Douceurs polynésiennes

- Par l'auteur HDS la catin -
Récit érotique écrit par la catin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Douceurs polynésiennes Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2022 dans la catégorie Plus on est
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Douceurs polynésiennes
Je m’étais exilée quelques semaines avec une copine après une rupture sentimentale, sur l’ile de Moorea en Polynésie.
Y’a pas mieux pour oublier un salopard qui vous baise pendant un an en omettant de vous préciser qu’il est marié.
Heureusement les copines sont là ! Et quand vous avez du pognon et que vous leur proposez de vous accompagner sous les tropiques il est peu probable qu’on vous dise non !

Mais revenons à notre histoire :

Ce soir là, nous longions la plage, pataugeant dans l’eau tiède, lorsque je fus attirée par le comportement inhabituel d’un homme. Je donnai un coup de coude à Mélanie.
— Regarde, je crois bien qu’il se masturbe.
Elle tourna la tête.
— Ouais, t’as raison. C’est glauque.
— Pourquoi, glauque ? Moi j’aime bien.
Nous continuâmes une centaine de mètres puis je lançai :
— T’aimerais pas voir de plus près ?

Je n’attendis pas sa réponse. Je fis demi-tour puis obliquai pour m’approcher de l’homme. C’était un autochtone couvert de tatouage et particulièrement beau. Son sexe n’était pas très gros mais il semblait extrêmement dur. Je m’arrêtai quelques secondes pour l’observer impudiquement puis je m’approchai, me laissai tomber sur le sable près de lui, et saisis sa queue.

Je jetai un rapide coup d’oeil à Mélanie qui s’était rapprochée. Je souris puis je me concentrai sur la masturbation. Après quelques minutes, salope comme je l’étais (rassurez-vous messieurs, je le suis toujours !), je ne pus résister à l’envie de prendre sa bite dans la bouche. Elle était douce et chaude, et moi j’aimais faire ça. Dès ma première pipe j’avais aimé ! J’offris alors à ce beau Polynésien une fellation généreuse et gourmande qui nous régala tous deux. J’étais tellement appliquée, que je ne vis pas Mélanie s’approcher. Lorsque je réalisai sa présence elle était assise sur le sable, près de nous. J’allai lui proposer de participer lorsque je vis un splendide gaillard, arborant un sexe imposant, approcher. Sans un mot il s’allongea sur le sable, fit un clin d’oeil à son pote et commença à se masturber. Sa bite se dressa aussitôt et elle me fit immédiatement envie. Néanmoins je ne pouvais pas abandonner l’homme que je cajolais, d’autant que Mélanie, probablement excitée elle aussi n’avait pas attendue bien longtemps pour saisir le joli gourdin et le prendre en bouche.

Je repris mon ouvrage lentement car je ne voulais pas faire jouir mon partenaire trop vite.
La situation insolite, puissamment érotique dans ce décor paradisiaque m’excita terriblement. Mélanie devait être dans un état similaire, et je relevai la tête un instant pour la regarder. Elle avait fermé les yeux et semblait sucer avec une telle gourmandise que je me demandai un instant si elle n’allait pas prendre son pied.
Lorsqu’elle souleva les paupières, je lui murmurai :
— On change ?
Elle sourit puis libéra la superbe queue que je m’empressai aussitôt de gober. Nous essayâmes de nous accorder, tant bien que mal, et nous fîmes jouir les hommes quasiment en même temps.
Nous les abandonnâmes peu après sans qu’un seul mot eut été échangé et j’attrapai Mélanie par le bras pour l’entrainer dans la mer.

— J’avais la culotte trempée, fis-je en éclatant de rire.
— Je crois bien que moi aussi, avoua-t-elle en explosant à son tour.

Une heure plus tard, bien que j’eus pris ma douche, j’étais toujours excitée. J’enfilai mon peignoir et m’allongeai sur le lit de la chambre que nous louions. Elle vint me rejoindre peu après.
— Je suis toujours excitée lui avouai-je.
Elle se dressa sur un coude.
— Je peux faire quelque chose ?
— Hein ?
— Non, rien.

Elle se rallongea puis quelques minutes plus tard me caressa les cheveux sensuellement avant de passer son index sur mes lèvres. Ce fut une sensation étrange qui rapidement m’enveloppa et je frissonnai.
— T’as froid ? Me demanda-t-elle.
Je ne répondis pas et fermai les yeux de peur de devoir soutenir son regard.

