Abdel un amant magnifique
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Abdel un amant magnifique
Voilà déjà quelque temps que Rémi est parti s’installer chez Tim. Me laissant seul la plupart du temps, dévasté.
Bien sûr, il me reste Paulo. Ce qui est déjà énorme. Et une chance inouïe. Mais Paulo n’est pas souvent là…Il court le monde pour son boulot de top…Par peur du vide, j’ai renoué des contacts avec des anciens amis/amants, comme Ali et Slimane. Et puis, j’ai eu la chance de rencontrer Abdel.
Abdel, solaire, rayonnant, chaleureux…Un bijou. Abdel qui cherche à s’émanciper de sa famille en s’appuyant – pourquoi pas – sur nous.
Abdel qui prit, très vite, une place importante dans ma vie, dans notre vie à Paulo et à moi. Dès qu’il finissait son boulot – et moi le mien -, on se retrouvait pour courir, nager, marcher, rouler en vélo, aller au ciné…Puis, il reprit la fac et arrêta son boulot. On passa ainsi toute la fin de l’automne et le début de l’hiver. Abdel est d’abord un mec qui aime le sport. Mais pas le sport pour la compèt. Le sport pour être bien dans son corps et dans sa tête. Mais qui ne crache pas non plus sur tous les plaisirs que la vie peut offrir. Ainsi, combien de fois nous est il arrivé de faire l’amour en pleine nature au cours de nos sorties vélo, marche ou jogging ? Abdel disait même que je lui avais inoculé ce virus : l’amour en pleine nature ! Hé ! Il avait pas fallu le pousser non plus beaucoup, hein… Bien évidemment, le sexe y occupe une place de choix. Il est à l’âge où on démarre au quart de tour. Toujours prêt ! Toujours raide ! En amour, il est comme dans la vie. Attentif aux autres, généreux, pas macho pour un sou, curieux de tout, prêt à beaucoup de découvertes.
Très souvent, après le jogging ou la piscine, on se retrouvait à l’appart pour quelques heures d’étreintes passionnées. Je ne me lassais pas de son jeune corps ferme, finement sculpté. De sa bite, de son cul, de ses baisers, de ses caresses, de ses rires…Au fil des jours et des semaines, il prit le pli de passer de plus en plus souvent la nuit entière avec moi, pour notre plus grand plaisir. Cela nous permettait de baiser – pardon, de faire l’amour -, plusieurs fois par nuit. Au gré de nos réveils et de nos envies.
Cela n’allait pas sans poser problème avec sa mère – son père est parti depuis longtemps -. Il découchait ? Avec sa copine alors ? Et donc elle ne serait plus vierge arrivée au mariage ? Aïe, aïe, aïe ! Abdel avait commencé un gros travail de…sensibilisation. Mais, comme il me disait parfois, les mères c’est comme les enfants, ça sent beaucoup de choses sans qu’on leur explique.
Abdel a, comme Rémi, beaucoup de savoir vivre. Ainsi, quand Paulo revenait à l’improviste – comme toujours – et qu’il se trouvait avec moi à l’appart à ce moment là, il nous proposait toujours de s’éclipser pour nous laisser nous retrouver. A chaque fois, c’est Paulo qui insistait – non sans arrière pensée – pour qu’il reste…Je dois admettre que, très vite, j’ai adoré faire l’amour avec Abdel. Au moins autant qu’avec Rémi, si ce n’est plus. J’adorais me glisser entre ses fesses ou entre ses cuisses. J’étais super bien dans son ventre chaux et doux. Et lui participait activement et bruyamment. Il réagissait à tout, avec force. On sentait qu’il aimait ça le sexe. J’adorais aussi les façons dont il me prenait. Pas d’habitude, pas de routine, de l’inventivité, de la douceur ou de la rudesse… Un amant magnifique.
C’est lui aussi lui qui me fit connaître la salle de sport. Son univers clean, techno, ses appareils de torture mais aussi ses beaux garçons qui venaient parfaire leurs corps déjà parfaits.
