre j'avais envie de bien plus ! Les mains de Tony m'enlaçaient, elles ne restèrent pas longtemps sur mon ventre, une remonta sur mon sein dénudé, le prenant en coupe le pouce agaçant délicieusement mon téton pointant effrontément, puis il s'amusa à me le pincer et le rouler entre deux doigts. J'avais ma nuque sur son épaule, lui, son menton sur la mienne et il pouvait m'entendre ronronner comme une chatte. IL me susurra à l'oreille :- Tu aimes ?
Et moi d'une voix rauque je lui répondis :- Oui, c'est bon continues.
- Tu aimes te faire caresser, hein cochonne ?
- Oui, j'adore ça.
- Des mains partout sur toi, tes seins, ta chatte, ton cul.
- Huumm oui !
Son autre main glissa lentement vers le bas de mon ventre, les doigts épousant mon pubis durant une poignée de secondes. Tout à mon plaisir je soupirai "oui encore". Le bout de ses doigts crocheta le bas de ma courte robe et le fit remonter sur mon bassin offrant aux regards le petit triangle de ma toison à peine voilé par le collant. Je ne faisais rien pour l'en empêcher je lui dis seulement "tu es fous" !
Il passe ses doigts entre mes cuisses, me caresse lentement en s’attardant sur mon bouton et il me souffle à l’oreille :- Salope, tu as envie de te faire caresser et baiser t’es toute trempée !
Sans attendre ma réponse, il me pousse en avant vers Hugo et Alban et trois ou quatre mecs qui dansaient sans me lâcher des yeux, en disant assez fort pour couvrir la musique :- Profitez-en, cette chienne a très envie d’être caressée !
J’aurai dû, en entendant ça, me rebeller ou contester dire que ce n’était pas vrai, mais non au contraire je me mets à onduler en me cambrant légèrement jambes légèrement écartées comme pour m’offrir aux mains avides de mon corps. Je me retrouve entourée par les garçons et au moment où je reçois les premières mains sur mes formes, je tourne la tête vers Tony qui me sourit en clignant des yeux. Tout en dansant lascivement en fermant les yeux, je laisse les mains connues et inconnues glisser sur mes seins, mes hanches, mes fesses sur mon ventre et ma chatte qui, elle, est la plus convoitée. Quand je réouvre les yeux, Hugo et Alban se sont un peu reculés pour laisser les autres profiter de mes charmes, et parmi ce petit attroupement, je vois l’intérimaire avancer sa main sur ma poitrine et empaumer mon sein droit à moitié couvert du tissu de la robe. Loin d’être gênée de cette situation je lui souris et prends sa main dans la mienne et la guide sur mon sein, alors que son autre main vient de m’agripper une fesse qu’il se met en devoir de caresser et malaxer. Ses doigts ne tardent pas à s’insinuer dans ma raie et venir tester l’élasticité de mon œillet. Il s’approche un peu plus et tente de m’embrasser sur la bouche, je ne lui autorise qu’un simple smack alors que je fais glisser sa main vers ma chatte et l’abandonne une fois dessus, ses doigts l’explorent au travers du fin voile du collant, trouvent sans mal mon clito gonflé de désir puis entre en moi me fouillent avec frénésie il en est même un peu brusque. Il approche sa bouche de mon oreille et m’avoue :- Dès la première minute où je t’ai aperçue à ton boulot, j’ai rêvé de cet instant, si j’avais su que tu étais aussi salope, j’en aurai profité.
Il venait de lâcher ce mot « le boulot » qui me fit revenir à la réalité et du coup j’échafaudais des hypothèses et si il revenait un jour faire une autre mission intérimaire, qu’allait-il dire et comment se comporter ? De toute façon il était trop tard pour que je le repousse, il avait une main sur mon cul et l’autre sur ma chatte, je n’avais que m’en prendre qu’à moi-même sur d’éventuelles conséquences futures.
- Tu es entrain de tremper mes doigts !
Il n’avait pas besoin de le dire, je sentais ma chatte se liquéfier.
