Agréables vacances
Récit érotique écrit par la catin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Agréables vacances
Je n’oublierai jamais l’été de mes 20 ans qui me fit rencontrer Paul, un beau blond, doux et câlin.
Moins d’une semaine après notre premier baiser il m’invita dans la propriété de ses parents au Cap Ferret.
Je fis donc la connaissance de sa mère, Suzanne, un peu empesée par les ans, et de son père Marc, un bel homme athlétique au regard céruléen. Je fus immédiatement envoûtée par son charme. Il était souriant, enjoué et d’une bonne humeur communicative.
Paul me fit découvrir toutes les merveilles environnantes et nous partions souvent la journée entière.
Un soir, alors que j’étais sortie dans la moiteur de la nuit tombante pour fumer une cigarette, un bruit attira mon attention. Il venait, me sembla-t-il, de la douche extérieure qu’utilisait volontiers Paul et attendu que j’avais croisé ses parents en sortant, ça ne pouvait donc être que lui.
Bien décidée à le surprendre, un sourire mutin aux lèvres, je m’approchai à pas de loup et je poussai délicatement la porte en bambou.
Je me figeai. C’était Marc, le père de Paul !
Je m’en retournai aussitôt, silencieusement, et terriblement honteuse car j’ignorais s’il m’avait aperçue.
Le lendemain, nous partîmes tous les quatre à la plage où, profitant de l’absence de sa femme et de son fils, partis se baigner, Marc me dragua sans vergogne.
Ses questions, ses compliments, ses allusions, me mirent le feu aux joues.
Heureusement les absents réapparurent bientôt.
— Elle est bonne, déclara Paul en s’allongeant sur sa serviette. Tu devrais y aller ma puce.
Je ne jugeai pas utile de répondre et préférai me replonger dans mes pensées car Marc venait par ses propos de me troubler profondément. Je trouvais en lui la maturité, l’expérience, l’autorité, que Paul n’avait pas.
Marc discuta avec son épouse, jusqu’à ce qu’elle imite Paul en se positionnant sur le ventre.
Il en profita pour me saisir le poignet et amener ma main sur son maillot. Je sentis aussitôt son sexe frémir sous l’étoffe. J’aurais dû immédiatement retirer la main, car même si Marc me maintenait le poignet, je sentais sa prise faible. Pourtant je me contentai de fermer les yeux, sentant sous ma paume son sexe durcir.
J’avais les joues en feu et il me semblait que l’incendie se propageait. Marc imprima à ma main de doux mouvements puis, lentement, il la fit glisser à l’intérieur de son slip. Je frémis, et je sentis aussitôt ma chatte couler.
Lorsqu’il lâcha mon poignet, je laissai la main sur sa queue qui palpita dans ma paume. Ce fut une sensation d’une puissance érotique inouïe que je n’avais jamais connue, ni avec Paul, ni avec d’autres garçons. Il est vrai que je n’avais que vingt ans, et je me fis la réflexion qu’avant de vouloir tomber amoureuse, j’aurais dû fourbir mes armes avec un homme mature qui m’aurait enseigné l’art de la luxure.
Je me laissai bercer par cette certitude qui éveilla en moi des désirs nouveaux et je réalisai à peine que je bougeais les doigts.
Je retirai prestement ma main lorsque Paul se retourna puis je me levai d’un bond pour courir jusqu’à la mer pour y noyer la tache de ma culotte.
Deux heures plus tard, Suzanne et Paul disputèrent un match de tennis sur le terrain parsemé de touffes d’herbes, en contrebas de la maison.
Je me retrouvai alors, seule, en compagnie de Marc, torse nu et en short, qui vint s’allonger dans le relax près de moi.
Il n’attendit pas longtemps pour réitérer les gestes qu’il avait fait sur la plage et lorsque ma main glissa dans son short je sentit que rien d’autre ne protégeait son intimité.
— C’est plus pratique qu’avec le maillot, tu ne trouves pas ? fit-il sans tourner la tête.
Je demeurai silencieuse, la main immobile. Toutefois lorsque pour me taquiner il contracta son périnée son sexe frémit à nouveau sous ma paume et un tsunami de frissons déferla sur ma peau.
— J’adore qu’on me touche les boules, murmura-t-il, toujours sans me regarder.
Sa demande me chauffa les joues. Toutefois je ne souhaitais pas satisfaire son désir car j’étais consciente que si je cédais, j’allais plonger dans un engrenage sensuel duquel il me serait peut-être difficile de sortir.
Je ne voulais pas, mais mes doigts ne m’obéissaient plus. Il descendirent lentement et se refermèrent sur les grosses bourses de Marc qui laissa échapper un gémissement, puis, alors que dans un superbe effort de volonté j’étais, pour le salut de mon âme, décidée à m’enfuir, il baissa son short jusqu’aux genoux.
Je me mordis la lèvre lorsque je vis sa queue dressée comme un pieu. Elle était longue, épaisse, et enflamma le désir que jusqu’alors, je repoussais. Sans en avoir réellement conscience, je la saisis, et le feu au ventre je masturbai Marc qui bougea juste à temps pour éjaculer dans l’herbe, quelques secondes seulement avant que Paul et sa mère ne reviennent.