Un autre soir, à la maison, on s’était couché relativement tôt car on avait trop envie l’un de l’autre. On s’était câliné, caressé, sucé, doigté à n’en plus finir et, depuis un bon moment déjà je limais frénétiquement Abdel. Je le secouais dans toutes les positions possibles et imaginables. J’alternais avec des périodes où je le limais doucement, profondément. Et c’est alors que, sans crier gare, il se mit à jouir du cul. Un orgasme prostatique, quoi. C’était la première fois que ça lui arrivait. Il n’en avait même jamais entendu parler. Il se mit à hurler littéralement de plaisir, parcouru par des ondes multiples et violentes. Il tressautait littéralement. Cela me fit jouir instantanément en lui. Cumulant ainsi les sensations extrêmes. Quand on fut un peu retombé, il me demanda :« -Qu’est ce qui m’est arrivé ? J’ai jamais rien senti d’aussi fort…-Comme on dit vulgairement, tu as « joui du cul ». En science, on dit « orgasme prostatique »-MERCI de m’avoir fait connaîte CA ! Et ça vient comment ?
-Je sais pas trop mais Rémi aurait pu t’en dire plus là dessus… »Avec Abdel, il nous est arrivé pas mal de fois d’avoir tellement envie l’un de l’autre, du corps de l’autre, que ça ne pouvait absolument plus attendre. Souvent c’est quand on était en voiture. Il fallait alors trouver, de toute urgence, un endroit tranquille – ce qui n’est pas toujours évident là où on habite -. Combien de fois, on s’est fait surprendre par des gens - des randonneurs ? – qui passaient le long de la voiture dans laquelle on s’ébattait… Ils en étaient plus gênés que nous, d’ailleurs car, très vite, Abdel prit goût à l’exhibitionnisme. Comme moi, ça l’excitait. Mais on ne le recherchait pas non plus systématiquement. C’est comme ça se trouvait. Très souvent aussi, c’était à l’appart. A peine entrés, on se jetait l’un sur l’autre, affamés qu’on était l’un de l’autre. Combien de fois Abdel m’a pris sur la table de la cuisine ou assis sur le plan de travail ? Je ne saurai le dire. Des jeunes fous. Il faut dire aussi que Abdel avait pris très rapidement les habitudes de l’appart, à savoir se balader sans arrêt en slips. Du coup, bien évidemment, il y avait peu de choses à enlever quand on s’était excité mutuellement et que l’envie nous prenait de baiser. Se voir ainsi presque nus en permanence rajoutait bien sûr à notre excitation quasi permanente.
Souvent, pendant les repas, avec ou sans Paulo, on partait dans de grandes discussions sur …le sexe, bien sûr ! On a ainsi balayé pas mal de sujets liés à ça. On s’est aperçu, qu’en fait, ça nous permettait de clarifier nos idées sur certains points. Abdel revenait très souvent sur le sujet de l’exhibitionnisme. Apparemment, ça avait été une découverte pour lui. Il n’avait pas imaginé que ça pouvait l’exciter autant de se savoir épié. Il avait aussi découvert qu’il était aussi accro à son pendant, le côté voyeur. Il pouvait rester un temps infini à regarder, par la fenêtre, Paul et Fabrice s’envoyer en l’air dans l’appart d’en face. Ca le bouleversait. Très souvent, quand je le voyais ainsi, je me glissais derrière lui, je me collais à lui, lui caressait le paquet par-dessus son slip et lui chuchotait à l’oreille :« -Ca t’excite, hein ?
