Comment tu me fais l'amour
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comment tu me fais l'amour
L’autre nuit, au moment de se coucher, Abdel me fit une drôle de proposition.
« -Ca te dirait de jouer à un jeu sexuel ?
--Comme d’hab, quoi !
-Oui, mais là, tu me ferais l’amour mais exactement comme je te dirai de le faire…-…OK ! »Belle occasion de connaître un peu ses fantasmes !
« -D’abord on va mettre des bougies partout et on garde nos slips, aussi.
-OK !
Après ça, il s’allonge en dehors du lit avec juste la tête qui repose sur le matelas, dans une position assez lascive, je trouve.
« -Caresse moi doucement les cheveux. Oui, très bien, comme ça…-Fais moi sentir ton slip sans me toucher avec. Huuummm… !
-Sors ta bite et fais la moi sentir aussi. Sans me toucher, toujours. Walla ! Merci. Remets la dans ton slip.
-Mordille moi les lobes d’oreilles. Pointe ta langue dans le creux. Mordille ! Pointe !
-Sors ton gland et frotte le dans mon trou d’oreille….Wow !
-Repasse le moi sous le nez, stp. Rentre le dans ton slip.
-Souffle moi dans la bouche ton air chaud.
-Effleure très légèrement mes lèvres avec tes lèvres.
-Prends moi de la mouille avec tes doigts et fais moi la sucer ! ». Il se jette goulûment sur mes doigts pour les sucer à fond.
-Encore , oui !!!
-Mords moi la gorge doucement. Fais moi des suçons. »Il lève alors ses deux bras et me demande :« -Pose tes cheveux sous mes aisselles. Frotte doucement. Lèche les moi un peu. Mets ton gland plein de mouille là. »Il serre alors son bras, m’emprisonnant la queue.
« -Bouge un peu, glisse. »« -Caresse moi les pecs. Agace moi les tétons…Allonge moi sur le lit. Suce moi les tétons en te frottant doucement contre moi. Pas trop fort. Ouuuiii ! Mordille les moi ! Suce ! Mordille !
« -Caresse moi les abdos, joue avec mes poils.
« -Caresse moi l’intérieur des cuisses en remontant tout doux jusqu’au slip. Passe le bout de tes doigts sous le slip….Caresse moi les couilles .
« -Viens sur moi, juste sur ma gorge, à califourchon. »Je me place comme il m’a dit. Avec ses mains, il …me déchire le slip, libérant ma bite qui lui explose au visage. Il me demande :« -Frotte moi le visage avec ta pine bien mouillée. Sur les yeux, les joues. Fais la moi respirer….Sur mes lèvres. Force ma bouche Entre ! Enfonce toi ! Baise moi la bouche lentement.
« -Descends vers ma bite maintenant. Vite ! Fais pareil avec la mienne. Glisse le slip sous mes couilles. »Je décide plutôt de lui arracher, moi aussi. Pour l’exciter grave.
« -Walla ! E boom, comme dit Paulo ! Attends, je vais te baiser la bouche bien à fond. Prends la moi entièrement. Tu la sens bien ma bite ? Dis tu la sens bien ? Tu dis rien… » Il rigole. J’ai la bouche pleine…« -Retourne moi. Masse moi le cul. Vas y carrément. Claque mes fesses ! Plus fort ! »Là-dessus, il lève légèrement son bassin, en demi levrette.
« -Ecarte moi bien et lèche moi la raie à fond, stp. Ouuuiii ! Comme ça. Ah, putain ! C’est trop bon ! Vas y maintenant, pointe ta langue sur ma rondelle. Pousse ! Enfonce ! Waaaw !
-Passe moi un doigt…. »-Oui mais d’abord, je vais te bourrer de gel. » Ce que je fais.
Du coup, mon majeur s’enfile à l’aise, bien à fond.
« -Tourne bien comme tu sais le faire. Wow ! Trop bien ! Trop bon ! Oui, caresse moi bien la prostate comme ça….Bien à fond. »Déjà, je peux lui passer deux doigts et je continue à la dilater tout en lui massant copieusement la prostate.
« -Tu veux bien me passer le gode de Paulo maintenant ? »Pas de problème ! Je suis à tes ordres, à tes pieds. Tout à ton désir. Je lui enfonce le moulage de la bite de Paulo - celui qu’il préfère parmi toute notre collec de godes – bien bien à fond.
« -Wallllaaa ! Tu sais quoi ?
-Non…-C’est Paulo qui a la plus longue bite du monde. Il est à l’autre bout de la terre et je sens quand même sa bite !
-T’es con ! ». Je rigole. Et je continue à le limer de plus belle.