— Qu’est-ce qui se passe, tu es toute rouge ma puce ? fit Paul.
— Heu, rien, rien, j’ai… Heu… Un peu chaud, bafouillai-je.
Il n’insista pas.
Durant toute la soirée, honteuse de ce que j’avais fait, je fuyais le regard de Paul auquel, quelques heures plus tard, je me refusai pour la première fois. Heureusement il mit cela sur le compte de la fatigue.
La journée du lendemain se déroula sans la moindre équivoque mais le surlendemain je fus à nouveau prise au piège.
Paul avait accompagné sa mère en ville et je me prélassais sur un rocher chauffé par le soleil. Il y avait plus confortable me direz vous ; certes, mais de ce promontoire la vue était splendide sur la mer, et j’y passais toujours une heure ou deux en milieu d’après midi lorsque la lumière me paraissait la plus belle. Marc le savait et il n’eut donc aucune difficulté à me trouver.
Il arriva ruisselant, la serviette de plage autour du cou.
— Je viens de faire une dizaine de longueurs dans la piscine, ça fait du bien.
Tandis qu’il s’essuyait, je le regardai attentivement et je le trouvai encore plus beau que les jours précédents. Son charme, un instant, noua ma gorge.
Soudain, sans aucune gène il se débarrassa de son slip de bain, se sécha et sourit.
— Je crois que tu as déjà tout vu.
Je ne répondis pas mais le feu me chauffa les oreilles.
Il étendit sa serviette sur le sol et je crus qu’il allait s’allonger. Au lieu de cela il s’approcha de moi, me saisit par les cheveux et ordonna :
— Suce !
Non ! Il ne fallait pas. Je ne voulais pas !
J’étais crucifiée entre le refus et l’envie.
Ce fut le désir qui l’emporta lorsque je sentis sa queue frémir sur mes lèvres et j’ouvris la bouche.
L’autorité de Marc avait anéanti ma volonté en l’espace de quelques secondes. Il demandait ce qu’il voulait, virilement, comme un homme, et c’est ce qui manquait à Paul.
Je gobai le gland luisant de désir et je suçai du mieux que je le pus, car, bien que consciente de mon inexpérience, je voulais donner un maximum de plaisir à cet homme et qu’il fut le père de Paul, en ces minutes licencieuses,
ne me troublait plus.
—Touche-moi les couilles.
Le mot vulgaire, chargé de désir, exacerba mes sens, et je plongeai la main vers ses lourdes bourses que je ne lâchai plus.
J’étais très excitée et le ventre en feu et la culotte trempée, je serrai davantage les lèvres et me mis à pomper plus activement.
Je laissai Marc décharger dans ma bouche et sans trop savoir pourquoi, j’eus l’envie d’avaler sa semence.
C’était la première fois que je faisais ça !
Le cri de bête qu’il poussa en éjaculant me combla de bonheur. Moi, la jeune femme inexpérimentée, j’avais fait hurler de plaisir un vrai mâle.
Mon ressenti fut tellement fort que j’eus la sensation d’avoir joui.
Etrangement je ne fus pas troublée le reste de la journée, et je me sentais heureuse et détendue comme si… comme si j’avais fait l’amour.
Lorsque cette pensée traversa mon esprit je sus que si Marc en avait envie un jour, je ne refuserai pas.
Dans la nuit je me donnai à Paul avec une fièvre qui le surprit. Toutefois je ne trouvai pas dans la fellation que je lui prodiguai, l’excitation et le plaisir que j’avais ressenti avec son père et, curieusement, je n’éprouvais aucune culpabilité d’avoir franchi cette barrière morale qui aurait dû me retenir.
Il me sembla même que j’avais encore, par moments, le goût de la queue de Marc sur les lèvres.
Le lendemain au petit déjeuner je sursautai et je renversai une partie de la cafetière que je posais sur la table, en sentant la main de Marc sous ma robe.
— Qu’est ce qui se passe ma puce, s’inquiéta Paul.
— J’ai heu… Heurté le pied de la table.
En un éclair, Marc venait de réveiller les démons de la veille et par prudence je vins m’installer à côté de Paul.
Lorsque je croisai Marc un peu plus tard dans la cuisine il lança :
— Je ne veux plus que tu portes de culotte.
Figée par la surprise je ne sus que répondre et un quart d’heure plus tard je lançai mon sous vêtement dans la panière à linge.
Je me demandai quelle explication je pourrais fournir à Paul s’il se rendait compte que je n’en n’avais pas car, bizarrement « vieille France » pour son âge, il prétendait que seules les filles faciles avaient l’audace de ne pas porter de sous vêtements.
Etais-je une fille facile ? En un sens, je crois que oui, mais sans doute pas comme il l’entendait.
Durant toute la journée, chaque fois que je croisais Marc je m’attendais à ce qu’il glisse la main sous ma robe. J’espérais aussi qu’il me fixerait un rendez-vous pour me faire l’amour. Qu’il m’obligerait avec son autorité virile à me donner à lui.
