Alex 14 La Tétée du cocu
Récit érotique écrit par Veilleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Alex 14 La Tétée du cocu
Alex 14 LA Tétée du cocu
- Tu sais, Jean, Alex reviendra. J'ai peur. Je ne pourrai pas toujours vivre cloîtrée,
il pourra me surprendre.
- Pour l'instant, le vendredi ferme bien tous les passages, fenêtres et portes. Ne lui
ouvre jamais. Si tu m'as tout dit, il n'a plus matière à te faire chanter. Dis lui que
je sais tout.
- Et s'il va voir mes parents avec ses photos ?
- Ne cherche pas d'excuses pour le recevoir. Tu sais, il suffirait d'un mot à ton père
pour obliger Alex à prendre la fuite. Enfin je te prie de revoir tes prévisions pour
Anne. Sois une bonne mère, comme tu le désirais. Et mange normalement pour préserver
ta santé et la sienne. Je ne tiens pas à coucher avec un squelette, j’adore tes
légères rondeurs, le rebondi si gracieux de ta croupe et ton visage épanoui
- Qu'est-ce que je dois faire des habits ?
Mon incinérateur de jardin a tout réduit en cendres.
Ce soir, nous avons pu nous regarder sans arrière pensée en allant au lit. Marie m'a
aimé en douceur. Mes mains l’ont effleurée, au lieu des coups d’Alex elle a apprécié
mes caresses amoureuses. Ses organes ont explosé de bonheur dans la sérénité. Elle m’a
aimé tendrement, m’a ému par son zèle à me rendre heureux et par son relâchement au
plus fort de la volupté. Jamais plus elle n’obéirait aux ordres du maître chanteur.
Son corps m’appartenait, elle se donnerait à moi aussi souvent que je la désirerais et
ne manquerait plus de me solliciter.
Marie m'avait promis de ne plus ouvrir sa porte le vendredi au sinistre Alex.
Mais elle tenait absolument à lui faire savoir que désormais il ne pourrait plus la
faire chanter et que la publication des photos volées ou imposées l'exposerait lui et
son complice à une plainte et à un dossier au commissariat. Elle lui parlerait à
travers la porte. Curieux de constater que tout se passerait bien, je simulais un
départ, revenais, pénétrais par la cave au moment où Albert sonnait à la porte
principale.
Des voix discutent, le ton n'est pas cordial. La voix d'homme ronchonne. Marie
parle d'une voix étonnamment ferme.
- Non, je n'ouvre pas. Ne crie pas. De toute façon, tu vas écouter ce que j'ai à te
dire et ensuite tu auras intérêt à déguerpir, sinon j'appellerai le commissariat. Fini
ton chantage, mon mari sait tout.
- Quoi ? Je n'entends rien. Ouvre vite, ma pine meurt d’envie de t’encorner. Je te
promets le ciel. Tes rêves seront réalisés
- Pars et ne reviens plus.
- Ne fais pas la forte tête. Explique-toi clairement. Ouvre au moins la lucarne que je
comprenne.
La malheureuse s'exécute, Alex plonge sa main à l'intérieur, saisit la clé et s'ouvre
le chemin, Marie lutte en vain.
- Quelle mouche te pique ? On dirait que tu n'es pas contente de me voir. Viens ici,
que je t'embrasse. Tâte mon paquet, à genoux, c’est l’heure de la pipe. Allez salope,
suce, c’est une bite de campagne, élevée à l’air pur. Broute et je t’enfile.
- Non, pas question. Pour le moment, entrons dans le bureau de Jean, j'ai à te parler
sérieusement.
- Mais on pourrait parler en haut aussi bien. Qu'est-ce que c'est ce cirque, tu te
mets à me commander ? N'oublie pas que c'est moi le chef et que tu as intérêt à faire
ce que je te dis, sinon tu sais ce qui t'arrivera.
- Parlons-en. Avant tout j’ai à faire quelques mises au point. Assieds-toi là sur le
canapé de bureau, moi je vais me mettre au bureau. Ne touche à rien, ne dérange rien :
Je ne veux pas que Jean remarque que nous sommes venus ici. D'abord, tire la tenture
devant la fenêtre, il est inutile qu'un curieux nous voie de l'extérieur. Appuie sur
l'interrupteur.
La voix est calme, presque dominatrice et curieusement Alex suit les consignes.
- Va me chercher une bière, s’il te plaît et prends en une pour toi, mon amour, j'ai
soif.
Marie fait un aller retour. Rien ne peut échapper à mon oreille. Elle espère
l’amadouer
- Je suis frigorifié, pour une fois j'ai roulé vite, je suis arrivé en avance sur le
parking de l'église. Jean a traîné ? Il t’a mis le petit pain au four, tu as baisé
avec lui pendant que je me gelais les couilles, tu désobéis, sale petite conne? Montre
ta zézette, je contrôle.
- Ca ne te regarde plus. Tu n’es pas propriétaire de ma zézette.
-Quand j'ai enfin vu sa voiture, il était 14heures 15. Tu m'avais dit qu'il était
ponctuel.
- Nous n’avons pas vu passer l’heure, tu sais ce que c’est.
-Je t’interdis de recommencer. Mais je vais effacer ses traces dans ton sexe.
-Ecoute-moi et entends jusqu'au bout ce que j'ai à te dire. Tu ne bouges pas du
canapé, sauf pour te rapprocher du radiateur si tu as froid. Je t'ai toujours dit que
j'aime mon mari par-dessus tout.
- Je m'en fous, ça ne m'intéresse pas. Du moment qu'on baise, je m'en bats les
couilles. Si c'est pour ça qu'on traîne ici, abrège. Il y a mieux à faire. Ne cache
pas ton envie de prendre ma tige dans ta cheminée. Je vais te faire fumer, chasser tes
chaleurs de chienne citadine. Allez, à ta santé. Tu aurais pu descendre des verres à
bière. Va en prendre deux.