Bientôt je sentis ses doigts dans l’encolure du peignoir… puis sa main qui glissa jusqu’à mon sein droit, tandis que de l’autre, quelques secondes plus tard elle dénouait ma ceinture.
J’avais peur d’ouvrir les yeux et de montrer l’émoi qui m’étreignit alors, et je restai immobile et m’abandonnai aux caresses de Mélanie qui referma les lèvres autour de mon téton. Je sentis le feu dans mon ventre et je ne résistai pas lorsqu’elle saisit ma bouche. Je me laissai aller, incapable de luter, et je goutai sa langue avec gourmandise. Je perdis la notion du temps sous ses lèvres chaudes et après ce qui me parut un temps trop court, elle laissa sa bouche courir sur mon corps, puis lorsqu’elle m’écarta les jambes, je ne cherchai pas à résister. Elle posa un baiser sur ma chatte humide, titilla mon clitoris en m’arrachant des cris de plaisir, puis elle porta les fesses à hauteur de mon visage et m’enjamba. Je sentis son odeur intime et je ne pus me soustraire à la tentation diabolique qui me fit embrasser une chatte pour la première fois de ma vie. Incendiée par le plaisir que me procurait Mélanie je suçai délicatement son clitoris tandis qu’elle me faisait jouir. Je dus m’interrompre un instant sous la force du tsunami puis je l’emportai à mon tour dans un orgasme explosif.

Nous étions toutes deux apaisées et je fus confrontée à des sentiments déroutants tant je fus certaine que pour Mélanie aussi, c’était la première fois.
Nous n’en reparlâmes pas vraiment mais lorsqu’elle déclara un peu plus tard en se pomponnant :
— Ça vaut quand même pas une bonne bite.
J’acquiesçai et la rejoignis dans son rire franc et limpide.

Une bonne queue ? Nous espérions toutes deux en trouver une (chacune) dans notre pérégrination nocturne, ce qui arriverait très probablement car nous avions choisi de nous habiller comme de vraies salopes avec une simple robe extra courte qui nous couvrait à peine les fesses, sous laquelle, pour plus de commodités nous n’avions rien mis. Un oeil concupiscent n’aurait aucun mal à s’en apercevoir.

Lorsque nous nous dirigeâmes au bar de l’hôtel, Mélanie m’arrêta.
— Regarde, ils sont là !
Effectivement les beaux mâles que nous avions soulagés, étaient accrochés au comptoir.
— On y va ou on en cherche d’autres ? Fis-je.
Mélanie me regarda d’un oeil rieur.
— J’ai envie de m’amuser. Alors on y va, on joue un peu et on se tire.
— Comme des garces ?
— Comme des garces.

Nous avançâmes lentement vers les hommes qui se levèrent pour nous accueillir. Ils nous offrirent deux tournées de « planteur » et en portant le second verre à mes lèvres, je vis Mélanie tâter l’entrejambe de l’homme à ses côtés, lequel réagit aussitôt en passant la main sous sa robe.
— Pas de culotte les filles ? Demanda-t-il.
— Ça nous irrite répondit Mélanie, mutine.
Je m’attendais à me faire palucher à mon tour d’une seconde à l’autre, mais rien !
Puis soudain je sentis ma robe se relever.
— Beau cul, fit le tatoué.
J’étais déstabilisée par la surprise de l’attaque et je ne pus dire que :
— Merci.
Ils étaient beaux, certes, et bien qu’ils nous fissent encore envie, nous y avions goûté sur la plage et nous avions besoin de changement.
Mélanie, massa longuement l’entrejambe de l’homme qui fourrageait toujours sous sa jupe.
— Wahou ! fit-elle en constatant que le membre de l’homme s’était totalement déployé.
Ce dernier qui souhaitait sans doute une ambiance plus intime proposa :
— On change de crèmerie ?
— Ouais, répondit Mélanie mais on va se refaire une beauté avant. Tu viens ? fit-elle en m’entrainant par le bras.
— Dépêchez-vous les filles firent les hommes, de concert.

Nous primes la direction des toilettes et au dernier moment Mélanie poussa la porte de la rue. Nous partîmes en courant et en riant.

Nous primes la direction du port et en y arrivant nous nous réjouissions encore, telles deux véritables garces, du mauvais tour que nous venions de jouer à ces deux hommes.
— Gare à nous si nous les recroisons ! s’exclama Mélanie.

Nos déambulations sur le port nous conduisirent jusqu’à un pub où nous pensions dénicher deux beaux spécimens. Hélas il n’y avait que des couples. Nous nous installâmes au fond de l’établissement à côté de deux d’entre eux, lesquels devisaient joyeusement de manière grivoise.

Nous ne voulions pas accumuler les mélanges alors nous commandâmes deux « planteur ».