« -Y’a pas à dire, Paulo a quand même une plus belle bite que toi !!!
« -SALAUD !! » On rigole.
« -Si tu veux, je peux te la mettre maintenant ?
-Viens ! Viens ! Pose ton gland et entre tout doux…. »Ce que je fais.
« -Walla ! Vas y, entre ! Fends moi ! Perce moi ! Entre ta belle bite à fond ! Ramone moi doucement….Plus vite ! Moins vite… »« -Caresse moi en dessous… »Du plat de ma main, je lui caresse la bite, ses couilles étant rentrées.
Attends je vais te serrer… »Là-dessus, il resserre son sphincter plusieurs fois sur ma pine. Trop bon ! Je coulisse lentement. Je sais qu’il va maintenant vouloir se mettre sur le dos pour qu’on communique aussi avec les yeux, la bouche… Ca ne manque pas.
« Waw ! On est trop bien ainsi, non ? Je resterai des heures comme ça. Elle me fait tellement du bien ta bite. C’est vrai aussi que tu sais bien t’en servir….Maintenant, tu sauras parfaitement tout ce que j’aime qu’on me fasse. Mais je compte bien sur toi pour en imaginer aussi des nouvelles, hein ? Tu aimes ça me baiser ?
-Non pas te baiser, te faire l’amour, oui. Te sentir vibrer à cause de ma bite, oui. T’entendre gémir, souffler, crier, oui. Te voir aussi radieux, oui. Te remplir de mon sperme chaud, oui.
-Embrasse moi ! Prends mon cul dans tes mains et tires moi vers toi. » Ce que je fais.
« -Si tu veux, on va inverser. » Il me demande de m’allonger pour qu’il puisse venir sur moi pour un monte et baisse ( baise ? ) d’enfer. A chaque descente, il ondule du bassin ce qui augmente mes sensations. Puis il se retourne et se réempale aussitôt sur ma teub toute raide et vibrante. J’en profite pour lui caresser les fesses et les cuisses. Il bascule alors en arrière, sur moi, tout en restant enfoncé sur ma pine. Il se met à glisser de haut en bas, en gémissant et en me labourant le ventre de son dos. Trop bien.
Sans pévenir, en restant embroché sur moi, il me retourne sur le ventre et il vient se placer sur le ventre aussi en symétrique. Il me demande :« Vas y fort ! Bourre moi de toutes tes forces ! »La sensation sur ma bite est…incroyable. Du fait de la position et de la torsion. J’adore et je me mets à coulisser très vite. Il râle de plaisir. Mais, on ne veut surtout pas conclure tout de suite.
« -Viens, suis moi… »Il se retire, sort du lit, m’entraîne vers la chaise de la chambre. Il m’asseoit dessus et vient s’empaler, face à moi, sur ma tige dressée. Il reprend son monte et baisse en me serrant très fort et en cherchant mes lèvres. Je lui griffe le dos. Je sais qu’il aime ça. C’est alors qu’on voit s’illuminer la fenêtre de chambre des voisins d’en face, Paul et Fabrice. Nous apercevant en action, ils viennent se placer à leur fenêtre et, ne voulant pas être en reste, Paul se met à sodomiser Fabrice appuyé contre la vitre, jambes écartées, face à nous.
A nouveau, Abdel me propose un ultime ( ?) changement de position. Il vient se placer face à la fenêtre de notre chambre, à genoux, jambes écartées, bite dressée contre la vitre. On dirait qu’il veut leur faire l’amour, par-dessus la rue ! Mais aussi, il attend que je le pénètre à nouveau.
« -Wallla ! Vas y à fond cette fois. Déchire moi !! »J’obéis bien volontiers à sa demande. Lui, en profite pour se frotter contre la vitre, à bonne cadence. Visiblement, il veut qu’on jouisse à peu près en même temps. Cela fait déjà plus d’une demi heure qu’on s’échauffe ainsi les sangs l’un l’autre et l’envie nous prend de conclure. En face, Fabrice s’est placé exactement dans la même posture qu’Abdel. Je me mets à limer Abdel puissamment. Il se met à râler en continu en commentant sans arrêt.
« - Qu’est ce que j’aime ta bite !! Je la sens qui me fait du bien. Défonce moi la terma avec ton sgeg ! »J’accélère la cadence. Il a penché sa tête au creux de mon épaule et me mordille le cou. J’ai agrippé ses épaules et le tire vers moi à chacun de mes coups de bite. Il m’a agrippé le cul et, lui aussi, me tire vers lui, comme si on ne voulait plus faire qu’un. J’ai la bite en feu mais je continue de plus belle. Je lui prends les mains et lui mets les bras en croix, sur la vitre. Il me crie qu’il se sent venir.