Il semble calmé et Marie pense le raisonner en étant serviable. Elle fait un
aller retour.
-Bon, tu dois m’écouter.
-Viens me branler au lieu de jacasser. Bois une gorgée avant de me sucer.
- Toi tu m'obligeais à te laisser entrer en me faisant chanter.
-Arrête tes conneries. Quand je te baise, tu ne refuses jamais de jouir comme une
grosse salope. Ta chanson je la connais: « Non, non, un peu, juste un peu, oui, ah!
c’est bon, hum bon, encore, plus fort, reste, vas-y, baise-moi, défonce-moi,
encore! » . Alors fais vite ou je vais passer tout de suite aux travaux pratiques.
- Ferme-la une minute. Tu me tenais parce que tu avais réussi à faire avec Albert, ton
copain, des photos que tu menaçais de montrer à mon homme. Ne ricane pas, c'est
dégueulasse. Si Jean voyait ces photos, il pourrait se fâcher avec moi, espérais-tu.
Au début ça m'a fait peur. Ainsi pour la quatrième fois tu viens chez moi et tu me
traites comme si j'étais ta putain. Stop! Ca, c'est fini. Jean a vu les photos et ton
chantage ne vaut plus rien. Il est au courant de tout. Vendredi il a brûlé
l’accoutrement de pute. Fous-le camp.
- Oh ! Lala. Tu veux que je te dresse.
- Essaie ! Si tu me touches ou si tu me bats aujourd'hui, il faudra que tu me tues
pour m'empêcher d'aller porter plainte au commissariat.
- Tout ça c'est des mots. Une bonne branlée et une bonne baise vont te remettre les
idées en place. Chaque fois tu essaies de refuser et puis tu commences à mouiller un
peu, tu es prise d’envie, tu oublies tes bonnes résolutions, tu baisses ta culotte
trempée de désir, tu me montres ta motte pour que je te saute et après c’est à peine
si tu me laisses partir; salope un jour, salope toujours. Viens là sur le canapé, il
suffira que je t'embrasse et que je mette ma main dans la culotte pour que tu jutes et
que tu chantes. Tu veux que je vienne t'arracher les nichons ?
Derrière ma porte, j'ai entendu des choses surprenantes ; Marie m'a
partiellement ouvert les yeux. Je sais ce que je voulais savoir. Elle m'aime. Je
l'admire, elle se défend courageusement, comme la petite chèvre de monsieur Seguin en
face du loup. Si Alex la bouscule, je vais le remettre à sa place.
- Tu déconnes un peu trop, ma poule. Les premières photos n'étaient pas terribles.
Sache que le dernier vendredi, Albert a fait des merveilles. Prends ce paquet cadeau.
Regarde bien, c'est toujours toi et moi. Là, tu me tailles une pipe en haut de
l'escalier, mon zob te gonfle la joue, tes mamelles dressent leurs tétons. Ici tu as
ma bite au fond de la gorge, tes yeux te sortent de la tête et la bave coule sur ton
menton. Là tu recraches la fumée: t'es vraiment magnifique, à genoux devant mon zob.
Là tu prends plaisir à me lécher les couilles en levant ma queue pour mieux approcher;
ici, ta main tire ma fesse vers toi, tu as peur de perdre le bout de ma queue prise
entre tes lèvres amoureuses. Et sur celle là, prise de derrière on te reconnaît, tu es
assise sur ma queue, on n’en voit que la base et on voit ton abricot éclaté et ton
petit cul mignon avec ta rose entrouverte par tes efforts; et ton canapé de salon,
fort reconnaissable lui aussi ne peut pas laisser de doute à ton chéri. Là je te
prends en cuillère, une jambe rejetée par-dessus les miennes, nos deux sexes unis, à
mi course, sont brillants de mouille. Nous sommes tournés vers l'appareil, tu as la
bouche grande ouverte et les yeux fermés sur ton orgasme. Tu as dû prendre le flash
pour un éblouissement de plaisir si tu n'as rien remarqué.
A qui feras-tu croire que tu ne m’aimes pas? Et pire, la preuve de ton
putanat, Albert t’encule, bien enfoncé et tu grimace de plaisir, j’ai pris les photos
moi-même. Alors quand les flics et Jean te verront dans toutes ces positions, en
pleine jouissance, avec deux mecs différents, ils vont bien rigoler si tu dis que tu
n'étais pas d'accord. Là tu es sur le dos, ta jambe droite et ta jambe gauche
encerclent mon dos, tu lèves ton cul à ma rencontre, tes bras passent sous mes bras
pour serrer mes épaules. Une fille qui refuse ne se pousse pas en l'air à la rencontre
de l’engin de son partenaire. Enfin, la dernière, je m'enfonce dans ton vagin et on
distingue nettement un grain de beauté à trois centimètres de ton trou du cul plissé.
Si Jean te regarde, il reconnaîtra ta « nature ». Ici aussi tes fesses sont à dix
centimètres de haut. Bon j’ai assez de preuves, tout le monde saura que tu es une
traînée qui passe son temps les pattes en l’air.
-C’est faux!
-Prouve-le. Dis-moi plutôt si tu t'es bien entraînée cette semaine avec le godemiché
et si tu sauras me tailler une pipe de meilleure qualité.
Voilà une explication bien plus plausible que celle de la découverte subite de
toutes les subtilités. Madame reçoit des leçons le vendredi puis s'exerce toute la
semaine ! C'est bien ce qu'elle m'a raconté il y a huit jours. Elle était donc en
stage de formation et Alex était devenu son coach. Pour l'instant il se payait en
nature.