Hugo se glissa jusque dans mon dos ce qui provoqua la fuite des mains fureteuses, il me faisait sentir son érection contre mes fesses. Il empauma mes seins, qu'il caressa pendant que l'intérimaire m'astiquait toujours ma fentine de plus en plus dégoulinante, mes soupirs ne faisaient que confirmer du plaisir que je prenais.
- Tu te souviens de ce que tu nous as dit dans la voiture avant qu'on ne te baise ?
- Je vous ai dit que j'étais votre pute.
- Et quoi d'autres ?
- Que j'aimais être prise comme une salope, une chienne.
L'intérimaire tout à côté de moi, ne manquait pas une seule de mes paroles, et sa main sur ma chatte se fit bien plus ferme, comme pour me faire comprendre qu'il convenait de ce que je disais. Hugo me caressait ou plutôt malmenait toujours mes seins, me demanda :- Est ce que tu aimes sucer et avaler du foutre ?
- Tu l'as bien vu tout à l'heure que j'adore- Parfait car j'ai une putain d'envie de me faire sucer par une belle salope, allez viens suis moi aux chiottes !
Hugo m'entraina à sa suite en me tirant par la main, je traversais la piste de danse comme dans un brouillard, un sein et les fesses à l'air, je distinguais seulement des silhouettes dont certaines n'eurent aucune hésitation pour me passer leur main au cul. Hugo poussa la porte des toilettes donnant sur une pièce avec des lavabos, deux portes saloon de chaque côtés à gauche les dames à droite les messieurs, Hugo poussa les doubles portes battantes des messieurs. Sur la gauche l'urinoir occupant tout un pan de mur et une partie de l'autre faisant un L, à droite 3 portes de cabines. Hugo avança jusque vers le fond de la petite pièce et m'ordonna en appuyant sur mon épaule :- A genoux et suce moi !
Je m'exécutais, m'agenouillant sur le carrelage plus que douteux, Hugo fit glisser sa braguette, je l'aidais à sortir sa verge, non sans mal, tant elle était raide. Quatre mecs et l'intérimaire nous avaient suivis plus Tony et Alban, cela faisait du monde dans ces toilettes, sans compter trois gay qui se bécotaient et caressaient dans un autre coin de ce lieu pas si vaste que ça du coup. J'étais comme une autre, je me reconnaissais pas, mon excitation exacerbée faisait tomber toutes mes barrières, ma pudeur et ma raison était emportées. J'allais avoir de quoi raconter à Eric, lui qui m'avait dit comme par défi d'être "salope" je l'étais certainement bien au delà de ses espérances. Et sans me poser de question sur les intentions futures de mes trois compagnons de débauche, ma main entourait le mat vigoureux d'Hugo d'une douce caresse, ma bouche se posait sur le sommet du gland tout en le branlant lentement. Mes lèvres entrouvertes glissèrent sur la longueur de la tige jusqu'à ce que je rencontre mes doigts ma langue tournait autour, puis je remontais sur la tête de l'ogive avant de la renfourner au fond de ma gorge et entamer plusieurs aller retour plus rapidement. Hugo savourait en me tenant la tête pour imprimer la cadence, ces râles me le confirmaient. S’adressant au petit groupe il lança vulgairement :- Restez pas là comme des cons, sortez vos bites, caressez là cette salope après elle vous sucera aussi pour que vous lui balancez votre foutre à la gueule !
Ses paroles furent suivies d’effets immédiats, des mains disposèrent de ma poitrine toujours à demi dénudée, d’autres se bousculaient entre mes cuisses et sur mes fesses, les premières arrivées reçurent la preuve de mon excitation par quelques saccades de cyprine juste en m’effleurant mon intimité, pourtant je ne suis pas une femme fontaine, mais là je devais reconnaître que ça y ressemblait fortement. Tout en suçant Hugo, en fait il me baisait plus la bouche que ce que je le suçais, j’avais une bite dans chaque main que j’essayais de branler de mon mieux, mais pas assez bien selon eux qui m’invectivaient par des propos salaces de mieux m’appliquer.