« -Wâââ ! Wâââ ! Wâââ ! » râle-t-il, au bord de l’extase.
« -Lâche toi !! Vide toi !! Gicle !! »Ce qu’il fait, inondant la vitre.
« -Oooooh ! Mon amour… » a-t-il lâché dans un souffle….Aïe.
Ca m’excite tellement de le voir ainsi et d’entendre ça que, moi aussi, je décharge en lui. Un, deux, trois longs jets. Je continue à coulisser plus lentement en lui. J’aime ce moment où je sens la chaleur de mon sperme qui se répand sur ma bite et me fait coulisser d’autant plus facilement. Lui aussi aime beaucoup cette sensation. Nous voilà anéantis tous les deux.
Alors, dans un geste de grande tendresse, il récupère son sperme sur la vitre et vient m’enduire le visage avec. J’en fais autant avec le mien qui commence à couler le long de ses cuisses… Je lui fais respirer mes doigts pleins de son foutre et j’en mets un peu dans ses oreilles. Il sourit. Il me regarde intensément, comme jamais il ne m’a regardé.
« -Je….t’aime…beaucoup Abdel. Je tiens énormément à toi. Tu es beaucoup pour moi. Tous les jours, je me répète que je suis content de t’avoir rencontré. Tu es beau. Tu es un mec bien. J’adore faire l’amour avec toi. J’adore quand tu me fais l’amour. Je te remercie de t’être livré ainsi à moi sans retenue dans tous tes désirs et tes fantasmes. C’est une grande preuve de confiance. Mais, tu sais aussi que c’est Paulo que j’aime…-…Oui, je le sais. Je n’ai pas le droit…-Si tu as le doit ! Mais je ne voudrais pas te rendre triste… »Là-dessus, on se dirige tous deux vers la douche car, en face, Paul a joui lui aussi. Pour se laver. En fait, on reste collé l’un à l’autre sous le jet brûlant, à s’embrasser à l’infini.
Je jurerais qu’il n’y a pas que de l’eau qui coule sur le visage d’Abdel…Pour réfléchir à tout ça et prendre un peu de recul, Abdel décide de retourner chez sa mère, quelques jours.
Au bout de quarante huit heures, il me manque déjà. 2normément.
« -Ca te dirait de jouer à un jeu sexuel ?
--Comme d’hab, quoi !
-Oui, mais là, tu me ferais l’amour mais exactement comme je te dirai de le faire…-…OK ! »Belle occasion de connaître un peu ses fantasmes !
« -D’abord on va mettre des bougies partout et on garde nos slips, aussi.
-OK !
Après ça, il s’allonge en dehors du lit avec juste la tête qui repose sur le matelas, dans une position assez lascive, je trouve.
« -Caresse moi doucement les cheveux. Oui, très bien, comme ça…-Fais moi sentir ton slip sans me toucher avec. Huuummm… !
-Sors ta bite et fais la moi sentir aussi. Sans me toucher, toujours. Walla ! Merci. Remets la dans ton slip.
-Mordille moi les lobes d’oreilles. Pointe ta langue dans le creux. Mordille ! Pointe !
-Sors ton gland et frotte le dans mon trou d’oreille….Wow !
-Repasse le moi sous le nez, stp. Rentre le dans ton slip.
-Souffle moi dans la bouche ton air chaud.
-Effleure très légèrement mes lèvres avec tes lèvres.
-Prends moi de la mouille avec tes doigts et fais moi la sucer ! ». Il se jette goulûment sur mes doigts pour les sucer à fond.
-Encore , oui !!!
-Mords moi la gorge doucement. Fais moi des suçons. »Il lève alors ses deux bras et me demande :« -Pose tes cheveux sous mes aisselles. Frotte doucement. Lèche les moi un peu. Mets ton gland plein de mouille là. »Il serre alors son bras, m’emprisonnant la queue.
« -Bouge un peu, glisse. »« -Caresse moi les pecs. Agace moi les tétons…Allonge moi sur le lit. Suce moi les tétons en te frottant doucement contre moi. Pas trop fort. Ouuuiii ! Mordille les moi ! Suce ! Mordille !
« -Caresse moi les abdos, joue avec mes poils.
« -Caresse moi l’intérieur des cuisses en remontant tout doux jusqu’au slip. Passe le bout de tes doigts sous le slip….Caresse moi les couilles .