- Quand tu seras au point, il faudra que tu remercies Albert pour le cadeau qu'il nous
a fait; il aimera une petite démonstration et plus si affinité. Il a déjà apprécié
votre partie de trou du cul de l‘autre fois. Tu as un cul qui vaut de l’or, a-t-il
dit, c’est un filon à exploiter. La prochaine fois on te fera une double pénétration,
un trou pour moi, un pour Albert. Ce sera l’extase garantie pour toi. Si tu savais ce
que tu as raté vendredi, tu maudirais ton cocu imbécile. Mais rien n’est perdu. Et si
tu continues à m'énerver je pourrais te présenter à quelques copains qui me paieront
bien pour tes services. Approche.
Ses intentions se précisent. Ce stage pour Alex est un investissement, après
Albert, elle aura droit aux copains, et plus si affinité a-t-il précisé sans qu'elle
ne relève le propos.
Pendant tout ce monologue, Marie ne s'est pas manifestée. Sa voix tremble quand elle
répond.
- Reste où tu es, tu n'as pas compris ce que je t'ai dit. Premièrement ces photos
prouvent que vous étiez deux pour me contraindre. Tu sais que le viol en société est
un viol aggravé. C'est toi et moi qu'on voit, mais les flics voudront savoir qui a
pris ces photos. Mais il y a aussi Albert, j’oubliais, avec sa tringle entre mes
fesses et son air de clébard coincé dans sa chienne. Tu crois que ton vieux copain
Albert sera content quand tu auras dû le dénoncer ? Et tes autres copains se méfieront
d'un agent de renseignement des flics. Vous irez vous consoler ailleurs, en prison.
Alors, écrase.
Je n'en reviens pas de l'autorité manifestée par ma femme
- Toi je ne t'aime pas. Et tu viens de me prouver que tu ne vaux rien. Le 13 novembre,
quand tu es venu chercher ce que tu croyais avoir gagné avec tes photos du mois de
mai, j'ai fait la bêtise de ne rien dire à Jean. Tu m'as piégée, j'ai eu peur et j'ai
cédé à ton chantage, on a fait l'amour, enfin ce que tu appelles comme ça. Tu es un
taureau sauvage, tu manques de délicatesse. Bon, à force d’être torturée,
écrabouillée, défoncée, je finis par jouir, n’importe quelle femme possédée aussi
brutalement crierait comme moi. J’ai effectivement connu des frissons et du plaisir,
alors même que j’aurais voulu te résister.
-Ne cherche pas, tu aimes te faire sauter.
-Je me suis ensuite sentie tellement sale que je n'ai plus réussi à parler à mon
époux, que j'ai désespéré de pouvoir continuer à l'aimer. Tu m'as juré que tu étais
fou de moi et que si mon mari divorçait, tu divorcerais pour m'épouser enfin.
Aujourd'hui tu me montres des photos plus qu'explicites pour me faire tomber encore
plus bas. Finalement tu m'aimes ou tu ne m'aimes pas ? Tu divorceras ou tu ne
divorceras pas pour te marier avec moi ? Ou veux-tu juste m'humilier et me transformer
en putain. Si c'est-ce que tu cherches, arrête tout de suite et disparais. Ne te lève
pas, réponds et après j'aurai encore beaucoup de choses à te dire.
Donc innocemment elle confirme que je suis cocu depuis le 13 novembre. Une
fois de plus. Ca devient une habitude. J'ai beau le savoir, ça fait mal partout. Et
pourtant en ce moment elle proclame que c'est moi qu'elle aime. Cette forme de
raisonnement échappe à mon entendement. C'est féminin.
- Excuse-moi, Marie, je me suis emporté. Je t'aime et je pensais te faire plaisir en
te donnant ce souvenir impérissable. Si tu acceptes de m'épouser, je ferai de toi la
plus heureuse des femmes. Tu seras la plus belle. Tous les hommes te désireront.
- Précise, tu as l'intention de divorcer ?
- Oui, je te le jure !
- Quand ?
Que veut-elle négocier ? Il faut croire qu'elle a abandonné tout espoir de rester avec
moi, parce qu'elle se croit indigne. Retourne-t-elle sa veste ? Je devrais intervenir
maintenant, lui dire que je l'aime, qu’elle est victime de ce maître chanteur.
- Il faut que tu me laisses le temps ! On ne divorce pas en deux minutes.
- Moi je dois courir tous les risques, immédiatement. Ca fait trois semaines que je
fais tout ce que tu veux : Tu viens, on baise; tu veux que je mette un stérilet, je le
fais et j'explique à mon mari que c'est pour éviter de tomber enceinte, mais c'est
juste pour que tu puisses me baiser à cru sans risque pour toi. Après tu exiges que je
fasse un régime, après je dois porter pour te recevoir des sous-vêtements rouges sous
prétexte que ça ressort mieux sur les photos. Tu m'obliges aussi à me maquiller comme
une prostituée. En plus je suis obligée de m'entraîner sur un gode pour mieux te
tailler une pipe, enfin tu m'ordonnes de ne plus faire l'amour avec Jean que deux fois
par semaine et de réduire prochainement à une seule fois. Quels efforts fais-tu de ton
côté. Par exemple, tu places ta voiture devant mon garage : C'est pour que les voisins
le disent à Jean ? Tu lambines pour divorcer, mais tu viens tirer ton coup.
- . Et merde, il faudra bien qu'il apprenne qu'il est cocu et que tu m'aimes.
- Mais, je te l'ai dit : Je lui ai tout dit. Tu es sourd ou tu ne veux pas comprendre
?
Je refuse de continuer comme ça. Pourquoi faire le régime. Je ne te plais pas comme
ça. Alors va en voir une autre, achète-toi un tas d’os ! Et cette demande de raser mon
pubis, tu n'as rien trouvé de mieux pour que mon mari se rende compte que je le trompe
? Tu comptes là-dessus pour me ramasser dans le ruisseau et me mettre sur le trottoir
?