- Oh putain, qu’est ce qu’elle mouille cette salope, elle vient de me tremper la main, comme si elle pissait ! Clama l’un de mes caresseurs.
Il ne mentait pas, car je commençais à sentir ma mouille venir baigner mes genoux s’ajoutant à la pellicule plus qu’humide recouvrant le carrelage à notre arrivée. Hugo ne pouvait plus tenir et se lâcha dans ma gorge en trois ou quatre jets puissants que j’avalais les uns à la suite des autres un râle guttural accompagna son éjaculation. Juste le temps de reprendre mon souffle qu’un autre prit sa place, alors qu’il y avait une petite bousculade pour profiter de ma bouche ou de ma main libre. Ceux qui ne pouvaient pas me peloter ou être branlés se masturbaient en attendant leur tour. Hugo participait de la voix à l’excitation générale en leur disant qu’ils ne voyaient pas le moment de me gicler dessus et de m’asperger le visage. Celui que je branlais cria qu’il allait venir, le temps que j’approche ma bouche il explosa m’arrosant copieusement la joue, mon épaule et mon sein gauche, ce qui entraina celui que j’avais en bouche à partir aussi, m’éclaboussant le palais et mes lèvres ! Ma bouche ne resta pas longtemps inoccupée, qu'une nouvelle bite forçait mes lèvres. Autour de moi les gars se branlaient tout en s'excitant les uns les autres avec des mots orduriers qu'ils me destinaient. Je commençais à avoir les genoux douloureux et je profitais d'un changement de place pour me mettre accroupie cuisses bien ouvertes, offrant ma chatte aux regards, à la façon de la salope que j'étais censée être. Je suçais l'intérimaire qui me maintenait par ma chevelure tout en me donnant la cadence, j'avalais son membre jusqu'à la garde, il appréciait en commentant jusqu'à finir par se vider copieusement dans ma bouche. Sans que je ne m'en rende compte, d'autres fêtards étaient venus s'ajouter à notre petit groupe initial, car je trouvais le cercle d'homme m'entourant copieusement garni.
Un des mecs du groupe, saisi d’une main mon visage pour le tourner vers lui, au moment où je reprenais ma respiration après une nombreuse succession d’aller-retour sur la queue que je suçais, et déchargea sa semence sur mon visage dans un râle de satisfaction. Celui que je suçais qui n’était pas loin de venir, s’épancha aussitôt sur et dans ma bouche entrouverte en guidant sa bite de sa main s'appliquant de barbouiller mes joues et le pourtour de mes lèvres, ajoutant sa liqueur à celle du précédent, faisant gouter le sperme de mon menton sur le haut de mon buste. J’en branlais deux de chaque main, et un autre profitant du retrait de celui qui venait d’éjaculer pour laisser sa place, bouscula un peu celui que je tenais dans ma main droite pour poser son gland sur mon sein recouvert partiellement par la robe et juta abondamment dessus maculant copieusement le fin tissu recouvrant mon sein. Comme si de rien n’était, j’en reprenais un autre en bouche qui ne tenu pas longtemps m’éclaboussant le palais de trois saccades juteuses. Pendant que je suçais, les mains se succédaient entre mes cuisses et sur mes fesses, me caressant plus ou moins agréablement. Un maladroit se déversa sur ma cuisse maculant les mailles du collant de trainées douteuses, un autre visa plus ou moins adroitement mon sein dénudé et les deux que je branlais m’arrosèrent copieusement le visage. Deux ou trois demandèrent s’ils pouvaient me baiser, ceux à quoi répondit Tony qu’il pouvait s’estimer heureux de s’être fait sucer.