J’étais certaine qu’il me ferait connaitre alors une jouissance formidable.
Au dîner je me sentis vexée qu’il n’ait pas cherché à savoir si je lui avais obéi.
Le lendemain j’hésitai longuement en m’habillant puis lorsque Paul eut quitté la chambre je troquai finalement ma robe contre une jupe courte et un chemisier fleuri et je laissai culotte et soutien gorge dans leur tiroir.
Il serait sans doute facile à Paul de se rendre compte de leur absence, mais tant pis, je voulais plaire à Marc.
Je profitai d’une discussion animée entre Paul et sa mère pour le rejoindre dans son atelier.
— Je peux vous aider ? lançai-je d’un air innocent.
— Approche, répliqua-t-il.
J’avançai jusqu’à lui et m’arrêtai de l’autre coté de l’établi.
Il saisit un rabot pour rectifier un pied de chaise puis soudain lança :
— Déboutonne ton chemisier.
Je crois que j’attendais cet ordre depuis que j’avais quitté ma chambre et je m’exécutai aussitôt.
— Penche-toi.
J’obéis et il avança la main pour écarter le décolleté.
— Joli ! Apprécia-t-il après avoir reluqué mes seins.
Je restai immobile. J’attendais qu’il les touche, mais rien.
Il me regarda dans les yeux, donna encore deux coups de rabot puis me fit frémir en ordonnant :
— Viens me sucer.
Je le regardai, interdite, et il ajouta :
— Viens te mettre sous l’établi.
Il me regarda avec une telle intensité que je n’eus pas la force de lui désobéir.
Je me contorsionnai et trouvai une place somme toute, assez confortable.
— Débrouille-toi, ajouta-t-il.
Que voulait-il dire ?
Lorsqu’il reprit les amples mouvements du rabot je compris. Je déboutonnai sa braguette et sortis sa queue. Elle se dressa aussitôt.
— Tu ne fais pas de fioriture, j’ai juste envie d’être pompé.
Je m’exécutai en proie une nouvelle fois au trouble qui m’avait assailli sur le rocher.
Il n’y avait pas cinq minutes que je m’activais, lorsque j’entendis la voix de Paul :
— T’as pas vue Clara ? (c’est moi).
— Non, répondit Marc.
Je m’étais arrêtée, attendant le départ de Paul mais Marc en me pressant la tête contre sa verge me fit comprendre de continuer. Ce que je fis.
Il demeura impassible lorsqu’il jouit et je dus attendre encore dix minutes que Paul fut parti pour sortir de ma cachette.
Lorsque je me redressai Marc m’empoigna les seins et les malaxa.
C’était bon une poigne d’homme ! Paul, lui, se contentai de les toucher du bout des doigts.
Il me pelota quelques minutes puis tendit la main vers une râpe.
Je me rajustai lorsqu’il lança :
— Ce soir tu te doucheras à l’extérieur. Tu m’enverras un texto quand tu y seras.
Je ne me retournai pas et me contentai de fermer les yeux un instant.
Le soir je consultai fréquemment ma montre. Je me douchais habituellement aux environs de dix huit heures et je ne voulais pas y déroger par crainte d’éveiller les soupçons.
Les aiguilles ne tournaient pas vite, c’était agaçant !
A 17h50 je poussai la porte en bambou et envoyai un texto à Marc : « J’y suis ». Puis je l’effaçai aussitôt.
A 18H10 il ne m’avait toujours pas rejointe et je décidai de me doucher.
J’entrai sous l’eau au moment où il se plaqua contre moi. Il me fit pivoter, plaça ses mains sous mes fesses et me souleva de ses bras puissants. Il m’embrassa les seins puis me laissa retomber de quelques centimètres et je m’empalai sur son pieu.
J’étouffai un cri contre son épaule.
Il me baisa ainsi un moment puis il m’accompagna au sol sans rompre l’union et me pilonna bestialement.
Je portai mon bras devant ma bouche et libérai des cris étouffés.
C’était comme ça que j’aimais être prise. Comme ça que Paul ne me prendrait jamais, j’en étais certaine.
Marc se déchaina. J’étais au bord de l’évanouissement mais je jouis deux fois avant d’entendre son rugissement.
J’étais exténuée, le corps repu et l’âme cotonneuse.
Marc se releva et avant de partir il lança :
— Demain je te sodomiserai.
Je restai encore quelques minutes sous l’eau tiède, les pensées brouillées par les paroles de Marc. Il voulait me sodomiser, mais ça, non ! Je ne pourrai jamais. Je l’avais toujours refusé à Paul. Et puis Marc était trop bien membré.
Non, c’était impossible !
C’était impossible, et pourtant cela me tarauda l’esprit lorsque j’y repensai dans mon lit, étendue à côté de Paul qui ronflait. Il s’était endormi fâché car je lui avais refusé un câlin sous un prétexte fallacieux.
A deux heures du matin je ne dormais toujours pas.