Nous réfléchissions à la suite de la soirée lorsque je fis remarquer à Mélanie que les deux femmes nous reluquaient ardemment.
— Des gouines, tu crois ? me demanda-t-elle.
— Elles sont avec des mecs.
— Et alors, elles sont peut-être à voile et à vapeur.
Nous éclatâmes de rire.
— La soirée semble bien joyeuse fit l’un des hommes en nous regardant. Voudriez-vous vous joindre à nous ?
— Volontiers, lança Mélanie sans me consulter.
L’homme se leva et rapprocha notre table.
— Je m’appelle Marc, et voici Suzie ma femme.
— Moi c’est Laura et lui c’est mon mari Igor il est d’origine russe.
Nous nous présentâmes à notre tour et reçûmes quelques compliments de la part de ces messieurs.
Marc était dans la trentaine, légèrement dégarni mais avec un sourire ravageur. Igor, quant à lui avait une blondeur flamboyante et bien qu’il fusse plus beau que son ami il ne dégageait pas la même sensualité.
En reposant mon verre je me demandai pourquoi nous tapions ainsi l’incruste avec ces couples. Notre projet initial était de rencontrer deux beaux gaillards… Libres !
J’allais tenter de le rappeler aussi discrètement que possible à Mélanie lorsque je vis Suzie poser la main sur le genou de Laura. Ça n’était pas là simple geste amical car je vis nettement la main remonter sur la cuisse. Je donnai un discret coup de coude à Mélanie qui pigea aussitôt et écarquilla les yeux, comme moi d’ailleurs, lorsqu’elle vit les filles se rouler un patin.
— Ça vous gêne, demanda Marc.
— Non, répliquai-je aussitôt, mais c’est pas notre truc.
— A nous non plus, déclara Igor de sa voix grave.
Nous eûmes le temps de finir nos verres avant que le baiser ne cessât.
— On y va ? suggéra soudain Suzie. Elle tourna la tête vers nous et ajouta : Ça vous tente un bain de minuit sur une plage privée ?
J’interrogeai Mélanie du regard, laquelle répondit :
— Pourquoi pas.
— Vous êtes en voiture ? demanda Marc.
— Oui, on vous suit.
— Parfait.

Dans la voiture nous hésitâmes plusieurs fois à prendre une autre direction histoire de reprendre le cours de notre chasse aux mâles.
— On voit comment ça tourne et si ça nous plait pas on se barre, suggéra Mélanie.
— Ok.

La puissante Mercedes que nous suivions s’arrêta quelques instants devant un portail métallique qui s’ouvrit électriquement. A sa suite, nous remontâmes une allée bordée d’immenses palmiers qui conduisait à une demeure somptueuse.
— La vache, ils s’emmerdent pas, fis-je ébahie.
Nous nous installâmes sur une vaste terrasse, majoritairement occupée par une piscine olympique qui dominait la plage de sable fin.
— On a un accès direct à la plage nous renseigna Laura.
— Chapeau, vous vous emmerdez-pas ! Lança Mélanie.
— C’est pas à nous, on loue pour les vacances.
Heureusement, Mélanie ne chercha pas à épiloguer.

Laura organisa le rangement sur le canapé en rotin : Marc à côté de moi et Igor à côté de Mélanie. Suzie et Laura s’installèrent face à nous. Lorsque cette dernière se leva pour nous proposer des rafraichissements, Suzy glissa la main sous sa robe pour lui toucher les fesses.
— Tu apporteras aussi un peu d’eau gazeuse ma chérie, s’il te plait.

Tandis que je regardais Laura s’éloigner, je sentis la main de Marc se poser sur mon genou. J’hésitai à le repousser devant le sourire ravi de sa femme qui nous observait. Mon absence de réaction encouragea Marc à remonter sous ma jupe. Je trouvai étrange qu’il put agir ainsi devant sa femme, mais peut-être était-ce cela qui m’excitait autant.
— On est mariés depuis 15 ans, Marc et moi. C’est un bon coup vous verrez.
Devant mon air ébahi, elle précisa :
— J’aime le voir avec d’autres femmes. Et c’est pareil pour Laura. Elle éclata de rire avant d’ajouter : et eux ils aiment bien nous regarder, Laura et moi.
Lorsque j’échangeai un rapide coup d’oeil avec Mélanie je vis qu’elle était debout et qu’Igor, ayant glissé la main sous sa robe, lui caressait les fesses.
Laura revint avec un chargement de bières et de rhum.
— Vous vous mettez pas à l’aise les garçons ? lança-t-elle.
Marc et Igor se regardèrent puis ils disparurent dans la maison pour en ressortir peu de temps après entièrement nus. J’eus un frisson en les voyant. Marc avait une musculature magnifiquement développée mais il arborait une verge plus petite que celle d’Igor, plus filiforme.

Néanmoins il n’y avait pas de quoi fouetter un chat !