J’allais dans la partie commune des toilettes où se trouvaient les lavabos et le miroir, je constatais l’ampleur des dégâts, mon visage maculé de sperme, ma robe constellée de tâches séminales, sans parler de la partie de la robe couvrant moi sein droit plus qu’amidonnée. J’enlevais de la main toute cette substance gluante, pas d’essuies mains papier dans les toilettes juste un souffleur d’air chaud, un coup d’eau sur mon visage faisait disparaître toute trace de stupre, mais le tissu de ma robe et mon collant eux allaient garder de sérieuses auréoles de mon moment de dépravation. En bonne fille obéissante je me rappelais de la volonté de Tony de ce que ma robe dévoile le bas de mes fesses, je rajustais la robe au dessus de ma poitrine et refaisais le revers au niveau de ma taille, un bref passage de mes doigts au bas des fesses pour constater que j'avais été généreuse sur le pli du revers, me provoqua un délicieux picotement au creux de mon ventre, tout compte fait ça m'excité de me dévoiler.
- Je voudrai bien te faire ce plaisir, mais tu as remarqué que la coupe de ma robe est asymétrique et que le coté droit est plus long que le gauche, donc ça va pas le faire.
- Tu ne veux pas essayer quand même ?
- Et ça t'excite tant que ça que je montre le bas de mes fesses ?
- Oui beaucoup, c'est très sexy.
- Bon, allez, je vais te faire plaisir alors.
Tony m'embrassa avec l'empressement d'un ado, tout en me remerciant plusieurs fois.
Nous arrivions sur le parking de cette boite quasiment complet, Alban trouva une place assez loin de l'entrée, ce qui était très bien pour essuyer avec un mouchoir en papier les fuites de mon entrejambe, puisqu'il n'y avait personne à proximité. Je faisais un revers à ma robe au niveau de la taille, en passant les doigts au niveau de l'ourlet je constatais que le bas de ma fesse gauche était découvert, en avançant le long de l'ourlet avec mon doigt c'est le bas du sillon fessier qui se découvrait avec un tout petit bout de la fesses droite ensuite plus vers la droite cela devenait plus raisonnable. Je tournais sur moi même en demandant à Tony s'il était satisfait du résultat, ce qu'il confirma en me prenant dans ses bars pour m'embrasser et me murmura à l'oreille que j'étais hyper bandante. En enfilant mon manteau, mes doigts passèrent sur le devant de la robe et là j'eu un petit frisson d'excitation l'ourlet de la robe était au ras de ma chatte. Je ne me reconnaissais pas, au lieu d'avoir de la gène ou de la honte cela m'émoustillait les sens. En marchant sur les quelques dizaines de mètres nous séparant de l'entrée de la boite, je pensais à Eric, est ce qu'il dormait ou pensait à ce que je pouvais bien faire, il m'avait juste incitée à cette aventure, même sil il m'avait dit d'être "salope", il ne m'avait pas obligée de baiser avec les trois copains, c'est moi qui en avait eu envie et pris du plaisir à le faire... l'arrivée devant la porte d'entrée de la boite me sortie de mes interrogations. On entra, les garçons discutèrent un tout petit instant avec le portier qui finalement nous dispensa de payer l'entrée, je donnais au vestiaire manteau et sac à mains, les garçons leurs vestes et on se dirigea vers le comptoir. Il y avait du monde, on dû se frayer un passage jusqu'au bar. Visiblement l'assemblée était plus masculine que féminine, je sentais les regards sur moi, faut dire que la fraicheur extérieure associée à mon excitation tendaient mes tétons qui déformaient le fin tissu de ma robe. Je remarquais que pour suivre mes compères devant moi, je devais plus me frotter aux corps de la foule que mes accompagnateurs et même quelques mains anonymes flattaient ma croupe mes cuisses ou mon ventre. Au comptoir Alban commanda quatre shooters, que je dû avaler d'un trait comme les trois garçons.
Le son techno envahissait la salle, et à nouveau on dû se faufiler entre les groupes de personnes pour rejoindre la piste de danse bondée comme le reste de la boite. Je me trémoussais sur la syncopé techno, ou plutôt ballottée par les autres danseurs, les corps se touchaient d'un coup de hanche ou d'épaule, un bras heurtant le dos, tous les danseurs étaient à la même enseigne. Tony se colla contre mon dos, me tenant par les hanches, je frottais mon fessier contre son bas ventre et sa belle raideur prenait forme, une main remonta sur la poitrine et empauma mon sein. Son index et son majeur tendu emprisonnaient mon téton érigé le pinçant à la façon d'un ciseau, il déposait de petit bisous sur mon cou, alors que Hugo venait d'appliquer sa main sur mon pubis ses doigts venant titiller mon clito, instant que ne manquèrent pas les danseurs voisins.
