Poupée Russe
Récit érotique écrit par Orenbarre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 24 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Poupée Russe
Bien sûr je pourrais vous dire qu'il faisait beau ce jour là, que comme dans toutes les belles histoires, la journée commence par un lever de soleil magnifique sur un ciel sans nuage… Et bien il n'en était rien ! Il pleuvait à torrent et il faisait un froid arctique ! Levé de bonne heure pour me rendre à un stage de l'autre côté de la ville, j'étais à mille lieux de penser à la gaudriole ! Pourtant, en l'espace de quelques secondes, mes sens furent tourneboulés par une vision des plus érotiques…
Là au bord de la route, une blonde superbe, habillée en tailleur hyper sexy tentait de réparer une roue crevée. Trempée par la pluie, ses habits lui collait au corps ce qui mettait en valeur ses jolies formes. Jouant le parfait gentleman, je m'arrêtais pour aider la belle en détresse. Je changeais bien vite la roue mais me retrouvait à mon tour complètement Mouillé ! Nous étions tous les deux ennuyés et ne pouvions nous rendre à, elle son boulot, moi mon stage dans un état pareil. Je lui proposais donc de nous rendre chez moi pour nous sécher. Elle accepta car le trajet pour se rendre à son propre domicile était vraiment trop long.
J'habite au deuxième étage d'un petit immeuble bourgeois et on doit emprunter un escalier pour s'y rendre et, « heureux hasard », c'est ma jolie invitée qui prit les devants ! Durant les quelques marches que dure la montée, j'ai eu le temps de me régaler les yeux de ses jolies jambes habillées de bas accrochés à un porte jarretelle… La minijupe de son tailleur était vraiment mini et l'humidité faisait qu'elle avait tendance à remonter à mesure que la belle blonde gravissait les marches. Sur le palier j'étais désolé de ne pas habiter au dixième et dernier étage de mon immeuble.
Une fois arrivés, je lui prêtais un peignoir pour qu'elle puisse se déshabiller et faire sécher les habits sur le radiateur. Quant à moi je me suis dégoté une autre tenue dans la penderie de la chambre. En attendant que son tailleur soit à nouveau sec, je proposais à Natacha, c'est son prénom, de boire ensemble un café au salon. Assise en face de moi, sur un des fauteuils en cuir, elle m'offrait à nouveau la vue de ses jolies jambes car le peignoir était un peu court… J'appris qu'elle travaillait comme interprète à l'ambassade de Russie étant elle-même d'origine moscovite. Elle me raconta un peu sa vie et je lui déballais des banalités sur la mienne. Pendant tout se temps elle me regardait droit dans les yeux se qui me rendait un peu mal à l'aise tellement la beauté de son visage slave me faisait chavirer le cœur. Il m'avait été donné de côtoyer des jolies filles, mais des comme ça jamais ! Des beautés pareilles, je pensais que cela n'existait que dans les films ! Mais dans les films elles sont arrangées, maquillées et mises en valeurs… Natacha, elle, par la douche de pluie qu'elle venait de prendre n'avait aucun artifice pour tricher et je pensais alors que la vision de cette beauté était irréelle et que je devais rêver ! Se rendant compte de mon trouble, la beauté slave me taquina en me demandant ce qui pouvait bien faire trembloter comme cela la tasse de café que je tenais à la main. Je tentais de bafouiller une explication quand décroisant les jambes et les recroisant dans l'autre sens elle me demanda si c'est la proximité de sa presque nudité qui me mettait dans un tel état.
A ce moment là, je pense que je devais être rouge comme une pivoine ! Elle s'approcha de moi et me pris le visage entre les mains pour l'embrasser. Elle me dit qu'elle voyait bien l'effet qu'elle me procurait et qu'elle avait, elle aussi, envie de moi !
Si il y a un instant je pensais être dans un rêve, désormais j'en étais sûr, je devais avoir rendu l'âme et me trouvait au paradis avec un ange ! Mais un ange aux formes de diablesse !