Tiens, elle semble avoir compris comme moi le sort qui l'attend. Nos discussions de la
semaine portent leurs fruits.
- Mais non, tu es folle, c'est parce que j'aime voir une chatte sans poils. C’est bien
arrondi, ça laisse entrevoir le début de la fente, c’est jeune. Tu constateras que
beaucoup d'hommes ont le même fantasme, ont envie d‘une fille toute neuve, jeune, à
peine nubile, soumise et flexible. Je sens que tu as rasés tes vilains poils. Quand ?
Ton mari l'a vu ? Montre-moi ton minou, regarde comme ça m'excite rien que d'y penser.
- Salaud, remballe ta queue. Attends. Oui, mon mari l'a vu et il n‘a pas apprécié. Je
lui ai raconté que j'avais fait ça en pensant lui réserver une surprise. Il m'a dit
que c'était un fantasme de pédophile. Doucement, je n'ai pas fini. Je me suis rasée il
y a huit jours et je le regrette. Chaque soir de la semaine, quand Jean et moi nous
sommes aimés, j'ai été honteuse. Heureusement une mousse de poils renaît. Je continue,
écoute :
Que lui arrive-t-il, sa voix tremble, sa parole devient pâteuse? Pourtant elle
débite la suite, mais j’ai l’impression que le discours traîne
-Le stérilet c'est pratique pour toi, mais tu couches avec combien de femmes ? Tu as
réduit la tienne à combien de fois par semaine ? À une fois aussi, ça m'étonnerait ?
Alors elle va peut-être se consoler ailleurs, tu es cocu sans le savoir si ça se
trouve, comme mon malheureux mari, et cette femme, que tu n'aimes pas, va peut-être
bien te refiler en douce une maladie sexuellement transmissible: donc stérilet ou pas,
si tu veux me tringler selon l'une de tes expressions favorites, tu porteras désormais
une capote anglaise, pas celles de Jean, il s'en apercevrait, ou tu n'auras plus rien
de moi.
Où est la logique? Rien c’est rien, pourquoi « si tu veux me tringler ». Veut-
elle lui redonner espoir? Elle pense donc sérieusement à un remariage, en vue duquel
elle reprendrait ses relations sexuelles avec Alex? Marie tu divagues!
-Les sous-vêtements, encore une ânerie, j'ai un trousseau et c'est mon mari qui m'en
paie, les tiens vont me faire repérer. Et si tu as besoin d'un string rouge pour
bander, va voir les putes, il paraît que c'est leur couleur préférée, tu me l'as dit
délicatement en me l'offrant: tu me paies l'uniforme de pute pour satisfaire un autre
de tes fantasmes ?
Comme elle y va ! Le sursaut me plaît. Mais l’habitude de la dissimulation est
bien ancrée, elle craint de se faire repérer.
- Règle absolue ; tu divorces ou tintin avec moi. Nous ne ferons plus rien ensemble
aussi longtemps que tu ne m'auras pas prouvé que tu as commencé une procédure de
divorce. Je veux que, avant de revenir, tu m'envoies une lettre avec le nom, l'adresse
et le téléphone de ton avocat plus une attestation d'action en justice. Sinon ne viens
pas. Ma porte restera fermée.
Pire que tout. Il va lancer la procédure et elle me laissera tomber.
- Marie, ce que tu me demandes n'est pas possible tout de suite. Je loge dans la
maison de ma femme. En cas de divorce, je me retrouve à la rue; laisse-moi le temps de
trouver un logement et un travail par ici.
- Prends tout le temps que tu veux; on se reverra quand tu seras prêt. Mais n’espère
pas un instant de faiblesse. Si tu ne te décides pas avant fin janvier tu me paieras
cher les promesses mensongères.
Elle confirme mon infortune ou ruse-t-elle pour se défaire d’Alex et pour
réparer l’imprudence qui l’a laissé entrer?
-J'entends pleurer Anne, reste ici, je vais lui donner le sein et je redescends.
- Tu ne te souviens pas que…
-Oui, mais c'est ma fille, pas la tienne, ma fille et celle de Jean. Elle a besoin de
mon lait le plus longtemps possible; ta jalousie ou ton souhait de sevrage, fini comme
le reste.
Elle monte, une enveloppe en main. Il marmonne :
- Tu vas payer, salope.
Quant à moi, je constate, que j'ai marqué des points. L'histoire du divorce me
contrarie. Mais je me demande si Marie ne s'expose pas trop. Que fera-t-elle si
l'autre la prend au mot ? Le suivra-t-elle ? Elle a eu des faiblesses, mais je sens
qu'elle m'aime vraiment. Son entrée en matière m‘a rassuré et va la sauver si elle
continue dans ce registre. C'est une victime, mais d'un courage énorme. Je suis fier
d'elle, d'autant plus qu'elle ignore que je suis présent. Par-dessus tout, Alex n’a
pas protesté, je suis bien le père d’Anne, la nouvelle me met du baume au cœur.
Marie revient.
- Ma parole, tu as tout dit à Jean; c'est pour ça que tu es remontée comme un coucou.
Tu vas voir comment je vais l'arranger ton chéri. Ce soir je vais l'attendre, le
surprendre, lui casser la gueule, le réduire en bouillie, l'attacher aux pieds du lit
conjugal et lui montrer ce que c'est un vrai mec qui baise sa femme et l'envoie au
septième ciel. Toi tu passeras à la casserole sous son nez, tu en prendras plein le
ventre par devant et par derrière. Ton cocu se bouchera les oreilles pour ne pas
t’entendre brailler ta jouissance et je lui ferai lécher ma bouillie au sortir de ton
con et de ton cul, il lèchera et boira mon jus à ta source, tout frais, la tétée du
cocu!