Aucun ne pouvait ignorer l'état de mon excitation, et si mes tétons pointaient à en percer le fin tissu cette fois ce n'était plus le froid qui en était la cause, mais bien mon excitation. Je n'avais aucune honte vis à vis de tous ceux qui me regardaient, me frotter effrontément à l'homme dans mon dos et me laisser caresser intimement, au contraire cela décuplait mon excitation et j'y prenais du plaisir de voir qu'on me regardait. Je me tournais pour enlacer Tony et l'embrasser fiévreusement. Les mains de Tony massaient mes fesses et j'espérais qu'il ne retrousse pas un peu plus ma robe, c'est à ce moment là que j'aperçu entre deux têtes le visage d'un jeune intérimaire qui était venu assurer un remplacement dans l'entreprise pour laquelle je travaille et c'est moi qui l'avais reçu et ensuite lui avais signé son bon de présence, si je l'avais reconnu, il en devait être de même pour lui. J'en fis part à Tony qui me répondit, que si ça se trouve je ne le recroiserai jamais au boulot. Le baiser qui s'en suivit et les caresses conjointes sur mes fesses et mon sein déclenchèrent de délicieux picotements dans ma poitrine et mon ventre et je décidais de savourer ces instants présents à venir.
L'ambiance dans la boite devenait de plus en plus chaude, deux mecs, à coup sur gay, se retrouvaient en boxer et se frottaient très sensuellement. Le DJ saisi l'occasion pour annoncer que 2018 allait être hyper "caliente" et incita les filles à se mettre topless et à danser sexy sur les morceaux hot à venir. Pas loin de nous j'apercevais deux filles qui s'embrassaient tout en se caressant au milieu d'un petit cercle formé par les garçons qui les encourageaient, chacune fit glisser le haut de l'autre et elles se retrouvèrent rapidement tétons contre tétons sous les approbations de leurs admirateurs. Le DJ exhortait encore les filles à danser seins nus en ce premier de l'an d'une année qu'il prédisait érotisante, seule une autre fille venait d'ouvrir son chemisier offrant au regard un bien joli soutien gorge. Je ne sais toujours pas ce qui me poussa à baisser le haut de ma petite robe, peut être mon esprit embrumé de vapeur d'alcool ajouté à mon état d'excitation, je venais de m'ajouter au petit nombre des filles topless. La coupe de ma robe asymétrique laissant l'épaule et le bras gauche nus alors que le côté droit était fait d'une manche courte dont l'épaulement s'arrêtait à l'articulation, le tissu malgré une certaine élasticité ne me permettait pas de dévoiler mon sein droit entièrement. Je ne dévoilais donc à demi ma poitrine et lorsque je me remis de dos contre Tony, aux yeux arrondis de ceux qui m'entouraient, je faisais mon effet !
Tony était tout contre moi, je sentais son sexe tendu contre mes fesses, je dois avouer que j'avais une certaine fierté d'être la cause de cet effet, j'ondulais du bassin pour masser sa tige avec mon fessier, mon excitation n'en était qu'accentuée et je devais le reconnaitre j'avais envie de bien plus ! Les mains de Tony m'enlaçaient, elles ne restèrent pas longtemps sur mon ventre, une remonta sur mon sein dénudé, le prenant en coupe le pouce agaçant délicieusement mon téton pointant effrontément, puis il s'amusa à me le pincer et le rouler entre deux doigts. J'avais ma nuque sur son épaule, lui, son menton sur la mienne et il pouvait m'entendre ronronner comme une chatte. IL me susurra à l'oreille :- Tu aimes ?
Et moi d'une voix rauque je lui répondis :- Oui, c'est bon continues.