La phrase de Marc tournait en boucle dans ma tête. Je ne voulais pas, mais au fond, pourquoi ? N’était-ce pas tout simplement parce que j’avais peur ? Mais peur de quoi ? Marc était un homme expérimenté et il avait dû le faire souvent. De fait cette peur ne devenait-elle pas irrationnelle ? J’aurais pu avoir des raisons de m’inquiéter avec Paul ou un autre garçon trop jeune et sans expérience. Mais avec Marc ? Je lui dirai qu’on ne m’avait jamais prise comme ça et il saurait quoi faire. Puis me revinrent soudainement quelques commentaires de mes copines. Elles avaient aimé et certaines le faisaient souvent.
Ce fut sur cette note optimiste qu’enfin, je m’endormis.
Le lendemain l’angoisse m’étreignis dès que je vis Marc. Je n’allais pas pouvoir le fuir toute la journée alors peu avant midi je me décidai à lui envoyer un texto, espérant qu’il comprendrait.
Je rédigeai un message laconique : « Je l’ai jamais fait » avec plein de petits smiley grimaçants.
La réponse arriva aussitôt : « Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude ».
J’aurais aimé qu’il me donnât plus de renseignements… sur l’heure et le lieu, mais peut-être ne voulait-il pas que j’angoisse inutilement.
Le soir lorsque Suzanne posa quelques chips sur la table pour l’apéro, Marc ne s’était toujours pas décidé et je pensai qu’il avait renoncé.
J’en fus soulagée et aussi un peu déçue, je crois.
— Je bois un coup vite fait, lança Paul, car la finale va commencer.
Je le regardai perplexe et Marc me renseigna :
— C’est les internationaux de je ne sais pas trop quoi, en tennis. Paul et sa mère ne ratent jamais une finale. Ça va nous laisser du temps.
Nous laisser du temps ?
Oh, mon Dieu !
Je réalisai soudain et l’angoisse revint. Marc me resservit un verre de Sauternes que je vidai d’un trait.
— Ça fait déjà trois, me dit-il en souriant. Mais c’est bien, ça lève les inhibitions.
Il remplit à nouveau mon verre. J’avais la tête qui tournait un peu mais j’étais plus sereine. L’angoisse avait peu à peu disparu. Je vidai le Sauternes cul sec puis je tendis mon verre.
— Non ! fit Marc. Ça suffit. Je veux que tu sois parfaitement consciente.
J’éclatai soudain de rire et il posa la main sur ma bouche. Il me souleva par le bras et comme je chancelais, il me porta jusqu’à la grange où il me déposa derrière un amoncellement de bottes de paille avant de retourner fermer la porte.
Je riais encore lorsqu’il entreprit de me mettre nue.
— Tu es belle.
— Oui et complètement pompette ! Répliquai-je.
Lorsqu’il retira son caleçon je m’écriai :
— La vache, elle a encore grossi. Puis j’éclatai une nouvelle fois de rire en ajoutant : elle va jamais rentrer.
— Bien sûr que si, fit Marc mais il faut que je sois bien dur.
Il me saisit par les cheveux.
— Suce !
Je ne me fis pas prier et je le pompai goulûment.
— Ça suffit, fit-il bientôt en se retirant.
Il me retourna et me courba sur une botte de paille puis il frotta sa queue sur ma chatte pour la lubrifier.
Je frissonnai lorsque je sentis son gland forcer mon anus. Il poussa très lentement puis soudain je ressentis une légère douleur qui ne dura pas lorsqu’il franchit ma rondelle. Il se retira un peu puis massa mon anus avec sa bite et il me sembla que les muscles se détendaient. Dès cet instant des sensation exquises affluèrent. C’était différent de tout ce que je connaissais. Différent des caresses sur ma chatte. Différent des pénétration habituelles. Pas meilleur mais différent.
Chaque fois qu’il ressortait son gland pour s’enfoncer à nouveau, je frissonnais.
Puis je compris pourquoi j’avais tant de sensations : mon fourreau était très étroit et sa verge en pressait fortement les parois. Après un moment je m’envolai en me demandant si j’allais jouir. J’en avais envie, comme j’avais envie de lui donner du plaisir. Alors lorsqu’il souffla :
— Tu es très étroite, c’est bon.
Je poussai les fesses vers lui l’autorisant ainsi à intensifier son pilonnage.
C’était bon d’être prise aussi fort !
Je l’entendis souffler comme une bête puis il se retira brusquement en rugissant pour éjaculer sur mes reins.
Je restai courbée sur la paille, pantelante.
Dix minutes plus tard nous étions de retour sur la terrasse et nous rejoignîmes Paul et sa mère.
— C’est encore Nadal qui mène, fit cette dernière.
Je me calai contre Paul et l’embrassai sur la joue puis après un quart d’heure je déclarai monter me coucher.
Alors que je gravissais les premières marches Marc glissa la main sous ma robe et passa son doigt dans la raie de mes fesses.
— Je veux avoir l’exclusivité de cet orifice.
Je poursuivis mon ascension sans un mot dès qu’il retira sa main et parvenue dans ma chambre je fus envahie par un bonheur étrange. Celui de lui appartenir. Au moins pour les vacances.
J’ôtai ma robe et caressai mes fesses nues, devant la psyché en murmurant :
— Oui Marc, elles sont à toi.