- Tu sais, Jean, Alex reviendra. J'ai peur. Je ne pourrai pas toujours vivre cloîtrée,
il pourra me surprendre.
- Pour l'instant, le vendredi ferme bien tous les passages, fenêtres et portes. Ne lui
ouvre jamais. Si tu m'as tout dit, il n'a plus matière à te faire chanter. Dis lui que
je sais tout.
- Et s'il va voir mes parents avec ses photos ?
- Ne cherche pas d'excuses pour le recevoir. Tu sais, il suffirait d'un mot à ton père
pour obliger Alex à prendre la fuite. Enfin je te prie de revoir tes prévisions pour
Anne. Sois une bonne mère, comme tu le désirais. Et mange normalement pour préserver
ta santé et la sienne. Je ne tiens pas à coucher avec un squelette, j’adore tes
légères rondeurs, le rebondi si gracieux de ta croupe et ton visage épanoui
- Qu'est-ce que je dois faire des habits ?
Mon incinérateur de jardin a tout réduit en cendres.
Ce soir, nous avons pu nous regarder sans arrière pensée en allant au lit. Marie m'a
aimé en douceur. Mes mains l’ont effleurée, au lieu des coups d’Alex elle a apprécié
mes caresses amoureuses. Ses organes ont explosé de bonheur dans la sérénité. Elle m’a
aimé tendrement, m’a ému par son zèle à me rendre heureux et par son relâchement au
plus fort de la volupté. Jamais plus elle n’obéirait aux ordres du maître chanteur.
Son corps m’appartenait, elle se donnerait à moi aussi souvent que je la désirerais et
ne manquerait plus de me solliciter.
Marie m'avait promis de ne plus ouvrir sa porte le vendredi au sinistre Alex.
Mais elle tenait absolument à lui faire savoir que désormais il ne pourrait plus la
faire chanter et que la publication des photos volées ou imposées l'exposerait lui et
son complice à une plainte et à un dossier au commissariat. Elle lui parlerait à
travers la porte. Curieux de constater que tout se passerait bien, je simulais un
départ, revenais, pénétrais par la cave au moment où Albert sonnait à la porte
principale.
Des voix discutent, le ton n'est pas cordial. La voix d'homme ronchonne. Marie
parle d'une voix étonnamment ferme.
- Non, je n'ouvre pas. Ne crie pas. De toute façon, tu vas écouter ce que j'ai à te
dire et ensuite tu auras intérêt à déguerpir, sinon j'appellerai le commissariat. Fini
ton chantage, mon mari sait tout.
- Quoi ? Je n'entends rien. Ouvre vite, ma pine meurt d’envie de t’encorner. Je te
promets le ciel. Tes rêves seront réalisés
- Pars et ne reviens plus.
- Ne fais pas la forte tête. Explique-toi clairement. Ouvre au moins la lucarne que je
comprenne.
La malheureuse s'exécute, Alex plonge sa main à l'intérieur, saisit la clé et s'ouvre
le chemin, Marie lutte en vain.
- Quelle mouche te pique ? On dirait que tu n'es pas contente de me voir. Viens ici,
que je t'embrasse. Tâte mon paquet, à genoux, c’est l’heure de la pipe. Allez salope,
suce, c’est une bite de campagne, élevée à l’air pur. Broute et je t’enfile.
- Non, pas question. Pour le moment, entrons dans le bureau de Jean, j'ai à te parler
sérieusement.
- Mais on pourrait parler en haut aussi bien. Qu'est-ce que c'est ce cirque, tu te
mets à me commander ? N'oublie pas que c'est moi le chef et que tu as intérêt à faire
ce que je te dis, sinon tu sais ce qui t'arrivera.
- Parlons-en. Avant tout j’ai à faire quelques mises au point. Assieds-toi là sur le
canapé de bureau, moi je vais me mettre au bureau. Ne touche à rien, ne dérange rien :
Je ne veux pas que Jean remarque que nous sommes venus ici. D'abord, tire la tenture
devant la fenêtre, il est inutile qu'un curieux nous voie de l'extérieur. Appuie sur
l'interrupteur.
La voix est calme, presque dominatrice et curieusement Alex suit les consignes.
- Va me chercher une bière, s’il te plaît et prends en une pour toi, mon amour, j'ai
soif.
Marie fait un aller retour. Rien ne peut échapper à mon oreille. Elle espère
l’amadouer
- Je suis frigorifié, pour une fois j'ai roulé vite, je suis arrivé en avance sur le
parking de l'église. Jean a traîné ? Il t’a mis le petit pain au four, tu as baisé
avec lui pendant que je me gelais les couilles, tu désobéis, sale petite conne? Montre
ta zézette, je contrôle.
- Ca ne te regarde plus. Tu n’es pas propriétaire de ma zézette.
-Quand j'ai enfin vu sa voiture, il était 14heures 15. Tu m'avais dit qu'il était
ponctuel.
- Nous n’avons pas vu passer l’heure, tu sais ce que c’est.
-Je t’interdis de recommencer. Mais je vais effacer ses traces dans ton sexe.
-Ecoute-moi et entends jusqu'au bout ce que j'ai à te dire. Tu ne bouges pas du
canapé, sauf pour te rapprocher du radiateur si tu as froid. Je t'ai toujours dit que
j'aime mon mari par-dessus tout.
- Je m'en fous, ça ne m'intéresse pas. Du moment qu'on baise, je m'en bats les
couilles. Si c'est pour ça qu'on traîne ici, abrège. Il y a mieux à faire. Ne cache
pas ton envie de prendre ma tige dans ta cheminée. Je vais te faire fumer, chasser tes
chaleurs de chienne citadine. Allez, à ta santé. Tu aurais pu descendre des verres à
bière. Va en prendre deux.