- Tu aimes te faire caresser, hein cochonne ?
- Oui, j'adore ça.
- Des mains partout sur toi, tes seins, ta chatte, ton cul.
- Huumm oui !
Son autre main glissa lentement vers le bas de mon ventre, les doigts épousant mon pubis durant une poignée de secondes. Tout à mon plaisir je soupirai "oui encore". Le bout de ses doigts crocheta le bas de ma courte robe et le fit remonter sur mon bassin offrant aux regards le petit triangle de ma toison à peine voilé par le collant. Je ne faisais rien pour l'en empêcher je lui dis seulement "tu es fous" !
Il passe ses doigts entre mes cuisses, me caresse lentement en s’attardant sur mon bouton et il me souffle à l’oreille :- Salope, tu as envie de te faire caresser et baiser t’es toute trempée !
Sans attendre ma réponse, il me pousse en avant vers Hugo et Alban et trois ou quatre mecs qui dansaient sans me lâcher des yeux, en disant assez fort pour couvrir la musique :- Profitez-en, cette chienne a très envie d’être caressée !
J’aurai dû, en entendant ça, me rebeller ou contester dire que ce n’était pas vrai, mais non au contraire je me mets à onduler en me cambrant légèrement jambes légèrement écartées comme pour m’offrir aux mains avides de mon corps. Je me retrouve entourée par les garçons et au moment où je reçois les premières mains sur mes formes, je tourne la tête vers Tony qui me sourit en clignant des yeux. Tout en dansant lascivement en fermant les yeux, je laisse les mains connues et inconnues glisser sur mes seins, mes hanches, mes fesses sur mon ventre et ma chatte qui, elle, est la plus convoitée. Quand je réouvre les yeux, Hugo et Alban se sont un peu reculés pour laisser les autres profiter de mes charmes, et parmi ce petit attroupement, je vois l’intérimaire avancer sa main sur ma poitrine et empaumer mon sein droit à moitié couvert du tissu de la robe. Loin d’être gênée de cette situation je lui souris et prends sa main dans la mienne et la guide sur mon sein, alors que son autre main vient de m’agripper une fesse qu’il se met en devoir de caresser et malaxer. Ses doigts ne tardent pas à s’insinuer dans ma raie et venir tester l’élasticité de mon œillet. Il s’approche un peu plus et tente de m’embrasser sur la bouche, je ne lui autorise qu’un simple smack alors que je fais glisser sa main vers ma chatte et l’abandonne une fois dessus, ses doigts l’explorent au travers du fin voile du collant, trouvent sans mal mon clito gonflé de désir puis entre en moi me fouillent avec frénésie il en est même un peu brusque. Il approche sa bouche de mon oreille et m’avoue :- Dès la première minute où je t’ai aperçue à ton boulot, j’ai rêvé de cet instant, si j’avais su que tu étais aussi salope, j’en aurai profité.
Il venait de lâcher ce mot « le boulot » qui me fit revenir à la réalité et du coup j’échafaudais des hypothèses et si il revenait un jour faire une autre mission intérimaire, qu’allait-il dire et comment se comporter ? De toute façon il était trop tard pour que je le repousse, il avait une main sur mon cul et l’autre sur ma chatte, je n’avais que m’en prendre qu’à moi-même sur d’éventuelles conséquences futures.
- Tu es entrain de tremper mes doigts !
Il n’avait pas besoin de le dire, je sentais ma chatte se liquéfier.
Hugo se glissa jusque dans mon dos ce qui provoqua la fuite des mains fureteuses, il me faisait sentir son érection contre mes fesses. Il empauma mes seins, qu'il caressa pendant que l'intérimaire m'astiquait toujours ma fentine de plus en plus dégoulinante, mes soupirs ne faisaient que confirmer du plaisir que je prenais.
- Tu te souviens de ce que tu nous as dit dans la voiture avant qu'on ne te baise ?
- Je vous ai dit que j'étais votre pute.
- Et quoi d'autres ?
- Que j'aimais être prise comme une salope, une chienne.