Seulement à toi.
Moins d’une semaine après notre premier baiser il m’invita dans la propriété de ses parents au Cap Ferret.
Je fis donc la connaissance de sa mère, Suzanne, un peu empesée par les ans, et de son père Marc, un bel homme athlétique au regard céruléen. Je fus immédiatement envoûtée par son charme. Il était souriant, enjoué et d’une bonne humeur communicative.
Paul me fit découvrir toutes les merveilles environnantes et nous partions souvent la journée entière.
Un soir, alors que j’étais sortie dans la moiteur de la nuit tombante pour fumer une cigarette, un bruit attira mon attention. Il venait, me sembla-t-il, de la douche extérieure qu’utilisait volontiers Paul et attendu que j’avais croisé ses parents en sortant, ça ne pouvait donc être que lui.
Bien décidée à le surprendre, un sourire mutin aux lèvres, je m’approchai à pas de loup et je poussai délicatement la porte en bambou.
Je me figeai. C’était Marc, le père de Paul !
Je m’en retournai aussitôt, silencieusement, et terriblement honteuse car j’ignorais s’il m’avait aperçue.
Le lendemain, nous partîmes tous les quatre à la plage où, profitant de l’absence de sa femme et de son fils, partis se baigner, Marc me dragua sans vergogne.
Ses questions, ses compliments, ses allusions, me mirent le feu aux joues.
Heureusement les absents réapparurent bientôt.
— Elle est bonne, déclara Paul en s’allongeant sur sa serviette. Tu devrais y aller ma puce.
Je ne jugeai pas utile de répondre et préférai me replonger dans mes pensées car Marc venait par ses propos de me troubler profondément. Je trouvais en lui la maturité, l’expérience, l’autorité, que Paul n’avait pas.
Marc discuta avec son épouse, jusqu’à ce qu’elle imite Paul en se positionnant sur le ventre.
Il en profita pour me saisir le poignet et amener ma main sur son maillot. Je sentis aussitôt son sexe frémir sous l’étoffe. J’aurais dû immédiatement retirer la main, car même si Marc me maintenait le poignet, je sentais sa prise faible. Pourtant je me contentai de fermer les yeux, sentant sous ma paume son sexe durcir.
J’avais les joues en feu et il me semblait que l’incendie se propageait. Marc imprima à ma main de doux mouvements puis, lentement, il la fit glisser à l’intérieur de son slip. Je frémis, et je sentis aussitôt ma chatte couler.
Lorsqu’il lâcha mon poignet, je laissai la main sur sa queue qui palpita dans ma paume. Ce fut une sensation d’une puissance érotique inouïe que je n’avais jamais connue, ni avec Paul, ni avec d’autres garçons. Il est vrai que je n’avais que vingt ans, et je me fis la réflexion qu’avant de vouloir tomber amoureuse, j’aurais dû fourbir mes armes avec un homme mature qui m’aurait enseigné l’art de la luxure.
Je me laissai bercer par cette certitude qui éveilla en moi des désirs nouveaux et je réalisai à peine que je bougeais les doigts.
Je retirai prestement ma main lorsque Paul se retourna puis je me levai d’un bond pour courir jusqu’à la mer pour y noyer la tache de ma culotte.
Deux heures plus tard, Suzanne et Paul disputèrent un match de tennis sur le terrain parsemé de touffes d’herbes, en contrebas de la maison.
Je me retrouvai alors, seule, en compagnie de Marc, torse nu et en short, qui vint s’allonger dans le relax près de moi.
Il n’attendit pas longtemps pour réitérer les gestes qu’il avait fait sur la plage et lorsque ma main glissa dans son short je sentit que rien d’autre ne protégeait son intimité.
— C’est plus pratique qu’avec le maillot, tu ne trouves pas ? fit-il sans tourner la tête.
Je demeurai silencieuse, la main immobile. Toutefois lorsque pour me taquiner il contracta son périnée son sexe frémit à nouveau sous ma paume et un tsunami de frissons déferla sur ma peau.
— J’adore qu’on me touche les boules, murmura-t-il, toujours sans me regarder.
Sa demande me chauffa les joues. Toutefois je ne souhaitais pas satisfaire son désir car j’étais consciente que si je cédais, j’allais plonger dans un engrenage sensuel duquel il me serait peut-être difficile de sortir.
Je ne voulais pas, mais mes doigts ne m’obéissaient plus. Il descendirent lentement et se refermèrent sur les grosses bourses de Marc qui laissa échapper un gémissement, puis, alors que dans un superbe effort de volonté j’étais, pour le salut de mon âme, décidée à m’enfuir, il baissa son short jusqu’aux genoux.
Je me mordis la lèvre lorsque je vis sa queue dressée comme un pieu. Elle était longue, épaisse, et enflamma le désir que jusqu’alors, je repoussais. Sans en avoir réellement conscience, je la saisis, et le feu au ventre je masturbai Marc qui bougea juste à temps pour éjaculer dans l’herbe, quelques secondes seulement avant que Paul et sa mère ne reviennent.
— Qu’est-ce qui se passe, tu es toute rouge ma puce ? fit Paul.