« -Viens sur moi, juste sur ma gorge, à califourchon. »Je me place comme il m’a dit. Avec ses mains, il …me déchire le slip, libérant ma bite qui lui explose au visage. Il me demande :« -Frotte moi le visage avec ta pine bien mouillée. Sur les yeux, les joues. Fais la moi respirer….Sur mes lèvres. Force ma bouche Entre ! Enfonce toi ! Baise moi la bouche lentement.
« -Descends vers ma bite maintenant. Vite ! Fais pareil avec la mienne. Glisse le slip sous mes couilles. »Je décide plutôt de lui arracher, moi aussi. Pour l’exciter grave.
« -Walla ! E boom, comme dit Paulo ! Attends, je vais te baiser la bouche bien à fond. Prends la moi entièrement. Tu la sens bien ma bite ? Dis tu la sens bien ? Tu dis rien… » Il rigole. J’ai la bouche pleine…« -Retourne moi. Masse moi le cul. Vas y carrément. Claque mes fesses ! Plus fort ! »Là-dessus, il lève légèrement son bassin, en demi levrette.
« -Ecarte moi bien et lèche moi la raie à fond, stp. Ouuuiii ! Comme ça. Ah, putain ! C’est trop bon ! Vas y maintenant, pointe ta langue sur ma rondelle. Pousse ! Enfonce ! Waaaw !
-Passe moi un doigt…. »-Oui mais d’abord, je vais te bourrer de gel. » Ce que je fais.
Du coup, mon majeur s’enfile à l’aise, bien à fond.
« -Tourne bien comme tu sais le faire. Wow ! Trop bien ! Trop bon ! Oui, caresse moi bien la prostate comme ça….Bien à fond. »Déjà, je peux lui passer deux doigts et je continue à la dilater tout en lui massant copieusement la prostate.
« -Tu veux bien me passer le gode de Paulo maintenant ? »Pas de problème ! Je suis à tes ordres, à tes pieds. Tout à ton désir. Je lui enfonce le moulage de la bite de Paulo - celui qu’il préfère parmi toute notre collec de godes – bien bien à fond.
« -Wallllaaa ! Tu sais quoi ?
-Non…-C’est Paulo qui a la plus longue bite du monde. Il est à l’autre bout de la terre et je sens quand même sa bite !
-T’es con ! ». Je rigole. Et je continue à le limer de plus belle.
« -Y’a pas à dire, Paulo a quand même une plus belle bite que toi !!!
« -SALAUD !! » On rigole.
« -Si tu veux, je peux te la mettre maintenant ?
-Viens ! Viens ! Pose ton gland et entre tout doux…. »Ce que je fais.
« -Walla ! Vas y, entre ! Fends moi ! Perce moi ! Entre ta belle bite à fond ! Ramone moi doucement….Plus vite ! Moins vite… »« -Caresse moi en dessous… »Du plat de ma main, je lui caresse la bite, ses couilles étant rentrées.
Attends je vais te serrer… »Là-dessus, il resserre son sphincter plusieurs fois sur ma pine. Trop bon ! Je coulisse lentement. Je sais qu’il va maintenant vouloir se mettre sur le dos pour qu’on communique aussi avec les yeux, la bouche… Ca ne manque pas.
« Waw ! On est trop bien ainsi, non ? Je resterai des heures comme ça. Elle me fait tellement du bien ta bite. C’est vrai aussi que tu sais bien t’en servir….Maintenant, tu sauras parfaitement tout ce que j’aime qu’on me fasse. Mais je compte bien sur toi pour en imaginer aussi des nouvelles, hein ? Tu aimes ça me baiser ?
-Non pas te baiser, te faire l’amour, oui. Te sentir vibrer à cause de ma bite, oui. T’entendre gémir, souffler, crier, oui. Te voir aussi radieux, oui. Te remplir de mon sperme chaud, oui.
-Embrasse moi ! Prends mon cul dans tes mains et tires moi vers toi. » Ce que je fais.
« -Si tu veux, on va inverser. » Il me demande de m’allonger pour qu’il puisse venir sur moi pour un monte et baisse ( baise ? ) d’enfer. A chaque descente, il ondule du bassin ce qui augmente mes sensations. Puis il se retourne et se réempale aussitôt sur ma teub toute raide et vibrante. J’en profite pour lui caresser les fesses et les cuisses. Il bascule alors en arrière, sur moi, tout en restant enfoncé sur ma pine. Il se met à glisser de haut en bas, en gémissant et en me labourant le ventre de son dos. Trop bien.
