activités sexuelles de masturbation crade... - histoire érotique

Je me souviens m'être livré à des activités sexuelles asse crade, d'une bassesse pire que porc dans sa merde. Je me masturbais avec mon caca que j'écrasais partout sur moi, jouais aussi avec mon pipi. Je me donnais aux mouches à caca, les laissais virevolter sur moi, se déposer sur toutes les parties souillées de mon corps donné entièrement nu, en proie sexuelle à dame nature. Dame nature, à qui j'appartiens, la seule "Maîtresse" qui peut en décider de moi, de faire de moi, ce qu'elle veut, entend, dame nature qui m'à entièrement fabriqué, de la tête aux pieds, de qui par les choses du sexe, je suis issu d'elle, la seule à qui je suis sa propriété, son esclave, sa proie sexuelle, de la marchandise. Tout de moi lui appartient, corps, sécrétions, productions d'urines, d'excréments, tout de moi, sexe, fesses, cuisses, anus, testicules, boyaux, os,, peau et poils, mes baves, spermes, morves, ma nudité, ma sexualité, mon intimité sexuelle mais aussi lors de mes envies de pipi et de caca. Dame nature peut tout de moi, exploiter, livrer même en proie sexuelle à qui elle en décide, choisi, qui le désir, et me voudrait comme chien, objet, jouet, esclave, domestique, pour viande à sexe à consommer sans fin. J'aime repenser à bien des faits de sexe, quand ado, je me faisais abaisser, humilier, par des ados, même de même sexe mâle que moi. Je me serais donné si cela avait pu se produire, sans chercher à me défendre, à empêcher qui aurait voulu me dominer, m'exploiter sexuellemant que pour du sexe, même si j'avais eu à être partager avec des vicelards, des pervers sexuels, de vrais malades sexuels, boulimiques de garçons faibles, timides, nuls, moche, de garçons non viril. Je me serais laissé être traité en chien, ou et en porc, tenu et trainé en laisse, humilié à obligation de faire mes besoins, nu entièrement, à terre, ou en fond de cave, dans locaux d'ordures, même dans la boue en devant bien m'offrir pour que tout de moi se voie bien, parties sexuelles sensibles, jets d'urines, fesses, anus, dilatations, contractions anales, sorties du caca, tout ce qui exciterait à fond, même de me faire doigter en même temps, enculer, défoncer par le fond du rectum. J'aimais justement me faire humilier par une ex, Françoise, qui aimait me descendre, me dégrader, qui me fountain longuement, profondément, pour me descendre et me sortir elle même, toute la merde du rectum, et en même temps, qui me tenait le zizi presque raide, alors que je faisais pipi, qui recueillait mes jets de pipi à mins nues. Je me laissais faire, autant qu'elle me voulait à elle, soumis, sous ses ordres, nu sous ses regards vicelards. J'aime être interdit d'intimité aux, ou sur le wc, me faire étudier, examiner, tripotter, rester sur ses ordres et ses yeux, souillé, honteux, complètement cassé. Que tout de moi, Françoise sache tout de mon corps, de ma nudité, de ma sexualité, de la façon dont je suis aux wc, dont je fais mes besoins, quand je suis sale, pu, quand je souille. Me voir de nouveau traité ainsi, livré nu à humiliations dégradantes comme punition mérité, me faire abaisser de ma mocheté de garçon que je suis encore, de ma nullité d'homme pas viril, à dresser, je me laisserais faire, être livré sexuellement pour que du sexe, par dame nature si tel est son désir sur moi, même à des malades sexuels mentaux, qui auraient envie de moi, de me happer, de m'engloutir voracement, me gober par la bouche, en me saisissant tout, par le sexe, les couilles, dans le trou à caca, que je me ferais vider en plus de faire pipi, même si devant me vautrer, ramper dans la boue, de la chiasse, du vomi, arrosé de pisse. Même si devait subir de sexe en porcherie, caillebotis, être pénétré et fouillé pour auscultations par porchers, porchères, véto porchers véreux et obsédés, femmes et hommes, je m'abandonnerais entier à leurs envies sexuelles, parmi les porcs, même si donner en partages aussi avec des chiens de troupeaux de porcs. Me faire trainer par les jambes, au sol, dans de la boue de déjections porcins, jusque dans des locaux pour examiner des porcs, ou des locaux poubelles, dans des ordures, sur bouches d'égouts, cambré nu, souillé, sur rambardes ou poutres en plein champs, attaché pendant que je me ferais ausculter vulgairement, doigter profond, longuement, donné cuisses grandes écartées, sanglé, enchainé, exhibé à me faire salement dégrader, ins0ulter avec paroles, mots crus, vulgaires, devant curieuses, curieux, vicieuses, et vicelards sexuels, me faire dresser devant elles, eux, par fessées cuisantes, cravaché, triquer, fouetter, me fair avachir, jusqu'à céder, plier genoux, échine, ne plus avoir droit de parler, sauf crier, gémir, râler, hurler, chialer, mais ne plus rien avoir de liberté , être ruiné, violer de mes intimités sexuelles, et quand besoins de faire mes besoins, même de me faire monter par des porcs, des chiens de troupeaux de bétails qui se partageraient le butin de viande à sexe que je serais devenu et qu'on ferais de moi. Sacré fantasme, non ?