L'intérimaire tout à côté de moi, ne manquait pas une seule de mes paroles, et sa main sur ma chatte se fit bien plus ferme, comme pour me faire comprendre qu'il convenait de ce que je disais. Hugo me caressait ou plutôt malmenait toujours mes seins, me demanda :- Est ce que tu aimes sucer et avaler du foutre ?
- Tu l'as bien vu tout à l'heure que j'adore- Parfait car j'ai une putain d'envie de me faire sucer par une belle salope, allez viens suis moi aux chiottes !
Hugo m'entraina à sa suite en me tirant par la main, je traversais la piste de danse comme dans un brouillard, un sein et les fesses à l'air, je distinguais seulement des silhouettes dont certaines n'eurent aucune hésitation pour me passer leur main au cul. Hugo poussa la porte des toilettes donnant sur une pièce avec des lavabos, deux portes saloon de chaque côtés à gauche les dames à droite les messieurs, Hugo poussa les doubles portes battantes des messieurs. Sur la gauche l'urinoir occupant tout un pan de mur et une partie de l'autre faisant un L, à droite 3 portes de cabines. Hugo avança jusque vers le fond de la petite pièce et m'ordonna en appuyant sur mon épaule :- A genoux et suce moi !
Je m'exécutais, m'agenouillant sur le carrelage plus que douteux, Hugo fit glisser sa braguette, je l'aidais à sortir sa verge, non sans mal, tant elle était raide. Quatre mecs et l'intérimaire nous avaient suivis plus Tony et Alban, cela faisait du monde dans ces toilettes, sans compter trois gay qui se bécotaient et caressaient dans un autre coin de ce lieu pas si vaste que ça du coup. J'étais comme une autre, je me reconnaissais pas, mon excitation exacerbée faisait tomber toutes mes barrières, ma pudeur et ma raison était emportées. J'allais avoir de quoi raconter à Eric, lui qui m'avait dit comme par défi d'être "salope" je l'étais certainement bien au delà de ses espérances. Et sans me poser de question sur les intentions futures de mes trois compagnons de débauche, ma main entourait le mat vigoureux d'Hugo d'une douce caresse, ma bouche se posait sur le sommet du gland tout en le branlant lentement. Mes lèvres entrouvertes glissèrent sur la longueur de la tige jusqu'à ce que je rencontre mes doigts ma langue tournait autour, puis je remontais sur la tête de l'ogive avant de la renfourner au fond de ma gorge et entamer plusieurs aller retour plus rapidement. Hugo savourait en me tenant la tête pour imprimer la cadence, ces râles me le confirmaient. S’adressant au petit groupe il lança vulgairement :- Restez pas là comme des cons, sortez vos bites, caressez là cette salope après elle vous sucera aussi pour que vous lui balancez votre foutre à la gueule !
Ses paroles furent suivies d’effets immédiats, des mains disposèrent de ma poitrine toujours à demi dénudée, d’autres se bousculaient entre mes cuisses et sur mes fesses, les premières arrivées reçurent la preuve de mon excitation par quelques saccades de cyprine juste en m’effleurant mon intimité, pourtant je ne suis pas une femme fontaine, mais là je devais reconnaître que ça y ressemblait fortement. Tout en suçant Hugo, en fait il me baisait plus la bouche que ce que je le suçais, j’avais une bite dans chaque main que j’essayais de branler de mon mieux, mais pas assez bien selon eux qui m’invectivaient par des propos salaces de mieux m’appliquer.
- Oh putain, qu’est ce qu’elle mouille cette salope, elle vient de me tremper la main, comme si elle pissait ! Clama l’un de mes caresseurs.
