Adultère - histoire érotique

Ma femme m’a trompé ! Vingt ans de mariage avec des hauts et des bas pour en arriver là ! Vingt ans où je suis resté fidèle malgré les quelques occasions que j’aurais eu à butiner ailleurs. Depuis environ cinq ans nos parties de jambes en l’air, c’étaient espacées, mais jamais je n’aurai cru ma femme capable d’avoir un amant. La routine diront certains, en effet, le temps qui passe en est sûrement aussi la cause… Il est vrai que je suis souvent obnubilé par mon travail, que je la néglige parfois trop… Je pourrais chercher milles raisons à cette tromperie mais les faits sont là, elle m’a trahis.



Ma femme est bien conservée et je comprends qu’elle peut beaucoup plaire aux hommes. C’est avec un jeunot qui pourrait être son fils qu’elle m’a trompé, un ouvrier que j’avais engagé pour refaire notre chambre… Il devait juste repeindre et retapisser, pas s’occuper de mon épouse…





J’aurais pu faire un scandale, me séparer d’elle, mais je n’ai rien dit ni rien fait pour le moment… Ma femme n’est pas au courant que je sais… Puisqu’il en est ainsi, je vais moi aussi passer du bon temps… La vengeance est un plat qui se mange froid…





À quarante-cinq ans, je suis encore bien et je pense n’avoir aucun mal à séduire les filles… J’ai bien dit les filles… Puisque ma chère et tendre a pris un amant jeune, je ne vois pas pourquoi je n’en ferai pas de même… Seulement, connaissant les femmes par rapport à l’avancée du temps qui passe, je suis sûr que cela lui fera plus de mal qu’à moi que j’ai une maîtresse plus jeune qu’elle…





Marine a vint sept ans, c’est une jolie fille, bien plus jolie que ce que ma femme n’a jamais été. Au lit c’est une bombe qui n’a que peu de tabous… Je l’ai connue dans un club de Jazz et n’ai pas eu à trop suer pour la mettre dans mon lit. J’ai bien pris soin de laisser plusieurs indices pour que mon épouse se rendre compte que j’ai une maîtresse…





Au bout de quelques jours, ma femme m’a fait une scène de ménage… Elle était folle de rage et m’invectivait violemment. Je pris plaisir à rester calme, me délectant de sa colère… Je voyais qu’elle était jalouse de cette jolie Marine de quinze ans sa cadette… Je lui ai alors envoyé à la figure le fait qu’elle aussi ai eu un amant. Abasourdie, elle ne dit d’abord rien, puis me dit qu’elle ce n’était pas pareil, que cela n’avait été que purement sexuel et que cela n’avait eu lieu qu’une fois… Sadique, je lui dis que moi aussi c’était purement sexuel… Ce qui l’a mise encore plus en furie !





Elle m’implora de l’excuser, qu’elle avait mal agis mais qu’elle m’aimait et qu’elle ne voulait pas que l’on se quitte et que l’on déchire notre couple…



À ce moment-là, je me rendis compte que mon aigreur vis-à-vis d’elle avait disparue, je la plaignais plus qu’autre chose… Je me rendis compte aussi que pour ma part, je n’éprouvais pas de peur à être séparé d’elle… Je ne savais plus si je l’aimais et si je la désirais…





Nous nous sommes tout de même rabiboché, pourtant en moi quelque chose avait changé, je ne pouvais plus me passer des aventures extraconjugales, à quarante cinq ans le démon du sexe m’avait envoûté…





J’eu alors des maîtresse et allais toujours plus loin dans la débauche, j’ai aimé assouvir mon besoin de chair fraîche avec Marine, la jeunesse de se corps plein de vigueur et de volupté faisait que je bandais comme un jeune homme. Il faut dire que la coquine savait y faire pour me durcir la verge… Une vraie experte de la fellation !



J’ai aussi eu une relation avec ma secrétaire, une femme pourtant sérieuse, mariée et mère de trois enfants… Mais il faut toujours se méfier de l’eau qui dort ! Cette dame de trente-neuf ans est une adepte de la soumission et la relation patron employé l’excitait au plus haut point… Elle acceptait tout de moi et je pris un pied fou à la sodomiser.





Karla aussi aimait le plaisir anal, cette blonde Norvégienne passait un séjour linguistique en France. Je l’ai draguée durant un voyage d’affaires alors que nous partagions le même hôtel dans des chambres voisines… Je la regardais se déshabiller de mon balcon quand s’en apercevant elle me fit signe de la rejoindre… Ce fut une nuit torride et endiablée, les filles du nord n’ont pas leur pareil pour réchauffer un homme ! Elle couinait beaucoup, cela est très gratifiant pour un homme de sentir sa partenaire roucouler et crier… Je lui ai défoncé l’anus comme jamais je n’avais eu l’occasion de le faire sur une fille, Karla non seulement aimait être enculée, mais de façon profonde et intense…





Au total j’ai eu une quarantaine de maîtresses depuis que ma femme m’a trompée ! De son côté elle n’a j’en suis sûr pas recommencé et pense que je fais de même… Le problème c’est que sa tromperie m’a permis de découvrir la joie de l’adultère et je ne suis pas prêt de revenir à une vie monacale !