Il semble calmé et Marie pense le raisonner en étant serviable. Elle fait un
aller retour.
-Bon, tu dois m’écouter.
-Viens me branler au lieu de jacasser. Bois une gorgée avant de me sucer.
- Toi tu m'obligeais à te laisser entrer en me faisant chanter.
-Arrête tes conneries. Quand je te baise, tu ne refuses jamais de jouir comme une
grosse salope. Ta chanson je la connais: « Non, non, un peu, juste un peu, oui, ah!
c’est bon, hum bon, encore, plus fort, reste, vas-y, baise-moi, défonce-moi,
encore! » . Alors fais vite ou je vais passer tout de suite aux travaux pratiques.
- Ferme-la une minute. Tu me tenais parce que tu avais réussi à faire avec Albert, ton
copain, des photos que tu menaçais de montrer à mon homme. Ne ricane pas, c'est
dégueulasse. Si Jean voyait ces photos, il pourrait se fâcher avec moi, espérais-tu.
Au début ça m'a fait peur. Ainsi pour la quatrième fois tu viens chez moi et tu me
traites comme si j'étais ta putain. Stop! Ca, c'est fini. Jean a vu les photos et ton
chantage ne vaut plus rien. Il est au courant de tout. Vendredi il a brûlé
l’accoutrement de pute. Fous-le camp.
- Oh ! Lala. Tu veux que je te dresse.
- Essaie ! Si tu me touches ou si tu me bats aujourd'hui, il faudra que tu me tues
pour m'empêcher d'aller porter plainte au commissariat.
- Tout ça c'est des mots. Une bonne branlée et une bonne baise vont te remettre les
idées en place. Chaque fois tu essaies de refuser et puis tu commences à mouiller un
peu, tu es prise d’envie, tu oublies tes bonnes résolutions, tu baisses ta culotte
trempée de désir, tu me montres ta motte pour que je te saute et après c’est à peine
si tu me laisses partir; salope un jour, salope toujours. Viens là sur le canapé, il
suffira que je t'embrasse et que je mette ma main dans la culotte pour que tu jutes et
que tu chantes. Tu veux que je vienne t'arracher les nichons ?
Derrière ma porte, j'ai entendu des choses surprenantes ; Marie m'a
partiellement ouvert les yeux. Je sais ce que je voulais savoir. Elle m'aime. Je
l'admire, elle se défend courageusement, comme la petite chèvre de monsieur Seguin en
face du loup. Si Alex la bouscule, je vais le remettre à sa place.
- Tu déconnes un peu trop, ma poule. Les premières photos n'étaient pas terribles.
Sache que le dernier vendredi, Albert a fait des merveilles. Prends ce paquet cadeau.
Regarde bien, c'est toujours toi et moi. Là, tu me tailles une pipe en haut de
l'escalier, mon zob te gonfle la joue, tes mamelles dressent leurs tétons. Ici tu as
ma bite au fond de la gorge, tes yeux te sortent de la tête et la bave coule sur ton
menton. Là tu recraches la fumée: t'es vraiment magnifique, à genoux devant mon zob.
Là tu prends plaisir à me lécher les couilles en levant ma queue pour mieux approcher;
ici, ta main tire ma fesse vers toi, tu as peur de perdre le bout de ma queue prise
entre tes lèvres amoureuses. Et sur celle là, prise de derrière on te reconnaît, tu es
assise sur ma queue, on n’en voit que la base et on voit ton abricot éclaté et ton
petit cul mignon avec ta rose entrouverte par tes efforts; et ton canapé de salon,
fort reconnaissable lui aussi ne peut pas laisser de doute à ton chéri. Là je te
prends en cuillère, une jambe rejetée par-dessus les miennes, nos deux sexes unis, à
mi course, sont brillants de mouille. Nous sommes tournés vers l'appareil, tu as la
bouche grande ouverte et les yeux fermés sur ton orgasme. Tu as dû prendre le flash
pour un éblouissement de plaisir si tu n'as rien remarqué.
A qui feras-tu croire que tu ne m’aimes pas? Et pire, la preuve de ton
putanat, Albert t’encule, bien enfoncé et tu grimace de plaisir, j’ai pris les photos
moi-même. Alors quand les flics et Jean te verront dans toutes ces positions, en
pleine jouissance, avec deux mecs différents, ils vont bien rigoler si tu dis que tu
n'étais pas d'accord. Là tu es sur le dos, ta jambe droite et ta jambe gauche
encerclent mon dos, tu lèves ton cul à ma rencontre, tes bras passent sous mes bras
pour serrer mes épaules. Une fille qui refuse ne se pousse pas en l'air à la rencontre
de l’engin de son partenaire. Enfin, la dernière, je m'enfonce dans ton vagin et on
distingue nettement un grain de beauté à trois centimètres de ton trou du cul plissé.
Si Jean te regarde, il reconnaîtra ta « nature ». Ici aussi tes fesses sont à dix
centimètres de haut. Bon j’ai assez de preuves, tout le monde saura que tu es une
traînée qui passe son temps les pattes en l’air.
-C’est faux!
-Prouve-le. Dis-moi plutôt si tu t'es bien entraînée cette semaine avec le godemiché
et si tu sauras me tailler une pipe de meilleure qualité.
Voilà une explication bien plus plausible que celle de la découverte subite de
toutes les subtilités. Madame reçoit des leçons le vendredi puis s'exerce toute la
semaine ! C'est bien ce qu'elle m'a raconté il y a huit jours. Elle était donc en
stage de formation et Alex était devenu son coach. Pour l'instant il se payait en
nature.