Il ne mentait pas, car je commençais à sentir ma mouille venir baigner mes genoux s’ajoutant à la pellicule plus qu’humide recouvrant le carrelage à notre arrivée. Hugo ne pouvait plus tenir et se lâcha dans ma gorge en trois ou quatre jets puissants que j’avalais les uns à la suite des autres un râle guttural accompagna son éjaculation. Juste le temps de reprendre mon souffle qu’un autre prit sa place, alors qu’il y avait une petite bousculade pour profiter de ma bouche ou de ma main libre. Ceux qui ne pouvaient pas me peloter ou être branlés se masturbaient en attendant leur tour. Hugo participait de la voix à l’excitation générale en leur disant qu’ils ne voyaient pas le moment de me gicler dessus et de m’asperger le visage. Celui que je branlais cria qu’il allait venir, le temps que j’approche ma bouche il explosa m’arrosant copieusement la joue, mon épaule et mon sein gauche, ce qui entraina celui que j’avais en bouche à partir aussi, m’éclaboussant le palais et mes lèvres ! Ma bouche ne resta pas longtemps inoccupée, qu'une nouvelle bite forçait mes lèvres. Autour de moi les gars se branlaient tout en s'excitant les uns les autres avec des mots orduriers qu'ils me destinaient. Je commençais à avoir les genoux douloureux et je profitais d'un changement de place pour me mettre accroupie cuisses bien ouvertes, offrant ma chatte aux regards, à la façon de la salope que j'étais censée être. Je suçais l'intérimaire qui me maintenait par ma chevelure tout en me donnant la cadence, j'avalais son membre jusqu'à la garde, il appréciait en commentant jusqu'à finir par se vider copieusement dans ma bouche. Sans que je ne m'en rende compte, d'autres fêtards étaient venus s'ajouter à notre petit groupe initial, car je trouvais le cercle d'homme m'entourant copieusement garni.
Un des mecs du groupe, saisi d’une main mon visage pour le tourner vers lui, au moment où je reprenais ma respiration après une nombreuse succession d’aller-retour sur la queue que je suçais, et déchargea sa semence sur mon visage dans un râle de satisfaction. Celui que je suçais qui n’était pas loin de venir, s’épancha aussitôt sur et dans ma bouche entrouverte en guidant sa bite de sa main s'appliquant de barbouiller mes joues et le pourtour de mes lèvres, ajoutant sa liqueur à celle du précédent, faisant gouter le sperme de mon menton sur le haut de mon buste. J’en branlais deux de chaque main, et un autre profitant du retrait de celui qui venait d’éjaculer pour laisser sa place, bouscula un peu celui que je tenais dans ma main droite pour poser son gland sur mon sein recouvert partiellement par la robe et juta abondamment dessus maculant copieusement le fin tissu recouvrant mon sein. Comme si de rien n’était, j’en reprenais un autre en bouche qui ne tenu pas longtemps m’éclaboussant le palais de trois saccades juteuses. Pendant que je suçais, les mains se succédaient entre mes cuisses et sur mes fesses, me caressant plus ou moins agréablement. Un maladroit se déversa sur ma cuisse maculant les mailles du collant de trainées douteuses, un autre visa plus ou moins adroitement mon sein dénudé et les deux que je branlais m’arrosèrent copieusement le visage. Deux ou trois demandèrent s’ils pouvaient me baiser, ceux à quoi répondit Tony qu’il pouvait s’estimer heureux de s’être fait sucer.
J’allais dans la partie commune des toilettes où se trouvaient les lavabos et le miroir, je constatais l’ampleur des dégâts, mon visage maculé de sperme, ma robe constellée de tâches séminales, sans parler de la partie de la robe couvrant moi sein droit plus qu’amidonnée. J’enlevais de la main toute cette substance gluante, pas d’essuies mains papier dans les toilettes juste un souffleur d’air chaud, un coup d’eau sur mon visage faisait disparaître toute trace de stupre, mais le tissu de ma robe et mon collant eux allaient garder de sérieuses auréoles de mon moment de dépravation. En bonne fille obéissante je me rappelais de la volonté de Tony de ce que ma robe dévoile le bas de mes fesses, je rajustais la robe au dessus de ma poitrine et refaisais le revers au niveau de ma taille, un bref passage de mes doigts au bas des fesses pour constater que j'avais été généreuse sur le pli du revers, me provoqua un délicieux picotement au creux de mon ventre, tout compte fait ça m'excité de me dévoiler.
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