Les voyant apparaître ainsi, Laura et Suzie, entreprirent de retirer leurs robes. C’était tout ce qu’elles portaient.
Suzie nous servit généreusement et personne ne fit de remarque quant aux vêtements que nous gardions. Néanmoins je mesurais rapidement le ridicule de la situation et je retirai ma robe, aussitôt imitée par Mélanie.
— Vous êtes magnifiques les filles, lança Laura et je craignis un instant qu’elle ne cherche ouvertement à nous draguer.
Elle apaisa mes craintes en déclarant :
— Ce soir on vous prête nos hommes.
— Et il sont interchangeables, précisa Suzie.

Interchangeables ? Il me fallut quelques secondes pour comprendre et je me dis que tout compte fait la soirée serait peut être très agréable.
— Mais attention, tout ce passe ici, sur la terrasse, conclut Laura.

Bon, là, ça coinçait quand même un peu pour moi. Il n’y aurait eu que les hommes, pas de problème, mais m’exhiber devant leurs femmes ça heurtait quelque peu ma morale, probablement parce que j’étais encore trop lucide. Il me fallut donc encore deux rhums pour m’arranger avec elle. Tant mieux, parce que voir les garçons triquer de la sorte était un appel au viol !

Lorsque je jetais un regard vers leurs femmes, je vis Suzie téter goulument son amie. Je crois que cela m’excita, d’autant que Mélanie s’était déjà emparée de la grosse queue d’Igor à laquelle j’aurai sans doute droit plus tard si les garçons étaient vraiment interchangeables.
Je passai délicatement mes doigts manucurés sur les bourses de Marc puis je décalottai sa verge. Son gland luisait d’excitation. Je le masturbai un moment, puis imitant Mélanie je commençai à le pomper. C’était bon. L’oeil aux aguets je décelai l’approche de Suzie et Lucie qui nous observèrent attentivement. Cela ne me dérangea pas et je m’appliquai à déployer tout mon art. Les hommes ne boudèrent pas leur plaisir qu’ils manifestèrent par de multiples gémissements gutturaux. Marc semblait adorer lorsque je pompai vite en serrant fort les lèvres et je ne l’en privai pas. Etait-ce de savoir que leurs femmes nous observaient où de voir le déchainement de Mélanie sur la grosse bite d’Igor ? Je ne pourrais le dire mais je me sentis soudain terriblement excitée et je n’eus plus l’envie comme je l’avais envisagé de me retirer lorsque Marc éjaculerait. Je le laissai donc décharger dans ma bouche, et en bonne salope, j’avalai.

Mélanie en avait fini elle aussi et nous nous rassîmes de concert sur le canapé.
— Jolies prestations mesdames. Je crois, les garçons qu’on a fait une bonne pioche en les rencontrant ce soir, déclara Suzie.
Ils approuvèrent.

Durant l’heure qui suivit, Laura et Suzie, nous offrirent un joli spectacle en se léchant à tour de rôle et je vis que cela avait réveillé les ardeurs des hommes.
Le contraire m’eut étonné !

Sans en avoir réellement conscience je pelotai les couilles d’Igor qui m’incita à le masturber doucement. Je m’arrêtai lorsque je vis Suzie revenir de la maison ceinte d’un gode ceinture. C’était en fait une ceinture munie de deux godes. Elle s’en enfila un dans la chatte puis pénétra Laura qu’elle baisa longuement. Les deux godes firent généreusement leur office car elles se mirent à gémir puis à crier en jouissant. Lorsqu’elles retombèrent sur le sol Igor plaça mes jambes sur ses épaules puis sa puissante queue força l’entrée de ma chatte. Il varia les mouvements, leur intensité, la profondeur, si bien que je montai façon TGV au septième ciel. C’était fabuleux tant il baisait bien. Il me fit hurler deux fois de plaisir et je retombai inerte et comblée pour voir Mélanie se faire défoncer. Marc aussi la fit crier de plaisir et je me dis que pour nous aussi la pioche fut bonne dans ce pub !

Une heure plus tard je succombai aux assauts de Marc et je hurlai de plus belle.

Nous récupérâmes tous dans l’eau turquoise du lagon puis vers trois heures du matin Mélanie et moi fumes énergiquement sodomisées, et, comme ces messieurs étaient interchangeables nous eûmes droit à du « rab » moins d’une heure plus tard.

Sur le coup des 6 heures, après un petit déjeuner revigorant nous regagnâmes la voiture les fesses un peu endolories.

Je reviendrai en Polynésie.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'adore cette histoire, bien écrite, res excitante !!!! Une suite peut être ?

Histoire Erotique
Une belle histoire bien écrite qui donne envie de vous croiser sur une plage ;)



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