-…OUI ! A fond ! »Une autre fois, on invita même Paul et Fabrice à venir partager notre nuit avec nous. Je dois dire que ce fut épique et mémorable. Ce fut à la demande d’Abdel. A force d’étaler son corps dans tous ses ébats à leur vue, il eut l’envie de les voir de plus près…Bien évidemment, il savait ce que cette invitation supposait et comment elle finirait…Nos deux compères étaient ravis de ce nouvel amant très craquant. Ils amenèrent avec eux moult bouteilles de champagne – pour fêter ça, dirent-ils -. Comme toujours, ils se montrèrent parfaitement à la hauteur de cette partie carrée. Ils se prêtèrent, de bonne grâce, à toutes les demandes coquines d’Abdel qui me surprit beaucoup sur ce coup là. Il était d’une imagination débordante et fiévreuse. Il s’était érigé en maître de cérémonie, ce qui ne dérangeait personne, bien au contraire ! Tout y passa. Les différents godes – qu’on avait très peu utilisés avec lui mais qui étaient bien en évidence sur la cheminée -, l’anneau vibrant de Paulo – sa « love technology » -, les liens, les masques….Il avait du faire – discrètement - avant, l’inventaire de ce qu’il y avait dans les tables de nuit. Au cours de cette nuit, il sut se contrôler presque jusqu’à la fin. Mais ça ne l’empêcha pas de nous gicler dessus à nouveau moins d’une demi - heure plus tard, nous régalant à la ronde.
Les retours de Paulo, c’était quelque chose ! Toujours inopinés et non annoncés. Pas pour nous surprendre. Simplement qu’avec son agenda surbooké, c’étai toujours de la dernière minute et des petits créneaux de disponibilité. De toute manière, Paulo savait très bien ce qu’il allait trouver en arrivant. Il préférait même ainsi. C’était mieux pour moi disait-il. Cet arrangement surprenait beaucoup de monde. Mais, bon, chacun sa vie, hein… Bien sûr, les premiers instants, la première étreinte c’était toujours Paulo et moi. Mais pas que. Paulo trouvait toujours un petit temps pour une caresse, un bisou à Abdel. Souvent, Abdel s’éclipsait mais pas toujours. Parfois, Paulo lui demandait de rester… Il n’y avait pas de règle établie. C’était à l’inspiration du moment, à l’envie.
Ainsi, il nous est arrivé de baiser direct à trois dans des configurations acrobatiques. A d’autres retours, c’était terriblement romantique. Vraiment selon l’humeur du moment. J’aimais aussi beaucoup voir Paulo faire l’amour avec Rémi ou avec Abdel – ou l’inverse - et être à côté d’eux, juste à côté et les caresser de temps en temps ou les exciter encore plus de mes dix doigts. Voir la belle bite gonflée de Paulo glisser entre les fesses d’Abdel, ressortir, se réengloutir dans un mouvement parfaitement huilé. Super excitant ! Je photographiais ça en très gros plan. J’aimais aussi leur parler à ce moment là. Leur dire des mots crus, chauds, hards. Ca m’excitait et eux aussi.
Ce qu’Abdel a « découvert » aussi avec nous – c’est lui-même qui nous l’a dit -, c’est la puissance érotique de la douche. Jusqu’alors, sous la douche, il se lavait, parfois il se touchait ou se caressait . Mais, d’être à plusieurs dessous, ça changeait tout. La sensualité des corps qui se cherchent, qui se frottent sous l’eau chaude ruisselante, les caresses appuyées, les fellations torrides, jusqu’à la sodomie complète, toujours sous l’eau ruisselante. Quel pied ! Combien de fois on a conclu, rien que sous la douche. Sans avoir le temps d’aller dans le lit, emportés par notre désir.
Ce qu’il aimait aussi par-dessus tout – tout comme moi, d’ailleurs -, c’était s’endormir dans la foulée de nos ébats, tels qu’on avait fini. En sueur, pleins de sperme, souvent encore enchassés l’un dans l’autre…Et de se réveiller quelques temps plus tard et de se découvrir ainsi enlacés. Trop mignon ! Il aimait aussi me lutiner alors que j’étais encore endormi, en essayant de me réveiller le plus tard possible - Rémi adorait ça aussi -. Il essayait alors de pousser « le bouchon » - en l’occurrence sa bite – le plus loin possible sans me réveiller. C’était aussi pour lui un exercice de self control intéressant.