Tout chez cette fille est parfait et j'étais comme tétanisé devant le spectacle. Ses jolis seins se présentaient, arrogants, devant mon visage et j'en gobais les bouts pour les faire darder. Ma langue s'appliquait à faire soupirer Natacha tandis que mes mains, devenues un peu plus entreprenantes lui caressaient le dos. Le contact avec son corps me sortis immédiatement de la douce léthargie contemplative à laquelle je m'étais laissé allé. Mes hormones de mâle prenaient le dessus et mon sexe était au maximum de sa rigidité ! Je le libérais bien vite pour l'offrir à ma partenaire, heureuse de constater que je possède un membre viril des plus en forme qu'il soit !
Mis en position de soixante-neuf, nous nous délections de nos saveurs intimes et bien vite je fis jouir une première fois ma Russe en lui léchant le clitoris tout en lui doigtant la chatte… Elle me retourna sur le dos et m'enfourcha comme on monte à cheval pour ensuite par de petit vas et viens reproduire le sautillement du pas équin ! Heureusement pour moi, je tenais la distance, dame nature m'ayant doté d'une endurance hors norme. Car il en fallait de l'endurance pour suivre Natacha qui non seulement possède un physique pour faire l'amour mais aussi un caractère porté sur le sexe… Elle devait avoir beaucoup d'expérience malgré son jeune âge et rien ne lui faisait peur ! Toute les positions et les pratiques que je lui ai proposées ce jour là, elle les a accepté avec entrain et gourmandise. Fellation, 69, par devant, par derrière… Et même pour finir une magnifique et puissante sodomie…
Quelle sodomie ! Quand j'y repense je ne peu m'empêcher de bander ! Quand j'ai présenté mon sexe à l'entrée de son anus, celui-ci sembla prendre vie et me gober le membre ! Ma verge était littéralement aspirée par le conduit anal et les massages internes que cela me procurait me firent ressentir un plaisir immense comme jamais je n'en avais éprouvé. Quand j'éjaculais en elle j'ai malgré moi poussé un cri qui a du retentir dans tout l'immeuble. Ce cri fit son petit effet sur Natacha qui me dira par la suite avoir joui analement également à ce moment là.
Natacha était heureuse du moment que nous avions passés ensemble et me gratifia d'un beau compliment en me susurrant à l'oreille que j'étais un merveilleux amant et que si je voulais qu'on se revois, elle n'y verrais aucun inconvénient, bien au contraire…
Bien évidemment, je l'ai rappelé bien vite ! Nous sommes désormais inséparables, nous allons bientôt nous marier et je ne crois toujours pas en ma chance d'avoir rencontré et d'être aimé d'une telle bombe sexuelle…
Là au bord de la route, une blonde superbe, habillée en tailleur hyper sexy tentait de réparer une roue crevée. Trempée par la pluie, ses habits lui collait au corps ce qui mettait en valeur ses jolies formes. Jouant le parfait gentleman, je m'arrêtais pour aider la belle en détresse. Je changeais bien vite la roue mais me retrouvait à mon tour complètement Mouillé ! Nous étions tous les deux ennuyés et ne pouvions nous rendre à, elle son boulot, moi mon stage dans un état pareil. Je lui proposais donc de nous rendre chez moi pour nous sécher. Elle accepta car le trajet pour se rendre à son propre domicile était vraiment trop long.
J'habite au deuxième étage d'un petit immeuble bourgeois et on doit emprunter un escalier pour s'y rendre et, « heureux hasard », c'est ma jolie invitée qui prit les devants ! Durant les quelques marches que dure la montée, j'ai eu le temps de me régaler les yeux de ses jolies jambes habillées de bas accrochés à un porte jarretelle… La minijupe de son tailleur était vraiment mini et l'humidité faisait qu'elle avait tendance à remonter à mesure que la belle blonde gravissait les marches. Sur le palier j'étais désolé de ne pas habiter au dixième et dernier étage de mon immeuble.