Sans pévenir, en restant embroché sur moi, il me retourne sur le ventre et il vient se placer sur le ventre aussi en symétrique. Il me demande :« Vas y fort ! Bourre moi de toutes tes forces ! »La sensation sur ma bite est…incroyable. Du fait de la position et de la torsion. J’adore et je me mets à coulisser très vite. Il râle de plaisir. Mais, on ne veut surtout pas conclure tout de suite.
« -Viens, suis moi… »Il se retire, sort du lit, m’entraîne vers la chaise de la chambre. Il m’asseoit dessus et vient s’empaler, face à moi, sur ma tige dressée. Il reprend son monte et baisse en me serrant très fort et en cherchant mes lèvres. Je lui griffe le dos. Je sais qu’il aime ça. C’est alors qu’on voit s’illuminer la fenêtre de chambre des voisins d’en face, Paul et Fabrice. Nous apercevant en action, ils viennent se placer à leur fenêtre et, ne voulant pas être en reste, Paul se met à sodomiser Fabrice appuyé contre la vitre, jambes écartées, face à nous.
A nouveau, Abdel me propose un ultime ( ?) changement de position. Il vient se placer face à la fenêtre de notre chambre, à genoux, jambes écartées, bite dressée contre la vitre. On dirait qu’il veut leur faire l’amour, par-dessus la rue ! Mais aussi, il attend que je le pénètre à nouveau.
« -Wallla ! Vas y à fond cette fois. Déchire moi !! »J’obéis bien volontiers à sa demande. Lui, en profite pour se frotter contre la vitre, à bonne cadence. Visiblement, il veut qu’on jouisse à peu près en même temps. Cela fait déjà plus d’une demi heure qu’on s’échauffe ainsi les sangs l’un l’autre et l’envie nous prend de conclure. En face, Fabrice s’est placé exactement dans la même posture qu’Abdel. Je me mets à limer Abdel puissamment. Il se met à râler en continu en commentant sans arrêt.
« - Qu’est ce que j’aime ta bite !! Je la sens qui me fait du bien. Défonce moi la terma avec ton sgeg ! »J’accélère la cadence. Il a penché sa tête au creux de mon épaule et me mordille le cou. J’ai agrippé ses épaules et le tire vers moi à chacun de mes coups de bite. Il m’a agrippé le cul et, lui aussi, me tire vers lui, comme si on ne voulait plus faire qu’un. J’ai la bite en feu mais je continue de plus belle. Je lui prends les mains et lui mets les bras en croix, sur la vitre. Il me crie qu’il se sent venir.
« -Wâââ ! Wâââ ! Wâââ ! » râle-t-il, au bord de l’extase.
« -Lâche toi !! Vide toi !! Gicle !! »Ce qu’il fait, inondant la vitre.
« -Oooooh ! Mon amour… » a-t-il lâché dans un souffle….Aïe.
Ca m’excite tellement de le voir ainsi et d’entendre ça que, moi aussi, je décharge en lui. Un, deux, trois longs jets. Je continue à coulisser plus lentement en lui. J’aime ce moment où je sens la chaleur de mon sperme qui se répand sur ma bite et me fait coulisser d’autant plus facilement. Lui aussi aime beaucoup cette sensation. Nous voilà anéantis tous les deux.
Alors, dans un geste de grande tendresse, il récupère son sperme sur la vitre et vient m’enduire le visage avec. J’en fais autant avec le mien qui commence à couler le long de ses cuisses… Je lui fais respirer mes doigts pleins de son foutre et j’en mets un peu dans ses oreilles. Il sourit. Il me regarde intensément, comme jamais il ne m’a regardé.
« -Je….t’aime…beaucoup Abdel. Je tiens énormément à toi. Tu es beaucoup pour moi. Tous les jours, je me répète que je suis content de t’avoir rencontré. Tu es beau. Tu es un mec bien. J’adore faire l’amour avec toi. J’adore quand tu me fais l’amour. Je te remercie de t’être livré ainsi à moi sans retenue dans tous tes désirs et tes fantasmes. C’est une grande preuve de confiance. Mais, tu sais aussi que c’est Paulo que j’aime…-…Oui, je le sais. Je n’ai pas le droit…-Si tu as le doit ! Mais je ne voudrais pas te rendre triste… »Là-dessus, on se dirige tous deux vers la douche car, en face, Paul a joui lui aussi. Pour se laver. En fait, on reste collé l’un à l’autre sous le jet brûlant, à s’embrasser à l’infini.
Je jurerais qu’il n’y a pas que de l’eau qui coule sur le visage d’Abdel…Pour réfléchir à tout ça et prendre un peu de recul, Abdel décide de retourner chez sa mère, quelques jours.
Au bout de quarante huit heures, il me manque déjà. 2normément.
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