Bien sûr, il me reste Paulo. Ce qui est déjà énorme. Et une chance inouïe. Mais Paulo n’est pas souvent là…Il court le monde pour son boulot de top…Par peur du vide, j’ai renoué des contacts avec des anciens amis/amants, comme Ali et Slimane. Et puis, j’ai eu la chance de rencontrer Abdel.
Abdel, solaire, rayonnant, chaleureux…Un bijou. Abdel qui cherche à s’émanciper de sa famille en s’appuyant – pourquoi pas – sur nous.
Abdel qui prit, très vite, une place importante dans ma vie, dans notre vie à Paulo et à moi. Dès qu’il finissait son boulot – et moi le mien -, on se retrouvait pour courir, nager, marcher, rouler en vélo, aller au ciné…Puis, il reprit la fac et arrêta son boulot. On passa ainsi toute la fin de l’automne et le début de l’hiver. Abdel est d’abord un mec qui aime le sport. Mais pas le sport pour la compèt. Le sport pour être bien dans son corps et dans sa tête. Mais qui ne crache pas non plus sur tous les plaisirs que la vie peut offrir. Ainsi, combien de fois nous est il arrivé de faire l’amour en pleine nature au cours de nos sorties vélo, marche ou jogging ? Abdel disait même que je lui avais inoculé ce virus : l’amour en pleine nature ! Hé ! Il avait pas fallu le pousser non plus beaucoup, hein… Bien évidemment, le sexe y occupe une place de choix. Il est à l’âge où on démarre au quart de tour. Toujours prêt ! Toujours raide ! En amour, il est comme dans la vie. Attentif aux autres, généreux, pas macho pour un sou, curieux de tout, prêt à beaucoup de découvertes.
Très souvent, après le jogging ou la piscine, on se retrouvait à l’appart pour quelques heures d’étreintes passionnées. Je ne me lassais pas de son jeune corps ferme, finement sculpté. De sa bite, de son cul, de ses baisers, de ses caresses, de ses rires…Au fil des jours et des semaines, il prit le pli de passer de plus en plus souvent la nuit entière avec moi, pour notre plus grand plaisir. Cela nous permettait de baiser – pardon, de faire l’amour -, plusieurs fois par nuit. Au gré de nos réveils et de nos envies.
Cela n’allait pas sans poser problème avec sa mère – son père est parti depuis longtemps -. Il découchait ? Avec sa copine alors ? Et donc elle ne serait plus vierge arrivée au mariage ? Aïe, aïe, aïe ! Abdel avait commencé un gros travail de…sensibilisation. Mais, comme il me disait parfois, les mères c’est comme les enfants, ça sent beaucoup de choses sans qu’on leur explique.
Abdel a, comme Rémi, beaucoup de savoir vivre. Ainsi, quand Paulo revenait à l’improviste – comme toujours – et qu’il se trouvait avec moi à l’appart à ce moment là, il nous proposait toujours de s’éclipser pour nous laisser nous retrouver. A chaque fois, c’est Paulo qui insistait – non sans arrière pensée – pour qu’il reste…Je dois admettre que, très vite, j’ai adoré faire l’amour avec Abdel. Au moins autant qu’avec Rémi, si ce n’est plus. J’adorais me glisser entre ses fesses ou entre ses cuisses. J’étais super bien dans son ventre chaux et doux. Et lui participait activement et bruyamment. Il réagissait à tout, avec force. On sentait qu’il aimait ça le sexe. J’adorais aussi les façons dont il me prenait. Pas d’habitude, pas de routine, de l’inventivité, de la douceur ou de la rudesse… Un amant magnifique.
C’est lui aussi lui qui me fit connaître la salle de sport. Son univers clean, techno, ses appareils de torture mais aussi ses beaux garçons qui venaient parfaire leurs corps déjà parfaits.