Une fois arrivés, je lui prêtais un peignoir pour qu'elle puisse se déshabiller et faire sécher les habits sur le radiateur. Quant à moi je me suis dégoté une autre tenue dans la penderie de la chambre. En attendant que son tailleur soit à nouveau sec, je proposais à Natacha, c'est son prénom, de boire ensemble un café au salon. Assise en face de moi, sur un des fauteuils en cuir, elle m'offrait à nouveau la vue de ses jolies jambes car le peignoir était un peu court… J'appris qu'elle travaillait comme interprète à l'ambassade de Russie étant elle-même d'origine moscovite. Elle me raconta un peu sa vie et je lui déballais des banalités sur la mienne. Pendant tout se temps elle me regardait droit dans les yeux se qui me rendait un peu mal à l'aise tellement la beauté de son visage slave me faisait chavirer le cœur. Il m'avait été donné de côtoyer des jolies filles, mais des comme ça jamais ! Des beautés pareilles, je pensais que cela n'existait que dans les films ! Mais dans les films elles sont arrangées, maquillées et mises en valeurs… Natacha, elle, par la douche de pluie qu'elle venait de prendre n'avait aucun artifice pour tricher et je pensais alors que la vision de cette beauté était irréelle et que je devais rêver ! Se rendant compte de mon trouble, la beauté slave me taquina en me demandant ce qui pouvait bien faire trembloter comme cela la tasse de café que je tenais à la main. Je tentais de bafouiller une explication quand décroisant les jambes et les recroisant dans l'autre sens elle me demanda si c'est la proximité de sa presque nudité qui me mettait dans un tel état.
A ce moment là, je pense que je devais être rouge comme une pivoine ! Elle s'approcha de moi et me pris le visage entre les mains pour l'embrasser. Elle me dit qu'elle voyait bien l'effet qu'elle me procurait et qu'elle avait, elle aussi, envie de moi !
Si il y a un instant je pensais être dans un rêve, désormais j'en étais sûr, je devais avoir rendu l'âme et me trouvait au paradis avec un ange ! Mais un ange aux formes de diablesse !
Tout chez cette fille est parfait et j'étais comme tétanisé devant le spectacle. Ses jolis seins se présentaient, arrogants, devant mon visage et j'en gobais les bouts pour les faire darder. Ma langue s'appliquait à faire soupirer Natacha tandis que mes mains, devenues un peu plus entreprenantes lui caressaient le dos. Le contact avec son corps me sortis immédiatement de la douce léthargie contemplative à laquelle je m'étais laissé allé. Mes hormones de mâle prenaient le dessus et mon sexe était au maximum de sa rigidité ! Je le libérais bien vite pour l'offrir à ma partenaire, heureuse de constater que je possède un membre viril des plus en forme qu'il soit !
Mis en position de soixante-neuf, nous nous délections de nos saveurs intimes et bien vite je fis jouir une première fois ma Russe en lui léchant le clitoris tout en lui doigtant la chatte… Elle me retourna sur le dos et m'enfourcha comme on monte à cheval pour ensuite par de petit vas et viens reproduire le sautillement du pas équin ! Heureusement pour moi, je tenais la distance, dame nature m'ayant doté d'une endurance hors norme. Car il en fallait de l'endurance pour suivre Natacha qui non seulement possède un physique pour faire l'amour mais aussi un caractère porté sur le sexe… Elle devait avoir beaucoup d'expérience malgré son jeune âge et rien ne lui faisait peur ! Toute les positions et les pratiques que je lui ai proposées ce jour là, elle les a accepté avec entrain et gourmandise. Fellation, 69, par devant, par derrière… Et même pour finir une magnifique et puissante sodomie…
Quelle sodomie ! Quand j'y repense je ne peu m'empêcher de bander ! Quand j'ai présenté mon sexe à l'entrée de son anus, celui-ci sembla prendre vie et me gober le membre ! Ma verge était littéralement aspirée par le conduit anal et les massages internes que cela me procurait me firent ressentir un plaisir immense comme jamais je n'en avais éprouvé. Quand j'éjaculais en elle j'ai malgré moi poussé un cri qui a du retentir dans tout l'immeuble. Ce cri fit son petit effet sur Natacha qui me dira par la suite avoir joui analement également à ce moment là.
Natacha était heureuse du moment que nous avions passés ensemble et me gratifia d'un beau compliment en me susurrant à l'oreille que j'étais un merveilleux amant et que si je voulais qu'on se revois, elle n'y verrais aucun inconvénient, bien au contraire…
Bien évidemment, je l'ai rappelé bien vite ! Nous sommes désormais inséparables, nous allons bientôt nous marier et je ne crois toujours pas en ma chance d'avoir rencontré et d'être aimé d'une telle bombe sexuelle…
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