- Quand tu seras au point, il faudra que tu remercies Albert pour le cadeau qu'il nous
a fait; il aimera une petite démonstration et plus si affinité. Il a déjà apprécié
votre partie de trou du cul de l‘autre fois. Tu as un cul qui vaut de l’or, a-t-il
dit, c’est un filon à exploiter. La prochaine fois on te fera une double pénétration,
un trou pour moi, un pour Albert. Ce sera l’extase garantie pour toi. Si tu savais ce
que tu as raté vendredi, tu maudirais ton cocu imbécile. Mais rien n’est perdu. Et si
tu continues à m'énerver je pourrais te présenter à quelques copains qui me paieront
bien pour tes services. Approche.
Ses intentions se précisent. Ce stage pour Alex est un investissement, après
Albert, elle aura droit aux copains, et plus si affinité a-t-il précisé sans qu'elle
ne relève le propos.
Pendant tout ce monologue, Marie ne s'est pas manifestée. Sa voix tremble quand elle
répond.
- Reste où tu es, tu n'as pas compris ce que je t'ai dit. Premièrement ces photos
prouvent que vous étiez deux pour me contraindre. Tu sais que le viol en société est
un viol aggravé. C'est toi et moi qu'on voit, mais les flics voudront savoir qui a
pris ces photos. Mais il y a aussi Albert, j’oubliais, avec sa tringle entre mes
fesses et son air de clébard coincé dans sa chienne. Tu crois que ton vieux copain
Albert sera content quand tu auras dû le dénoncer ? Et tes autres copains se méfieront
d'un agent de renseignement des flics. Vous irez vous consoler ailleurs, en prison.
Alors, écrase.
Je n'en reviens pas de l'autorité manifestée par ma femme
- Toi je ne t'aime pas. Et tu viens de me prouver que tu ne vaux rien. Le 13 novembre,
quand tu es venu chercher ce que tu croyais avoir gagné avec tes photos du mois de
mai, j'ai fait la bêtise de ne rien dire à Jean. Tu m'as piégée, j'ai eu peur et j'ai
cédé à ton chantage, on a fait l'amour, enfin ce que tu appelles comme ça. Tu es un
taureau sauvage, tu manques de délicatesse. Bon, à force d’être torturée,
écrabouillée, défoncée, je finis par jouir, n’importe quelle femme possédée aussi
brutalement crierait comme moi. J’ai effectivement connu des frissons et du plaisir,
alors même que j’aurais voulu te résister.
-Ne cherche pas, tu aimes te faire sauter.
-Je me suis ensuite sentie tellement sale que je n'ai plus réussi à parler à mon
époux, que j'ai désespéré de pouvoir continuer à l'aimer. Tu m'as juré que tu étais
fou de moi et que si mon mari divorçait, tu divorcerais pour m'épouser enfin.
Aujourd'hui tu me montres des photos plus qu'explicites pour me faire tomber encore
plus bas. Finalement tu m'aimes ou tu ne m'aimes pas ? Tu divorceras ou tu ne
divorceras pas pour te marier avec moi ? Ou veux-tu juste m'humilier et me transformer
en putain. Si c'est-ce que tu cherches, arrête tout de suite et disparais. Ne te lève
pas, réponds et après j'aurai encore beaucoup de choses à te dire.
Donc innocemment elle confirme que je suis cocu depuis le 13 novembre. Une
fois de plus. Ca devient une habitude. J'ai beau le savoir, ça fait mal partout. Et
pourtant en ce moment elle proclame que c'est moi qu'elle aime. Cette forme de
raisonnement échappe à mon entendement. C'est féminin.
- Excuse-moi, Marie, je me suis emporté. Je t'aime et je pensais te faire plaisir en
te donnant ce souvenir impérissable. Si tu acceptes de m'épouser, je ferai de toi la
plus heureuse des femmes. Tu seras la plus belle. Tous les hommes te désireront.
- Précise, tu as l'intention de divorcer ?
- Oui, je te le jure !
- Quand ?
Que veut-elle négocier ? Il faut croire qu'elle a abandonné tout espoir de rester avec
moi, parce qu'elle se croit indigne. Retourne-t-elle sa veste ? Je devrais intervenir
maintenant, lui dire que je l'aime, qu’elle est victime de ce maître chanteur.
- Il faut que tu me laisses le temps ! On ne divorce pas en deux minutes.
- Moi je dois courir tous les risques, immédiatement. Ca fait trois semaines que je
fais tout ce que tu veux : Tu viens, on baise; tu veux que je mette un stérilet, je le
fais et j'explique à mon mari que c'est pour éviter de tomber enceinte, mais c'est
juste pour que tu puisses me baiser à cru sans risque pour toi. Après tu exiges que je
fasse un régime, après je dois porter pour te recevoir des sous-vêtements rouges sous
prétexte que ça ressort mieux sur les photos. Tu m'obliges aussi à me maquiller comme
une prostituée. En plus je suis obligée de m'entraîner sur un gode pour mieux te
tailler une pipe, enfin tu m'ordonnes de ne plus faire l'amour avec Jean que deux fois
par semaine et de réduire prochainement à une seule fois. Quels efforts fais-tu de ton
côté. Par exemple, tu places ta voiture devant mon garage : C'est pour que les voisins
le disent à Jean ? Tu lambines pour divorcer, mais tu viens tirer ton coup.
- . Et merde, il faudra bien qu'il apprenne qu'il est cocu et que tu m'aimes.
- Mais, je te l'ai dit : Je lui ai tout dit. Tu es sourd ou tu ne veux pas comprendre
?
Je refuse de continuer comme ça. Pourquoi faire le régime. Je ne te plais pas comme
ça. Alors va en voir une autre, achète-toi un tas d’os ! Et cette demande de raser mon
pubis, tu n'as rien trouvé de mieux pour que mon mari se rende compte que je le trompe
? Tu comptes là-dessus pour me ramasser dans le ruisseau et me mettre sur le trottoir
?