— Heu, rien, rien, j’ai… Heu… Un peu chaud, bafouillai-je.
Il n’insista pas.
Durant toute la soirée, honteuse de ce que j’avais fait, je fuyais le regard de Paul auquel, quelques heures plus tard, je me refusai pour la première fois. Heureusement il mit cela sur le compte de la fatigue.
La journée du lendemain se déroula sans la moindre équivoque mais le surlendemain je fus à nouveau prise au piège.
Paul avait accompagné sa mère en ville et je me prélassais sur un rocher chauffé par le soleil. Il y avait plus confortable me direz vous ; certes, mais de ce promontoire la vue était splendide sur la mer, et j’y passais toujours une heure ou deux en milieu d’après midi lorsque la lumière me paraissait la plus belle. Marc le savait et il n’eut donc aucune difficulté à me trouver.
Il arriva ruisselant, la serviette de plage autour du cou.
— Je viens de faire une dizaine de longueurs dans la piscine, ça fait du bien.
Tandis qu’il s’essuyait, je le regardai attentivement et je le trouvai encore plus beau que les jours précédents. Son charme, un instant, noua ma gorge.
Soudain, sans aucune gène il se débarrassa de son slip de bain, se sécha et sourit.
— Je crois que tu as déjà tout vu.
Je ne répondis pas mais le feu me chauffa les oreilles.
Il étendit sa serviette sur le sol et je crus qu’il allait s’allonger. Au lieu de cela il s’approcha de moi, me saisit par les cheveux et ordonna :
— Suce !
Non ! Il ne fallait pas. Je ne voulais pas !
J’étais crucifiée entre le refus et l’envie.
Ce fut le désir qui l’emporta lorsque je sentis sa queue frémir sur mes lèvres et j’ouvris la bouche.
L’autorité de Marc avait anéanti ma volonté en l’espace de quelques secondes. Il demandait ce qu’il voulait, virilement, comme un homme, et c’est ce qui manquait à Paul.
Je gobai le gland luisant de désir et je suçai du mieux que je le pus, car, bien que consciente de mon inexpérience, je voulais donner un maximum de plaisir à cet homme et qu’il fut le père de Paul, en ces minutes licencieuses,
ne me troublait plus.
—Touche-moi les couilles.
Le mot vulgaire, chargé de désir, exacerba mes sens, et je plongeai la main vers ses lourdes bourses que je ne lâchai plus.
J’étais très excitée et le ventre en feu et la culotte trempée, je serrai davantage les lèvres et me mis à pomper plus activement.
Je laissai Marc décharger dans ma bouche et sans trop savoir pourquoi, j’eus l’envie d’avaler sa semence.
C’était la première fois que je faisais ça !
Le cri de bête qu’il poussa en éjaculant me combla de bonheur. Moi, la jeune femme inexpérimentée, j’avais fait hurler de plaisir un vrai mâle.
Mon ressenti fut tellement fort que j’eus la sensation d’avoir joui.
Etrangement je ne fus pas troublée le reste de la journée, et je me sentais heureuse et détendue comme si… comme si j’avais fait l’amour.
Lorsque cette pensée traversa mon esprit je sus que si Marc en avait envie un jour, je ne refuserai pas.
Dans la nuit je me donnai à Paul avec une fièvre qui le surprit. Toutefois je ne trouvai pas dans la fellation que je lui prodiguai, l’excitation et le plaisir que j’avais ressenti avec son père et, curieusement, je n’éprouvais aucune culpabilité d’avoir franchi cette barrière morale qui aurait dû me retenir.
Il me sembla même que j’avais encore, par moments, le goût de la queue de Marc sur les lèvres.
Le lendemain au petit déjeuner je sursautai et je renversai une partie de la cafetière que je posais sur la table, en sentant la main de Marc sous ma robe.
— Qu’est ce qui se passe ma puce, s’inquiéta Paul.
— J’ai heu… Heurté le pied de la table.
En un éclair, Marc venait de réveiller les démons de la veille et par prudence je vins m’installer à côté de Paul.
Lorsque je croisai Marc un peu plus tard dans la cuisine il lança :
— Je ne veux plus que tu portes de culotte.
Figée par la surprise je ne sus que répondre et un quart d’heure plus tard je lançai mon sous vêtement dans la panière à linge.
Je me demandai quelle explication je pourrais fournir à Paul s’il se rendait compte que je n’en n’avais pas car, bizarrement « vieille France » pour son âge, il prétendait que seules les filles faciles avaient l’audace de ne pas porter de sous vêtements.
Etais-je une fille facile ? En un sens, je crois que oui, mais sans doute pas comme il l’entendait.
Durant toute la journée, chaque fois que je croisais Marc je m’attendais à ce qu’il glisse la main sous ma robe. J’espérais aussi qu’il me fixerait un rendez-vous pour me faire l’amour. Qu’il m’obligerait avec son autorité virile à me donner à lui.
J’étais certaine qu’il me ferait connaitre alors une jouissance formidable.
Au dîner je me sentis vexée qu’il n’ait pas cherché à savoir si je lui avais obéi.
