expériences sexuelles réelles, sexe crade... - histoire érotique

Mon histoire bien réelle, que je pourrais aussi classer dans le sujet de domination, soumission, ayant été plutôt sous la volonté d'une femme, Françoise, son prénom qui lors de notre relation qui à duré trois années, relation amoureuse, avec aussi des approches, activités sexuelles presque constantes, quotidiennes quand cela, tant pour elle que pour moi, nous était possible. D'ailleurs, malgré les sentiments que nous avions l'un pour l'autre, pourtant réels et forts, le sexe prenait une place asse grande, même plus forte que les sentiments que Françoise et moi, partagions. Aussi, j'avais le coup de foudre en vers elle, et penses bien que cela, elle le savait, qui devait arranger ses affaires car Françoise aimait le sexe même tout ce qui sexuellement était d'ordre de la vulgarité tant des expressions des regards sur le corps entier, des mots ou paroles exprimé(es) pendant les activités ou relations sexuelles entre nous, rien sexuellement qui pouvait ou aurait pu par exemple, la rebuter, la dégouter, de découvrir de moi, de voir ou et de regarder, d'entendre également. Tout de moi, de mon corps passait bien pour Françoise, mes formes, même mes odeurs, juste parce que c'était moi, que je lui correspondait, répondait de ses espérances du genre de "garçon" ou d'homme dont elle fantasmait justement de croiser, de rencontrer un jour sur sa route. Je lui paraissait être comme il faut et le voulait pour elle. Ce qui me subjuguait lorsque j'ai croisé le chemin de cette "fille" ou jeune femme, à l'époque, c'est qu'elle aussi, de son physique, de sa personnalité, sa façon d'être, de me regarder, de me parler, bref, tout d'elle, même sexuellement, me correspondait tout autant, qui aussi, allait dans le sens même, de mon désir de croiser ce genre de femme, très amoureuse mais très sexe en même temps, et peu de le dire. De mes fantasmes sexuels lorsque je me donnais à la masturbation en solo, Françoise me faisait vivre les choses telles que je les rêvais en me masturbant, même plus loin encore, des choses sexuelles que je ne pensait pas qu'une femme un jour, en plus de son physique, me fasse vivre en vrai. Quand Françoise se trouvait très excité, très excité de moi, qui avait alors de très fortes envies de sexe, avec moi, rien ne l'arrêtait, rien ne l'aurait empêcher d'aller très loin, qui l'excitait encore plus fortement. A tel point que Françoise avec moi, aimait faire des choses crades, allant, après m'avoir entièrement déshabillé, c'est elle qui en décidait de moi, jusqu'à me conduire aux wc, vérifiant que j'étais plein, observait alors mon bas ventre s'il était bien arrondi au niveau de ma vessie, en passant ses mains sur mon bas ventre, en le compressant, puis en observant mes mouvements, réactions, mes expressions de regards, et gestuelles si je trépignait pour envie de faire mon pipi. Pareillement pour envie d'aller à la selle, ou déféquer. Là aussi, Françoise vérifiait les choses, mon anus par exemple, s'il avait tendance à se dilater, à s'ouvrir, et pour savoir plus encore, suçait un doigt, me l'introduisit entièrement jusqu'au fond de moi. Une fois renseignée de savoir si je ne mentais pas, soit que j'avais vraiment envie de faire mes besoins naturelles, que en effet, ma vessie et mon rectum était bien rempli(e), alors, parfois en me claquant sur les fesses, tout nu, elle me saisissait par un bras, et me guida dans son wc, m'assistait comme un vrai petit garçon de bas âge, me positionna au dessus de la cuve du wc, relavant la lunette, puis me fit me positionner de façon à tout bien voir, regarder et jusqu'à étudier les choses de moi, de mon corps. Françoise me demandait de me laisser aller, et de la laisser faire comme elle l'entend. Sexuellement elle aimait m'infantiliser, me contraindre à son désir de maternage sur moi, que je me montre docile, garçon gentil et obéissant à extrême avec elle, même si je devais me sentir gêné, régressé, honteux, abaissé , humilier car assisté, nu sur le toilette, devant et sous les yeux de femme, me faisant étudier, tenir le zizi pendant que je devais en plus pousser pour sortir mon caca, tout en faisant pipi. Lorsque Françoise voyait que je me contractait faute de gêne devant elle, d'humiliation, alors, elle me faisait changer de position, me relevait en m'ordonnant de me retourner ventre contre le fond du wc. M'infligeait des fessées en me grondant, et me regardant les fesses rougies de ses coups, me les écartait vulgairement, en crachant déjà sur mes fesses entières, puis étalait des baves le long de ma raie, et enfin, crachat de nouveau mais cette fois ci, sur mon anus sur le quel elle étalait aussi sa salive pour me le lubrifier. Françoise, une fois préparé, suça son index qu'elle me pénétrait bien au fond, en l'agitant, le tournant dedans, qui insistait pour que je me laisse être fouillé, qu'elle descende elle même la merde, jusqu'à l'extirper de mon rectum qui l'excitait de me vider par ses soins. Je me faisait donc vider le fond du rectum, par l'anus, par doigtés d'une femme, en devant faire pipi, pousser pour le caca, et une fois vidangé par elle, sous ses regards, tout nu et souillé je devais le rester, Françoise décidait de tout de moi, même de mes torchages, toilettes, masturbation, activités sexuelles, les lieux, supports, les jours, heures, et avait en plus désir de même me liver en partage sexuel avec des connaissances féminines dont elle connaissait leur penchant sexuel. Elle savait Françoise, que j'étais le genre de "garçon" qui les aurait excité. Histoires à suivre.