Un autre soir, à la maison, on s’était couché relativement tôt car on avait trop envie l’un de l’autre. On s’était câliné, caressé, sucé, doigté à n’en plus finir et, depuis un bon moment déjà je limais frénétiquement Abdel. Je le secouais dans toutes les positions possibles et imaginables. J’alternais avec des périodes où je le limais doucement, profondément. Et c’est alors que, sans crier gare, il se mit à jouir du cul. Un orgasme prostatique, quoi. C’était la première fois que ça lui arrivait. Il n’en avait même jamais entendu parler. Il se mit à hurler littéralement de plaisir, parcouru par des ondes multiples et violentes. Il tressautait littéralement. Cela me fit jouir instantanément en lui. Cumulant ainsi les sensations extrêmes. Quand on fut un peu retombé, il me demanda :« -Qu’est ce qui m’est arrivé ? J’ai jamais rien senti d’aussi fort…-Comme on dit vulgairement, tu as « joui du cul ». En science, on dit « orgasme prostatique »-MERCI de m’avoir fait connaîte CA ! Et ça vient comment ?
-Je sais pas trop mais Rémi aurait pu t’en dire plus là dessus… »Avec Abdel, il nous est arrivé pas mal de fois d’avoir tellement envie l’un de l’autre, du corps de l’autre, que ça ne pouvait absolument plus attendre. Souvent c’est quand on était en voiture. Il fallait alors trouver, de toute urgence, un endroit tranquille – ce qui n’est pas toujours évident là où on habite -. Combien de fois, on s’est fait surprendre par des gens - des randonneurs ? – qui passaient le long de la voiture dans laquelle on s’ébattait… Ils en étaient plus gênés que nous, d’ailleurs car, très vite, Abdel prit goût à l’exhibitionnisme. Comme moi, ça l’excitait. Mais on ne le recherchait pas non plus systématiquement. C’est comme ça se trouvait. Très souvent aussi, c’était à l’appart. A peine entrés, on se jetait l’un sur l’autre, affamés qu’on était l’un de l’autre. Combien de fois Abdel m’a pris sur la table de la cuisine ou assis sur le plan de travail ? Je ne saurai le dire. Des jeunes fous. Il faut dire aussi que Abdel avait pris très rapidement les habitudes de l’appart, à savoir se balader sans arrêt en slips. Du coup, bien évidemment, il y avait peu de choses à enlever quand on s’était excité mutuellement et que l’envie nous prenait de baiser. Se voir ainsi presque nus en permanence rajoutait bien sûr à notre excitation quasi permanente.
Souvent, pendant les repas, avec ou sans Paulo, on partait dans de grandes discussions sur …le sexe, bien sûr ! On a ainsi balayé pas mal de sujets liés à ça. On s’est aperçu, qu’en fait, ça nous permettait de clarifier nos idées sur certains points. Abdel revenait très souvent sur le sujet de l’exhibitionnisme. Apparemment, ça avait été une découverte pour lui. Il n’avait pas imaginé que ça pouvait l’exciter autant de se savoir épié. Il avait aussi découvert qu’il était aussi accro à son pendant, le côté voyeur. Il pouvait rester un temps infini à regarder, par la fenêtre, Paul et Fabrice s’envoyer en l’air dans l’appart d’en face. Ca le bouleversait. Très souvent, quand je le voyais ainsi, je me glissais derrière lui, je me collais à lui, lui caressait le paquet par-dessus son slip et lui chuchotait à l’oreille :« -Ca t’excite, hein ?