Tiens, elle semble avoir compris comme moi le sort qui l'attend. Nos discussions de la
semaine portent leurs fruits.
- Mais non, tu es folle, c'est parce que j'aime voir une chatte sans poils. C’est bien
arrondi, ça laisse entrevoir le début de la fente, c’est jeune. Tu constateras que
beaucoup d'hommes ont le même fantasme, ont envie d‘une fille toute neuve, jeune, à
peine nubile, soumise et flexible. Je sens que tu as rasés tes vilains poils. Quand ?
Ton mari l'a vu ? Montre-moi ton minou, regarde comme ça m'excite rien que d'y penser.
- Salaud, remballe ta queue. Attends. Oui, mon mari l'a vu et il n‘a pas apprécié. Je
lui ai raconté que j'avais fait ça en pensant lui réserver une surprise. Il m'a dit
que c'était un fantasme de pédophile. Doucement, je n'ai pas fini. Je me suis rasée il
y a huit jours et je le regrette. Chaque soir de la semaine, quand Jean et moi nous
sommes aimés, j'ai été honteuse. Heureusement une mousse de poils renaît. Je continue,
écoute :
Que lui arrive-t-il, sa voix tremble, sa parole devient pâteuse? Pourtant elle
débite la suite, mais j’ai l’impression que le discours traîne
-Le stérilet c'est pratique pour toi, mais tu couches avec combien de femmes ? Tu as
réduit la tienne à combien de fois par semaine ? À une fois aussi, ça m'étonnerait ?
Alors elle va peut-être se consoler ailleurs, tu es cocu sans le savoir si ça se
trouve, comme mon malheureux mari, et cette femme, que tu n'aimes pas, va peut-être
bien te refiler en douce une maladie sexuellement transmissible: donc stérilet ou pas,
si tu veux me tringler selon l'une de tes expressions favorites, tu porteras désormais
une capote anglaise, pas celles de Jean, il s'en apercevrait, ou tu n'auras plus rien
de moi.
Où est la logique? Rien c’est rien, pourquoi « si tu veux me tringler ». Veut-
elle lui redonner espoir? Elle pense donc sérieusement à un remariage, en vue duquel
elle reprendrait ses relations sexuelles avec Alex? Marie tu divagues!
-Les sous-vêtements, encore une ânerie, j'ai un trousseau et c'est mon mari qui m'en
paie, les tiens vont me faire repérer. Et si tu as besoin d'un string rouge pour
bander, va voir les putes, il paraît que c'est leur couleur préférée, tu me l'as dit
délicatement en me l'offrant: tu me paies l'uniforme de pute pour satisfaire un autre
de tes fantasmes ?
Comme elle y va ! Le sursaut me plaît. Mais l’habitude de la dissimulation est
bien ancrée, elle craint de se faire repérer.
- Règle absolue ; tu divorces ou tintin avec moi. Nous ne ferons plus rien ensemble
aussi longtemps que tu ne m'auras pas prouvé que tu as commencé une procédure de
divorce. Je veux que, avant de revenir, tu m'envoies une lettre avec le nom, l'adresse
et le téléphone de ton avocat plus une attestation d'action en justice. Sinon ne viens
pas. Ma porte restera fermée.
Pire que tout. Il va lancer la procédure et elle me laissera tomber.
- Marie, ce que tu me demandes n'est pas possible tout de suite. Je loge dans la
maison de ma femme. En cas de divorce, je me retrouve à la rue; laisse-moi le temps de
trouver un logement et un travail par ici.
- Prends tout le temps que tu veux; on se reverra quand tu seras prêt. Mais n’espère
pas un instant de faiblesse. Si tu ne te décides pas avant fin janvier tu me paieras
cher les promesses mensongères.
Elle confirme mon infortune ou ruse-t-elle pour se défaire d’Alex et pour
réparer l’imprudence qui l’a laissé entrer?
-J'entends pleurer Anne, reste ici, je vais lui donner le sein et je redescends.
- Tu ne te souviens pas que…
-Oui, mais c'est ma fille, pas la tienne, ma fille et celle de Jean. Elle a besoin de
mon lait le plus longtemps possible; ta jalousie ou ton souhait de sevrage, fini comme
le reste.
Elle monte, une enveloppe en main. Il marmonne :
- Tu vas payer, salope.
Quant à moi, je constate, que j'ai marqué des points. L'histoire du divorce me
contrarie. Mais je me demande si Marie ne s'expose pas trop. Que fera-t-elle si
l'autre la prend au mot ? Le suivra-t-elle ? Elle a eu des faiblesses, mais je sens
qu'elle m'aime vraiment. Son entrée en matière m‘a rassuré et va la sauver si elle
continue dans ce registre. C'est une victime, mais d'un courage énorme. Je suis fier
d'elle, d'autant plus qu'elle ignore que je suis présent. Par-dessus tout, Alex n’a
pas protesté, je suis bien le père d’Anne, la nouvelle me met du baume au cœur.
Marie revient.
- Ma parole, tu as tout dit à Jean; c'est pour ça que tu es remontée comme un coucou.
Tu vas voir comment je vais l'arranger ton chéri. Ce soir je vais l'attendre, le
surprendre, lui casser la gueule, le réduire en bouillie, l'attacher aux pieds du lit
conjugal et lui montrer ce que c'est un vrai mec qui baise sa femme et l'envoie au
septième ciel. Toi tu passeras à la casserole sous son nez, tu en prendras plein le
ventre par devant et par derrière. Ton cocu se bouchera les oreilles pour ne pas
t’entendre brailler ta jouissance et je lui ferai lécher ma bouillie au sortir de ton
con et de ton cul, il lèchera et boira mon jus à ta source, tout frais, la tétée du
cocu!
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