Le lendemain j’hésitai longuement en m’habillant puis lorsque Paul eut quitté la chambre je troquai finalement ma robe contre une jupe courte et un chemisier fleuri et je laissai culotte et soutien gorge dans leur tiroir.
Il serait sans doute facile à Paul de se rendre compte de leur absence, mais tant pis, je voulais plaire à Marc.
Je profitai d’une discussion animée entre Paul et sa mère pour le rejoindre dans son atelier.
— Je peux vous aider ? lançai-je d’un air innocent.
— Approche, répliqua-t-il.
J’avançai jusqu’à lui et m’arrêtai de l’autre coté de l’établi.
Il saisit un rabot pour rectifier un pied de chaise puis soudain lança :
— Déboutonne ton chemisier.
Je crois que j’attendais cet ordre depuis que j’avais quitté ma chambre et je m’exécutai aussitôt.
— Penche-toi.
J’obéis et il avança la main pour écarter le décolleté.
— Joli ! Apprécia-t-il après avoir reluqué mes seins.
Je restai immobile. J’attendais qu’il les touche, mais rien.
Il me regarda dans les yeux, donna encore deux coups de rabot puis me fit frémir en ordonnant :
— Viens me sucer.
Je le regardai, interdite, et il ajouta :
— Viens te mettre sous l’établi.
Il me regarda avec une telle intensité que je n’eus pas la force de lui désobéir.
Je me contorsionnai et trouvai une place somme toute, assez confortable.
— Débrouille-toi, ajouta-t-il.
Que voulait-il dire ?
Lorsqu’il reprit les amples mouvements du rabot je compris. Je déboutonnai sa braguette et sortis sa queue. Elle se dressa aussitôt.
— Tu ne fais pas de fioriture, j’ai juste envie d’être pompé.
Je m’exécutai en proie une nouvelle fois au trouble qui m’avait assailli sur le rocher.
Il n’y avait pas cinq minutes que je m’activais, lorsque j’entendis la voix de Paul :
— T’as pas vue Clara ? (c’est moi).
— Non, répondit Marc.
Je m’étais arrêtée, attendant le départ de Paul mais Marc en me pressant la tête contre sa verge me fit comprendre de continuer. Ce que je fis.
Il demeura impassible lorsqu’il jouit et je dus attendre encore dix minutes que Paul fut parti pour sortir de ma cachette.
Lorsque je me redressai Marc m’empoigna les seins et les malaxa.
C’était bon une poigne d’homme ! Paul, lui, se contentai de les toucher du bout des doigts.
Il me pelota quelques minutes puis tendit la main vers une râpe.
Je me rajustai lorsqu’il lança :
— Ce soir tu te doucheras à l’extérieur. Tu m’enverras un texto quand tu y seras.
Je ne me retournai pas et me contentai de fermer les yeux un instant.
Le soir je consultai fréquemment ma montre. Je me douchais habituellement aux environs de dix huit heures et je ne voulais pas y déroger par crainte d’éveiller les soupçons.
Les aiguilles ne tournaient pas vite, c’était agaçant !
A 17h50 je poussai la porte en bambou et envoyai un texto à Marc : « J’y suis ». Puis je l’effaçai aussitôt.
A 18H10 il ne m’avait toujours pas rejointe et je décidai de me doucher.
J’entrai sous l’eau au moment où il se plaqua contre moi. Il me fit pivoter, plaça ses mains sous mes fesses et me souleva de ses bras puissants. Il m’embrassa les seins puis me laissa retomber de quelques centimètres et je m’empalai sur son pieu.
J’étouffai un cri contre son épaule.
Il me baisa ainsi un moment puis il m’accompagna au sol sans rompre l’union et me pilonna bestialement.
Je portai mon bras devant ma bouche et libérai des cris étouffés.
C’était comme ça que j’aimais être prise. Comme ça que Paul ne me prendrait jamais, j’en étais certaine.
Marc se déchaina. J’étais au bord de l’évanouissement mais je jouis deux fois avant d’entendre son rugissement.
J’étais exténuée, le corps repu et l’âme cotonneuse.
Marc se releva et avant de partir il lança :
— Demain je te sodomiserai.
Je restai encore quelques minutes sous l’eau tiède, les pensées brouillées par les paroles de Marc. Il voulait me sodomiser, mais ça, non ! Je ne pourrai jamais. Je l’avais toujours refusé à Paul. Et puis Marc était trop bien membré.
Non, c’était impossible !
C’était impossible, et pourtant cela me tarauda l’esprit lorsque j’y repensai dans mon lit, étendue à côté de Paul qui ronflait. Il s’était endormi fâché car je lui avais refusé un câlin sous un prétexte fallacieux.
A deux heures du matin je ne dormais toujours pas.
La phrase de Marc tournait en boucle dans ma tête. Je ne voulais pas, mais au fond, pourquoi ? N’était-ce pas tout simplement parce que j’avais peur ? Mais peur de quoi ? Marc était un homme expérimenté et il avait dû le faire souvent. De fait cette peur ne devenait-elle pas irrationnelle ? J’aurais pu avoir des raisons de m’inquiéter avec Paul ou un autre garçon trop jeune et sans expérience. Mais avec Marc ? Je lui dirai qu’on ne m’avait jamais prise comme ça et il saurait quoi faire. Puis me revinrent soudainement quelques commentaires de mes copines. Elles avaient aimé et certaines le faisaient souvent.