-…OUI ! A fond ! »Une autre fois, on invita même Paul et Fabrice à venir partager notre nuit avec nous. Je dois dire que ce fut épique et mémorable. Ce fut à la demande d’Abdel. A force d’étaler son corps dans tous ses ébats à leur vue, il eut l’envie de les voir de plus près…Bien évidemment, il savait ce que cette invitation supposait et comment elle finirait…Nos deux compères étaient ravis de ce nouvel amant très craquant. Ils amenèrent avec eux moult bouteilles de champagne – pour fêter ça, dirent-ils -. Comme toujours, ils se montrèrent parfaitement à la hauteur de cette partie carrée. Ils se prêtèrent, de bonne grâce, à toutes les demandes coquines d’Abdel qui me surprit beaucoup sur ce coup là. Il était d’une imagination débordante et fiévreuse. Il s’était érigé en maître de cérémonie, ce qui ne dérangeait personne, bien au contraire ! Tout y passa. Les différents godes – qu’on avait très peu utilisés avec lui mais qui étaient bien en évidence sur la cheminée -, l’anneau vibrant de Paulo – sa « love technology » -, les liens, les masques….Il avait du faire – discrètement - avant, l’inventaire de ce qu’il y avait dans les tables de nuit. Au cours de cette nuit, il sut se contrôler presque jusqu’à la fin. Mais ça ne l’empêcha pas de nous gicler dessus à nouveau moins d’une demi - heure plus tard, nous régalant à la ronde.
Les retours de Paulo, c’était quelque chose ! Toujours inopinés et non annoncés. Pas pour nous surprendre. Simplement qu’avec son agenda surbooké, c’étai toujours de la dernière minute et des petits créneaux de disponibilité. De toute manière, Paulo savait très bien ce qu’il allait trouver en arrivant. Il préférait même ainsi. C’était mieux pour moi disait-il. Cet arrangement surprenait beaucoup de monde. Mais, bon, chacun sa vie, hein… Bien sûr, les premiers instants, la première étreinte c’était toujours Paulo et moi. Mais pas que. Paulo trouvait toujours un petit temps pour une caresse, un bisou à Abdel. Souvent, Abdel s’éclipsait mais pas toujours. Parfois, Paulo lui demandait de rester… Il n’y avait pas de règle établie. C’était à l’inspiration du moment, à l’envie.
Ainsi, il nous est arrivé de baiser direct à trois dans des configurations acrobatiques. A d’autres retours, c’était terriblement romantique. Vraiment selon l’humeur du moment. J’aimais aussi beaucoup voir Paulo faire l’amour avec Rémi ou avec Abdel – ou l’inverse - et être à côté d’eux, juste à côté et les caresser de temps en temps ou les exciter encore plus de mes dix doigts. Voir la belle bite gonflée de Paulo glisser entre les fesses d’Abdel, ressortir, se réengloutir dans un mouvement parfaitement huilé. Super excitant ! Je photographiais ça en très gros plan. J’aimais aussi leur parler à ce moment là. Leur dire des mots crus, chauds, hards. Ca m’excitait et eux aussi.
Ce qu’Abdel a « découvert » aussi avec nous – c’est lui-même qui nous l’a dit -, c’est la puissance érotique de la douche. Jusqu’alors, sous la douche, il se lavait, parfois il se touchait ou se caressait . Mais, d’être à plusieurs dessous, ça changeait tout. La sensualité des corps qui se cherchent, qui se frottent sous l’eau chaude ruisselante, les caresses appuyées, les fellations torrides, jusqu’à la sodomie complète, toujours sous l’eau ruisselante. Quel pied ! Combien de fois on a conclu, rien que sous la douche. Sans avoir le temps d’aller dans le lit, emportés par notre désir.
Ce qu’il aimait aussi par-dessus tout – tout comme moi, d’ailleurs -, c’était s’endormir dans la foulée de nos ébats, tels qu’on avait fini. En sueur, pleins de sperme, souvent encore enchassés l’un dans l’autre…Et de se réveiller quelques temps plus tard et de se découvrir ainsi enlacés. Trop mignon ! Il aimait aussi me lutiner alors que j’étais encore endormi, en essayant de me réveiller le plus tard possible - Rémi adorait ça aussi -. Il essayait alors de pousser « le bouchon » - en l’occurrence sa bite – le plus loin possible sans me réveiller. C’était aussi pour lui un exercice de self control intéressant.
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