Ce fut sur cette note optimiste qu’enfin, je m’endormis.
Le lendemain l’angoisse m’étreignis dès que je vis Marc. Je n’allais pas pouvoir le fuir toute la journée alors peu avant midi je me décidai à lui envoyer un texto, espérant qu’il comprendrait.
Je rédigeai un message laconique : « Je l’ai jamais fait » avec plein de petits smiley grimaçants.
La réponse arriva aussitôt : « Ne t’inquiète pas, j’ai l’habitude ».
J’aurais aimé qu’il me donnât plus de renseignements… sur l’heure et le lieu, mais peut-être ne voulait-il pas que j’angoisse inutilement.
Le soir lorsque Suzanne posa quelques chips sur la table pour l’apéro, Marc ne s’était toujours pas décidé et je pensai qu’il avait renoncé.
J’en fus soulagée et aussi un peu déçue, je crois.
— Je bois un coup vite fait, lança Paul, car la finale va commencer.
Je le regardai perplexe et Marc me renseigna :
— C’est les internationaux de je ne sais pas trop quoi, en tennis. Paul et sa mère ne ratent jamais une finale. Ça va nous laisser du temps.
Nous laisser du temps ?
Oh, mon Dieu !
Je réalisai soudain et l’angoisse revint. Marc me resservit un verre de Sauternes que je vidai d’un trait.
— Ça fait déjà trois, me dit-il en souriant. Mais c’est bien, ça lève les inhibitions.
Il remplit à nouveau mon verre. J’avais la tête qui tournait un peu mais j’étais plus sereine. L’angoisse avait peu à peu disparu. Je vidai le Sauternes cul sec puis je tendis mon verre.
— Non ! fit Marc. Ça suffit. Je veux que tu sois parfaitement consciente.
J’éclatai soudain de rire et il posa la main sur ma bouche. Il me souleva par le bras et comme je chancelais, il me porta jusqu’à la grange où il me déposa derrière un amoncellement de bottes de paille avant de retourner fermer la porte.
Je riais encore lorsqu’il entreprit de me mettre nue.
— Tu es belle.
— Oui et complètement pompette ! Répliquai-je.
Lorsqu’il retira son caleçon je m’écriai :
— La vache, elle a encore grossi. Puis j’éclatai une nouvelle fois de rire en ajoutant : elle va jamais rentrer.
— Bien sûr que si, fit Marc mais il faut que je sois bien dur.
Il me saisit par les cheveux.
— Suce !
Je ne me fis pas prier et je le pompai goulûment.
— Ça suffit, fit-il bientôt en se retirant.
Il me retourna et me courba sur une botte de paille puis il frotta sa queue sur ma chatte pour la lubrifier.
Je frissonnai lorsque je sentis son gland forcer mon anus. Il poussa très lentement puis soudain je ressentis une légère douleur qui ne dura pas lorsqu’il franchit ma rondelle. Il se retira un peu puis massa mon anus avec sa bite et il me sembla que les muscles se détendaient. Dès cet instant des sensation exquises affluèrent. C’était différent de tout ce que je connaissais. Différent des caresses sur ma chatte. Différent des pénétration habituelles. Pas meilleur mais différent.
Chaque fois qu’il ressortait son gland pour s’enfoncer à nouveau, je frissonnais.
Puis je compris pourquoi j’avais tant de sensations : mon fourreau était très étroit et sa verge en pressait fortement les parois. Après un moment je m’envolai en me demandant si j’allais jouir. J’en avais envie, comme j’avais envie de lui donner du plaisir. Alors lorsqu’il souffla :
— Tu es très étroite, c’est bon.
Je poussai les fesses vers lui l’autorisant ainsi à intensifier son pilonnage.
C’était bon d’être prise aussi fort !
Je l’entendis souffler comme une bête puis il se retira brusquement en rugissant pour éjaculer sur mes reins.
Je restai courbée sur la paille, pantelante.
Dix minutes plus tard nous étions de retour sur la terrasse et nous rejoignîmes Paul et sa mère.
— C’est encore Nadal qui mène, fit cette dernière.
Je me calai contre Paul et l’embrassai sur la joue puis après un quart d’heure je déclarai monter me coucher.
Alors que je gravissais les premières marches Marc glissa la main sous ma robe et passa son doigt dans la raie de mes fesses.
— Je veux avoir l’exclusivité de cet orifice.
Je poursuivis mon ascension sans un mot dès qu’il retira sa main et parvenue dans ma chambre je fus envahie par un bonheur étrange. Celui de lui appartenir. Au moins pour les vacances.
J’ôtai ma robe et caressai mes fesses nues, devant la psyché en murmurant :
— Oui Marc, elles sont à toi.
Seulement à toi.
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Les avis des lecteurs
Une histoire très excitante , une initiation qui laisse entrevoir de belles aventures à venir